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mercredi, 22 janvier 2014

Confusion d'adresse entre deux collègues

Du journal de Gwupie (roman-théâtre)

Je vous ai déjà dit une fois que l'an dernire au niveau administratif,on avait affublé Bêtie, TZR,  d'une adresse postale qu n'est pas la sienne, mais à bien 80 ou 90 km de chez elle, vers le Nord-Ouest.

Vers le Nord-Ouest à environ 70 km, il y a un lycée ou une presque homonyme de Bêtie a fait son stage de CAPES il y a quelques années.

C'"était une étudiante que Bêtie connaisait, car êite préparait alors son agrégation à l'université et cette étudiante préparant le CAPES d'allemand (Bêtie avait son CAPES stage compris depuis belle lurette), elles avaient des cours en commun, en particulier les cours sur les auteurs. Bêtie était connue en allemand sous son nom marital (c'est aussi l'une des raisons pour lesquels dans les autres matières, elle ne donne plus que son nom de jeune fille, beaucup plus rare),  qui était le même que le nom de jeune fille de cette étudiante (elle n'avait à l'époque qu'un seul nom) et leurs prénoms se ressemblaient.

Un jour on a remis à cette étudiante une copie de Bêtie en la félicitant car elle avait fait beaucoup de progrès, surtout dans sa langue allemande. Bêtie a dû réclamer sa copie à forces et à cris pour la récupérer.

Quand elle n'était pas là pour avoir ses copies car faisant des rempaements de TZR, Bêtie manquait souvent à l'université, on les rendait soi à cette homonyme de nom de famille, soit à une autre homonyme de prénom qui préparait comme l'autre homonyme le CAPES et elles bénéficiaient ainsi auprès des professeurs du niveau de Bêtie et de sa bonne réputation.

Bon an,mal an, cette étudiante a fini par avoir son CAPES et alors elle a été nommée (c'était l'époque où l'on ne faisait plus de stage ou presque) directement dans un lycée", dans la zone limirtrophe de celle de Bêtie, et Bêtie a trouvé bizarre,que cette homonyme, pas encore titulaire,  était nommée en lycée, alors qu'elle-même croupissait dans des collèges en zone de remplacement.

C'est d'ailleurs cette année-là, que peut-être une confusiton d'adresses aidant, elle a dû commencer à faire des remplaements dans la zone de l'autre (qui fait partie maintenant de sa zone agrandie), et que par ailleurs, faisant un remplacement dans sa propre ville de rattachement les élèves croyaient qu'elle portait le prénom de l'autre.

L'année suivante, alors qu'elle était nommée pas trop loin de chez elle (16 km), à l'année, alors que normalement, elle était remplaçante de courte et moyenne durée, à un moment on l'a appelée pour faire 6 heures de plus dans un collège de la zone agrandie qui se trouvait précisément dans la ville où la presque homonyme avait fait son stage en lycée l'année précédente, mais à 70 km de chez Bêtie.

Actuellement, on demande encore Bêtie pour deux collèges qui se trouve non loin du lycée où sévit encore ou ou a sévi sa presque homonyme, c'est d'ailleurs l'une des villes possibles pour prendre le car pour l'un des deux collèges.

Peut-être que après son stage, la presque homonyme de Bêtie serait devenue TZR et qu'alors, on donnerait par erreur à Bêtie les remplacements que devrait faire sa presque homonyme.

En effet l'un des deux collèges où Bêtie devrait être (mais elle a une laryngite/bronchite) est à une quinzaine de kilomètres du lycée ou la preque homonyme a fait son stage. Mais vers l'Ouest, c'est à dire à l'opposé de l'endroit où habite Bêtie.

Au point de vue caractère, la presque homonyme de Bêtie est d'ailleurs aussi très différente. A l'université Bêtie l'avait trouvé timide, pas très ouverte et assez froide et pas souriante. A l'opposé du caractère de Bêtie  qui est ouverte, chaleureuse, et souriante. Mais enfin, au niveau de la disscipline, il vaut parfois mieux être froid. Les professeurs froids réussissent généralement mieux que les autres,  parce qu'on ne leur marche pas sur les pieds et on ne sait pas ce qu'ils pensent. Sur le plan de la discipline, mais pas forcément de l'efficacité.

Enfin, bref, la secrétaire d'un établissement n'avait téléphoné qu'une fois, peut-être qu'elle s'était trompée et qu'ils voulaient appeler cette collègue presque homonyme, qui est de leur coin et ne doit pas habiterl loin de ces collèges. Au cas où elle serait devenue TZR après son stage à elle. Peut-être même que cette jeune collègue aurait râté deux fois son stage et qu'elle serait redevenue MA ce qui expliqerait pourquoi : peut-être parce qu'elle ne parle pas assez bien allemand, Bêtie l'avait entendue que sur des exposés préparés davance, très littéraires, mais dès qu'on lui posait une question, elle ne répondait plus et Bêtie avait pendant un moment, fait la voix salvatcie. En répondant à sa place.

1) Les élèves ne la croient pas quand Bêtie dit son âge.

2) Ils ne la croient pas quand elle dit qu'ell e  est certifiée et qu'elle a cinq admissibilités à l'agrégation.

Peut-être parce qu'avant qu'elle arrive sur un remplacement, elle est rarement reçue comme une bi-admissible à l'agrégation, peut-être parce eu 'lon  lui a donné le dossier de l'autre.

Imaginez un peu que demain ou dans dex ans et demi, cette jeune prof bénéficie de la retraite à Bêtie, retraitée à 30 ans, alors que  Bêtie continue à trimer juqu'à 70 ans, 80 ans sans jamais pouvoir toucher sa retraite.

D'ailleurs Bêtie sexagénaire, losque les élèves demandent son âge leur dit : Et bien, une femme de mon âge ne dit plus son âge, mais ... elle ajoute 'Et à votre avis?" Et les élèves répondent : 30 ans. Qu'est ce qu'ils la rajouenisse!

Pour Bêtie

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Dummie

 

mardi, 21 janvier 2014

Villes du futur

 Les villes du futur

 

Dans les villes du futur, il ne faudra plus construire en hauteur. Mais faire des maisons d'au maximum deux étages. Ces maisons si la ville est actuellement entourée de verdure, devront être construite dans la périphérie de la ville sous le couvert des arbres. Aucun arbre dans le cas de champs ou de pâtures ne devra être enlevé. Si l'on construit dans un bois aux abords de la ville, il ne faudrait enlever en arbres que la taille de la surface de chaque maison. Par contre, là où il y a des champs ouverts à l'endroit où l'on construit, il faudra mettre les maisons sous le couvert des arbres.

 

Dans ma jeunesse (années 60/70) on construisait les maisons de riches dans des bois ou dans des forêts. C'est à cette époque que l'on a vu fleurir, dans les environs du Touquet ou dans les forêts d'Hardelot, des villas de riches, parfois aux toits de chaume et aux allures de maisons de contes de fée. Toutes ces maisons sont restés sous le couvert des arbres. Même dans ma ville, les maisons des riches étaient construites de l'autre côté du parc, qu'elles avaient l'air de prolonger. De grandes barrières de bois montraient l'entrée des propriétés, dont on voyait à peine la forme des maisons qui disparaissaient sous le couvert des arbres.

Selon la région, on pourrait étendre ce type d'habitat à d'autres types d'arbres, mais sapins et pins et autres essences à feuilles persistantes peuvent davantage produire d'oxygène encore en hiver, c'est pourquoi dans les régions où les arbre sont à feuilles caduques, il faudrait alors faire dans les quartiers « résidentiels » démocratisés un mélange d'essences caduques et persistantes de façon à assurer le couvert des arbres toute l'année.

 

C'est souvent non loin de la mer, dans les terrains sablonneux que l'on trouve ce genre de maisons blotties sous le couvert des pins, ou dans les Landes; il serait bon de démocratiser ce type d'habitat :

  • parce qu'il y a davantage d'oxygène dû aux arbres; cet oxygène profite à l'atmosphère en général et aux quartiers en question.

  • parce qu' ainsi on ne peut voir les maisons du haut (vue aérienne),on peut seulement les deviner, et encore! Sauf l'éclairage la nuit, qui doit être installé assez près du sol et non sur de grands lampadaires, rien ne permet de distinguer ces quartiers « camouflés ».

  • parce que c'est agréable pour les gens de se promener dans de tels quartiers où l'on pourrait installer des chemins de promenades entre les maisons.

 

Ces quartiers ne devraient pas être aux rues rectilignes, mais les rues doivent faire des plans courbes, irréguliers. Ou bien les rues suivre des plans en forme géométrique ronde mais pas trop visibles d'en haut ou en étoile autour d'une place centrale. La place centrale qui peut abriter quelques commerces de détail, et une supérette pas trop grande, et d'autres commodités comme une église, une piscine, une salle de quartier polyvalente, une bibliothèque, un centre d'enfants et de jeunes.

 

Aux alentours de ces quartiers mais à l'extérieur on construirait une école à plusieurs niveaux (du jardin d'enfants au lycée, où les jeunes des classes plus élevées pourraient revevoir leur enseignement par internet, si on ne peut faire déplacer assez de professeurs. Mais ils resteraient jusqu'aux abords de l'université dans leur quartier.

 

Ce centre scolaire serait sous le couvert des arbres, en petites unités sans étage, mais avec des galeries et des allées couvertes conduisant d'un bâtiment à l'autre, on trouverait à proximité un stade et une piscine réservée aux scolaires. Il serait relié au quartier par une allée couverte bordé d'arbres, qui traverserait éventuellement un bois. Là où il n'y a pas d'arbres on en planterait pour qu'ils soient assez grands rapidement.

 

Pour les très vieilles personnes qui le désire ne voulant plus rester dans leur maison, c'est à dire le désirant, on construirait des quartiers de petites maisons sans étage avec une cantine au milieu, et un petit centre médical occupé en permanence par quelques personnels de santé, ceci sous le couvert des arbres et uniquement pour les personnes ayant toujours habité le quartier, de façon à ce qu'ils puissent rester près de leur famille.

 

Aux alentours du quartier une ou plusieurs prairies recevraient des éoliennes pas trop hautes et/ou des plaques solaires, destinées au chauffage du quartier. Ainsi il n'y aurait aucune fumée par dessus les maisons.

 

Tous les circuits téléphoniques et d'électricité et les circuits d'eau seraient enterrés dans le sol des routes.

 

Il y aurait pour les voitures des garages à l'extérieur des maisons donnant directement sur la rue et entourés d'arbres et des parkings pour les visiteurs ou des places de parking le long des rues, mais couverts d'arbres.

 

Je viens de m'être endorme en écrivant et j'ai fait un rêve qui m'inspire. Les maisons seraient assez grandes pour que les gens s'y sentent à l'aise et puissent y vivre de nombreuses années. Les maisons auraient deux parois. Dans la partie interne se trouverait une maison normale, mais avec des ouvertures assez petites contenant les chambres à coucher et les pièces de séjour, cuisines et salles de bain d'hiver. Dans la partie externe aux parois de verre, emplies de plantes, un peu comme des vérandas mais plus solides (avec des toits en dur et pas en verre), on metrait les pièces de séjour d'été, et des bureaux d'été, mais les livres et autres instruments de travail seraient dans la maison intérieur et ces bureaux ne serviraient que de bureaux d'agrément où l' on transporterait en été ce dont on a besoin pour la demi-journée.

 

Chaque famille aurait deux ou trois chambres supplémentaires pour recevoir la famille qui habite loin ou des correspondants étrangers pour les enfants.

 

Dans une rue, comme il ne s'agirait pas de quartiers richissimes, mais de quartiers résidentiels démocratisés, on pourrait regrouper les maisons à plusieurs, mais avec des plans différents du rang d'oignon mitoyen. Par exemple, on pourrait les mettre en vis à vis ou par quatre ou six autour d'une placette, mais assez serrées pour que l'on puisse se venir en aide et se parler. Les mitoyennetés seraient alors partielles et ne pourraient toucher qu'un pan de mur, ou la moitié ou le tiers d'un mur. Mais on veillerait à ce que chaque maison ait son jardin individuel. Les groupes de maison qui formeraient comme des grappes,ne seraient pas trop éloignées les uns des autres, de petits sentiers seulement les sépareraient entre des haies.

 

Dans de tels quartiers les gens se parlent souvent plus que dans les blocs, car ils auraient envie de s'arrêter sous le couvert des arbres, et ils parleraient entre voisins par dessus les haies.

 

Les écoles seraient conçues comme les maison. Sur le pourtour des bâtiments on pourrait installer de l'autre côté d'une galerie qui donnerait dans les classes vers le bâtiment en dur des petites salles de travail avec bureaux sous des vérandas, où les professeurs et les élèves plus âgés qui veulent travailler individuellement ou par petits groupes pourraient s'isoler. Ces vérandas seraient emplis de plantes exotiques. Les bâtiments pourraient avoir un plan carré avec quatre classes chacun de même niveau se tournant le dos, avec des portes intérieurs allant de l'une à l'autre, une porte extérieure donnant sur la galerie et des petites salles dans les vérandas tout autour du bâtiment.

 

Dans les quartiers dont je parlais avant, les quartiers où les riches faisaient construire dans les années 60/70, par exemple au bord de la mer, les arbres dépassaient souvent la taille des maisons, même grandes et celles-ci étaient dissimulés dans la verdure. On ne comprend pas bien ces gens qui râlent contre les arbres et contre quelques arbres seulement parce qu'ils doivent ramasser quelques feuilles d'automne. Pour vivre heureux vivons cachés, vivons sous les futaies ombragées. Jadis les êtres humains vivaient dans les forêts avant qu'on ne les défriche. Leurs chaumières et huttes étaient souvent placées dans les bois ou dans les clairières. Mais souvent les arbres dissimulaient les maisons. Il serait bon de revenir, au moins pour les nouvelles maisons que nous construisons à ce genre d'habitat plus humain.

 

Bon, encore une chose, l'éclairage. L'éclairage doit être à la fois efficace pour éviter que les piétons ne tombent la nuit, mais si je regarde mon quartier, mis à part le samedi soir, ils sont très rares dans mon quartier et pour que les voitures puissent se voir. Mais il ne doit pas non plus être trop voyant de l'extérieur. Il faudrait que l'éclairage ne soit pas placé très haut sur de grands lampadaires, mais je n'aime pas non plus quand je rentre le soir, me trouver dans le sombre. Il faudrait bannir les lumières oranges des villes, celles-ci sont peut-être efficaces sur les grands carrefours d'autoroute, mais ces lumières oranges sont tout à fait non naturelles dans les quartiers résidentiels, Les lampadaires devraient donc avoir leurs lumières tournées vers le bas et non vers le haut pour ne pas éclairer le ciel et les nuages ce qui indique l'emplacement des habitats humains et fait surtout de la pollution lumineuse qui empêche de bien distinguer les étoiles. Leur hauteur ne devrait pas excéder celle du premier étage des maisons. Les lampadaires des quartiers résidentiels et même des centre-villes devraient être en lumière blanche comme jadis. Ils devraient avoir des abat-jours qui dirigent leur lumière vers le sol. Ils devraient être placés près des entrées de maison et de garages et les jardinets devant ne pas avoir des allées de plus de trois mètres par rapport à la haie qui donne sur la rue, de façon à ce que les personnes qui pourraient allumer un éclairage momentané dans leur jardinet en rentrant le soir ou en sortant le matin, par exemple avec l'aide d'une télécommande ne soient pas dans le noir.

 

Les éclairages devraient s'éteindre automatiquement quand il n'y a pas de mouvement détecté à l'extérieur des maisons dans le quartier. Pour les personnes qui ne supportent alors pas le noir complet chez elle et dans leur chambre, on pourrait mettre des veilleuses dans les pièces où ils se déplacent la nuit pour qu'ils n'aient pas à allumer la lumière.

 

Les éclairages de rue s'allumeraient automatiquement et progressivement par rapport à la provenance d'un mouvement qu'il soit de piéton ou de véhicule, mouvements au sol uniquement, mais les lumières resteraient fermées en cas de mouvement dans l'air (avion ou ULM).

 

Voilà comment on pourrait vivre plus heureux sous les frondaisons et cachés : pour vivre heureux, visons cachés, mais qui a dit cela?

 

domino

05:18 Publié dans Arbres | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 19 janvier 2014

Plus écologique...

Du journal de Bêtie..

En ce moment, chaudière en panne, Rarpidy et moi, on se chauffe avec deux chauffages électriques soufflants, un pour le rez-de-chaussée et l'autre pour le haut. Comme la température extérieur est au dessus de zéro, on peut étieindr ele chauffage de l'étage où l'on ne se trouve pas, par exemple la nuit, on peut étendre celui du bas.

Maintenant, il y a eu l'an dernier un problème avec les fumées de la cité, tous les chauffages (au gaz naturel) dégageient une petite fumée bleue intermittente par la cheminée (chose amusante, ils se mettent presque tous en route en même temps, on ne sait pas pourquoi), pourtant ils ne sont pas synchronisés et indépendants les uns des autres). A un moment, il a fait très froid, tout le monde a monté son chauffage, il y a eu beaucoup de fumée pendant une ou deux semaines, les petites fumées bleues épaissies avec le ciel bas qui les rabattaient reombaient sur l'avant des maisons.

En ce moment, il n'y a presque plus de petites fumées bleues, soit tout le monde est en panne, soit beaucoup ont opté pour les souffleries électriqiues plus écologiques pour l'émission de CO2. En fait, il n'y a pas d'émission de CO2 du tout. Il fait très chaus juste devant la soufflerie (à 1m de distance), mais quand on s'en éloigne, il fait moins chaud, mais on sent la chaleur quand même.  Apparemment une soufflerie, remplace quatre radiateurs. Cela marche selon le systême du sèche-cheveux.

Maintenant le problème est le coût. N'est-ce pas plus cher que le gaz?

Le coût écologique aussi, si cela dégage moins de CO2 ou pas du tout de CO2 sur place (au dessus des maisons, donc dans les villes et villages), est-ce que la dépense d'énergie faite pour produire le courant (pollution et fumées de combustions dégagées par les centrales) ne pollue pas autant.

Le chauffage soufflant serait vraiment écologique si les maisons étaient en autoproduction d'électricité avec éoliennes et plaques solaires; en Bavière par exemple, les maisons changent d'aspect car pratiquement chaque toit accueille des plaques solaires, plaquées sur les toits. On ne sait pas si ces plaques solaires  suffisent à couvrir les besoins énergétiques des maisons ou non.

Actuellement, beaucoup de cpllèges de la Région passent au chauffage mixte, par l'ancienne chaufferie d'une part plus les plaques solaires installées le long des cours ou des bâtiments d'autre part. Des petits écrans annoncent le pourcentage d'électricité produite par les plaques solaires. Il faut dire qu'on est une région de dévelopement durable. Sur les quatres collèges que j'ai fait l'an dernier, trois avaint un système de chauffage par énerge solaire; ou bien il était en corus d'installation.

En Allemagne du Nord, ce sont les éoliennes qui hérissent le paysage. Avec éoliennes et plaques solaires sur les maisons, les allemands sont en train de fermer leurs centrales nucléaires les unes après les autres.

Bon, nous, on est passé au chauffage écologique contraints et forcés, pci de pollution atteint dans le quartier lors des grands froids de l'an dernier.

La différence entre l'atmosphère de Mars et la nôtre c'est que Mars a plus de CO2 que nous et pas assez de O2. Si on continue à se chauffer au fioul et au gaz, on risque d'avoir un de ces jours une atmosphère comme Mars. Sur la longueur l'organisme s'adaptera peut-être et qu'ensuite on aura plus qu'à débarquer sur Mars sans scaphandre! Si un jour on a la même atmosphère.

Bon,là-bas,il y a de l'eau dans les calottes glacées, parait-il, et apparemment certaines photos laissent découvrir une étendue bleu turquoise sur un côté de la calotte glaciaire Nord. Les couleurs de la terre, sont en gros celles du Sahara des dunes et du Colorado, des roches rouges, le ciel contraste avec sa couleur d'un bleu turquoise métallique empli de CO2. Les montagnes sont très haute,sans niveau de mer de 22 000 mètres à moins 10 000 mètres. Pourquoi dans ces conditions n'y-a-t-il pas de neiges éternelles en haut des montagnes, s'il y a des calottes glaciaires. La planète étant plus éloignée du Soleil que la Terre, pourquoi n'est-elle pas entièrement glacée. Est-ce que ce serait la présence de CO2 qui provoquerait un réchauffement de l'atmosphère qui ferait que les températures seraient analogues à celles de la Terre avec deux calottes glaciaires? Quelle est la température sur mars exactement?

Bon, voilà que j'élucubre autant que Doofie, mais pour le chauffage et pour savoir si ce chauffage soufflant qui fait d'ailleurs du bruit, mais pas trop, on n'entend pas celui du haut quand on est en bas, est vraiment plus écologique, il faudrait savoir si l'énergie dépensée pour le produire dépasse ou non, celle du chauffage au gaz; maintenat l'électricité est majoritairement produite par des énergies renouvelables et non par des énergies fossiles (sauf les nouvelles centrales au gaz naturel, soi-disant écologiques qui foncionnent avec une énergie fossile). Si toutes les villes et spécialement les grandes villes passaient au chauffage soufflant peut-être qu'on aurait beaucoup moins de pollution dans ces villes.

Pour comprendre ce qu'est le chauffage soufflant, vous avez peut-être connu ces grands magasins, où en hiver on passait par une double porte dans laquelle soufflait un air très chaud par une grille située sous l'entrée.... c'est en fait un chauffage soufllfant qui empêche l'air frois de l'extérieur d'entrer dans le magasin. Pour être efficace, le chauffage soufflant devrait donc être placé près de la porte extérieure qui est la plus souvent ouverte dans la maison et lui tourner le dos.

Reste aussi à faire une analyse de l'air propulsé par ce chauffage, si la machine devient poussiéreuse, il se peut que des microbes s'en échappent et attérrissent dans l'air. La machine rebrasse aussi l'air ambiant. En cas d'épidémie, est-ce qu'elle ne réchauffe pas les microbes; Mais que dis-je, la plupart des virus et microbes qui se propagent par épidémies dans nos contrées froides se développent dans le froid de l'hiver; Il parait que c'est quand le nez entre en hypotermie, en particulier dehors par temps de gel, que les maladies se déclarent dans le nez. Le nez est particulièrement sensible aux infections parce qu'il est proéminent et pas très épais, alors il se refroidit plus facilement que le reste du corps. La fièvre est alors un moyen de défense, car elle réchauffe le nez. La gorge aussi est souvent plus dégagée que le reste du corps et en se refroidssant, les microbes qui sommeillent en elle se révielent et provoquent des infections; C'est pourquoi en hiver, les diverses écharpes et cache-nez ne sont pas de trop. Il faudrait même à l'extérieur monter son écharpe devant son nez. quand il fait froid et porter des bonnets et des chapeaux avec oreillettes pour que la tête ne se refroidissent pas (sinon gare aux maux de têtes et aux sinusites), alors, on serait mieux protégés contre les rhumes. Les mamans qui couvrent bien leurs enfants ont raison, mais les adultes eux-mêmes "oublient" souvent de se couvrir.

Il faudra que j'aille à la recherche de mon bonnet de type cosmonaute que j'avais il y a deux ans, car cette année, je n'ai utilisé que des bonents de laine qui ne tiennent pas sur ma tête et c'est peut-être pour cela que je suis malade maintenant.

Bien cordialement.

Doofie

 

Antibiotique

Roman-théâtre

Du journal de Bêtie

Les antibiotiques sont fort décriés parce que les gens en ont tant pris qu'ils ne feraient plus d''effet.

En ce qui me concerne, je n'en ai presque jamais pris. Sauf peut-être dans mon enfance,où les médecins faisaient fort usage de la pélicinille.

Si je pouvais en acheter moi-même avec le conseil du pharmacien, je serais guérie de mon extintion de voix depuis longtemps.

Le problème est que maintenant, il faut absolument aller voir un médecin pour avoir le mondre antibitique. Ps de délivrance sans ordonnance. Alors, je me passe d'antibiotiques. Le problème étant que quand j'ai une affection respiratoire, ça traîne et ça trîne en longueur, comme mainenant. Voici pesque quatre semaines que j'ai commencé le rhume, tout d'abord le nez qui a coulé, puis je me suis mse à tousser déjà dans la première semaine des vacances, de fortes quintes, mais ma voix était encore claire,je savais encore chanter. Et puis c'est arrivé d'un seul coup, fort enrouement le 1er janvier plus de voix du ous du 1er au 7 janvier,

Avec un passage à la pharmacie d'où j'ai hérité un sirop et des pastilles, léger mieux dans la 1erère semaine après la rentrée, mais la voix à du mal à revenir, le s premiers sons que j'émets tiennent plus des cris préhistoiques que du langage humain. De grosse consonnes sans voyelles, puis peu à peu  j'arrive à reformer toutes les syllabes en parlant doucement,puis enfin le flux devient plus normal bien que monocorde et sec et enroué,puisque je n'émetatis pas plus de trois tons, la mélodie de la phrase reste absente (thédibitoire pour une prof de langue qui doit faire passer à ses élèves la prosodie (mélodie) de la phrase.

Entretemps Rapridy m'a amené un pschitt pour la gorge et un autre pschitt pour le nez. Et des bâtons à inhaler. Je les respire quand j'ai l'impression d'étouffer.

De mes trois octaves j'avais récupéré une seule octave enrouée jsuqu'à hier (re je ne force pas, j'émets des sons de temps en temps pour les mesurer) Pas d'aigus, ni de très graves; mes nounours marionettes et mon fétiche porte-clefs ne savent pas conséquent  plus parler, ils sont encore plus enroués que moi. Ils ne peuvent plus répondre à Doofie dans son show sur Votre Tube Cathodique.

Je désespère quand je me lève la nuit ou le matin, c'est le plus dur, ces impressions d'enrouements et les chauffages d'appint souffalnt de Rarpidy, qui font du bruit, mais moins,parce que el thermostat les fait marcher par intermitence une fois que l'air de leur pièce est chaud, font monter la température à 18 °C quand il ne fait pas trop froid dehors, ces chauffages dessèchent lair, et font ressortir les odeurs de poussière; alors, j'ai l'impression d'étouffer, d'étouffer.

Heureusement que je n'ai jamais fumé, sinon, je serais déjà morte depuis longtemps.

Bon, aujorud'hui, jai décidé qu'on allait continuer à faire le garage, en une journée on devrait terminer le permier nettoyage et il faudra faire un  deuxième triage avant de pouvoroir réaménager; Il faut remettre des plaques au plafond pour empêcher la poussière des parpaiings de tomber à terre; Je voudrais les peindre en damiers avec diverses couleurs  pastelles. Repeindre les murs. Surélever les sols en cas d'inondation (je connais lea hauteur de la seule inondation que l'on a eu dans la garage et les caves;l l'eau arrvait jusqu'à enviro le bas des mollets. J'ai un système pour faire cela. Ensuite repeindre la partie du sol qui n'est pas surelevé et ce garage sera propre et net, il faudra que j'apprenne à Rapidy à l'entretenir sur le plan du ménage.

Je voudrais mettre un masque filtrant (comme en ont les dentistes) pour faire mes travaux de ménage, mais Rapidy me dit qu'il n'en trouve pas.

Ensutie,je pourrai attaquer la chaufferie... sortir les affaires en les triant et en les mettant ... dans le garage pendant les travaux de triage, etc..; et ensutie, on porra faire venir le chauffagistes. Parce que pour le moment, il n'ont pas de place pour travailer. Mais j'ai pensé que pour qu'ils puisse travailler, il faut aussi qu'ils aient aussi accès aux radiateurs et la plupart sont dans des pièces "bloquées" par les échaffaudages hétéroclites de Rapidy.

Vous savez déjà ce qu'elle planifient les femmes du quartier : ma mort! Elle ont dit à Rapidy que quand je serai morte il faudra donner tous me habits pour leurs oeuvres : les charognes!

Bon, allez... je ne suis pas encore morte... Même si ma voix est partie (et revient un peu,mais si peu),si j'ai souvent l'impression d'étoffer, j'ai encore un peu de force dans les jambes et un peu d'agilité dans les doigts ce qui me permets de taper mon journal intime que les lecteurs de domino lisent quelquefois;

Bêtie

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Pour Bêtie, domino

samedi, 18 janvier 2014

Postes sur plusieurs établissements en dépit du bon sens géographique.

Du journal de Dummie

Dans l'article que Doofie a mis en lien dans l'article précédent, il y a une erreur : un TZR à remplacements de moyenne ou courte durée (3 semaines à 6 mos théoriquement), n'est pas obligé de déménager à chaque remplacement.

Tout son service doit être réalsable à partir de son domicile,situé en principe dans sa zone de remplacement, c'est à dire en partant de chez lui tous les matins et en rentrant tous les soirs.

Un TZR n'est pas forcément un jeune qui vit dans des locations. Un TZR peut être un ancien titulaire d'établissement qui a eu une mesure de carte scolaire et s'est retrouvé en zone de remplacement suite à la suppression de son poste. Bêtie par exemple, s'est retrouvée TZR à l'âge de 52 ans. Après avoir commencé sa carrière dans des collèges, elle et son mari ont acheté leur maison alors qu'elle avait un poste établissement dans un collège du coin. Puis elle a réussi à se faire nommer (par mutation ministérielle, c'était avant la décentralisation),dans  un lycée du coin. Elle a enseigné en lycée pendant treize ou quatorze ans. Puis s'est retrouvée TZR. Au début, sa zone de remplacement étant plus petite, on l'a nommée que dans le coin et toujours sur des lignes directes de train (c'ést à dire qu'elle pouvait faire le trajet à pied jusque dans les collèges à la decente du train, un gage pour qu'elle n'ait pas trop de problèms par verglas et neige.

Pendant qu'elle était sur les postes fixes en lycée Rapidy et Bêtie ont fini de payer leur maison, qu'ils ont payé en dix ans, moyennant certains sacrifices financiers. Une maison assez simple, des années 60, avec deux mitoyennetés, un garage en dessous et trois chambres et une salle de bain en haut, bref, le même type de maison qu'elle avait habitée dans sa jeunesse. Un tout petit jardinet devant et un jardin de 7m x 14 m derrière.

Rapidy ont pensé vivre là jusqu'à la fin de leurs jours et y couler une vieillesse heureuse. Au début quand Bêtie était sur poste fixe, elle avait le temps de faire le ménage et le jardin, les voisins ne râlaient pas, même à l'occasion, ils nous donnait un coup de main pour des travaux.

Mais Rapidy a eu un complément d'horaire à 60 km de la maison, à 90 km de son premier établiseement, heureusement l'établissement était en ligne directe de train et à 5 mn de la gare. Il pouvait jondre les deux établissements moyennent 10 mn de marche jusqu'à la gare de l'établissement 1 et 5 mn de marche depuis la gare d'arrivée jusqu'à l'établissement 2. Par rapport à ce que l'on demande actuellement à Bêtie^: prendre le car à la descente du train et le soir reprendre le car pour aller à la gare, c'"était beaucoup moins compliqué. Cet établissement de complément d'horaire est d'ailleurs tout près de l'un des établissements où l'on veut envoyer Bêtie maintenant, on se demande si on n' a pas cru que l' établissement où Rapidy avait fait un complément d'horaire et où il était devenu assez connu,vu qu'il avait dû s'occper d'échanges scolaires, situé loin de chez eux (60 km) aurait été près de chez eux, parce que  on donne maintenant à Bêtie un complément d'horaire près de cet établissement là, près si l'on veut puisqu'il est dans une autre ville que l'on atteint en car à partir de la gare qui était situé près de lancien établssement de compléemnt d'horaire de Rapidy.

Rapidy accompagnant Bêtie maintenant sur tous ses déplacements, mais avec les transports en commun, comme ils les a toujours pris, est-ce qu'il ne va pas aller passer encore sa journée avec des anciens collègues auxquels au début de l'année et de sa retraite, il téléphonait pendant des heures? Sans forfait, dépensant une partie du salaire de Bêtie, puisque comme retraité, il ne gagne plus grand chose.

Bon, pendant le temps où Rapidy avait ce complément d'horaire, très mangeur de temps pour deux classes, puiqu'il devait faire l'échange soclaire et pour cela a parfois été absent de la maison pendant une semaine d'affilée, juste au moment où Bêtie avait à faire des trajets compliqués (une fois, elle a même dû faire face à une grève de train pendant une telle période), Rapidy a perdu l'habitude qu'il avait étant jeune, de prendre le balai dès qu'il voyait de la poussière par terre ou de prendre le chiffon à épouseter dès qu'il y avait un gfain de poussière sur un meuble, une manie hétitée de sa mère. Et il n'a plus rien fait à la maison; pendant qu'ils faisait ses échanges scolaires, c'état comme si Bêtie n'existait plus, il lui marchait sans cesse sur les pieds, criait sur elle, si elle était un peu en retard, tapait dans les murs. Un jour qu'il lui disait des méchancetés, elle a coupé la moitié de ses cheveux en signe de protestation, sa belle mèche dorée du devant, c'etait devenu une coiffure à la mode ensuite. Il ne la voyait meme plus, il ne savait même plus qu'elle existait, qu'elle était sa femme... Rien ne comptait plus que son jumelage et ses élèves et ses collègues, Bêtie n'existait plus, elle a  failli partir, plusieurs fois. Heuresement depuis qu'il est retraité, il est redevenu plus gentil. il a maigri et n'a plus cette staure impressionante, qui faisait peur à Bêtie.

Et puis, une fois la zone de remplacement agrandie, Bêtie n'a plus eu de répit, poste sur 2 établissement, postes avec SEGPA, postes en ZEP ... de plus en plus éloignées de chez elle,dans des endroits de plus en plus desservis par les corbeaux,alors qu'au début qu'elle était TZR, elle avait toujours des remplacements sur des lignes directes de train. Alors qu'elle a été prof quatorze ans en lycée, juay de BTS, etc..elle n'a jamais de remplacement en lycée (qui sont généralement sur les lignes directes de train), certaines TZR se renseignent constamment aurprès des inspecteurs pour les avoir. Elles ont du piston.

Après plusieurs années de ce régime où elle n'a presque jamais manqué, sauf pour stages ou concours, Bêtie arrive d'un seul coup encore en forme le lendemain du début des vacances de Noël, épuisée suite à un coup de froid ou à un mauvais virus,la voici sans vois, ou très enrouée,impossible de parler à une puissance de professeur, impossible de chanter (elle se demande si elle récupérera un jour sa belle voix...), complétement fatiquée, avec des velleités de fièver; Ces quelques années sur les routes (l'année dernière dans la neige pendant trois mos, marchant sur des oeufs, un miracle qu'elle ne soit jamais tombée), à attendre des bus dans les frimas, à courir pour avoir une correspondance de bus entre midi entre deux établissement, combien de temps vivra-t-elle encore cette vie de patachon?

Deux ans et demi de ce régime, c'est assez long, pourquoi lui donnait-t-on très peu de remplacements avant 60 ans et pourquoi lui donne-t-on autant de remplacements depuis qu'elle a 60 ans et qu'elle "ait en âge de prendre sa retraite" bien que le furur montant de cette pension en monte encore de 200 € par an. Si elle tient encore jusqu'à son anniersaire,cela fera monter sa future pension de 200 € mensuel encore, car ce sont les dernières années qui comptent le plus et Bêtie n'a toujours pas son taux complet.

En fait, elle est harcelée par ces postes impossibles à faire parce qu'elle a plus de 60 ans, on met des collèges exprès en congé pour la faire courir par monts et par vaux, lui donner a crêve et la faire mourir prématurément. Ce qui risquerait d'arriver actuellement, car ce soir les difficultés respiratoires et l'enrouement ont repris.  Bêtie a l'impression d"étouffer.

Il serait pourtant si simple, les TZR étant payés à temps complet même quans ils font des services partiels, si simple de couper le poste en deux et de faire faire un collège par un TZR et l'autre collège par l'autre. Pusiqu'il n'y a pas de transport en commun autre que le taxi, disponible entre les deux établissements et ceci sur 25 km.

Voic quelques exemples de remplacements sur deux établissements faits par Bêtie

En hiver (neige) deux établissements distants de 65 km par les transports en commun : une ligne directe de train avec à chaque bout un trajet à faire en train, mais il n'y a qu'une seule journée où le poste est sur les deux établssements; Le vendredi fnissant vers 11 h dans un éablissement, il n'y a que le taxi à cette heures là pour rejoindre la gare où le train est à 12h piles (bon, le taxi unefois par semaine passe encore..)

Au printemps, très beau temps heureusment, poste sur deux établissements, de chaque côté d'une garnde ville, distans de 20 km. La grande ville à une gare et l'un des établissements (le plus proche) aussi, mais deux fois par semaine, il faut faire la route entre les deux avec seulement une heure pour changer à midi : ni bus pour rejoindre la grande ville, ni train pour aller dans les deuxième établissement à cette   heure.

L'année dernière, plein hiver arpès avoir fait en décembre un établissement (train + car) à 75 km, pour lequel il fallait se lever à quatre heures du matin..et avoir attrapé la crêve (enrouement moins sévère que cette année) à un arrêt de car, sous la pluie glacaiele du matn, cinq mois sur deux établissements, dont trois mois de neige. cours sur 5 jours, deux fois changements entre midi, train + bus de ville pour aller de chez elle, dans chaque établissement, le trajet le plus long étant le trajet en bus (deux bus de ville) inter-établissements deux fois par semaine enre midi. Près d'une heure de bus, avec de multiples arrêts et beaucoup de secousses et une correspondance faite en courant d'un arrêt à 'lautre. Et des passagers pas toujours très silencieux, beaucoup d'ambiances dans ces bus où les altercatons verbales entre passagers adultes sont assez vives. Et marcher du bus sur la neige, en haut de la collinne, voir la principale adjoite attendre avec mon rang quand le bus avait légèrement du retard.

Ce début d'année : trois périodes asses longues sur trois mois. Les deux collèges sont dans des villes dont les noms se ressemblent ce qui les a fait réuinir sous la coupe d'un même chef d'établissement, qui a certainement une voiture, mais Bêtie utilise les transports en commun et les deux villes dont les noms se ressemblent et qui sont chacune à un bout d'une vallée pittoresque, n'ont pas de car qui les réuinit. D'un côté il faut venir de la ville située à 15 km à l'Ouest et de l'autre, il faut venir de la vile située au SUD. Alors, selon les jours, on prend l'une ou l'autre ligne de train, on fait les 15 km entre les deux viles entre midi en taxi et on revient par l'autre ligne de train. Encore,ce n'était pas très loin...

Mais maintenant impssibilté totale de joindre les deux établissements du nouveau remplacement et la distance inter-étalissemnt, à fare en taxi, a augmenté de 10 km et le parcours domincile-travail de 30 km (60 km AR, c'est à dire 120 km AR au lieu de 60°.

Dans le temps, nos pères faisaient 120 km aller-retour à la rigueur pour la promenade du dimanche! Mais pas pour leur travail. Mis à part les déplacements hors entreprise jamais très longs et très espacés les uns des autres (de plusieurs mois souvent, il s'absentait de 3 jours à exceptionellement 15 jors, mais pour les 15 jours, c'était un déplacement en Amérique). Ses déplacements étaient tous frais payés, ses hôtels réservés d'avance par l'entreprise. Rien à voir avec des déplacements de TZR fatiquée.

Le père de Bêtie est mort à 67 ans, juste pendant l'élection de Miterrand, c'est comme si elle vivait encore 5 ans. Ou que Rapidy et Schnelly vivaient encore un an.

(Que s'est-il passé en 1981, une élection, le seul changement dont je me souvienne, c'était l'emrprunt obligatoire, Schnelly était MA et j'étais en disponibilité sans solde (une erreur que je paie par des annés supplémentaires aujourd'hui), notre emprunt obligatore  a été calculé sur la base des impôts de l'année précédente où javais travaillé. On a essayé d'avoir un échelonnement de cet emprunt : pas moyen! On vivait dans un petit appartement, on en a vu des vaches maigres à l'époque... En 1989/1990 il s'est passé beacoup plus de choses...)

Sa mère, qui a arreté de tavailler à la naissance de son premier enfant, le grand-frère de Betie, est morte à preque 89 ans. Elle ne faisait comme déplacements que les vacances d'été

Bêtie voudrait aller le plus  loin possible dans sa carrière au cas où elle vivrait longtemps. Mais si elle mourrait demain ou dans cinq ans, elle aurait fait tout cela pour rien.

C'est ce que lui ont dit toujours les collègues qui ne faisaient que leurs cours, quand elle faisait échanges scolaires et projets : "Tu fais tout cela pour rien, on ne te remerciera jamais! Au contraire, cela te portera préjudice!" En fait, on n'était pas payé pour les activités supplémentaires à l'époque, clubs, etc.. Une fois que les clubs ont été payés, tout le monde s'est précipité pour en faire.

Pour défendre Bêtie..

Dummie

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La collège : Et alosr, moi j'ai 58 ans, et je travaile tous les jours...

Dummie : Oui, mais tu habites à quelques kilomètres de ton travail, pas à 70 kilomètrs et tu ne fais qu'un étalbiessemnt, et tu fais les 300 mètres squi te séparent de ton collège en voiture... les mêmes depuis 35 ans, et tu es connue de tes élèves et des parents qui ne te critique pas parce que dans ton collège, tu es une institution,un   pilier de collège, comme Bêtie qui pendant 14 ans en lycée faisait 15 à 18 km aller tous les jours, était un pilier de lycée. Et tu prends parfois des congés et tu te fais remplacer par Bêtie.

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Pour Dummie et Bêtie

domino

 

La route : toute une histoire

Du journal de Doofie

Je me souviens, quand j'étais dans l'académie de Bêtie de l'histoire que ça avait fait lorsque ma principale et mon principale adjoint de RAD, avaient dû aller faire un stage de PAF (qu'apparamment ils avaient demandé) à grande métropole régionale : Cela avait été toute une expédition : Comment allons-nous faire la route? A quelle heure allons-nous partir le matin? Aller à grande métropole régionale, pour les personnes qui habitent tout au bout de ce département, et qui n'ont pas l'habitude d'aller à Grande Métropole Régionale (située à 130 km de mon RAD) d'alors, cela semblait souvent quelque chose d'insurmontalbe, une aventure extraordinaire.

Il va de soi que lorsq'on est né à GMR (Grand Métropole Régionale), le problème semble moins compliqué, même si quand j'étais enfant et adolescente, les différences entre les villes constituant GMR étaient très grandes. Ma ville natale était la rivale de la viille natale de Schnelly, considérée par nous comme trop bourgeoise. Quand à la capitale régionale, 11 km de chez nous par le tramway, c'était jusqu'à mon bac, le summum de la bourgeoisie. On y allait rarement, parfois en visite chez une cousine de ma grand-mère paternelle qui avat une très grande maison dans une longue rue bordée de maison de maîtres. Son mari, décédé, avait éé dans les colonies et le salon dans lequel elle nous recevait était empli de souvenirs des colonies, des animaux empaillés, des meubles exotiques, plein d'objets dans des vitrines murales. J'admirais beaucoup ses enfants, plus vieux que nous, la fille ainée s'était d'ailleurs mariée pendant mon adolescence à un kiné allemand et était partie vivre avec lui en Bavière. Quand au fils, on avait été à son mariage, mais il a divorcé peut de temps  après, ils vivaient dans un appartement en haut de la maison,mais la fille "ne faisait rien de la journée, elle se levait à 11 heures tous les jours, et ne faisait rien.

Sinon, on traversait parfois capitale régionale pour revenir de la mer à Noël, on regardait les illuminations de la Grand Place sans s'arrêter.

La première fois que je suis allée avec ma mère,seule, à capitale régionale,  c'était pour acheter ma première guitare, j'avais 16 ans et j'étaits en Terminale, c'était en février. Je n'habitais plus à la ville rivale de celle de Schnelly, mais à côté dans l'une des villes les plus riches de France, à côté de la ville qui est depuis devenue la plus pauvre de France. Bon, ceci dit dans la ville devenue l'une des plus riches de France, on était assez libre dans son esprit, très axés sur la mode, l'industrie locale en est sans doute la cause, et les jeunes plutôt cathos aux idées larges, était en plein dans la période mode hippie, alors on mettait des pantalons de velours cotelé, de grandes tuniques, et quand on  s'habillait (je parle des filles), on mettait des pantalons de ville. En hiver, on mettait des gros pulls qu'on tricoait nous-même (industrie locale oblige...) C'est donc en pantalon que j'ai débarqué à 11 km de là, à Capitale Régionale, et vous ne savez pas j'étais la seule fille ou femme en pantalon, qui au centre de capitale régionale, n'avait pas encore droit de cité! Toutes les femmes et les jeunes filles autour, dans le centre, éaient en jupe en dessous du genou avec le manteau de la même longueur et moi, j'avais un manteau qui trainait presque jusqu'à terre... et des pantalons. Qu'est-ce que je me suis sentie complexée ce jour-là.

Moins complexée le jour du bac (cette année là, on a tours du passer un oral à capitale régionale), j'avais un petite tailleur gris, BCBG, sauf que les boutons étaient en forme d'écrous, une petite fantaisie; j'ai eu mon bac haut la main, merci!

On m'avait conduite le matin, pour revenir, j'ai dû prendre seule le tramway, demandant timidement aux gens où éait l'arrêt du tramway pour revenir dans ma ville,  sise à grande métropole régionale. L'année suivante, capitale régionéle n'eut plus de secrets pour moi, et deux ans plus tard, Schnelly et moi, en connaissions tous les recoins et les parcs, où l'on pouvait travailer notre allemand, assis côte à côte. Je n'avais que 18 ans et lui 21 ans, le même âge que mon frère. A capitale régionale, avec l'arrivée de notre génération comme étudiants, les vêtements avaient commencé à se démocratiser et je n'étais plus la seule porteuse de pantalons.

Ceci pour vous montrer comme à l'époque, née et vivant à grande métropole régionale, je n'en ai connu la "capitale" qu'après mon bac. A 11 km... Bêtie, ma copine de classe, c'était pareil pour elle. Nous allions un mois par an en vacances, on connaissait mieux Vichy, et St Jean de Luz et même Nice et Menton que Grande Métropole de notre Région, que, habitant à 11 km, nous n'avions pratiquement jamais vue. Par contre de notre région, on en connaissait toutes les plages, même celles qui, absorbées par un grand complexe métallurgique et un port pétroler, n'existent plus. Celà reflétait les préoccupations de nos pères : donner une bonne santé à ses enfants, en leur faisant respirer l'air de la mer et des montagnes.

C'est pour vous dire que de chez Bêtie, pour en revenir à mon premier paragraphe, aller à grande métropole régionale, c'est toute une histoire, une véritable expédition. Et être dans une zone de remplacements qui va jusqu'à 10 km des portes de métropole régionale tout en s'étendant à 80 km à l'Ouest de chez elle, à 40 km à l'Est de chez elle (l'un des collèges de son  remplacement du premier trimestre, situé près de la frontière à 36 km), à 40 km au Sud-Est de chez elle (lun de ses comités de jumelage), à 20 km au Sud de chez elle (limite avec le  département et la région située au Sud). Et à 90 km au Nord de chez elle, et à 100 km au Nord de chez elle. Bêtie, qui n'est pas corvéable à merci, doit travailler souvent sur plusieurs établissement, sans être motorisée.

Tiens Wikipédia a  fait un article sur les TZR. Bêtie est malade, syndome respiratoire, dû sans doute à la grippe, laryngite,  voix perdue complètement pendant 5 jours. Quand elle est tombée malade, elle ne le savait pas, parce qu'on ne l'a pas prévenue que son remplacement précédent était finie, entre deux remplacements. Regardez son statut,qui est souvent celui de junes titulaires, mais pas de viielles dinosaures de l'enseignement comme Bêtie,à 2 ans et demi de la retraite, mais fatiquée et malade. .

http://fr.wikipedia.org/wiki/Titulaire_sur_zone_de_rempla... *

Bien cordialement.

Dominique

* Traduction pour le lien précédent : recrutement à bac + 5 = concours de niveau master (soucent un niveau encore plus élevé), + un an de stage.