vendredi, 25 avril 2014
Schnelly est en retard...
Roman-théâtre
C'était dans les années 70, Schnelly et Doofie étaient mariés depuis 4 jours, ils s'étaient mariés samedi et on était mercredi, le dernier mercredi de juin, après, en juillet (les collèges et lycées fermaient plus tôt à cette époque et il 'y avait pas de cours en juillet et on reprenait le 13 septembre), Schelly et Doofie allaient partir en voyage de noces en Autriche don Doofie avait toujours rêvé tet puis après ils iraient en Bretagne, pays que Doofie voulait montrer à Schnelly.
Une collègue de Doofie qui s'y connaissait en tente car elle faisait du camping depuis belle lurette, l'avait amener pour l'après-midi acheter une tente dans une grande ville d'à côté. La collègue avait une voiture, ce qui était plus pratique pour ramener la tente. Doofie et sa collègue étaient parties vers 2 heures de l'après-midi, disant qu'elles rentreraient à 17 heures, Mais les achats avaient duré une heure de plus que prévu et quand la collègue les a déposés au pied des appartements où Schnelly et Doofie occupaiet un petit quatre pièce, cuisine, salle de séjour et 2 chambres dont l'une servait de bureau, Schnelly était très inquiet : il avait déjà téléphoné à tous les commissariats et à toutes les gendarmeries de la route qu'emprutaient Doofie et sa collègue pour savoir si elle n'avait pas eu d'accident.
Maintenant Schnelly est parti faire les courses vers 16 heures, il est passé 20 heures et il n'est toujours pas rentré, il allait en bus de ville vers la ville juste à côté à quatre kilomètres. Et il allait juste dans deux magasins et il n'est toujours pas rentré. Doofie ne téléphone pas à la police, elle sait que quand Schelly sort, il ne rentre jamais très tôt. Mais aucun bus ne rentre jusqu'ici à cete heure-là, il va devoir prendre le taxi et payer 10 à 12 € qui vont s'ajouter à son budget qui, Doofie étant en vacances et pouvant demander les comptes tous les soirs s'élève pour deux personnes à 1250 € pour 25 jours pour les dépenses courantes (nourriture et quelques livres), il dépense moins depuis qu'il doit lui donner ses comptes, mais est-ce qu'il n'oublie rien volontarement dans ses comptes, mais il doit se priver, car d'habitude on dépense deux fois plus. Elle a juste calculé 33 € en plus dans une pizzeria, elle se serait bien passée de manger lourd ce soir-là et la pizzeria qui a changé de look est devenue trop luxiueuse.
Il faut ajouter à ces 1250 €, 800 € d'impôts, plus les retraits mensuels des charges qu'il ne lui a pas présentés.
Il a présenté les relevés de compte pour les impôts et les relevés bancaires anuels quand Doofie s'est plaint que la banque n'en envoyait plus, on était en avril et ils datent de janvier! Quatre mois plus tard!
Il l'a fait avec une mauvaise voloté évidente. Quand elle a demandé d'où ils venaient il a dit : "Là de l'armoire, en montrant une armoier de cusine." Avec mauvaise grâce.
Doofie se demande quels sercrets il y avait là-dedans.
Bon,en attendant Doofie imagine qu'il est arrivé un tas de choses à Schnelly :
Il s'est disputé avec la caissière d'un magasin à laquelle il a motré ses cabats de mauvaise grâce et s'est fait arêté.
Il a été enlevé par un O... Chut.. Je suis toute seule ici, il fait encore jour, pourvu que l'O... n'apparaisse pas, à mois que Schnelly l n'en descende devant la maison...
Une voiture... C'est peut-être le taxi... Il va payer entre 10 et 12 €...
Il a été enlevé par une bande de truands qui lui ont volé ses papiers, mes provisios et encore un tas de choses. La voiture repart, c'est peut-être lui,j'entends la boîte aux lettres, peut-être à moins que ce soit des voisins, des voix d'hommes, je ne sais pas...
Personne ne monte l'escalier, ce n'esr donc pas lui... J'entends du bruit chez la voisine, on a déposé la voisine, pourtant on l'avait déjà déposée tout à l'heure. Encoer un vroum, c'est une autre voiture qui s'en va, les voisins de l'autre côté qui viennent pour le week-end ont plein de voitures.
Ah! Il gratte sur la persienne et dit "Coucou!" gentiment, je ne téléphonerai pas à la police.
Doofie
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Pour Doofie
domino
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Si Blödie avait eu des enfants...
Roman-théâtre
Si Blödie avait eu des enfants..
Si Blödie avait eu des enfants et n'avait jamais été prof de sa vie, elle aurait plus de retraite... Tenez après 32 ans de prof certifiée et 3 ans d'auxiliaire dans sa jeunesse, elle n'aurait que 1600 € par mois si elle prenait sa retraite maintenant, alors qu'elle a une amie, une copine plutôt, mais pas une comme Doofie et Dummie,mais plutôt une connaissance, qui n'a jamais eu d'activité professionnelle dans sa vie, mais a eu 3 enfants et elle a 1000 € de retraite par enfant, soit 3000 € de retraite par enfant. C'est d'ailleurs ce qu'aura comme retraite aussi la belle-soeur de Doofie, c'est pour cela qu'elle n'a jamais été travailler.
Pourtant, Blödie, prof de ZEP a eu toute sa vie des enfants difficiles, par paquet de 20 à 30. Pas toute la semaine, mais presque.
La connaissance de Blödie a eu,elle, des enfants très faciles, des intellos, des garçons qui restaient toute la journée devant leur ordinateur et allaient au foot deux fois par semaine, et dès l'âge de 13 ans, ont bien aidé leur père à faire le bricolage, et une fille qui l'aidait, tout en faisant des études sans problèmes, à la cuisine, au ménage, aux rangements, à la lessive, si bien qu'une fois ses enfants passés à l'âge de l'adolescence, les parents n'avaient presque plus rien à faire à la maison et pouvaient sortir quand ils voulaient, mais elle a la même retraite que celles qui ont eu des enfants difficiles et plus que ceux qui ont eu des élèves de ZEP toute leur vie.
Blödie quand elle était petite, faisait pareil pendant les périodes de vacances scolaires, elle faisait le jardinage, desherbait le jardin pour son père, épluchait les haricots et les petits pois que sa mère allait chercher à la ferme locale, se brûlait les doigts avec les pommes de terre à la pelure qu'elle devait éplucher chaudes et pour toutes la famille, faisait l'itinéraire pour les vacances du mois d'août et encore en vacances sous le soleil, s'installait au jardin avec le récipient de haricots ou celui de petits pois ou celui de pomme de terre et faisait les épluchages de légumes pour sa mère.
Elle l'aidait au repassage, elle faisait le raccommodage, tricotait des pulls, le plus souvent pour elle-même, mais parfois aussi pour son père ou sa soeur.
Elle était la parfaite future petite maîtresse de maison, mais une fois ses études d'allemand pas tout à fait achevées (elle aurait pu aller comme cela jusqu'à la thèse), elle a eu un poste de prof d'allemand, s'est mariée, a eu son CAPES, et pas d'enfants, et maintenant, elle aura moins de retraite que cette connaisance qui n'a pas fait de bonnes études, n'a jamais eu d'activités professionnelles,mais a eu trois enfants qui ne l'ont jamais embêtée, et l'on souvent aidée, si bien qu'elle a plus de travail, maintenant que ses enfants son mariés que lorsqu'elle était à la maison...
Si Blödie avait eu trois enfants en plus de son métier , elle aurait 4600 € de retraite, elle aurait eu 9 mois ou plus de congés de maternité dans sa carrière, avec versements pour la retraite..; elle aurait été plus respectée par la population de sa ville, et...
La vie est injuste, se dit Blödie..; qui n'a pas fait entrer cette connaisance dans le cercle de ses meilleures amies.
Pour Blödie.
Doofie
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Le méchant
Roman-théâtre
La semaine prochaine, Doofie et ses amies iront sur leur camping avec une piscine d'où l'on aperçoit la mer là-bas qui scintille entre deux collines (leitmotiv). En attendant Doofie et Schnelly sont à la maison. Doofie a dit à Schnelly qu'il pouvait sortir mains et poches vides pour aller se promener pendant qu'elle vaque à ses diverses occupations, mais Schelly ne l'entend pas de cette oreille-là. S'il sort, c'est seulement et uniquement pour faire des courses.Il ne sait pas sortir sans dépeser quelque chose alors qu'il aurait tout le loisir de faire de la marche rapide et sans moi qui marche plus lentement, sans porter un lourd sac à dos et traîner un sac lourd. Mais Schnelly ne veut jamais écouter les conseils de Doofie. Il a décrété aujourd'hui : "Je vais faire des courses".
Bon, Doofie a attendu qu'il soit près pour enlever les affaires qui lui servent à travailler et qu'elle a posées à côté de son ordinateur près de la porte, mais Schnelly n'était jamais près. Et quand Doofie a enlevé ses affaires pour qu'il sorte enfin, il a dit : "Attends, il faut encore que je remonte mes sacs de la cave et que j'aille me changer là-haut!" Il n'était pas prêt! J'en ai pour dix minutes à me préparer!
Comme Doofie 'n'a plus beaucoup de place,c'est pour cela qu'elle presse Schnelly de faire les rangements de la cave avec elle, elle ne peut pas les faire seule car il entrepose souvent des choses lourdes devant ce qu'elle doit trier et en plus régulièrement, il y a des choses qui reviennent devant ce qu'elle doit trier. Avant le dernier triage, elle a remarqué deux grands sacs poubelles noirs qui étaient là en plus devant les affaires à trier. Elle a commencé à trier le contenu d'un sac, celui où il y avait des affaires à Schnelly de ses cours d'antan déchirées et quelques préparations à elle, anciennes, qu'il avait déchirées avec le reste (ce sont des préparations qu'il lui avait piquées en douce!), et Doofie était en train de trouver qu'il y avait bien des textes intéressants là-dedans quand Schnelly a voulu lui arracher le sac poubelle noir des mains en lui disant "C'est déjà trié!" Mais non, a protesté Doofie, cette feuille-là coupée en deux, c'est intéressant pour moi. En regardant discrètement hier, elle a remarqué que deux grands sachets poubelles noirs à peine pleins se sont ajoutés devant ses affaires à trier du fond du garage où en principe, elle n'aurait dû trouver que des vieilles choses d'il y a 25 ans et des affaires amenées de chez sa mère. Et elle trouve toujours plein de choses à lui, et des choses pas très anciennes à elle, glissées entre les vieilles choses.
Bon, revenons à aujourd'hui... Il va se changer avant d'aller faire les courses et en descendant frôle un paquet de classeurs que Doofie avait mis sur un alignement qui double la rampe de l'escalier. Tout tombe en bas et il se retrouve coinncé dans le haut de l'escalier. Comme il avait mis le sac, dans lequel Doofie a mis les papiers cartons emballages boîtes de conserve vides et bouteilles plastiques vides évacuées de la cuisine pour les descendre dans les poubelles à la cave (au garage), juste en bas de l'escalier pour descendre à la cave chercher ses sacs ce qu'il avait fait avant... Doofie doit se pencher par dessus le-dit sac pour ramaser ce qui est tombé du tas et qui s'est mélangé avec quelques vêtements tombés aussi de la marche d'en dessous. Deux vêtements à elle et une paire de chaussettes à elle qu'elle avaient retrouvées au garage; Schenlly est conincé trois marches au-dessus et doit aider Doofie a remettre ce qui est tombé sur le tas, car à cause du sac que Schnelly avait déplacé, mais n'avait pas remis en place devant la porte de la cave avant de monter (ses sacs à lui, trainent par contre devant la porte de la cave à la place de son sac à transporter les emballages, tri des ordures oblige), Doofie ne peut pas se mettre en face de l'escalier et elle n'a pas le bras assez long pour reposer les affaires.
Lorsqu'il avait frôlé un paquet de classeur qui est tombé, Schnelly a juré ses grands dieux que ce n'était pas lui qui avait fait tomber tout cela, que c'était tombé tout seul, mais par hasard, juste au moment où il passait à côté. Compreez bien que c'est un éléphant dans un magasin de porcelaine. Alors pour rendre la chose plus plausible il a dit que c'étaient les vibrations déclenchées par son passage qui avaient fait tomber les objets.
Et si vous êtes un enfant qui lisez ces lignes, n'allez pas dire à votre maman que ce sont les vibrations déclenchées par votre pssage qui ont fait tomber le beau vase en porcelaine de Chine. A moinrs que ce ne soit le chat, mais il n'y en a pas chez Schnelly et Doofie, à moins que ce ne soit le chat de la voisine, ou une secousse sysmique imperceptible...
On a eu dans les années 90 deux secousses sysmiques perceptibles dans l'académie de Bêtie, académie que nous avons quittée, une fois dans un sens, une fois dans l'autre... la première fois c'était la faille de Masstricht et la deuxième fois, celle qui suit le bassin miier de Belgique. Une fois le lit a bougé d'avant en arrière et l'autre fois l'armoire-penderie a tangué de droite à gauche. Mais comme tout était encore bien rangé (cela ne faisait pas longtemps qu'on était dans cette maison de là-bas), rien n'est tombé, même pas un livre dans les bibilothèques.
Bon, voilà... revenons à nos moutons... Enfin Schnelly et Doofie ont remis les affaires en place (ce n'est pas leur place définitive, Doofie veut d'abord faire de la place en-bas, amener ce qui est dans le coin près de la porte provisoirement dans la place dégagée, aménager son espace travail dans le coin près de la porte et ensuite remettre les affaires de ce coin en place, au fur et à mesure qu'elle triera les affaires, compléter les bibliothèques et les rayonnages qu'elle installera dans ce coin, et alors d'auters endroits seront débarassés dans lesquels elel pourra installer de noveaux meubles ou agrandir les meubles existants, Doofie est pour le mélange des genres, elle voit très bien les meubles très années 70 de son living (c'est comme cela que l'on disait à l'époque) encadré jusqu'aux plafond et sur les côtés par des bibliothèques d'une autre couleur. On lui dit qu'il ne faut pas mettre de rustique avec le moderne, mais Doofie voudrait bien tout mélanger comme cela, elle aurait tous les genes qu'elle aime en même temps, et ses meubles seraient alors assez grands pour tout ranger. Au fur et à mesure qu'elle avancera, elle reclassera tout, toutes les feuilles dans des classeurs, tous les livres par genres et par collections... car avec tout ce qu'elle a travaillé ces derniers temps à cinq jours par semaine plus le samedi, c'est devenu un vrai capharnaum chez elle, parce qu'elle n'a plus le temps de ranger, elle est en plus obligée de ranger ce que Schnelly ne range pas. Et ce qu'il remet aux places où elle a débarassé. Comme à la cave, il replace toujours des sacs à trier devant ce qu'elle trie, maintenant qu'il y a un petit espace libre à l'endroit où elle a trié, si bien qu'elle n'avance plus dans ses triages.
Quand Schnelly a pu descendre les quatre marches,, sur lesquelles le tas qu'il avat frolé avait valsé, Doofie n'avait pas encore rangé certaies choses qu'elle avait placée au-dessus de son ordinteaur comme sept à huit beaux petits cahiers Clairefontaine, pas encore utilisés (elle les cherchait depuis longtemps), deux vêtments et une paire de chaussettes qu'elle a montés du garage. Et voilà que une fois Schnelly parti, elle a regardé ce qu'il avait dans ses sacs, il y avait de vieilels piles qu'il veut jeter à l'endroti appropiré et elle lui demandé pourquoi il ne lui disait pas qu'il allait les jeter, sinon, elle allait s'imaginer qu'il les avaient mis dans un autre coin de la maison, elle ne voit plus qu'un seul vêtement des deux, les deux chaussettes, heureusement, car ce sont de jolis mi-bas aux jacquards norvégiens,et seulement cinq cahiers Clairefontaine. Est-ce que pour se venger du fait que Doofie avait regardé dans ses sacs, il les auraient emmené discrètement au passage...???
A moinrs qu'il n'y ait eu que cinq cahiers et un seul vêtement? ...
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Tiens justement pendant ce temps-là, Schnelly est allé dans un nouveau magasin qui vient d'être costruit. Le magasin est bâti sur pilotis, enfin sur des colonnes (on le ssait parce qu'on l'a vu en costruction) et en dessous il y aurait, paraît-il un parking souterrain. D'un seul coup, puisque Doofie pensait à des secousses sysmiques, Schnelly sent des vibrations sous ses pieds. Un gros camion vient de mettre son moteur en route dans le parking. Oh! Un tremblement de terre, se dit Schnelly... Un vendeur passe au bout du rayon, vite, vite moinsieur, il faut sortir, le magasin va s'écrouler.
Et mon caddy, proteste Schnelly qui a son caddy presque plein... Je passe d'abord à la caisse sinon, j'aurais fait tout cela pour rien.
Non, non, monsieur, laizssez votre caddie-là, le magasin peut s'écrouler.
Schnelly ne sait pas où sont les caisses... car ce n'est que la deuxième fois qu'il vient ici. Vite, vite, il faut que je paie, sinon, j'aurais passé du temps pour rien, les caisses sont-là, les vendeuses ont quitté leur poste... Plein de caddies pleins sont entreposés devant les caisses. Un haut parleur annonce, "Nous avons fait les vérifications nécessaires, notre clietèle peut reprendre ses caddies et continuer ses courses, mais tous les gens sont paris, et ont laissé leur caddie-là, pleins, la nourriture fraîche ne peut plus être mise en rayons, mais Schnelly, lui a de la chance, une caissière s'est réinstallée à son poste et il est le premier à la caisse, il ne devra pas faire la queue...
Pour Doofie (et Schnelly??!!...)
domino
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jeudi, 24 avril 2014
Trois pontes
Roman-théâtre
Dummie : Bêtie vient de me téléphoner, elle fait ses triages et son nettoyage de printemps, là où elle peut.
Doofie : Où elle peut?
Dummie : Là où il n'y a pas trop d'affaires qui cachent les endroits à nettoyer.
Doofie : Elle a trop d'affaires?
Dummie : On ne peut pas dire cela, ses meubles ne sont pas assez grands et elle n'arrive plus à ranger dedans. Il faut qu'elle empile tout verticalement dans des cartons le long des murs, car Rapidy avait tout étalé en largeur. Et ensuite elle pourra faire son ménage, refaire sa décoration là où cela demande un coup de fraîcheur,car cela fait 25 ans qu'elle est dans ses murs et qu'elle n'a pas repeint et "re-tapissé",
Doofie :Dans le coin où habite Bêtie, ils disent "le tapis" à la place du "papier peint", et nous, quand j'étais petite, on disait "la tapisserie".
Dummie : Ils accrochent leurs tapis de sol à leurr murs?
Doofie : Oui, cela m'a fait drôle la première fois que j'ai entendu dire "le tapis" à la place de la "tapisserie"! A Bêtie, ça lui fait encore bizarre maintenant au bout de 30 ans et plus dans le coin, bien qu'elle n'a passé son enfance et son adolescence qu'à 100 km de là, à grande métropole régioale.
Dummie: Mais je t'ai téléphoné pas pour cela, Bêtie est en colère de ce qu'elle trouve parfois dans ses triages. Ragarde, elle a trouvé une invitation qui était adressée à son mari, à son adresse postale, donc à la sienne, et uniquement à lui, pour aller à une conférence de germanistes. Cela datait de janvier.Alors qu'il est retraité et qu'elle est ecore professeur d'allemand!
Doofie : C'est de la mysogynie!
Dummie : D'ailleurs les trois collaborateurs de cette conférece, sont trois personnages que nous connaissons bien, trois hommes!
Doofie : Ah!
Dummie : L'un d'entre eux est un de nos anciens prof de Version, celui qui ne donnait pas de notes, mais écrivait "bien" sur nos copies.
Doofie : On va sûrement voler celles de Bêtie pour changer l'appréciation, car voilà trois fois qu'elle n'a plus de bonnes notes en version, (aux deux agrégations 2013 et à l'interne 2014), comme on a fait à sa copie où l'on a effacé "Vous avez une parfaite maîtrise de la langue allemande". C'était écrit par une autre professeure.
Dummie : Enfin, il était bien s'il mettait bien à Bêtie, il lui a dit que ça faisait environ 14 et c'est la note qu'elle a eu à l'agrégation externe il y a trois ans, mais elle n'a pas eu l'agrégation.
Doofie : Justement, le deuxième est le président de cette agrégaton-là!
Dummie : Et elle ne l'a pas eue...
Doofie : Non, pourtant à l'oral, il était très souriant.
Dummie : Mais le troisième larron...
Doofie : Larron? A le mauvais larron, tu veux dire?
Dummie : C'est le recteur de Bêtie ! Mais ce qui a rendu Bêtie furieuse, c'est ceci ...
Doofie : Quoi?
Dummie : On a rsouvent reproché souvent à Bêtie de faire beaucoup de choses en plus des cours d'allemand qu'elle donne : de faire de la musique(voilà deux ans qu'elle a mis ses guitares au placard, elle les resortira quand elle sera retraitée, c'est à dire dans un peu plus de deux ans), de faire des vidéos de musique, même si l'enregistrement ne lui prend que la durée du morceau, vu qu'en musique, ele vit sur ses bases. De faire d'autres matières que de l'allemand, d'apprendre d'autres langues...
Doofie : Et quel est le rapport avec le fait que cette inviation a rendu Bêtie furieuse ?
Dummie : Le recteur fait 36 choses à la fois! Et on reproche aux autres de faire d'autres choses que de l'allemand. Lui, c'est le contraire, il est recteur, il n'est plus professeur d'allemand, et il fait encore, non seulement des conférences d'allemand, mais aussi des préfaces et il traduit des livres! Tu te rends compte le temps que ça doit lui prendre, m'a dit Bêtie, au lieu de faire son travail de recteur d'académie!!!
Doofie : Ah oui, c'est bien vrai, alors qu'il ne me reproche pas de faire de la musique et de la généalogie. Mais je dis n'importe quoi, nous ne sommes plus dans l'académie de Bêtie!
Dummie : De la musique . Tiens! C'est la guitare baroque de Bêtie.!
Doofie : Oui, attention, elle est très fragile, elle me l'a prêtée car elle n'a plus le temps d'en faire elle-même!
Dummie : Mais elle pourrait jouer des morceaux allemands, du Kapsberger ou du Bach par exemple.
Doofie : Cela se joue sur le luth.!
Dummie : Tu as raison...
Doofie : Bon, donc, ce qui a révolté Bêtie, c'est que le recteur fasse autre chose que son travail alors que elle n'a pas le droit de faire autre chose que l'allemand.
Dummie : Et encore c'est tout juste, si on ne va pas raconter que l'agrégation lui aurait pris trop de temps.
Doofie : On nous l'a dit à nous aussi, et nous n'avons toujours pas l'agrégation.
Dummie : Oh que non... Bon, le problème n'est pas là, pour Bêtie, c'est que le recteur lui avait envoyé une lettre, disant qu'elle aurait dû être là le 8 juillet alors que la sortie était le 6 au soir,et qu'elle était à un séjout linguistique en Europe Centrale à partir du 7 et elle devait commencer son voyage le 6 juillet.Elle était obligée de faire le séjour entièrement pour bééficier de sa bourse d'études et avoir son examen de fin de séjour.
Doofie : Oui, c'est la lettre où il a écrit qu'elle devait passer ses vacances à se former, qu'on n'a le droit de faire autre chose que son métier que 3 semaines par an, car les congés payés des professeurs ne seraient que de 3 semaines.
Dummie : C'est justement ce que nous faisons à longueur de journée, même quand on fait autre chose que de l'allemand, on se cultive, on se cultive en faisant des langues d'Europe Centrale, dont l'histoire est liée à celle de l'Allemagne, on se cultive en jouant du Bach... on se cultive en faisant de la généalogie quand on tombe comme nous sur des ancêtres allemands ou de Suisse alémanique.
Doofie : Oui, avant c'était Schnelly qui se vantait d'avoir des ancêtres de Suisse Alémanique et j'en ai trouvé pour nous aussi, à partir de nos grand-mères alsaciennes.
Dummie : Donc, on continue dans nos loisirs à étudier la culture allemande.
Doofie : Oui, en fait, je crois qu'on ne prend même pas trois semaines de congé payé. Même à la maison, les livres, tout, on tombe toujours dans l'allemand.
Dummie : Même quand on fait nos triages, il y a de l'allemand partout!
Doofie : Et oui, comme cette invitation à une conférence pour Bêtie qui fait ses triages!
Dummie : Invitation qui arrive avec quelques mois de retard..
Doofie : Mais elle était malade à cette époque-là! Elle avait sa fameuse laryngite..bronchite, pneumonie..
Dummie : Elle est guérie maitenant,elle monte jusqu'au cotre-ut dièze.
Doofie : Et nous aussi..
Dummie : Bon, et je vais te dire une chose, elle connaissait les trois conférenciers.
Doofie : Ah, oui, l'un d'entre eux était son président de jury, l'autre était son prof de fac et le troisième? Le recteur? Nous le connaisons?
Dummie : Oui, il était en fac en même temps que nous et que Bêtie, dans nos études initiales... Il était en doctorat de 3ème cycle, quad nous étions en maîtrise.
Doofie : Après, on a créé des DEA.
Dummie : Puis des masters 2.
Doofie : Cela 'n'en finit pas de changer à l'université.
Dummie : Is font encore une réforme des UE, parce que c'était trip bizarre avec des UE qui mélangeaient des matières complètement différentes les unes des autres. C'est une amélioration.
Doofie : Bon, toujours est-il que je pense que nous avons suivi les mêmes séminaires que lui, mais il est possible que non.
Dummie : Ah! Mais il ne s'en souvient plus, pourtant on était plus jeune que lui... puisqu'on a eu notre bac avec un an d'avance. Bon, buvons notre petit café...
Doofie : Oui, c'est bon,avec le chocolat. Je recommence à compter les calories,il ne faut pas que je l'oublie.
..../....
Pour Doofie, Dummie et Bêtie...
domino
16:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le personnage et l'auteure
Roman-théâtre
Doofie voit soudain domino, son auteure, l'auteure de ses jours de personnage de roman-théâtre apparaître devant elle, penchée sur son i-grimoire, elle en relit quelques pages anciennes et quelques larmes roulent dans ses yeux.
Pourquoi tu pleures, lui dit Doofie en lui prenant doucement une mêche de cheveux qui gêne sa lecture.
domino la regarde, ce miroir un peu d'elle-même,cette artiste Doofie, et se dit que finalement elle aurait pu écrire les mêmes poèmes qu'elle .
Je pleure,, dit domino, car je n'écris plus aussi bien, regarde ce texte sur le bruit de la pluie, ou celui sur les aléas des blogs à leurs débuts, j'écrivais mieux que maintenant.
Ah! dit Doofie, mais si tu ne faisais pas notre roman-théâtre, Dummie, moi, Schnelly et nos amis, nous n'existerions pas... Même si nous sommes nous-même et que nous sommes très romancées, nous sommes un peu le reflet de ta propre vie. Alors comment te souviendrais-tu de certaines choses si nous n'avions pas en nous un peu de ta vie. Relis notre roman..
Mon roman.. proteste domino.
Mais,c'est aussi notre roman..
Certes, sans mes personnages, ce roman n'existerait pas, n'aurait pas de vie.. parfois, je pense même que je suis toi... je suis dans le train, et je pense, Doofie fait ceci, Doofie pense cela... et après je l'écris dans mon roman, pas toujours... car parfois l'idée s'échappe.
Bon, pourquoi pleurais-tu alors, car nous sommes tes personnages et nous te consolons, je te console aujourd'hui..
Doofie... je n'écris plus de poèmes, tu comprends, je suis complètement concentrée dans mes écrits sur vous et je n'écris plus de poèmes, je n'ai plus d'inspiration, je me demande comment je pouvais écrire aussi bien et mon inspiration est partie..
Mais non, proteste Doofie, tu as de l'inspiration pour nous faire vivre. Heureusement pour nous.
Mais Doofie, tu comprends.. dans votre roman, je suis souvent trop terre à terre. Avant, j'étais au contraire dans l'éther.
C'est déjà un poème, mon auteure domino, regarde :
Je suis souvent trop terre à terre
Mais avant j'étais dans l'éther.
Tu fais des rimes sans en avoir l'air.
"Jétais dans l'air", lui répond domino, s'inspirant de la dernière phrase de Doofie, "peut-être un peu plus dans l'air du temps".
Mais le temps passe vite, dit domino, regarde ces poèmes de 2007-2008! Il y a déjà 6 ou 7 ans...
Oui, quand je lis ton blog au début, dit Doofie, je vois que tu parles beaucoup du temps, celui qui passe, il y a des moments tu écrivais des poèmes comme si tu allais quitter le monde, tu étais très pessimiste...
Oui, je me sentais déjà vieille, dit domino.
Et tu parlais beaucoup du temps qu'il fait, dans tes poèmes il y a beaucoup d'orages, et de frimas.
C'est à cause des petits pixies, dit domino. J'ai laissé leurs cahuttes sur le côté de l'i-grimoire au cas où ils reviendraient un jour. Je n'en ai pas perdu l'espoir. Chaque panne de petit pixie, était une occasion pour l'un d'eux de fair un poème sur celui qui manquait. c'était d'ailleurs embêtant que l'un d'entre eux partait souvent en promenade. Le jour de la St Valentin, ils avaient des gros coeurs rouges, alors ils ont écrit des poèmes d'amour. Et Eliot essayait de ne pas se tromper entre les deux vraies jumelles! Elles n'avaient pas toujours le même costume, car il ne fait pas toujours le même temps partout.
Oui, c'était très frais, ta façon d'écrire. Ta plume était de la légèreté de la brise qui soufflait autour de leur cahutte. Tu sais, je l'ai même connue ta petite pixie, le jour où je suis rentrée dans l'académie de Bêtie où je travaillais alors, via la Waflamie.
Une chose est intéressante chez vous, mes personnages, c'est que vous ne correspondez pas à une image virtuelle qui est sur le côté du blog, en fait, vous ne vous échappez jamais, vous êtes toujours présents et présentes et je peux vous faire venir dans mon roman quand je le veux et où je le veux. Parfois je me dis, à qui va arriver cette aventure : A Bêtie, à Doofie, à Dummie, à Sottie ou à une autre? Et alors, je choisis en fonction du caractère que je vous ai donné.
Nous sommes chacune une partie de toi, ajoute Doofie.
Bon, je vais te dire une chose, un jour les petits pxies ont disparu et n'ont plus fait beaucoup de poèmes, alors, votre roman a encore augmenté, mais moi, je n'écris plus aussi bien, je ne suis plus aussi poétique. Quand j'écrivais pour moi-même, sans personnages, j'étais plus poétique, peut-être encore plus inventive et quand il s'agissait d'idées, je les écrivais directement! Ici, on ne peut pas savoir, si c'est réellement ma pensée, celle de mes personnages, mon avis, et de plus si j'ai vraiment vécu ce que javance.
Oh! Alors tu veux nous abandonner? Je t'en supplie, domino, ne nous abandonne pas!
Mais Doofie, c'est impossible que je vous abandonne! Comment veux-tu que j'abandonne ma génaalogiste préférée, mes chanteuses et musiciennes préférées... non, Doofie, sincèrement, je ne peux pas abandonner mes princesses comme cela. Et puis, vous avoir, cela m'évite de dire "Je descends de Charlemagne, et de Raymond Lulle, j'ai comme cousine (éloignée) Mélanie Thombno." ça ferait trop de vantardise, alors que toi, tu peux dire à Dummie qu'elle descends de Charlemagne, et cela devant tous nos lecteurs, et dre que tu es la cousine de Mélanie Thombno, et que ce Raymond Lulle dont elle parle dans son roman, Bêtie en descend aussi. Partagé sur plusieurs personnes, cela fait plus sérieux! Non, non, je ne vous abandonne pas, mais si de temps en temps, je pouvais encore écrire un poème, ou un petit texte en prose, sous lequel il n'est pas écrit Doofie, ou Dummie ou Bêtie, etc... ce serait mieux. Tu m'en donnes la permission, chère personnage de roman-théâtre.
Bien sûr me répond Doofie, si toutefois, tu ne nous abandonnes pas... et que tu continues à écrire aussi notre roman.
Tu vois, dit l'auteure domio, à son personnage Doofie... si je pleurais, c'est aussi que tous ces poèmes du début, cela me rappelle les souvenirs de cette époque pionnière des blogs et de cette grande période de mon blog, où en plus je trouvais ne pas avoir assez de commentateurs, tout en sachant qu'ensuite, j'ai presque fermé les commentaires.
Heureusement que nous sommes là, pour nous donner la réplique, dit Doofie.
Bon, je vais retouner dans la vie réelle et sortir du roman et écrire encore votre histoire, Doofie... Au revoir, Doofie, à bientôt!
Au revoir, domino, dit Doofie en me faisant un smack sur la joue.
Dummie vient d'arriver dans la pièce... elle regarde Doofie qui contemple ma silhouette qui s'estompe peu à peu de son regard. Dummie a deviné ma présence près de Doofie ou plutôt sa présence près de moi.
Que fais-tu, Doofie,dit-elle, que regardes-tu... ?
Le blog de domino, dit Doofie et notre roman, ou plutôt celui de domino.
Pour Doofie, Dummie ... et moi-même.
domino
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mardi, 22 avril 2014
Mots d'enfants : les saints
Du journal de Dummie
Un journal féminin, interveiwt toutes les semaines des enfants pour savoir ce qu'ils savent d'un sujet. C'est d'ailleurs très instructif et utile pour parents et professeurs de connaître l'étendu du savoir ou de l'ignorace de leurs enfants.
Parmi les mots d'enfants recueilli cette semaine retenons celui de Sybille, 11 ans, qui a de quoi faire sourire, bien qu'elle a une grande connaissance de la question, car elle connait le mot "canoniser".
"Pour devenir un saint, il faut être mort et se faire canoniser", dit-elle.
Ah bon, donc une fois qu'on est mort, avant de passer la porte du paradis, on remplit un papier "Candidatuer à la canonisation" et après on peut voir si notre candidature est acceptée ou pas, si on nous ouvre la porte du paradis!
Ceux qui ont le moins de connaissance sur les saints, sont souvent les enfants d'origine étrangère, ils connaissent par exemple la Saint-Valentin, la Saint-Nicolas, ou bien le nom d'une école ou d'un hôpital (l'hôpital St Louis) ou savent que c'est un jour où l'on a sa fête et où l'on vous offre des friandises. (Je pense que c'est dans l'Est où comme en Allemagne, les fêtes des prénoms sont fêtées).
Les noms de villes (Saint-Ouen, Saint-Denis Saint-Omer...) les noms d'écoles ou de rues ou d'hôpitaux, ou d'églises, (rue Saint-Jaques, église Saint-Paul, voilà ce que généralement les enfants connaissent des saints. Certains savent qu'un saint, c'est quelqu'un qui a fait quelque chose de bien pour les autres, mais leurs connaissaces sur les saints sont puériles (c'est normal) et plutôt naïves.
Bon, et nous que disions-nous de la question quand on était pett, je crois que je répondais "Un saint, c'est quelqu'un qui est au ciel". Et si on me demandait ce qu'il fallait faire pour en devenir un, je répondais qu'il fallait faire le bien, et ne pas faire de pêchés. Et qu'il fallait être sage
Doofie a dit a Schnelly qu'il n'ira pas au ciel, parce qu'il est trop méchant. Pour le prendre avec ses propres arguments.
Dummie
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Pour Dummie,
domio
00:29 Publié dans Les aventures de Dummie | Lien permanent | Commentaires (0)