jeudi, 06 décembre 2007
Mauvaise journée
Aujourd'hui j'ai eu deux incidents physiques :
1) Dans le train les places en face à face étaient réservées. Pour un parcours de 20 km sur les 100 km que j'effectuais. Pour des hommes d'affraires qui ne savent pas faire 20km sans réserver.
Je m'assoie donc à la seule place libre en dehors de ces 16 places réservées et vides à ma gare de départ.
La tablette accrochée au siège devant était déployée. Je m'aperçois rapidement que celle-ci ne pouv&ait plus s'accrocher. Pendant le trajet, je lis en tenant tant bien que mal la tablette relevée (impossible de la déployer complètement ou alors il ne faut faire que 10 cm d'épaisseur soi-même). Vers la fin du trajet, je pose mes livres et je m'endors. D'un seul coup je me réveille en sursaut, faisant sursauter par un cri tous les gens autour de moi : la tablette est tombée sur ma poitrine. Cela ne fait pas du bien.
2) Deuxième évènement :
Comme des profs sont absents, on a plus le temps que d'habitude pour aller manger, je vais donc dans le restaurant situé entre les deux bâtiments de cours (du reste beaucoup plus de portes sont ouvertes maintenant. Les grévistes commencent à laisser passer tout le monde).
Au moment de m'assoir: badaboum!
3) J'avais déjà repéré ce genre de chaise qui n'ont qu'un seul pied replié sous elle. L'année dernière, j'ai déjà glissé de l'une d'entre elle, sans me faire mal et j'en ai déjà évacuée une bancale sur laquelle j'allais m'asseoir. Mais cette fois-ci, c'est la bonne, je me sens descendre brusquement, en deux étapes. La deuxième m'est fatale : Ouille, ouille, ouille, j'en ai encore mal maintenant.
Pour comble de malheur en rentrant ce soir je me rends compte que trois de mes blogs hébergés chez un autre hébergeur ont disparu, dont mes mémoires, dont un blog de poèmes avec le poème que j'ai fait à propos du peintre Bona avec les interprétations de ce que je faisais de ses peintures. Si ces trois blogs ne reviennnent pas, voilà encore de jolis textes et de jolies musique perdus. Il y a un an et demi, ils étaient en lien ici.
Erreur 403, "Vous n'êtes pas autorisé à voir le site.." Pas autorisée à voir mes propres poèmes, mes propres textes en prose poétique, Le harcèlement continue de plus en plus fort. ." Imaginez pour celui qui n'a qu'un seul blog, bien fourni, ce que ça doit lui faire, si cela lui arrive...
Problème de serveur? Contrôle parental qui s'est mis à mon insu sur mon ordinateur? Mystère... je suis en train de passer ma nuit pour voir le paramétrage qui ne va pas pour retrouver ces blogs.
domino
01:40 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : web, Internet
mardi, 04 décembre 2007
Personne morale ou bouc émissaire...
Qu'est-ce qu'une personne morale? Un bouc émissaire!
Vous êtes maire, vous venez d'être élu, et il arrive un accident au théâtre municipal ou à la piscine. On découvre que les conditions de sécurité n'étaient pas respectées. Qui passe en justice? Le nouveau maire, qui n'avait pas encore eu le temps matériel de s'occuper de la sécurité des équipements de la ville. Qui paie une amende? Le maire.
Vous êtes président d'association et il arrive un accident pendant un voyage qu'avait organisé votre association. Qui trinque? Le président.
Vous êtes proviseur et il arrive un accident de sport pendant un voyage à l'étranger, par exemple un élève tombe d'un mur d'escalade. En tant que proviseur, vous deviez regarder le programme du voyage éventuellement vous le faire traduire. Et décréter que ce sport étant dangereux, il n'y avait pas lieu de le faire pendant le voyage.
Un jour découvrant avant un voyage que mes collègues allemandes et ma collègue du collège avait prévu une demi-journée de mur d'escalade dans la Gesamtschule allemande, je suis allée en parler au proviseur. Qui tout de suite a dit : "Vos élèves ne feront pas de murs d'escalade".
Problème : le principal du collège avait permis à ses élèves de faire du mur d'escalade. Le lundi du début du séjour, l'un de mes collègues d'allemand resté en France téléphone, alors que j'en avais déjà parlé aux allemands, que les élèves du lycée ne feront pas de mur d'escalade. Ils râlent : "Et ceux du collège, eux, ils ont le droit!" Alors les allemands décident de changer le programme et que pour qu'il n'y ait pas de jaloux, il n'y aurait de mus d'escalade ni pour le collège, ni pour le lycée. Mais on m'a quand même conviée dans la salle du mur d'escalade, seule, sans les élèves, pour me prouver que ce n'était pas si dangereux que cela.
Le proviseur n'avait pas voulu prendre la responsabilité de quelque chose de dangereux. Et il avait réussi à faire changer le programme des collégiens aussi! Au grand dam de mes collègues de collèges et des élèves qui m'en ont voulu, à moi, et à moi seule, et m'appelaient l'empêcheuse de tourner en rond.
Maintenant le mur d'escalade répondait aux consignes de sécurité (surtout en Allemagne, vous pensez bien!). Maintenant ce genre d'équipement est plus répandu en France. Et cela ne serait peut-être interdit par un proviseur, mais il m'avait dit qu'il ne voulait pas que je prenne de risque.
Mais pour en revenir au début de l'article, la personne morale, quand elle n'est pas informée d'une chose, trinque pour les autres. L'histoire des personnes qui sont tombées dans le théâtre à cause d'une rampe d'escalier défectueuse, cela a existé, l'histoire de l'enfant qui s'est tué à la piscine en plein air (dans l'étang) en plongeant sur un mur qui n'émergeait pas, cela s'est passé aussi près de chez moi.
Alors qui veut encore être maire? Qui veut être encore président d'association? Qui veut être proviseur ou principa?. Si proviseurs et principaux cherchent à éloigner les professeurs qui ont été victimes d'agressions en les faisant mettre en congé maladie et en les faisant muter pour les protéger des élèves qui savent qu'ils ont été agressés, c'est pour leur bien parait-il, mais surtout pour se protéger eux-mêmes parce qu'ils sont responsables des blessures causés à un de leur professeur.
domino
20:05 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, personne morale, présidents d'association
Les mots-clefs de novembre
Qu'ont tapé mes lecteurs comme mots-clefs pour arriver sur mon i-grimoire en novembre???
Les souvenirs (8,28%)
Ah! oui, sur cet i-grimoire il y a des souvenirs, récents et plus anciens, plein de souvenirs..
Et aussi les souvenires (avec un "e") : 1,38%, donc environ 9% de mes lecteurs viennent chercher ici mes souvenirs, et pas les leurs...
Cauchemar en jaune 3,45%
Il me semble que c'est un polar pour ados. Mais je ne vois pas le rapport avec mon i-grimoire, j'ai raconté un cauchemar? Ah oui, ça y est, j'ai parlé de l'horloge jaune, celle d'été. Tiens, cette nuit j'ai fait un cauchemar, j'ai rêvé qu'on me coupait les cheveux, et que cela ne m'allait pas du tout, cela faisait maman gâteau avec les cheveux courts, j'ai trouvé cela atroce, c'était la médecine du rectorat qui m'obligeait à me couper les cheveux...
ecouter et enregistrer gratuitement joan baez 2,07%
L'écouter tu pourras toujours, en suivant mes conseils de disques donnés en marge. Malheureusement j'ai enlevé le liens sur ses sites, parce que je craignais qu'un commentateur indélicat aille lui faire des misères. Pour l'écouter, il pouvait suivre mes liens, mais pour l'enregistrer, c'est pas permis, çà!!!
10/12eme salaire prof education nationale congé 1,38%
Bon, ces mots là sont dans le genre d'articles que je viens de faire, et il y en a beaucoup ici.
anti-vieux 1,38% (c'est 1,38% sur les neuf items suivants, je remettrai le pourcentage quand cela changera.
Ce n'est pas la première fois que je vois cette recherche. Il semblerait que j'ai utilisé ce mot là il y a environ un an et demi.
Corection (avec un "r"seulement, Je corrige : correction) du sujets (au pluriel, il n'a pas du avoir une bonne note celui-là (ou celle-là) )de bac 9 du livre litterature de premiere
Là on revient à un article sur le bac de français de 2006, c'est vieux.... C'est un article qui a toujours eu beaucoup de succès.
es ist ein ros entsprungen francais (bon, il y a une cédille à français). Sans doute qu'il/elle voulait la traduction. Alors ici il/elle a eu la musique, les paroles en allemand et ma belle voix, de décembre 2006.
farewell angelina traduction
Encore Joan Baez, j'ai parlé plusieurs fois de cette chanson, j'en ai même traduit un couplet dans mon article sur les adaptations des années 60. Donc, celui qui l'a cherché a été bien servi. Recherche fructueuse.
lire le cauchemar en jaune et aussi séance pédagoqique Cauchemar en jaune
Encore! Qu'y a t il de cauchemardesque ici. Jaune? Ah! Oui, l'horloge d'été est jaune.
règle des 10/12ème
Ici, il s'agit de la règle de distribution des salaires aux professeurs. Par rapport à un autre salarié du secteur public et à même indice, un professeur gagne sur l'année 10/12ème du salaire de cet autre fonctionnaire. En effet, il avait été considéré à une époque où les vacances d'été durait plus longtemps que les professeurs ne travaillant pas pendant les deux mois d'été, on ne pouvait considérer cela comme des congés payés et qu'à indice égal avec d'autres personnes de la fonction publique un professeur gagne l'équivalent de deux mois de salaire en moins sur l'année.
Quand vous faites cours entre le 2 et le 4 juillet comme ce fut le cas l'an dernier, quand vous interrogerez au bac en juillet, vous n'êtes pas payés (sauf petites indemnités de bac) , et donc, si vous n'êtes pas payé, vous ne pouvez en principe pas être déclaré responsable des élèves que vous avez ces jours là. P
ar ailleurs, n'étant pas payée pour cette période, le rectorat ne pouvait pas m'enlever de salaire pour service non fait pour ne pas être allée à la médecine du rectorat les 6 juillet et 28 août, puisque je n'étais pas payée en juillet et en août pour ces jours là, mais pour le travail fait l'année précédente jusqu'en juin. En effet dix mois de salaire (de septembre à juin) sont répartis sur douze mois.
Je m'explique les autres fonctionnaires sont payés douze mois sur douze, un mois entier à chaque fois.
Les instituteurs et professeurs à une époque où les congés n'existaient pas étaient payés pour les dix mois qu'ils travaillaient : dix mois de septembre à juin. et pas payés pendant les grandes vacances où pour gagner de l'argent, il devait aider aux travaux des champs.
Lors de l'apparition des congés payés, on a réparti ces dix mois sur douze mois, donc les professeurs ne sont en réalité pas payés pour les deux mois de vacances.
Donc, à même indice un professeur gagne les 10/12ème du salaire d'une autre fonctionnaire.
une lettre recomandée (avec un seul "m") pour annuler un abonnement d'un club
Il a été beaucoup question de lettres recommandées ici, mais rien à voir avec un club.
--) ou comment casser un usurpateur de poèmes
Ce lecteur est arrivé ici, soit par le mot poème, soit par le mot usurpateur... que vous connaissez bien.
adrsse d'un européen qui peut m'aider dans mes travaux 0,69% (toute la suite est à 0,69%)
Fidèle à l'idée européenne, le mot doit figurer plusieurs fois dans cet i-grimoire, quant à travaux et à adresse sans le premier "e". Je ne sais pas si ce sont ces mots là qui l'ont amené ici.
aliscan
Aliscan a signé plusieurs commentaires ici, L'intéressé a du trouver son bonheur, grâce au lien de commentaire.
apprendre de l'epinette a gerarmer
Voilà quelqu'un qui a du être bien servi, par un des mes articles où je dis mon bonheur d'avoir assisté à ces stages d'épinette des Vosges. Qui ont eu lieu dans les années 70 et au début des années 80. C'est en écrivant cet article que j'ai retrouvé l'un de mes professeurs d'alors.
Archive d'un accident de voiture le 9 juillet 67 dans le Pa
La phrase n'est pas terminée, je suppose le Pas-de-Calais. La personne est sans doute arrivée ici par le mot "Archive". ou par le mot "accident". Ce qui est bizarre, c'est que je me suis cassée une dent quelques jours avant (le premier jour des grandes vacances, cela devait être le premier juillet 67) sur une balançoire dans le Pas-de-Calais, j'en ai déjà parlé, le bled s'appelait et s'appelle toujours Tournehem et je l'appelle depuis Tournedent. Mais je n'y ai plus jamais mis les pieds depuis. Et je l'évite soigneusement.
archives des notes sur la guitare
Peut être arrivé sur mon i-grimoire par le mot note, le mot archives ou le mot guitare, "Des notes sur la guitare", quelle belle émission de Robert J. Vidal (aujourd'hui décédé).
arrete bucheron arrete un peu ton bras
Voilà le premier vers d'une poésie de Du Bellay. En ai-je parlé ici? En tout cas je l'avais apprise par coeur au début de ma seconde C. Avant de bifurquer en A en cours d'année, parce qu'en A on avait deux heures d'allemand en plus.... et je crois au c'est "le bras" et pas "ton bras". Mais j'avais 16/20 en maths, en C (équivalent du S actuel, mais on s'orientait déjà en seconde).
domino
17:25 Publié dans Les statistiques i-grimoiriennes. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : statistiques, stats
420 Euros perdus sur mon salaire.... à cause d'un paperboard
Souvenez-vous le 14 mai 2007 (c'est souvent le 14 mai, que m'arrivent des malheurs : autres problèmes avec l'autorité hiérarchique ou accident de voiture, comme par hasard, souvent juste avant les résultats d'écrit d'agrégation externe...), je constate juste après son passage, qu'un ouvrier
(0P qui dans un rapport fait sur moi s'est dit être d'une fonction supérieure à celle qui était écrite sur la liste du personnel à la rentrée, je ne sais plus laquelle exactement, mais personnel ATOSS titulaire, en tout cas il mériterait d'être titularisé pour ce qu'il a fait contre moi),
je constate donc juste qu'après le passage d'un ouvrier dans la pièce contigue au CDI, qui n'était autre que la salle de lecture - et les portes entre la salle de lecture qui contenait une partie des livres du CDi et la salle du CDI proprement dite restait toujours ouverte, mais il y avait comme je le disais dans un autre article, un angle mort provoqué par les murs intermédiaires, donc la surveillance de cette salle à partir du CDI était restreinte aux seuls endroits visibles, endroits dans lesquels je plaçais habituellement les élèves, mais les deux portes extérieures de cette salle, donnant sur le couloir, ouvrables par une clef de classe tout comme la deuxième porte du CDI, étaient invisibles du bureau du CDI.
Tout de suite, quand le lendemain, j'ai signalé à la principale le problème de la disparition du paperboard, on m'a accusée d'avoir accusé cet ouvrier dont je ne connaissais même pas le nom à l'époque, donc, dont j'étais incapable de citer le nom, d'avoir volé le paperboard.
C'est vrai que les apparences sont trompeuses, que la présence de cet ouvrier qui semblait faire la ronde du soir, alors que d'habitude c'était la concierge qui le faisait, était très trompeuse. Mais je n'ai personnellement pas fait le rapprochement entre les deux. Il aurait pu avoir besoin du paperboard pour son atelier et l'avoir ramené ensuite. Ou bien, il l'a peut-être déplacé pour faciliter la jointure des grilles de l'exposition que ma collègue et moi avions dressées à grand déploiement de force physique -presque trop fort pour moi - ; en fin d'après-midi, après appel téléphonique aux ouvriers il avait d'ailleurs été décidé que l'on fixerait ces grilles le lendemain matin.
Peut-être ne faisait-il pas la ronde, peut-être était-il venu pour voir les grilles qu'il fallait fixer ensemble. Parce que j'avais demandé de venir le plus vite possible parce que les grilles non fixées pouvaient être dangereuses et tomber. Peut-être que j'ai cru qu'il faisait la ronde parce qu'il ouvrait toutes les portes du CDI, comme la concierge le faisait tout les soirs en me chassant (elle le faisait aussi à la salle des profs où quelques profs tapaient rapidement leurs notes sur les ordinateurs, car un collège fermé à 17h 45 quand les cours se terminent à 17h30, c'est un laps de temps très court pour que les profs aient le temps de se retourner. Certains quittaient leurs classes où il préparaient leur matériel pour le lendemain en courant pour ne pas être surpris par la fermeture. Je l'ai déjà raconté ici d'une façon plus humoristique (articles qui prouvent que j'ai travaillé au CDI de ce collège aussi en juin...).
Peut-être que contrairement à ce qui était écrit sur les rapports faits par la principale, la concierge n'était pas absente ce jour-là et que l'ouvrier aurait pris le prétexte de la ronde pour expliquer son entrée dans le CDI. Mais s'il venait voir les grilles d'exposition, il aurait pu me le dire.
Bref, le 15 mai, dissenssion avec la principale à laquelle je fais remarquer qu'elle me fait des reproches sur un service de documentation, alors que de ma vie, je n'ai jamais été documentaliste, mais toujours professeur titulaire, et pas un peu titulaire, d'allemand. C'est encore ce qui est écrit sur les papiers que je reçois actuellement. Et que par conséquent, je n'avais pas de compte à lui rendre sur un service qui normalement pour les TZR est basé sur le volontariat, mais qui m'avait été imposé par elle (Par la suite, la principale m'a dit qu'elle ne m'avait rien imposé, qu'elle avait trouvé qu'il était seulement plus intéressant pour moi d'aller au CDI putôt que de passer 18 heures en salle des profs, chose qu'en tant que titulaire (en attendant une suppléance), je n'étais pas obligée de faire. Mais le fait d'"être plus intéressant pour moi", elle ne me l'a jamais dit en début d'année. Au moins en salle des profs, j'aurais pu travailler sur mon agrégation, tout en rendant de menus services aux élèves qui frappaient à la porte disant "Mme ou M. Untel m'a demandé de venir chercher des dictionnaires, ... les livres de français (ils ont trois livres de français, un chez eux et deux qui restent à la salle des profs).
Suite à cette dissenssion, je fais savoir à la principale que si elle me fait des reproches sur un service qui n'est pas le mien, je peux, selon le statut des TZR rentrer chez moi, ce que je fais...
Immédiatement rapport envoyé au rectorat sur mon "absence".
Alors que un mois et demi plus tard et alors que je suis revenue quand même au CDI depuis longtemps (la principale m'avait dit que finalement elle se renseignerait si ce que je disais, concernant le service des TZR basé sur le volontairat au CDI, était vrai, et elle en a eu confirmation en ce début d'année). Mais le rapport sur mon absence (rattrapée en juin par prudence et largement et plus que rattrapée), la machine administrative, une fois emballée, suit son cours, et une convocation à la médecine du rectorat arrive pour le début des vacances d'été.... Je n'y vais pas avec la bénédiction de mon syndicat.. Mais j'aurais quand-même plus de 100 Euros enlevés pour cet 'Convocation valant ordre de mission non honorée" et plus de 100 Euros supplémentaires enlevés pour la convocation du 28 août alors que le syndicat m'avait spécifié que je serais sans doute reconvoquée après la rentrée.
Je spécifie que je n'étais pas en congé-maladie pendant les grandes vacances et je ne le suis toujours pas -je suis Titulaire en Zone de Remplacement d'allemand, en train de préparer mes cours en vue d'éventuels remplacements en Collège et en Lycée et en train de continuer à me former dans ma matière, active dans les comités de jumelage avec l'Allemagne, pour la promotion de ma matière, ce qui est le travail normal des titularies remplaçants dénomés maintenant TZR quand ils n'ont pas de remplacements.
Comme j'avais rattrapé en juin mes 5 journées (dont deux partielles) d'absences de Mai, -
nos profs d'université rattrappent bien entre l'écrit et l'oral c'est à dire en Avril Mai des cours que des étudiants ont fait reporter en Décembre, pour ne pas venir (et faire des centaines de kilomètres) pour que les étudants n'aient pas un seul cours dans la journée, quand d'autres profs sont absents pour colloques, par exemple -
comme j'avais rattrapé en juin mes absences de mai et travaillé en juin, je m'étais occupée d'un jumelage de primaire en juin, comme interprète, et j'avais bien cru ne plus jamais entendre parler de cette histoire de paperboard, d'autant plus que j'avais été voir un médecin spécialiste une semaine après l'évènement du paperboard, médecin qui m'avait fait un certificat m'autorisant à reprendre mes activités dans le domaine scolaire, et recopié en partie par la généraliste, certificat que j'ai donné en mains propres à la principale.
Après avoir été informé de la convocation à la médecine du rectorat fin juin, ce médecin spécialiste avait envoyé un fax à la médecine du rectorat, demandant d'enlever la convocation là-bas. Mais après discussion avec le médecin du rectorat il n'a pas pu, comme par le passé (il y trois ans environ) imposer sa volonté, alors qu'il est spécialiste, et qu'il n'y a aucun spécialiste de ce domaine qui travaille à la médecine du rectorat. Donc, l'avis de mon médecin spécialiste, que je vais voir parce que la médecine du rectorat qui m'avait mise en congé en septembre 2002
[-pour que l'on mette une MA pistonnée par l'inspecteur ou le proviseur pour le 3ème concours ou l'examen professionnel, à ma place,, ma place de certifiée, je suis devenue depuis bi-admissible -, je me demande d'ailleurs s'il n'y a pas quelque chose d'analogue cette fois-ci, car un de mes anciens élèves (je l'ai eu en première ou en terminale) a eu son Master 1 d'allemand, et se renseigne pour savoir où il y a des postes d'allemand de libre dans la petite région, il voulait déjà avoir un poste d'auxiliaire pour cette année, mais il a été pris comme surveillant, et il essaie aussi d'avoir le poste de mon mari, qui veut travailler jusqu'à 65 ans pour avoir toutes ses années pour la retraite, et mon mari commence à être harcelé par le remplaçant de son directeur qui est malade, on a apparemment l'intention de le faire partir plus vite, sour la pression des parents de cet ancien élève qui passe actuellement son CAPES avec le CNED et aussi peut-être son agrégation???!!!! Et est moins bon en allemand que moi, puisque l'an dernier encore, je lui corrigeais es fautes quand il m'adressait la parole en allemand à l'université. Il était dans la classe de Terminale STT où j'ai eu ma mauvaise inspection... Comme il a fait un Master 1 de linguistique, il risque encore de passer devant moi, à l'agrégation,tout en étant moins bon en allemand et d'avoir une meilleure note que moi en linguistique alors qu'il n'y connait presque rien et qu'il découvrait la linguistique l'an dernier. Je le sais parce que j'étais en cours avec lui et il ne comprenait pas grand chose.]
parce que en 2003 la médecine m'avait obligée à voir un psy, pour pouvoir reprendre le travail, ce qui fut fait dès l'année suivante après avoir attendu longtemps les convocations chez le médecin assermenté, parce que je sais pertinemment, que quand la médecine du rectorat vous met en congé, le médecin assermenté et le comité médical départemental ne sont pas obligé de vous donner le congé longue maladie qui vous permettra d"avoir votre salaire complet, et que vous pouvez ne jamais avoir le remboursement du demi-traitement que l'on ne vous paie plus au bout de trois moi... alors, si cela vous arrive un jour, ne signez surtout jamais les demandes de congé que vous présente la médecine du rectorat sous menace de sanctions administratives si vous ne signez pas.
Tout ceci parce que j'avais comencé l'année sur les chapeaux de roue.
C'est pour cela que je ne suis pas allée les voir.
Donc, en résumé, n'étant pas coupable d'avoir été absente puisque :
A- J'avais rattrapé mes heures non faites,
B- D'après le décret de 1980 sur le statut des TZR, non modifié jusqu'alors, le service que j'effectuais était facultatif puique basé sur le volontariat.
je ne devais pas être convoquée à la médecine du rectorat pour justifier de mon absence, d'autant plus que durant l'année scolaire, j'avais effectué beaucoup plus que les 18 heures requises.
en juin comme je n'allais plus à l'université, j'ai travaillé tous les jours de la semaine pour rattraper.
Par ailleurs,
A. Ayant téléphoné tout de suite après l'affaire du paperboard chez un médecin spécialiste qui ne pouvait me recevoir qu'une semaine plus tard,
B. Ayant consulté chez lui, une semaine après l'affaire du paperboard, et ayant eu sa permission de retourner au collège, et d'y poursuivre des activités, les médecins n'étant pas très au courant du statut des TZR,
C. Ayant été sur ses conseils montrer son certificat au généraliste qui m'en a recopié une partie pour que le certificat n'émane pas d'un spécialiste dont la spécialité est mal vue par les administrations. Malheureusement celle-ci a recopié que je pouvais reprendre "à condition de ne subir ni stress ni provocations", ces quatre derniers mots étant en trop, parce que c'est peut-être la source de ma convocation à la médecine du rectorat, alors qu'il ne s'agissait pas de stress dus aux élèves, mais de stress dus à l'administrations et de provocations de l'administration. J'ai remis ce certificat en mains propres, dans les mains de la principale.
Donc, le médecin spécialiste ayant permis ma reprise déjà une semaine et demi après l'évènement du paperboard (il y a eu avant ma reprise le lundi de Pentecôte où le collège était fermé parce qu'on avait rattrapé cette journée avant). Comme je ne travaillais que trois jours par semaine au collège et qu'il y avait eu des jours fériés, je n'avais manqué que même pas cinq jours, que j'ai rattrappé.
Donc, comme à la fois, mon absence sur un service que je précise facultatif et que je n'avais pas accepté de plein gré, avait été justifiée, et que le médecin spécialiste avait permis ma reprise, je ne devais pas être convoquée à la médecine du rectorat. Il fallait seulement demander à mon administration, dont je devais subir ni stress ni provocation, d'être plus gentille avec moi. CQFD
Or, on a fait exactement le contraire : colères réitérées de la principale à la rentrée (auxquelles j'ai répondu calmement), menaces de sanctions sur salaires exécutées en quatre exemplaires pour un même fait, sur une somme qui dépasse largement le trentième de salaire (un trentième de salaire étant 80 Euros, on m'en a retiré presque 110 par convocation à la médecine du rectorat, 110 Euros cela ferait quand même 700 francs, si on avait encore les francs... Cela veut dire que l'on m'a enlevé 2800 francs pour "service non faits" pour quatre demi-heure de consultations où je n'ai pas été, qui en fait n'auraient du être qu'une demi-heure en tout. Et si j'y étais allée la première fois, je serais actuellement en congé maladie, chose que je voulais absolument éviter.
Alors que l'on ne vienne pas me dire que je présenterais mal, que je n'aurais pas de beaux habits, puisque l'on m'enlève l'argent avec lequel je pourrais m'acheter de beaux habits....
Que la médecine du rectorat ne vienne pas me chanter que je devrais couper mes cheveux -qui comparés à maintenant étaient très courts à l'époque, ce qui me donnait une tête affreuse - et que je devais les teindre en auburn, ma couleur d'origine - elle avait du me confondre avec quelqu'un d'autre, car mes cheveux qui étaient blonds quand j'étais petite, n'ont jamais été autres que châtain doré, une jolie couleur, et légèrement grisonnants maintenant que j'approche des soixante ans. J'ai eu mon premier cheveu gris à quarante ans, mais il a eu du mal à faire des jeunes.
N'oubliez pas que alors que je ne devais subir ni stress ni provocations de l'adminstration, l'administration m'a envoyé de nombreuses lettres recommandées dont le ton était de plus en plus menaçant, la première convocation faisant seulement était de "problèmes de santé". La deuxième covocation pendant les vacances me menaçant de retrait de salaire (ce qui fut fait, même pour la première convocation pendant les vacances), la troisième me menaçant de retrait de salaire et de sanction administratives (je ne sais pas ce qui a été mis, car je n'ai jamais été cherché la suivante, rien que la troisième lettre qui m'a été envoyée deux fois en recommandé, et le bordereau du facteur (j'étais en train de me former dans ma matière de prédilection l'allemand, dans un vénérable établissement, quand le bordereau est arrivé), m'ont fait pâlir, on fait que j'ai senti du coton dans ma tête et que j'ai failli m'écrouler, mais ceci n'est pas une maladie, c'est un réaction à un stress et à une provocation) .Donc, pas besoin de me re-convoquer à la médecine du rectorat parce que j'ai pâli à la réception de leur lettre et à la réception du bordereau de recommandé. Depuis mon mari ne me donne plus les bordereau de recommandé et ne va plus chercher les lettres, d'autant plus que la partie expéditeur n'est même pas remplie sur les bordereaux annonçant des recommandés, que cela vienne du rectorat ou de mon collège.
Tout ceci pour vous dire que la convocation à la médecine du rectorat n'avait pas lieu d'être.
Que consécutivement, les retraits de salaire n'avaient pas lieur d'être.
Que consécutivement, les sanctions administratives n'avaient pas lieu d'être données.
Je constate en relisant cet article que certains mots que j'avais écrits sont retirés pour rendre mes phrases incompréhensibles et me faire passer pour "ayant des propos incohérents". N'oubliez pas que pour vous introduire dans un espace qui n'est pas le vôtre, sans autorisation, vous pouvez encourir jusqu'à cinq ans de prison.
Et maintenant ils vont peut-être me convoquer parce que je dis qu'il y a des intrus sur mon i-grimoire,
Et maintenant ils vont peut-être me convoquer parce que j'ai failli tomber dans les pommes quand j'ai reçu leur recommandé à eux la médecine du rectorat, etc....
Peut-être que je suis sujet d'expérimentation, que l'on essaie de voir quel effet font des lettres recommandées et des sanctions administratives sur une personne que la médecine du rectorat a déjà mis par le passer "en dépression" comme dit le rectorat.
Car "mettre en dépression" est une expression qui n'est pas dénuée de sens, même si c"est du mauvais français utilisé par un de mes collègues agrégés.
"Mettre en dépression" = "Faire faire une dépression". L'adminsitration scolaire et la médecine du rectorat se sont fait une spécialité expérimentale : "Mettre les profs en dépression", c'est à dire "leur faire faire des dépressions", c'est ce qu'ils font faire expérimentalement aux profs, même à ceux qui ont beaucoup d'autorité, car on ne m'a reproché aucun problème d'autorité l'an dernier; simplement sur délit de faire des expositions sur l'Europe qui ne plaisent pas aux anti-européens qui sont légions dans la région (je me surprends, quelle rime!
Il y a beaucoup de profs qui sont beaucoup plus déprimés que moi, rien qu'à voir la tête qu'ils ont quand ils sortent de cours et arrivent dans la salle des profs. Si la medecine du rectorat veut du travail, remettez moi en vigie dans la salle des profs, je ferai des signalements sur tous ceux qui paraissent fatigués en sortant de cours!!!!!!!
Je finis par me demander si, pour échapper à la médecine du rectorat, je ne devais pas demander ma mutation pour une autre académie (où y-a-t-il des académies sans médecine du rectorat???), mais c'est ici
1) L'académie où je suis née,
2) L'académie dans laquelle j'ai fait mes études primaires, secondaires et universitaires,
3) L'académie dans laquelle j'ai passé et réussi mon CAPES dans les années 70.
4) L'académie dans laquelle j'ai fait mon stage de CAPES (qui n'a duré qu'une seule année, j'étais bonne, je n'ai pas redoublé le stage que la moitié des stagiaires redoublaient),
5) L'académie dans laquelle j'ai toujours enseigné
6) L'académie où j'ai enseigné en collège, en lycée, en BTS,
7) L'académie qui m'a convoqée huit années de suite pour les choix de sujets de BTS,
8) L'académie où il y a encore six ans (avant l'inspection du 22 mars 2002, la cinquième de ma carrière de certifiée), j'étais une prof d'allemand bien vue et reconnue,
9) L'académie dans laquelle j'ai toujours passé l'agrégation,
10) L'académie dans laquelle j'ai eu mes deux admissiblités à l'agrégation,
11) L'académie dans laquelle a presque toujours travaillé mon mari (comme prof d'allemand),
12) L'académie dans laquelle nous avons acheté notre maison au prix d'au moins vingt ans de labeur,
13) L'académie dans laquelle je milite dans plusieurs comités de jumelage avec l'Allemagne,
et je devrais maintenant à cause de la principale d'un petit collège du bout de l'académie et de la toute puissante médecine du rectorat m'expatrier, pour échapper à la médecine du rectorat??????????????????
Ils ont été même jusqu'à prétendre que je n'avais pas de voix, ou pas une belle voix, et que je savais pas faire d'arpèges à la guitare, alors si vous trouvez quelque part mes enregistrements sur le web, vous m'en direz des nouvelles.
domino
13:55 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : université, TZR, enseignement, documentation
BO changeant
La dernière fois que j'ai lu le BO de 2003 concernant les conditions pour passer l' agrégation dont je parle dans une note précédente,avant d'écrire cette note, il était écrit "Pour passer les concours d'enseignement il n'y a plus aucune limite d'âge". Et suivent deux paragraphes de restriction qui ne concernent ni le CAPES, ni l'agrégation.
Puis, alors que je venais d'écrire mon article, et que je cherchais les BO correspondant pour les mettre en lien, je me suis aperçue qu' une limite d'âge à 65 ans a été remise dans le BO correspondant.
Alors conservez bien vos versions "papier" qui sont les seules à faire foi. Celle de 2003, plus récente, pas celle de 2002 qui venait d'être recopiée sur la version électronique de 2003 par vraisemblablement un/une pirate.
Et Evariste qui était un bloggueur bien connu de Haut et Fort dont le nom se retrouve sur une liste d'admissible à l'agrégation d'allemand comme deuxième prénom féminin? Alors que sur mon i-grimoire une personne mal intentionnée se fait justement passer pour lui? Oeuvre d'un pirate? Plus toutes les bizzareries relevées sur cette liste, et un internaute est venu me confirmer que oui, vraiment, cette liste était bizarre.
Y-aurait-il eu intrusion d'un pirate sur le site du ministère et transformation de la liste à la fois du ministère et de Publinet?
(Je vois d'ici que tous les lycées et collèges vont devoir rendre la version papier du BO en question, mais la lettre qu'ils recevront m'émanera pas du ministère, mais du pirate...qui aura écrit avec en-tête du ministère).
(C'est peut-être aussi un pirate qui m'a envoyé les convocations à la médecine du rectorat, je viens de m'apercevoir en recevant mon bulletin de salaire avec un mois de retard sur le salaire, qu'on m'avait compté quatre journées non faites, pour quatre convocations à la médecine du rectorat non honorées (donc défalqué de mon salaire plus de 100 Euros pour chacune des convocations non honorées qui était en fait toujours la même convocation reportée, y compris pour les deux convocations des grandes vacances (c'est à dire des congés annuels) : 6 juillet (alors qu'en collège l'année scolaire se terminait le 4 juillet à midi et que mon syndicat m'avait dit que je ne devais pas aller à cette convocation et que je serais reconvoquée après la rentrée) et le 28 août, également pendant les vacances, puisque la rentrée des collèges n'était que le 3 septembre. Dans cette histoire, due à la déclaration que j'ai faite de disparition d'un rouleau de paperboard,puisque tout est parti de là, j'ai perdu plus de 400 Euros : peut-être que cela nous fera passer dans une catégorie d'impôts inférieure, et dans ce cas là, nous serons gagnant, donc déjà quatre sanctions pour avoir signalé honnêtement la disparition d'un paperboard.... j'espère que cela s'arrêtera là. J'ai été sanctionnée aussi de ces 400 Euros parce que j'ai refusé d'aller prendre un congé maladie à la médecine du rectorat).
Ce n'est par ailleurs pas la première fois que je constate des modifications sur les BO d'Internet et par exemple, j'ai constaté un jour, alors que j'en avait besoin, que précisément l'annexe 4 qui concerne l'agrégation et donne des précisions importantes sur les diplômes requis et sur le fait qu'il ne fallait pas absolument être inscrit en 5ème année universitaire pour passer l'agrégation (la cinquième année, le Master 2, est d'ailleurs une filière sélective à laquelle on n'accède pas forcément quand on a la première année de Master ou la Maîtrise, alors que tout candidat ayant le CAPES complet (avec le stage dénommé à notre époque stage de CPR qui était couronné par le CAPES pratique), le Master 1 ou la Maîtrise peut s'inscrire en agrégation. et la réussir.
Un pirate avait fait disparaître l'annexe de la version électronique parce qu'il savait que je n'étais pas inscrite en 5ème année. Et pour prouver que je n'aurais pas rempli les conditions, qu'en réalité je remplissais.
La piraterie (ou hacking) est punie de 5 ans de prison (en particulier le fait de faire des modifications sur un site qui n'est pas le vôtre), et de je ne sais plus de combien d'Euros d'amende.
Mais vous allez rire le code pénal (Article 323-5 §4 stipule que la piraterie doit être également punie par "la fermeture pour une durée de cinq ans ou plus des établissement ou de un ou plusieurs des établissements de l'entreprise ayant servi à commettre les faits incirminés".
Si l'on considère que l'Education Nationale est une entreprise publique qui sert à dispenser des cours, si c'est une personne du rectorat, ou du ministère qui a commis le délit (même un CDD engagé pour les périodes de pointe), alors exit le rectorat, exit le ministère pour une durée de quelques années.... Pendant quelques années plus de ministre à réformes, ouais!!!!
Et si un élève d'un collège, d'un lycée ou d'une université pirate à partir de l'un de ces établissement, fermeture du lycée, du collège, de l'université en question, pour plusieurs années, ouais!!!! Que les grévistes vont être contents (mais pas moi!).
Bon, moi, je ne pirate pas, je ne m'y connais pas en piratage. J'évite d'acheter les revues que l'on trouve dans les kiosques, dont le titre est Hacker, Hacking ou Pirates, même si elles se targuent d'être des revues de lutte contre le piratage.
domino
Je suis libre d'exprimer mes opinions, regardez ce que j'ai écrit ici en marge de mon i-grimoire : un article de la déclaration universelle des droits de l'homme. Personne ne sachant qui je suis.
12:45 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, agrégation, informatique
lundi, 26 novembre 2007
Listes d'attente...
Dans le temps dans certains concours d'enseignement, il y avait des listes complémentaires derrière la liste des reçus, pour compenser les désistements dus en majorité à ceux qui réussissaient deux concours et en choisissaient un, et parfois aussi à ceux qui ne remplissaient pas les conditions pour concourir.
Un jour où j'ai passé l'oral de l'agrégation interne, il y avait quatres absents parmi les admissibles, c'est à dire quatre désistements. Et ces quatre admissibles n'ont pas été remplacés. C'est à dire que par exemple au lieu d'y avoir 68 admissibles, il n'y en avait plus que 64. Mais on n'a pas appelé les 4 plus haut placés de la liste des non-admissibles pour les remplacer et leur donner leur chance, parce qu'il n'y avait pas de liste complémentaire. Ni d'admissibilité, ni d'admission.
Pourtant une admissibilité compte pour beacoup dans la carrière, elle compte pour la bi-admissibilité d'abord (si vous êtes certifié deux admissibilités vous donnent le titre de bi-admissible (apprécié par les professeurs d'université), et ce titre de bi-admissible vous amène un petit plus dans le salaire (cela vous fait avancer d'environ de deux ans dans les indices de salaire). Les admissiblilités numéro 3 à 5 comptaient jadis tout comme la bi-admissibilité dans le barême pour la hors-classe des certifiés, mais cela s'est un peu perdu actuellement. Avec des barêmes de hors-classe qui sont différents selon les académies. Dans l'ancien système, la maîtrise comptait pour 5 points, la bi-admissibilité pour 60 poins et les admissiblités numéros 3, 4 et 5 pour 5 points chacune. Ce qui ne semble plus être le cas actuellement.
domino
23:05 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, concours