samedi, 25 janvier 2014
Une bonne ménagère et une bonne maman
Roman-théâtre
Je dois dire que les mamans de ^Bêtie, Dummie, Doofie et Compagnie, mes personnages de roman-théâtre, étaient de bonnes mamans, car tout en laissant leurs filles faire ce qu'on appelait à l'époque de "grandes études" (lycée et université), elles avaient reçu quand même une éducation ménagère assez poussée de la part de leur maman et ceci dès le plus jeune âge.
Leur mère elle-même n'avait peut-être pas vraiment eu une telle éducation, sa grand-mère venue d'une autre région,une fois qu'ils sont revenus dans la région du grand-père (ils avaient vécu un moment à Paris), sa mère a eu son CEP et son père lui a dit : "Bon, maintenant, fini l'école, tu vas m'aider au laboratoire (de photos) et ma mère depuis l'âge de 13 ans a développé des films, en voyant passer de toutes les couleurs devant elle, car elle a passé la guerre ainsi, à développer des photos pour le magasin de son grand-père, aussi bien celles que les films que les allemands amenaient, que celles des espions anglais infiltrés par l'armée de la France Libre de De Gaulle et elle tirait le portrait de De Gaulle en grande série. Pendant ce temps là sa grand-mère s'occupait de la maisonnée et ses soeurs, une fois qu'elles eurent aussi leur CEP, la plus douée fit son brevet et les cours complémentaires, mais c'est aussi ele qui devenue directrice dans une entreprise a travaillé professionellement durant toute sa vie et est décédée prématurément par rapport à ses soeurs toutes devenues octogénaires, une fois qu'elles eurent leur CEP elles servirent au magasin et firent de la photo d'art (du portrait surtout) avec le grand-père . Ma mère faisait aussi la retouche, et mettait les photos en couleur avec des crayons sépias, des joues en rose et des yeux en bleu. A l'époque on ne retouchait pas électroniquement,mais à la main. Bien sûr pour les photos de De Gaulle, ma grand-mère avait été emprisonnée par la GESTAPO, mais elle s'en est sortie parce qu'elle parlait allemand. Ils l'ont libérée parce que c'était une française qui parlait allemand. Mon grand-père et ma grand-mère ont été aussi octogénaires.
La mère de mes héroïnes (elles étaient toutes photographes, leur mère? Voilà encore une aberration!), quand elle rencontra mon père à un bal donné dans un cinéma de la même rue, après la guerre, c'étaient des soldats qui revenaient de captivité, la mère,disons de Bêtie, commença à travailler chez d'autres photographes et c'est de ces seules années, qu'elle recevait une pension à elle dans sa vieillesse, le reste étant formé de la pension de reversion de mon père. La travail familial, chez son père, n'avait pas été déclaré, et elle arrêta définitvement de travailler à la naissance de l'ainé. Alors Bêtie a été un peu étonnée lorsqu'à son enterrement, on a dit qu'elle avait su conciler vie professionnelle et vie familiale. Ils ont dû se tromper de personne... de discours.
Bon, dès qu'elle eut 'l'âge de sagesse", c'est à dire à 7 ans, Bêtie a commencé à apprendre des rudiments de son futur travail de femme. Elle a d'abord fait des entrées à l'école. Avec des carotttes rapées, et du céleri rapé et toutes sortes de crudités, elles devaient savoir préssenter une assiette anglaise. Ce premier cours de cuisine n'a été fait qu'une fois, mais sa mère avait été très fière de présenter l'assiette anglaise que Bêtie avait amené de l'école à toutes ses voisines et quand de la famille était invitée à manger, Bêtie a été dès l'âge de 7 ans, chargée de la présentation des entrées.
Mais elle a mis longtemps à se metre à la cuisine chaude c'est vrai que dans "l'ancienne maison", on faisait la cuisine directement sur la cuisinière à charbon de la cuisine, même en été, ét c'était un peu difficile et dangereux ppur les enfants, qui n'avaient pas trop le droit de s'approcher de cette cuisinire, d'où sortait quand son père allumat ou attisait le feu en rentrant du travail,de grandes flammes rouges qui faisaient peur à Bêtie qui avait vu une maison brûler pas très loin de chez elle quand elle avait deux ans. Elle n'est passée à la cuisine chaude que vers l'âge de vingt ans, quand sa mère a été malade.
Un domaine cependant dans lequel Bêtie s'est mise à exceller fut la couture à la main et le tricot. On tricotait beaucoup dans sa région et Bêtie aimait regarder les catalogues de laine et leurs échantillons. Alors, la maman de Bêtie qui ne connaissait que le point mousse,le jersey et les côtes et aussi un peu les diminutions et les augmentations les a appris à Bêtie.Bêtie commença le point mousse et le jersey à 7 ans,elle fit d'abord des échantillons avec quelques trous, puis elle commença à bien tricoter. Après el changement de maison, toute seule dans sa chambre elle commença à tricoter des pulls pour elle-même, sa petite soeur (qui elle plus trard s'était mises au crochet) et son père. A 12 ans ele connaissait tout du jarquard, des points irlandais et des différentes formes de pull, toutes choses qu'elle avait apprises toute seule avec les livres qu'amenait son père se l'entreprise où il travaillait.
Pour la couture à la main, elle comença dès le jardin d'enfants, où ''l"on faisait aussi des tissages en papier tout en apprenant en même temps, lecture, écriture et calcul. Bêtie fit de la broderie en travaux manuels depuis le jardin d'enfants et pendant toute l'école primaire, ses travaux étaient régulièrement exposés à l'exposition de l'écoel,avec son âge indiqué en regard, pour que l'on sache que c'éait une toute petite fille qui brodait si bien. En sixième en même temps que la latin et l'anglais, il y avait un cours de couture, pour lequel Bêtie avait eu d'excellentes notes, parce que ses points éaient tout petit, alors qu'on la grondait pour son écriture de médecin. Elle dût faire des pages d'écriture entre la sixième et la cinquième parce que le passage du porte-plumes au stylo-plume s'était mal fait, et son écriture était devenue trop petite. Quand ele voit comment écrivent certains garçons de qutrième troisième actuelelment, et même comment écrivaient ses garçons de BTS, elle se dit qu'on ferait bien de leur faire faire des pages d'écriture aussi. Encoer maintenant, ses professeures étrangères ont du mal à la lire, surtout en français, quand Bêtie n'est pas dans un bon jour et que son écriture de médecin prend le dessus.
Enfin, j'ai connu un homéopathe qui avait une personne chargée de déchiffre son écriture dans une pharmacie et quand ce spécialiste de son écriture n'était pas là, il fallait attendre pour avoir les médicaments.
Et puis, dernièrement j'ai remarqué qu'une jeune femme qui sert dans une pharmacie n'écrivait qu'une lettre sur deux dans ses posologies.
Alors l'écriture, ce n'est pas si grave que cela,surtout que maintenant on écrit presque toujours à l'ordinateur. Mais l'écriture de Bêtie s'est améliorée dans son adolescence. Bizarre qu'elle ait eu une aussi mauvaise écriture en sixième parce qu'en fait, elle était très méticuleuse pour la couture et à 10 ans, elle traitait ourlet et surget avec autant de dextérité, mais en fait, son apperntisage de la couture s'est arrêté là pour l'école, car dès 'année suivante, il n'y a plus eu de cours de couture.
Elle a encore appris à repriser les chaussetes et à remailler les bas, avec sa mère. Sa mère avait dû l'apprendre à l'école. mais on ne l'aprpenait plus à l'époque de Bêtie. Elle a aprpis le point de croix et le demi-point pour les tapisseries à l'école et à la maison et aussi le crochet avec sa maire pour les mailes serrées, puis toute seule.
Pendant les périodes de vacances, elle aidait déjà sa mère au ménage, elle faisait les travaux que sa mèer trouvait longs et fastidieux, l'épluchage des légumes,et le pelage des pommes de terre, et surtout en été, l'écosage des petits pois et la préparation des haricots verts, (les couper en deux,enlever les deux bouts et tirer les fils) ce qui prenait la plupart de ses amtinées de juillet. En juillet elle apprenait aussi le jardinage, car elle était chargée par son père de cruauder les plate-bandes du jardin (régionaliseme = enlever le cruau ou les mauvaises herbes). Parfois, elle passait aussi la tondeuse à main (elle a longtemps cherché une telle tondeuse pour elle-même, une fois installée dans sa maison actuelle, mais maintenant toutes les tondeuses ont des moteurs). Pour des petites pelouses les tondeuses à main, suffisaient largement, et on ne sait pas pourquoi on est passé à des tondeuses à la fois bruyantes, mangeuses d'énergie, et polluantes pour certains types.
Pour sa mère, elle concassait les grains de café ave le moulin à café à main, dés son plus jeune âge. Les enfants adoraient ce travail car il fallait tourner une manivelle. Et le bon café odorant tombait dans un tiroir en bas du moulin. Après,on est passé au moulin électrique que Bêtie avait le droit d'utiliser aussi. Bêtie avat appris aussi à faire des gâteaux simples : quatre quart, gâteaux marbrés,etc..
Pour le linge,dès l'âge de 13/14 ans, Bêtie devait laver les pulls et le linge fragile dans une bassine à la cuisine, elle était chargée du lavage à la main qui prenait aussi du temps à sa mère. Elle connaisait aussi les programmes de machine à l'aver et savait faire depuis toujjours la distinction entre les différents étoffes, car dans cette ville textile, on parlait beaucoup de tissus et on discutait autour d'elle des mérites ou des inconvénients des nouveaux tissus. Il fallait faire attention aux températures de repassage. Il arrivait alors que ces nouveaux tissus arrivant sur le marché, plus d'une mère avait fait un trou dans la nouveau vêtement avec un fer trop chaud. Et alors, on en parlait dans le quartier. Elle a appris par ouïe-dire tous des mots comme nylon, polyamide, acrylique, et on parait beaucoup de nouveaux tissus comme le Trévira. Elle n'a jamais eu de cours sur les tissus à l'école, mais tout cela,elle l'apprenait à la maison. Et en consultant les catalogues amenés par son père.
Maintenant, ils sont tous devant leur télé ou leurs jeux électroniques alors ils n'aprennent plus rien.
Bref, Bêtie avait appris une partie de la cuisine, un peu de jardinage, le repassage, la lessive des tissus délicats à la main (sa mère faisait elle-même la lessive à la machine), à faire la vaisselle et à l'essuyer, la couture à la main, le tricot, etc.. le tout en grande partie avec sa mère. Elle aidaiit aussi à faire les poussières et à Balayer et à laver par terre. Souvent en juillet, elle était chargée de faire les carreaux et de les faire briller avec du paper journal.
Cependant comme elle avait peur des cusinières à gaz, elle n'allaumait pas elle-même le gaz, ce qui faisait râler une de ses tantes et sa vosines qui disaient que leurs filles savaient le faire.
Bien sûr, elle avait parfois aussi la corvée de faire les lits, et chacun devait faire son lit, sauf le garçon.Ma mère faisait son lit, mais pas moi.
Bref, je pense que Bêtie ést quand même armvée avant le mariage et largement avant pour faire la parfaite petite maîtresse de maison,ce qu'elle fut jusqu'à il y a un peu plus d'une dizaine d'année, lorsqu'un évènement professionnel, une inspection,l'a complètement bloquée dans presque toutes ses activités musicales et ménagères(en musique, ele ne vit que sur ses acquis antérieurs). Parce que, suite à de fausses accusations de paresse professionelle, elle s'est cosacrée penant un temps uniquement à l'allemand et à sa vie professionelle, en oubliant une partie de sa musqiue, et son ménage.
Bon, son père ne souhaitait pas que Bêtie fasse de grandes études, il disait qu'elle aurait dû aller aux cours de coupe et couture organisés par la mairie, Bêtie qui faisait à l'époque la taille mannequin 40/42 n'en voyait pas l'utilité, mais maintenant qu'elle est passsée en taille 60 et ne trouve plus vêtement à sa taille et à son goût, elle en aurait trouvé l'utilité. Bon an, mal an, Bêtie avançait dans ses études en gardant son année d'avance jusqu'au bac. Et quand elle choisit l'université, son père aurait préféré qu'elle fasse un BTS trilingue pour travailler dans la même entreprise que lui, il aurait bien aimé en faire l'une de ses sefrétaires, pusqiu'elle voulait faire des langues, ce qui était à l'opposé de ce que ses professeurs avaient prévu pour elle, puisqu'ils la voyait plutôt prof de français. Elle était aussi attirée par la géographie, tout ce qui touchait aux voyages l'intéressait.
En juillet, l'un de ses travaux à effectuer, était aussi de faire l'itinéraire des vacances : il fallait préparer des papiers sur lesquels ele indiquait en colonnes,les villes, villages et carrefours hors localité, les numéros des routes utilisées, les bifurquations avec les direcions (aussi les grands directions) et les numéros des routes vers lesquelles il fallait bifurquer, calculer le temps de trajet sur la base d'une moyenne de 60 km heures, y ajouter le temps de pique-nique et des petites pauses, prévoir dans quelle ville il fallait faire les courses pour le pique-nique, et prévoir à quel endroit on allait chercher un hôtel et en chercher queqlues uns dans un guide à proximité de cet endroit (des pas trop chers, bien sûr).indiquer le kilométrage entre chaque ville et villlage et le kilométrage total de la journée et du parcours total, car pour aller au Pays-Basque ou dans le midi, il fallait trois jours, deux jours pour la Bretagne ou l'Alsace. Le soir, quand son père rentrait du travail, il vérifait le parcours calculé dans la journée et regardait s'il n'y avait pas d'erreur dans le calcul des distances et des horaires de passage.
Mais je voulais simplement dire que à l'époque, on apprenait autant des parents et aussi des amis que de l'école. Par exemple, c'est une amie qui 'a donné à Bâtie et ses amis leurs premiers rudiments de guitare. Sur la base des premiers rudiments de solfège appris dans l'enfance, l'usage de tablatures avant l'heure, de shémas d'accords. elle continua toute seule et se mit à grapiller chansons et morceaux auprès d'amis. A deux mois de guitare, elle s'initia au folklore allemand aurpès du père et du frère de sa correspondante. Et elle s'était initiée au folk anglais avec une amie française qui avait la même passion qu'elle pour ce genre de musique et sa correspondante anglaise. "Je lisais aussi en anglais devant la correspondante anglaise qui me rectifait mes fautes de prononciation. J'ai d'ailleurs toujousr aimé l'accent anglais, irlandais, et australien. Car les australiens parlent comme les anglais et pas comme les américains. Dans les lycées où je travaillais avant lévènement d'il y a dix ans je parlais bien anglais avec les assistantes australiennes, et irlandaises surtout car je lescomprenais bien; Par contre, en espagnol, je comprends mieux les amérivains que les espagnols. (parce qu'elle a surtout parlé à des colombiens (une assistante et son profeseur de lutherie)et des argentins).
Bon, tout ceci pour vous dire que l'on apprend autant de la famille et des amis que de l'école et que finalement, si les élèves appernaient chez eux sur leurs ordintaeurs en relation par internet avec leurs professeurs auxquels ils enverraient devoir et enregistrementspour les langues toutes les semaines,selon un programme habdomadaire avec un examen de contrôle trimestriel (pour que le travail ne soit pas fait par une autre personne), celal suffirait largement. Car à partir du moment où l'éducation est bien faite par les parents qui montrent déjà à leurs enfants ce qu'ils savent faire, et ils ont un niveau culturel de plus en plus élevé grâce à la prolongaton des études, il ya aurait moyen qu'ils assurent une grosse partie de la transmission du savoir.
En fait, dans le cas de Bêtie,son éducation à la maison a complété l'éducation de l'école. Les parents ont amené le côté pratique et ont complété ce qui n'était pas fait totalement à l'école : musique instrumentale (Bêtie a fait solfège et piano dans sa presque petite enfance), voyages (en France surtout, correspondants non scolaires, et surtout le sens pratique et l'éducation aux tâches de la maison, son père étant encore venu apprendre à Bêtie et à Rapidy à peindre la maison et à tapisser, alors qu'ils étaient jeunes mariés. Il a passé une demi-journée à leur apprendre en posant les premeres bandes de papier peint dans leur appartement et en leur montant comment on faisait de la colle à tapisser et comment on pigmentait les peintures, toutes choses qu'à bien rentenu Bêtie.
Cela veut dire que les parents continuaient à éduquer leurs enfants jeunes mariés et à leur apperndre ce dont ils avaient encore besoin pour leur ménage.
domino
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Mon ou notre?
Roman-théâtre
Du journal de Doofie
Un jour, 'j'ai dit à Schnelly que lorsqu'il exprimait son opinion, il ne devait pas dire "nous", mais "je". En effet, il m'a souvent affublée d'opinions diamètralement opposées à la mienne.
La chose est devenue claire, un jour, où, encore jeunes, nous étions en camping en Autriche. Deux jeunes français de notre âge d'alors, venaient d'arriver et s'étaient installés à côté de nous. Bien sûr, la conversation s'est engagée avec Schnelly qui était levé avant moi ce jour-là. Dans l'échange, que j'entendais au travers de la toile de tente sans le voir j'ai remarqué un tic de langage de Schnelly, car toutes ses phrases ou presque començait pas "Disons que.." Mais quelle ne fut pas ma stupéfaction quand il commença à dire "Nous pensons que... " alors que je n'étais pas du tout de son avis...
Souvent quand on parlait avec des gens, et qu'ils nous demandaient "Que pensez-vous de cela?", Schnelly répondait au pluriel, "Nous pensons que... " répondant pour moi devant moi. Alors que je n'étais pas forcément de son avis, ce qui m'amenait à rectifer. Ce qui faisait un peu bizarre, voire impoli. J'ai toujours eu l'impression qu'à côté de lui et de son avis, j'étais quantité négligeable. D'ailleurs, quand on est en société, souvent il me quitte, soit il va aider les gens, à faire la vaisselle, (ce qui fait dire :" Hmm! Qu'elle est heureuse sa femme, ele n'a rien à faire chez elle ..."Tu parles!.. Il ne sait pas faire le bricolage.!) Soit il va parler indépendamment de moi à d'autres groupes de gens dans la salle, je veux bien quand on est en famille, par exemple aux vins d'honneur des mariages de la famille, mais pas quand il s'agit de soirées d'assocaitions, parfois quand on est à un repas, il va manger ailleurs dans la salle, ou alors, il se lève sans cesse et me laisse seule à ma table.
Dans les repas de famille, quand j'étais jeune on plaçait les gens différemment de l'habitude, on méttait des menus sur la table, en alternant un homme et une femme, mais pas forcément le mari et la femme. Mais dans les repas entre amis ou en association, souvent les deux personnes d'un couple resstent à côté l'une de l'autre, comme cela on sait qu'ils sont de la même famille, mais Schnelly m'abandonne alors, seule à ma table.
D'ailleurs, il ne porte pas d'alliance. Il en avait une enfilée le jour du mariage. Mais un jour où, encore jeunes, on avait de la visite à la maison ,une professeure allemande d'un jumelage que je fasais, et que nous dormions à deux, Schnelly et moi, dans la canapé de la salle de séjour, car nous avions laissé notre chambre à la collègue allemande, Schnelly avait posé sa bague sur le fauteuil â côté du canapé, mais la bague de mariage, l'alliance, n'était plus là le lendemain. Il a dit qu'elle avait dû tomber dans la fente du canapé, fente entre le dossier et l'assise, et on ne l'a jamais retrouvée. Ce fauteuil, toujours à la maison, doit coûter cher, car il y a de l'or dedans, si ce qu'a dit Schnelly est vrai. Depuis, Schnelly n'a plus d'alliance et les femmes qui ne le connaissent pas croient qu'il n'est pas marié. Et le draguent parfois. Ce qui ne lui semble pas désagréable. Il explique cela en disant qu'il n'est ni superstitieux ni fétichiste, c'est pour cela qu'il n'a pas besoin d'alliance.
Tiens, si pour nos quarante ans de mariage, bientôt, je lui achetais une nouvelle alliance?
Et puis cette manie de toujours dire "ma maison" et '"mes affaires", même en parlant des miennes.
L'à je proteste, quand on a acheté la maison, je gagnais un peu plus que lui, donc, je suis proprétaire d'un peu plus que la moitié de la masison. Parce que je gagnais un peu plus d'argent que lui, un peu plus de la moitié de l'argent du ménage, pendant les dix ans où l'on a payé la maison. Et l'argent des remboursements de crédit venait de notre compte commun, sur lequel étaient versés nos deux salaires, le mien plus élevé que le sien, sauf au dégut où il travaillait sur deux établissements avec heures supplémentaires.
Et il dit toujousr "ma" maison.
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Pour Doofie..
domino
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NDLB : Non, ce n'est pas une incohérence que Doofie parle de leur maison, achetée en dix ans, alors qu'elle n'est dans sa nouvelle académie depuis 3 ou 4 ans, je ne me souviens plus exactement,quand elle a quitté cette académie d'enfer, celle de Bêtie. Elle avait tout prévu et acheté leur maison, à elle et à Schnelly, dans une autre académie, plus chaude, c'est pour cela qu'elle est moins malade de Bêtie, alors que Bêtie et Rapidy ont acheté leur maison sur place.
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Je dois dire quand même que Schnelly et Rapidy, commencent à comprendre certaines choses, commencent à comprendre que certaines de leurs manies, sont parfois bruyantes (la manipulation de sachets en plastique par exemple) ou nocives pour l'environnement (la multiplicaition des sachets en plastique dans les pièces d'habitation par exemple), car les sachet bio-dégradables, font des vapeurs nocives en se dégradant. mais ils n'ont pas encore compris que laisser la radio allumée dans la cuisine à l'ongueur de journée, même quand il n'y est pas, gêne la concentration de Bêtie et Doofie qui travallient à leur ordinateur, et que ça gêne aussi la tranquillité et l'audition des bruits extérieurs à la maison. Il n'ont pas encore compris qu'il ne faut pas toujours acheter la même chose à manger, mais vairer les aliments. Qu'il faut mettre du sel dans la cuisson des aliments pour qu'ils aient du goût. Ils ne savent toujours pas se servir d'une machine à laver, car ils ne font pas la distinction entre un tissu synthétique et un coton grand teint. Ils n'ont pas encore compris que quand il fait des tas avec des sachets bio-dégradables, au bout d'un moment les sachets tombent en miettes et la pile s'écroule, mais je dois dire qu'ils font moins de tels échafaudages depuis qu'ils sont retraités, car ils ont moins d'affaires à ranger.
Bêtie a empilé des cartons dans un coin d'une poèce, pour ne pas laisser toutes les affaiers en vrac en en faiant des échaffaudages qui ne tiennent pas debout, les boites sont bien de la même taille, les unes au dessus des autres et bien calées exactement les unes sur les autres. Comme la tas ne va pas jusqu'au plafond, Raprdy stocke déjà des habits à lui par dessus et aujourd'hui, lorsqu'il s'agisait de placer quelque part la grosse boîte en fer de biscuits de Noël, achetés avant Noël, mais qu'une fois les courses faites, Rapidy avait oublié dans un coin du garage, Rapidy n'a rien trouvé de mieux que d'aller la metre là-haut près du plafond, de guinguois sur ses vêtements et Bêtie a eu peur qu'elle tombe sur eux, alors il a replacé la boite en aplatissant ses vêtements qu'il avait en dessous. Vite fait, bien fait, chez lui.
Rapidy a toujours dit que les biscuits dans des boîtes en fer, ça n'existait plus dans les magasins, alors que Bêtie,Doofie et Cie aiment bien ces boîtes dont leurs grand-mères se servaient, une fois vidée de leur contenu initial, pour ranger photos, cartes postales et divers papiers. En plus, elles aiment bien les biscuits et leurs maris veuletn leur en interdire la consommation, parceque ça fait grossir, alors qu'ils achètent pizzas, quiches à réchauffer, et plaques de chocolat à la pelle. Des biscuits, cela donne moins d'accoutumance que les plaques de chocolat et c'est plus varié, alors, il y a un défaut dans le système de Schnelly et Rapidy... et c'est aussi plus sain.
Ma mère gardait les boîtes de chocolat qui avaient de beaux dessus pour ranger des papiers divers, elle les mettait dans les armoires. Ma grand-mère et ma mère gardaient les boites de biscuits en fer pour y conserver d'autres aliments secs ou pour ranger aussi divers papiers, carte postales, photos en double ou en attente d'être collées dans les albums, ,etc..
domino
08:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ils ne font pas bon ménage
Roman-théâtre
Rapidy et Bêtie sont à la maison, lui retraité, et elle, malade, d'un coup de froid, d'un virus ou d'un microbe qui lui a coupé momentanément, puis fortement enroué la voix.
Bêtie voudrait profiter de son repos à la maison pour avancer dans ses rangements et son ménage, elle veut continuer son garage auquel elle s'est attaquée deux fois au début des vacaces de Noël, mais Rapidy ne veut pas parce qu'il dit que c'est en remuant les poussières du fond du garage qu'elle a attrappé son microbe, alors que Bêtie pense plutôt qu'elle l'a attrappé à une autre personne.
Alors Bêtie a dit, je pourrai mettre un petit masque jetable pour faire le ménage, mais Rapidy dit que ça n'existe pas dans les magasins.
Pourtant les japonais portent ce genre de masque quand ils prennent le métro pour ne pas attraper les microbes des autres et ils mettent des gants jetables pour ne pas se salir aux barres des transports en commun. '(Mais ils ont des centrales dont la pollution envahit les mers et le monde).
Il n'y a pas de grenier dans la maison de Bêtie et Rapidy.
Rapidy voudrait que Bêtie fasse les autres pièces, le rez-de-chaussé et l'étage, mais elle a besoin de place au garage pour entrepoer (momentanément) ce qui est en haut dans le sous-sol et tpour cela il faut qu'elle fasse le garage.
Dans le ménage de Bêtie, Rapidy sert juste à transporter les affaires. Mais quand la nuit commence à tomber et que Bêtie est pressée de ranger tout à nouveau à la même place, mais avec moins de volume ou mieux rangé, Rapidy prend part, amène un paquet ou un carton qu'on garde et dit "Où est-ce que je le pose?" bêtie choisit des emplacements pour que ça prenne moins de place, et les fait empiler contre un mur, plutôt que tout mettre l'un à côté de l'autre (technique de Rapidy qui prend beaucoup de place au sol, c'est comme un ensemble de maisons par rapport à des appartements, pour loger le même nombre de personnes, les maisons prennent plus de place. Rapidy aligne les boites comme des maisons, au lieu de les empiler comme des appartements et quand Bêtie lui dit, no pas là, là, sur l'autre boîte, il crie, mais ça risque de tomber, et il met cinq minutes pour comprendre dans quel sens il doit poser la boite pour qu'elle ne tombe pas! Bêtie pense qu'il le fait exprès.
L'autre jour, alors que Bêtie était très fatiguée, Elle demande à Rapidy de finir le ménage partiel du garage en donnant un coup avec le gros balai. A un moment Rapidy avait des papiers dans le chemin de son balai et les repoussait toujours plus loin. Ramasse-les papiers a dit Bêtie en pensant que les deux papiers qui étaient dans la trajectoire de son balai, gênaient. Il laisse son baliai, commence à fouiler le sol à droite et à gauche et à ramasser tous les papiers qui traînaient encore,laissant poireauter Bêtie qui atatendait pour fermer la porte.
Voilà c'est Bêtie et Rapidy.
Non, dimanche dernier Bêtie n'a pas fait la cave,car Rapidy a montré de la mauvase volonté dans ce domaine.
domino
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vendredi, 24 janvier 2014
La voix
Bulletin de santé de Bêitie par Doofie (roman-théâttre)
Voilà trois semaines suite à un rhume avec toux et un petite enrouement, Bêtie prof, et chanteuse rossignole à ses heures perdues, montreuses de mationettes sur Votre Tube Cathodique, marionettes qui parlent aigues (comment, maman, nous tes nounours, on n'est plus que des marionettes?)perd sa voix subitement. En même temps que sa voix, toutes les marionettes perdent la leur. Certaines devaient même faire The Voice Marionettes et vont être retardées dans leur auditions.
Bon, et bien, donc, plus personnes n'a de voix, marionettes, et Bêtie tout le monde était aphone.
Au bout de 6 jours, quelues sons très graves sortent de la gorge de Bêtie, mais les marionettes sont toujousr complètement aphones.
Au bout de 15 jours après avoir récupéré une note tous les trois quatre jours, Bêtie a enfin une octave, mais les marionettes qui parlent aigu : toujours totalement aphones.
Au bout de 3 semaines, un petit peu de voix revient, des hautres et des bas. De temps en temps elle sort un quinte claire et pas une quinte de toux, mais ensuite ce sont des noters rauques, elle qui avait la voix si claire, puis carrémment éraillées avec des sifflements. Ah! Les marionettes commencent à émettre aussi des sons : des voix éraillées avec des sifflements, pour The Voice Marionettes, ce n'est pas terrible. Ce n'est pas leur équipe quii va gagner.
Bon, mais enfin, la voix de Bêtie va mieux, avec les progrès qu'elle fait, Bêtie pourrait récupéere sa voix d'ici deux à trois semaines. Mais il faut absolument qu'elle redevienen aussi belle qu'avant. Il faut aussi qu'elle retrouve sa puisance. PArce que Bêtie sans sa voix de chanteuse,ce n'est plus Bêtie.
Pour Bêtie
Doofie
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mercredi, 22 janvier 2014
Eau salée
Du journal de Doofie (roman-théâtre)
J'ai tapé les symtôtmes de Bêtie sur internet et j'ai fait faire l'analyse. C'était écrit : Danger de crise d'asthme aigué, appelez le 15 (SAMU). Bigre! Mais Bêtie n'a pas d'asthme, on est en hiver, elle a les trois autres maladie possibles :
Quand je tape en premier syptôem Toux, j'obiens :
Bronchite aigûe et
Pneumonie sur un lobe
Quand je tape en premier symtôme Problème de voix, j'obtiens :
Bronchite aigüe
Laryngite
Bon, j'ai lu aussi sur le site qu'on peut mourir d'une laryngite, que ça emêche de respirer, mais comme la laryngite de Bêtie va mieux, elle ne va pas mourir.
J'ai lu aussi sur un autre site qu'on pouvait respirer des vapeurs d'eau salée pour soigner la laryngite, alors Bêtie l'a dit à Rapidy qui a donné un bol d'eau chaude à Bêtie et le saupoudreur de sel. Bêtie a trouvé que pour respirerr les vapeurs il n'y avait pas assez de vapeur, mais enfin, elle a quand même respirer le peu de vapeur qui se dégageait du bol, en mettant son nez au ras de l'eau. Elle a senti que ça faisait du bien à son front et à ses yeux qui semblaient plus détendus. Mais elle a dit à Bêtie que pour que ça aille jusque dans la voix, il faudrait que les vapeurs soit plus fortes et plus hautes,alors au lieu de faire chauffer plus d'eau, Rapidy, qui entre nous en tient une couche à moins qu'il ne le fasse exprès, a rempli davantage le bol, en se idisant que comme cela il y aurait plus de vapeur, mais il n'a même pas pensé à réchauffer l'eau. Alors Bêtie a dû lui expliquer que ça fait plus de vapeur quand c'est pllus chaud, ah ah!
Alors Rapidy il a remis sa casserolle sur la cuisinière et il a chauffé l'eau un tout petite peu plus fort. Bon, ça ne faisait pas des vapeurs exxtraordinaires, mais enfin, c'était un peu plus chaud et il y avait un peu plus de vapeur. Là-encore Bêtie a senti que son front et ses yeux se détendaient. Même que son froint était moins brûlant. et puis, il y avait quand même une odeur de sel dans son nez et ça a même été jusque dans sa gorge le goût du sel. Je ne sais pas si ça va mieux, mais son nez fait moins de saletés et elle tousse moins. Aurait-on trouvé la bonne solution?
Bon, mais Rapidy, il en tient quand même une couche!
D'ailleurs Bêtie elle a dit : On dirait un grand bénêt par moment! Décidément, la retraite, ça ne l'arrange pas...
Pour Bêtie
Doofie
Le critique : Et Doofie, elle devait appeler le 15..
domino : Elle n'habitea pas dans la même région, elle ne peut pas appeler le 15 pour elle...
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Pour Doofie et Bêtie
domino
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Bulletin de santé de Bêtie
Roman-théâtre
Bulletin de santé de Bêtie (par Doofie)
Bêtie m'a téléphoné ce matin, sa santé s'améliore.
Quintes de toux : plus espacées, elle dot mieux la nuit car sa nuit n'est plus entrecoupée par des quintes de toux.
Difficultés respiratoires : Encore un peu au réveil (pendant 1/2 heure environ) dans doute du au passage de la position couchée à la position assise ou debout, mais plus aussi souvent qu'avant. Renviennent parfoi verss 4 heures de l'après-midi pour redisparaître ensuite.
Voix : toujours de l'enrouement, voix pas très forte, sa voix n'est plus placée, les notes graves sont revenues, mais il manque une octave complète dans l'aigu, impossible de chanter aigu, la xoix est de gorge, mais elle n'arrive plus à la placer dans la tête. Donc, a perdu pour le moment sa voix de tête. Ce qui enlève de la résonnance à toute la voix, d'où la voix assez faible et encore enrouée à cause des encombrements dues à la maladie.
Nez : Bouché par intermittence.
Douleurs : Elle ne se plaint plus de douleurs dans les côtes.
Conseil à Bêtie : Au fur e à mesure que la voix aigue reviendra, faire des vocalises simples pour raffermir sa voix. Sur lses consonnes qui font travailler en même temps la respiration z, j, v.(prononcés à la française).
domino
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