vendredi, 31 décembre 2010
A capella (3)
Est-ce que domino, notre auteure et généitrice, l'auteur de note vie de personnages de roman théâtre, ne vous a jamais dit, qu'ici elle était accompagnée par ses sympathiques hétoïnes de roman, Doofie, Dummie, Sottie, Follie, Blödie et Dommie???
Coolie, la néo-titulaire du roman-théâtre.
Lien : Wenn alle Brünnlein fließen (folklore allemand). Cliquer pour le podcast sur le lien à l'intérieur.
Pour Coolie, domino, toute ressemblance avec la réalité..;
01:55 Publié dans La musique de mon i-grimoire, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique, a capella, choeur, folk, folklore, allemand
dimanche, 08 août 2010
Les français qui prononcent l'allemand se ridiculisent...
Bon, lorsque vous n'étes pas germaniste et que vous prononcez des noms propres en allemand, savez-vous que vous vous ridiculisez face aux germanistes? Je parle en particulier des journalistes de radio et de télévision.
Par exemple aujoud'hui, parlant des inondations en Allemagne, une journaliste a prononcé la Nice, en prononçant Nice comme la ville de Nice, alors qu'il s'agissait de notre célébirssime Neisse, membre affluant de notre célèbre ligne de démaracation de la fin de la guerre "la ligne Oder-Neisse", et qui se prononce comme Nice dans Very Nice en anglais, avec un -e au bout en plus...
Et quand on entend dire Odaire à la place de Oder qui se prononce comme une odeur avec le -r atténué et même le -er transformé en presque -a, en fait entre e et a.
Il s'agit des inondations de la Neisse (et ne prononcez pas non plus comme le Loch Ness, mais comme dans Nice dans "The Loch Ness is Very Nice!" et cela ne se dit pas Nessie non plus!), à Görlitz, pays à l'extrême Sud-Est de la Saxe, petit pays où l'on parle la langue slave appelée le sorabe.
Peut-être que les inondations des pays de l'Est et l'humidité vont empêcher le feu de Russie de progresser jusque là. Moscou serait actuellement enfumé et on ne voit plus le Kremlin qui disparait dans le smog, et à Helsinki la pollution serait 10 fois plus forte que d'habitude.
Alors, dépéchez-vous d'amener des bloc de glace vers Moscou et à la frontière finlandaise pour stopper le feu. On pourrait utiliser le morceau de la banquise qui vient de se détacher et qui est trois fois comme Paris au Groenland (morceau de glacier qui s'est détaché du continent Groenlandais et qui flotte dans la mer..) Gare aux bateaux, et au Titanic... Si le bloc de glace vient vers l'EUrope il n'y a qu'à le laisser venir, on l'installera à l'Est d'Helsinki pour le protéger des feux de forêts (ou de St Petersbourg).
Actuellement, ici, il n'est pas encore 17 heures, et même s'il ne pleut pas, il fait très sombre. Coincée entre notre volcan islandais (crache-t-il encore celui-là?) et les feux russes, décidément notre pauvre Europe a bien le ciel gris...
Bon, que dois-je dire encore, ah! Oui! Je reviens à mon titre....
Doofie, mon personnage de roman-théâtre a écrit dans son journal que :
Un prof des universités nous a dit qu'en tant que germaniste même quand on parle et qu'on écrit le français, à propos de l'Allemagne, il ne fallait plus drie Ratisbonne, mais Regensbrug, Brunswick, mais Braunschweig (en fait c'était moi qui avait écrit Brusnwick et Ratisbonne dans un devoir de Master 2 rédigé en français et j'ai dû changer les noms de ville que j'avais donné en français dans la première version en allemand dans la seconde version complémentaire. J'ai donc dû écrire Braunschweig à la place de Brunswick.
Moi, je lui ai répondu en disant qu'en histoire rédigée en français, on dit bien la Diète de Ratisbonne et pas la Diète de Regensburg, mais il m'a intérrompu. Je suis bonen en version et les profeseurs de version m'écoutent d'avantage.
Pourtant, on dit bien en français Cologne et pas Köln, Hannovre et pas Hanoover, Francfort et pas Frankfurt, Munich et le Bayern de Munich et pas München et le Bayern de München, la kermesse de la bière à Munich et pas à München. Alors pourquoi faire autrement pour Brunswick et Ratisbonne... ?
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Bon... chers amis, après avoir relevé ces quelques inepties de personnes haut-placées dans le domaine universitaire et qu'on a pas le droit de contredire, je vous quitte momentanément..
domino
17:05 Publié dans Dummie et Cie à l'université, Les langues vivantes des i-grimoiriens, Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : germaniste, allemand, neisse, oder-neisse, allemagne, finlande, russie, islande, pollution atmosphérique, villes allemandes, braunschweig, brunswicke, ratisboenne
samedi, 14 novembre 2009
Particule non souhaitée...
Doofie écrit dans son journal :
Chère Fanny,
- Ce soir, je me suis endormie dans le bus, au moins sur 15 km, je n'ai dû percevoir du trajet que les 15 premiers kilomètres. Comme il faisait déjà nuit, le chauffeur avait éteint les lumières intérieures et toute seule dans le bus ou presque, j'ai dormi du sommeil de la juste, effaçant à moitié le souvenir des bêtises collégiennes. Quand je me suis réveillée, j'étais sur la place de la gare, mais le bus ayant déjà effectué son demi-tour et étant en train de charger les pasager qui vont dans l'autre sens, je ne reconnaissais même pas l'enndroit en ouvrant les yeux, que j'ai dû écarquiller très fort pour regarder dans le bon sens et voir la gare... Un peut plus, je retournais au point de départ, puis au dépôt et j'aurais passé la nuit là-bas!
- Les sixièmes ne connaissent pas les pays d'Europe. Une élève observant la carte de l'Allemagne, a demandé (question et auto-réponse très jste) : Polen, c'est la Pologne?
- Oui!
- Mais ça colle à l'Allemagne?
- Oui!
- Ah! C'est drôle, j'imaginais cela plus loin!
.................
Là, c'est un pays où l'on parle aussi allemand : Österreich... Comment s'appelle-t-il en français?
Euh...
Voyons, un nom qui ressemble au point de vue sonorité.
Österreich, Österreich, Madame.... Si, c'est l'Australie!
L'Australie, en Europe?
Ben oui, Madame!
Je sais bien qu'en Australie, il y a des autruches, et que autruche çà ressemble à Autriche, mais quand même.... Non, ce n'est pas l'Australie, c'est l'Autriche!
Ah oui, Madame!
.....................
Là où je ne suis pas contente, c'est lorsque la fille de mon ancien collègue agrégé d'allemand, prend des cours supplémentaires avec son père qui lui parle de particule séparable, quand je parle de préverbe! Nos profs de fac répétant à qui veut bien l'entendre, que maintenant, on réserve le nom de particule aux particules illocutoires.
....................
Et toujours à propos de l'Europe :
Mais, vous ne connaissez pas du tout les pays d'Europe? dis-je à mes plus jeunes, âgés de 10 à 12 ans.
Non, Madame, moi, je sais seulement ceux qui sont autour de la France, mais plus loin, je ne connais pas.
Cela me rappelle une conversation avec la mère d'une fille de 12 ans qui était venue en France passer un concours de guitare. Elles vivaient depuis plusieurs années au Texas, et nous disait que là-bas, pour les ados de 12 ans, et même pour les adultes, la France était quantité négligeable. La plupart des Américains ne savaient même pas où était l'Europe (Peut-être qu'Internet a changé les choses depuis!). Et bien, maintenant, nous arrivons à la même acculturation géographique en France!
J'en ferai référence au professeur de géographie!
__________
Bon, et puis, j'ai fait une chute énorme, juste devant les parents, venus consulter les profs de leurs chérubins.
J'ai râté la dernière marche du bas de l'escalier, en fait, je croyais être arrivée en bas, et il restait dans une marche. J'ai avancé mon pied dans le vide... j'ai pris appui dessus.... dans le vide... et avancé le deuxième... dans le vide... et boum, vlan, sur les deux genoux.... Ouh! J'ai eu mal, j'ai eu paur,mais je n'avais plus mal le lendemain. Maintenant tout le monde, quand il me rencontre, me demande : "ça va mieux?". Je sens que plus tard, de mon remplacement, dans la mémoire du collège, il ne restera que cette chute mémorable...
Dans les collèges, il faut toujours aller chercher les élèves après les récréations. Alors, maintenant, je descends en ascenseur (il paraît que parfois, il se coince!), et je prends le rang à rebrousse-poil, car j'arrive derrière les élèves, mais parfois j'oublie encore de descendre en ascenseur. Et je me retrouve au-dessus de cette marche fatidique...
Bon, le vendredi après-midi, il faut aller les chercher à 13 heures, 14 heures et 16 heures..... Que de va-et-vient, il faut toujours s'interrompre, dans l'installation de mes cahiers et de la cassette, pour aller chercher les élèves deux étages plus bas. Pourtant aux intercours, ils savent venir tous seuls... Même des classes qui donnent dans la cour.... Quand on a été longtemps en lycée, on trouve cette coutume presque inutile.
Doofie
00:28 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : allemand, enseignement, doofie, journal de doofie, roman-théâtre
dimanche, 25 octobre 2009
Premier jour de vacances
Du journal de Doofie :
(Rappel : Doofie est un personnage de théâtre et toute ressemblance avec la réalité... est totalement fortuite).
Chère Fanny,
Aujourd'hui, premier jour de vacances, j'ai *farnienté un petit peu, j'ai enfin inauguré l'Ukulélé que Schnelly m'avait offert pour mon Noël de l'année dernière, et au bout d'une heure, je joue déjà bien. Mes mélodies sont un peu hésitantes, parce que ce n'est pas le même accord que la guitare, mais les accords sur 4 cordes seulement, rentrent comme dans du beurre.
Mon pouce droit est cependant dans un sparadrap, j'ai recoupé l'ongle très court un peu en arrière de la ligne habituelle, car à cause d'une espèce d'infection atrapée en jardinant cet été, il s'est décollé à l'avant. Vous savez que l'ongle du pouce droit est hyper précieux pour les guitaristes classiques. Entre temps, je m'étais blessée au pouce gauche la semaine dernière, un ongle qui a cassé trop court, mais l'ongle a repoussé normalement. Quand au pouce droit, il ne fait plus mal, toute la partie infectée (qui n'est plus enflammée et ne fait plus mal) est devenue blanche, alors j'ai coupé tout le blanc sans avoir mal, et j'ai enlevé un tas de peaux mortes entre l'ongle et la peau. Il paraît que c'est du psoriasis. J'espère que l'ongle va repousser normalement, maintenant que j'ai réussi à tout désinfecter.
Bon, ceci dit, j'ai fait mes premières gammes et mes premiers accord d'ukulélé et ma troisième ou quatrième leçon d'harmonica (en auto-didacte, bien sûr!) et je joue Frère Jacques sur 4 octaves différentes.
Bon, ceci dit c'était le premier jour des vacances, parce qu'hier j'ai fait cours à mes grands de 60 ans de moyenne d'âge. Pendant 6 heures en quatre groupes. C'est du bénévolat pour les jumelages et la bonne entente franco-allemande. Ils font des progrès.
Sinon, j'ai 19 heures au collège. Voilà 15 jours que le remplacement est commencé. Je vais en train (4 km jusqu'à la gare), 15 km de train, et en bus (21 km de bus par temps normal, une trentaine grâce à une déviation routière, le bus roule à fond la caisse sur les chemins de traverse pour respecter les horaires malgré la déviation, et arrive plus à 8 h 30 qu'àux 8 h 20 prévues. C'est plein de virages sur des petites routes entre les villages, pendant 10 kilomètres il n'y a que 2 autres profs du collège qui descendent à la même gare que moi (donc, je ne suis pas la seule à faire ce trajet), et parfois quelques passagers, au bout de 10 km commencent le ramassage. Un petit élève transi de froid monte, puis à l'arrêt suivant, il y en a une vingtaine, puis encore une dizaine au village suivant, et le bus est presque plein au bout de quelques arrêts.
En ce moment à l'aller on a le droit au lever du soleil, parfois aussi aux gelées blanches. Quand le ciel est bleu, c'est joli. Le paysage est vallonné, vert clair, sorti de haies et de rangées d'arbre vert foncé, quelques croupes boisées ferment l'horizon, du bus on voit très loin, parce qu'on est asses haut. Vers le Sud-Est on voit parfois une ligne bleutée de montagnes lointaines, mais je ne sais pas si on peut voir à 300 km!
En revenant, on va direct vers l'Ouest, la lune est à ses premiers quartiers (la p.... p..... du blog de domino, celle que j'ai saluée au retour de vacances sur l'aéroport de Charleroi, instant sublime que la rencontre de la p.... p.... en chair et en os, en dit autant!), On voit que l'on descend progressivement d'une sorte de pénéplaine élevée, car l'Ouest semble renversé vers le bas, tout rouge par beau temps et au loin des nuages bleus forment des montagnes aux pics acérés. Parfois on se demande si ce ne sont pas des vraies montagnes, mais dans cette direction (l'Amérique, la prochaine haute montagne est de l'autre côté de l'océan, et c'est le Canada, à moins que ce ne soient les Pyrénnées à 1000 km? Les anciens disaient que des Alpes on voyait l'Amérique.) Ce qui est drôle, c'est que de jour en jour, les pics montagneux impossibles, sont au même endroit et ont toujours la même forme.
Bon, on va direct vers l'Ouest, au retour, quand j'ai râté le premier bus et que une fois sur deux je m'endors...
Ceci dit, les élèves font des progrès, ils me paraissent maintenant savoir plus de chose qu'il y a 15 jours. Leuir prononciation et leur accentuation s'est nettement améliorée, et ils commencent à savoir plus de choses et à parler. Dans certaines classes, j'ai même commencé le manuel. Délaissé par celle qui a fait cours au début de l'année. Il y a vraisemblablement des redoublants en troisième LV2. Les troisièmes LV1 sont repassé un peu au dessus des LV2, ce qui est normal. Les 6ème sont égals à eux-mêmes mais certaines se croient encore à apprendre les comptines de primaire, qu'elles me ressassent sans cesse. Et me rabattent les oreilles de 'Ah oui,Madame, à l'école primaire on avait déjà vu ce mot là dans.... et vlan vlà la comptine récitée..." Ou me montrent la feuille des mots transparents qu'ils ont eu au début d'année, et me disant "Madame, on va réviser cette feuille-là?" Ah non, il faut avancer quand même, on ne va pas toujours faire la même chose." LEs 4 LV2 apprennent moins vite que les 6ème. Les 4 LV1 sont très faibles, mais avancent à petits pas. Les 5ème sont devenus bons d'un seul coup. Je crois que finalement, ces élèves sont intelligents et qu'on peut en faire quelque chose. Théoriquement, je suis encore là jusqu'au 10 novembre, ou peut-être plus tard, car on a renouvellé ma première semaine, en ajoutant trois semaines, puisque j'avais eu au départ un remplacement juqu'au 19 octobre. Des élèves m'ont dit que leur prof (celle dont j'ai hérité du casier et pas celle qui figure à la suite de "en remplacement de..." sur mes papiers) reviendraient à la rentrée, le 5... alors il faudrait savoir, mais ce n'est qu'un bruit et la principale ne m'a rien dit, donc je suppose que mon remplacement continue au moins jusqu'au 10. Comme je remplace la remplaçante de la prof... La remplaçante 1 a un congé jusqu'au 10 novembre. Il faudrait que les deux malades s'accordent sur la même date pour la fin de leurs congés respectifs, pour que je puisse faire mon remplacement jusqu'au bout. Sinin, on risque de se retrouver à deux dans la classe. Finalement, ce ne serait peut-être pas plus mal. A moins que les divergences pédagogiques soient trop grandes.
Imaginez un peu que j'arrive avec des cours super-préparés le 5 novembre, et qu'on me dise : "Ah non, votre collègue est revenue, vous pouvez rentrer chez vous!" Ce serait une drôle de farce d'avoir préparé les cours et de se retrouver bec dans l'huile.
Bon, enfin, bref.... ainsi va la vie....
Merci de me lire, Fanny. Gros bisous.
Doofie
(pour Doofie, personnage de roman-théâtre, Domino)...
20:52 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : doofie, vacances, remplacement, tzr, enseignement, école, allemand
mardi, 13 octobre 2009
Vive les sixièmes... (Histoire de Doofie)
Du journal de Doofie (Toute ressemblance avec la réalité est totalement fortuite...)
Chère Fanny,
Ce soir ça va mieux. La première journée est derrière moi.
En fait, je n'ai pas pu utiliser dans les 5 classes sur 6 que j'ai eu aujourd'hui, le cours que j'avais préparé! Mais j'ai dû improviser. En effet, les élèves savent si peu de choses que je n'ai même pas utilisé les manuels, et j'en ai été bonne pour par exemple en 3ème LV1, leur apprendre les différentes façons de dire bonjour, selon les moments de la journée, car ils ne le savaient même pas.
On utilisera le manuel plus tard!
Au fur et à mesure que la journée passait, au meilleur était mes élèves, car entre la 3 LV1, la 4 LV1 et la 6ème vus le matin, le niveau montait proportionellement à l'âge qui diminuait. Les meilleurs étant inconstestablement les 6ème!
Rien que pour écrire la date, dans certaines classes, s'ils connaissent le nom des jours où ils ont cours et uniquement ceux-là.... j'ai dû faire éviser, les jours, les mois et les chiffres.
Une autre constatation : Les 3 LV2 (langue vivante 2) sont meilleurs que les 3 LV1, au point que je me suis demandée un moment, si dans l'emploi du temps, je n'avais pas lu LV2 à la place de LV1 et vice-versa!
En 4ème LV1, ils n'ont apparemment jamasi entendu parler de cas, de déclinaison, de fonction des mots dans la phrase, c'est tout juste si j'ai entendu deux élèves répondre qu'ils connaissaient le nominatif, et un qui connaisait le complément de lieu.
Je leur ai dit qu'ils allaient devoir beaucoup travailler et qu'il y avait du pain sur la planche!
Les élèves se demandent si la prof que je supposais remplacer va revenir un jour et me disent qu'elle ne reviendra pas, mais en signant mon affectation, je me suis rendue compte que je remplaçais quelqu'un d'autre qui est malade et qui serait déjà la remplaçante C'est une agrégée hors-classe, maître de stage et qui fait les cours de CAPES (épreuve professionnelle ou pédagogie) à l'IUFM, mais je n'ai pas du tout vu de cahiers de texte d'elle, si bien que je ne sais même pas, ce qu'elle a fait en septembre, si elle vient seulement de tomber malade. La principale, elle, m'avait dit que la prof absente (dont j'ai hérité du casier en salle des profs), n'était pas là depuis mi-septembre et maintenant je m'aperçois que sur ma nomination en suppléance, il n'y a pas mention de cette collègue là, mais de l'autre, celle qui travaille à l'IUFM.
Dans le bus au retour, je me suis endormie, mais je n'étais pas la seule. Un autre prof du même collège prenait le même bus de ramassage scolaire. s'est endormi aussi, si bien que sur les derniers kilomètes du parcours, alors que les élèves étaient descendus dans le dernier village, le chaufferur transpotaient deux profs endormis! Mon collègue attend que le dernier élève soir descendu pour s'endormir, mais moi, je n'ai pas attendu. Je me suis endormie dès les premier kilomètres, et d'un seul coup, je me suis réveillée un peu avant ville de gare. En sursaut! Mais il n'y avait plus d'élèves autour de moi, ils étaient tous descendus dans leurs villages.
Dans le bus les conversations des élèves font parfois France Profonde, le même que les exemples donnés par les élèves en français pour trouver les fonctions, la chasse, les cerisiers, les pommiers, les pruniers... ce sont des élèves qui ont l'habitude de courir dans les patûres et dans les bois et ont parfois de la peine à tenir immobile sur leur chaise! Même en travaillant, ça gigotte sec! ça tourne les stylos dans tous les sens, il faut les faire enlever de la bouche, éviter que les stylos ne tombent entre deux tables, etc... Enseigner dans un collège rural est parfois plus difficile que d'enseigner en ville!
En plus il y a le sacro-saint distributeur de solution hydro-alcoolique, que les élèves doivent employer après chaque toux, chaque éternuement ou après s'être mouché, si bien que les déplacements en cours sont autorisés quand ils concernent la sacro-saite solution! Et on se demande si l'alcool ne pénètre pas dans leur peau...
Bon, alors, vive les sixième, car chez eux, l'allemand rentre tout seul dans leur tête!
Grosses bises, ma petite Fanny.
Doofie
Pour Doofie, personnage de théâtre, domino
22:27 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, allemand, doofie, remplacement
dimanche, 13 septembre 2009
Les études de Doofie... (2)
Doofie écrit :
Voilà, dans les récit de mes études j'en était presque arrivée à la fin de mon redoublement de première année.
En fait, j'ai fait traduction et toute la grammaire allemande comme en première année. Comme à cette époque là on ne donnait pas les notes quand on avait réussi, tout ce que je sais c'est que j'ai eu mention Assez Bien à mes "UV bloquées d'allemand" (cela veut drie que l'on comptait toutes les UV (unités de valeur, appelées de nos jours UE ou unité d'études), et Bien à mon UV de néerlandais débutant.
Lors de cette première année de néerlandais, j'ai étudié un livre dédié aux "Avontuuren van Laarmand, kaasvertegenwoordiger". c'était une méthode pour débutants Lors de ma première première année, j'avais eu un peu d'anglais en fin d'année, de la version. Sinon, on pouvait suivre les cours avec les spécialistes si on voulait, mais ils avaient cours en même temps que nous et étaient 1500 dans l'amphi, nous en allemand on était que 400 (Ce qui est beaucoup par rapport à aujourd'hui où dans la même université il y a rarement plus de 30 germanistes en première année!).
Pour les TD, on était répartis en 10 groupes... On faisait un test en début d'année pour nous mettre en groupes de niveau d'environ 40 personnes, mais en général au bout d'un ou deux mois, on était plus qu'une vingtaine par groupes car beaucoup abandonnnaient en cours d'année.
Lors de ma première première année, j'ai été mise dans le groupe 5. Donc, celui du milieu, les bilingues étant dans les groupes 1 ou 2. Schnelly est arrivé lors de ma deuxième première année, il avait eu le bac en même temps que moi, mais sans mention, et dans un lycée français d'Allemagne, mais son bac est d'une académie française. Là-bas, bien que de père français, il était dans la classe des germanophones. C'est vrai que au début de notre mariage qui a eu lieu 5 années plus tard, Schnelly rêvait tout haut la nuit en dialecte sarrois.
Lors de ma deuxième deuxième année, malgré mes progrès en première année, j'étais toujours dans le groupe 5 et Schnelly dans le groupe 1. Nous nous sommes rencontrés dans un couloir de la vieille fac où j'avais décidé de faire l'option néerlandais. La suite, çà ne vous regarde pas, mais il était pour moi exotique. Il avait un accent pas de chez nous et faisait des germanismes en parlant et en plus à cette époque là, il était extrêmement mignon (et moi aussi j'étais pas mal, mince, sportive et j'avais un beau petit minois avec des yeux marrons qui flamboyaient ou pétillaient). On était les amoureux de la fac, mais on travaillait beaucoup. quand vous verrez tout ce que j'ai lu en deuxième année, vous comprendrez.
Schnelly ramenait beaucoup de livres d'Allemagne, qui concernait notre programme. Moi, je continuais à aller chez ma corriespondante pendant quinze jours à 3 semaines par an, mais ces séjours étaient très profitbles, car, dans la mesure où j'étais allée pour la première fois en Allemagne en Terminale (ma correspondante était venue pendant les grandes vacances précédentes et elle a fait des études de Germanistik et Romanistik française).
Qu'avait fait Schnelly pendant que je faisais ma première première année d'allemand? Il avait fait un an de droit français à Sarrebrück et avait réussi sa première année de droit; il avait voulu être médecin mais avait râté le bac D (sciences ex) en 1967, donc, il n'avait pas chopé le bon bac, car il a redoublé en Terminale A (littéraire), et eu son bac de justesse, enfin avec 11 de moyenne quand même. Quant à moi, j'avais eu deux points de plus de moyenne avec 3 ans et demi d'âge en moins!
Bon, j'ai encore dit du mal de Schnelly se dit Doofy, mais ceci est mon journal et personne ne le lit.
(Enfin, Doofie, tu sais bien que si tu écris sur mon blog, beaucoup de monde va le lire, soupire domino, votre serviteur).
Bon, bref, en première année, il m'expliquait Wohin treibt die Bundesrepublik et Karl Jaspers. ça parlait des Notstandgesetze (les lois d'exception).
Comme il avait fait du droit constitutionnel et du droit international, c'était un féru de droit et je me tapais toutes les constitutions en allemand (celle du Bund et celles des Länder) , ce qui complétait ma formation en ce qui concerne la partie de programme de civilisation entre 1945 et 1968 (on était en 1969-70).
Schnelly avait changé d'orientation parce que son deuxième choix d'orientation avait été "Juge pour Enfants", mais quand il avait vu ce que recouvrait ce métier, il avait changé d'idée et comme il avait besoin de quelque chose rapidement, parce que ses parents ne pouvaient pas lui payer de grandes études, il a donc décidé de partire dans l'enseignement, et des études d'allemand en France, c'était ce qui pouvait le faire le plus vite entrer dans la vie professionnelle. Il avait une bourse de 300 francs par mois (environ 50 Euros) et avait du mal à joindre les deux bouts et il travaillait pendant les grandes vacances pour avoir un peu plus d'argent durant l'année universitaire. Je me souviens lui avoir payé un savon avec mon dimanche qui était de 3 francs par semaine et qu'il était fauché et n'avait plus de savon pour se laver!
On n'a pas passé l'IPES ni l'un ni l'autre, parce que finalement, ça nous aurait obligé à être profs et on aurait pu aussi être interprêtes. On avait beaucoup de copains et copines en seconde année qui avait 1000 francs par mois, grâce à leur IPES et dont ces années comptent dans leur ancienneté, ce qui n'est pas le cas pour nous.
Mais je complétais cette bafouille sur la deuxième première année pour cela : parmi les oeuvres lues je me souviens aussi de Tonio Kröger d(pendant la première, première année) de Thomas Mann et Prinz von Homburg de Heinrich Kleist en plus de Böll, Kafka, Jaspers et Dürrenmatt. Sinon, le programe était le même que lors de ma première première année avec le néerlandais en plus.
Bon, me voici, mentions en poche, en seconde année, où j'obiendrai tous mes examens à la première session (le redoublement de première année avait été profitable, même s'il semble qu'il était dû à une limite d'âge inférieure, car j'avais eu une année d'avance, maintenant perdue).
Schnelly, lui avait eu sa première année avec mention Bien en allemand, et en Bien ou Assez-Bien (je ne m'en souviens plus!) néerlandais. Donc, il avait une mention plus haute que moi en allemand, mais pas en néerlandais.
En seconde année, je suis déscendue à la mention tout juste en allemand, et je suis montée à la mention Très Bien en néerlandais. Schnelly était descendu à la mention Assez Bien en allemand, et a râté son néerlandais à la session de juin, je lui ai donné quelques cours et il a eu la mention Très Bien aussi à la session de septembre, soit 3 mois après ma mention Très Bien à moi. Le DEUG n'existait pas encore, mais s'appelait DUEL, DUES, DUEJ ou DUEM selon les facultés ou universités et la section de celle-ci, L signifiant littéraire, S scientifique, J juridique, etc... Donc, nous avons eu le DUEL.
Pendant les vacances j'avais eu une lettre de mon prof de néerlandais, me demandant si je voulais faire encore l'option en 3ème année de néerlandais ou si je voulais faire carrément une licence de néerlandais (3ème année). Mais je ne pouvais pas, car pour la licence d'enseignement, qui était la meilleure licence, et la seule qui permettait de se présenter au CAPES de la même matière (actuellement, on peut passer n'importe quel CAPES avec n'importe quelle licence), pour cette licence là il fallait absolument deux UV ou certificats de littérature allemande, et la quatrième UV devait être aussi une UV d'allemand (la troisème était la traduction). Donc, il n'y avait pas moyen de faire le néerlandais, ou alors j'aurais dû le faire en plus. Mais Schnelly ne voulait pas, alors j'ai fait comme Schnelly.
Bref, on a fait encore un sans faute en troisième année, en obtenant tous les deux notre licence sans mention à la session de septembre, ou du moins, la mention n'avait pas été calculée. Mais javais bien la mention AB ou B en linguistique, d" UV dans laquelle j'avais obtenu des noters au delà de 12 au contrôle continue et j'avais aussi 12 en oral de traduction (c'était un thème oral, et même si on ne pouvait savoir ses notes lorqu'on avait réussi, la prof qui m'avait interrogée, m'avait dit ma note lors de mon passge. En thème oral, j'ai eu plus que Schnelly qui était pourtant bilingue de naissance et a dû repasser cet oral à la session de septembre. Moi, j'avais mes deux oraux de littérature à repasser (on était encore dans un système où il fallait réussir l'écrit pour avoir le droit de passer l'oral, comme aux concours actuellement, et on gardait le bénéfice de l'écrit pour la session de septembre, ce qui était mon cas, et le cas de Schnelly en traduction). J'ai travaillé ma littérature pendant toutes les vacances, malgré le fait que ma mère avait failli mourir d'une péritonite au mois d'août et que j'avais trimé tout août et septembre, à faire le ménage pour cinq, avec deux repas différents quand ma mère était à l'hopital (ma petite soeur, alors agée de 13 ans était difficile et ne mangeait pas comme les autres) et en février 73 re-belotte quand ma mère, décédée il y a peu à un âge avancé, s'est fait opérer de l'estomac, ce qui l'a encore amenée un mois à l'hopital plus un mois de convalescence pendant lequel je faisais encore un troisième repas sans mets irritant pour l'estomac. Et en plus tout le ménage, et cela pendant l'année ou je passais à la fois le CAPES et la maîtrise comme Schnelly. Nous avons râté tous les deux le CAPES : Schnelly avait oublié de recopier une phrase en thème et avait eu la note mémorable de 1/20. Ce qui pour un germanophone était une note mirobolante, surtout en thème qui était sa matière forte, mais on avait compté la faute maximum pour chaque mot oublié. Par la suite, il a été 3 fois admissible au CAPES, et est devenu certifié par liste d'aptitude arprès avoir été AE. Quant à moi, je l'ai eu au 3ème essai en 1976, une année où je préparais sans Schnelly, mais avec une agrégative qui était ma meilleure copine à l'université. La deuxième fois on préparait à quatre, avec une copine qui a eu son CAPES cette année là, je crois en 74 ou en 75. J'avais passé une année en 75,
Bon, mais revenons en 2ème année, car vous êtes sans doute curieux de savoir ce qu'était ce fameux programme digne de 3 agrégations passées la même année.
On avait
Littérature
Plusieurs questions de civilisation
Compréhension sur la question sur la Weimarer Republik, on nous passait un document lu à toute vitesse, sur un vieux magnéto dans un amphi et il fallait faire le résumé du document entendu et le commentaire. J'écrivais très vite et je prenais pratiquement tout le texte en notes, ce qui me facilitait la tâche ensuite.
Traduction
On avait des questions qui étaient un peu hubrides entre la littérature et la civilisation comme la guerre de 30 ans (1618-1648) et le baroque.
Alors, pêle-mêle :
La République de Weimar.
Oeuvres lues :
- Friedrich Maria Remarque : Im Westen Nichts Neuses.
- Ernst von Salomon : Die Geächteten (peut-être aussi der Fragebogen).
- Joseph Roth : Radetzkymarsch.
Civilisation du 19ème siècle (1815 à 1870)
Oeuvres lues :
- Der Vormärz (RÜB) (Anthologie)
- Das Junge Deutschland (RüB) (Anthologie)
- Heinrich Heine : Deutschland, ein Wintermärchen.
- Büchner : Woyzzeck, Der Hessische Landsbote, Dantons Tod, Leonce und Lena, Lenz.
- Pour le Biedermeier : Romeo und Julia auf dem Dorf de Gottfried Keller et Aus dem Leben eines Taugenichts de Joseph Eichendorff.
- Le baroque et la guerre de 30 ans :
Oeuvres lues :
Grimmelshausen : Simplicius Simplicissimus et die Landstörzerin Courasche.
Böhme : Der schlesiche Mystiker.
et des textes de Gryphius, Opitz et d'autres auteurs baroques probablement en anthologie. Et aussi une Geschichte der Barockliteratur.
Sinon, on avait aussi dans un programme purement littéraire :
Les Buddenbrooks de Thomas Mann
et
Irrungen, Wirrungen de Fontane.
Je me souviens aussi d'un cours sur Louis II de Bavière et Lola Montès par le même professeur qui faisait le baroque.
Je ne sais pas si j'ai fait Brecht : Herr Puntila et son valet Matti en seconde ou en troisième année.
En troisième année, j'avais donc :
Traduction (version écrite et thème oral, mais on avait un TD de thème avec des devoirs écrits pendant l'année).
Linguistique que j'ai prise en contrôle continu.
Littérature 1 et litérature 2.
L'une des UV étant consacrée à la littérature classique et l'autre à la littérature contemporaine (années 50/60 et XXème siècle). On était en 1971-1972.
J'avais un TD sur Don Carlos de Schiller.
Et je pense avoir lu :
Hyperion de Hölderlin.
Heinrich von Ofterdingen de Novalis.
Iphigenie de Goethe.
Die Râuber de Schiller.
Plus un tas de petites oeuvres classiques et romantiques citées dans le cours sur la littérature de la fin du XVIIIème siècle et le début du XXème siècle, comme des pièces de théâtre, des nouvelles etc..
J'ai lu aussi Des Knaben Wunderhorn des frères Grimme entièrement (recueil de chants populaires).
Andorra de Max Frisch (on avait un TD et un cours magistral sur cette oeuvre)
Mais j'ai lu aussi tout le théâtre de Max Frisch et son journal.
Quatre volumes de poèmes de Brecht.
Je ne sais plus si c'est en licence ou en CAPES que j'ai lu :
Un gros livre avec toutes les nouvelles de Thomas Mann (Der Tod in Venedig, der kleine Herr Friedemann...).
Le Romanzero de Heinrich Heine.
Bien sûr entre temps, nos profs nous mettaient aussi au courant d'oeuvres comme les chansons de Wolf Biermann, on parlait aussi de la RDA, etc...
Ceux qui faisait l'option civilisation avaient le Reich Wilheminien (que j'ai étudié depuis en long et en large pour l'agrégation) et le nazisme, bref le côté dur de l'Allemagne, alors qu'en faisant les options littérature 2 et linguistique, j'avais vu surtout le beau côté humaniste de l'Allemagne, tout le plaisir en était pour moi et mon futur époux!
Pêle-mêle dans ce que j'ai vu ensuite :
En maîtrise, les poèmes de Hans Magnus Enzensberger, dont j'ai traité Landesprache en devoir de Textlinguistik. Je devais choisir un poème dans les trois ou quatre volumes de poèmes.
Pour mon mémoire j'avais lu Berlin Alexanderplatz de Döblin dont je devais traiter le vocabulaire politique et social, mais je n'ai pas terminé ce mémoire. A la place j'ai fait un mémoire de linguistique (allemande) pure il y a quelques années. Vous savez, il y a eu l'histoire avec la maladie de ma mère.
J'avais aussi lu en français depuis la licence : Saussure, Jakobson, Fourquet, Zemb, Chomsky, Roland Bartjhes, et tenez vous bien, c'était presque du chinois Tel Quel avec Jacques Derrida et Julia kristeva.
Mon prof de lingusitique avait deux phrases clefs (pardonnez-moi, monsieur Derrida de la citer ici : "On ne se déride pas avec Derrida!" et "Il ne faut pas manger des oeufs à la coque avec des gantes de boxe", mais c'était à l'intention de Schnelly.
Dans mes années de CAPES, j'ai lu pêle-mêle et entre autres :
Bobrowsky : Levins Mühle.
Uwe Johnson : Mutmaßungen über Jakob.
Les nouvelles de Thomas Mann, je pense.
Le Romanzero de Heine.
Campagne in Frankreich de Goethe.
Egmont de Goethe.
En civilisation, j'ai vu :
Martin Luther (réformateur en religion du XVIème siècle) en civilisation
Les allemands et la révolution française.
Et j'ai réussi mon CAPES avec Dürrenmatt : Der Besuch der alten Dame et Die Physiker en dissertation allemande (coef 2 par rapport au reste).
Et un poème de Lenau (tout le recueil était au programme) en commentaire de texte.
A l'oral, j'ai eu un poème de Rilke en explication de textes (hors programme) et les Verbes Forts en grammaire.
....
Bon, un jour, je vous servirai tous les programmes d'agrégation que j'ai déjà étudiés, a écrit Doofie à la fin de sa page de journal.
(Ce texte-ci a peut-être, en ce qui concerne les programmes étudiés, rapport avec ma réalité, l'histoire de Doofie et de Schnelly, et de leur rencontre est une invention de l'imagination de la romancière, je pense...)
domino
15:28 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : université, études, allemand, gemanistes, études d'allemand