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samedi, 10 mai 2008

Il s'est fait avoir....

Avant de commencer regardez l'article de la Déclarations des Droits de l'Homme  que j'ai mis en marge, je suis libre d'exprimer mes opinions...

Espérons que nous soyons dans un pays, Sarkonien,  où il y a encore une liberté d'opinion. Il y a encore 6 ans, la France était le pays des Droits de l'Homme.

N'interprétez pas mal "Il s'est fait avoir". Je ne veux pas dire que ce collègue dont je vais vous parler, serait coupable de quelque chose et "qu'il se serait fait avoir", comme quelqu'un qui dépasse la limitation de vitesse, d'ailleurs je ne sais pas pourquoi il est allé à la médecine du rectorat, mais je veux dire "qu'il s'est fait avoir", comme moi il y a cinq ans - et comme on voulait que je me fasse encore avoir cette année -par la médecine du rectorat.

Un homme transformé, pas en bien, par la médecine du rectorat. Ils ont fait de cet homme dynamique, extrêmement brillant, une loque.

Ce collègue porte le même prénom que moi, un prénom mixte, mais il est un homme, et je suis une femme.

Il n'est pas dans le même collège que moi, mais sur la frontière, 40 kilomètres plus au Nord.

Je vais vous dire qui est ce collègue.

Il vient d'une autre académie, excédentaire en profs d'allemand, il avait un poste de prof d'allemand là-bas tant qu'il a été auxiliaire, et quand il a eu son CAPES, il a fait son stage dans l'académie où il est né, a fait ses études, etc..., puis il a atterri dans cette académie de réputation déficitaire, mais en réalité excédentaire en profs d'allemand,  mais n'est pas devenu TZR, alors que moi, mutée au même moment, alors que j'étais en congé maladie, je suis passée de lycée où j'ai travaillé depuis dix ans en poste établissement (je n'ai eu que des postes établissement depuis 1976 jusqu'à cete convocation à la médecine du rectorat, alors que l'année avait commencé sur les chapeaux de roue...). Mais ceci n'a pas d'importance... Bref, venant de sa belle académie natale, l'une des plus belles, l'une des plus réputées régions de France pour le tourisme, envahie par les allemands en été (ils devraient donc avoir besoin de profs d'allemand pour les professions touristiques, là-bas...), il s'est retrouvé dans un petit collège sur la frontière.

Il m'a raconté l'année où il est venu à la formation d'agrégation interne, il venait à la didactique et au thème, parce qu'il avait décidé de devenir bon dans une matière à la fois, mais vous savez qu'il a le même prénom que moi, alors moi, tous les ans, comme il passait l'interne et l'externe, et que moin depuis la session de 2004, j'ai passé les deux aussi, je luis en voulais un peu, mais tout en l'ayant parmi mes amis, parce qu'il rendait ses traductions auxquelles ils avaient de bonnes notes, d'après ses dire, analogues au mienne (11 ou 12/30), mais il rendait copie blanche en dissertation. Et comme grâce à mon nom de jeune fille (nom de naissance), que personne ne connaît, sauf ceux qui l'ont vu sur les listes affichées dans les salles d'écrit, je suis pas loin de la fin de l'alphabet, et que lui, il a une initiale qui est une lettre devant la mienne, j'étais souvent derrière lui, ou deux places derrières, et je me disais qu'avec sa copie blanche, il devait provoquer un décalage dans toute les copies, tout comme ceux qui ne se présentent qu'à une épreuve.

Par contre, lui me défendait ardemment. Alors que sa collègue de thème oral, maintenant en retraite, me faisait souvent taire, parce que je disais les réponses trop vite, et que je ne laissais le temps aux autres de réfléchir (mais je ne le fais pas exprès, c'est mon enthousiasme!), cette année là, après que je me sois coupé les cheveux qui ont repoussé depuis, ma prof de thème écrit qui m'avait mis des 10/20 à 12/20 pendant toute l'année précédente, appelait par mon nom marital une autre personne, et m'a asséné des 2/20 et des 4/20 pendant toute l'année. Cheveux longs, idées longues, cette année, je suis remontée à 12/20 avant l'écrit.  Il y avait, contrairement à cette année, toute une bande de candidats d'agrégation interne, qui bavardaient en début d'heure avec la prof, et riaient pendant toute l'heure, tout en travaillant, mais dès que je disais une réponse, la prof réclamait le silence à tous, en disant, "Ah, maintenant, yen a assez. Taisez-vous, Mme Domino 2:". J'étais, je ne sais pour quelle raison, toujours laissée à l'écart du groupe, personne ne me parlait, saut celui qui a le même prénom que moi. Et contre toute attente, j'ai été de ce groupe là, la seule admissible de l'agrégation interne, les deux autres étant du CNED. M. domino (domino sans majuscule étant pour cet i-grimoire le prénom mixte commun),  appelons le ainsi, mon mari portant mon nom marital étant monsieur Domino 2, alors que mon patronyme est Domino 1 (avec majuscules), bref M. domino était content pour moi, il a dit " Tu as vu, toute l'année, ils t'ont laissée de coté, toute l'année ils ont joué le grand jeu auprès des profs, et voilà, ils se sont tous étalés, et toi, tu les a tous battus. C'était ma deuxième admissibilté à l'agrégation interne. Et M. domino prenait fait et cause pour moi.

Encore l'année dernière, très en forme, il avait passé les deux agrégations, et il était en train de me rappeler ce magnifique évènement, la fois où, mise à l'écart de tous, je les avais tous battus, et ils étaient au moins une dizaine qui roulaient des mécaniques pendant les cours à l'université.

Voilà, je l'ai rencontré aujourd'hui....

Il me demande si ça va.

D'abord, j'ai dit 'oui', je ne raconte pas mes mésaventures professionnelles à tout le monde, sauf à vous, privilégiés va, chers lecteurs de mon i-grimoire.

J'ai demandé : "Et toi? Tu es toujours dans ton collège de la frontière?"

"Moi, non" a-t-il répondu. Puis il a ajouté qu'il était en CLM. Depuis septembre. Quelle coïncidence.

Je me suis dit après coup qu'il m'avait raconté une histoire, que c'était pas possible, qu'on lui avait demandé de me dire cela pour que je parle de mon histoire de paperboard, et des convocations que j'ai reçu pour aller à la médecine du rectorat.

Puis, je me suis dit, que c'était quand même quelqu'un d'entier (comme moi, qui suis aussi entière). De toute façon en Sarkonien, on ne convoque à la médecine du rectorat que les gens entiers, car dans ce pays, les gens entiers sont tellement rares qu'ils sont des originaux ou des loufoques ou des fous, des malades mentaux, comprenez-moi.

De toute façon les dominos sont généralement des personnes très franches et entières.

Alors, mon compagnon d'infortune m'a dit, qu'il allait à l'hôpital de jour de la MGEN! Heureusement que grâce au fait que mon mari soit dans l'enseignement privé, je ne suis plus à la MGEN. Pendant tout un temps, nous avons payé deux cotisations de Mutuelle parce que la MGEN refusait les conjoints du privé en cotisation familiale. Alors, je me suis mise dans la mutuelle de mon mari (mutuelle non professionnelle) en cotisation familiale. Disons que le deuxième membre de la mutuelle dans la famille paie moins cher que le premier.

Heureusement que je ne suis pas à la MGEN, sinon, ils m'auraient aussi envoyé là-bas me bourrer de petites pilules qui font voir la vie en rose, mais qui par exemple ont enlevé sa belle diction à mon collège qui depuis qu'il prend ces petites pilulles parle comme s'il avait des pommes de terre chaude ou du chewing-gum dans la bouche. Ils en ont fait une loque.... Ils l'ont transformé complètement.

Si je dis cela, ce n'est pas contre ce collègue, mais pour montrer les dégats que fait la médecine du rectorat, qui en 2002 a fait aussi de gros dégâts sur moi...

Il n'est apparemment pas syndiqué. Il y aurait donc un Goulag en France pour les profs pas syndiqués? Je ne veux pas dire vraiment un goulag, mais des hôpitaux psychiatriques comme pour Soljenytsine?

Mon collègue a dit qu'il va reprendre le travail en septembre.

Bon, voilà, une chose m'a moins plu. Je lui ai raconté mes déboires avec la médecine du rectorat, que j'avais été en 2002 convoquée là-bas parce que une heure avant le début de mon service, un lundi matin où je commençais à onze heures et alors qu'il 'était que dix heures, j'étais passé devant la concierge en lui disant que je ne me sentais pas bien, donc une heure AVANT le début de mon service, donc, avant le début de mons service c'était comme ci je téléphonais du dehors, donc je ne devais pas aller au secrétariat de direction, tout comme l'année dernière quand je suis sortie sous les hauts cris de ma principale, qui me chassait, à cause de l'histoire du paperboard (voir mes articles depuis mai 07), par deux fois à trois jours d'intervalle, je n'avais pas de compte à rendre sur mon absence, dans la mesure où c'était un service de rattachement qui est facultatif pour un/une titulaire. Donc, dans les deux cas, quand j'ai été convoquée à la médecine du rectorat, il y a eu vice de forme.

Mais je parle de moi, revenons à mon collègue, qui ne s'inquiète pas outre mesure, malgré le fait que je l'ai trouvé amoindri par rapport à l'année précédente, et fort maigri, alors qu'il était bien avant, et pas trop gros. Peut-être qu'ils l'ont confondu avec moi et qu'ils lui ont fait faire un régime inutile....

Par conre là où j'ai été vexée, c'est quand je lui ai dit que la médecine du rectorat me convoque toujours pendant les vacances, qu'elles soient grandes ou petites, et que je trouve cela bizarre. Je lui ai dit que par exemple un avis de recommandé est arrivé le samedi du début de vacances de printemps. Je ne suis pas censée avoir reçu pu aller chercher le recommandé, car le collège étant fermé le samedi, je peux très bien partir le vendredi soir et revenir le  dimanche 15 jours plus tard. C'est là que l'on voit qu'il y a quand même du harcèlement moral contre moi. J'ai des collègues qui originaires d'autres académies retournent dans leur famille pendant quinze jours à chaque "petites vacances". Pourquoi ne serais-je pas comme eux.

"Tu reçois les recommandés toujours le samedi du premier jour des vacances? Tu rigoles? Tu es paranoïaque, m'as-t-il dit.

Alors là, mon visage si souriant habituellement, mais depuis l'inspection du 22 mars 2002 et la convocation à la médecine du rectorat de septembre 2002, j'ai pratiquement perdu mon beau sourire, tellement ils m'ont fait mal, alors là, mon visage, si souriant habituellement s'est renfrogné.... Encore cette injure? La même que celle de la principale? La même que celle de l'ouvrier. Mon mari est quand même témoin, que l'on me convoque presque toujours pendant les vacances, et que cet avis de recommandé est arrivé le samedi matin.

Je n'ai même plus le courage de me défendre. Mon syndicat de l'année dernière convenait que ce n'était pas normal de convoquer quelq'u'un pendant les vacances, mais me disait que je devrais quand même aller à la médecine du rectorat à la rentrée (de septembre dernier).

Alors moi, je leur réponds, juridiquement, ils sont dans l'erreur, car aucune plainte n'a été déposée contre moi, et je n'ai aucune obligation de soins. D'ailleurs le psy qui n'était pas le spy chez lequel voulait m'envoyer la médecine du rectorat à 80 kilomètres de chez moi, alors que j'en avais trouvé un bon à 8 km, que je ne juge plus bon, depuis qu'il a pris fait et cause pour m'envoyer à la médecine du rectorat en septembre, masi il n'avait pas la même voxi que d'habitude au téléphone, il avait prétendu qu'elle était déformé par son Alice-Box, mais le rire sarcastique qu'il a eu à la fin de la convesation téléphonique n'était pas celui de ce médecin, j'ai l'impression que mon appel téléphonique à mon médecin avait été intercepté et que c'est un autre qui m'a répondu, un du rectorat. Peut-être celui de l'hôpital de jour de la MGEN. J'ai l'imrpession que la TZR de français qui travaillait avec moi l'an dernier au CDI du collège, n'était pas étrangère à cet appel, car elle avait entendu ma conversation téléphonique avec mon médecin. Elle était d'avis que je n'avais pas à être dans ce CDI, alors que c'était la prinipale qui m'obligeait à rester là.

Ce n'est pas la peine de me faire réadhérer à la MGEN, parce qu'elle rembourse moins que ma mutuelle et en ré-adhérant à plus de 50 ans, je ne peux plus bénéficier des compléments de salaire en cas de congés, etc....

Vous ne trouvez pas que l'histoire qu'ils m'ont faite pour ce paperboard est vraiment ridicule, d'autant plus que j'avais même rattrapé les heures d'absence sur ce service de documentation que je ne devais pas faire, parce que je suis germaniste et que je ne  m'étais portée volontaire pour faire de la documentation ?

Et mon cas de TZR sans service n'est pas isolé, il y a 3 ou 4 ans, une TZR a été admise à l'agrégation externe d'allamand, alors qu'elle n'avait travaillé que six mois en deux ans depuis sa nomination comme certifiée titulaire. Et elle n'avait pas travaillé du tout l'année de son admission tout en étant payée à temps complet, elle venait à l'université tous les jours ou presque, Et les professeurs ne lui ont jamais demandé des comptes sur son activité professionnelle (comme ils l'ont fait parfois pour moi), car comme elle était fort jeune, ils la prenaient pour une étudiante.

 

Bon, je résume quand même, car ce journal intime reflète mes pensées parfois désordonnées, comme le sont toutes les pensées...

- En ce qui concerne M. domino, mon collègue d'allemand, mais pas un collègue d'établissement, du même prénom que moi, je pense que !

a) il s'est fait avoir par la médecine du rectorat parce qu'ils le démolissent à coup de pilules.

b) ils l'ont peut-être confondu avec moi, et moi avec lui, peut-être qu'il a fait quelque chose de plus grave que de constater que le disparition d'un paperboard pouvait être un vol, mais il m'a dit que non, qu'il était malade pour une affaire personnelle. Je vais imaginer la conversation que mon collègue a eu avec le médecin du rectorat s'ils l'ont pris pour celui qui a fait le signalement de la disparition du paperboard. Voir plus loin ou une autre note au théâtre ce soir (2).

Je dis peut-être qu'il a fait quelque chose de grave, s'ils m'ont confondue avec lui, parce que leur insistance à me convoquer pour une histoire aussi minime et ridicule que celle de paperboard et alors qu'en juin 2007 tout le monde semblait être réconcilé au collège, ou ma principale a-t-elle été hypocrite pour m'avoir caché durant tout le mois de juin qu'elle m'avait fait convoquée à la médecine du rectorat? Cette histoire est tellement ridicule et minime que ça ne vaut pas la peine de mettre quelqu'un en congé pour cela, ça ne vaut pas la peine d'enlever 400 Euros à quelqu'un pour cela, que cela ne vaut pas la peine de mettre un blâme pour cela (quoiqu'on a vu pire, en 2003 un professeur avait été blâmé parce qu'il avait parlé de religion aux élèves, et ce n'était même pas de sa religion... Donc, ce n'était pas du prosélytisme religieux.  Mais où va-t-on? Je reviens à nos moutons, parce que leur insistance à me convoquer par lettre recommandée, etc... montre qu'ils font des éléphants avec des mouches en ce ce qjui me concerne, et s'ils font cela, c'est qu'ils m'ont confondue avec quelqu'un qui a fait quelque chose de grave. Mais mon collègue dit que non que pour lui, il s'agit d'une affaire personnelle, et pas professionnelle.

c) Je pense que si pour le collègue il s'agit d'une affaire personnelle comme un chagrin d'amour, il vaudrait mieux qu'il travaille pour oublier son chagrin.

 d) je pense qu'il n'aurait pas dû dire que je serais paranoïaque parce que je dis que les lettres recommandées arrivent toujours les samedis du début des vacances. Parce que je trouve que c'est une injure. Si un élève vous disait "M. ou Mme, vous êtes paranoïaque!", vous sanctionnerez l'élève, n'est-ce pas? Alors pourquoi ne pas sanctionner ma principale et l'ouvrier qui l'ont écrit noir sur blanc. On n'est quand même plus au temps de Camille Claudel....

De plus pour les lettres du samedi, mon mari est témoin, puisque c'est lui qui ramasse le courrier dans la boîte aux lettres... Alors, ils vont essayer maintenant d'éliminer ou de mettre hors de combat mon époux, pour que je ne puisse pas témoigner contre eux avec l'histoire des lettres qui arrivent toujorus au début des vacances????? Ils iraient jusque là..... Ils élimineraient tout témoin? Quand mon mari ne me donne pas les convocations de la médecine préventive du rectorat, médecine qui tue, et qui a transformé mon collègue du collège de la frontière en zombie, c'est pour m'épargner et faire en sorte que je ne tombe pas dans les pommes à la réception de ces lettres pleines de menaces de sanctions, et faire en sorte que je ne pleure pas pendant quinze jours à réception de la lettre.

En 2002 aussi, il y a eu quelque chose de bizarre, j'avais été convoquée deux fois à la médecine du rectorat :

1) Le première fois, c'était quand j'étais arrivée 1h 1/2 avant le début de mon service au collège pour préparer mon travail (travaux de reprographie), puis ressortie au bout d'une demi-heure, sans faire beaucoup de bruit et après avoir dit à la concierge une heure AVANT le début le service, monsieur Je-sais-tout-ce-qui-se-passe-dans-le-lycée-et-dans-l'académie, mon collègue d'allemand du lycée que l'on a appelé après-coup M. Supposition et qui élucubre et affabule beaucoup, avait dit que j'aurais fait un esclandre..... peut-être. Grâce à son "peut-être" il a été sauvé, et n'a pas eu de sanctions. Il n'était même pas là quand j'ai parlé à la concierge, et il a prétendu que j'avais parlé au concierge...

La Mme le Dr de la médecine du rectorat avait admis plus ou moins que j'aurais été victime de harcèlement moral de la part du proviseur.

2) Au deuxième rendez-vous, elle m'avait dit, ne me reconnaissant peut-être pas, "Vous avez quelque chose à avouer". Elle avait deux dossiers devant elle, elle me disait en me montrant l'autre dossier : "Cette personne est victime de harcèlement moral, mais vous, ce n'est pas la même chose, votre dossier est là, vous n'êtes pas victime de harcèlement moral, vous devez m'avouer quelque chose...." Alors moi, j'étais bien embêtée parce que je ne savais pas du tout ce que j'avais à avouer, j'avais été victime de deux agressions d'élèves à un ou deux mois d'intervalle l'année précédente, mais je ne voyais pas du tout ce que j'aurais fait de mal...  Encore aujourd'hui, je me demande ce qu'elle voulait. Alors, je me suis dit sur le moment, elle doit avoir un dossier bien sur moi au cas où le médecin assermenté accorderait le congé maladie qu'elle demandait tout en m'ayant dicté la demande sous menace de sanctions administratives (et il m'avait accordé le CLM et devant mon insistance ma reprise). Et un autre dossier au cas où on ne m'aurait pas accordé le congé qu'elle m'avait obligée à prendre. (Depuis, je me suis endurcie et je ne cède plus aux menaces, ni aux sanctions...)

Puis avec du recul, et voyant le cas de ce collègue qui porte le même prénom que moi, je me suis dit, qu'elle devait peut-être recevoir deux personnes le même jour, et que mon dossier était celui de la personne victime de harcèlement et que l'autre dossier était peut-être celui d'une personne que l'on voulait protéger parce qu'elle avait eu des accusations contre elle. Parce que dans cette histoire, tout comme maintenant, personne n'avait déposé plainte contre moi ; c'était au moment où a éclaté l'affaire d'Outreau et je me suis demandé si le dossier qu'elle me montrait n'était pas celui de la prof d'histoire géographie qui avait été mise en accusation dans cette affaire et si elel ne m'avait pas confondue avec elle. Et comme je m'appelle domino, si ils ne m'avaient pas confondue aussi avec Dominique Wiehl qui a aussi un nom à la fin de l'alphabet; pourtant d'après ce que j'en sais, il n'était pas professeur.

Cinq ans après, je me pose cette question: sinon je ne vois pas pourquoi l'inspecteur m'a dit après l'inspection une chose qui m'a fait très mal, car j'avais vraiment le sentiment d'être aimée par mes élèves... "Madame, si j'avais des enfants à scolariser ici, jamais je ne vous confierais mes enfants!" Et pourtant, le proviseur m'avait déjà dit que les parents aimaient bien le fait que je donnais beaucoup de travail..... Alors on me tenait deux discours contradictoires et je n'y comprenais plus rien..... je faisais depusi huit ans aussi un travail assez important pour les commissions de BTS, ce qui aidait cet inspecteur et avait aidé l'ancien, et j'ai trouvé que pour tout ce que j'avais fait dans ce lycée et autour dans mon enseignement et mon engagement pour ma matière : l'allemand, j'avais vraiment un drôle de remerciements. Les collègues d'allemand avaient raison, eux qui disaient "Tu fais tout cela pour rien!" Apparemment ne pas faire tout cela était payant, puisqu'ils sont toujours sur leur poste.

Ce qui semble confirmer mes soupçons d'une confusion avec ces personnes là est qu'il semblerait que l'année où tous mes collègues de la foramtion d'agrégation me mettaient de côté, tout le monde semblait croire que j'habitais sur une côte alors que j'en suis éloignée de 200 à 250 kilomètres.

J'ai pensé aussi que l'affaire d'Outreau était un canular. C'était trop gros pour être vrai.

domino

dimanche, 16 septembre 2007

Me réorienter... 3 ans et demi avant de pouvoir toucher ma retraite et puis quoi encore?????

Bon, je vais être encore une fois convoquée à la médecine du rectorat.... Et pour la quatrième fois en 3 mois... Je ne vais pas y aller.

 C'est toujours pour l'histoire du paperboard (voir mes archives de Mai) et pour l'histoire de l'ouvrier qui s'est senti vexé par une "affiche", vulgaire feuille 21 x 29, 7, (les autres doivent avoir une vue qui agrandit les papiers!) sur laquelle était écrit d'une autre écriture que la mienne, ça je suis formelle, mon écriture est pointue quand je vais vite et ronde quand je m'applique, mais elle n'a jamais été carrée ou seulement dans ma jeunesse...quelque chose comme "pour les agents de service : prière de ne pas bouger le matériel d'exposition". Ah! Le pauvre, pour ce papier déposé là à titre préventif -il me semble que c'est la surveillante qui voulait m'aider à partir plus vite qui l'a écrit, mais je n'y ai pas trop fait attention, je sais encore qu'elle avait collé une de ces prétendues affiches avec force scotch sur une table, pour ce pauvre papier déposé là à titre préventif, il a failli aller au tribunal déposer plainte contre moi!

Et a fait un rapport ou tout comme la principale, il me traite nommément d'hystérique et de paranoïaque...  une chose pour laquelle je pourrais aller aussi au tribunal déposer plainte contre lui et la prinicipale.

Hors, c'est moi que l'on sanctionne :

1) Pour deux convocations à la médecine du rectorat pendant les vacances les 6 juillet et 28 août (vacances scolaires de mon académie et de mon collège de rattachement, 4 juillet à midi au 3 septembre à 8h):

2 fois un trentième de salaire en moins.

2) Pour une convocation à la médecine du rectorat le 6 septembre : 1/30 ème de salaire en moins et une autre sanction administrative que j'ignore, je n'ai pas été chercher la lettre recomandée de peur de me mettre à hurler, de peur de tomber dans les pommes.

3) Pour une convocation à la médecine du rectorat prochainement, je n'irai pas, je n'irai pas, je n'irai pas.

J'ai écrit un jour à mon inspecteur (j'ai lu dans le BO qu'il partait en retraite pendant ces vacances), qu'en me faisant convoquer à la médecine du rectorat en septembre 2002, alors que j'avais commnencé l'année sur les chapeaux de roue, que j'avais des classes agréables et tout, qu'il avait brisé ma vie et ma carrière. Et ils continuent. Pour une vulgaire histoire de paperboard, ils ont fait d'une mouche un éléphant, ils ont monté une histoire en épingle pour me nuire.

Je ne suis qu'à trois ans et demi d'une retraite potentielle ,dans 3 ans et quelques 8 mois, je pourrai toucher une retraite partielle de fonctionnaire, j'aurai 60 ans, mais je n'aurai pas toutes mes années de cotisations, et il faudrait que je continue au moins jusqu'à 65 ans, et ils veulent me défonctionnariser, me destituer avant l'âge de la retraite, juste avant, pour faire des économies sur mon dos, économies qu'il donneront à l'état pour en faire une état policier et construire des armes. Ils font déjà des économies sur mon dos à m'enlever des trentièmes de salaire.

Voilà comment j'ai été récompensée pour tous les jumelages, les voyages en Allemagne que j'ai organisés, les jurys de BTS, les nombreux sujets que j'avais fait pour les commissions d'examen pendant 8 ans, les projets pédagogiques (trois années de littérature européenne), etc....

Sans compter tous les stages de formations que j'ai suivi et que je suis encore...

Sans compter l'année de documentation que j'ai faite l'année dernière contre mon gré et ma volonté...

Ils avaient créé i-prof pour qu'on puisse y vanter nos mérites. Et pour que les inspecteurs qui nous inspectent ne se trompent plus. I-prof n'est jamais consulté, sinon, on m'appelerait tout de suite pour des remplacements en lycée et en BTS. Ils ont un an de retard dans le report de l'ancienneté, ils en sont encore à septembre 2006.

On m'a dit comme à d'autres TZR de rester chez moi, en attendant qu'on ait besoin de moi. Collée au téléphone, qui est à coté de l'ordinateur, espérant le remplacement miracle. Mais prête à raccrocher tout de suite si c'est la médecine du rectorat qui appelle.

On m'a bloqué le seul i-mail où j'ai l'adresse de mon médecin, par lequel je communique avec mon médecin, pour que je ne prenne pas contact avec lui avant la fatidique visite à la médecine du rectorat où de toute façon je n'irai pas. pour qu'il ne fasse pas annuler le Rendez-Vous à la médecine du rectorat. Ils prétextent que mon e-mail est bloqué pour une rénovation des e-mails alors que j'avais reçu un e-mail il y a une semaine disant que la rénovation des e-mails était terminée. Ils choisissent toujours leur moment!

A quoi cela sert? Ils veulent me mettre en congé pour ne pas payer les ISO que je reçois en tant que TZR qui reste à la maison et qui fait des études. (l'année dernière je faisais 70 km AR 3 fois par semaine pour faire de la documentation et un club d'allemand).

Tout cela c'est une affaire de fric.

Une affiaire de fric digne d'une torture psychologique.

Est-ce que cette médecin du rectorat se rend compte de ce qu'elle fait, qu'à chaque fois qu'elle m'envoie une convocation, elle me fait souffir? Qu'à chaque fois qu'elle me fait envoyer une sanction, elle me fait souffrir. Un médecin qui envoie des sanctions à une personne qui ne fume pas, ne boit jamais de boissons alcoolisées, n'est pas droguée, vous trouvez cela normal, vous????

Un médecin qui sanctionne, vous savez à quoi cela me fait penser, à une époque reculée de déjà 60 ans, une époque toute noire de l'histoire européenne, aux médecins qui étaient dans les camps, voilà Mme ke Dr B, ce que je pense de vous, vous êtes en un peu moins physiquement cruelle, mais de cette sorte-là, et au minimum de la sorte des médecins du Goulag. Vous pouvez m'attaquer, moi je soritrai les rapports sur lesquels on m'a traitée d'hystérique et de paranoïaque et auxquels vous avez donné foi, et je contre-attaquerai.

Messieurs et Mesdames qui lisez cet i-grimoire, vous ne réagissez pas, est-ce que vous vous souvenez qu'en 1933 peu d'allemands on réagi, et que vous les Français, vous le leur avez reproché. Vous les moutons, vous les suiveurs, les Mitmacher, les Mitfolger, les Mitläufer, les collaborateurs, vous laissez faire. Pour le moment, c'est moi seule qui suis attaquée par la médecine du rectorat, peut-être aussi ma mère à laquelle on aurait donné la maladie d'Alzheimer par des médicaments qui tuent la mémoire, mais si on laisse faire, bientôt ce seront des milliers de médecins qui vous convoqueront vous et vous mettront en congé en dehors du combat social et de l'action dans la cité.

Vous savez ce qu'ils font quand ils vous convoquent là-bas, je l'ai vécu en 2002, ils vous font subir un interrogatoire sur toute votre carrière, depuis le tout début il y a plus de trente ans jusqu'à maintenant, ils vous pèsent, vous mesurent, ne vous auscultent même pas, pondent des examens pour votre médecin traitant qui n'en a rien à faire et dit qu'ils font faire des dépenses inutiles à la Sécurité Sociale, vous infantilise, en disant : il faut changer de look, vous teindre les cheveux en auburn, votre couleur d'origine (je n'ai jamais eu les cheveux auburn de ma vie, pourtant!), vous disent , tiens si vous écoutiez un peu de musique baroque, vous savez, c'est beau la musique baroque, vous irez dans tel magasin, tel endroit, acheter tel disque, vous n'écoutez jamais du Jean-Sébastien Bach? Cest sublime! Et puis, il faudrait bichonner votre mari....

Et vous avez beau essayer de lui dire que vous faites vous même de la musique baroque, que vous avez fait partie pendant trois ans d'un groupe instrumental et vocal baroque amateur, que vous avez construit une guitare baroque, que vous avez appris pendant les vacances le Prélude et Presto de la suite BWV pour luth de Bach, que vous avez appris l'année précédente "Es ist vollbracht!" de JS Bach, qui allait si bien à votre belle voix d'alto, que vous connaissez tout le début du Nisi Dominus de Vivaldi et tout le Salve Regina de Pergolère par coeur.... non, non, non, rien à faire, vous devez écouter ce disque là dirigé par Herreweghe, et que vous avez fait de la musique et justement du baroque, on s'en f... comme de votre première chemise, on vous coupe la parole à chaque fois que vous commencez à dire, "j'ai jou..., j'ai chan....". A la fin, excédée, elle a fini par me dire, bon écoutez une heure de musique par jour, et si vraiment,vous faites de la musique, faites-en une heure tous les deux jours...

Elle m'avait dit :"Ah! Vous avez déjà un CAPES, et bien passez-en un deuxième pour ne plus enseigner l'allemand", elle m'avait dit "L'agrégation d'allemand, c'est inaccessible pour vous..." Et je l'ai fait presque mentir, en devenant depuis deux fois admissible, bi-admissible, je suis fière de l'avoir fait mentir, j'aurai mon agrégation d'allemand un jour, na! Pour la faire mentir complètement. 

Résultat des courses, cinq ans plus tard, j'ai sorti deux fois la guitare de son étui en deux mois, j'ai chanté dans mes t...s quatre à cinq fois, depuis longtemps je ne chante plus dans la salle de bain, depuis longtemps à cause de la médecine du rectorat, la musique s'est éteinte en moi...

Voilà comment on brise un être humain, un bon professeur (car mes élèves me le disaient que j'étais bonne!), une personnalité, une vie, une musicienne... digne du goulag ou de Nuit et Brouillard l'action de la médecine du rectorat.

Et moi, je me soigne par phytothérapie, par oligo-éléments, à la rigueur par homéopathie et ils n'ont pas le droit de m'imposer leur traitements. Dans une société démocratique, d'après la Charte des Droits de l'Homme chacun a la libre disposition de son corps et peut le soigner comme il l'entend.

domino

mercredi, 11 juillet 2007

La première et dernière sanction administrative de sa vie de prof (56 ans)

Lettre qu'elle avait reçue aujourd'hui :

Le recteur de l'académie de GRANDE PREFECTURE

à

Mme dominique,

certifiée bi-admissible d'allemand, *

Recommandé avec accusé de réception

 

Grande Préfecture, le 9 juillet 2007,

Vous ne vous êtes pas rendue le 6 juillet 2007* au cabinet du Dr NN. afin de subir une expertise médicale comme vous le demandait la Médecine de Prévention. De ce fait, un précompte d'un trentième de votre traitement sera prochainement effectué.

Un nouveau rendez-vous vous sera fixé à la rentrée scolaire 2007/2008 au Centre de Médecine Préventive (adresse).

Dans le cas où vous vous ne présenteriez pas (sic!)* à nouveau à ce rendez-vous et en application de l'article 24 de l'article 24 du décret n°88-442 du 14 mars 1988, un précompte d'une trentième de votre traitement sera effectué.

Pour le recteur et par délégation, etc....

Notre commentaire :

La médecine préventive convoque "dominique" parce qu'elle pense qu'elle a des problèmes de santé, Pour ses paraît-il problèmes de santé, dominique se voit sanctionnée d'1/30ème de salaire en moins.

En septembre 2002 dominique a répondu a un appel de la médecine du rectorat sous menaces de sanctions administratives si elle ne venait pas; elle a du remplir une demande de congé longue maladie sous menaces de sanctions administratives si elle ne le faisait pas, les diminutions de salaire qu'elle a subie ont été bien plus graves que les 2/30ème mois de salaire (qui actuellement représente 80 Euros par trentième).

Pour s'être présentée à la médecine du rectorat et avoir signé contre son gré (contre sa porpre volonté) une demande de CLM (domino avait rendu toute cette année écoulée de bons services, elle était celle qui faisait le plus de sujets pour les jurys de BTS avec le responsble de commision, etc...), pour s'être présentée à la médecine du rectorat cette année-là dominique a eu comme sanctions sur salaire (sanctions financières) :

- tous les conseils de classe en moins pendant treize mois (appelés maintenant ISO),

-tous ses salaires de décembre à juin (trois mois après sa visite à la médecine du rectorat), divisés par deux), et reversés ensuite vers le mois de septembre de l'année suivante, sans intérêts donnés en plus, alors que si elle  avait eu ses salaires versés immédiatement, elle aurait pu faire fructifier cet argent sur un compte,

-son treizième mois de congé longue maladie payé à demi-traitement, sans versement complémentaire de la MGEN, puisqu'elle est dans une autre mutuelle.

en 2002, elle a fait des pieds et des mains pour revenir sur son poste et pour y revenir rapidement; son proviseur lui avait interdit l'entrée de son lycée, et lui avait interdit de reprendre le travail, simplement parce qu'il avait constaté son absence un lundi de 11 à 12 heures, première heure de cours de la journée, alors qu'elle était venue au lycée travailler (tourner ses polycopiés pour la journée sur la machine à polycopier) et qu'elle était sortie du lycée avant le début de son service en prévenant la concierge qu'elle s'en allait "parce qu'elle ne se sentait pas bien" (en fait dominique ne se sentait pas bien parce que l'inspecteur voulait mettre une tutelle pédagogique à celle qui était jury de BTS de longue date et alors qu'elle n'était pas stagiaire, ce qui était aussi illégal, car il n'avait le droit de ne lui donner qu'un accompagnement qui à la rigueur pouvait être octroyé dans certains cas...).

Comment peut-on être méchant au point d'envoyer de telles lettres à une personne qui, selon la médecine du rectorat elle-même aurait des problèmes de santé?

En tout cas dominique était, sur son service de rattachement, respetée par ses élèves, on le voyait à la façon dont ils lui disaient poliment "Bonjour Madame" et "Au Revoir Madame"  en inclinant légèrement la tête, lorqu'elle nous conduisait dans sa Ville de rattachement et qu'elle arrivait à bon port devant son collège ou qu'elle en repartait, par les bienfaits du co-voiturage pour lequel elle ne me demandait même pas finances. Jamais sa voiture n'a été rayée par les élèves. Elle n'a subi que du vandalisme dans une ville où elle ne travaille pas, car les jeunes qui connaissent sa voiture la respecte.

Le recteur qui fait envoyer de telles lettres par les sbires de son rectorat ne peut pas savoir les dégâts que peuvent faire de telles lettres sur les personnes qui sont sérieuses, compétentes, et ne manqueraient pour rien au monde une journée de classe si ce n'est parce qu'elles sont un jour harcelée par leur supérieure hiérarchique, qui je vous le rappelle l'avait traitée de paranoïaque et de hystérique dans les rapports qu'elle a fait sur elle, l'injuriant par écrit et exerçant illégalement une  médecine qui date d'un autre âge.

Nous qualifierons cette lettre qu'elle a reçu aujourd'hui de bassement administrative.

A bas le harcèlement des proviseurs, principaux et services rectoraux contre les professeurs !

A bas le harcèlement des services médicaux du rectorat contre les professeurs, acharnement thérapeutique qui dans certains cas peut conduire à la mort !

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*date située pendant les congés scolaires, donc on lui a enlevé non pas 1/30ème  de son salaire, mais 1/30ème de ses congés payés, les professeurs contrairement aux autres fonctionnaires de même indices de traitement n'étant payé que dix mois sur douze, leurs dix mois de traitement étant étalés sur les 12 mois de l'année, c'est à dire que sur l'année ils sont payés 10/12ème du traitement des autres fonctionnaires de même indice. Donc, dominique ayant effectué ses dix mois de services intégralement cette année, ne pouvait avoir de service non fait déduit sur une période de congés payés, en effet la fin de l'année scolaire était située le 4 juillet à midi pour les collèges (et elle était cette année en collège), et la date de convocation était le 6 juillet soit située pendant les congés scolaires, et aucun professeur n'a jamais eu l'obligation de répondre à une convocation du rectorat pendant les congés scolaires, et en particulier les congés d'été qui sont comme il perçoit un salaire de 10 mois réparti sur 12 mois, pour éviter que les professeurs se retrouvent sans argent en été, une période pour laquelle il n'est même pas payé. Comment peut-on enlever une 1/30ème  de traitement sur une période non payée. Un trentième de traitement d'une période non payée puique Mme dominique avait rattrapé toutes les heures lors desquelles elle était en stage de PAF et avait également rattrappé toutes les heures qu'elle avait manqué pour avoir fuit devant les haut-cris de sa principale, Je vous rappel qu'en tant que TZR, elle faisait un service volontaire -désignée- sur poste de documentation alors qu'ellle était professeur d'allemand, titulaire, bi-admissible à l'agrégation et que si elle n'avait pas décidé elle-même de faire entre midi en supprimant ses heures de repas deux séances de clubs d'allemand par semaine, elle n'aurait pas pu faire d'heures d'allemand à des jeunes. Elle est en plus bénévole du jumelage de la ville en allemand.

*La faute de négation (faute de français) est recopiée textuellement ! Pensez-vous qu'ils écrirons un erratum et s'excuseront pour la faute de français en dessous de ses commentaires comme le fait souvent dominique pour ses fautes de frappe ????

*Il n'est jamais précisé dans les écrits concernant "bi-admissible" "à l'agrégation", ce qui est quand même écrit sur le bulletin de salaire où dominique est "professeur bi-adm. agrég."

P.S. Aucun nom n'étant cité dans ce blog, le blog ne peut être attaqué.

jeudi, 21 juin 2007

Du harcèlement de la médecine (suite)...

Vous avez tous lu dans mon i-grimoire, l'hstoire de mes convocations à la médecine du rectorat qui m'avait mise abusivement en congé (congé maladie dans le sens de congédier, mettre à pieds), alors que j'avais rendu d'immenses services au lycée où j'étais alors, le proviseur de ce lycée et l'inspecteur m'avaient fait mettre en congé par l'intremédiaire de la médecine du rectorat.

Vous avez tous lu récemment dans mon i-grimoire, l'histoire de la disparition du paper-board du  CDI et la réaction de la principale qui m'a dit que ce serait moi qui ne saurait plus où je mettrais les affaires.

Vous lirez ici aujourd'hui l'histoire de la nouvelle convocation à la médecine du rectorat pour mise en congé suite à l'histoire du paperboard, soi disant que j'éprouverais des problèmes 'de santé". Il n'est heureusement pas précisé "dans l'exercice de vos fonctions'. Comment le dire puisque j'ai exercé toute l'année des fonctions qui ne sont pas les miennes...

A ce propos :

- Je n'étais  pas nommée par le recteur en documentation, comme ma collègue également TZR, mais j'étais nommée par ma principale de mon collège de rattachement en documentation dans son CDI, en attendant des suppléances, Donc sans obligation de service, car je n'avais pas de V.S. (= emploi du temps déclaré au rectorat en début d'année scolaire).

- Cependant ma collègue nommée à son horaire statutaire de 18 heures par semaine, a apprécié ma présence, et quand je lui ai dit : "J'espère que je ne t'ai pas trop ennuyée tout au long de cette année", elle m'a répondu..  que finalement si je n'avais pas été là, elle aurait quand même eu du mal à s'en sortir avec 18 heures par semaine, et qu'elle n'aurait pas réussi à tout faire, si je n'avais pas été là, et que finalement ma présence lui a été utile. C'est vrai que en plus de l'accueil des élèves, j'ai abattu beaucoup de boulot dans ce CDI (traduisez médiathèque scolaire). Quand j'étais seule comme presque tous les Vendredi, j'avais des élèves toute le journée, ce qui m'empêchait de faire le reste du travail (rangement, classements, etc...), car il fallait toujorus répondre à leurs besoins, il n'y avait que les troisième qui étaient suffisamment indépendants pour travailler seuls. Ce soir, alors que nous partions toutes les deux "en vacances", un élève est encore venu me demander si je les prenais de 16h30 à 17h30 pour préparer l'exposition, qu'il avait encore des documents sur la Pologne. Je lui ai dit d'amener ses documents à la CPE et qu'elle le mettra dans l'exposition qui ne sera qu'un cahier. Il se  faisait aider par sa mère et à cause de cette principale qui ne peut plus me voir, tout cela va tourner court.

Avec l'histoire du paper-board et avec cette convocation (hors année scolaire, pour que les autres ne puissent pas réagir, mais ils sont déjà au courant), on a cassé quelque chose dans le bon déroulement des activités du collège.

Encore cette après-midi beaucoup d'élèves sont venus mandatés par leur profs taper des affiches d'exposition. Ils auraient bien aimé encore travailler une heure de plus, mais ma collègue rendait notre clef commune (nous n'avions qu'une clef pour deux) à 16h 30.

Finalement malgré les quelques critiques que j'ai eu à formuler sur son esprit trop fonctionnaire (ne pas faire une minute de plus que l'horaire demandé), nous avons fait bon ménage, un peu comme mère et fille,  quand même et notre CDI (= médiathèque scoaire) a toujours été tenu d'une façon impeccable, joli avec ses chaises d'un bleu vert, ses jolis meubles, mes dessins d'animaux (que j'ai repris) et sa joli vue sur les jardins du collège, et les arbres des maisons environnantes avec les pins parasols qui font penser au Sud. Quelle différence avec le désordre qui règne dans la salle des profs !

Si je suis rattachée là l'année prochaine, je me retrouverai peut-être avec une personne méchante, irascible. Pour le moment le mouvement des documentaistes ayant eu lieu hier, personne n'a encore été nommé alors j'y serai peut-être seule.

Ma collègue a en effet obtenu un vrai poste de français, pas un poste de TZR, à 4 km  de chez elle. A l'âge de 26 ans, et moi à 56 ans, je suis depuis 5 ans TZR, elle avait 33 points pour sa mutation et j'en avais quelques 240 points, mais en allemand les postes sont plus difficiles à obtenir. Les mesures de carte scolaire ont automatiquement 1500 poinrs d'avance sur nous. Cela fait 5 ans que je demande un poste (choisi bien sûr) dans ma zone (où se situe mon domicile conjugal et le travail de mon époux), 5 ans que c'est niet.

Vous vous souvenez de la médecine du rectorat en septembre 2002 ?

-  Vous allez couper vos cheveux !

- Vous allez vous teindre les cheveux en roux !

(Atteinte à l'intégrité physique de la personne humaine, même couper une mêche de cheveux à quelqu'un sans son consentement est répréhensible par la loi.)

- Tenez je vous fais un plan pour aller chez tel disquaire acheté tel disque (Bach, Herreweghe, je ne sais plus quelle chanteuse...),  cela vous fera du bien, vous connaissez la musique baroque (à l'époque je faisais du chant baroque amateur! La médecine du rectorat m'a fait abandonner involontairement la musique. Quand j'ai entendu dire que le chant baroque, c'était uniquement tel chef d'orchestre, aussi grands que soient ses mérites, j'ai été dégoûtée !

Bref, vous voyez comment le harcèlement moral de la médecine du rectorat continue. Ce harcèlement dont je vous avais fait part il y a déjà un an en racontant les déboires que j'ai eu avec elle il y a cinq ans. Mais personne n'a essayé de faire quelque chose contre. Et tant que personne ne s'insurgera contre ce que l'on fait subir à une personne isolée comme moi, alors que même les syndicats ne comprennent rien au film, ces interdictions professionelles contre les gens dits de gauche, telles que celles que l'on trouvait en Allemagne lors de la chasse aux sorcières des années 60/70, continueront, ces exactions contre des professeurs aimés des élèves, des professeurs qui font pas de politique en classe (nous vivons en Union Européenne, c'est un fait, alors pourquoi vouloir empêcher une exposition sur l'Europe? D'ailleurs l'Europe est dans les programmes d'histoire et d'intruction civique).

 Autre chose :

 Je me demande pourquoi la prof d'allemand titulaire du poste de ce collège est en congé maladie : pour soigner son mari malade comme on le raconte en ville, ou parce qu'elle s'était disputée avec la principale ?????

domino

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Formes de lutte (que n'emploieront jamais des collègues couards) :

- grève du pot de fin d'année,

- grève de la distribution des prix (pour les élèves les plus méritants),

- grève de la journée Portes Ouvertes.

- zèle : rester ensemble dans les collèges et lycée systématiquement une heure après l'heure de fermeture.

- zèle : donner un devoir assez long aux élèves dans chaque matière tous les jours.

domino

Lettre ouverte à un syndicat

Chers collègues,
J'arrive toute souriante au collège ce matin, en pleine forme, faire le dernier jour de mon service de rattachemant (la principale m'a libérée pour le brevet des collèges et les trois derniers jours où quelques profs assureront une permanence et je venais d'avoir une lettre me signifiant cette libération pour la fin de l'année).
Et voilà que le malheur arrive par une autre lettre qui m'est apportée par une surveillante :
Je suis convoquée à la médecine du rectorat le 6 juillet (date bien choisie pour qu'elle soit située pendant les vacances scolaires, et que le résultat, sans doute une mise en congé maladie abusive (peut-être une mise en CLD qui me ferait perdre ma zone de remplacement convoitée par d'autres puisque les 6 postes de ma zone où j'habite depuis toujours, dans laquelle j'ai ma maison et dans laquelle se trouve le travail de mon époux me soit soufflée sous le nez et quand je reviendrais j'aurais une situation pire que maintenant : un poste à 100, 200 km de chez moi? Quelqu'un à placer sur mon poste ou sur un poste que je demande ????? Et de chez mon époux ???).
Les mutations arrivent sous peu, est-ce que quelqu'un convoite l'un des postes que j'ai demandé ??? Ceci dit, cette convocation vient peut-être par le biais suivant :
1) Soit par la lettre qu'a écrite la principale au rectorat (je vous rappelle que je fais un service de rattachement en documentation  - en attendant des suppléances en allemand - et sans obligation de présence) sur ma fugue devant sa colère le Mardi 15 mai, concernant un rouleau de paper-board dont je me servais pour une exposition et qui avait disparu. [Je lui avais dit en substance que je n'étais pas obligée de travailler en documentation, que un service de rattachement dans une matière autre que la sienne, est fait sur la base du volontariat, et que puisque qu'elle le prenait comme çà, je mettais fin à mon volontariat].
2) Soit  par une lettre qu'elle aurait écrite concernant ma deuxième fugue devant sa colère, parce que je ne voulais pas aller dans son bureau. Le CDI était vide, elle pouvait me parler là. Puisqu'en plus elle y était venu.
3) Soit par une lettre qu'elle aurait écrite sur mon absence d'une semaine, dont j'ai rattrapé toutes les heures et même beaucoup plus (la Pentecôte tombait dans cette période et nous avons rattrapé le lundi de Pentecôte). Et je suis rentrée le Mardi de la Pentecôte avec un certificat médical. Dans la mesure où nous sommes 2 TZR (français et allemand) à travailler au CDI, cela n'a pas causé de désorganisation du service, qui si j'avais eu des suppléances ailleurs, n'aurait de toute façon pas pu être fait. Cette principale devrait s'estimer heureuse de m'avoir eue toute l'année, et du fait que j'ai ouvert son CDI le Vendredi.
4) Soit le certificat médical que j'avais donné en rentrant et qui a été demandé par l'infirmière du collège, et sur lequel était écrit que je pouvais reprendre le travail à condition que me soient évités stress et provocateurs (la lettre de la médecine du rectorat étant une provocation, j'ai en effet très mal supporté cette lettre qui après celle que j'avais reçue il y a cinq ans et qui m'avait fait perdre mon poste au lycée Jessé de Forest à Avesnes-sur-Helpe, mes jurys de BTS, mes commisiions de choix de sujets de BTS,  etc..., bref, tout ce qui faisait de moi un être utile à la société et tout ce qui me remontait le moral), le mot provocateur désignant ici ma principale, et ceux qui ont dénoncé le fait que j'avais appelé au secours à cause de la disparition du rouleau de paper-board, et non pas les élèves qui sont très gentils, très polis et très agréables. [La formulation de la généraliste qui a recopié un extrait de la lettre du spécialiste, a peut-être prété à confusion dans la tête des médeciens du rectorat. Ils ont peut-être crus que j'étais constamment stressée et provoquée alors qu'il s'agissait d'un phénomène ponctuel, du aux colères fréquentes de la principale].
En tout cas il est pour moi hors de question que j'aille à ce rendez-vous qui est :
- arrivé de façon illégale sous pli non fermé et sous couvert de la principale (un courrier médical à caractère médical doit toujours être envoyé sous pli fermé et confidentiel pour le professeur).
pendant les congés annuels, un bon moyen de faire compter deux mois de vacances dans un éventuel congé longue maladie pour que je sois ensuite plus vite à demi-traitement, un bon moyen pour faire faire des économies au gouvernement. (Faites le calcul : 6 juillet 2007- 5 juillet 2008 plein traitement, 5 juillet 2008 - 31 août 2008 demi-traitement sans complément, car je ne suis pas à la MGEN, en effet, en y entrant à plus de 50 ans, je ne pourrai avoir ce complément).
- une provocation, puisque comme je vous l'avais dit, je suis arrivée ce matin en souriant et de bonne humeur au collège et c'est cette lettre de la médecine du rectorat qui m'a fait pleurer ]aujourd'hui]. Donc, leur lettre et la future mise en congé que je pressens est tout comme la mise en congé de 2002 nuisible à ma santé. Nous avons ici affaire à des médecins qui essaient de provoquer des suicides et des dépressions (J'ai lu des livres sur le harcèlement moral et je peux très bien en démonter les mécanismes. La médecine du rectorat corrobore le harcèlement des proviseurs et principaux vis à vis des personnels en mettant les personnels en congé maladie d'office. C'est ma principale colérique qu'il faudrait mettre en congé et pas moi. [On pourrait lui dire que ses colères sont le premier symptome d'une dépression].
- Il y a cinq ans presque jour pour jour après une première victoire de la droite (et voici que les élections passées depuis 3 jours, on s'acharne à nouveau sur moi, mais je tiens à prévenir  Mme le Dr .... et Mme le Dr ..., que leur victoire, celle de la droite ne durera pas, car la gauche devant toutes les exactions de la droite depuis 2002, date de ma première mise en congé, est en progression. [Et peut-être que dans 5 ans, lors de l'arrivée d'un/d'une président (e) de gauche, toutes ces interdictions professionnelles seront dénoncées et sanctionnées].
- Je sais que vous êtes contre l'Europe, mais moi en tant que professeur d'allemand, et même si on s'acharne à me donner de la documentation, je me condidère toujours comme professeur d'allemand bi-admissible à l'agrégation d'allemand, je ne peux être que pour les échanges intra européens, et dans ce cadre je dois vous dire qu'il existe une Charte Européenne des Droits de l'Homme selon laquelle personne ne doit être défavorisé professionellement en raison de son aspect physique et sur une plaquette éditée par la Commission Européenne des Droits de l'Homme, appelée "Ich, Rassist?", en français, "Moi, raciste?", défavoriser quelqu'un professionellement en raison de son embonpoint, c'est une forme très nette de racisme. Donc, si je suis obligée d'aller à la médecine du rectorat et qu'ils me mettent en congé pour embonpoint, je déposerai plainte à la commission européenne des Droits de l'Homme contre la médecine du rectorat de (...), pour harcèlement moral (ou psychologique) à cause de "délit de sale physique".
Bon, bref, la médecine du rectorat est peut-être utile pour défendre des gens qui veulent avoir des congés, comme la collègue d'allemand qui est remplacée dans mon collège, étant en CLM pour soigner son mari,  mais :
- la médecine du rectorat est inutile et même dangereuse lorsqu'elle déguise des sanctions administratives sous forme de congé maladie (et je n'en démordrais pas, ma mise en congé de septembre 2002, il y a un quinquennat, n'était rien d'autre qu'une interdiction professionnelle, -un Berufsverbot en allemand-, et cette mise en congé m'avait fait beaucoup plus de tort que de bien), elle empêche le professeur de se défendre légalement, en déposant plainte contre l'administration qui le harcèle par exemple, car si le professeur est en dépression on pourra toujours lui dire, "Vous inventez ce que vous avancez". Il y a 5 ans, j'avais soi-disant inventé mes jurys de BTS, mes commissions de choix de sujets, le fait que je serais une bonne germaniste (ce qui est maintenant reconnu à l'université), et même le fait que j'avais un CAPES (de type externe le seule existant à l'époque) d'allemand (la médecine du rectorat voulait m'en faire passer un autre, celui d'HG-Géo), et depuis j'ai prouvé que l'agrégation n'était pas - selon les dires de la médecine du rectorat - inaccessible pour moi, en devenant bi-admissible. Car j'ai du préparer l'agrégation,- contrairement à plein de certifiés par liste, CAPES spécifiques, réservés, examens professionnels-,  pour prouver ma valeur en allemand, alors que j'entends plein de collègues qui autour de moi accumulent les fautes de langue et de prononciation.
Je sais que la médecine du rectorat est chargée d'éloigner de l'enseignement les personnes qui comme moi ont une forte personalité, génante pour ceux qui en ont moins. En particulier d'éloigner les empêcheurs de tourner en rond qui ont des reproches à formuler à leurs supérieurs hiérarchiques.... qui plus jeunes que vous même fadement vous disent : "N'oubliez pas que je suis votre supérieur hierachique, votre supérieur hierarchique, vous m'entendez", en termes de harcèlement moral des petits chefs qui peuvent être au féminin.
Bien cordialement.
domino
[Je vous ai écrit sur mon i-grimoire quelque part ailleurs que si j'étais convoquée à la médecine du rectorat, je n'irai jamais.
J'ai reçu deux lettres de la médecine du rectorat dont je vous ai déjà longuement entretenus dans cet i-grimoire ici, et bien, voilà, la médecine du rectorat récidive ses mérfaits à mon égard. J'ai écrit la lettre ci-dessus à un syndicat d'enseigant,
Réponse laconique :
La date de convocation étant pendant les vacances, tu peux la faire reporter à la rentrée (je n'ai pas obtenu de mutation). Il suffit de leur écrire une lettre, mais dans ce cas là, tu seras obligée d'y aller à la rentrée.]
Mon jugement sur ce syndicat : se dit de gauche, mais est de la gauche extrèmement molle.
Je vais me faire défendre par un médecin.
D'ici là, je n'ai pas obtenu ma mutation, mais j'aurai peut-être à ma demande, un autre rattachement, peut-être une suppléance à l'année sur laquelle je me sentirais heureuse, et alors.... cette convocation et mise en congé arrivera comme en 2002 comme un éclair dans un ciel bleu. Moi, je suis une femme qui ai besoin d'énormément d'activités et de contacts humains pour m'épanouir et cette mise en congé, serait une mise au placard (terme employé dans les livres sur le harcèlement moral) pire que la mise au placard de la doumentation). La médecine du rectorat fait peut-être du harcèlement sans le vouloir. Cette mise en congé serait m'empêcher d'être une femme active et épanouie et un moyen de me faire déprimer].
Un i-grimoire (blog) est fait pour dire son avis.
domino