lundi, 21 avril 2008
Blâmée pour avoir refusé de prendre des congés maladie
Bon, j'ai réussi à faire d'une pierre deux coups, faire avancer le rendez-vous de demain à aujourd'hui (avec la principale) et faire ma révision de voiture (quelques grosses pièces à changer : 398 Euros de frais, ce sont des pièces qu'il faut changer tous les quatre ans, sinon elles risquent de durcir).
Mon passage dans mon collège de rattachement ? Je suis TZR (Titulaire sur Zone de Remplacement), je suis d'abord passée chez la secrétaitre pour signer ma mutation intraacadémique et ma demande pour la phase de réajustement des TZR au cas où je n'obtiendrais pas ma mutation; je n'ai demandé que des lycées en poste fixe. Je n'ai plus redemandé mon collège, même s'il y a un poste vacant (la PEGC qui était en CLM (Congé longue maladie) est certainement passée en CLD (congé de longue durée), elle a peut-être été mise dans ce type de congé pour éviter un blâme du à une dissension avec la principale, qui sait?. A moins qu'on ait créé un deuxième poste d'allemand, mais cela m'étonnerait.
Moi, comme ceux qui ne sont pas dans l'enseignement ne savent pas, je suis seulement rattachée au collège. Parce que dans ce collège il y a en allemand pour un seul poste :
1) Une PEGC en congé (CLM ou CLD),
2) Un TZR rattaché ailleurs qui la remplace,
3) Moi, TZR rattachée seulement sans remplacement
que l'on avait mise l'an dernier en complément d'une autre TZR (de français) qui avait été nommée en documentation par le recteur, aussi en documentation mais de façon informelle sans me demander mon avis (ma collègue était volontaire, venant d'une autre académie, elle s'était portée volontaire pour la documentation pour être sûre d'avoir un poste dans son acdémie de naissance. Elle amaintenant un poste de français).
J'ai presque 57 ans, je suis devenue TZR après de nombreux postes établissement, après être restée 10 ans dans le même lycée avec des jurys de bac, de BTS, des missions de confiance comme faire partie d'une commission de choix de sujets qui comprenait quatre membres pour trois académies.....
Depuis que je suis devenue TZR,
Je n'ai que des galères.
Dans mon ancien lycée de rattachement, lorsque je demandais que dois-je faire entre mes remplacements. On me répondait : "Rien!"
Quand je demandais : Dois-je aider au CDI. On me répondait : Le proviseur n'y tient pas.
Quand je demandais aux collègues du CDI si je devais les aider, on me répondait : Noux restons entre documentalistess, on ne veut pas de TZR d'allemand (ou d'autre chose).
Quand je demandais : Dois-je faire de l'aide individualisée? On me répondait : Le proviseur n'y tient pas. On m'autorisait quand même à venir une fois par semaine au club de guitare et à jouer de la guitare au concert du club à la fin de l'année. On m'aurorisait aussi à aider un peu mes collègues d'allemand pour leur chercher de la documentation en allemand, les mettre au courant des stages de PAF auxquels j'allais, etc... Et j'avais fini par rester 18 heures par semaine quand même, le lundi et le Vendredi (2 fois 8 heures) et 2 heures le samedi matin.
Par exemple je cherchais sur Internet des documents sur la RDA quand un assistant de Berlin a parlé de la RDA aux élèves. C'était d'ailleurs très interessant de travailler avec cet assistant. Ce sont des joies que je n'ai pas en collège. et au moins je pouvais parler allemand.
Au bout de deux chutes monumentales, après que la barrière du parking a failli me tomber sur la tête après le concertt, j'ai été sauvée par la mère d'un collègue guitariste, venue spécialement de Lorrainne, qui m'a tirée sur le coté, et après que cete même barrière avait failli se refermer sur ma voiture, on m'avait dit que comme je n'avais pas de VS, il valait peut être mieux que je reste à la maison à attendre un remplacement, car on ne savait pas si sans VS j'étais assurée contre les accidents du travail. Et on ne voulait pas m'en faire un.
Comme je ne pouvais plus travailler sur ce rattachement, sans qu'on y trouve un tas d'objections, j'avais demandé un changement de rattachement et c'est comme cela que j'ai atterri à faire de la documentation dans le collège. Où on m'avait promis en début d'année monts et merveilles EILE (enseignement en primaire), heures de soutien en allemand, etc... mais avant que j'ai eu le temps d"arriver à l'inspection primaire, mon collègue rattaché ailleurs s'était fait octroyé toutes les heures en plus de son horaire complet et il daignait me donner ses élèves de collège seulement pour le club, et il avait même fondé un autre club parallèle dirigé par une élève (qui ne fait plus d'allemand cette année, car elle est dans un BEP où l'on en fait pas).
Donc, j'en ai été réduite à rester au CDI 18 heures par semaine, en aidant les élèves (c'était un peu domme de l'aide individualisée, mais dans toutes les matières, même celles dans lesquelles on était pas bon quand on était élève).
Finalement si j'étais restée dans l'autre lycée on ne m'aurait rien demandé. Et je n'aurais pas eu ce blâme que j'ai aujourd'hui.
Vers mai, il y a eu l'histoire du paperboard (voir ci dessous et mes notes de mai-juin 2007). A un moment j'ai fait une crise de nerf que l'on a interprétée comme étant des "accusations contre un ouvrier", un "manque de respect vis à vis de ma principale" pourtant je n'avais fait aucun écart de langage vis à vis d'elle et les soi-disant pancartes n'étaient pas de écriture.
Comme je suis allée pendant mon absence de même pas cinq jours ouvrables chez le psy que je suis "obligéé" de voir depuis mon passage à la médecine du rectorat de septembre 2002 ...
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Parenthèse sur 2002 :
(pourtant légalement je ne suis pas obligée, car je n'avais commis aucun délit, sauf celui d'être sortie du lycée où j'ai travaillé dix ans une heure AVANT le début de mon service en prévenant la concierge que je ne me sentais pas bien (j'avais été choquée par ce que m'avait dit un collègue et j'avais failli en tomber dans les pommes). donc c'était comme si je téléphonais de la maison, puisqu' on était encore loin de l'heure du début de mon service de la journée (à l'époque, je n'étais pas TZR, mais titulaire du poste). J'avais reçu deux jours plus tard une lettre écrite par le proviseur le jour même de mon début d'absence, constatant qu'il ne m'avait pas vue dans ma classe à 11 heures et demandant de justifier de mon absence ; quand j'ai voulu retourner au lycée une semaine plus tard, on ne retrouvait plus mes certificats médicaux et il fallait que j'aille au CDI pendant que ma remplaçante faisait cours. Je n'ai pas voulu (je l'avais appris la veille par mon mari qui était passé chercher dans mon casier les documents dont j'avais besoin pour faire cours dans la semaine suivante. Je n'ai pas voulu reprendre 'au CDI". Et je suis retournée chez le médecin qui m'a donné une prolongation et le jour même j'étais assaillie de coups de téléphone de la médecine du rectorat disant que je devais venir sinon j'aurais des sanctions administratives.
Quand je suis arrivée là-bas, on m'a infantilisée au maximum, dit que j'avais claqué la porte du lycée, etc.... que je devais me couper et me teindre les cheveux, bref toute l'histoire que je vous ai déjà racontée, comme j'ai de beaux cheveux longs, ça aurait été dommage! Elle m'a dicté une demande de CLM en me disant que si je n'en faisais pas j'aurais des sanctions administratives (à l'époque je me laissais encore impressionner), elle m'a dit en riant : "A que c'est drôle, pour une fois c'est un médecin qui fait la dictée à une prof! D'habitude ce sont les profs qui font la dictée aux élèves! Je prends ma revanche." Quand on voit cette mentalité....
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C'est pour toutes ces raisons que cette fois-ci je n'ai pas voulu aller à la médecine du rectorat.
Pourquoi ai-je été convoquée là-bas depuis les grandes vacances dernières?
Sans doute pour ceci :
Parce que après cinq jours ouvrables où j'ai été absente pour l'histoire du paperboard (je n'osais pas revenir au collège tant ma principale criait sur moi à chaque fois que j'arrivais), je suis allée chez le psy que j'allais voir depuis 2003 à cause de la médecine du rectorat. Je n'aurai jamais eu l'idée d'aller sans y être "contrainte" chez un psy. Mais il n'y avait pas de contrainte légale puisque je n'avais rien fait de délictuel. Le psy a fait une lettre pour ma généraliste lui demandant de faire un "certificat de reprise", celle-ci le fit mais elle a peut-être recopoé deiux ou trois mots en trop "peut reprendre le travail à condition de ne subir aucune provocation". C'est ce certificat que la médecine du rectoat a du recevoir pour me convoquer, il s'agissait de ne pas subir de provocations de la part de l'administration. Et la médecine du rectorat a compris "de la part des élèves" ce qui était faux, puisqu'ils ne m'ont jamais provoquée et aucun élève n'a su que j'avais fait une crise de nerf le lundi soir, mais c'est le vendredi que la principale a crié sur moi alors que j'étais revenue. Dans le certificat médical le "à condition de ne subir aucune provocation" était à mon avis en trop.
Car sans doute à cause de ce certificat qui laissait entendre que j'étais fragile la médecine du rectorat a voulu , alors que j'avais repris le travail depuis un mois (tout juin jusqu'au brevet des collèges) sur ce service de rattachement sans VS...
(donc puisque sans VS, je n'étais, d'après l'ancien lycée de rattachement, pas assurée pour les accidents du travail et pourtant dans le collège de l'année dernière, je suis tombée deux fois de la chaise à roulettes du bureau du CDI, parce que la chaise s'est dérobée vers l'arrière quand je me suis assise et la deuxième fois, je me suis fait bien mal, je me suis pris des bleus dans l'épaule à cause des casiers de la salle des profs qui restaient ouverts et le peu de place qu'il y avait pour passer, je me suis griffée au moins trois fois la main ou le bras gauche en sortant des toilettes, mais je ne sais pas sur quel objet, etc...)
... service de rattachement sans VS, me voir pour me protéger des provvocations de ma principale, entre autres. Et au contraire, comme pour les raisons que vous savez (2002) je n'y suis pas allée, j'ai commencé à recevoir des menaces de retrait sur salaire, de sanctions, etc...
Et maintenant c'est fait, pour ne pas avoir voulu aller là-bas chercher un congé maladie (Attention, sur mon dossier électronique il n'y a aucun congé maladie depuis 2004, donc on ne peut pas dire que je suis une fan de ces congés et je me faisais un point d'honneur à ne plus en avoir), pour ne pas avoir été là-bas chercher un congé maladie, j'ai eu non seulement 400 Euros de moins (c'est l'équivalent de l'héritage que mon mari avait eu après la mort de sa mère, autant dire qu'on lui a sucré son héritage en me prenant ces 400 Euros, et ça ne leur a pas suffit, comme je ne désirais pas aller à la médecine du rectorat chercher un congé de protection (mais de quoi m'aurait-il protégée?), on m'a blâmée.
domino
23:03 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, blâme, désespoir, médecine, administration, bassesses administratives, harcèlement moral
Ressources humaines = Les profs sont des pions sur l'échiquier.
Je sais que que c'est le service des relations humaines du rectorat qui me met des sanctions pour ne pas avoir été chercher de congé longue maladie à la médecine du rectorat.
Là-bas, il y a quelqu'un qui veut absolument me faire destituer avant ma retraite (car j'ai été 25 ans professeur de lycée et de collège à part entière), retraite que je pourrais prendre à partir de dans trois ans, mais que je voudrais prendre dans 8 ans. Un certain monsieur Lu et quelque chose qui a eu l'attention attirée sur moi, il y a quatre ans, quand sa secrétaire m'avait appelée au téléphone pour me donner à moi la prof titulaire d'allemand bi-admissible à l'agrégation un service de CPE qui devait durer environ 8 mois. 8 mois de ma vie à faire la CPE alors que je consacrais ma vie à l'étude et à l'enseignement de l'allemand : Jamais!!!!
D'ailleurs le proviseur adjoint m'avait formellement déconseillé d'accepter ce remplacement de CPE. Il m'avait dit que je ne connaissais pas les règlementtaitons du travail de CPE et que je pouvais sans le savoir faire une bêtise, par exemple jeter un papier qu'il fallait garder tant d'années (théoriquement, je ne suis pas du genre à jeter des papiers, cela ne riquait pas de m'arriver.
Maintenant toujours à cause de l'histoire du paperboard de l'an dernier (rappel de faits : la principale a fait un signalement sur moi pour se couvrir parce que j'étais sortie du collège suite à sa colère (elle hurlait sur moi au téléphone entre le bureau et le CDI, et comme je lui ai répondu sur le même ton, elle a fait un rapport sur moi en m'injuriant des mots de hystérique et paranoäque, un ouvrier qui, on ne sait pourquoi, s'est senti accusé de la disparition du paperboard, retrouvé ensuite après une pause de midi, en mon absence du CDI ce midi là, les cinq journées ouvrables auxquelles j'avais manquée ayant été rattrapées en juin, après mes résultats à l'agrégation, puisque à partir de ces résultats je suis venue tous les jours au CDI du collège). En juin 2007 toute cette affaire semblait réglée et tout le monde semblait réconcilé quand la convocation à la médecine du rectorat est arrivée pour les vacances (une manière peu honnête de faire disparaître les profs pendant les vacances, la chose habituelle étant alors de dire qu'ils ont été mutés ou qu'ils ont eu un accident. Une fois il y avait un prof qui avait paraît-il disparu dans un accident d'alpinisme pendant les vacances, on n'a jamais su s'il était réssucité ensuite). Les services des relations et des ressources humaines se manifestant toujours quand tout le monde est réconcilé pour envenimer les choses.
(PArenthèse : il y a quelques années à la fin d'une suppléance, la médecine du rectorat m'avait appelée, j'étais tout à fait légalement en congé maladie, avec certificats médicaux envoyés à mon lycée de rattachement d'alors. Mon lycée de rattachement m'avait bien dit que c'était à eux qu'on envoyait en cas de besoin les certificats médicaux. Même quand on était en remplacement ailleurs. J'avais envoyé un double en recommandé au collège où je faisais un remplacement (d'allemamd cette fois), Elle m'a taxée de "mauvaises relations avec mes collègues". D'où venait cela? D'un sbire du rectorat qui m'avait téléphoné au début de cette semaine de congé maladie avec CLM, me demandant de revenir au collège (sous la pression du principal qui avait besoin de moi), et il m'avait demandé ce qui n'allait pas dans ce collège. Je lui avait dit "Les femmes de ménage qui me font sortir de ma salle alors que je n'ai pas fini de préparer le matériel pour le lendemain, et le fait qu'on m'ait taxé de donnée des travaux trop difficiles parce que j'avais été trop longtemps professeur de lycée, et que ma collègue d'allemand m'avait dit cela, alors qu'elle ne se rendait pas compte du niveau que mes collègues de mon ancien lycée (je connaissais très bien le travail de ces collègues et pour cause) demandaient.
J'étais amie avec cette collègue d'allemand de longue date, depuis dix ans environ) nous nous recevions muturellement tous les mardi soir pour jouer de la guitare ensemble (nous n'avions jamais fait de concert parce que nous avions trop le trac toutes les deux). Le service des "relations humaines" nous taxait soudain de mauvaises relations mutuelles, alors que nous n'avions que des bonnes relations!!!!!! Eux, ils voient cela de lion, et font d'une mouche un éléphant. On s'est encore vues chez elle pour régler les dernières affaires concernant les conseils de classe, etc... puis nous nous sommes perdues de vue, à cause du service des relations humaines du rectorat ou du bassin qui a mis fin à une belle amité. Voilà comment le service des relations humaines du bassin ou du rectorat divise pour régner. Cette amie m'a encore des cartes postales de vacances, je ne pars plus jamais en vacances depuis le 22 mars 2002, car je ne sais jamais depuis que je suis devenue TZR, si je ne serais pas destituée le lendemain (pour refuser de jouer à la CPE ou de jouer à la documentaliste par exemple, je dis jouer à parce que ce ne sont pas mes métiers). Avant, j'étais titulaire de postes établissement et à long terme. je pensais travailler jusqu' à la fin de ma carrière dans lycée-où-j-ai-travaillé-dix-ans. Si je n'avais pas été inspectée en 2002, j'y serais encore, j'étais sur le troisième poste et il y a toujours quatre postes.
Pour en revenir à nos moutons, je suis convoquée au collège pour signer encore une convocation ou un truc pire (avertissement, blâme, destitution?) parce que je ne me suis pas présentée à quatre convocations de la médecine du rectorat dont deux pendant les grandes vacances 2007,suite à l'affaire du "paperboard" dont j'ai parlé plus haut. Et à propos de laquelle nous étions tous réconciliés (en apparence, du moins je le croyais).
J'ai toujours été très sérieuse, j'ai toujours ennuyé les agents de service en restant "trop" longtemps le soir dans les lycées et collèges. On m'a déjà dit que j'étais "victime de mon sérieux".
Si c'est pour absence que la médecine du rectorat m'avait convoqué (généralement ils convoquent pour "vérifier les arrêts maladie" et pour "mettre les gens en CLM s'ils n'ont pas de certificat médical" et je ne veux pas de CLM (congé longue maladie) et encore moins de CLD (congé de longue durée) à cause de l'agrégation.... à cause de la réglementation du premier septembre qui suit le concours, si c'est pour absence que la médecine du rectorat m'avait convoqué, c'était illégal parce quie.....
1) Je n'avais pas à effectuer ce service de documentation basé sur le volontariat en tant que TZR d'allemand (je me refère ici aux décrets de 1960 ou 1980 régissant le statut des TZR).
2) J'avais ratrtrapé les heures manquées même si je faisais un service qui n'était pas le mien.
3) J'ai déjà été sanctionnée par 110 Euros en moins par convocation de la médecine du rectorat manquée, "pour non présentation à la médecine du rectorat". Soit disant 1/30ème de salaire en moins par convocation où je n'ai pas répondu, avez-vous déjà vu un professeur certifié même bi-admissible à l'agrégation qui gagnerait 3300 Euros par mois???? Ce n'est même pas le salaire du dernier échelon. Il doit y avoir une erreur de calcul, ou bien on a confondu mon salaire avec celui de quelq'un d'autre, ou alors quelqu'un s'est mis la différence dans la poche. Donc, je ne dois pas avoir de sanction supplémentaire, d'autant plus que j'avais rattrapé mes heures l'an dernier, donc je n'étais pas fautive concernant une absence.
S'ils continuent à m'ennuyer ainsi je vais déposer plainte au tribunal civil et au tribunal administratif pour harcèlement moral de la part de deux personnes qui m'ont traitées dans leurs "rapports" faits sur moi de parnoäque et d'hystérique, ce qui est considéré actuellement comme injure, juste pour le principe, car je ne me sens pas blessée personellement. Par contre si l'ouvrier s'est senti accusé d'être un voleur, c'est qu'il fait peut-être un complexe de persécution sinon il ne se serait pas plus senti vexé que lorsque moi-même j'ai lu en rigolant les mots de paranoiaque et d'hystérique. Quelle preuve aurait-il que je l'aurais traité de voleur, dans la mesure où quand j'ai parlé à ma collègue du paperboard disparu, elle est allée à la fenêtre, a pointé son doigt sur lui en disant, d'après la description que tu fais de l'ouvrier qui était passé dans le CDI cela doit être lui, me désignat un ouvrier. Depuis en y réfléchissant, j'ai l'intime conviction que la personne qui avait passé son nez par la porte du CDI que je voyais, n'était pas lui, mais quelq'un qui lui ressemblait, plus jeune. Cet ouvrier là avait du revenir après vers le collège et je l'avais vu dans la cour. Et ma collègue a dit que c'était lui, mais pas moi. Parce que moi, je ne me souvenais plus exactement du visage de la personne qui avait passé sa tête par la porte (un homme à la place de la concierge habituelle.
Parce que le lendemain j'ai été tellement par l'attitude de la principale vis à vis de moi, que je risque de me souvenir de la scène exacte des années plus tard. Comme pour ces élèves qui avaitn soi-diant un jour de journée porte-ouverte un cochon avec mon nom dedans d'après le CPE, mais qui en fait avaient dessiné le porc qui était sur le polycopié avec les quartiers de viande et avaient commencé à coté un pendu (un jeu de lettres) pour trouver les mots des quartiers de porc (en hôtellerie), et s'étaient pour s'amuser, amusés (excusez la répétition) à nous faire chercher mon nom dans le pendu à la place du quartier de porc, et personne ne trouvait. Il parait que je riais avec eux, et alors, j'aurais du pleurer? Moi, ça m'avait fait rigoler jourer à ce jeu de lettres, Iils m'avaient fait chercher mon propre nom dans le jeu de lettres (on fait souvent ce jeu quand il n'y a pas toute la classe ou en fin d'année, surtout dans les collèges et les anciens collégiens veulent toujourset le proviseur les avait renvoyés trois jours. J'avais tellement été choquée par l'attitude du proviseur vis à vis de moi et des élèves que j'ai mis environ sept ou huit ans à m'en souvenir, et à revoir le début du cours dans ma mémoire.
Bien sûr dans cette histoire de paperboard et de rectorat pesonne ne veut me donner raison, 60 personnes lisent ce blog par jour, même à l'étranger, et c'est moi à qui on va mettre des blâmes, des avertissements pour essayer un an après l'évènement de me faire venir à la médecine du rectorat, c'est moi, alors que l'on m'a déjà enlevé 400 Euros, c'est moi qui vais encore être sanctionnée une cinquième fois? Et ceci dans aucun jugement, l'argent m'a été enlevé sans jugement. Si c'était un vrai tribunal, quand on voit pour quelles affaires sordides certians prévenus sont condamné à payer un Euro symbolique, on se dit que vraiment, il n'y a pas de justice en ce monde.
Car enlever tnat argent à un professeur qui a fait toute l'année largement plus que son travail, parce qu'il a rattrapé cinq jours ouvrables qu'il avait manqué, c'est vraiment LAMENTABLE. (jai écrit queque part dans un blog que je faisais 22 heures par semaine environ pour 18), et ceci sur trois jours).
domino
11:45 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, tzr, galères des tzr
Ecrire jusque au bout
Je veux me défendre ici avant d'aller au collège, alors laissez moi écrire mes notes jusqu'au bout.
domino
11:28 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement
Exagération
Haut et Fort exagère. Il vient de faire tomber toute ma note, sans me signaler avant que je devais l'enregistrer.
C'est parce que depuis environ une demi-heure j'étais en train d'écrire quelque chose qui pourrait me servir de défense syndicale et juridique contre le médecine du rectorat.
L'extrême droite encore à ma poursuite sur mon ordinateur ou sur celui de Haut et Fort??????
N'enlevez pas ce blog, vous tueriez les poèmes et les petits pixies.
domino
11:25 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bug
dimanche, 20 avril 2008
Réaque (2)
Voilà un autre rapport qui a été fait sur moi....
C'est une collègue d'histoire-géo, prof principale en seconde qui en a eu l'idée...
Une jour au début octobre, les élèves de seconde ne me connaissait pas encore bien, j'avais un demi-groupe de seconde de 15 élèves (c'était d'ailleurs l'années de mon inspection). J'avais ce demi-groupe entre 11 herues et midi le Vendredi. Dans ce lycée, les élèves avaient l'habitude de sortir avant l'heure à midi, sauf les miens et ceux de quelques profs rares qui faisaient la guerre aux sorties de classe anticipées.
Pourquoi était-ce comme cela? Parce que dans les dix années précédent la rénovation du lycée, il n'y avait plus de sonneries. D'abord j'y ai vécu des sonneries irrégulières, cela sonnait quelquefois une demi-heure avant la fin de l'heure et on entendait des cavalcades dans les couloirs. Un collègue, retourné depuis dans sa région d'origine (je suis dans ma région d'origine), a vu sa note administrative copieuxement augmentée alors qu'il laissait sortir systématiquement ses élèves de vingt minute à une demi-heure à l'avance, il s'en est vanté quand il a obtenu sa mutaion.
Quand à moi, je faisais la guerre depuis toujours pour que les élèves ne quittent pas la classe avant l'heure, et ils le savaient. J'entendais certes parfois des "Les autres sortent, on peut sortir, Madame?" et je répondais "Non, il n'est pas l'heure!". "Si, il est l'heure, vous entendez bien que les aurtes sortent, on a faim, Madame, il va y avoir la queue au self, on peut sortir?" "Non, non, non et non!!!".
Bon, au bout de trois fois comme ça, les secondes et autres élèves nouveaux dans le lycée savaiient généralement que je faisais partie des profs avec lesquels on ne pouvait pas sortir à l'avance, mais dès que ça sonnait, ils se précipitaient dans le couloir courant à toutes enjambées vers le self en essayent de dépasser tous les autres.
Ce jour là, en octobre 2001, les élèves de ce demi-groupe de seconde avaient bien travaillé jusqu'à 11 heures 52 (des exercices de dérivation et de composition de mots qui les intéressaient au plus haut point), puis j'ai commencé à entendre des cavalcades dans le couloir, et dans la classe on a commencé à demander "On peut sortir, Madame?" J'ai dit non. Un deuxième : "On a bien travaillé, Madame, on a fait aucun bruit, on peut sortir? Ecoutez tous les autres sortent, sauf nous!"
Puis : "Il est l'heure Madame, votre montre retarde, il est l'heure!"
Le hic, c'est qu'à cette époque, depuis la fin de la rénovation du lycée, les sonneries marchaient bien, elles étaient même retentissante et on les entendait très bien. Et elle n'avait pas encore retenti.
Alors d'une seul coup, d'un seul choeur, sauf une élève qui venait d'arriver d'un autre établissement et n'était pas habituée à ce qui se passait dans ce lycée, sortir quand on entendait les autres sortir, sans attendre le signal du prof, ils ont fait leur cartable et se sont tous levés.
Je me suis mise dans le passage devant la porte et je leur ai intimé de se rasseoir, que s'ils sortaient à l'avance, ils auraient une retenue.
Ils se sont rassis. ils ont redéballé leurs affaires et se sont remis au travail. L'un a dit : " Si on travaille bien cet exercice Madame, on pourra sortir deux minutes avant l'heure?" "Non!" "ça fait rien, on va le faire vite, et il s'est mis à débiter tout seul les réponses de l'exercice à toute vitesse." C'était le délégué.Sympa d'ailleurs, je le rencontre souvent car il habite dans mon village et me dit parfois "Ce que j'étais bête à cette époque-là!" Une élève a commencé à hurler : "Mais Madame, les autres sont sortis depuis cinq minutes." Et alors que le délégué faisait son exercice à une vitesse inhabituelle, elle se lève entraînant les 13 autres, dont le délégué, et sauf la nouvelle élève, dans son sillage. Je me poste devant la porte, les élèves à quelques centimètres devant moi : "Si, ça a sonné Madame, vous ne l'avez pas entendu, mais ça a sonné!" "Ils hurlent dans mes oreilles, ça a sonné Madame, et ceci pendant les trois minutes restantes". Et moi de leur dire "Si vous n'allez pas vous rasseoir, vous aurez votre retenue, un samedi matin, vous devrez venir exprès (les retenues avaient lieu le samedi matin en même temps que les DS des Terminales).
Soudain, la sonnerie a enfin retenti, rugissante!!!!! Je me suis écartée de la porte, Les élèves m'ont presque bousculée en sortant. Ils ont a peine entendu quand je leur ai dit souriante et triomphante "Vous voyez bien que j'avais raison, que l'on avait pas sonné! Vous aurez la retenue quand même.
Dix minutes plus tard, après avoir rangé mon matériel, j'ai rencontré le CPE des secondes, nouveau dans l'établissement, dans la salle des profs. Ni lui, ni moi ne savions que l'on pouvait pas donner de colles collectives étaient interdites, et ce n'était pas une colle collective puique l'élève qui était restée sagement assise n'a pas eu la retenue. Je ne l'ai pas mise sur la liste que j'ai donné au CPE. Donc, ce n'était pas une colle collective, parce que même s'ils étaient nombreux, je n'avais sanctionné que ceux qui s'étaient levés à l'avance, ce n'est pas la même chose que si on donne une retenue à tous parce qu'on ne sait pas qui a fait une retenue.
C'étaient ces retenues-là qui étaient interdites, celles que j'ai eu étant élève, parce que par exemple on avait fait la grève du silence (toute la classe se taisait et ne participait plus) en anglais, lors d'un cours que la prof avait rattrapé un jeudi après-midi (c'était notre seule demi-journée de congé, on avait même cours le samedi après-midi). J'avais bien levé mon bras pour lire, mais ma voisine me l'avait violemment rabaissé, en chuchotant*, mais on ne participe pas. Ici, dans le cas de mes secondes, ce n'était pas la même chose, tous ceux que j'avais collé étaient fautifs, alors que dans le cas de ma jeunesse, même les élèves qui ne participaient pas d'habitrude parce qu'elles étaient timides avaient été mises en retenue.
Le nouveau ne savait pas non plus que pour saper l'autorité de domino, le CPE précédent ne donnait jamais de retenues, ils avaient des problèmes familiaux, ces chérubins, il ne fallait pas les brusquer.
Alors le nouveau CPE a mis la retenue. Un samedi matin, dans ce lycée, les retenues étaient mises le samedi matin en même temps que les devoirs surveillés des Terminales. Comme cela les élèves collés étaient répartis entre les Terminales et ne posaient pas de problème de surveillance.
Mais le problème était qu'il n'y avait pas ou peu de transports scolaires le samedi matin et que dans cette région rurale, les parents devaient alors se déplacer pour amener les élèves le samedi. Les Terminales ayant souvent déjà leur permis de conduire.
Alors les parents se sont rebiffés, ils ont resorti de derrière les fagots cette histoire de retenue collective interdite, alors que ce n'était pas une retenue collective. En effet, l'élève qui ne s'était pas levée n'avait pas été mise en retenue. Seuls quatorze élèves sur les quinze de ce demi-groupe que j'avais avant le repas le Vendredi avaint été mis en retenue (Aux cours des autres heures, ils ne demandaient pas à sortir à l'avance, c'était seulement à cause de la file d'attente au self.
J'avais passé du temps à préparer des exercices d'allemand pour la retenue. Exercices que j'avais donnés le Vendredi après-midi au CPE des secondes. Le lundi matin, j'ai eu la surprise de trouver dans mon casier des rédactions en français, que la CPE qui s'occupaient des premières-terminales leur avait donné. On n'avait pas retrouvé mes exercices avant le début de la retenue. Ils étaient apparemment dans un autre bureau fermé à clef et on m'a reproché de ne pas leur avoir donné de travail pour la retenue!
La rédaction en français c'était : "Rédigez en quatre pages (une copie complète) sans passer une seule ligne et ne faire aucun paragraphe la réponse à la question suivante : A quoi sert-ils d'apprendre les langues vivantes?"
Je les ai corrigées (parce que donner une retenue donne aussi du travail supplémentaire au professeur qui l'a donne). ils ont tous dit des choses bien sur les langues vivantes, sauf une qui a dit sur un ton plutôt injurieux, que ça ne servait à rien, qu'on en n'aurait jamais l'usage dans sa vie, que les profs de langues étaient tous des...., etc... J'aurais du la coller une deuxième fois, mais je ne l'ai pas fait. Et qui sait? C'était peut-être ses parents à elle qui ont râlé pour la colle soi-diant collective.
(Les autres profs ne s'embêtaient pas avec les élèves qui voulaient sortir à l'avance, quand ils insitaient de trop, ils les laissaient sortir).
J'avais beau expliquer aux élèves que c'était pour des questions d'assurance qu'on ne pouvait pas les laisser sortir pendant l'heure. Cela leur était égal, ils répondaient qu'ils feraient attention et ne tomberaient pas, mais quand on entendait les cavalcades dans les couloirs cinq minutes avant la fin de l'heure, on était édifié.
La prof principale dont je vous ai parlé au début (venons-y enfin!) doublait toujours les sanctions qui étaient données aux élèves de sa classe. Elle leur a paraît-il et d'après les élèves fait faire une deuxième rédaction dans laquelle elle a demandé à ces élèves que j'avais seulement depuis à peine un mois (avec la rentrée échelonnée, ils avaient du rentrer vers le 6 ou 7 septembre car la rentrtrée était plus tardive à cette époque, on a essayé peu à peu d'allonger l'année scolaire pour la faire comme en Allemagne, sans tenir compte du fait qu'en Allemangne, on allait pas en classe l'après-midi). Bon, bref, la prof principale a donné aux élèves une autre rédaction sans passer une seule ligne, de quatre pages complètes et sans faire aucun alinéa, sur "Que pensez-voou de la prof d'allemand?" Je n'ai jamais vu ces rédactions et je savais qu'elle apportait ces rédactions sytématiquement au bureau du proviseur où elles étaient mises dans notre dossier, pas celui des élèves, mais celui du prof, c'est un collègue qui me l'a expliqué. Si bien que l'on avait presque peur de sanctionner ses élèves.
Une fois, elle a mis un avertissement à deux élèves d'espagnol qui étaient rentrés dans ma classe avant la fin de l'heure, l'un faisant le clown au rythme de la chanson qu'on était en train d'étudier, mes élèves chantant sagement. L'un des deux devaient partir dans un autre lycée musique, je ne savais pas comment il s'appelait et j'en avais fait la description à cette prof principale, et tout de suite, elle m'a dit, "Ah justement, ces deux là, ils font la paire, j'atttendais une occasion de les coincer, ce soir au conseil, ils auront un avertissament demandé par toi.... " "Mais.... tu ne crois pas qu'un devoir suffirait...?" " Non, je les ai, ça y est!" Au conseil, il a été dit que l'avertissement avait été demandé par moi, alors que finalement, j'avais juste voulu savoir le nom des deux élèves, c'était à la fin de l'année, et alors que cette classe (une autre classe de seconde LV2 que celle ci-dessus) était sympa, d'un seul coup, ils ont fait la grève du silence contre moi, pour que j'enlève l'avertissement que je n'avais pas donné moi-même.
Vous voyez, jeunes collègues, comment des collègues mal intentionnés peuvent saper votre autorité et vos rapport avec vos élèves.
domino
*Un mot que les élèves que j'avais en documentation l'année dernière ne connaissaient pas, j'ai du leur apprendre à chuchoter (parler en soufflant entre ses lèvres sans émettre de son voisé), pour les travaux de groupes, parce qu'ils parlaient à voix haute, ce mot nouveau pour eux les faisait rire et ils se disaient entre eux : "Tu ne peux pas parler tout haut, chuchote!"
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Réaque
Réaque est une copine. Elle a très bien conté l'histoire du Paperboard, même si elle a pris parti contre moi qui ne suit pas Ré-Ac comme elle. Elle a même écrit mes heures de rattrapage des cinq jours ouvrables pendant lesquels j'avais manqué l'an dernier, chassée par les hurlements de ma principale. Elle hurlait tellement que j'en ai eu peur.
Maintenant vous savez que je suis convoquée dans son bureau à 14 heures pour "affaire me concernant". Si seulement je savais de quoi il s'agissait je pourrais me préparer à l'entretien. Mais, non, je ne sais rien. J'ai peur, j'ai peur, j'ai peur.
Je suis prof d'allemand jusqu'au bout des ongles, germaniste jusqu'au bout des ongles. S'ils me proposent de faire autre chose que de l'allemand alors que le rêve de ma vie, c'est de réussir l'agrégation d"allemand, à laquelle j'ai ete deux fois admissible récemment,. je ne sais pas ce que je vais faire. Peut-être que vous n'aurez plus de nouvelles de moi à partir de mardi 15 heures ou 15 herures 30. Ils me jetteront peut-être en prison pour raison politique ou ils me mettront dans un asyle de fou, pour que j'arrête de conter les mésaventures que j'ai vécu dans l'enseignement (réduction au silence après la mise au placard... voir le livre d'Hirigoyen sur le harcèlement professionnel). Tout comme mon proviseur m'avait fait mettre en CLM en 2002 pour que j'arrête d'écrire des lettres sur les exactions et les disfonctionnements de "son" lycée à l'inspecteur et au rectorat), s'ils me proposent de faire autre chose que de l'allemand alors que je travaille celui-ci à un très haut niveau, vous n'entendrez peur-être plus parler de moi à partir de mardi après-midi.... Si on me met en CLM ou CLD, en retraite, en CPA, Vous n'entendrez peut-être plus parler de moi à partir de mardi après-midi, car je saurais alors que je n'aurais plus assez d'argent pour mes vieux jours (ma mère dépense pour sa maison de retraite environ le double de mon salaire actuel; c'est ce que coûte les soins de son Alzheimer).
J'espère aussi qu'elle ne va pas me fourguer un service de rattachement en documentation sur les deux jours où il me reste à suivre des cours à l'université (au deuxième semestre mes horaires universitaires ont changé, je dois suivre les cours le Mardi après-midi à partir de 13 heures à 135 km ent train du collège et le Jeudi alors qu'au début de l'année je lui avais déclaré le Mercredi et le Jeudi pour mes cours à l'université. J'ai une option à suivre absolument, car ayant pu suivre toute l'année les cours à l'université, je ne me suis inscrite au CNED.
Mes profs étaient contents de moi jusqu'ici surtout en traduction et en linguistique, que vais-je devenir sans cours????
Déjà je viens de recevoir un mail d'un prof qui nous fait RV pour répartir les colles à l'heure précise où la principale me fait RV. Tiens, j'entends déjà ma principale téléphoner à mon université "Vous lui ferez bloquer son e-mail pour qu'elle ne puisse plus faire RV avec ses profs" (Je vois déjà que c'est un farceur de H et F qui va leur téléphoner et mon e-mail bloqué : attention, il peut contenir des courriers urgents).
Moi, j'avais organisé ma vie autrement, pensant avoir un autre rattachement adminsitratif (puisque je suis seulement rattachée dans ce collège) à la rentrée (ce que j'avais déjà demandé pour cette année et que je n'ai pas obtenu, alors que d'autres collègues TZR changent automatiquement de rattachemetn tous les ans). Sur mon dossier électronique de prof (je ne dis pas son nom, sinon ma principale qui ne le connait pas, va aller y faire changer un tas de choses alors que j'ai eu assez de mal à le faire mettre à jour et à y faire inscrire mes premières affectations depuis 1976.
Elle veut peut-être me faire prendre une CPA (cessassion progressive d'activité). A quoi ça rime? A me faire perdre une demi-année de cotisations pour la retraite par an, et comme je suis loin d"avoir toutes mes années de cotisation (je dois travailler à temps complet jusqu'à 65 ans pour en avoir le plus possible), En plus en tant que TZR sans remplacement, je ne croule pas sous le travail comme lorsque j'étais prof de lycée. Alors prendre une CPA ne rime à rien, même pas pour la fatigue. De toute façon pour préparer l'agrégation, je devrais toujours étudier à temps complet! Et faire 200 km AR trois fois par semaine et plus quand il y a des concours blancs.
Donc, de toute façon, je ne prendrai pas de CPA et personne ne peut m'y obliger. La CPA n'est valable que pour les personnes qui ont toutes leurs années de cotisation avant l'âge auquel ils peuvent prendre leur retraite.
Mon mari a 60 ans et il travaille encore à temps complet; étant entré dans la vie professionnelle à l'âge de 25 ans, il lui manque encore 5 années de cotisations, de quoi atteindre 65 ans. Il est au même échelon que moi, mais un grade en dessous. Il est certifié Clase Normale, alors que je suis certifiée Bi-Ad Agrèg. Pour rien au monde, je ne voudrais gagner moins d'argent que lui en étant en CPA ou en retraite anticipée. Je n'oseais plus rien acheter, plus rien manger, car ce ne serait plus mon argent. Je suis une femme émancipée, style MLF. Ich bin eine Emanze. Une qui lisait Emma et Courage dans sa jeunesse (des revuies féministes allemandes), et qui fréquentait les Linksdruck et les Zwiebel et le Verlag Pläne. Qui écoutait le Väterchen Franz Josef Degenhardt, versoffener Chronist et se délectait aux voix de Angi Domdey et Bruni Regenbogen de Schneewittchen. Pour rien au monde, je ne voudrais gagner moins d'argent que mon mari.
Passons à d'autres moutons : J'ai rencontré des élèves filles de l'année dernière dans une rue de la ville de mon collège de rattachement Samedi, elles m'ont salué souriantes et repectueuses. Cela m'a remplie de joie, et m'a transportée en un temps où je n'avais pas de problèmes avec ma principale. En un temps où je sentais que j'étais utile aux élèves, que j'étais une personne respectée et appréciée. Mais la principale de mon collège de rattachement en me convoquant pour "affaire me concernant".
Un jour, des élèves de BTS hôtellerie m'avait dit goguenards "Madame, on va faire un rapport sur vous", parce que j'avais fait un rapport sur quatre d'entre eux, ils voulaient se venger d'une façon amusante et voir si le proviseur croyait le rapport qu'ils allaient faire sur moi (et qu'ils ont peut-être fait!), et qui allait raconter des choses rocambolesques et inventées qui étaient toutes les bêtises que eux-mêmes avaient faites durant leur scolarité. Peut-être que ce rapport fantaisiste est dans mon dossier, et que des personnes qui veulent m'enfoncer sont en train de s'en servir.
Je n'ai jamais été voir mon dossier, de peur d'y découvrir plein de choses fausses.
Voilà encore un rapport faux qui a été fait sur moi par un principal : des élèves auraient soi-disant démonté des prises de courant dans un laboratoire de SVT où l'on m'avait mise pour faire les cours d'lalmand; comme c'était un remplacement que je prenais au mois de janvier, les ézlèves m'ont prévenue gentiment : "vous savez Madame, le laboratoire de SVT, c'est pas l'idéal pour faire cours". En effet , les élèves étaient placé derrière d'énormes tables et de ce fait très éloignés les uns des autres et du bureau. On m'avit conseillée d'uiliser une caméra pour projeter mon tableau sur un écran de télévision, caméra qui filmait ce que j'écrivais sur une feuille placée sous elle et placée juste à coté d'un buste d'anatomie formé par des espèces de petits porte-manteaux en fer qui soutenaient les organes du corps humains qui étaient des imitations en plastique creux, munies de trous en haut pour les suspendre. A la récréation, après avoir fait cours au troisième, je suis revenue dans le laboratoire pour voir si je n'avais rien oublié dans le bureau, car ayant du changer d'étage, j'avais du me dépêcher entre les deux cours. Avant de partir, j'avais ramassé un poumon du buste d'anatomie (en plastique incassable) qui traînait par terre parce que j'avais du le froler du coude en manipulant la caméra. Le principal était à quatre pattes dans le fond de la salle, disparaissant à moitié sous une table et parlait à la femme de ménage (il ne m'a pas vue), en lui disant : ces morceaux de plastique que vous avez trouvé par terre, ont vraiment une drôle de forme, "Ah! Cela vient sans doute de là! Cette prise de courant ne tient plus très bien dans le mur, elle est déglinguée, oui, c'est sûrement là que les élèves ont été cherché cela!" Et il montrait à la femme de ménage le dessous du grand bureau en carrelage de la salle de SVT en disant : "Et ils les ont lancé jusque sous le bureau!". Pauvre domino! Qu'à fait ton coude ce jour-là, pourquoi a-t-il frôlé ce que j'appelle depuis un buste d'antaomie? Etait-ce la rate qui se dilatait ou le pancréas, ce scélérat, à moins que c'était les ovaires ou l'utérus qui avait une aussi drôle de forme que le principal n'arrivait pas à faire concorder avec la prise de courant déglinguée? Quelques organes traînaient d'ailleurs dans la poussière balayée par la femme de ménage et allaient être mis à la poubelle. Le prof de SVT a du m'en vouloir quand il a constaté la disparition d'une partie de son matériel, disparition orchestrée par le principal et le femme de ménage, et qui n'était le fait ni de moi-même, ni des élèves.
Toujours est-il que ensuite il voulait que je signe un rapport selon lequel les élèves auraient déglingué une prise de courant dans le fond de la salle, cela ayant mis en cause leur sécurité, alors qu'ils n'étaient jamais allés dans le fond de la salle. J'ai refusé de le signer écrivant qu'il ne correspondait pas à la réalité. Maiis sur le moment je n'avais pas réalisé moi-même que ces morcaux de plastique (choses bizzarres que l'on avait trouvé par terre sous le radiateur près du bureau) étaient comme celui que j'avais raccrocjhé moi-même au buste des éléments du bust d'anatomie.
Tiens, le jour de mon inspection de mars 2002, cela me revient à l'esprit, les élèves étaient rentrés à l'avance pendant la récréation par le devant de la salle (une salle de classe normale, cette fois!). J'avais renvoyé deux élèves dans le couloir finir leurs petits pains (vendus par le lycée à la récréation), l'inspecteur et le proviseur sont arrivés alors que je faisais rentrer ces deux élèves et se sont arrêtés au niveau de la porte arrière. J'ai bien attendu cinq minutes avant qu'ils n'entrent tous les deux par la porte arrière de la classe. Aucun de mes élèves n'était passé par l'arrière de la classe, et j'avais vérifié avant de porter les billets d'absence des cours précédents à la salle des profs pendant la récréation (ils fallait les glisser dans des urnes prévues à cette effet, et nous ne disposions pas de cahiers d'absence, j'avais à l'heure de l'inspection un regroupement de trois classes et et les cahiers de texte étaient fait entièrement pour les trois classes, mais celui d'une classe sur les trois avait disparu la veille de l'inspection). Mais ce n'est pas pour vous dire cela, mais que j'avais bien fermé les portes de la classe en sortant à la récréation et en allant porter mes billets d'absence presque en courant jusqu'à la salle des profs (la réglementation du lycée voulait qu'on rende les billets toutes les deux heures).
Bref, après la sortie de l'inspecteur, les élèves de la classe suivante on trouvé une cigarette non entamée par terre dans le fond de la classe. Or, en première heure, j'étais au laboratoire de langue avec les BTS, en deuxièeme heure j'avais quelques élèves placés devant mon bureau (ils n'étaient pas allés dans le fond), en troisième heure, c'était l'isnpection et il n'y avait aucun élève dans les deux dernires rangs, ils étaient tous passés par devant comme à l'accoutumée.
Et vous pensez bien qu'en tant qu'anti-alcoolique fais partie (on me dit "tu fais partie de la ligue?" quand aux ports de fin d'année, je refuse un verre de vin, et opposée à la consommation de tabac, je faisais la guerre aux élèves qui fumaient devant le lycée aou dans le petit square à proximité leur disatn que c'était mauvais pour la santé (et pour la voix pour les chanteurs, on avait aussi une section musiclale). Mon proviseur, celui-là même qui était dans la salle le jour de l'inspection, avait un jour été vexé parce que lors d'un pot, j'avais refusé poliment le verre qu'il m'offrait. Et lui, il m'en a voulu pour cela, alors qu'il aurait pu me prposer du jus de fruit.
Bon, vous allez dire, que je saute du coq à l'âne dans cet i-grimoire, mais j'avais dit à un collègue que je ne trouvais pas normal que des élèves de seconde servent des boissons alcoolisées aux convives au restaurant d'application. Il m'a répondu "Non, mais tu te rends compte, si on disait cela à nos collègues d'hôtellerie, on aurait un tollé de protestations, il faut qu'ils apprennent la sommelerie, etc.., quels vins vont avec les plats. Le hic était que l'on trouvait les élèves d'hôtellerie souvent plus énervés que les autres, et j'avais appris par ouï-dire que certains finissaient les verres des clients en les portant à la plonge. Derrière le dos des profs d'hôtellerie.
J'ai dit alors au collègue : "On pourrait instituer une journée par semaine sans alcool par semaine au restaurant d'application, par exemple le Vendredi!" J'avais exprès de dire le Vendredi.
"Le vendredi?" s'est exclamé mon collègue "Mais tu te rends compte, le Vendredi soir, c'est le jour où il y a le plus de monde au restaurant d'application, le jour où on fait les soirées de cuisine régionale, le jour où toutes les huiles de la ville viennent manger ici!" Mon collègue allait d'ailleurs à toutes les soirées de cuisine régionale.
"Bon, alors un autre jouir dans la semaine", ai-je répondu... "Oui, mais un jour sans alcool par semaine à l'hôtellerie?", cela fait beaucoup, a répondu mon collègue.
"Un jour pas mois", ai-je dit alors, reculant sur mes positions dans cette négociation fictive puique ni l'un ni l'autre, nous n'étions proviseur.
"Oui, un jour par mois...", à la rigueur a-t-il répondu...
"Et les mini-jupes à l'^hotellerie? Tu crois que c'est normal?" Moi, je verrais bien des costumes de velours avec des longues jupes de velours foncés de diverses couleurs, style romantique, avec des chemisiers et des petits tabliers bordés de dentelle, des petites vestes de velours, des pantalons et des vestes de velours assorties pour les garçons et des chemise à jabot... Du velours bordeaux, vert foncé, marron foncé, bleu foncé et bleu pétrole, que ce serait beau!" J'avais même dessiné les costumes pendant le CLM qui a suivi cette horrible inspection. Mais je ne les trouve plus, peut-être que mon mari a porté mes modèles au lycée. Je ne suis jamasi retournée là-bas, ayant eu cette mutation pour la ZR, et j'ose rêver qu'on ne boit plus d'alcool dans la section d'hôtellerie et que les filles un peu trop fortes ne sont plus obligées d'exhiber leurs grosses jambes jusqu'au milieu des cuisses et qu'elles sont vêtues des merveilleux vêtements que j'avais conçu pour elles.
Moi, quand j'étais prof dans ce lycée, j'avais toujours de très longues jupes qui allaient presque jusqu'à terre et touchaient le sol dans les escaliers, manquant parfois de me faire tomber lorsque je marchais sur le bas de la jupe. Je sais que vous vous moquez de moi, il y a même eu une transformation sur une de mes vidéos dans le sens où on voudrait me faire passer pour une de mes collègues.
Je fais la suite dans une autre note, il paraît qu'on ne lit pas jusqu'au bout les notes troip longues.
Pour le blog de réaque qui explique comment j'ai rattrapé mes heures de Mai dernier, c'est dans le blog de Réaque qui a tout noté. Je ne donne pas de lien pour que l'usurp. n'aille pas squétter et spolier ses commentaires.
Rappel : comme aucune personne n'est citée nommément dans cet i-gtrimoire, personne ne peut déposer plainte contre moi à partir de cet i-grimoire.
domino
12:33 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, cours d'hôtellerie, sections musicales, rapports faits sur les profs