vendredi, 20 janvier 2012
Avenir sombre pour Bêtie
Roman-théâtre
Comme je 'l'ai annoncé das ma note d'hier, Bêtie va devoir passer devant un tribunal administraitf parce qu'elle refuse de demander sa retraite alors "qu'elle a de grandes difficultés avec ses élèves" et "refuse d'améliorer sa pédagogie de l'allemand". Bien qu'elle soit encore inscrite au stage de d'agrégation interne de cette année, et sur son emploi du temps électronique ces journées là de stage sont indiquées comme "accompagnement". au mois de Mai dernier dans le cadre des inscriptions au PAF. Elle s'était cependant déjà inscrite à ce stage comme aux stages d'informatique sensés valider une partie du C2i2e,Bêtie suit tous les stages possibles et imaginables depuis sa jeunesse pour améliorer sa pédagogie, mais à 60 ans, on lui met encore un acccompagnement. Alors qu'elle pourrait être elle-même tutrice de stagiaires.
Hier soir, Bêtie a attrapé encore un mal de dos carabiné (deux fois en un mois, le 1er et le 2 janvier, le 1er janvier passé alitée, et en forme pour la rentrée le 3 janvier) et mainetannt un Vendredi, sur une journée de congé... puisqu'elle ne travaille pas le vendredi. Des douleurs lancinantes qui montent du milieu du dos vers les épaules, le cou et la tête. Gageons qu'elle sera guérie pour faire cours demain à ses adultes. Et d'autant plus lundi à ses petits élèves. Bêtie destituée, est-ce qu'elle aura encore la sécurité sociale? Le samedi elle fait cours gratuitement (bénévolat d'association) et sans couverture sociale supplémentaire à celle qu'elle a dans l'éducation nationale.
Rappelons que Bêtie est professeur titulaire, encore jusqu'à ce jour, fonctionnaire de l'Etat (elle a d'ailleurs eu la moyenne l'an dernier a son épreuve d'agrégation "Agir en fonctionnaire de l'Etat d'une manière éthique et responsable". (Bêtie a son CAPES complet depuis belle lurette,elle l'a eu dans sa jeunesse, quand son physique longiligne à l'époque plaisait encore aux inspecteurs).
Il semblerait en effet qu'ils font cela contre elle parce qu'elle a de l'embonpoint, dans ce pays gouverné par des fantôches d'extrême droite (l'extrême droite qui se dit extreme-droite étant alors l'hyper extrême droite), un gouvernement à la Poniatowski, pendant lequel certaines personnes de gauche étaient tuées accidentellement , par des personnes 'qui n'avaient pas fait gaffe". Dans ce pays qui ne prône que la beauté physique par le sport comme on l'avait déjà remarqué aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Regardez la page d'entrée de certains de vos moteurs de recherche et vous aurez compris : il y thrône rien que des nanas aux physiques longilignes et des play-boys : le genre de professeur d'allemand que l'on recherche actuellement, le seul genre qui plait à nos jeunes élèves.
Les talents de guitariste chanteuse de Bêtie et de guitariste virutose, de compositeur, de poète, étant totalement inutiles pour l'enseignement de l'allemand, d'après notre inspecteur qui tolère que l'on chante à la guitare à la rigueur une seule fois dans l'année avant Noël c'est ce qu'il lui a dit l'an dernier dans son entretien d'inspection. Pourtant chanter favorise la bonne prononciation et la bonne accentuation.
Donc, concernant la mise à la retraite de Bêtie pour non satisfaction des normes étatiques d'extême-droite de corps sportif et longiigne, obligatoire maintenant pour les professeurs d'allemand, il s'agit bien de racisme anti-gros.
En tout cas, Bêtie nous a dit que si elle doit partir en retraite, elle n'aura pas assez d'argent pour continuer à vitre, parès épuisement de ses quelques économie dépensées par son mari Quicky (il prend le taxi quand il sent qu'il va être en retard à son travail, parfois sur 35 km, calculez le prix! Il s'arrête souvent dans les fast-foods et les cafés et petites restaurations pour manger, surtout le soir et lors de son changement d'établissement trois fois par semaine le midi, il peut le faire car ses établisement ne sont qu'à 5 à 10 mn à pied des gares).
A titre indicatif, un loyer d'un appartement de deux pièces dans grande métropole régionale fait le montant entier de la pension que Bêtie aura; Alors que sont devenues les collègues qui ont pris leur retraite à 60 ans et même avant et qui habitaient à grande métropole régionale. Sont-elles encore de ce monde, car elles doivent être couvertes de dettes.? Sont-elles devenues des sans-abris? Vont-elles à la soupe populaire?
Bientôt celes de ses élèves du samedi qui étaient actives à la soupe populaire, pourront lui servir la soupe en hiver!
Peut-être que les femmes du rectorat qui envoient ces lettres à Bêtie ont de lourds loyers à payer, ca elles habitent à grande métropole régionale, et cherchent-elles à avoir une grosse prime pour payer leur loyer en faisant destituer Bêtie.
Bêtie a fait le choix d'acheter alors qu'elle avait encore assez d'argent, une maison à 100 km de grande métropole régionale ce qui la libère de loyer pour le restant de sa vie, mais des gens du quartier embête son mari lui demandant "Tu en vends pas ta maison?", Tu ne vends pas ta voiture?" En plus il le tutoient, le prenant pour un maghrébin, à cause de ses cheveux foncés, alors qu'il a les yeux bleus (ils sont aveugles s'ils ne voient pas ses yeux bleus) et un nom de famille bien français. D'ailleurs dans les magasins du coin, Quicky est toujours tutoyé par les vendeurs et gérants à cause de sa barbe. "Je lui ai déjà dit qu'ils ne devrait pas tolérer cela, que c'est du racisme (anti-barbu et pas anti-maghrébin, puisqu'il n'est pas maghrébin). On lui a expliqué cent fois à ce voisin qui veut acheter toutes nos affaires qu'on a acheté notre maison pour tout le restant de notre vie, mais il revient toujours à la charge ce que je considère aussi comme un harcèlement, je me demande s'il n'est pas à la solde du rectorat qui a dédidé de nous rendre sans-abri pour notre vieillesse. Si le rectorat n'a pas mis des espions dans les maisons louées alentours (car si nous sommes propriétaires, un bon nombre de voisins sont locataires d'autres propriétaires). " m'a dit Bêtie. Etre propriétaire de sa propre maison est un investissement pour la retraite, car on ne doit pas payer de loyer à un autre propriétaire.
Il faut savoir que les loyers augmentent et les pensions n'augmentent pas et que par conséquent une maison est un investissement pour ses vieux jours.
Il paraitrait que les femmes du rectorat qui ont envoyé des lettres à Bêtie vont avoir une rente à vie payée sur la pension de Bêtie tant que Bêtie vivra. Mais Bêtie ne vivra sans doute pas lontemps, car si on la destitue ou si on la met en retraite maintenant, elle a décidé de quitter ce monde pour ne pas être une charge pour son mari et pour la société. Alors, elles ne toucheront pas la rente viagère longtemps.
Il paraitrait que l'Empereur Entreboue lisant mon blog pendant que je l'écris, vient de faire promulguer une loi selon laquelle les fonctionnaires administratifs qui arriveront à faire mettre à la retraite plus tôt que prévu ou à faire destituer des fonctionnaires non administratifs comme les professeuirs, recevront une rente viagère (une rente à vie, de la moitié de l'économie que l'Etat aura réalisé grâce à eux. Donc environ 200 000 € de gains en moins pour Bêtie sur répartis sur les 30 prochaines années (de 60 à 90 ans), donc impossibilité d'envisager d'aller dans une maison de retraite (celle de sa mère pour la maladie d'Alzheimer a coûté 3000 € par mois, ce qui ferait 3 fois la pension de Bêtie). Même mon collègue agrégé, depuis 20 ans qui recevra 2400 € de retraite par an, ne pourra se payer une maison de retraite de type Alzheimer. Elle n'a pas eu d'aide financière pour sa maison de retaite, car ils ont jugé qu'avec sa pension de 1800 € par mois et ses petites économies,et sa maison, elle en avait assez pour se payer la maison de retraite elle-même.
Concenant Bêtie, j'ai déjà caculé l'économie pour l'Etat dans ce blog, qui se chiffre en centaines de milliers d'Euro pour une vie juqu'à 90 ans. Parce qu'il y a déjà l'économie réalisée sur la différence entre le salaire actuel ou à venir et la pension pendant la période entre 60 à 65 ans, et ensuite l'économie réalisée par la différence entre la pension obtenue entre 60 et 61 ans et celle obtenue à 65 ans qui est environ de 600€ par mois. ..
Donc, sur toutes ces considérations, Bêtie vous annonce qu'en cas de destitution, ou de mise à la retaite d'office ou de congé sans solde d'office, elle ne sera prochainement plus de ce monde.
D'ailleurs elle passe sa journée à pleurer, autant à cause de son dos qu'à cause de la lettre mensongère du rectorat.
Pour défendre Bêtie
domino
13:17 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0)
Bêtie pleure, pleure...
Doofie, mon personnage de roman-théâtre m'écrit :
Bêtie va devoir passer devant une juridiction professionelle, parce que, sachant que d'après les textes elle a le droit de travailler en tant que professeur du secondaire jusqu'à 65 ans et sachant qu'elle n'aura son taux complet de retraite que dans trois ans; ceci parce qu'elle a été chahutée au début de l'année, mais c'est justement quand ses élèves se sont bien calmés, qu'elle reçoit cette lettre (elle était nouvelle dans ce collège au début de l'année, ou plutôt ancienne nouvelle, puisqu'elle y avait déjà travaillé un certain nombre d'années auparavant.
Bêtie est TZR, bi-admissible à l'agrégation, elle a été admissible encore à l'externe l'année dernière, avec 13 de moyenne en traduction écrite (14/20 en version et 12/20 en thème). ce qui sont à l'agrégation externe d'excellentes notes.
Elle voulait arriver à la décrocher cette sacro-sainte agrégation avant la retraite... elle comptait avoir encore trois sessions pour la passer (et six chances externe + interne) en la passant jusqu'à 63 ans (dans le BO de 2002, il était encore écrit que la limite d'âge pour passer l'agrégation était 65 ans, maintenant il est écrit "Aucune limite d'âge n'est opposable au candidat". Une professeur d'université nous a même dit qu'on pouvait la passer à titre honorifique pendant la retraite.
Combien de fois, Bêtie qui a fait ses études secondaires avec un an d'avance (10 ans au début de sixième, à peine dix-sept ans au bac) s'est entendu dire, "elle est trop jeune, pour faire ceci ou cela". Et maintenant on lui dit toujours "Elle est trop vieille".
Bêtie voulait encore avoir l'agrégation avant sa retraite et comptait au cas où elle échourait cette année, avoir encore trois sesssions pour la passer. Alors Bêtie se demande pourquoi, on la harcèle à ce point...
Alors que les élèves sont plus calmes qu'au début de l'année. Alors que elle a eu surtout des ennuis en SEGPA qui ne sont pas des élèves ayant le profil pour apprendre les langues vivantes.
Dans sa lettre la personne du rectorat (qui est une autre personne que celles qui l'ont reçue il y a deux semaines), dit qu'elle a dit qu'on avait fait exprès de lui donner des SEGPA pour lui faire prendre sa retraite prématurément. Et qu'elle ment lorsqu'elle prétend qu'on l'aurait fait exrpès, alors que Bêtie pense que c'est la personne qui dit qu'on l'a nommée là par les hasards des postes à pourvoir en début d'année qui est de mauvaise foi.
D'ailleurs j'ai déjà souligné ici la contradiction qu'il y a eu dans le discours de la personne du rectorat, qui a dit qu'on l'a mise en poste à l'année, au lieu des moyennes durées pour lesquelles elle avait optée, parce qu'on n'avait plus personne pour les postes à l'année. Rappel pour ceux qui croiraient que Bêtie serait auxiliaire parce qu'elle fait des remplacements : non, Bêtie est titulaire, fonctionnaire de l'étét, professeur bi-admissible à l'agrégation, un statut entre certifié et agrégé. Bon, la contradiction est celle-ci : on n'avait plus personne pour les postes à l'année, mais par ailleurs on n'a plus besion de vous puisqu'on veut vous mettre à la retraite.
Par ailleurs la personne qui écrit la lettre signale que "Tous ses chefs d'établissement de l'an dernier ont signalé des difficultés avec les élèves", alors que celui d'un des deux collèges de Mai avait dit :"Je pense que ça s'est bien apssé". L'autre chef d'établissemnt n'était pas là lors de son départ, mais ne lui a jamais fait de reproches. La chef d'établissemnt de Juin et son adjointe ont été aussi toujour très aimables et ne lui ont pas fait d'histoires.
Alors, ces trois chefs d'établiseement là auraient-ils fait des rapports secrets négatifs sur elle par derrière tout en lui souriant par devant...????
Certains des élèves qui ont fait le chahut au début de l'année, de 4ème SEGPA (ceux qui ont sali la classe à la fin d'une heure de cours), se promènent comme des Caïds dans la cours de récréation et n'ont jamais été sanctionnés pour leur "chahut". Leurs noms revienennt dans la salle des profs, prononcés par des collègues qui ne les ont même pas en cours, mais les ont "repéré". Ils s'agit toujours de cinq noms dont trois étaient dans ce groupe qui a sali la classe.
Que va-t-il se passer si Bêtie doit quitter l'établissement, contrainte et forcée par le rectorat : et bien, ces élèves-là vont se sentire encore plus forts dans leur position de caïd.
Sanctionner le professeur à la place des élèves n'a jamais été une bonne chose... et apparemment ces élèves n'ont pas été davantage inquiétés que cela pour avoir sali la classe. Par contre la prof est au bord de la dépression à cause du harcèlement incessant dont elle est victime de la part du rectorat, elle songe même à quitter ce monde et ceci de plus en plus sérieusement, à quitter sa guitare bien aimée dont elle ne joue presque plus (je pense qu'ele n'a pas quitté son étui depuis trois mois malgré sa virtuosité). A ne plus faire entendre sa voix d'ange sur la chaîne vidéo.. A laisser son art poétique en plan, emportant son art, ses futures oeuvres musicales, ses futures poèmes, ses futures chansons dans sa tombe.
A chaque fois qu'elle reçoit l'une de ces lettres harceleuses envoyées par le rectorat directement à son établissement d'exercice, elle pleure, pleure, pleure, fait des crises de larmes, ne supporte plus les "Dépêche-toi" de son mari et pousse des hurlements lorsqu'il prononce ses mots ce qui met leur couple en danger, (il parait que beaucoup de victimes de hércèlement moral au travail divorcent). Parce que son mari ne supporte plus qu'elle se plaigne de son travail non plus, lui qui à 64 ans est encore prof, et qui a décidé de travailler jusqu'à 70 ans s'il le peut. Lui qui a toujours eu de bonnes inspections, alors qu'il ne corrige même avec des heures supplémentaires, jamais une copie à la maison. Quand Bêtie passe toutes ses nutis à corriger; Lui qui n'a jamais dû montrer sa progression ou son cahier de préparation lors d'une inspection "de routine". Alors que les deux dernières fois où Bêtie a eu des inspections de routine en 2002 et en 2011, elle a dû montrer son cahier de préparation et on lui a reproché de ne pas avoir sa progression annuelle sous la main alors qu'elle était sur un remplacement de un mois et qu'elle n'avait pas rencontré la collègue qu'ele remplaçait, partie avant son arrivée.
Un autre collègue n'avait que deux notes par trimestre et un carnet de note pour dix ans. Il était fier de rechercher dans ce carnet les élèves d'il y a dix ans. A oui... un tel, je l'ai eu... et il sortait le carnet de note minuscule qui durait dix ans, et pas encore terminé à la dixième année, de la poche de son vestion... et donnait ses coordonnées exactes et toutes les notes qu'il avait eu, ce qui pouvait se faire rapidement : 18 notes pour 3 ans alors que Bêtie avait 25 notes par trimestre! Il a eu son agrégation il y a 20 ans... et va partir en retraite avec 2400 € de pension par mois, alors que Bêtie, si elle part à 61 ans, aura 1000 € de retraite en moins que lui (c'est la différence entre un agrégé et un bi-admissible à l'agrégation) pour une durée à peu près égale de travail. Et pourtant son niveau en allemand n'a rien à lui envier, il serait même supérieur à celui de cet agrégé. Ses connaissances en lingusitique aussi.
Si Bêtie quitte ce monde, ce ne sera pas vraiment de la faute des élèves, mais de celle du rectorat et de l'inspecteur.
Bêtie ne prendra pas de congé maladie, même si elle commence à radoter devant son ordinateur (elle sait cependant ce qu'elle dit quand elle radote et elle s'en souvient : elle parle de tous les ennuis qu'elle a et de tous ces gens qui la harcèlent sans la connaître vraiment, en lui disant qu'elle ne travaille pas assez et elle se met à travailler jour et nuit. On sait que les victimes de harcèlement moral se mettent à radoter.
Le rectorat est-il en train de faire une expérimentation de harcèlement moral sur une personne qui a déjà eu des congés de longue maladie, dont une à la suite de l'inspection de 2022, non dû aux élèves, mais à l'inspecteur et à un collègue, et un peu aussi au proviseur, pour alimenter le livre d'une de leur copine qui écrit des livres sur le harcèlement moral en se servant de Bêtie comme Cobaye, et de mon roman-théâtre pour en copier des parties. Et m'enlever les droits d'auteur que j'aurais pû tirer de mes écrits, lorsque je voudrais pulbier une partie de mon blog, car on m'accusrait alors d'avoir plagié celle qui m'aura copié.
Bêite es certainement un cobaye, pour qu'une de ces femmes du rectorat donnent à leur copine (on connait son nom) matière à écrire ses livres.
Mais que fera-t-on quand le cobaye mourra? On en choisira un autre? Une autre victime expiatoire?
Pour défendre Bêtie
domino
(Bêtie ne s'appelle pas Bêtie dans la vie réelle).
01:10 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 06 janvier 2012
Deux choses ...
Roman-théâtre
1) Doofie, Dummie et quelques autres d'entre nous,nous avons décidé de porter plainte collectivement contre la chef de bureau des personnels enseignants et contre l'inspecteur d'allemand, pour harcèlement moral au travail (différent du harcèlement sexuel) puisqu'ils ont réussi à faire craquer Bêtie dans leur entretien d'hier alors qu'elle n'avait pas craqué lorsqu'elle a été convoquée par les 4 proviseurs l'année dernière et par son principal avec son adjoint et le directeur de SEGPA au début de cette année scolaire. S'il la mettent en retraite ou en congé. Et s'ils enlèvent de ses fonctions de professeur d'allemand.
2) Bêtie s'est souvenu que son principal actuel a le même nom qu'un proviseur adjoint qu'elle a eu par le passé et de qui elle était appréciée. Elle se demande si c'est lui. Pendant deux ans dans un lycée de la région, alors qu'ele était certifiée, et avant de rester dix ans dans un autre lycée, en poste ministériel aussi, elle avait été la première année nommée uniquement au classique; il y avait un proviseur adjoint pour le classique et un proviseur adjoint pour le technique. La première année le proviseur adjoint du classique, une autre personne, avait très bonne opinion de Bêtie, il lui avait dit une fois "Ah! Je dois encore monter dans les étages, il se passe encore quelque chose, avec vous, au moins, je n'ai pas ce genre de problème".
L'année suivante, Bêtie était à cheval sur le technique et le classique.On lui a dit : "La première année, ils te donnent du classique et si ça marche bien, la deuxième année, ils te donnent aussi du technique". Les deux proviseurs adjoints avaient échangé leur poste... Bêtie a continué à être bien vue par les deux proviseurs adjoints, dont celui qui a le même nom que son principal actuel, et qui l'année suivante était devenu proviseur d'un LP. Elle participait au projet "Ouverture aux littératures européennes", Bêtie ne sait pas s'il s'agit de la même personne. Mais en tout cas à presque 20 ans d'intervalle, les côtes d'appréciation peuvent changer...
On était en 1992, Bêtie participait aussi à la formation informatique initiée par son proviseur (celui qui chapeautait tout, qui est partie en retraite à la fin de l'année). Elle n'a jamais été convoquée dans son bureau pour des raisons de discipline, par contre, elle avait été invitée une fois à venir voir le tout nouvel ordianteur en couleur avec des choses qui bougeaient dessus comme sur une télévision. Le grand proviseur était un féru d'informatique, et on venait des passer des écrans avec des lettres vertes sur fond noir aux Windows en couleur. C'est la seule fois qu'elle est allée dans son bureau et aussi pour se présenter tout au début. Elle était bien vue du grand proviseur qui, bien qu'il ne disât bonjour à personne, l'honorait d'un signe de tête lorsqu'il la rencontrait!
Pour défendre Bêtie
Dominique
15:52 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement
Entre 49 et 52, attention!
Roman-théâtre
En allant à un entretiten hier au quatrième étage du rectorat, pendant lequel on lui a demandé de prendre sa retraite, chose qu'elle ne peut faire pour des raisons financières, Bêtie a vu sur des tables des bacs entiers plein de dossier de professeurs non loin de ce bureau. Il s'agit tout simplement de dossiers de professeurs nés entre 1949 et 1952. Bêite a tout de suite compris. Cette femme va faire faire de mauvaises inscpections et enjoindre tout ce beau monde de prendre sa retraite le plus vite possible pour faire faire des économies au rectorat et aux caisses de retraite. Et pour faire supprimer tous ces postes d'enseignant.
Pour Bêtie par exemple, TZR à remplacement de moyenne durée (!) : double suppression, le poste à l'année (!) sur lequel ele se trouve, plus le poste de TZR dans la zone de remplacement : double économie de poste pour le gouvernement.
Paradoxal : Il n'y aurait plus assez de TZR pour pourvoir tous les postes. Et pour faire les remplacements, c'est pour cela qu'on a mis Bêtie sur un psote à l'année (avec SEGPA, section pour les élèves en grande difficulté scolaire, ceci en allemand...)...
Donc, ces charriots de dossiers de professeurs nés entre 49 et 52 sont là pour que Madame la responsable du bureau des personnels enseignants prennent un à un les dossiers, fasse chahuter les professeurs en amenant quelques élèves chahuteurs dans leurs classes ou en leur donnant de très mauvaises classes (mesures de carte scoclaire, entraînant des mutations forcées de ces vieux profeseurs, sur des établissements difficiles, inspection dans une mauvaise classe, et demande de mise à la retraite, voilà ce qui vous attend si vous êtes nés entre 49 et 52!!
Bêtie a dit dans son journal :
"Monsieur JeSaisTout, qui a fait toute sa carrière dans le même lycée, en étant plus ou moins chahuté et sujet de moqueries, a demandé la zone de remplacement pour sa dernière demi-année, pour ne pas gêner le service par son départ en retraite. Si je suis en retraite, il comptera avoir "mon" poste de TZR (je savais bien que pour que l'on me fasse tous ces ennuis, quelqu'un briguait mon poste de TZR!. Son proviseur le lui a fortement déconseillé. Et a dit qu'il ferait mieux de rester sur "son" poste."
En tous cas, il y a contradiction entre le fait de vouloir mettre Bêtie à la retraite et le fait de dire qu'il n'y a plus assez de TZR d'allemand...
3) Il paraittait que maintenant on cherche des noises à Bêtie
Elle aurait fait un stage en trois parties, certains on interprêté 3 ans de stage, or c'est faux! Ele a accompli son stage de CPR (ancêtre de l'IUFM) en trois parties en une seule année, deux trimestes en lycée et un trimestre en collège, et une double inspection en collège et en lycée par un inspecteur venant de Paris, "qui en donnait pas les CAPES pratique facilement". Mais il l'a donné à Bêtie qui a frôlé la mention, il aurait souhaité que comme elle jouait de la guitare, elle fasse chanter aux élèves de 3ème LEV1 "Glück auf, der Steiger kommt", qui était deux leçons avant celle qu'elle faisait dans "Die Deutschen IV". L'autre inspection était en première C LV1.
Pour défendre Bêtie
domino
08:07 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement
Entretien houleux (suite)
Roman-thâtre
Voir les deux notes précédentes, c'est leur suite.
Nous avons enfin retrouvé la deuxième contradition du discours de la chef du bureau des personneles enseignants.
Il s'agit du nombre décroissant des TZR dans l'académie et des nominations à l'année.
Son discours (à Bêtie): Vous dîtes que l'on a fait exprès de vous donner des SEGPA pour accéléerer votre départ en retraite, or, c'est faux, si on vous a mis sur ce poste, c'est que le nomber de TZR diminuant dans l'académie, nous n'avions plus assez de TZR pour les postes à l'année, donc on vous a prise aussi.
L'à, il y a trois contradictions, mais avant je veux préciser que ce n'était pas Bêtie qui avait été nommée sur ce poste à l'année, mais qu'apparmment elle remplacerait une personne qui habitait trop loin pour le prendre. Ceci d'après la collègue d'allemand de Bêtie.
Il y a trois ans, il y avait 90 TZR d'allemand dans l'académie! Pourquoi cette brusque diminution?
1ère contradiction : Si Bêtie avait pris sa retaite, comme la lettre qu'elle a reçu l'an dernier le précisait... elle n'aurait pu alors être nommée sur ce poste, alors y aurait-il eu une autre personne sur ce poste? S'il restait une autre personne, puisque dans ce cas, il aurait bien fallu la trouver, pourquoi avaoir donné ce remplacement à l'année, alors que Bêtie a opté en devenant TZR pour les remplacements de courte et moyenne durée?
2ème contradition : La chef de bureau des personnels dit qu'il y a une pénurie de TZR pour faire les remplacements de courte et moyenne durée et ceux à l'année, alors qui va remplacer les malades si on met les TZR sur les postes à l'année???? Pourquoi mettre Bêtie a la retraite, si on peut avoir besoin d'elle? Et la preuve en est qu'on a déjà appelé Bêtie pour faire des remplacements de moyenne durée, en même temps que le remplacement à l'année, ce qui relève principalement de l'impossible au point de vue horaires.
3ème contradition : Je ne la retrouve plus, mais les deux précdentes montrent déjà toute l'erreur et la bêtise de cette langue de bois.
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Bêtie a retenu encore pas mal de choses qui étaient contradictoires ou étaient des ereures, ceci sans prendre de notes et sans enregistrer.
Par exemple :
Bêtie : "Normalement, je ne devais pas être nommée en SEGPA, car c'est du primaire et je suis professeur de collège et de lycée."
La chef de bureau : Non, c'est dans les collèges, donc c'est du secondaire. Mon directeur de SEGPA me l'a expliqué, à la fin de la troisième SEGPA, ils doivent avoir le niveau CM2.
Sur les réglementations de SEGPA il est écrit : les enseignants responsables des classes de SEGPa sont des professeurs des écoles, titulaires du CAPA SH option F.
Pour Bêtie
domino
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Langue de bois...
Roman-théâtre
Résumé
Bêtie, donc, notre TZR d'allemand, personnage de notre roman qui prend de plus en plus d'importance, a été convoquée au rectorat, suite a des salissures (jets d'encre) faits dans sa classe. Bon, au rectorat, ils ont vu les photos faites par la police, la salle était terriblement dégradée : alors que actuellement, le sol a juste été nettoyé et ciré, les murs nettoyés mais pas repeints (on voit encore les traces de Patafix des anciennes affiches), et la classe brille comme un sou neuf. On ne peut donc pas parler de dégradations importantes. Quelques chaises ont eu des pieds tordus (mais ce n'est plus le cas actuellement), mais il s'agit des vielles chaises ressoudées (elles ont des traces d'ancienne soudures sous le dessous), les nouveles chaises n'ayant pas été abîmées. Une table avait perdu ses boulons, mais il s'agissait seulement de les revisser, et elle a été emmenée à l'atelier de la SEGPA où travaillent les élèves de la même classe pour être réparée. Donc, cela veut dire que toute était réparable à peu de frais, les élèves de SEGPA sachant réparer aussi les chaises eux-mêmes.
Bon, ceci dit, c'est pour camper le décor.
Bêtie a quité l'entretien en larmes, car ces personnes ne voulaient pas écouter son discours à elle, tout en parlant leur langue de bois à eux. Bêtie avait été, d'après ce qu'elle avait compris du principal pour expliquer ce qu'avait fait les élèves pour que les élèves soit santionnés, donc approter son témoignage, et c'est el contraire qui a été fait : si Bêtie ne prend pas sa retraite (explication dans la note précédente) elle sera santionnée. Tout en sachant qu'une sanction lui amènera sans doute moins de pertes financières qu'une mise à la retraite. (Voir les pertes financières sur la note précédente).
C'est pareil : si Bêtie était allée à la médecine du rectorat pour l'hitoire du paperboard, elle aurait eu des pertes financières plus importantes (paiement de congés maladie à mi-temps au bout d'un an) qu'en n'y allant pas et en ayant un blâme. (L'histoire du papreboard : constatant la disparition d'un paperboard, dasn le CDI dont elle s'occupait en servive de rattachement, elle a essayé d'appeler un ouvrier qui vernait de passer sa tête par la porte pour qu'il l'aide à le chercher et elle a été sanctionnée pour cela).
Bon, Bêtie a retrouvé la deuxième contradiction de leur discours (voir note précédente, la contradiction financière), mais elle l'a encore oubliée...
Pour défendre Bêtie
domino
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