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samedi, 25 janvier 2014

Une bonne ménagère et une bonne maman

Roman-théâtre

Je dois dire que les mamans de ^Bêtie, Dummie, Doofie et Compagnie, mes personnages de roman-théâtre, étaient de bonnes mamans, car tout en laissant leurs filles faire ce qu'on appelait à l'époque de "grandes études" (lycée et université), elles avaient reçu quand même une éducation ménagère assez poussée de la part de leur maman et ceci dès le plus jeune âge.

Leur mère elle-même n'avait peut-être pas vraiment eu une telle éducation, sa grand-mère venue d'une autre région,une fois qu'ils sont revenus dans la région du grand-père (ils avaient vécu un moment à Paris), sa mère a eu son CEP et son père lui a dit : "Bon, maintenant, fini  l'école, tu vas m'aider au laboratoire (de photos) et ma mère depuis l'âge de 13 ans a développé des films, en voyant passer de toutes les couleurs devant elle, car elle a passé la guerre ainsi, à développer des photos pour le magasin de son grand-père, aussi bien celles que les films que les allemands amenaient, que celles des espions anglais infiltrés par l'armée de la France Libre de De Gaulle et elle tirait le portrait de De Gaulle en grande série. Pendant ce temps là sa grand-mère s'occupait de la maisonnée et ses soeurs, une fois qu'elles eurent aussi leur CEP, la plus douée fit son brevet et les cours complémentaires, mais c'est aussi ele qui devenue directrice dans une entreprise a travaillé professionellement durant toute sa vie et est décédée prématurément par rapport à ses soeurs toutes devenues octogénaires, une fois qu'elles eurent leur CEP elles servirent au magasin et firent de la photo d'art (du portrait  surtout) avec le grand-père . Ma mère faisait aussi la retouche, et mettait les photos en couleur avec des crayons sépias, des joues en rose et des yeux en bleu. A l'époque on ne retouchait pas électroniquement,mais à la main. Bien sûr pour les photos de De Gaulle, ma grand-mère avait été emprisonnée par la GESTAPO, mais elle s'en est sortie parce qu'elle parlait allemand. Ils l'ont libérée parce que c'était une française qui parlait allemand. Mon grand-père et ma grand-mère ont été aussi octogénaires.

La mère de mes héroïnes (elles étaient toutes photographes, leur mère? Voilà encore une aberration!), quand elle rencontra mon père à un bal donné dans un cinéma de la même rue, après la guerre, c'étaient des soldats qui revenaient de captivité, la mère,disons de Bêtie, commença à travailler chez d'autres photographes et c'est de ces seules années, qu'elle recevait une pension à elle dans sa vieillesse, le reste étant formé de la pension de reversion de mon père. La travail familial, chez son père,  n'avait pas été déclaré, et elle arrêta définitvement de travailler à la naissance de l'ainé. Alors Bêtie a été un peu étonnée lorsqu'à son enterrement, on a dit qu'elle avait su conciler vie professionnelle et vie familiale. Ils ont dû se tromper de personne... de discours.

Bon, dès qu'elle eut 'l'âge de sagesse", c'est à dire à 7 ans,  Bêtie a commencé à apprendre des rudiments de son futur travail de femme. Elle a d'abord fait des entrées à l'école. Avec des carotttes rapées, et du céleri rapé et toutes sortes de crudités, elles devaient savoir préssenter une assiette anglaise. Ce premier cours de cuisine n'a été fait qu'une fois, mais sa mère avait été très fière de présenter l'assiette anglaise que Bêtie avait amené de l'école à toutes ses voisines et quand de la famille était invitée à manger, Bêtie a été dès l'âge de 7 ans, chargée de la présentation des entrées.

Mais elle a mis longtemps à se metre à la cuisine chaude c'est vrai que dans "l'ancienne maison", on faisait la cuisine directement sur la cuisinière à charbon de la cuisine, même en été, ét c'était un peu difficile et dangereux ppur les enfants, qui n'avaient pas trop le droit de s'approcher de cette cuisinire, d'où sortait quand son père allumat ou attisait le feu en rentrant du travail,de grandes flammes rouges qui faisaient peur à Bêtie qui avait vu une maison brûler pas très loin de chez elle quand elle avait deux ans. Elle n'est passée à la cuisine chaude que vers l'âge de vingt ans, quand sa mère a été malade.

Un domaine cependant dans lequel Bêtie s'est mise à exceller fut la couture à la main et le tricot. On tricotait beaucoup dans sa région et Bêtie aimait regarder les catalogues de laine et leurs échantillons. Alors, la maman de Bêtie qui ne connaissait que le point mousse,le jersey et les côtes et aussi un peu les diminutions et les augmentations les a appris à Bêtie.Bêtie commença le point mousse et le jersey à 7 ans,elle fit d'abord des échantillons avec quelques trous, puis elle commença à bien tricoter. Après el changement de maison, toute seule dans sa chambre elle commença à tricoter des pulls pour elle-même, sa petite soeur (qui elle plus trard s'était mises au crochet) et son père. A 12 ans ele connaissait tout du jarquard, des points irlandais et des différentes formes de pull, toutes choses qu'elle avait apprises toute seule avec les livres qu'amenait son père se l'entreprise où il travaillait.

Pour la couture à la main, elle comença dès le jardin d'enfants, où ''l"on faisait aussi des tissages en papier tout en apprenant en même temps, lecture, écriture et calcul. Bêtie fit de la broderie en travaux manuels depuis le jardin d'enfants et pendant toute l'école primaire, ses travaux étaient régulièrement exposés à l'exposition de l'écoel,avec son âge indiqué en regard, pour que l'on sache que c'éait une toute petite fille qui brodait si bien. En sixième en même temps que la latin et l'anglais, il y avait un cours de couture, pour lequel Bêtie avait eu d'excellentes notes, parce que ses points éaient tout petit, alors qu'on la grondait pour son écriture de médecin. Elle dût faire des pages d'écriture entre la sixième et la cinquième parce que le passage du porte-plumes au stylo-plume s'était mal fait, et son écriture était devenue trop petite. Quand ele voit comment écrivent certains garçons de qutrième troisième actuelelment, et même comment écrivaient ses garçons de BTS, elle se dit qu'on ferait bien de leur faire faire des pages d'écriture aussi. Encoer maintenant, ses professeures étrangères ont du mal à la lire, surtout en français, quand Bêtie n'est pas dans un bon jour et que son écriture de médecin  prend le dessus.

Enfin, j'ai connu un homéopathe qui avait une personne chargée de déchiffre son écriture dans une pharmacie et quand ce spécialiste de son écriture n'était pas là, il fallait attendre pour avoir les médicaments.

Et puis, dernièrement j'ai remarqué qu'une jeune femme qui sert dans une pharmacie n'écrivait qu'une lettre sur deux dans ses posologies.

Alors l'écriture, ce n'est pas si grave que cela,surtout que maintenant on écrit presque toujours à l'ordinateur. Mais l'écriture de Bêtie s'est améliorée dans son adolescence. Bizarre qu'elle ait eu une aussi mauvaise écriture en sixième parce qu'en fait, elle était très méticuleuse pour la couture et à 10 ans, elle traitait ourlet et surget avec autant de dextérité, mais en fait, son apperntisage de la couture s'est arrêté là pour l'école, car dès 'année suivante, il n'y a plus eu de cours de couture.

Elle a encore appris à repriser les chaussetes et à remailler les bas, avec sa mère. Sa mère avait dû l'apprendre à l'école. mais on ne l'aprpenait plus à l'époque de Bêtie. Elle a aprpis le point de croix et le demi-point pour les tapisseries à l'école et à la maison et aussi le crochet avec sa maire pour les mailes serrées, puis toute seule.

Pendant les périodes de vacances, elle aidait déjà sa mère au ménage, elle faisait les travaux que sa mèer trouvait longs et fastidieux, l'épluchage des légumes,et le pelage des pommes de terre, et surtout en été, l'écosage des petits pois et la préparation des haricots verts, (les couper en deux,enlever les deux bouts et tirer les fils) ce qui prenait la plupart de ses amtinées de juillet. En juillet elle apprenait aussi le jardinage, car elle était chargée par son père de cruauder les plate-bandes du jardin (régionaliseme = enlever le cruau ou les mauvaises herbes). Parfois, elle passait aussi la tondeuse à main (elle a longtemps cherché une telle tondeuse pour elle-même, une fois installée dans sa maison actuelle, mais maintenant toutes les tondeuses ont des moteurs). Pour des petites pelouses les tondeuses à main, suffisaient largement, et on ne sait pas pourquoi on est passé à des tondeuses à la fois bruyantes, mangeuses d'énergie, et polluantes pour certains types.

Pour sa mère, elle concassait les grains de café ave le moulin à café à main, dés son plus jeune âge. Les enfants adoraient ce travail car il fallait tourner une manivelle. Et le bon café odorant tombait dans un tiroir en bas du moulin. Après,on est passé au moulin électrique que Bêtie avait le droit d'utiliser aussi. Bêtie avat appris aussi à faire des gâteaux simples : quatre quart, gâteaux marbrés,etc..

Pour le linge,dès l'âge de 13/14 ans, Bêtie devait laver les pulls et le linge fragile dans une bassine à la cuisine, elle était chargée du lavage à la main qui prenait aussi du temps à sa mère. Elle connaisait aussi les programmes de machine à l'aver et savait faire depuis toujjours la distinction entre les différents étoffes, car dans cette ville textile, on parlait beaucoup de tissus et on discutait autour d'elle des mérites ou des inconvénients des nouveaux tissus. Il fallait faire attention aux températures de repassage. Il arrivait alors que ces nouveaux tissus arrivant sur le marché, plus d'une mère avait fait un trou dans la nouveau vêtement avec un fer trop chaud. Et alors, on en parlait dans le quartier. Elle a appris par ouïe-dire tous des mots comme nylon, polyamide, acrylique, et on parait beaucoup de nouveaux tissus comme le Trévira. Elle n'a jamais eu de cours sur les tissus à l'école, mais tout cela,elle l'apprenait à la maison. Et en consultant les catalogues amenés par son père.

Maintenant, ils sont tous devant leur télé ou leurs jeux électroniques alors ils n'aprennent plus rien.

Bref, Bêtie avait appris une partie de la cuisine, un peu de jardinage, le repassage, la lessive des tissus délicats  à la main (sa mère faisait elle-même la lessive à la machine), à faire la vaisselle et à l'essuyer, la couture à la main, le tricot, etc.. le tout en grande partie avec sa mère. Elle aidaiit aussi à faire les poussières et à Balayer et à laver par terre. Souvent en juillet, elle était chargée de faire les carreaux et de les faire briller avec du paper journal.

Cependant comme elle avait peur des cusinières à gaz, elle n'allaumait pas elle-même le gaz, ce qui faisait râler une de ses tantes et sa vosines qui disaient que leurs filles savaient le faire.

Bien sûr, elle avait parfois aussi la corvée de faire les lits, et chacun devait faire son lit, sauf le garçon.Ma  mère  faisait son lit, mais pas moi.

Bref, je pense que Bêtie ést quand même armvée avant le mariage et largement avant pour faire la parfaite petite maîtresse de maison,ce qu'elle fut jusqu'à il y a un peu plus d'une dizaine d'année, lorsqu'un évènement professionnel, une inspection,l'a complètement bloquée dans presque toutes ses activités musicales et ménagères(en musique, ele ne vit que sur ses acquis antérieurs). Parce que, suite à de fausses accusations de paresse professionelle, elle s'est cosacrée penant un temps uniquement à l'allemand et à sa vie professionelle, en oubliant une partie de sa musqiue, et son ménage.

Bon, son père ne souhaitait pas que Bêtie fasse de grandes études, il disait qu'elle aurait dû aller aux cours de coupe et couture organisés par la mairie, Bêtie qui faisait à l'époque la taille mannequin 40/42 n'en voyait pas l'utilité, mais maintenant qu'elle est passsée en taille 60  et ne trouve plus vêtement à sa taille et à son goût, elle en aurait trouvé l'utilité. Bon an, mal an, Bêtie avançait dans ses études en gardant son année d'avance jusqu'au bac. Et quand elle  choisit l'université, son père aurait préféré qu'elle fasse un BTS trilingue pour travailler dans la même entreprise que lui, il aurait bien aimé en faire l'une de ses sefrétaires, pusqiu'elle voulait faire des langues, ce qui était à l'opposé de ce que ses professeurs avaient prévu pour elle, puisqu'ils la voyait plutôt prof de français. Elle était aussi attirée par la géographie, tout ce qui touchait aux voyages l'intéressait.

En juillet, l'un de ses travaux à effectuer, était aussi de faire l'itinéraire des vacances : il fallait préparer des papiers sur lesquels ele indiquait en colonnes,les villes, villages et carrefours hors localité, les numéros des routes utilisées, les bifurquations avec les direcions (aussi les grands directions) et les numéros des routes vers lesquelles il fallait bifurquer, calculer le temps de trajet sur la base d'une moyenne de 60 km heures, y ajouter le temps de pique-nique et des petites pauses, prévoir dans quelle ville il fallait faire les courses pour le pique-nique, et prévoir à quel endroit on allait chercher un hôtel et en chercher queqlues uns dans un guide à proximité de cet endroit (des pas trop chers, bien sûr).indiquer le kilométrage entre chaque ville et villlage et le kilométrage total de la journée et du parcours total, car pour aller au Pays-Basque ou dans le midi, il fallait trois jours, deux jours pour la Bretagne ou l'Alsace.    Le soir, quand son père rentrait du travail, il vérifait le parcours calculé dans la journée et regardait s'il n'y avait pas d'erreur dans le calcul des distances et des horaires de passage.

Mais je voulais simplement dire que  à l'époque, on apprenait autant des parents et aussi des amis que de l'école. Par exemple, c'est une amie qui 'a donné à Bâtie et ses amis leurs premiers rudiments de guitare. Sur la base des premiers rudiments de solfège appris dans l'enfance, l'usage de tablatures avant l'heure, de shémas d'accords. elle continua toute seule et se mit à grapiller chansons et  morceaux auprès d'amis. A deux mois de guitare, elle s'initia au folklore allemand aurpès du père et du frère de sa correspondante. Et elle s'était initiée au folk anglais avec une amie française qui avait la même passion qu'elle pour ce genre de musique et sa correspondante anglaise. "Je lisais aussi en anglais devant la correspondante anglaise qui me rectifait mes fautes de prononciation. J'ai d'ailleurs toujousr aimé l'accent anglais, irlandais, et australien. Car les australiens parlent comme les anglais et pas comme les américains. Dans les lycées où je travaillais avant lévènement d'il y a dix ans je parlais bien anglais avec les assistantes australiennes, et irlandaises surtout car je lescomprenais bien; Par contre, en espagnol, je comprends mieux les amérivains que les espagnols. (parce qu'elle a surtout parlé à des colombiens (une assistante et son profeseur de lutherie)et des argentins).

Bon, tout ceci pour vous dire que l'on apprend autant de la famille et des amis que de l'école et que finalement, si les élèves appernaient chez eux sur leurs ordintaeurs en relation par internet avec leurs professeurs auxquels ils enverraient devoir et enregistrementspour les langues toutes les semaines,selon un programme habdomadaire avec un examen de contrôle trimestriel (pour que le travail ne soit pas fait par une autre personne), celal suffirait largement. Car à partir du moment où l'éducation est bien faite par les parents qui montrent déjà à leurs enfants ce qu'ils savent faire, et ils ont un niveau culturel de plus en plus élevé grâce à la prolongaton des études, il ya aurait moyen qu'ils assurent une grosse  partie de la transmission du savoir.

En fait, dans le cas de Bêtie,son éducation à la maison a complété l'éducation de l'école. Les parents ont amené le côté pratique et ont complété ce qui n'était pas fait totalement à l'école : musique instrumentale (Bêtie a fait solfège et piano dans sa presque petite enfance), voyages (en France surtout, correspondants non scolaires,  et surtout le sens pratique et l'éducation aux tâches de la maison, son père étant encore venu apprendre à Bêtie et à Rapidy à peindre la maison et à tapisser, alors qu'ils étaient jeunes mariés. Il a passé une demi-journée à leur apprendre en posant les premeres bandes de papier peint dans leur appartement et en leur montant comment on faisait de la colle à tapisser et comment on pigmentait les peintures, toutes choses qu'à bien rentenu Bêtie.

Cela veut dire que les parents continuaient à éduquer leurs enfants jeunes mariés et à leur apperndre ce dont ils avaient encore besoin pour leur ménage.

domino

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