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samedi, 10 mai 2008

Il s'est fait avoir....

Avant de commencer regardez l'article de la Déclarations des Droits de l'Homme  que j'ai mis en marge, je suis libre d'exprimer mes opinions...

Espérons que nous soyons dans un pays, Sarkonien,  où il y a encore une liberté d'opinion. Il y a encore 6 ans, la France était le pays des Droits de l'Homme.

N'interprétez pas mal "Il s'est fait avoir". Je ne veux pas dire que ce collègue dont je vais vous parler, serait coupable de quelque chose et "qu'il se serait fait avoir", comme quelqu'un qui dépasse la limitation de vitesse, d'ailleurs je ne sais pas pourquoi il est allé à la médecine du rectorat, mais je veux dire "qu'il s'est fait avoir", comme moi il y a cinq ans - et comme on voulait que je me fasse encore avoir cette année -par la médecine du rectorat.

Un homme transformé, pas en bien, par la médecine du rectorat. Ils ont fait de cet homme dynamique, extrêmement brillant, une loque.

Ce collègue porte le même prénom que moi, un prénom mixte, mais il est un homme, et je suis une femme.

Il n'est pas dans le même collège que moi, mais sur la frontière, 40 kilomètres plus au Nord.

Je vais vous dire qui est ce collègue.

Il vient d'une autre académie, excédentaire en profs d'allemand, il avait un poste de prof d'allemand là-bas tant qu'il a été auxiliaire, et quand il a eu son CAPES, il a fait son stage dans l'académie où il est né, a fait ses études, etc..., puis il a atterri dans cette académie de réputation déficitaire, mais en réalité excédentaire en profs d'allemand,  mais n'est pas devenu TZR, alors que moi, mutée au même moment, alors que j'étais en congé maladie, je suis passée de lycée où j'ai travaillé depuis dix ans en poste établissement (je n'ai eu que des postes établissement depuis 1976 jusqu'à cete convocation à la médecine du rectorat, alors que l'année avait commencé sur les chapeaux de roue...). Mais ceci n'a pas d'importance... Bref, venant de sa belle académie natale, l'une des plus belles, l'une des plus réputées régions de France pour le tourisme, envahie par les allemands en été (ils devraient donc avoir besoin de profs d'allemand pour les professions touristiques, là-bas...), il s'est retrouvé dans un petit collège sur la frontière.

Il m'a raconté l'année où il est venu à la formation d'agrégation interne, il venait à la didactique et au thème, parce qu'il avait décidé de devenir bon dans une matière à la fois, mais vous savez qu'il a le même prénom que moi, alors moi, tous les ans, comme il passait l'interne et l'externe, et que moin depuis la session de 2004, j'ai passé les deux aussi, je luis en voulais un peu, mais tout en l'ayant parmi mes amis, parce qu'il rendait ses traductions auxquelles ils avaient de bonnes notes, d'après ses dire, analogues au mienne (11 ou 12/30), mais il rendait copie blanche en dissertation. Et comme grâce à mon nom de jeune fille (nom de naissance), que personne ne connaît, sauf ceux qui l'ont vu sur les listes affichées dans les salles d'écrit, je suis pas loin de la fin de l'alphabet, et que lui, il a une initiale qui est une lettre devant la mienne, j'étais souvent derrière lui, ou deux places derrières, et je me disais qu'avec sa copie blanche, il devait provoquer un décalage dans toute les copies, tout comme ceux qui ne se présentent qu'à une épreuve.

Par contre, lui me défendait ardemment. Alors que sa collègue de thème oral, maintenant en retraite, me faisait souvent taire, parce que je disais les réponses trop vite, et que je ne laissais le temps aux autres de réfléchir (mais je ne le fais pas exprès, c'est mon enthousiasme!), cette année là, après que je me sois coupé les cheveux qui ont repoussé depuis, ma prof de thème écrit qui m'avait mis des 10/20 à 12/20 pendant toute l'année précédente, appelait par mon nom marital une autre personne, et m'a asséné des 2/20 et des 4/20 pendant toute l'année. Cheveux longs, idées longues, cette année, je suis remontée à 12/20 avant l'écrit.  Il y avait, contrairement à cette année, toute une bande de candidats d'agrégation interne, qui bavardaient en début d'heure avec la prof, et riaient pendant toute l'heure, tout en travaillant, mais dès que je disais une réponse, la prof réclamait le silence à tous, en disant, "Ah, maintenant, yen a assez. Taisez-vous, Mme Domino 2:". J'étais, je ne sais pour quelle raison, toujours laissée à l'écart du groupe, personne ne me parlait, saut celui qui a le même prénom que moi. Et contre toute attente, j'ai été de ce groupe là, la seule admissible de l'agrégation interne, les deux autres étant du CNED. M. domino (domino sans majuscule étant pour cet i-grimoire le prénom mixte commun),  appelons le ainsi, mon mari portant mon nom marital étant monsieur Domino 2, alors que mon patronyme est Domino 1 (avec majuscules), bref M. domino était content pour moi, il a dit " Tu as vu, toute l'année, ils t'ont laissée de coté, toute l'année ils ont joué le grand jeu auprès des profs, et voilà, ils se sont tous étalés, et toi, tu les a tous battus. C'était ma deuxième admissibilté à l'agrégation interne. Et M. domino prenait fait et cause pour moi.

Encore l'année dernière, très en forme, il avait passé les deux agrégations, et il était en train de me rappeler ce magnifique évènement, la fois où, mise à l'écart de tous, je les avais tous battus, et ils étaient au moins une dizaine qui roulaient des mécaniques pendant les cours à l'université.

Voilà, je l'ai rencontré aujourd'hui....

Il me demande si ça va.

D'abord, j'ai dit 'oui', je ne raconte pas mes mésaventures professionnelles à tout le monde, sauf à vous, privilégiés va, chers lecteurs de mon i-grimoire.

J'ai demandé : "Et toi? Tu es toujours dans ton collège de la frontière?"

"Moi, non" a-t-il répondu. Puis il a ajouté qu'il était en CLM. Depuis septembre. Quelle coïncidence.

Je me suis dit après coup qu'il m'avait raconté une histoire, que c'était pas possible, qu'on lui avait demandé de me dire cela pour que je parle de mon histoire de paperboard, et des convocations que j'ai reçu pour aller à la médecine du rectorat.

Puis, je me suis dit, que c'était quand même quelqu'un d'entier (comme moi, qui suis aussi entière). De toute façon en Sarkonien, on ne convoque à la médecine du rectorat que les gens entiers, car dans ce pays, les gens entiers sont tellement rares qu'ils sont des originaux ou des loufoques ou des fous, des malades mentaux, comprenez-moi.

De toute façon les dominos sont généralement des personnes très franches et entières.

Alors, mon compagnon d'infortune m'a dit, qu'il allait à l'hôpital de jour de la MGEN! Heureusement que grâce au fait que mon mari soit dans l'enseignement privé, je ne suis plus à la MGEN. Pendant tout un temps, nous avons payé deux cotisations de Mutuelle parce que la MGEN refusait les conjoints du privé en cotisation familiale. Alors, je me suis mise dans la mutuelle de mon mari (mutuelle non professionnelle) en cotisation familiale. Disons que le deuxième membre de la mutuelle dans la famille paie moins cher que le premier.

Heureusement que je ne suis pas à la MGEN, sinon, ils m'auraient aussi envoyé là-bas me bourrer de petites pilules qui font voir la vie en rose, mais qui par exemple ont enlevé sa belle diction à mon collège qui depuis qu'il prend ces petites pilulles parle comme s'il avait des pommes de terre chaude ou du chewing-gum dans la bouche. Ils en ont fait une loque.... Ils l'ont transformé complètement.

Si je dis cela, ce n'est pas contre ce collègue, mais pour montrer les dégats que fait la médecine du rectorat, qui en 2002 a fait aussi de gros dégâts sur moi...

Il n'est apparemment pas syndiqué. Il y aurait donc un Goulag en France pour les profs pas syndiqués? Je ne veux pas dire vraiment un goulag, mais des hôpitaux psychiatriques comme pour Soljenytsine?

Mon collègue a dit qu'il va reprendre le travail en septembre.

Bon, voilà, une chose m'a moins plu. Je lui ai raconté mes déboires avec la médecine du rectorat, que j'avais été en 2002 convoquée là-bas parce que une heure avant le début de mon service, un lundi matin où je commençais à onze heures et alors qu'il 'était que dix heures, j'étais passé devant la concierge en lui disant que je ne me sentais pas bien, donc une heure AVANT le début de mon service, donc, avant le début de mons service c'était comme ci je téléphonais du dehors, donc je ne devais pas aller au secrétariat de direction, tout comme l'année dernière quand je suis sortie sous les hauts cris de ma principale, qui me chassait, à cause de l'histoire du paperboard (voir mes articles depuis mai 07), par deux fois à trois jours d'intervalle, je n'avais pas de compte à rendre sur mon absence, dans la mesure où c'était un service de rattachement qui est facultatif pour un/une titulaire. Donc, dans les deux cas, quand j'ai été convoquée à la médecine du rectorat, il y a eu vice de forme.

Mais je parle de moi, revenons à mon collègue, qui ne s'inquiète pas outre mesure, malgré le fait que je l'ai trouvé amoindri par rapport à l'année précédente, et fort maigri, alors qu'il était bien avant, et pas trop gros. Peut-être qu'ils l'ont confondu avec moi et qu'ils lui ont fait faire un régime inutile....

Par conre là où j'ai été vexée, c'est quand je lui ai dit que la médecine du rectorat me convoque toujours pendant les vacances, qu'elles soient grandes ou petites, et que je trouve cela bizarre. Je lui ai dit que par exemple un avis de recommandé est arrivé le samedi du début de vacances de printemps. Je ne suis pas censée avoir reçu pu aller chercher le recommandé, car le collège étant fermé le samedi, je peux très bien partir le vendredi soir et revenir le  dimanche 15 jours plus tard. C'est là que l'on voit qu'il y a quand même du harcèlement moral contre moi. J'ai des collègues qui originaires d'autres académies retournent dans leur famille pendant quinze jours à chaque "petites vacances". Pourquoi ne serais-je pas comme eux.

"Tu reçois les recommandés toujours le samedi du premier jour des vacances? Tu rigoles? Tu es paranoïaque, m'as-t-il dit.

Alors là, mon visage si souriant habituellement, mais depuis l'inspection du 22 mars 2002 et la convocation à la médecine du rectorat de septembre 2002, j'ai pratiquement perdu mon beau sourire, tellement ils m'ont fait mal, alors là, mon visage, si souriant habituellement s'est renfrogné.... Encore cette injure? La même que celle de la principale? La même que celle de l'ouvrier. Mon mari est quand même témoin, que l'on me convoque presque toujours pendant les vacances, et que cet avis de recommandé est arrivé le samedi matin.

Je n'ai même plus le courage de me défendre. Mon syndicat de l'année dernière convenait que ce n'était pas normal de convoquer quelq'u'un pendant les vacances, mais me disait que je devrais quand même aller à la médecine du rectorat à la rentrée (de septembre dernier).

Alors moi, je leur réponds, juridiquement, ils sont dans l'erreur, car aucune plainte n'a été déposée contre moi, et je n'ai aucune obligation de soins. D'ailleurs le psy qui n'était pas le spy chez lequel voulait m'envoyer la médecine du rectorat à 80 kilomètres de chez moi, alors que j'en avais trouvé un bon à 8 km, que je ne juge plus bon, depuis qu'il a pris fait et cause pour m'envoyer à la médecine du rectorat en septembre, masi il n'avait pas la même voxi que d'habitude au téléphone, il avait prétendu qu'elle était déformé par son Alice-Box, mais le rire sarcastique qu'il a eu à la fin de la convesation téléphonique n'était pas celui de ce médecin, j'ai l'impression que mon appel téléphonique à mon médecin avait été intercepté et que c'est un autre qui m'a répondu, un du rectorat. Peut-être celui de l'hôpital de jour de la MGEN. J'ai l'imrpession que la TZR de français qui travaillait avec moi l'an dernier au CDI du collège, n'était pas étrangère à cet appel, car elle avait entendu ma conversation téléphonique avec mon médecin. Elle était d'avis que je n'avais pas à être dans ce CDI, alors que c'était la prinipale qui m'obligeait à rester là.

Ce n'est pas la peine de me faire réadhérer à la MGEN, parce qu'elle rembourse moins que ma mutuelle et en ré-adhérant à plus de 50 ans, je ne peux plus bénéficier des compléments de salaire en cas de congés, etc....

Vous ne trouvez pas que l'histoire qu'ils m'ont faite pour ce paperboard est vraiment ridicule, d'autant plus que j'avais même rattrapé les heures d'absence sur ce service de documentation que je ne devais pas faire, parce que je suis germaniste et que je ne  m'étais portée volontaire pour faire de la documentation ?

Et mon cas de TZR sans service n'est pas isolé, il y a 3 ou 4 ans, une TZR a été admise à l'agrégation externe d'allamand, alors qu'elle n'avait travaillé que six mois en deux ans depuis sa nomination comme certifiée titulaire. Et elle n'avait pas travaillé du tout l'année de son admission tout en étant payée à temps complet, elle venait à l'université tous les jours ou presque, Et les professeurs ne lui ont jamais demandé des comptes sur son activité professionnelle (comme ils l'ont fait parfois pour moi), car comme elle était fort jeune, ils la prenaient pour une étudiante.

 

Bon, je résume quand même, car ce journal intime reflète mes pensées parfois désordonnées, comme le sont toutes les pensées...

- En ce qui concerne M. domino, mon collègue d'allemand, mais pas un collègue d'établissement, du même prénom que moi, je pense que !

a) il s'est fait avoir par la médecine du rectorat parce qu'ils le démolissent à coup de pilules.

b) ils l'ont peut-être confondu avec moi, et moi avec lui, peut-être qu'il a fait quelque chose de plus grave que de constater que le disparition d'un paperboard pouvait être un vol, mais il m'a dit que non, qu'il était malade pour une affaire personnelle. Je vais imaginer la conversation que mon collègue a eu avec le médecin du rectorat s'ils l'ont pris pour celui qui a fait le signalement de la disparition du paperboard. Voir plus loin ou une autre note au théâtre ce soir (2).

Je dis peut-être qu'il a fait quelque chose de grave, s'ils m'ont confondue avec lui, parce que leur insistance à me convoquer pour une histoire aussi minime et ridicule que celle de paperboard et alors qu'en juin 2007 tout le monde semblait être réconcilé au collège, ou ma principale a-t-elle été hypocrite pour m'avoir caché durant tout le mois de juin qu'elle m'avait fait convoquée à la médecine du rectorat? Cette histoire est tellement ridicule et minime que ça ne vaut pas la peine de mettre quelqu'un en congé pour cela, ça ne vaut pas la peine d'enlever 400 Euros à quelqu'un pour cela, que cela ne vaut pas la peine de mettre un blâme pour cela (quoiqu'on a vu pire, en 2003 un professeur avait été blâmé parce qu'il avait parlé de religion aux élèves, et ce n'était même pas de sa religion... Donc, ce n'était pas du prosélytisme religieux.  Mais où va-t-on? Je reviens à nos moutons, parce que leur insistance à me convoquer par lettre recommandée, etc... montre qu'ils font des éléphants avec des mouches en ce ce qjui me concerne, et s'ils font cela, c'est qu'ils m'ont confondue avec quelqu'un qui a fait quelque chose de grave. Mais mon collègue dit que non que pour lui, il s'agit d'une affaire personnelle, et pas professionnelle.

c) Je pense que si pour le collègue il s'agit d'une affaire personnelle comme un chagrin d'amour, il vaudrait mieux qu'il travaille pour oublier son chagrin.

 d) je pense qu'il n'aurait pas dû dire que je serais paranoïaque parce que je dis que les lettres recommandées arrivent toujours les samedis du début des vacances. Parce que je trouve que c'est une injure. Si un élève vous disait "M. ou Mme, vous êtes paranoïaque!", vous sanctionnerez l'élève, n'est-ce pas? Alors pourquoi ne pas sanctionner ma principale et l'ouvrier qui l'ont écrit noir sur blanc. On n'est quand même plus au temps de Camille Claudel....

De plus pour les lettres du samedi, mon mari est témoin, puisque c'est lui qui ramasse le courrier dans la boîte aux lettres... Alors, ils vont essayer maintenant d'éliminer ou de mettre hors de combat mon époux, pour que je ne puisse pas témoigner contre eux avec l'histoire des lettres qui arrivent toujorus au début des vacances????? Ils iraient jusque là..... Ils élimineraient tout témoin? Quand mon mari ne me donne pas les convocations de la médecine préventive du rectorat, médecine qui tue, et qui a transformé mon collègue du collège de la frontière en zombie, c'est pour m'épargner et faire en sorte que je ne tombe pas dans les pommes à la réception de ces lettres pleines de menaces de sanctions, et faire en sorte que je ne pleure pas pendant quinze jours à réception de la lettre.

En 2002 aussi, il y a eu quelque chose de bizarre, j'avais été convoquée deux fois à la médecine du rectorat :

1) Le première fois, c'était quand j'étais arrivée 1h 1/2 avant le début de mon service au collège pour préparer mon travail (travaux de reprographie), puis ressortie au bout d'une demi-heure, sans faire beaucoup de bruit et après avoir dit à la concierge une heure AVANT le début le service, monsieur Je-sais-tout-ce-qui-se-passe-dans-le-lycée-et-dans-l'académie, mon collègue d'allemand du lycée que l'on a appelé après-coup M. Supposition et qui élucubre et affabule beaucoup, avait dit que j'aurais fait un esclandre..... peut-être. Grâce à son "peut-être" il a été sauvé, et n'a pas eu de sanctions. Il n'était même pas là quand j'ai parlé à la concierge, et il a prétendu que j'avais parlé au concierge...

La Mme le Dr de la médecine du rectorat avait admis plus ou moins que j'aurais été victime de harcèlement moral de la part du proviseur.

2) Au deuxième rendez-vous, elle m'avait dit, ne me reconnaissant peut-être pas, "Vous avez quelque chose à avouer". Elle avait deux dossiers devant elle, elle me disait en me montrant l'autre dossier : "Cette personne est victime de harcèlement moral, mais vous, ce n'est pas la même chose, votre dossier est là, vous n'êtes pas victime de harcèlement moral, vous devez m'avouer quelque chose...." Alors moi, j'étais bien embêtée parce que je ne savais pas du tout ce que j'avais à avouer, j'avais été victime de deux agressions d'élèves à un ou deux mois d'intervalle l'année précédente, mais je ne voyais pas du tout ce que j'aurais fait de mal...  Encore aujourd'hui, je me demande ce qu'elle voulait. Alors, je me suis dit sur le moment, elle doit avoir un dossier bien sur moi au cas où le médecin assermenté accorderait le congé maladie qu'elle demandait tout en m'ayant dicté la demande sous menace de sanctions administratives (et il m'avait accordé le CLM et devant mon insistance ma reprise). Et un autre dossier au cas où on ne m'aurait pas accordé le congé qu'elle m'avait obligée à prendre. (Depuis, je me suis endurcie et je ne cède plus aux menaces, ni aux sanctions...)

Puis avec du recul, et voyant le cas de ce collègue qui porte le même prénom que moi, je me suis dit, qu'elle devait peut-être recevoir deux personnes le même jour, et que mon dossier était celui de la personne victime de harcèlement et que l'autre dossier était peut-être celui d'une personne que l'on voulait protéger parce qu'elle avait eu des accusations contre elle. Parce que dans cette histoire, tout comme maintenant, personne n'avait déposé plainte contre moi ; c'était au moment où a éclaté l'affaire d'Outreau et je me suis demandé si le dossier qu'elle me montrait n'était pas celui de la prof d'histoire géographie qui avait été mise en accusation dans cette affaire et si elel ne m'avait pas confondue avec elle. Et comme je m'appelle domino, si ils ne m'avaient pas confondue aussi avec Dominique Wiehl qui a aussi un nom à la fin de l'alphabet; pourtant d'après ce que j'en sais, il n'était pas professeur.

Cinq ans après, je me pose cette question: sinon je ne vois pas pourquoi l'inspecteur m'a dit après l'inspection une chose qui m'a fait très mal, car j'avais vraiment le sentiment d'être aimée par mes élèves... "Madame, si j'avais des enfants à scolariser ici, jamais je ne vous confierais mes enfants!" Et pourtant, le proviseur m'avait déjà dit que les parents aimaient bien le fait que je donnais beaucoup de travail..... Alors on me tenait deux discours contradictoires et je n'y comprenais plus rien..... je faisais depusi huit ans aussi un travail assez important pour les commissions de BTS, ce qui aidait cet inspecteur et avait aidé l'ancien, et j'ai trouvé que pour tout ce que j'avais fait dans ce lycée et autour dans mon enseignement et mon engagement pour ma matière : l'allemand, j'avais vraiment un drôle de remerciements. Les collègues d'allemand avaient raison, eux qui disaient "Tu fais tout cela pour rien!" Apparemment ne pas faire tout cela était payant, puisqu'ils sont toujours sur leur poste.

Ce qui semble confirmer mes soupçons d'une confusion avec ces personnes là est qu'il semblerait que l'année où tous mes collègues de la foramtion d'agrégation me mettaient de côté, tout le monde semblait croire que j'habitais sur une côte alors que j'en suis éloignée de 200 à 250 kilomètres.

J'ai pensé aussi que l'affaire d'Outreau était un canular. C'était trop gros pour être vrai.

domino