Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 22 juin 2012

Lol!

Bonjour,

Moi, journaliste alternative, très respectueuse de la langue française, même dans mes romans-théâtres, je vais enfin pouvoir utiliser certains mots sans rougir à l'idée qu'il ne figureraient pas dans le dictionnaire!

En effet, Lol! des mots haut et fortiens comme "rétrolien" et "permalien",  mots très peu perméables aux néophytes, sont enfin dans le dictionnaire! De même que celui de "cyberdépendance", dont je parlais dans cet i-grimoire, il y a dejà quelques années.

Alors, Lol! les cyberdépendants qui font force rétroliens et permaliens dans leurs blogs et commentaires, sont enfin reconnus!

Alors Lol! Vive les internautes (au fait, les mots internautes et génénautes sont-ils dans le dictionnaire)?

Lol! Lol! Lol!

Domino

 

mercredi, 21 juillet 2010

Deux mentions Bien

Doofie, mon personnage de roman-théâtre est assise sur son Transat, ou plutôt couchée, sur la terrasse de la piscine près de laquelle elle a atteri avec ses quatre copines et leurs maris et son mari Schnelly, bien entendu.

Au passage, elle est passé à l'aéroport de Charleroi, elle a regardé avec nostalgie la cabine de la petite pixie (bon, j'écris son nom en entier, peut-être que comme celà, son serveur sera réparé et qu'elle reviendra..) : Elles et ses copains et copines dautres blogs étaient absents, et sa cahutte de météorologue était vidé, vidé, désespérément vide. Le coeur de Doofie se serre au passage, ses amies Dummie, Sottie et Foolie regardent dans la même direction et leur coeur se serre aussi : la cahutte de la petite pixie est vide.

"Vous vous souvenez, dit Doofie, l'an dernier quand on lui a toutes fait la bise, et que j'ai posé ma main sur son épaule. Une star, la petite pixie, j'étais si heureuse de pouvoir la saluer!"

"Nous lui avons toutes fait la bise", précise Dummie.

Devant les hommes toujours pressés pressent le pas "Vite, vite, on va râter l'avion!"

"J'espère qu'elle sera là à notre retour de vacances", pense Doofie en restant encore un court instant devant la cahutte de météorologue toute vide, devant laquelle traîne un pluviomètre abandonné!

Bon, voilà, c'était sur le chemin. Non,non, l'avion n'est pas tombé, mes personnages de théâtre sont bien arrivés au bord de leur piscine. Là-bas, tout là-bas, entre les colinnes, on voit la mer qui scintille... Là où il y a la plage où Doofie est allée avec Dummie, ou Doofie l'année dernière, sans le savoir marchait vers l'Italie.

"Tiens", dit Dummie qui regarde aussi son ordinateur. Il paraît que  le dictateur italien enregistre un disque de crooner. Car il est au repos depuis l'attentat dont il a été victime en décembre 2010.

"Décembre 2010", répond Sottie, qui n'est pas aussi sotte qu'elle en a le prénom, "cela ne se peut pas! C'est un canular!"

"Un canular", dit Foolie, "pourquoi, ça se peut!"

"Mais non, grande sotte",dit gentiment Sottie, sans vexer sa copine car elles se connaissent bien, "décembre 2010! On n'y est pas encore!"

"Alors, c'est un voyant, le journaliste!" dit Foolie.

"Ou bien c'est une coquille', renchérit Dummie.

Bon, toujours est-il que Doofie les jambes repliées sur elle, à moitié couché dans son transat et emmitouflée comme toujours dans un gros sac de couchage recouvert de deux couvertures, les bras sortant par deux fentes aménagées sur les côtés du sac (procédé de fabrication breveté par domino, la  journaliste alternative!), ce qui lui permet de tapoter sur son ordinateur ou de jouer de la guitare sans quitter son sac de couchage, a son ordinateu portable sur les genoux.

"Youpi!" crie Doofie d'un seul coup, "J'ai 14,5"...

Doofie est soudain souriante, elle a enfin eu sa dernière note, celle d'une deuxième langue rare qu'elle a commencé à apprendre cette année.

"En quoi tu as 14,5?" demande Dummie.

"Dans la langue rare dont j'attendais les résultats pour m'inscrire en fac!"

"C'est quelle langue?" demande Foolie.

"Je ne peux pas le dire", dit Doofie"à cause des internautes qui lisent la pièce de théâtre dont nous sommes les personnages, dans le blog de domino!"

"Et pourquoi tu l'as eu aussi tard?" demande Sottie.

"Le professeur vient seulement de la mettre...Il a dû d'abord s'occuper de ceux qui partaient en séjour linguistique".

"Et toi, tu n'y vas pas?" demande Dummie.

"Et bien non, il y a Schnelly, et puis, je ne peux pas avoir de bourse des universités de là-bas, je suis trop vieille.. Et en plus, je n'aurai pas été ici avec vous..."

"C'est sûrement une langue germanique ou romane, telle que je te connais, Doofie..." dit Foolie.

"Non, pas du tout..."

"Alors, c'est quelle langue.."

"Je vous en révèle un bout, une langue slave... Mais j'en ai déjà trop dit... bon, et puis, j'ai réussi mon expérience d'apprentissage bilangue, j'ai un 14 et un 14,5. Deux mentions bien dans deux langues différentes des langues germaniques et romanes et pas de la même famille l'une et l'autre".

"Donc, les 6ème peuvent réussir... " s'enquérit Foolie.

"Oui, les sixièmes et les cinquièmes, parce que à l'université, on fait au moins deux années en une par rapport aux collège, avec seulement deux heures par semaine pour chaque langue."

"Et tu vas pouvoir interpréter au jumelage?"

"Pas encore, j'arrive à parler un peu, mais je ne peux pas encore faire l'interpète, j'en suis loin...Bon, et puis, j'ai un avantage sur les sixièmes, je suis linguiste, je connais déjà bien la grammaire, les cas, les fonctions, les déclinaisons. Va-t-en en sixième expliquer l'aspect des verbes..."

"Et ton autre langue rare, qu'elle est-elle?"

"Ce n'est pas une langue slave, ni germanique, ni romane..."

"Alors c'est le chinois, le japonais...?"

"Non, dit Doofie, trop compliqué, l'écriture, et puis je n'ai pas de jumelage avec ces pays-là... Mais c'est une langue agglutinante comme le japonais."

"Bon", essaient de deviner les autres,"Le quechua? Le guarani? Une langue amérindienne du groupe Na-Déné? L'arménien? Le géorgien?"

"Des langues que je rêve d'apprendre", dit Doofie "je rêve d'étudier à l'INALCO, mais Paris, c'est trop loin pour moi.. Sinon, j'aurai fait langue d' Europe de l'Est et langues de l'Eurasie" et quand je serai en retraite, je ferai "Langues scandinaves".  Et je voudrais faire aussi "Langues de Sibérie"... et aussi du géorgien, de l'arménien (je crois que c'est dans langues de l'EUrasie...), du persan, du turc, de l'hindi... j'ai déjà commencé quelques leçons toute seule... et langues baltiques, le Finnois, le Same (lapon)...

Dummie : "Paris, c'est encore plus loin maintenant que nous sommes ici.."

Sottie : "Oui, mais c'est pour les vacances seulement!"

Doofie : "Bon, et bien puisque vous y tenez tant, je ne donne que le grand groupe,  c'est une langue du groupe ouralo-altaïque.."

"Ouralo-altaïque!" s'exclament nos trois amies... "Wouh! Que ça fait rêver... Les montagnes de l'Oural... Les cavaliers des steppes d'Asie centrale qui traversent les montagnes en driection de l'Europe...,  et les montagnes de l'Altaï, les sommets blancs à plus de 7000 mètres..."

"C'est pas là qu'il y avait le pic du Communisme et le pic Lénine, dans l'Altaï?"

"Je crois qu'ils ont repris leur ancien nom", dit Doofie, "mais là où est la langue dont je parle, il y avait aussi le communisme. Ils se sont révoltés, puis ont ouvert les frontières beaucoup plus tard.

"Je crois que je devine..." dit Dummie.

"Tais-to"i, dit Doofie, "les internautes qui lisent notre histoire sur le blog de domino, ne doivent pas savoir..."

"Bon, ils ne vont plus vouloir lire nos aventures, si tu fais des cachotteries..."

"Non, je ne fais pas de cachotterie, c'est pour me protéger, moi et mes profs..."

Mais laissons-là nos amies tapoter sur leur ordinateur, Doofie emmitoufflée dans son sac de couchage recouvert de deux couvertures, les bras qui sortent par les deux fentes latérales prévues à cet effet (procédé breveté domino, la journaliste alternative!), et nos trois autres amies un peu rondelettes (pour Doofie, ça ne se voit pas), assise en dégustant leur jus d'orange. Doofie a à côté d'elle un verre d'eau citronnée pour soigner sa belle voix de chanteuse moitié lyrique, moitié folk.

Toute ressemblance avec la réalité est totalement fortuite.

domino

samedi, 06 mars 2010

Des nombres et des expressions...

Je trouve que régulièrement, on devrait faire le tour des expressions de la langue française qu'employaient régulièrement nos parents, mais qu'on n'emploie plus guère et que les jeunes ne connaissent plus guère que par la lecture ou grâce au capitaine Haddock pour la premère que je vais citer ici :

"Voir trente-six chandelles"

Avoir un étourdissement en se cognant (ça arrive souvent au capitaine Haddock, on le voit dans les bulles), ou en tombant sur la tête.

"Attendre cent-sept ans" ou "Attendre le dégel".

Ma mère employait souvent l'expression "Bon, je ne vais pas attendre 107 ans" et à l'école l'institutrice disait "Je ne vais quand même pas attendre le dégel", ce qui faisait rire quand on était en plein été! Cela signifiait que l'enfant n'allait pas assez vite et qu'on l'attendait, mais ça se disait aussi à des plus âgés.

Ma mère disait : "Regarde, elle est sur son trente et un!" Ou alors, demain, on va chez M. ou Mme UnTel, il faudra se mettre sur son trente et un!"

En fait 'se mettre sur son trente et un" signifie "Bien s'habiller, s'endimancher". En effet, à l'époque on portati des vêtements différents en semaine et le dimanche, ou pour "aller en visite",  encore une expression qu'on n'emploie plus guère. la plupart des jeunes disent "Faire une viste."

Dans mon enfance et mon adolescence et même encore quand j'étais étudiante, on faisait aussi, mais c'est dans un autre registre "la promenade du dimanche", tradition peut-être propre aux bords germanisés de la France (Alsace, et Nord)  car il paraît que la promenade du Dimanche qui existe an Allemange,et probablement aussi en Belgique et en Hollande, n'existe pas ailleurs. On faisait aussi la promenade du dimanche chez ma correspondante allemande.

La promenade du Dimanche consistait, à une époque où la motorisation commençait, à aller à la campagne en voiture, puis on s'arrêtait près d'un chemin et on marchait une ou deux heures avant de rentrer au bercail en voiture, histoire de s'oxygénér ("prendre un bol d'air")quand on vivait en ville. Ou bien, on allait à la mer, à 70 kilomètres. Quand j'étais toute petite, et que mon père n'avait pas encore de voiture, on allait au parc ou on allait le long du canal, jusqu'à la guinguette, avec mes grand-parents paternels, oncle, tante et cousin et là-bas, mes parents dansaient au son du musette pendant que nous jouions sur les petits manèges et balançoires.

domino

dimanche, 16 août 2009

Expressions de bonne intention

Certaines expressions ne sont plus très courantes actuellement, bien qu'elles l'étaient dans ma jeunesse, et les jeunes ne les emploient plus guère, c'est pourquoi il faut les expliquer.

 

Que veut dire l'expression "C'est un enfer pavé de bonnes intentions!"

 

En fait, il faut prendre en considération cette expression dans l'interaction entre deux ou plusieurs personnes.

Voilà une femme qui a un mari qui veut toujours l'aider, des quelques aides qu'il donnait pour son ménage, il finit par tout faire, le repas  qui est archi-mauvais, laver linge sans avoir aucune connaissance des différents tissus et sans savoir que ça peut déteindre, etc...

La femme en a marre de manger tous les jours des légumes cuits à l'eau, de retrouver ses pulls qu'elle voulait laver à la main avec un produit spécial pour la laine, tout feutrés, etc...

Pour elle, cette vie avec un mari plein de bonnes intentions est devenue un enfer. Elle a beau lui expliquer qu'il ne doit pas mélanger les matières dans le linge, ne pas repasser les matières synthétiques avec le fer à sa puissance maximum, varier les moyens de cuisson, par exemple cuire les légumes à la vapeur ou au four, il répond, oui, mais ça ne va pas assez vite de faire tout cela.

Elle a beau essayer de le devancer, de commencer à faire le repas avant lui, tout de suite, il arrive et dit je vais t'aider, prend les légumes que vous épluchez pour faire un gratin et les met dans une casserolle pleine d'eau,etc...

Même ailleurs, la femme porte un panier, tout de suite, il le lui enlève des mains pour le porter, il porte trois sacs et elle un, il va lui enlever le seul sac qu'elle porte pour le porter avec les trois autres sacs et les reposer tous les vingt mètres pour se reposer....

Bref, la vie de cette femme est devenue un enfer... pavé des bonnes intentions de son mari.

Dans le métier pareil, tiens je t'aiderai bien pour tes élèves dit le prof principal alors que jusqu'ici tout marchait pour le mieux. Il n'y as pas d'élève qui pose de problème? Non, vraiment, cherche bien.. Oh, il y aurait bien un tel qui ne travaille pas assez... Ah: Un tel, ah... je vais lui sonner les cloches. Un peu plus tard dans la salle des profs... Tiens... Mme truc a des ennuis avec Un Tel... Oui, son autorité.... Puis plus tard dans la classe, habituellement tranquille, la révolte gronde... Et, Madame, pourquoi vous avez fait punir Un Tel, jusqu'ici on vous aimait bien, on ne vous aime plus, on travaillera moins votre matière, etc...

Ici le prof principal en voulant être absolument utile, a détruit l'ambiance de classe dans une matière.

Et maintenant pour cette prof qui aimait cette classe, et était aimée de cette classe, l'entrée dans cette classe est devenu un enfer pavé des bonnes intentions du prof principal. Et elle a une appréhension avant chaque cours, qu'elle n'avait pas avant.

domino

mercredi, 05 novembre 2008

D'où viennent les Basques?

D'où viennent les Basques?

Et bien, j'ai ma petite théorie là-dessus.

En fait, ma théorie n'est pas nouvelle, c'est celle qui prévalait, il y a trente, quarante ans, puis on a dit que pour des raisons de vocabulaire, ce n'était pas possible, que le basque aurait des origines caucasiennes. Qu'on aurait trouvé une langue dans le caucase qui ressemblait au basque, etc.. :

D'après moi, ça se paut.

A un moment, j'ai pensé que peut-être les Basques viendraient d'Amérique, ce cerait des Columbus dans l'autre sens.

Mais je me disais quand même toujours qu'il y a des analogies assez frappante entre les grammaires hongroises et basques :

- le pluriel en -k.

- le carcatère de langue agglutinante (pour les néophites), langue dont les marquages se font à l'arrière du nom, pas seulement le singulier, le pluriel et la déclinaison, mais aussi la préposition se place après le nom, etc...

Mais c'est une réflexion que j'ai faite après avoir relu ce que nous appelons 'Les grandes invasions" et que d'autres peuples appellent, non pas des invasions mais des migrations de peuples, en allemand die Völkerwanderung, que j'ai vu ma théorie corroborée par l'histoire.

Pourquoi les peuples dit Barbares qui n'étaient pas plus Barbares que cela, les Wisigoths, les Francs, les Germains, ont-ils envahi le territoire gallo-romain, chassant les gaulois de leurs villas et de leurs maisons de ville, s'acquoquinant la plupart du temps avec les romains, les gaulois allant former des bandes dans les bois et les contrées sauvages?

Parce que ils n'étaient pas en train de faire la guerre, ils se sauvait tous simplement devant des envahisseurs bien plus sauvages, des vrais envahisseurs cette fois, lancés sur des chevaux vifs comme l'argent, les Huns.

Et bien avant la bataille des Champs Cataloniques, près de Chälons-en-Champagne, ex-Châlons-sur-Marne, il y eu d'autres batailles, celles qui opposèrent, barbares, gallo-romains d'une part et les Huns d'autres parts du côté de la Loire, car pour descendre vers le Sud-Ouest, les Huns étaient passés par l'Ouest de Paris.

Les Huns furent refoulés par les gallo-romains assistés des Barbares vers le Nord-Est et repartirent en rangs décimés, s'installer au bord du Danube, d'après les textes, dans un lieu que nous appelerons la Hongrie, les mots Huns et Hongris ayant d'ailelurs la même racine.

Cependant qu'on à voir les Basques avec tout cela? Parlait-on de la langue basque avant l'invasion (car cette fois-ci il s'agissait bien d'une invasion) des Huns?

Il ne semble pas, les premiers occupants de l'Espagne étaient comme pour tous l'Ouest maritime européen des Celtes : les Ibères. On dit aussi Celtes-Ibères.  Ceux-ci tous commes les Celtes d'Irlande, d'Ecosse, de l'Ouest de la Grande Bretagne, de Bretagne, ont laissé des traces dans des langues ibériques telles que le portugais, le galicien (Nord-Ouest de l'Espagne), et le catalan, en particulier la prononciation des an nasalisés que nous avons aussi en français et qui nous viennent du Celte gaulois, ce qui différencie le françasi, et le portugais, en tant que langues nationales,  de l'espagnol castillan et de l'italier, langues vraiment d'origine latine, qui n'ont pas de nasalisation.

Et où est le Basque là'dedans (qui soi dit en passant, tout comme le hongrois, a une prononciation très simple, sans nasalisation non plus)?

Et bien continuons à nous placer du côté de l'Histoire :

Après être descendu jusqu'en dessous de la Loire, les Huns, furent refoulés par les gallo-romains-barbares vers le Nord-Est.

Tous les Huns?

Peut-être pas...

Peut-être qu'une partie des Huns, une avant-garde, s'était déjà faufilée jusqu'aux montagnes Pyrénnées, se réfugiant et se mettant à l'abri des gallo-romano-barbares,  à l'Ouest de celle-ci et alentours. Il parait même qu'au Haut Moyen-Âge, et jusqu'à ce que l'Angleterre s'empara de l'Aquitaine, le peuple Basque étendant son domaine jusqu'à Bordeeux cers le Nord, puisque les Gascons, ne sont rien d'autres que des Basques francisés. Gascon et Basque ayant la même racine.

Les Huns partis vers la Hongrie, peu nombreux, car décimés par les batailles qui les avaient repoussés, se seraient assimilés alors aux populations environnantes, et une mélange de leur langue avec celles alentours au niveau du vocabulaire, aurait donné le hongrois.

Tandis que les Basques des montagnes isolés par rapport aux autres populations, non christianisés, et refusant de se christianiser dans un premeire temps, à la réputation sauvage, détroussant les pélerins de Compostelle qui passaient par leurs terres, ces populations réputées farouches et défendant jalousement leurs terres, ce ne serait rien d'autres que cette vague hunnique déferlant d'Est en Ouest sur l'Europe, dont une partie aurait atterri là, séparée su reste de son peuple.

Et alors les tombes discoïïdales, la langue basque, toutes les coutumes, jeux, danse, la musique si originale, tout cela ne serait que ce qui reste de la langue d'Attila, et des fraouches hordes de Huns qui avaient traversé l'Europe à la recherche de meilleurs terres.

Oh! Bien sûr, les linguistes qui ont opté pour l'idée de 'langue isolée" ou de "langue caucasienne", secoent la tête.

Pourquoi n'irait-on pas faire des recherches sur les parentés entre les langues asiatiques et des langues isolées d4sie Centrale, de Sibérie nordique et orientale?

Je pense que cette thèse d'un groupe de Huns qui détaché du reste de leur peuple aurait pénétré jusqu'aux Pyrénnées, est assez séduisante.

Bien sûr les Basques, qui entre temps, se sont christianisés, et ont acquis au fil des ans, le sens de l'hospitalité et ont beaucoup d'amabilté,  ont bien changé, et n'ont plus rien à voir avec ces peuplades sauvages, qui, parlant une langue incompréhensible, détroussaient les pélerins de Compostelle.

Je suis allés trois fois en vacances durant un mois au Pays-Basque une fois dans mon enfance, et deux fois dans ma jeunesse, et je dois dire que j'ai tout de suite trouvé la langue basque mélodieuse. Et que dès l'êge de 11 ans, j'ai admiré leur coutumes et surtout leurs danses et leur musique.

domino

 

 

 

Les guaranis d'origine africaine ?

Vous avez tous remarqué que le 44ème président des Etats Unis se prénomme Barack.

Son nom est d'origine africaine.

Beaucoup d'africains se prénomme Barack ou Barek ou M'Barek.

M'Barack est aussi un mot guarani (langue des indiens d'Amérique dans le Sud de l'Amazonie, région commune au Sud du Brésil, au Paraguay et au Nord-Est de l'Argentine (région des chutes d'Iguazu dans la province de Missiones). Voir aussi le film La Mission sur les missions jésuites au Brésil et dans le Nord de l'Argentine. Un film qui se déroule au pays guarani.

Je connaissais un musicien argentin, d'origine guarani par son père, européenne par sa mère, qui a écrit deux concertos, comme il connait le français, il y des chances qu'il y ait de l'humour là-dedans : ses deux concertos se nomment M'Barack" et M'Barackapu. Je ne sais d'ailleurs pas ce que cela signifie en guarani, mais ce que je voulais souligner ici, c'est l'analogie entre la langue guarani et les langues d'Afrique équatoriale et orientale.

C'est un peu comme sur ce que je pense du Basque... Une partie des français serait d'origine asiatique, mais je laisse cela pour une autre note.

domino