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samedi, 24 mai 2008

Il était une fois...

Il était une fois une prof d'allemand qui avait été inspectée le 22 mars 2002;  on ne sait pas pourquoi, alors qu'elle était jury  de BTS dans trois académies, l'inspecteur avait souhaité une ré-orientation. Et pourtant, elle parlait bien allemand.

Elle en fut si peinée qu'on l'appela à la médecine "précentive du rectorat", qu'on l'a mis en congé en lui disant que ses jurys d e BTS, ses projets pédagogiques, les voyages en Alleagne organisés pour les élèves n'avaient jamais existé que dans sa tête (Bien sûr, la vida es un sueno).

Mais au bout du compte, elle repris le travail, assista à un stage d'agrégation interne où on lui appris à dire à l'inspecteur éventuel, éléments facilitateurs, entraves lexicales, entraves grammaticales, entraves de contexte interne, entraves de contexte externe, etc... bref à parler pédagogiquement.

Et elle fut admissible à l'agrégation interne une première fois.

Alros l'inspecteur dit à son mari rencontré dans une réunion, qu'elle pouvait reprendre l'enseignement de l'allemand, que ses notes obtenues à l'agrégation n'étaient pas si mauvaises que cela. Donc, l'inspecteur avait changé d'avis, il ne souhaitait plus de  réorientation pour elle.

Seulement, elle se retrouva en zone de remplacement, et l'inspecteur, qui lui avait dit, que puisqu'elle était certifiée, il ne pouvait pas l'empêcher d'être prof d'allemand, ne pensa  plus à ele.

En zone de remplacement, elle eut de nouveaux proviseurs, de nouveaux principaux, et dans son diossier l'inspecteur n'a pas écrit ce qu'il a dit oralement, si bien que ces proviseurs et  principaux, ont continué à se baser sur le rapport d'incription de 2002 et de dire : "Vous n'êtes pas une bonne  professeure d'allemand, c'est écrit dans le dernier rapport q'insptection". Et ainsi, de fil en aiguille, son dossier arrivanrt chez tous les proviseurs et  principaux de ses établissements de rattachement et d'exercice, ces chefs d'établissement, lurent le rapport et dirent presque unanimement : "Je ne peux pas vous doner d'allemand à cause de votre derneir rapport d'inspection" (qui était le cinquième de sa carrière). 

Et c'est ainsi qu'on voulu la mettre CPE, puis documentaliste.

Alors qu'elle veut rester prof d'allemand et qu'elle essaie de   réussir l'agrégation pour rester prof d'allemand.                                                                                    

Bien peu sont nombreux les profs certifiés, AE ou PEGC d'allemand qui se risquent à passer l'agrégation. Alors pouquoi restent-ils profs certifiés, AE ou  PEGC ? Alors que  leur collègue certifiée bi-admissible à l'agrégation interne se voit refuser toute heure d'allemand ou presque? Et qu'elle prépare l'agrégation d'allemand, parce que elle se dit qu'en réussissant l'agrégation, on la laissera redevenir une prof d'allemand à part entière.

domino

samedi, 10 mai 2008

Misère des TZR!

Lisez  bien cette note que je mets en lien et voyez comme les remplaçants ont la vie dure. La prof qui écrit la note a une absence prévue, elle va être remplacée, et ses élèves, des élèves de lycée disent déjà ce qu'ils vont faire à la remplaçante : 

- On va lui mettre la misère!

C'est dans une autre région, ça sonne de l'EST.

ici, on dirait :

- On va lui mettre le b....l!

ou bien :

- On va lui mettre le boxon!

Misère des TZR, toujours mal notés parce que remplaçants.... Et cette jeune prof, elle attend un bébé, peut pas le faire pendant les grandes vacances, non, pour pas porter malheur à ses collègues TZR?

Lien : Clic, clic !

La remplaçante n'est même pas arrivée, ils ne savent pas à quoi elle ressemble, elle est peut-être agrégée et déjà, "ils vont lui mettre la misère!"

Savez-vous qu'en tant que bi-admissible à l'agrégation titulaire, j'ai déjà été la rempaçante d'une auxiliaire débutante. Le monde à l'envers!

domino

 

Il s'est fait avoir....

Avant de commencer regardez l'article de la Déclarations des Droits de l'Homme  que j'ai mis en marge, je suis libre d'exprimer mes opinions...

Espérons que nous soyons dans un pays, Sarkonien,  où il y a encore une liberté d'opinion. Il y a encore 6 ans, la France était le pays des Droits de l'Homme.

N'interprétez pas mal "Il s'est fait avoir". Je ne veux pas dire que ce collègue dont je vais vous parler, serait coupable de quelque chose et "qu'il se serait fait avoir", comme quelqu'un qui dépasse la limitation de vitesse, d'ailleurs je ne sais pas pourquoi il est allé à la médecine du rectorat, mais je veux dire "qu'il s'est fait avoir", comme moi il y a cinq ans - et comme on voulait que je me fasse encore avoir cette année -par la médecine du rectorat.

Un homme transformé, pas en bien, par la médecine du rectorat. Ils ont fait de cet homme dynamique, extrêmement brillant, une loque.

Ce collègue porte le même prénom que moi, un prénom mixte, mais il est un homme, et je suis une femme.

Il n'est pas dans le même collège que moi, mais sur la frontière, 40 kilomètres plus au Nord.

Je vais vous dire qui est ce collègue.

Il vient d'une autre académie, excédentaire en profs d'allemand, il avait un poste de prof d'allemand là-bas tant qu'il a été auxiliaire, et quand il a eu son CAPES, il a fait son stage dans l'académie où il est né, a fait ses études, etc..., puis il a atterri dans cette académie de réputation déficitaire, mais en réalité excédentaire en profs d'allemand,  mais n'est pas devenu TZR, alors que moi, mutée au même moment, alors que j'étais en congé maladie, je suis passée de lycée où j'ai travaillé depuis dix ans en poste établissement (je n'ai eu que des postes établissement depuis 1976 jusqu'à cete convocation à la médecine du rectorat, alors que l'année avait commencé sur les chapeaux de roue...). Mais ceci n'a pas d'importance... Bref, venant de sa belle académie natale, l'une des plus belles, l'une des plus réputées régions de France pour le tourisme, envahie par les allemands en été (ils devraient donc avoir besoin de profs d'allemand pour les professions touristiques, là-bas...), il s'est retrouvé dans un petit collège sur la frontière.

Il m'a raconté l'année où il est venu à la formation d'agrégation interne, il venait à la didactique et au thème, parce qu'il avait décidé de devenir bon dans une matière à la fois, mais vous savez qu'il a le même prénom que moi, alors moi, tous les ans, comme il passait l'interne et l'externe, et que moin depuis la session de 2004, j'ai passé les deux aussi, je luis en voulais un peu, mais tout en l'ayant parmi mes amis, parce qu'il rendait ses traductions auxquelles ils avaient de bonnes notes, d'après ses dire, analogues au mienne (11 ou 12/30), mais il rendait copie blanche en dissertation. Et comme grâce à mon nom de jeune fille (nom de naissance), que personne ne connaît, sauf ceux qui l'ont vu sur les listes affichées dans les salles d'écrit, je suis pas loin de la fin de l'alphabet, et que lui, il a une initiale qui est une lettre devant la mienne, j'étais souvent derrière lui, ou deux places derrières, et je me disais qu'avec sa copie blanche, il devait provoquer un décalage dans toute les copies, tout comme ceux qui ne se présentent qu'à une épreuve.

Par contre, lui me défendait ardemment. Alors que sa collègue de thème oral, maintenant en retraite, me faisait souvent taire, parce que je disais les réponses trop vite, et que je ne laissais le temps aux autres de réfléchir (mais je ne le fais pas exprès, c'est mon enthousiasme!), cette année là, après que je me sois coupé les cheveux qui ont repoussé depuis, ma prof de thème écrit qui m'avait mis des 10/20 à 12/20 pendant toute l'année précédente, appelait par mon nom marital une autre personne, et m'a asséné des 2/20 et des 4/20 pendant toute l'année. Cheveux longs, idées longues, cette année, je suis remontée à 12/20 avant l'écrit.  Il y avait, contrairement à cette année, toute une bande de candidats d'agrégation interne, qui bavardaient en début d'heure avec la prof, et riaient pendant toute l'heure, tout en travaillant, mais dès que je disais une réponse, la prof réclamait le silence à tous, en disant, "Ah, maintenant, yen a assez. Taisez-vous, Mme Domino 2:". J'étais, je ne sais pour quelle raison, toujours laissée à l'écart du groupe, personne ne me parlait, saut celui qui a le même prénom que moi. Et contre toute attente, j'ai été de ce groupe là, la seule admissible de l'agrégation interne, les deux autres étant du CNED. M. domino (domino sans majuscule étant pour cet i-grimoire le prénom mixte commun),  appelons le ainsi, mon mari portant mon nom marital étant monsieur Domino 2, alors que mon patronyme est Domino 1 (avec majuscules), bref M. domino était content pour moi, il a dit " Tu as vu, toute l'année, ils t'ont laissée de coté, toute l'année ils ont joué le grand jeu auprès des profs, et voilà, ils se sont tous étalés, et toi, tu les a tous battus. C'était ma deuxième admissibilté à l'agrégation interne. Et M. domino prenait fait et cause pour moi.

Encore l'année dernière, très en forme, il avait passé les deux agrégations, et il était en train de me rappeler ce magnifique évènement, la fois où, mise à l'écart de tous, je les avais tous battus, et ils étaient au moins une dizaine qui roulaient des mécaniques pendant les cours à l'université.

Voilà, je l'ai rencontré aujourd'hui....

Il me demande si ça va.

D'abord, j'ai dit 'oui', je ne raconte pas mes mésaventures professionnelles à tout le monde, sauf à vous, privilégiés va, chers lecteurs de mon i-grimoire.

J'ai demandé : "Et toi? Tu es toujours dans ton collège de la frontière?"

"Moi, non" a-t-il répondu. Puis il a ajouté qu'il était en CLM. Depuis septembre. Quelle coïncidence.

Je me suis dit après coup qu'il m'avait raconté une histoire, que c'était pas possible, qu'on lui avait demandé de me dire cela pour que je parle de mon histoire de paperboard, et des convocations que j'ai reçu pour aller à la médecine du rectorat.

Puis, je me suis dit, que c'était quand même quelqu'un d'entier (comme moi, qui suis aussi entière). De toute façon en Sarkonien, on ne convoque à la médecine du rectorat que les gens entiers, car dans ce pays, les gens entiers sont tellement rares qu'ils sont des originaux ou des loufoques ou des fous, des malades mentaux, comprenez-moi.

De toute façon les dominos sont généralement des personnes très franches et entières.

Alors, mon compagnon d'infortune m'a dit, qu'il allait à l'hôpital de jour de la MGEN! Heureusement que grâce au fait que mon mari soit dans l'enseignement privé, je ne suis plus à la MGEN. Pendant tout un temps, nous avons payé deux cotisations de Mutuelle parce que la MGEN refusait les conjoints du privé en cotisation familiale. Alors, je me suis mise dans la mutuelle de mon mari (mutuelle non professionnelle) en cotisation familiale. Disons que le deuxième membre de la mutuelle dans la famille paie moins cher que le premier.

Heureusement que je ne suis pas à la MGEN, sinon, ils m'auraient aussi envoyé là-bas me bourrer de petites pilules qui font voir la vie en rose, mais qui par exemple ont enlevé sa belle diction à mon collège qui depuis qu'il prend ces petites pilulles parle comme s'il avait des pommes de terre chaude ou du chewing-gum dans la bouche. Ils en ont fait une loque.... Ils l'ont transformé complètement.

Si je dis cela, ce n'est pas contre ce collègue, mais pour montrer les dégats que fait la médecine du rectorat, qui en 2002 a fait aussi de gros dégâts sur moi...

Il n'est apparemment pas syndiqué. Il y aurait donc un Goulag en France pour les profs pas syndiqués? Je ne veux pas dire vraiment un goulag, mais des hôpitaux psychiatriques comme pour Soljenytsine?

Mon collègue a dit qu'il va reprendre le travail en septembre.

Bon, voilà, une chose m'a moins plu. Je lui ai raconté mes déboires avec la médecine du rectorat, que j'avais été en 2002 convoquée là-bas parce que une heure avant le début de mon service, un lundi matin où je commençais à onze heures et alors qu'il 'était que dix heures, j'étais passé devant la concierge en lui disant que je ne me sentais pas bien, donc une heure AVANT le début de mon service, donc, avant le début de mons service c'était comme ci je téléphonais du dehors, donc je ne devais pas aller au secrétariat de direction, tout comme l'année dernière quand je suis sortie sous les hauts cris de ma principale, qui me chassait, à cause de l'histoire du paperboard (voir mes articles depuis mai 07), par deux fois à trois jours d'intervalle, je n'avais pas de compte à rendre sur mon absence, dans la mesure où c'était un service de rattachement qui est facultatif pour un/une titulaire. Donc, dans les deux cas, quand j'ai été convoquée à la médecine du rectorat, il y a eu vice de forme.

Mais je parle de moi, revenons à mon collègue, qui ne s'inquiète pas outre mesure, malgré le fait que je l'ai trouvé amoindri par rapport à l'année précédente, et fort maigri, alors qu'il était bien avant, et pas trop gros. Peut-être qu'ils l'ont confondu avec moi et qu'ils lui ont fait faire un régime inutile....

Par conre là où j'ai été vexée, c'est quand je lui ai dit que la médecine du rectorat me convoque toujours pendant les vacances, qu'elles soient grandes ou petites, et que je trouve cela bizarre. Je lui ai dit que par exemple un avis de recommandé est arrivé le samedi du début de vacances de printemps. Je ne suis pas censée avoir reçu pu aller chercher le recommandé, car le collège étant fermé le samedi, je peux très bien partir le vendredi soir et revenir le  dimanche 15 jours plus tard. C'est là que l'on voit qu'il y a quand même du harcèlement moral contre moi. J'ai des collègues qui originaires d'autres académies retournent dans leur famille pendant quinze jours à chaque "petites vacances". Pourquoi ne serais-je pas comme eux.

"Tu reçois les recommandés toujours le samedi du premier jour des vacances? Tu rigoles? Tu es paranoïaque, m'as-t-il dit.

Alors là, mon visage si souriant habituellement, mais depuis l'inspection du 22 mars 2002 et la convocation à la médecine du rectorat de septembre 2002, j'ai pratiquement perdu mon beau sourire, tellement ils m'ont fait mal, alors là, mon visage, si souriant habituellement s'est renfrogné.... Encore cette injure? La même que celle de la principale? La même que celle de l'ouvrier. Mon mari est quand même témoin, que l'on me convoque presque toujours pendant les vacances, et que cet avis de recommandé est arrivé le samedi matin.

Je n'ai même plus le courage de me défendre. Mon syndicat de l'année dernière convenait que ce n'était pas normal de convoquer quelq'u'un pendant les vacances, mais me disait que je devrais quand même aller à la médecine du rectorat à la rentrée (de septembre dernier).

Alors moi, je leur réponds, juridiquement, ils sont dans l'erreur, car aucune plainte n'a été déposée contre moi, et je n'ai aucune obligation de soins. D'ailleurs le psy qui n'était pas le spy chez lequel voulait m'envoyer la médecine du rectorat à 80 kilomètres de chez moi, alors que j'en avais trouvé un bon à 8 km, que je ne juge plus bon, depuis qu'il a pris fait et cause pour m'envoyer à la médecine du rectorat en septembre, masi il n'avait pas la même voxi que d'habitude au téléphone, il avait prétendu qu'elle était déformé par son Alice-Box, mais le rire sarcastique qu'il a eu à la fin de la convesation téléphonique n'était pas celui de ce médecin, j'ai l'impression que mon appel téléphonique à mon médecin avait été intercepté et que c'est un autre qui m'a répondu, un du rectorat. Peut-être celui de l'hôpital de jour de la MGEN. J'ai l'imrpession que la TZR de français qui travaillait avec moi l'an dernier au CDI du collège, n'était pas étrangère à cet appel, car elle avait entendu ma conversation téléphonique avec mon médecin. Elle était d'avis que je n'avais pas à être dans ce CDI, alors que c'était la prinipale qui m'obligeait à rester là.

Ce n'est pas la peine de me faire réadhérer à la MGEN, parce qu'elle rembourse moins que ma mutuelle et en ré-adhérant à plus de 50 ans, je ne peux plus bénéficier des compléments de salaire en cas de congés, etc....

Vous ne trouvez pas que l'histoire qu'ils m'ont faite pour ce paperboard est vraiment ridicule, d'autant plus que j'avais même rattrapé les heures d'absence sur ce service de documentation que je ne devais pas faire, parce que je suis germaniste et que je ne  m'étais portée volontaire pour faire de la documentation ?

Et mon cas de TZR sans service n'est pas isolé, il y a 3 ou 4 ans, une TZR a été admise à l'agrégation externe d'allamand, alors qu'elle n'avait travaillé que six mois en deux ans depuis sa nomination comme certifiée titulaire. Et elle n'avait pas travaillé du tout l'année de son admission tout en étant payée à temps complet, elle venait à l'université tous les jours ou presque, Et les professeurs ne lui ont jamais demandé des comptes sur son activité professionnelle (comme ils l'ont fait parfois pour moi), car comme elle était fort jeune, ils la prenaient pour une étudiante.

 

Bon, je résume quand même, car ce journal intime reflète mes pensées parfois désordonnées, comme le sont toutes les pensées...

- En ce qui concerne M. domino, mon collègue d'allemand, mais pas un collègue d'établissement, du même prénom que moi, je pense que !

a) il s'est fait avoir par la médecine du rectorat parce qu'ils le démolissent à coup de pilules.

b) ils l'ont peut-être confondu avec moi, et moi avec lui, peut-être qu'il a fait quelque chose de plus grave que de constater que le disparition d'un paperboard pouvait être un vol, mais il m'a dit que non, qu'il était malade pour une affaire personnelle. Je vais imaginer la conversation que mon collègue a eu avec le médecin du rectorat s'ils l'ont pris pour celui qui a fait le signalement de la disparition du paperboard. Voir plus loin ou une autre note au théâtre ce soir (2).

Je dis peut-être qu'il a fait quelque chose de grave, s'ils m'ont confondue avec lui, parce que leur insistance à me convoquer pour une histoire aussi minime et ridicule que celle de paperboard et alors qu'en juin 2007 tout le monde semblait être réconcilé au collège, ou ma principale a-t-elle été hypocrite pour m'avoir caché durant tout le mois de juin qu'elle m'avait fait convoquée à la médecine du rectorat? Cette histoire est tellement ridicule et minime que ça ne vaut pas la peine de mettre quelqu'un en congé pour cela, ça ne vaut pas la peine d'enlever 400 Euros à quelqu'un pour cela, que cela ne vaut pas la peine de mettre un blâme pour cela (quoiqu'on a vu pire, en 2003 un professeur avait été blâmé parce qu'il avait parlé de religion aux élèves, et ce n'était même pas de sa religion... Donc, ce n'était pas du prosélytisme religieux.  Mais où va-t-on? Je reviens à nos moutons, parce que leur insistance à me convoquer par lettre recommandée, etc... montre qu'ils font des éléphants avec des mouches en ce ce qjui me concerne, et s'ils font cela, c'est qu'ils m'ont confondue avec quelqu'un qui a fait quelque chose de grave. Mais mon collègue dit que non que pour lui, il s'agit d'une affaire personnelle, et pas professionnelle.

c) Je pense que si pour le collègue il s'agit d'une affaire personnelle comme un chagrin d'amour, il vaudrait mieux qu'il travaille pour oublier son chagrin.

 d) je pense qu'il n'aurait pas dû dire que je serais paranoïaque parce que je dis que les lettres recommandées arrivent toujours les samedis du début des vacances. Parce que je trouve que c'est une injure. Si un élève vous disait "M. ou Mme, vous êtes paranoïaque!", vous sanctionnerez l'élève, n'est-ce pas? Alors pourquoi ne pas sanctionner ma principale et l'ouvrier qui l'ont écrit noir sur blanc. On n'est quand même plus au temps de Camille Claudel....

De plus pour les lettres du samedi, mon mari est témoin, puisque c'est lui qui ramasse le courrier dans la boîte aux lettres... Alors, ils vont essayer maintenant d'éliminer ou de mettre hors de combat mon époux, pour que je ne puisse pas témoigner contre eux avec l'histoire des lettres qui arrivent toujorus au début des vacances????? Ils iraient jusque là..... Ils élimineraient tout témoin? Quand mon mari ne me donne pas les convocations de la médecine préventive du rectorat, médecine qui tue, et qui a transformé mon collègue du collège de la frontière en zombie, c'est pour m'épargner et faire en sorte que je ne tombe pas dans les pommes à la réception de ces lettres pleines de menaces de sanctions, et faire en sorte que je ne pleure pas pendant quinze jours à réception de la lettre.

En 2002 aussi, il y a eu quelque chose de bizarre, j'avais été convoquée deux fois à la médecine du rectorat :

1) Le première fois, c'était quand j'étais arrivée 1h 1/2 avant le début de mon service au collège pour préparer mon travail (travaux de reprographie), puis ressortie au bout d'une demi-heure, sans faire beaucoup de bruit et après avoir dit à la concierge une heure AVANT le début le service, monsieur Je-sais-tout-ce-qui-se-passe-dans-le-lycée-et-dans-l'académie, mon collègue d'allemand du lycée que l'on a appelé après-coup M. Supposition et qui élucubre et affabule beaucoup, avait dit que j'aurais fait un esclandre..... peut-être. Grâce à son "peut-être" il a été sauvé, et n'a pas eu de sanctions. Il n'était même pas là quand j'ai parlé à la concierge, et il a prétendu que j'avais parlé au concierge...

La Mme le Dr de la médecine du rectorat avait admis plus ou moins que j'aurais été victime de harcèlement moral de la part du proviseur.

2) Au deuxième rendez-vous, elle m'avait dit, ne me reconnaissant peut-être pas, "Vous avez quelque chose à avouer". Elle avait deux dossiers devant elle, elle me disait en me montrant l'autre dossier : "Cette personne est victime de harcèlement moral, mais vous, ce n'est pas la même chose, votre dossier est là, vous n'êtes pas victime de harcèlement moral, vous devez m'avouer quelque chose...." Alors moi, j'étais bien embêtée parce que je ne savais pas du tout ce que j'avais à avouer, j'avais été victime de deux agressions d'élèves à un ou deux mois d'intervalle l'année précédente, mais je ne voyais pas du tout ce que j'aurais fait de mal...  Encore aujourd'hui, je me demande ce qu'elle voulait. Alors, je me suis dit sur le moment, elle doit avoir un dossier bien sur moi au cas où le médecin assermenté accorderait le congé maladie qu'elle demandait tout en m'ayant dicté la demande sous menace de sanctions administratives (et il m'avait accordé le CLM et devant mon insistance ma reprise). Et un autre dossier au cas où on ne m'aurait pas accordé le congé qu'elle m'avait obligée à prendre. (Depuis, je me suis endurcie et je ne cède plus aux menaces, ni aux sanctions...)

Puis avec du recul, et voyant le cas de ce collègue qui porte le même prénom que moi, je me suis dit, qu'elle devait peut-être recevoir deux personnes le même jour, et que mon dossier était celui de la personne victime de harcèlement et que l'autre dossier était peut-être celui d'une personne que l'on voulait protéger parce qu'elle avait eu des accusations contre elle. Parce que dans cette histoire, tout comme maintenant, personne n'avait déposé plainte contre moi ; c'était au moment où a éclaté l'affaire d'Outreau et je me suis demandé si le dossier qu'elle me montrait n'était pas celui de la prof d'histoire géographie qui avait été mise en accusation dans cette affaire et si elel ne m'avait pas confondue avec elle. Et comme je m'appelle domino, si ils ne m'avaient pas confondue aussi avec Dominique Wiehl qui a aussi un nom à la fin de l'alphabet; pourtant d'après ce que j'en sais, il n'était pas professeur.

Cinq ans après, je me pose cette question: sinon je ne vois pas pourquoi l'inspecteur m'a dit après l'inspection une chose qui m'a fait très mal, car j'avais vraiment le sentiment d'être aimée par mes élèves... "Madame, si j'avais des enfants à scolariser ici, jamais je ne vous confierais mes enfants!" Et pourtant, le proviseur m'avait déjà dit que les parents aimaient bien le fait que je donnais beaucoup de travail..... Alors on me tenait deux discours contradictoires et je n'y comprenais plus rien..... je faisais depusi huit ans aussi un travail assez important pour les commissions de BTS, ce qui aidait cet inspecteur et avait aidé l'ancien, et j'ai trouvé que pour tout ce que j'avais fait dans ce lycée et autour dans mon enseignement et mon engagement pour ma matière : l'allemand, j'avais vraiment un drôle de remerciements. Les collègues d'allemand avaient raison, eux qui disaient "Tu fais tout cela pour rien!" Apparemment ne pas faire tout cela était payant, puisqu'ils sont toujours sur leur poste.

Ce qui semble confirmer mes soupçons d'une confusion avec ces personnes là est qu'il semblerait que l'année où tous mes collègues de la foramtion d'agrégation me mettaient de côté, tout le monde semblait croire que j'habitais sur une côte alors que j'en suis éloignée de 200 à 250 kilomètres.

J'ai pensé aussi que l'affaire d'Outreau était un canular. C'était trop gros pour être vrai.

domino

vendredi, 25 avril 2008

Changements chez Haut et Fort

J'ai remarqué que pendant ma panne d'ordinateur, il y a eu des changements pas seulement sur notre interface, mais surtout sur la page d'accueil de Haut et Fort. Et voilà....  J'ai remarqué que d epuis que cette page d'acceuil et le moteur de recherche de blogs Haut et F a ort a changé, j'ai moins de lecteurs.

Auparavant dans les tags, ils y avait une petite liste des blogs utilisant le plus chacun des  tags. Par exemple j'étais deuxième du tag enseignement, je retrouvais facilement les blogs de poésie, etc.... Actuellement, cette petite liste a disparu, et on n'a sous les tags que les dernières notes parues, classées par parution et si on veut rechercher une veille note ou un ancien blog, on peut toujours chercher.....

Avant si on voulait trouver des blogs parlant beaucoup d'un sujet, il suffisait de cliquer sur le tag et on trouvait tout ce qui concerne le sujet dans cette petite liste, alors que maintenant on n'a plus que les dernières parutions... et il faut tourner des pages et des pages pour retrouver les anciennes, quand elles sont encore là.

J'aimerais bien que cette petite liste réapparaisse, mais complète, avec tous les blogs ayant utilisé le tag en question classés par fréquence d'utilisation du tag depuis le début du blog, ou de l'i-grimoire.

Par ailleurs dans les VIB, les blogs de la prominence bloguesque (mais pas i-grimoiresques, bien sûr tout le monde souhaiterait y être, et ça oblige ceux qui y sont à écrire régulièrement), bon, bref, dans les VIB, il n'y a pas les journeaux qui parlent de tout et de rien, comme doit être normalement un journal intime (c'était cela au départ un blog, un journal intime visible de tout le monde), un journal intime doit parler de tout et de rien, des joies, des peines, des livres lus, des musiques entendues, des films vus etc...

On a vu apparaître les blogs thématiques, les blogs de photos, de vidéos, les blogs divers avec photos, vidéos et musique, etc... puis les blogs pédagogiques, une façon moderne de faire travailler nos chérubins (pas péjoratif, les chérubins sont des petits anges et nous sont chers en plus), et puis horreur! les blogs uniquement politiques.... Quand la blogosphère dit son avis dans ses journeaux intimes publics (quel oxymorrhe, on pourrait en tomber occis et mort), ce sont les citoyens qui doivent parler, pas les parits politiques. Qui peuvent se faire des sites.

domino

lundi, 21 avril 2008

Ressources humaines = Les profs sont des pions sur l'échiquier.

Je sais que que c'est le service des relations humaines du rectorat qui me met des sanctions  pour ne pas avoir été chercher de congé longue maladie à la médecine du rectorat.

Là-bas, il y a quelqu'un qui veut absolument me faire destituer avant ma retraite (car j'ai été 25 ans professeur de lycée et de collège à part entière), retraite que je pourrais prendre à partir de dans trois ans, mais que je voudrais prendre dans 8 ans. Un certain monsieur Lu et quelque chose qui a eu l'attention attirée sur moi, il y a quatre ans, quand sa secrétaire m'avait appelée au téléphone pour me donner à moi la prof titulaire d'allemand bi-admissible à l'agrégation un service de CPE qui devait durer environ 8 mois. 8 mois de ma vie à faire la CPE alors que je consacrais ma vie à l'étude et à l'enseignement de l'allemand : Jamais!!!!

D'ailleurs le proviseur adjoint m'avait formellement déconseillé d'accepter ce remplacement de CPE. Il m'avait dit que je ne connaissais pas les règlementtaitons du travail de CPE et que je pouvais sans le savoir faire une bêtise, par exemple jeter un papier qu'il fallait garder tant d'années (théoriquement, je ne suis pas du genre à jeter des papiers, cela ne riquait pas de m'arriver.

Maintenant toujours à cause de l'histoire du paperboard de l'an dernier (rappel de faits  : la principale a fait un signalement sur moi pour se couvrir parce que j'étais sortie du collège suite à sa colère (elle hurlait sur moi au téléphone entre le bureau et le CDI, et comme je lui ai répondu sur le même ton, elle a fait un rapport sur moi en m'injuriant des mots de hystérique et paranoäque, un ouvrier qui, on ne sait pourquoi, s'est senti accusé de la disparition du paperboard, retrouvé ensuite après une pause de midi, en mon absence du CDI ce midi là, les cinq journées ouvrables auxquelles j'avais manquée ayant été rattrapées en juin, après mes résultats à l'agrégation, puisque à partir de ces résultats je suis venue tous les jours au CDI du collège). En juin 2007 toute cette affaire semblait réglée et tout le monde semblait réconcilé quand la convocation à la médecine du rectorat est arrivée pour les vacances (une manière peu honnête de faire disparaître les profs pendant les vacances, la chose habituelle étant alors de dire qu'ils ont été mutés ou qu'ils ont eu un accident. Une fois il y avait un prof qui avait paraît-il disparu dans un accident d'alpinisme pendant les vacances, on n'a jamais su s'il était réssucité ensuite). Les services des relations et des ressources humaines se manifestant toujours quand tout le monde est réconcilé pour envenimer les choses.

(PArenthèse : il y a quelques années à la fin d'une suppléance, la médecine du rectorat m'avait appelée, j'étais tout à fait légalement en congé maladie, avec certificats médicaux envoyés à mon lycée de rattachement d'alors. Mon lycée de rattachement m'avait bien dit que c'était à eux qu'on envoyait en cas de besoin les certificats médicaux. Même quand on était en remplacement ailleurs. J'avais envoyé un double en recommandé au collège où je faisais un remplacement (d'allemamd cette fois), Elle m'a taxée de "mauvaises relations avec mes collègues". D'où venait cela? D'un sbire du rectorat qui m'avait téléphoné au début de cette semaine de congé maladie avec CLM, me demandant de revenir au collège (sous la pression du principal qui avait besoin de moi), et il m'avait demandé ce qui n'allait pas dans ce collège. Je lui avait dit "Les femmes de ménage qui me font sortir de ma salle alors que je n'ai pas fini de préparer le matériel pour le lendemain, et le fait qu'on m'ait taxé de donnée des travaux trop difficiles parce que j'avais été trop longtemps professeur de lycée, et que ma collègue d'allemand m'avait dit cela, alors qu'elle ne se rendait pas compte du niveau que mes collègues de mon ancien lycée (je connaissais très bien le travail de ces collègues et pour cause) demandaient.

J'étais amie avec cette collègue d'allemand de longue date, depuis dix ans environ) nous nous recevions muturellement tous les mardi soir pour jouer de la guitare ensemble (nous n'avions jamais fait de concert parce que nous avions trop le trac toutes les deux). Le service des "relations humaines" nous taxait soudain de mauvaises relations mutuelles, alors que nous n'avions que des bonnes relations!!!!!! Eux, ils voient cela de lion, et font d'une mouche un éléphant. On s'est encore vues chez elle pour régler les dernières affaires concernant les conseils de classe, etc... puis nous nous sommes perdues de vue, à cause du service des relations humaines du rectorat ou du bassin qui a mis fin à une belle amité. Voilà comment le service des relations humaines du bassin ou du rectorat  divise pour régner. Cette amie m'a encore des cartes postales de vacances, je ne pars plus jamais en vacances depuis le 22 mars 2002,  car je ne sais jamais depuis que je suis  devenue TZR, si je ne serais pas destituée le lendemain (pour refuser de jouer à la  CPE ou de jouer à la documentaliste par exemple, je dis jouer à parce que ce ne sont pas mes métiers). Avant, j'étais titulaire de postes établissement et à long terme. je pensais travailler jusqu' à la fin de ma carrière dans lycée-où-j-ai-travaillé-dix-ans. Si je n'avais pas été inspectée en 2002, j'y serais encore, j'étais sur le troisième poste et il y  a toujours quatre postes.

Pour en revenir à nos moutons, je suis convoquée au collège pour signer encore une convocation ou un truc pire (avertissement, blâme, destitution?) parce que je ne me suis pas présentée à quatre convocations de la médecine du rectorat dont deux pendant les grandes vacances 2007,suite à l'affaire du "paperboard" dont j'ai parlé plus haut. Et à propos de laquelle nous étions tous réconciliés (en apparence, du moins je le croyais).

J'ai toujours été très sérieuse, j'ai toujours ennuyé les agents de service en restant "trop" longtemps le soir dans les lycées et collèges. On m'a déjà dit que j'étais "victime de mon sérieux".

Si c'est pour absence que la médecine du rectorat m'avait convoqué (généralement ils convoquent pour "vérifier les arrêts maladie" et pour "mettre les gens en CLM s'ils n'ont pas de certificat médical" et je ne veux pas de CLM (congé longue maladie) et encore moins de CLD (congé de longue durée) à cause de l'agrégation.... à cause de la réglementation du premier septembre qui suit le concours, si c'est pour absence que la médecine du rectorat m'avait convoqué, c'était illégal parce quie.....

1) Je n'avais pas à effectuer ce service de documentation basé sur le volontariat en tant que TZR d'allemand (je me refère ici aux décrets de 1960 ou 1980 régissant le statut des TZR).

2) J'avais ratrtrapé les heures manquées même si je faisais un service qui n'était pas le mien.

3) J'ai déjà été sanctionnée par 110 Euros en moins par convocation de la médecine du rectorat manquée, "pour non présentation à la médecine du rectorat". Soit disant 1/30ème de salaire en moins par convocation où je n'ai pas répondu, avez-vous déjà vu un professeur certifié même bi-admissible à l'agrégation qui gagnerait 3300 Euros par mois???? Ce n'est même pas le salaire du dernier échelon. Il doit y avoir une erreur de calcul, ou bien on a confondu mon salaire avec celui de quelq'un d'autre, ou alors quelqu'un s'est mis la différence dans la poche. Donc, je ne dois pas avoir de sanction supplémentaire, d'autant plus que j'avais rattrapé mes heures l'an dernier, donc je n'étais pas fautive concernant une absence.

S'ils continuent à m'ennuyer ainsi je vais déposer plainte au tribunal civil et au tribunal administratif pour harcèlement moral de la part de deux personnes qui m'ont traitées dans leurs "rapports" faits sur moi de parnoäque et d'hystérique, ce qui est considéré actuellement comme injure, juste pour le principe, car je ne me sens pas blessée personellement. Par contre si l'ouvrier s'est senti accusé d'être un voleur, c'est qu'il fait peut-être un complexe de persécution sinon il ne se serait pas plus senti vexé que lorsque moi-même j'ai lu en rigolant les mots de paranoiaque et d'hystérique.  Quelle preuve aurait-il que je l'aurais traité de voleur, dans la mesure où quand j'ai parlé à ma collègue du paperboard disparu, elle est allée à la fenêtre, a pointé son doigt sur lui en disant, d'après la description que tu fais de l'ouvrier qui était passé dans le CDI cela doit être lui, me désignat un ouvrier. Depuis en y réfléchissant, j'ai l'intime conviction que la personne qui avait passé son nez par la porte du CDI que je voyais, n'était pas lui, mais quelq'un qui lui ressemblait, plus jeune. Cet ouvrier là avait du revenir après vers le collège et je l'avais vu dans la cour. Et ma collègue a dit que c'était lui, mais pas moi. Parce que moi, je ne me souvenais plus exactement du visage de la personne qui avait passé sa tête par la porte (un homme à la place de la concierge habituelle.

Parce que le lendemain j'ai été tellement par l'attitude de la principale vis à vis de moi, que je risque de me souvenir de la scène exacte des années plus tard. Comme pour ces élèves qui avaitn soi-diant un jour de journée porte-ouverte un cochon avec mon nom dedans d'après le CPE, mais qui en fait avaient dessiné le porc qui était sur le polycopié avec les quartiers de viande et avaient commencé à coté un pendu (un jeu de lettres) pour trouver les mots des quartiers de porc (en hôtellerie),  et s'étaient pour s'amuser, amusés (excusez la répétition) à nous faire chercher mon nom dans le pendu à la place du quartier de porc, et personne ne trouvait. Il parait que je riais avec eux, et alors, j'aurais du pleurer? Moi, ça m'avait fait rigoler  jourer à ce jeu de lettres, Iils m'avaient fait chercher mon propre nom dans le jeu de lettres (on fait souvent ce jeu quand il n'y a pas toute la classe ou en fin d'année, surtout dans les collèges et les anciens collégiens veulent toujourset le proviseur les avait renvoyés trois jours. J'avais tellement été choquée par l'attitude du proviseur vis à vis de moi et des élèves que j'ai mis environ sept ou huit ans à m'en souvenir, et à revoir le début du cours dans ma mémoire.

Bien sûr dans cette histoire de paperboard et de rectorat pesonne ne veut me donner raison, 60 personnes lisent ce blog par jour, même à l'étranger, et c'est moi à qui on va mettre des blâmes, des avertissements pour essayer un an après l'évènement de me faire venir à la médecine du rectorat, c'est moi, alors que l'on m'a déjà enlevé 400 Euros, c'est moi  qui vais encore être sanctionnée une cinquième fois? Et ceci dans aucun jugement, l'argent m'a été enlevé sans jugement. Si c'était un vrai tribunal, quand on voit pour quelles affaires sordides certians prévenus sont condamné à payer un Euro symbolique, on se dit que vraiment, il n'y a pas de justice en ce monde.

Car enlever tnat argent à un professeur qui a fait toute l'année largement plus que son travail, parce qu'il a rattrapé cinq jours ouvrables qu'il avait manqué, c'est vraiment LAMENTABLE. (jai écrit queque part dans un blog que je faisais 22 heures par semaine environ pour 18), et ceci sur trois jours).

domino

dimanche, 20 avril 2008

Réaque

Réaque est une copine. Elle a très bien conté l'histoire du Paperboard, même si elle a pris parti contre moi qui ne suit pas Ré-Ac comme elle.  Elle a même écrit mes heures de rattrapage des cinq jours ouvrables pendant lesquels j'avais manqué l'an dernier, chassée par les hurlements de ma principale. Elle hurlait tellement que j'en ai eu peur.

Maintenant vous savez que je suis convoquée dans son bureau à 14 heures pour "affaire me concernant". Si seulement je savais de quoi il s'agissait je pourrais me préparer à l'entretien. Mais, non, je ne sais rien. J'ai peur, j'ai peur, j'ai peur.

Je suis prof d'allemand jusqu'au bout des ongles, germaniste jusqu'au bout des ongles. S'ils me proposent de faire autre chose que de l'allemand alors que le rêve de ma vie, c'est de réussir l'agrégation d"allemand, à laquelle j'ai ete deux fois admissible récemment,. je ne sais pas ce que je vais faire. Peut-être que vous n'aurez plus de nouvelles de moi à partir de mardi 15 heures ou 15 herures 30. Ils me jetteront peut-être en prison pour raison politique ou ils me mettront dans un asyle de fou, pour que j'arrête de conter les mésaventures que j'ai vécu dans l'enseignement (réduction au silence après la mise au placard... voir le livre d'Hirigoyen sur le harcèlement professionnel). Tout comme mon proviseur m'avait fait mettre en CLM en 2002 pour que j'arrête d'écrire des lettres sur les exactions et les disfonctionnements de "son" lycée à l'inspecteur et au rectorat), s'ils me proposent de faire autre chose que de l'allemand alors que je travaille celui-ci à un très haut niveau, vous n'entendrez peur-être plus parler de moi à partir de mardi après-midi.... Si on me met en CLM ou CLD, en retraite, en CPA, Vous n'entendrez peut-être plus parler de moi  à partir de mardi après-midi, car je saurais alors que je n'aurais plus assez d'argent pour mes vieux jours (ma mère dépense pour sa maison de retraite environ le double de mon salaire actuel; c'est ce que coûte les soins de son Alzheimer).

J'espère aussi qu'elle ne va pas me fourguer un service de rattachement en documentation sur les deux jours où il me reste à suivre des cours à l'université (au deuxième semestre mes horaires universitaires ont changé, je dois suivre les cours le Mardi après-midi à partir de 13 heures à 135 km ent train du collège et le Jeudi alors qu'au début de l'année je lui avais déclaré le Mercredi et le Jeudi pour mes cours à l'université. J'ai une option à suivre absolument, car ayant pu suivre toute l'année les cours à l'université, je ne me suis inscrite au CNED.

Mes profs étaient contents de moi jusqu'ici surtout en traduction et en linguistique, que vais-je devenir sans cours????

Déjà je viens de recevoir un mail d'un prof qui nous fait RV pour répartir les colles à l'heure précise où la principale me fait  RV. Tiens, j'entends déjà ma principale téléphoner à mon université "Vous lui ferez bloquer son e-mail pour qu'elle ne puisse plus faire RV avec ses profs" (Je vois déjà que c'est un farceur de H et F qui va leur téléphoner et mon e-mail bloqué : attention, il peut contenir des courriers urgents).

Moi, j'avais organisé ma vie autrement, pensant avoir un autre rattachement adminsitratif (puisque je suis seulement rattachée dans ce collège) à la rentrée (ce que j'avais déjà demandé pour cette année et que je n'ai pas obtenu, alors que d'autres collègues TZR changent automatiquement de rattachemetn tous les ans). Sur mon dossier électronique de prof (je ne dis pas son nom, sinon ma principale qui ne le connait pas, va aller y faire changer un tas de choses alors que j'ai eu assez de mal à le faire mettre à jour et à y faire inscrire mes premières affectations depuis 1976.

Elle veut peut-être me faire prendre une CPA (cessassion progressive d'activité). A quoi ça rime? A me faire perdre une demi-année de cotisations pour la retraite par an, et comme je suis loin d"avoir toutes mes années de cotisation (je dois travailler à temps complet jusqu'à 65 ans pour en avoir le plus possible), En plus en tant que TZR sans remplacement, je ne croule pas sous le travail comme lorsque j'étais prof de lycée. Alors prendre une CPA ne rime à rien, même pas pour la fatigue. De toute façon pour préparer l'agrégation, je devrais toujours étudier à temps complet! Et faire 200 km AR trois fois par semaine et plus quand il y  a des concours blancs.

Donc, de toute façon, je ne prendrai pas de CPA et personne ne peut m'y obliger. La CPA n'est valable que pour les personnes qui ont toutes leurs années de cotisation avant l'âge auquel ils peuvent prendre leur retraite.

Mon mari  a 60 ans et il travaille encore à temps complet; étant entré dans la vie professionnelle à l'âge de 25 ans, il lui manque encore 5 années de cotisations, de quoi atteindre 65 ans. Il est au même échelon que moi, mais un grade en dessous. Il est certifié Clase Normale, alors que je suis certifiée Bi-Ad Agrèg. Pour rien au monde, je ne voudrais gagner moins d'argent que lui en étant en CPA ou en retraite anticipée. Je n'oseais plus rien acheter, plus rien manger, car ce ne serait plus mon argent. Je suis une femme émancipée, style MLF. Ich bin eine Emanze. Une qui lisait Emma et Courage dans sa jeunesse (des revuies féministes allemandes), et qui fréquentait les Linksdruck et les Zwiebel et le Verlag Pläne. Qui écoutait le Väterchen Franz Josef Degenhardt, versoffener Chronist et se délectait aux voix de Angi Domdey et Bruni Regenbogen de Schneewittchen. Pour rien au monde, je ne voudrais gagner moins d'argent que mon mari.

Passons à d'autres moutons : J'ai rencontré des élèves filles de l'année dernière dans une rue de la ville de mon collège de rattachement Samedi, elles m'ont salué souriantes et repectueuses. Cela m'a remplie de joie, et m'a transportée en un temps où je n'avais pas de problèmes avec ma principale. En un temps où je sentais que j'étais utile aux élèves, que j'étais une personne respectée et appréciée. Mais la principale de mon collège de rattachement en me convoquant pour "affaire me concernant".

Un jour, des élèves de BTS hôtellerie m'avait dit goguenards "Madame, on va faire un rapport sur vous", parce que j'avais fait un rapport sur quatre d'entre eux, ils voulaient se venger d'une façon amusante et voir si le proviseur croyait le rapport qu'ils allaient faire sur moi (et qu'ils ont peut-être fait!), et qui allait raconter des choses rocambolesques et inventées qui étaient toutes les bêtises que eux-mêmes avaient faites durant leur scolarité. Peut-être que ce rapport fantaisiste est dans mon dossier, et que des personnes qui veulent m'enfoncer sont en train de s'en servir.

Je n'ai jamais été voir mon dossier, de peur d'y découvrir plein de choses fausses.

Voilà encore un rapport faux qui a été fait sur moi par un principal : des élèves auraient soi-disant démonté des prises de courant dans un laboratoire de SVT où l'on m'avait mise pour faire les cours d'lalmand; comme c'était un remplacement que je prenais au mois de janvier, les ézlèves m'ont prévenue gentiment : "vous savez Madame, le laboratoire de SVT, c'est pas l'idéal pour faire cours". En effet , les élèves étaient placé derrière d'énormes tables et de ce fait très éloignés les uns des autres et du bureau. On m'avit conseillée d'uiliser une caméra pour projeter mon tableau sur un écran de télévision, caméra qui filmait ce que j'écrivais sur une feuille placée sous elle et placée juste à coté d'un buste d'anatomie formé par des espèces de petits porte-manteaux en fer qui soutenaient les organes du corps humains qui étaient des imitations en plastique creux, munies de trous en haut pour les suspendre. A la récréation, après avoir fait cours au troisième, je suis revenue dans le laboratoire pour voir si je n'avais rien oublié dans le bureau, car ayant du changer d'étage, j'avais du me dépêcher entre les deux cours. Avant de partir, j'avais ramassé un poumon du buste d'anatomie (en plastique incassable) qui traînait par terre parce que j'avais du le froler du coude en manipulant la caméra. Le principal était à quatre pattes dans le fond de la salle, disparaissant à moitié sous une table et parlait à la femme de ménage (il ne m'a pas vue), en lui disant : ces morceaux de plastique que vous avez trouvé par terre, ont vraiment une drôle de forme, "Ah! Cela vient sans doute de là! Cette prise de courant ne tient plus très bien dans le mur, elle est déglinguée, oui, c'est sûrement là que les élèves ont été cherché cela!" Et il montrait à la femme de ménage le dessous du grand bureau en carrelage de la salle de SVT en disant : "Et ils les ont lancé jusque sous le bureau!". Pauvre domino! Qu'à fait ton coude ce jour-là, pourquoi a-t-il frôlé ce que j'appelle depuis un buste d'antaomie? Etait-ce la rate qui se dilatait ou le pancréas, ce scélérat, à moins que c'était les ovaires ou l'utérus qui avait une aussi drôle de forme que le principal n'arrivait pas à faire concorder avec la prise de courant déglinguée? Quelques organes traînaient d'ailleurs dans la poussière balayée par la femme de ménage et allaient être mis à la poubelle. Le prof de SVT a du m'en vouloir quand il a constaté la disparition d'une partie de son matériel, disparition orchestrée par le principal et le femme de ménage, et qui n'était le fait ni de moi-même, ni des élèves.

Toujours est-il que ensuite il voulait que je signe un rapport selon lequel les élèves auraient déglingué une prise de courant dans le fond de la salle, cela ayant mis en cause leur sécurité, alors qu'ils n'étaient jamais allés dans le fond de la salle. J'ai refusé de le signer écrivant qu'il ne correspondait pas à la réalité. Maiis sur le moment je n'avais pas réalisé moi-même que ces morcaux de plastique (choses bizzarres que l'on avait trouvé par terre sous le radiateur près du bureau) étaient comme celui que j'avais raccrocjhé moi-même au buste des éléments du bust d'anatomie.

Tiens, le jour de mon inspection de mars 2002, cela me revient à l'esprit, les élèves étaient rentrés à l'avance pendant la récréation par le devant de la salle (une salle de classe normale, cette fois!).  J'avais renvoyé deux élèves dans le couloir finir leurs petits pains (vendus par le lycée à la récréation),  l'inspecteur et le proviseur sont arrivés alors que je faisais rentrer ces deux élèves et se sont arrêtés au niveau de la porte arrière. J'ai bien attendu cinq minutes avant qu'ils n'entrent tous les deux par la porte arrière de la classe. Aucun de mes élèves n'était passé par l'arrière de la classe, et j'avais vérifié avant de porter les billets d'absence des cours précédents à la salle des profs pendant la récréation (ils fallait les glisser dans des urnes prévues à cette effet, et nous ne disposions pas de cahiers d'absence, j'avais à l'heure  de l'inspection un regroupement de trois classes et et les cahiers de texte étaient fait entièrement pour les trois classes, mais celui d'une classe sur les trois avait disparu la veille de l'inspection). Mais ce n'est pas pour vous dire cela, mais que j'avais bien fermé les portes de la classe en sortant à la récréation et en allant porter mes billets d'absence presque en courant jusqu'à la salle des profs (la réglementation du lycée voulait qu'on rende les billets toutes les deux heures).

Bref, après la sortie de l'inspecteur, les élèves de la classe suivante on trouvé une cigarette non entamée par terre dans le fond de la classe. Or, en première heure, j'étais au laboratoire de langue avec les BTS, en deuxièeme heure j'avais quelques élèves placés devant mon bureau (ils n'étaient pas allés dans le fond), en troisième heure, c'était l'isnpection et il n'y avait aucun élève dans les deux dernires rangs,  ils étaient tous passés par devant comme à l'accoutumée.

Et vous pensez bien qu'en tant qu'anti-alcoolique fais partie  (on me dit "tu fais partie de la ligue?" quand aux ports de fin d'année, je refuse un verre de vin, et opposée à la consommation de tabac, je faisais la guerre aux élèves qui fumaient devant le lycée aou dans le petit square à proximité leur disatn que c'était mauvais pour la santé (et pour la voix pour les chanteurs, on avait aussi une section musiclale). Mon proviseur, celui-là même qui était dans la salle le jour de l'inspection, avait un jour été vexé parce que lors d'un pot, j'avais refusé poliment le verre qu'il m'offrait. Et lui, il m'en a voulu pour cela, alors qu'il aurait pu me prposer du jus de fruit.

Bon, vous allez dire, que je saute du coq à l'âne dans cet i-grimoire, mais j'avais dit à un collègue que je ne trouvais pas normal que des élèves de seconde servent des boissons alcoolisées aux convives au restaurant d'application. Il m'a répondu "Non, mais tu te rends compte, si on disait cela à nos collègues d'hôtellerie, on aurait un tollé de protestations, il faut qu'ils apprennent la sommelerie, etc.., quels vins vont avec les plats. Le hic était que l'on trouvait les élèves d'hôtellerie souvent plus énervés que les autres, et j'avais appris par ouï-dire que certains finissaient les verres des clients en les portant à la plonge. Derrière le dos des profs d'hôtellerie.

J'ai dit alors au collègue : "On pourrait instituer une journée par semaine sans alcool par semaine au restaurant d'application, par exemple le Vendredi!" J'avais exprès de dire le Vendredi.

"Le vendredi?" s'est exclamé mon collègue "Mais tu te rends compte, le Vendredi soir, c'est le jour où il y a le plus de monde au restaurant d'application, le jour où on fait les soirées de cuisine régionale, le jour où toutes les huiles de la ville viennent manger ici!" Mon collègue allait d'ailleurs à toutes les soirées de cuisine régionale.

"Bon, alors un autre jouir dans la semaine", ai-je répondu... "Oui, mais un jour sans alcool par semaine à l'hôtellerie?", cela fait beaucoup, a répondu mon collègue.

"Un jour pas mois", ai-je dit alors, reculant sur mes positions dans cette négociation fictive puique ni l'un ni l'autre, nous n'étions proviseur.

"Oui, un jour par mois...", à la rigueur a-t-il répondu...

"Et les mini-jupes à l'^hotellerie? Tu crois que c'est normal?" Moi, je verrais bien des costumes de velours avec des longues jupes de velours foncés de diverses couleurs, style romantique, avec des chemisiers et des petits tabliers bordés de dentelle, des petites vestes de velours, des pantalons et des vestes de velours assorties pour les garçons et des chemise à jabot... Du velours bordeaux, vert foncé, marron foncé, bleu foncé et bleu pétrole, que ce serait beau!" J'avais même dessiné les costumes pendant le CLM qui a suivi cette horrible inspection. Mais je ne les trouve plus, peut-être que mon mari a porté mes modèles au lycée. Je ne suis jamasi retournée là-bas, ayant eu cette mutation pour la ZR, et j'ose rêver qu'on ne boit plus d'alcool dans la section d'hôtellerie et que les filles un peu trop fortes ne sont plus obligées d'exhiber leurs grosses jambes jusqu'au milieu des cuisses et qu'elles sont vêtues des merveilleux vêtements que j'avais conçu pour elles.

Moi, quand j'étais prof dans ce  lycée, j'avais toujours de très longues jupes qui allaient presque jusqu'à terre et touchaient le sol dans les escaliers, manquant parfois de me faire tomber lorsque je marchais sur le bas de la jupe. Je sais  que vous vous moquez de moi, il y a même eu une transformation sur une de mes vidéos dans le sens où on voudrait me faire passer pour une de mes collègues.

Je fais la suite dans une autre note, il paraît qu'on ne lit pas jusqu'au bout les notes troip longues.

Pour le blog de réaque qui explique comment j'ai rattrapé mes heures de Mai dernier, c'est dans le blog de Réaque qui a tout noté. Je ne donne pas de lien pour que l'usurp. n'aille pas squétter et spolier ses commentaires.

Rappel : comme aucune personne n'est citée nommément dans cet i-gtrimoire, personne ne peut déposer plainte contre moi à partir de cet i-grimoire.

domino