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dimanche, 11 décembre 2016

Doofie et les Ovnis (2)

Roman-théâtre

Doofie vous avait déjà raconté comment en 2011 (Doofie et les OVNiS 1, doit dater de cette époque là  voir les archives), ou plutôt avait raconté à ses copines ce qu'elle avait vu dans la nuit du 4 au 5 septembre (ou du 3 au 4 septembre) 2011.

Mais elle ne vous a pas raconté ce qu'elle a vu il y a peut-être exactement cinq ans, en décembre de cette même année 2011, alors qu'elle se rendait en train à un stage PAF d'informatique pluridiscicplinaire. C'est d'ailleurs, ce qui l'avait incité elle et tDummie (mais pas Bêtie) à changer d'académie pour la fin de leur activité professionnelle.

C'est Dimanche, Dummie a invité Doofie au café du matin, mais Schnelly leur a servi du thé.

Qu'à cela ne tienne, Dummie amène la conversation sur un sujet épineux :

Dummie : Tu te souviens, Doofie, quand tu avait vu des OV... ?

Doofie : Chut, il ne faut pas prononcer le nom, mais j'en avais vu encore après...

Dummie : Ah oui? Tu es une spécialiste de la question...

Doofie : Euh! Ce n'est pas vraiment un souhait de ma part d'être ufologue...

Dummie : Oui, mais alors, raconte..

Doofie : C'était en décembre 2011, tu sais, en tant que TZR, j'avais été nommé pour l'année dans un collège avec des SEGPA,

Dummie : Oui, je m'en souviens...

Doofie : Mais je ne vais pas te parler de cela, je m'étais inscrite cette année-là à deux stages informatiques PAF de trois journées chacun.Il s'agissait de faire des sites Web.  Le premier stage avait lieu à environ 85 km de chez moi... Je devais prendre le train et changer de train à Athènes du Nord. Il y a une université juste avant Ahènes du Nord, avec un arrêt de train qui s'appelle Le Cerisier-Université. C'est après Tane o Oki, la Cité maori des Chênes.

Dummie : Ah Oui je connais !, Leur ville a un nom maori parce qu'ils ont un jumelage avec eux.

Doofie : Donc, on était déjà sorti de Grande Forêt qui est traversée par le train. On avait passé Tane O Oki et on traversait le pays de collines qui sépare Tani O Oki, la ville des chênes de la ville du Cerisier. Presque arrivés à la ville du Cerisier, la train s'est arrêté en pleine voie.

Dummie : Tu étais toute seule dedans, à cette heure matinale...?

Doofie  : Non, pas du tout, le train était plein de gens qui allaient au travail, comme je devais arriver à Ville de Justice avant 9 heures, j'ai dû prendre le train vers 6 heures 30, je ne m'en souviens plus exactement. Donc, il devait être 7 heures ou 7 heures 30 environ. Comme c'était la dernière semaine avant les vacances de Noël, c'était les jours les plus courts de l'année et il faisait encore nuit.

Dummie : Oui,les journées sont très courtes en ce moment.

Doofie : Pendant l'arrêt en pleine voix, j'ai senti quelque chose derrière la vitre à l'arrière de mon siège et me retournant sur la gauche, j'étais dans le sens de la marche à gauche près de la fenêtre, j'ai vu une grosse lumière rouge qui brillait juste à côté de moi, du rouge comme un feu rouge, très grosse environ la moitié de ma taille, elle était contre le train et elle s'est envolée vers les arbres. Quand le train a redémarré, j'ai encore vu cette lumière juste au dessus des arbres qui longent la voie.

Dummie : C'était rouge ou orangé? Il n'y a pas des éoliennes surmontées de feux clignotants dans ce soin là?

Doofie : Si, j'ai pensé aux éoliennes, mais les éoliennes sont beaucoup plus loin, on voit les feux clignotants de loin, pas aussi près... Le rouge était rouge comme celui d'un feu rouge...Mais plus lumineux.

Dummie : Les éoliennes sont surmontées de feux rouges clignotants la nuit, de jour, les feux sont blancs. Quand j(ai traversé l'Allemagne, en car, jusqu'à Berlin, on a vu que toutes les éoliennes qui sont légions au bord de l'autoroute ont des feux clignotants rouges la nuit.

Doofie Je ne sais pas, j'ai déjà vu les feux clignotants des éoliennes clignoter aussi en blanc la nuit. Toujours est-il que c'était plus proche que les éoliennes et ce que j'ai vu après, est encore mieux. A un endroit la vue se découvre, juste avant d'avoir une vue panoramique sur Athènes-du-Nord, où l'on voit jusqu'à la grosse centrale thermique au charbon qui est à l'horizon et a été remise en marche ces dernières-temps

Dummie : Ah, tu crois que les mines vont reprendre?

Doofie : Je ne sais pas... Toujours est-il que certaines centrales au charbon ont été démolies. Mais comme à ton habitude, tu n'arrêtes pas de m'interrompre. .. Un peu plus loin, le paysage se découvre, mais pas avant la grande vue qui est après Le Cerisier, mais avant Le Cerisier.. Il y a comme un petit hameau, quelques maisons en contrebas de la voie ferrée, au bord d'une route... j'ai regardé par la fenêtre sur ma gauche et j'ai vu quelque chose d'étrange..

Dummie" : Etrange? C'était sûrement une éolienne...

Doofie : Non, les éoliennes sont sur les collines et en plus, cette chose là volait...

Dummie : Ah! Mais quel était donc...  une chose...  aussi étrange?

Doofie : Un triangle volant..;

Dummie : Mais tu te moques du monde?

Doofie : Pas du tout... La chose volait au-dessus des maisons, en suivant la ligne des maisons, à environ 200 ou 300 mètres du train..

Dummie : Comme d'habitude...., elle était silencieuse...

Doofie : Comment veux-tu que je le sache...? Le train lui-même faisait du bruit... Bref, c'était un grand triangle, qui ne volait pas très vite, assez lentement, régulièrement, pas la pointe en avant, mais la pointe en arrière. La base du triangle avançait à l'opposé de la pointe et à l'opposé du train...

Dummie : Et comme sur les images que l'on voit sur les sites d'O...

Doofie (tremblante) : Chut! Ne dis pas le mot, tu vas les attirer... Donc ce triangle avançait dans le sens inverse du train, la large base, très large base vers l'avant et la pointe en arrière comme une queue d'avion, mais bien en triangle par rapport à l'avant. C'était en gros un triangle équilatéral ou à la rigueur isocèle, mais avec une base très large.

Dummie : On voit que tu as bien suivi tes cours d'arithmétique à l'école primaire...

Dummie : Tout comme toi, et pas seulement ceux-là.. Mais on faisait à l'école primaire, les triangles isocèles, les triangles rectangles, les triangles équilatéraux et les triangles quelconques, .. Les parallélépipèdes rectangles.. les polygones, hexagones et octogones et aussi les trapèzes... je ne sais pas s'ils font encore cela, mais on était bons dans le temps. 

Doofie : Oui, on avait à peu près sept ou huit ans... Mais on ne voyait pas d'O... - Chut à moi-même! - Pas dans la grande ville où j'étais.. La seule fois où l'on en a vu peut-être un, c'était sur la Côté d'Azur quand j'avais quatorze ans, mais les gens de là-bas en voyait plus que notre région, où l'on en voyait jamais. .. Bon, je continue... Ce triangle volait en sens inverse de sa base, en sans inverse du train, et il avait deux lumières rouges en-dessous ..

Dummie : Pas trois? Une à chaque coin?

Doofie : Non, cela ferait trois...Une lumière rouge en dessous de la queue, donc de la pointe arrière,  et une autre en-dessous du grand côté qui allait vers l'avant, juste au milieu. C'était deux grands feux comme des feux rouges qui étaient mats et n'éblouissaient pas et n'émettaient pas de lumière alentour. Plutôt comme les feux arrière d'une voiture. . Ils étaient aussi très grands.

Dummie : Mais comment tu voyais le triangle, s'il faisait noir..

Doofie : Le jour commençait à poindre, le ciel était bleu foncé un peu vert, pas noir. Après sur l'autre ligne de train, c'était la lune qui était bizarre, elle était immense et presque à l'horizon, mais je ne sais plus exactement pourquoi, je l'ai trouvé bizarre. J'étais assise sur la droite près de la fenêtre et la lune était vers l'avant, un peu sur le côté, elle n'a pas changé de place durant tout le voyage qui durait plus d'une demi-heure.

Dummie : Donc, ce jour-là, tu as vu un véritable O...

Doofie : Chut! Je ne sais pas si c'en était un, mais il en avait bien l'air, ce triangle volant.

Dummie : Tu ne l'as pas photographié...?

Doofie : Je n'avais plus de courant dans mon APN...

Dummie : Dommage... Filmer un OV... Pardon! Comme celui-loofieà... tu aurais pu faire des millions de vues sur ta chaîne de VotreTube Cathodique.

Doofie : Tu crois, ma viidéo d'O... Pardon ... de septembre 2011 n'a pas eu le succès escompté, et on ne les voit plus dessus, elles ont été effacées.

Dummie : Dommage, tu ne peux donc pas apporter la preuve de tes témoignages...

Doofie : Sauf, qu'en septembre, Schnelly les avait vues aussi, mais il a dit que c'était des ULM!

(Bon, Schnelly dit : )

Tiens, on parle de moi?

(Et il sert une deuxième fois le thé... au lieu du café...)

Cette didascalie conclura la scène d'aujourd'hui.

 

________________

Pour Doofie et Dummie

domino

 

 

 

 

 

mardi, 06 juillet 2010

L'univers si petit que cela...

Dummie a le QI d'Einstein (160), au moins, peut-être celui de Jeanne Savant, l'américaine au Q.I. de 220, en plus comme domino, la journaliste alternative, elle écrit des romans et il parait que les romanciers ont de très forts Q. I. Mais elle reste perplexe face à la photo de l'univers mise aujourd'hui en exergue sur un moteur de recherche, elle écrit dans son journal :

On nous donne une photo de l'univers. Moi qui aie toujours imaginé l'univers illimité, infini, je suis sidérée (c'est normal, c'est intersidéral!) de voir ce même univers sous la forme d'un bel ovale de style ballon de rugby.

Alors je pense que le camarade de conservatoire qui me racontait qu'on est peut-être à l'intérieur d'une cellulle d'un autre corps humain, avait peut-être raison. Notre univers qui est dit en expansion, serait une cellule de ce corps, et il y aurait à côté des tas d'autres cellules formant le même corps.

Bon, ma théorie, ce n'est pas cela. Ma théorie, celle que j'ai depuis toute petite et depuis que je sais penser, est que l'univers est infini, on peut en effet s'imaginer difficilement un endroit ou il y aurait le vide complet. Qu'autour de cet univers, il n'y aurait RIEN. Depuis toujours, penser à cela m'a donné le vertige.

Depuis toujours penser à l'infini me donne le vertige, sauf en maths, où c'était tout théorique.

Bon, déjà vers 12 ans et même avant, je me demandais, mais où finit l'univers? Et je me disais, il ne peut pas finir, il faut qu'il y ait toujours quelque chose.

Alors, quelqu'un m'a dit (c'est une chanson, bon, c'est pas du plagiat, je parle d'autre chose que dans la chanson "Quelqu'un m'a dit" qui parle d'autre chose que l'univers et l'infini, bon quelqu'un m'a dit qu'il y a plusieurs univers.

Plusieurs univers ou un univers? Et plusieurs univers englobés dans une entité plus grande, dans un encore plus grand univers.

Pouvez-vous imaginer une fin de l'espace quelque part. Peut-être qu'il y a plusieurs univers, mais dans un espace infini. L'espace infini contiendrait alors des milliers d'univers et d'ensemble d'univers...

Alors comme on a défini récemment l'univers comme quelque chose de fini, on ne peut plus appeler l'univers de mon enfance, l'espace infini comme étant l'univers. Appelons-le alors autrement : espace infini, espace sidéral... espace tout court. Comment appeler ce que jadis on appelait l'univers qu'on imaginait infini.

Il ne peut pas avoir de fin à un espace, même si le temps qui n'existe pas, est une mesure d'un mouvement dans un espace, celui de la rotation de la terre. Et de la rotation autour du soleil.

Mais l'espace, lui existe....  et l'infini ne peut-être fini, l'infini existe : alors cette image d'un univers fini et seul au milieu d'un immense espace vide, lui infini... icommensurable,  ne correspond qu'à l'élaboration par des esprits étriqués de limites à ce qui n'a pas de limites!

Comment d'ailleurs concevoir l'expansion d'un univers, dans un espace qui n'existerait pas? Si notre univers, disons notre univers, parce que dire l'univers, celui de tous, en pensant que dans cet espace vide il n'y aurait pas autre chose, est eronné, est en expansion il s'expande forcément dans quelque chose...  Si autour il n'y avait rien, il ne pourrait pas s'expander, car il buterait sur les limites du monde sidéral. Or, pour que l'univers puisse être en expansion, donc dépasser ses limites, il faut que ce qu'il y a autour accepte l'extension de ses limites. Et ne peut accpeter l'extension et le dépassement des limites que dans un espace, ou un vide existant.    

Dummie

Bon, voilà, c'était les élucubrations de Dummie. Moi, à sa place, je ne prendrais pas partie contre les savants qui regardent dans les téléscopes. Dummie n'est pas Galilée quoi, ni Kepler, elle n'est pas connue..

Dummie (regardant dans mon i-grimoire ce que j'ai écrit) : Mais, elle exagère, domino, c'est mon journal intime, c'est seulement pour moi, de quel droit commente-t-elle ce que j'écris pour moi seulement! Et puis sur l'article, ils viennent d'ajouter 'observable". Une photo de l'univers observable, cela veut simplement dire que l'univers a comme une ligne horizon, ronde comme celle de la terre. Pour déplacer la ligne d'horizon et observer autour de cette ligne, il faudrait se déplacer dans l'espace, ne serait-ce qu'un peu, comme l'horizon change lorsque nous nous déplaçons, même de quelques mètres, sur la terre.

domino                                                                          

 Lien : l'univers selon Internet.

dimanche, 21 janvier 2007

Sur mon méridien, peu de terres...

J'ai eu la curiosité d'aller voir sur Google Earth, ce qu'il y avait sur mon méridien, en remontant vers le Nord magnétique, en passant au pôle Nord et en redescendant en Antartique, difficile de s'y retrouver au Pôle Sud, où tous les méridiens se mêlent, 3° de longitude Est, voilà mon méridien, il faut le retenir. Qiand vous êtes de l'autre coté de la terre, le ° du méridien change et devient astronomique. 

Voici ce que j'ai rencontré sur mon méridien : beaucoup d'eau et de la glace.

Me voilà traversant la Belgique à vol d'oiseau, les noms français disparaissent , faisant rapidement place aux néerlandais, et voilà que je survole l'embouchure de trois fleuves, l'Escaut, la Meuse et le Rhin, après avoir survolé une ville où l'on cultive les tulipes, je me retrouve en haute mer, et alors là, pas moyen de toucher terre avant longtemps.

Je passe à l'Ouest de la Norvège, dont j'aperçois la partie la plus dodue de la côte à l'Est, si j'était en bâteau, je pourrais faire escale là-bas. Puis ô surprise, le Spitzberg (Svalbard) est juste au Nord d'ici. Attention, bientôt la boussole s'affole, c'est le pôle Nord, et voilà le Sud qui se met au Nord, ah ! Non! Je vais bien vers le Sud ! Et alors là, ô surprise, je passe en plein dans le détroit de Béring, pas moyen de toucher terre. J'ai fait deux fois la route pour m'en assurer. Si, si, sur le méridien opposé, de l'autre coté de la terre,, c'est le détroit de Béring, la Sibérie est à ma droite, puisque je vais vers le Sud et l'Alaska à ma gauche. Je peux quand même faire enfin escale, aux îles Aléoutiennes...  et ensuite, que d'eau, que d'eau, que d'eau, dans cet immense Océan Paciifique ! Quelques escales quand même : je peux redescendre sur quelques îles de l'archipel d'Hawaï, je passe pas loin des Tongas et de Samoa, puis plus rien, de l'eau, de l'eau, de l'eau, puis de la glace, voilà l'Antartique et le pôle Sud, là la boussole s'affole, j'ai du mal à retrouver le méridien 3°, et passé l'Antartique que d'eau, que d'eau, que d'eau. Voilà quand même quelques îles, mais je suis bien remontée fort au large de l'Afrique déjà, les îles de Sao Tomé, puis voilà la côte horizontale du Golfe de Guinée, Lagos, et la frontière du Bénin, ensuite je survole le Sahara, Alger,  et me voici dans la méditérannée. Encore des Iles, il y a eu si peu de terre sur ma route, et seulement quelques îles... les Baléares... et me revoici en France. Après avoir abordée celle-ci au cap d'Adge, me voici de nouveau chez moi, en quelques tours d'hélice. Voilà la grande forêt, la plus grande de la région, et oup! j'atteris à l'Est de celle-ci, 3ème méridien et quelques virgules....

La Belgique, les tulipes, de l'eau, des îles, de la glace, un bout d'Afrique équatoriale, un grand désert, encore de l'eau et des îles et de nouveau la France, voilà ce que j'ai trouvé sur l'un des méridiens les moins peuplés de la Terre.

Maintenant si je prends le parallèle, alors là, ce sera une autre histoire.... Je vous raconterai. 

domino 

mardi, 17 octobre 2006

Ch'est chez les Ch'tis que l'Chiel y tombe sul tiête !

Bon, alors ce scoop là, paru dans la presse locale était passé complètement inaperçu lorsque tombant sur un vieux numéro d'el "voix de ch'région" que j'ai trouvé une demi-explication pour un orage à un seul coup de tonnerre, que l'on avait eu un soir de septembre, à une époque où y'avot eu beaucoup d'orages.

Alors, là, j'dois vous dire que l'coup d'tonerre que j'ai entendu c'soir là, il a été entendu dans une bonne partie du Sud de la région, et jusque l'capitale del région qu'iest au Sud de l'nôtre dans un coin où on parle aussi l'Picard.

Et pi, ce que j'ai lu dans le journal (je vais essayer de parler le bon français, pour que le maître, il ne me tape pas sur les doigts avec sa règle), et puis, ce que j'ai lu dans le journal, c'est que près de "entre petite et moyenne ville du Nord" "où Elisabeth habitait avant, dans une ferme dans la campagne, ils l'ont entendu aussi le bruit. Et le pire c'est qu'ils ont vu aussi la lumière qui l'accompagnait.

Se dirigeant vers leur ferme et venant d'une autre endroit, lls ont vu une énorme boule de feu se diriger vers leur ferme. Elle venait tout doucement vers eux en traversant le ciel et s'est scindée en deux en frôlant leur maison.  Non, c'est pas une blague, d'autant plus qu'ayant eu très peur, ils ont appelé la gendarmerie.

Sur le journal on voit une photo des gendarmes inspectant avec des bâtons de fer, une espèce de neige filandreuse qui se transforme en un liquide transparent comme de l'eau quand on le touche avec un objet métallique : une matière venant d'un autre monde ?

Les gens de la ferme, eux, le mari et sa femme, en ont été quitte pour la peur de leur vie. Le phénomène aurait été observé en divers  points de la Sambre-Avesnois. Après le passage de cet objet volant, il y a eu une odeur de brûlé autour de leur maison, comme de souffre, et je me souviens un soir ici, mais je ne me souviens plus si c'était le même soir, avoir senti aussi par intermittence une odeur de brûlé près des prises de courant où je branche habituellement mon portable et le modem (pour le courant). Des prises anti-orage précisément. Et je me suis dit que cétait peut-être l'orage qui avait provoqué une surtension dans les prises qui provoquait cette odeur. Ces prises fonctionnent toujours, je veux dire qu'elles ne sont pas tombées en panne. Cependant, cette odeur n'était là que par intermittence comme si elle venait du dehors. J'ai demandé à mon époux qui descendait de l'étage où il était couché et où tout allait bien, s'il pouvait aller voir s'il ne se passait rien à la cave. La maison qui fait 49 m2 par étage est facilement supervisable.

Mais tout était normal.

En lisant cet article, j'ai repensé à ces petits évènements qui était ressortis de ma mémoire, et j'ai fait le rapprochement avec les évènement relatés par le journal.

Je me suis dit que la substance blanche qui se transformait en eau pouvait être de la neige congelée ou de la glace entourant un astéroïde. Et que si un astéroïde tombait entre la capitale de la mini-région, et ville-qui-a-donné-son-nom-à-un-fromage,  elle pourrait tomber dans l'un des trous gigantesques des deux carrières de pierre bleue, et que l'on ne s'en apercevrait même pas.

A moins que l'on cherche dans les forêts environnantes ou dans les patûres s'il n'y a pas quelque part un cratère. On pense toujours que les chutes de météroïtes, ça n'arrive qu'aux autres, et que souvent, cela n'arrive qu'en Sibérie ou dans les déserts des Montagnes Rocheuses.

C'est pourquoi, ici,  on ne veut pas entendre parler de météroïte et on dit que ce serait un avion qui aurait du lâcher du kérosène et dont le réacteur aurait aussi provoqué une flamme.

Bref, on essaie de donner une explication rationnelle pour que les gens ne s'affolent pas. Une météroïte, ça fait peur, mais si elle est tombée, elle ne tmbera qu'une fois, et que pendant des siècles il n'en retombera pas au même endroit, et vu la probabilité assez faible pour qu'une telle météroïte tombe ici, il n'en retombera plus d'aussi grosse de notre vivant.

Alors, qui croire ?

Entre la théorie de l'avion qui lâche du kérosène, du satellite humain qui retombe sur la terre à un endroit qui n'était pas prévu, d'un phénomène orageux, car il y avait beaucoup d'orage à cette époque, de l'astéroïde finissant sa course sur la terre en tombant d'une façon presque parallèle à la surface de la  terre, entre tout cela, c'est à vous de choisir.

 

domino

 

 

22:35 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : bizzarre, univers, météo