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vendredi, 09 août 2013

CNED : attaqué pour rien?

Du journal de Sottie (roman-théatre)

Hier soir, je tente de me connecter au CNED : Pas moyen! Le site est en mise à jour c'est écrit avec de jolies couleurs roses, jaunes, bleues...

Revenez dans quelques minutes... Quelques minutes plus tard, je reviens... toujours rien, jolie mise à jour... je reviens une heure plus tard... rien... deux heures plus tard... rien...

Sur le moteur de recherche, je cherche  à cliquer ailleurs, au cas où ce serait un faux site, d'ailleurs l'académie en ligne fonctionne encore. ... c'est un site où le CNED distribue gratuitement en format PDF quelques cours supplémentaires de tous niveaux et toutes classes gratuitement, on peut même écouter les bandes-sons des cours de langue sur un petit magnétophone intégré au site.

Bon, je tombe sur deux articles de grands quotidiens : le CNED attaqué, il n'a pas fait sa révolution informatique, et pour cause  il n'y a pas de paiement en ligne, ce serait la cause principale pour laquelle le CNED serait primo, en déficit, et aurait besoin de toujours plus d'aide fianancière de l'éduc nat, ce qui se chiffre en millions d'euros, pardon et le petit salaire de notre collègue qui a le malheure d'enseigner un an l'allemand en SEGPA et est attaquée à cause de cela régulièrement par le rectorat qui l'a même menacée de suspendre son malheureux petite salaire (parce qu'il y a plus d'un an et demi des éèves à la fin d'un cours non chahuté (il y avait juste un élève de type  bagarreur, grand et musclé,  sur les bords qui avait voulu changer de place trois fois... et à la fin de l'heure ils ont jeté de l'encre bleue effaçable sur les murs, cette encre avec certains produits s'enlève d'un coup de chiffon, on ne peut pas vraiment dire qu'il s'agisse de vandalisme). Ceci parce qu'elle refuse de se mettre en congé maladie, mais on se demande pourquoi on lui donne toujours des remplacements dans des collèges difficiles ou avec des classes difficiles de collèges moyens, alors que c'est une ancienne prof de lycée, qui de plus a un haut niveau dans sa matière. Pourquoi on veut supprimer son petit salaire de misère en sachant qu'on tique pour lui payer ses heures supplémentaires et ses frais de déplacement, et ses indemnités de déplacement (relatives au kilométrage parcouru)... en trouvant que c'est de grosses sommes, mais par ailleurs on donne des sommes exhorbitantes à l'enseignement par corresondance, qui lui même demande des sommes faramineuses en droit d'inscription. Les droits d'inscription des professeurs qui préparent des concours ne sont plus remboursés par l'éduc nat et ils ont quadruplé en dix ans, alors que le nombre d'élèves a diminué de moité, devant les sommes exhorbitantes demandés des profs préparant les concours se paient un cours à plusieurs, mais il n'y a que l'inscrit réel qui participe au forum et les copies sont envoyées en son nom, si bien qu'il y a un tas de candidats sous-maris du CNED, pasagers clandestins qu ne peuvent se payer des droits complets.

Imaginez un prof qui a 2000 E de salaire en milieu de carrière et qui doivent payer pour une seule prépararation 700 €. S'ils s'inscrit à la fois à 'interne et à l'externe, cela lui fait 1400 € à payer sur son salaire de 2000 €. S'il est marié et chef de famille le mois où il s'isncrra au CNED, sa famille devra faire ceinture.

Sur le forum, certains ont râlé. L'année dernière, on voyait régulièrement les professeurs intervenir sur le forum électronique (que le CNED n'est pas fait sa mutation à l'informatique est totalement faux, dans certaines préparations (C2i 2ème niveau par exemple), les cours papiers n'existent plus...)

En agrégation externe d' allemand, pour l'année scolaire 2012-1013, alors que l'année précédente, il y avait un calendrier des professeurs intervenant sur le forum, et que ceux-ci venaient volontiers en dehors de leur calendrier, on n'a vu cette année que la professeure de gfammaire, qui venait très régulièrement apporter des informations, les autres professeurs, peut-être pas assez paysés, n'intervenant plus. Il n'y avait plus de calendrier d'intervention non plus. Les candidats apportaient leur expérince aux autres, quand ils en avaint une, mais certains nouveaux dans l'agrégation étaient perdus : Quelles épreuves orales exactement? Comment se déroulent-elles? Comment sont réparties les épreuves doubles (thème oral et agir en fonctionnaire, par exemple..)? Quels enres de  livres sont proposés à la consultation dans  la salle de préparation? Aucun prof ne répondait, heureusement que l'une de nous qui avait l'expérience des deux années précédentes, mais candidate complètement malheureuse cette année, inscrite tarivement au CNED,  était là et expliquait le déroulement des épreuves à la place des professeurs.

Bref, ceci pour vous dire que le CNED a réalisé sa révolution informatique :

Certes, il n'y a pas de paiement en ligne, mais est-ce souhaitable, certains sommes ne peuvent-elles pas alors être détournées par des hackers?

Les universités elle-même ne font pas de paiement par ligne, on télécharge son dosser, ce qui évite la file d'attente à l'université, et on l'envoie par la poste avec le paiment. Inconvénient, le dossier n'indique que l'année d'inscription qui fait suite à celle dans laquelle vous étiez inscrite ou votre redoublement, mais si vous voulez prendre d'autres inscriptions ou changer de matière, il faut faire le déplacement. Pendant le mois de vacances unviersitaire, quand l'adminsitration est en vacances, les e-mails restent complètement sourds à vos appels, le téléphone n'est disponible qu'en juillet, quand vous êtes en stage linguistique à 'lé'tranger. Pas moyen alors de changer les inscriptions ou d'en ajouter. Un nouveau moyen a été envisagé cependant, vous pouvez ajouter dans une case spéciale, une année d'étude,mais dans ce cas, il faut recalculer les droits unversitaires vous-même et gare à vous si le paiment ne correspond pas, on vous renverra votre dossier jusqu'à ce que vous ayez trouvé la bonne somme.

Bref, je reviens au CNED...

Pas de paiements en ligne, mais un service en ligne, même s'il est moins performant pour certaines matières que précedemment.

Voici ce qu'il y a en moins qu'il y a quelques années :

-  Ressources sonores : dépassées par le temps : le cours de Trakl d'il y a bien longtemps est toujours en ligne, mais il n'est plus du programme et de nouvelles ressources sonores n'ont pas été mises en ligne depuis deux ans.

- Le calendrier d'intervention des professeurs (sur le forum écrit, on pose des questions et le professeur répond tout de suite) : Certes, on n'est pas toujours à la maison ce jour-là surtout quand on travaille le mercredi, car c'est souvent le mercredi le jour d'intervention, mais le calendrier a disparu lors de la dernière année universitaire.

- Le forum n'était pas très suivi cette année, en agrèg externe, sauf au moment de l'oral où quelques candidates, mais c'étaient toujous les mêmes, on en dénombrait environ cinq, échangeaient leurs impressions. Une candidate en cours d'année a donné son e-mail et a apparemment fondé un forum par e-mail à part. Ce qui a éloigné les candidats du forum officiel. Et on n'a plus profité de leurs interventions.

- Les ressources web : il y a toujours un tableau général pour les ressources d'allemand commun à plusieurs concours, mais pas de ressources webs sur les dfférentes questions de programme, comme c'était le cas y a quelques années où des liens étaient proposés sur les sites sur lesquels on pouvait trouver de la documantation  concernant le programme. Par exemple si vous aviez une question sur Schiller, une page web répertorait tout ce qu'on pouvait trouver d'intéressant sur Schiller et l'oeuvre au programme et il fallait cliquer sur quelques liens et on aboutissait directement aux sites, plus besoin de chercher,de plus les sites ayant été vus par les professeurs donnaient en principe de bonnes informations.

- Ce qui apparemment fonctionne toujours : le forum bien que peu fréquenté par rapport aux années précédentes, et des professeurs n'étant pas intervenus, copies en ligne, les ressources générales, les corrigés et cours à télécharger.

Seulement voilà, par souci d'économie, les ressources papier diminuent au profit des ressources web : avantage, certains cours sont donnés en avant-première sur le web, avant que la poste n'ait eu le temps de les acheminer, mais d'autres cours ne sont plus du tout sur papier, en particulier tous les corrigés qui sont uniquement sur le web. Personellement (et pas "perso" comme disent maintemant beaucoup de personnes sur le web, dont des candidats à l'agrégation), je préfère lire sur du papier qui est moins fatiguant pour les yeux et que je peux annoter, que sur l'écrant, alors on dépense encore de l'argent pour imprimer les cours donés par web, car l'encre et le papier coûtent cher, surout l'encre et cela augmente encore la dépense faite par l'étudiant ou le candidat à un concours. Pour préparer un seul concours par le CNED, il faut bien préparer un budget de mille euros.

L'université de mon académie ne prépare plus à l'agrégation d'allemand depuis plusieurs années. Faute de combattants, les droits sont beaucoup plus légers, mais pour ceux qui habitent loin,il faut quand même payer le train. Avec les cartes mensuelles imaginées par la SNCF, cela réduie un peu le coût, mais de chez moi il faut compter 140 € de train par mois pour aller à grande métropole régionale où sont l- ou plutôt où étaient -es cours.

L'agrégation demande donc un grand investissement fincancier, en plus d'un investissement en temps.

A moins de préparer seul, avec le web, on trouve quand même des ressources sur internet en tapant le nomdes oeuvres au programme par exemple, et quand on a travaillé pendant des années la traduction à l'université, on arrive à avoir des notes honorables. Cette année, j'ai râté lécrit de l'interne à 1/4 de pont près, sans être inscrite nulle part pour la préparation. Je me suis inscrite pour la prépartion d''externe ensuite, quand j'ai vu que je n'étais pas admissible à l'interne.

NB  Les inscriptions à l'université et au CNED, n'ont rien à voir avec l'incription au concours lui-même. En principe les candidats libres peuvent être inscrits et composer et réussir, même si on se demande parfois si on ne favorise pas les candidats qui ont travaillé das une préparation par rapport aux inconnus ou aux anciens connus qui ne sont plus inscrits nulle part.

Mais bref, il semblerait que au niveau de la préparation à l'agrégation d'allemand, le CNED a eu ses belles heures de gloire, les cours paoier des années 90 étaient excellents (apparemment beaucoup de ces cours ont disparu de chez moi, je ne sais comment). Bien lisible, tous les paragraphes titrés clairement et soulignés (actuellement on a parfois des cours sans aucun soulignement d'un bout à l'autre surtout en littérature).

A propos de soulignement, on m'a dit dans ma jeunesse que l'on devait souligner le titre des oeuvres, en allemand comme en français, or certains professeurs on dit qu'on ne les soulignait qu'en français, d'aures ont dit pas du tout (je parle de professeurs de  l'univesité). Or ce soulignement remplace l'italique de l'écriture imprimée. Est-ce que quand les copies arriven au ministère les pesonnes qui vérifient les copies ne considèrent pas ces soulignemetns comme des signes distintifs entraianant faute d'éliminer à tor le canddat une mauvaise note, alors que ce seraient au contraire les candidats qui ne soulignent pas les tires des oeuvres qui devaient être sanctionnés au tarif "faute d'orthographe". Bon, je sais que ce blog est bourré de fautes de frappe, mais ce n'est pas une copie d'agrégation, et le problème est que les fautes se forment après coup, apparemment un logicile espion fait tomber des lettres, car ceci n'arrive pas sur mes autres sites ou forums.

Bon, le CNED avait bien commencé sa révolution informatique, il y a sept ou huit ans... mais apparemment, une dégradation s'est produite ces derniers temps alors que les tarifs augmentaient de plus en plus. Il y a sept ou huit ans, il y avait des ressources webs sur le progamme avec des vrais liens, on a vu apparaître des cours audio avec la vois des professeurs... mais plus rien de tout cela.

Apparemment les journalistes qui attaquent le CNED ne savent pas de quoi ils parlent :

 1) Les professeurs qui donennt les cours des concours enseignants ne sont pas sur des postes de réadaptation, mais sont des professeurs en poste dans des universités qui donnent les cours au CNED en plus de leur travail.

2) Le CNED propose de nombreuses ressources informatiques et vers 2004, il était à l'avance sur les universités.

Depuis les universités qui proposent de nombreuses ressources par internet  ont doublé le CNED: Pool de langues vivantes, avec de nombreuses ressources web consultables à la maison, en plus des ressources consultables sur place. Pool de ressources internet concernant le C2i, des coours d'informatique, des cours pour rédiger les mémoires et les thèses, pour leur présentation, en plus des interventions sur place auxquels les étudiants peuvent s'inscrire. Consultation en ligne des catalogues de la bibliothèque universitare Tout ceci est offert gratuitement en plus de l'iscription. Cours in vivo, pour une somme beaucoup plus modique que le CNED.

Malheureusement le CNED a baissé ses perfomances en ce qui concerne certaines préparations d'agrégation. Mais par ailleurs, ils poposent des cours de soutien de secondaire gratuitement sur Académie en ligne. Alors qu'au CNED, les tarifs du supérieur ont augmenté très fort durant plusieurs années. Et pourtant, le CNED utilise moins de papier pour imprimer ses cours, vu que beaucoup de cours sont mainenant en ligne et uniquement en ligne et que l'étudiant doit les imprimer lui-même.

On finit par se demander si l'informatique ne revient pas plus cher qu'auparavant : le coût de l'espace informatique, du salaire des techniciens chargés de  construire le site et de le gérer? Les salaires des professeurs qui doivent plus de services qu'avant. Outre la rédaction des cours et la correction des copies, ils doivent aussi assurer une veille du forum sur internet, ajouter des ressources sur l'espace informatique... peut-être qu'en conséquence le CNED doit les payer davantage? Est-ce que la révolution informatique ne coûte pas plus cher au CNED que l'ancienne formule?  Le CNED doit-il payer aussi son espace informatique

Les grands journaux disent que le CNED n'a pas su faire sa reconversion informatique et que c'est consécutivement à cela qu'il a des problèmes financiers, est-ce qu'au contraire, il n'aurait pas des problèmes financiers à cause de la révolution informatique ?

Vu les sommes faramineuses que reçoit le CNED de la part du ministère de l'éducation natonale (des millions, alors qu'il n'y a pas autant d'élèves du secondarie scolairsés au CNED que cela..).. comparé aux salaires des professeurs dont on veut suspendre le salaire des meilleurs éléments (tout en continuant leur travail?) et les faire travailler bénévolement? 

A  moins qu'il y ait des détournements de fonds? Donc, une inspection en règle des finances du CNED, sans intervention de l'éduc nat, serait la bienvenue... Qui se sucre ainsi pour que l'on dépense des millions? Alors que les droits d'incriptions sont exhorbitants et dépassent si on calcule le total des droits d'insciption  des candidats inscrits le coût des formations..?

A moins que ce soit les locaux et leur entretien qui coûtent cher? Un siège au futuroscope ne doit pas être très bon marché... peut-être que des locaux plus fonctionnels, moins grands, mais propres (j'ai sonné un jour à la porte du CNED de Lille, une très vieille bâtisse, aux murs très hauts qui doit coûter des fortunes sur le plan du ménage... Un peu le style de l'ancien CRDP), des locaux dans des sites moins prestigieux coûteraient moins cher.

Peut-être que les auttres préparations de concours ont subi moins de diminutions de ressources que les préparations d'agrégation d'allemand?

Sottie

________________

Pour Sottie, mon personnage de théâtre,

domino..

 

jeudi, 08 août 2013

Professeurs : Corvéables à merci pendant toutes les vacances scolaires.

Du journal de Dummie :

Voici des extraits d'une lettre qu'un recteur d'académie a écrit à une collègue convoquée penda)nt les vacances scolaires, soit le 8 juillet alors que l'année en collège se terminait le 5 juillet (elle a travailé toute l'année en collège, et non en lycée) :

"S'agissant des congés annuels, la réglementation fixe à 35 heures hebdomadaires et à 5 semaines de congés payé la durée légale du travail. Par déraogation afférente à leur statut, les personnels enseignants seront libérés de cours pendant les vacances scolaires, mais doivent parfaire leur s cnnaissances et s'informer sur les programmes officiels.

Aussi, contrairement à vos allégations, les congés dont vous bénéficiez ne sont pas le résultat d'une épargne constituée sur les dix mois précédents. *

Il est évident que cette collègue qui a participé durant tout le mois de juillet (à partir du 7 juillet) à un stage linguistique prévu de longue date, dont le test de niveau d'entrée se déroulait précisément à l'heure de la convocation à 900 km de l'endroit où elle était convoquée par le rectorat, s'est formée linguistiquement pendant les vacances, même si c'est à une autre langue que celle qu'elle enseigne, l'observation de la pédagoie des professeurs de l'autre pays a pu lui donner des idées sur la plan pédagogique. Même si ele l'a fait pour elle-même et pour son plaisir.

Par ailleurs, elle a traversé deux fois l'Allemagne pour aller à cet endroit par de nombreux petits trains la plupart régionaux, ce qui lui a permis de parfaire la connaissance du pays dont elle enseingne la llangue et a fait une excursion d'une journée (avec visite d'un monument construit par Louis Ier de Bavière, ce qui fait référence à a nouvelle période de civilisation de l'agrégation.

En plus, même dans le cours d'été d'une autre langue, elle a eu l'occasion de parler la langue de Goethe avec des autochtones, car il y avait trois allemands et une autrichienne dans son groupe (plus une lithuanienne et deux français). L'année précédente dans son groupe, il y avait trois allemands, une anglaise, une russe, une lithuanienne, et un français qui vivait en Australie. La langue d'enseignement est l'anglais. Si bien que l'on a des cours en bilingue, les professeurs expliquant ce qu'on ne comprend pas dans sa langue à 14 déclinaisons du nom et 7 cas en anglais, les guides des excursions qui compten dans notre cursus de formation de 190 heures parlent anglais pour les petits cours et la langue du pays pour les plus avancés (92 heures de cours et le reste en contact avec le pays, la civilisation, le cinéma (5 films du pays primé). Certais guides sont des ouvriers ou des directeurs travaillant dans les endroits visités, nos interprètes traduisent en anglais, mais on entend l'autochtone parler sa langue et parfois, on comprend avant que ce soit traduit. Parfois, les interprètes avaient du mal avec les termes scientifiques et c'était assez drôle parce que ces termes ressemblaient au français et on avait compris avant.

La professeure qui a participé à de nombreux stages d'allemand de PAF jusqu'il y  a deux ans, mais voyant que ceux-ci ne lui apportaient rien au niveau de la note d'inspection, s'est rabattue sur les stages d'informatique pluridisciplinaires, qu'elle a suivi durant ces dix dernières années sur son temps libre des formatons univesitaires d'agrégation d'allemand, terminé sa maitrise, suivi un cours de DEA et a été inscrite en master 2 (mais par les horaires qu'on lui a donné cette année là en remplacement, on l'a empêchée de suivre les cours de Master 2). Pour tester son apprentissage des autres langues étrangères, elle a passé  5 CLES dans 3 langues autres que l'allemand et en a réussi quatre. Ele a réussi deux DUFL (diplômes de formation en langue) dans des langues plus difficiles que l'allemand. Et a eu en 10 ans cinq admissibilités à l'agrégation, deux à l'externe et trois à l'interne.

Elle a un peu mis un frein à la musique, mais elle possède une voix extraordinaire, reconnue par beaucoup de monde, ce qui lui sert dans ses cours, d'allemand, car une fois qu'ils l'ont entendu chanter, les élèves ne peuvent plus se passer d'elle. et ce qui amène des élèves en allemand. Elle a suivi dans la décennie précédente (dans les années 90) de nombreux stages de musique durant les vacances, deux de chant classique, une bonne dizaine de stages nationaux et internatonaux de guitare classique.  Tous les stages de musqiue qu'elle a suvi en été étaient à ses propres frais.

(Evidemment, lors de ses deniers remplacements, elle n'a pas beaucoup utilisé ses talents musicaux, parce que elle a pensé que leur professeur aurait ensuite du mal à reprendre ses élèves, s'ils a trouvaient mieux que lui ou elle. La collègue dont je parle est un TZR déjà âgée), mais si elle n'a pas utilisé ses talents musicaux, c'est qu'elle ne veut pas nure au collègue qu'elle remplace en prenant sa place dans le coeur des élèves, et en ne voulant pas prendre sa place dans le coeur des élèves,elle commence à en être détestée. Elle fait exprès d'être détestée, pour que l'autre n'est pas de mal à reprendre ses classes).

Maintenant on ne nuit pas aux élèves d'allemand en leur apprenant à chanter la Lorelei. Elle-même a aimé l'allemand en aprenant "Allle Vögel sind schon da" en quatrième.

En plus, quand on sait que la professeure, sur les quatre remplacements qu'elle a fait dans l'année en a fait deux à 25 km de chez elle (50 km AR, 5 fois par semaine), un d'un mois en pleins frimas hivernaux à 75 km de chez elle (150 km AR 4 fois par semaine et le mercredi 200 km AR pour d'unversité). 5 mois de remplacement sur 2 établissements dont le plus élogné était à 27 km de chez elle, donc 52 km AR, et des déplacements deux fois par semaine à l'heure du repas de midi, ce qui l'empêchait de manger entre midi.

De plus, la collègue à lauelle on a envoyé cette lettre,i a passé de nombreuses fois les  agrégations,parfois avec un demi-succès, et a eu des bonnes notes à la nouvelle épreuve "Agir en fonctionnaire de l'état, de façon éthique et responsabe" aux oraux des  sessions 2011 et 2012".

 

Elle ontinue à se former dans l'espoir de la réussir un jour, donc à lire de la littérature allemande et des livres de civilisation allemande, aussi pendant toutes les périodes de vacances scolaires, elle a fait de la linguistique allemande à très haut niveau, continue à faire de la traduction de niveau universitaire (de niveau agrégation),

Elle a suivi les formation "Agir de façon éthique et responsable" et " Connaisance du système éducatif" avec l'histoire de l'enseignement en Fance, les différentes institutions scolaires et les 14 grands débats actuels.

Elle a suivi à plusieurs reprises les cours d'agrégation interne pour l'oral de didactique et par conséquent connait parfaitement tous les nouveaux programmes, d'ailleurs ses cahiers de texte électroniques (il n'y a plus de cahiers de texte papier dans les collège où elle fait des remplacements qui compennent pour chaque cours 10 lingnes d'objectifs, 3 lignes expliquant l'évaluation du jour, et dix lignes de réalisation en cours, en sont le témoin. Et l'inspecteur lui avait dit qu'elle n'écrivait presque rien sur ses cahiers de textes, on se demande pourquoi. Depuis elle fait des cahiers e texte zélés et passe plusieurs heures par jour à les remplir, mais personne ne les lit.

On sait que d'autres collègues d'allemand ne vont jamais en Allemagne ou en Autriche, je connais deux collègues femmes de lycée, une agrégée et une certifiée par liste (ancienne AE devenue certifiée sans concours et sans inspection et actuelelment jury de BTS et de licence pro, à la place et sur l'ancien poste de la professure dont je parle ) qui ne cont jamais en Allemagne pendant les vacances.

Bon, il est certain que la professeur semoncée par la lettre du recteur tout en travaillant beaucoup pour l'agrégation interne et externe pendant les vacances, et suivant des stages linguistiques (dans d'autres langues, car pour allemand ben qu'elle sot francophone,  en Allemagne, non la prend pour une allemande du Sud-Ouest:  on lui donne même un accent régional, donc un stage linguistique d'allemand serait inutile), ne se forme jamais pendant les vacances.

Cependant certains élèves qu ont des professeurs franophones qui prononcent très fort les -r en finale, la critique, parce qu'elle ne parlerait pas allemand comme leur prof en prononçant les -er entre e et a et sans r et en prononçant les der en diphtonguant le r vocalisé au lieu de le dire bien à la française comme un -r parisien grasouillé. Ils écrivent même au rectorat qu'elle ne parle pas allemand comme leur prof (qui a un accent bien français en allemand) Ce sont généralement les PEGC qui ont un bel accent français en allemand, mais comme ils sont souvent en classe exceptionnelle, ils ne sont plus inspectables.

Et pourtant, ces collègues n'ont pas assez de formation lingusitque . Et on ne les convoque pas au rectorat, même s'ils sont souvent en congé maladie, .... par rapport à cette collègue que l'on attaque constamment, surtout depuisc qu'elle a l'âge de toucher une retraite très incomplète.

Faire un stage linguisitque dans une autre langue qu'on ne connait pas trop bien, pendant les vacances et dans le pays, c'est aussi se mettre dans la peau de l'élève qui étudie l'allemand et que l'on largue dans le pays avec un petit niveau,  tant au niveau de la compréhension de ce qui l'entoure (trouver son quai dans une gare par exemple, acheter le billet de retour avec une réduction, savoir lire les affiches publicitaires, les noms communs des magasins) : fruits et légumes, alimentation, coiffeur, pharmacie..., trouver le rayon adéquat dans un supermarché, choisir un produit, ...), que de la compréhension des gens auxquels on se renseigne, l'expression pour pouvoir se renseigner, un peu quelque chose, (parfois génée parfois seulement par le conjoint qui la devance en posant sa question en anglais, il a d'ailleurs fait des progrès an anglais..).

Bref, tout ceci c'est une formation à la fois linguistque, mais aussi pédagogique et humaine, car c'est très difficile quand on n'a pas tous les mots pour s'exprimer, de se faire comprendre par des personnes souvent sympathiques, souriantes et coopératives, mais qui parfois n'ont pas le temps de vous écouter longtemps car une file se forme derrière vous, le temps d'expliquer ce que vous voulez. En fait, cela nous fait penser que ce qui est imprtant dans une langue, c'est surtout d'abord le vocabulaire concret et les phrases qu'il faut pour demander les choses dont on a besoin. Et comprendre les réponses.

Pour vous dire, la pédagogie utilisée dans ce pays, est tout à fait la pédagoie préconisée par les proogrammes français actuels, mis à part que pour que cette pédaogie soit efficace, il faut que l'élève fournisse par lui-même et chez lui ou dans sa chambre un travail d'étude intense, ce que beaucoup de nos élèves, assez paresseux, n'ont pas encore compris. Refaire les exercices et en faire d'autres, lire à font les documents d'études, traduire pour so-même les consignes écrites dans la langue, apprendre lou réapprendre a vocabulaire, les tableaux de grammare... Il vaut aussi souvent revenire en arrière car on oublie quand même beaucoup et à toute âge. Il faut vraiment que les mots soient répétés souvent pour qu'on les retienne. Et surtout qu'on les répète souvent soi-même dans la converssation.

La pédagogie utilisée alternait les phases purement grammaticales, apprentissage des temps et modes, des déclinaisons, des prépositions utilisées dans les compléments de lieu et de leur cas (assez compliqué dans cette langue où il y a bien quatre cas différents pour les compléments de lieu et de plus, les gens ne comprennent pas si on n'emploie pas le bon cas, ou ils compennent autre chose), et des phases d'expression orale ou écrite individuelle ou collective, pédagogie de groupe avec réalisations de dialogues par groupes de deux ou de trois, que l'on rejoue devant la classe.

Bref, cette formation de trois semaines était je crois, tout à fait profitable pour la professeure critiquée pa le recteur, parce qu'elle n'a pas honorée une convocation, lorsqu'elel était à 900 km en train d'écrire un test de niveau pour suivre une formation linguitique, cette prof qui soi-disant ne se forme jamais, trop âgée pour enseigner.

Personnallement, je trouve que c'est très méchant d'avoir écrit cela à cette professeure-là... Sans la connaître, et alors que toutes les formations suivies sont écrites sur son dossier élecronique de pofesseure, mais si elle dit à l'avance quelle  formation elle va suivre, on essaie soit de l'empêcher de a suvre, soit d'y inscrire des personnes soit qui ont déjà un très haut niveau dans la matière en question, soit des personnes qui ne fernt que cette matière à à longueur de journée et suffisamment douées pour lui tenr la dragée haute. l'année dernière,on a même vu des personnes natives de la langue voulant s'inscrire en niveau A2, c'est à dire utilisateur non indépendant! Pour lui tenir la dragée haute! Ou bien pour avoir facilement des UV externe.

Tiens, Schnelly, à la fn de sa carrière, ne disait même plus que sa mère était allemande et qu'il avait passé dix-huit années de sa jeunesse en Allemagne, simplement pour qu'on le félicite pour son excellent allemand. Et tenir la dragée haute à Doofie, qui pourtant parle aussi un excellent allemand.  Et Schnelly  a joué sur le fait qu'il est né en France et qu'l a un nom français, et une excelent français acquis dans un lycée français en Allemagne,  pour ne pas passer ppur germanophone, mais pour un français qui parle un excellent alemand ce qui lui a certes valu des points d'inspection en plus. A sa dernière inspection avant la retraite, il n'a jamais dit qu'il était germanophone (qu'il est de langue maternellel allemande), et ainsi il a toujours été bien vu par les inspecteurs.  Il a travaillé jusqu'à 65 ans et demi et est retraité depuis quelques jours.

La professeure était inscrite à son cours de langue à l'étranger depuis le mois de mars et avait été sélectionnée pour une bourse d'études.

Et on voulait encore l'empêcher de suivre son stage qui pourra servir à d'autres personnes si elle sert d'interprète, dans cette langue, pour un jumelage, ce que les autes adultes du jumelage, vu la vitesse à laquelle ils apprennent l'allemand avec elle, ne pourraient faire. Car elle leur donne en plus des cours d'allemand, bénévolement, tous les samedis après-midi ce qui l'empêche de partir en week-end durant l'année scolaire...

Dummie

 PS Ne mélangez pas les torchons avec les serviettes, si je parle ici du stage suivi par cette professeure, j'en parle pour prouver qu'elle s'est formée pendant les vacances, mais n'allez pas vous demander si elle est arrivée tous les jours à l'heure, si elle a suivi tous les cous (elle a effectivement suivi tous les cours pendant trois semaines, vu les 5 films, fait les 5 excursions obligatoires pour les boursiers, qui comprenait chacune environ 3 viistes de lieux historiques, plus l'excursion facultative et payante, et participé à la plupart des activités facultatives, dont en partie le sport : comme elle est âgée, elle n'a fait que le mini-golf et la pétanque, mais pas le volley, ni le soft ball, et elle a joué au monopoly dans la langue du pays avec les étudiants autochtones du cours d'anglais, lors de l'arpès-midi consacré au "board-games", et acquis ainsi la rue la plus chère de la capitale... (mais pas "pour de vrai""), a été à la visite officielle à la mairie (pourles boursiers) et s'est régalée lors du buffet offert. Et elle s'est régalée de la cuisine locale qui vaut bien la cuisine française.

La collègue en question m'a raconté :

Les cours avaient lieu cinq jours par semaine de 8 h 30 du matin (mais il fallait être à la mensa vers 7h 45 ou  8 h pour avoir le temps de prendre le petit déjeuner continental et arriver à l'heure, la résidence où l'on dormait étant éloignée d' un arrêt d'autobus (trajet assez long) de l'université, il fallait marcher 5 à 10 minutes pour aller à l'arrêt, il y avait environ 10 mn de trajet, puis enore marcher quelques minutes sur le campus jusqu'à la mensa, et marcher de nouveau quelques minutes jusqu'au bâtiment de ours et jusqu'à la salle de cours. Les cours duraient jusqu'à 15 heures avec environ 3/4 d'heure de pause pour aller à la mensa à midi 45. Il y avait la grande et la petite récréation durant la matinée (20 minutes et 10 minutes). Avec changement de professeur à la deuxième récréation, mais on restait toujours dans la même salle. Le mercredi on terminait à 12 heures 45, mais on devait être dans l'autocar à 13 heures 30 pour l'excursion du mercredi. Les deux samedis, nous avons eu une excursion obligatoire, dont une vers la capitale, et l'un des dimanches une excursion facultative, si bien que nous n'avions que l'un des dimanches de libre. Les jours où il n'y avait pas d'excursion, nous avions des activités d'après-midi comme des visites en ville, le zoo (pour apprendre les noms des animaux, très utile...), du sport, des jeux de société dans la langue du pays, assis dans le parc qui était près de la résidence, et le soir, cinq séances de ciné-club à 18 heures 30,  ou d'autres activités, les fêtes d'accueil et d'adieu,le concert de rock organsé pour nous, en plein air le long de la rivière, par des groupes locaux,  il y avait aussi le tour des brasseries et des pubs, mais je ne les pas suivis, je ne bois pas dalccol et les autres marchaient trop vite, si bien qu'ils ont disparu au coin d'une rue et on a perdu leur trace. On rentrait des excustions entre 20 et 21 heures avec un départ entre 7 h 30 et  8 h 30 du matin, selon les excursions, et un départ à 13 h 30 pour les excursios du mercredi. Durant les excursions, nous avons eu quelques quartiers libres, mais on avat en moyenne, sauf dans la capitale oùl'on a été plus libre, 3 visites guidées par excurston : châteaux historiques, hantés ou non, mines, lieux scientifiques... villes, églises baroques, églises perdues dans la montagne et en rénovation. Le car nous déposait souvent à une certaine distance de l'objectif, et nous devions faire une mini randonnée sur un chemin de terre pour atteindre les entrées de châteauxet et le tout était souvent très sportif, on devait aussi parfois rester pendant des heures debout dans des endroits où l'on nous donnait des explications historiques, fort intéressantes du reste, mais gare aux jambes!

Le lendemain, on devait raconter au professeur dans la langue du pays ce qu'on avait fait la veille dans l'après-midi ou durant le week-end.

Mon épox participait aux activités, dans la mesure où elles étaient gratuites, ou moyennant des enrées supplémentaires, mais pas au cours, moyennant le paiment des excusions, de son hébergement et du ticket de transports en commun qui était offert aux boursiers pour trois semaines, on pouvait visiter toute la ville par le tramway et les bus gratuitement. Et ils ne prenait pas les repas à la mensa.Par contre, on a du payer notre voyage.

Les bourses d'étude de la langue n'existent que pour ceux qui ont étudié au minimum un an la langue du pays dans une université. Et pour assister au cours, il faut avoir fait des études universitaires de la langue - au minimum un an- si bien que ce n'est pas la peine d'espérer aller à ce genre de séjour, si vous êtes adulte, et n'avez pas au minimum vottre bac, et n'avez pas étudié la langue un an à l'université.  En effet, pour suivre le rythme des cours, il faut déjà avoir une bonne formation  grammaticale de base  et pour profier au maximum des excursions avoir une bonne connaissance de l'anglais. La profeseure dont je  parle a le CLES 3 d'anglais (niveau C1 d'utilisateur expérimenté).

 

Pour défendre Dummie et sa collègue

domino

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* D'après ce que j'en sais, historiquement, les professeurs sont payés moins que les autres fonctionnaires de même indice et ont un salaire annuel de dix mois leur indice, réparti sur 12 mois, alors que les autres fonctionnaires ont un salaire annuel de 12 mois. Si bien que tout travail fait en juillet-août devrait être payé à sa aleur complète. Par exemple les interrogations d'examen au taux comlet d'une heure de cours et les corrections de copies égalemen et la semaine suplémentaire de juilelt en collège payée en plus comme 1/4 de salaire mensuel.  

jeudi, 04 juillet 2013

Etre prof de langue : Temps plus que complet

Du journal de Blödie :

Etre prof de lange, ce n'est pas comme être prof de maths ou d'autre chose : les langues cela change toujours.

Les mathématiques restent immuable, la pédagoie change... de temps en temps, mais pas vraiment; tiens, l'autre jour j'ai trouvé dans ma classe la copie d'un élève de 4ème, des factorisations. C'est un élève qui la ramenait beaucoup, bien qu'il ait eu une note honorable aux alentours de 12/20, je me suis vite rendu compte que c'était des exercices que j'avais fait enfant à l'âge de 10 ans, en sixième. En deux temps trois mouvements, j'ai fait les exercices où il avait faux que j'ai porté au crayon comme correstion sur la copie.

J'étais assez étonnée de voir dans certains conseils de classe de quatrième ou troisième que le meilleur élève de la classe n'a qu'aux environ de 14/20 en maths et que presque tout le monde a sous la moyenne et ceci dans des classes dites moyennes  ou bonnes; mais que je classeraits par rapport aux années 70 comme d'assez mauvaises classes.

Bon, mais tout cela pour vous dire que c'est exactement le même type d'exercice que je faisais enfant, et que finalement, le traail du prof de maths, même si certains prétendent que les pédagogies ont changé, n'a pas changé beaucoup.

Prenons, maintenant le travail du prof de latin ou de grec, là non plus rien n'a changé, puisque le latin et le grec ancien n'ontpas changé depuis l'Antiquité!

La littérature française et la grammaire française : la forme de épreuves de brevet et de bac a peut-être changé, il y a moins de rédaction en collège, moins de disserations au lycée, puisque même à l'examen les élèves ont le choix entre plusiers formes d'épreuves : explication de textes, dissertation... alors que nous faisons disseration sur dissertation depuis la seconde, une toutes les quinzaine environ, sur table,  alternés avec des commentaires de texte que nous faisions à la maison pour nous approprier les auteurs, un par semaine que la prof ramassait par alternance (par moitié de classe).

Bon, en fnançais, les manuels ont changé, mais la littérature des siècles précédents n'a pas beaucoup changé, il faut y ajouter quand même quelques oeuvres de la fin du XXème siècle et du début du XXIème, mais je crois qiu'on est beaucoup plus prompt à utiliser la littérature du XXème siècle dans les manuels d'allemand plutôt que dans les livres de français.

Quelles sont alors, les matières qui évoluent? L'informatique, c'est sûr et beaucoup plus vite qu'on ne le voudrait, mais ce n'est pas une matière dont on aurait pu choisir d'être professeur à mon époque, car elle n'existait pas encore.

Les sciences? Elles évoluent un peu mais assez lentement, les découvertes actuelles ne suivent pas l'avancée fulgurante du XIXème et des deux premiers tiers du XXème sièle. Certes, il y a quelques nouveautés, mais la façon d'apprendre les sciences n'a pas beaucoup changé. 

Alors quelles sont les matières où ilfaut le plus se recycler? L'histoire-géographie. Si l'histoire jusqu'à la seconde guère mondiale n'a pas changé et si l'on enseigne toujours l'antiquité en Sixième, d'une façon immuable, nous avons vécu quelques périodes supplémentaires dont il faut tenir compte par exemple à cause du fait que le monde n'est plus coupé verticalement en deux, comme à notre époque. En géographie, il faut emmagasiner de nouelles statistiques, voir l'évolution du climat, de l'urbanisation, tenir compte de nouvelles données comme le développement durable ou la mondialisation. Voilà donc, une matière, qui bien que les pays n'aient pas changé de place, mais tout au plus de dénomination et se sont parfois morcelés comme l'ex-Yougoslaie ou rassemblé commme les deux Allemagnes. Mais si'il y a des changeements, l'actualité que vit quotidiennement le professeur permet de les suivre.   

Mais voilà le plus difficile, être professeur de langue vivante

Que doit faire le professeur de langue en plus, par rapport au professeur de maths? Signalons au passage que le professeur de langue a le même horaire hebdomadaire que son collègue de maths en ce qui concerne les cours à effectuer devant les élèves..... mais il a beaucoup plus à faire que lui...

1) Il doit se recycler constamment dans  la langue en question et si ce n'est pas sa langue maternelle, il doit rester au top niveau, donc, aller souvent dans le ou les pays dont on parle ces langues (quand j'étais jeune je passais pratiquement toutes mes petites vacances et la moitié de mes grandes vacances en Allemagne ou en Autriche. Quand j'étais jeune professeur, je suis allées deux fois à des stages linguistiques de haut niveau pendant trois semaines de vacances d'été et aussi au Sympoisum de Pâques à Halle.

2) Pour garder le top niveau linguistique, il doit aussi lire beaucoup, par exemple, les allemands sont friands de mots composés et de néologismes, et de mots étrangers germanisés, c'est pourquoi il faut lire la presse tout en repérant les néologismes pour garder le top niveau linguistique.

3) La littérature évolue, et contrairement à ce que l'on voit dans les manuels de français, nos concepteurs de manuels, en langues vivantes,  utilisent rapidement les nouvelles oeuvres littéraires, filmiques et de musique moderne (rock, chanson). C'est pourquoi, il faut aussi lire les nouveaux auteurs, regarder les nouveaux films dont on parle et les étudier aussi sur le plan pédagoique (Good Bye Lenin,Das Wunder von Bern, Das Leben der Anderen), écouter les nouveaux groupes, en acheter les CD. Eventuellement si vous jouez de la guitare, apprendre les nouvelles chansons...

4) Il faut aussi rester au courant de l'actualité, suivre l'évolution politique des pays dont on enseigne la langue, connaître les évènements histoiriques qui s'y sont déroulés depuis que nous avons réussi notre CAPES (pour nous, la chute du Mur de Berlin, la réunification, sont bien sûr indispensable) et se mettre dans la peau des élèves d'aujord'hui qui n'ont pas vécu le monde des blocs soviétiques et capitalistes. Pour nous les vieux profs, il faut prendre conscience du fati que les élèves qui sont actuellement en seconde et ont quinze ans, sont nés en 1998, soit 9ans après la Chute du Mur  pour eux, c'est de l'hsitoire comme pour moi qui suis née six ans après la fin de la seconde guere mondiale, cette guerre, racontée pourtant en long et en large par nos parents, était de l'histoire. Mais quel parent français raconte encore à ses enfants la chute du Mur de Berlin, et encore moins sa construction..? La guerre finalement avait concerné tout le monde, donc nos parents en parlaient, alors que la Chute du Mur concernait surtout les allemands, et les pays plus à l'Est.

5) Donc, pour cela, il faut lire les journaux et écouter les informations. Il y a quelques années encore la Love Parade était dans les programmes d'allemand en France, depuis la bousculade d'il y a deux ou trois ans, elle n'y est plus. Personnellement, je n'ai jamais fait la Love Parade avec mes élèves.

6) Se mettre au courant de l'évolution de la société dans les pays des langues que l'on enseigne. En Allemagne, l'écologie tient beaucoup de place, ainsi que le débat sur l'énergie et la fermeture progressive des centrales nucléaires.

7) Ecouter des personnes parlant différents dialectes, puisuqe dans le cadre du Cadre Européen Commun pour les Lagues, la dimension dialectale est prise en compte;

8) Travailler la pédagogie des langues qui depuis mon époque où l'on apprenait l'allemand comme une langue morte, surtout grâce à la traduction, a beaucoup évolué dans la prise en compte des cinq grandes compétences : compréhension orale et écrite, expession orale en continu et dialoguée et expression écrite.

9) Aller dans le pays, pas seulement pour être au top niveau sur le plan linguistique, mais aussi pour y constater les évolutions sur le plan de l'urbanisme, le passage à Berlin comme capitale a fait que le voyage à Berlin est devenu un must pour les professeurs d'allemand (j'ai pu lan dernier admirer le résultat des travaux sur la Postdamer Platz, travaux qui ont été effectué depuis la réunification pour combler le No man's land au milieu de Berlin, et le beauc Sony Center, avec son toit troué en espèce d'aile d'hélicoptère. Aller dans le pays aussi pour faire connaissance avec les différentes villes dont on parle dans nos manuels et les différents paysages car c'est bien beau d'en parler théoriquement, si on ne les a jamais vu soi-même, le courant passe moins bien. Bien sûr beaucoup de profs de géographie parlent de la Chine ou du Japon, ou de l'Inde ou du Brésil sans les avoir jamais vus, mais nous avons quand même un domaine plus restreint et plus proche.

10) Continuer à approfondir sa connaissance de la langue et sa connaissance de la civilisation du pays et de sa culture en général. Visiter les musées pour la relation avec l'histoire de l'art. Pour l'approfondissement de la culture, la préparation de l'agrégation pour ceux qui ne sont pas déjà agrégés est une bonne source d'informations. L'interne pour la culture actuelle (les nouveaux thèmes de programme, les nouveaux films...), l'iexterne pour rester au top en philosophie et en littérature et civilisation des siècles précédents, et pour découvrir de noveaux auteurs modernes (Hilbig, Volker Braun..) C'est vrai que si la réussite était au bout du chemin, ce serait mieux, mais on passe aussi l'agréation pour se cultiver et je crois que mes vingt années de préparation de l'agrégation m'ont beaugcoup apporté. Même si cela ne s'est soldé que par cinq admissibilités.

11) Un manuel de maths vaut un autre manuel de maths, les manuels d'allemand sont très différents les uns des autres, même au niveau du contenu et il faut, outre le fait qu'il faille s'adapter aux nouveaux niveaux européens, lorsque vous êtes TZR à remplacement de courte ou moyenne durée, avoir une bonne connaissance des différents manuels et éventuellement en fabriquer un s'il n'y en a pas dans les collèges où vous enseignez. Les  textes aussi  sont différents, il faut les lire et connaître les textes pour les remplacements dans des classes de lycée et il faut également savoir d'où sont tirés les textes, éventuellement lire le roman d'où ils sont tirés ou l'oeuvre de littérature de jeunesse allemande ...

12) Lire des choses plus terre à terre, comme ce qui concerne la vie quotidienne, les recettes de cuisine, les spécialités culinaires... les goûter. Côté agréable de la chose.

Conclusion : Voilà en gros, à l'exemple d'un professeur d'allemand, tout ce que doit connaître un prof de langue et encore je n'ai pas parlé du prof d'anglais qui en plus de la Grande Bretagne, doit s'appropie tout le savoir des USA, de la partie angophone du Canada, de l'Aurstralie, de la Nouvelle Zélande et du professeur d'expagnol qui doit aussi assimiler toute la culture d'Amérique Latine.

En fait, si vous y regardez bien, un professeur de langue a beaucoup plus de travail que dans aucune autre matière, s'il prend son travail au sérieux, mais il y a le côté agréable de la chose, car le professeur de langue, passioné par les pays dont il enseigne la langue, se fait un plaisir d'y séjourner.

Bien sûr en plus, il y a le suivi des élèves, l'évaluation,la pédagogie interdisicplnaire, l'informatique et tout ce qu'on nous assène maintenant comme nouveautés pédagogiques globales, mais ce qui nous passionne, c'est vraiment notre matière, bien qu'il ne faille pas être comlpètement azimutés, comme le sont certains collègues d'allemand que je connais , surtout des hommes qui ne vivent que par et pour l'enseignement de l'allemand, par exemple Schnelly, Rapidy, Quicky, et Monsieur JeSaisTout pour n'en citer que quelques uns, qui jusqu'à leur départ en retraite, déjà effectué ou imminent, n'ont vécu que pour l'allemand.... la langue allemande, l'enseignement de l'allemand; encore cette année, Schnelly et Rapidy à 65 ans, ont fait un échange scoclaire, l'apothéose de leur carrière. Schnelly, Rapidy et Cie étaient tellement azimutés par leur enseignement de l'allemand qu'ils en ont oublié qu'ils avaient une femme. Et de vouloir que leur femme soit essentiellement une germaniste et rien d'autre. Ils étaient d'ailleurs très étonnés quand ils sont arrivés dans un pays slave de voir que les langues slaves ne ressemblent pas à l'allemand et qu'ils n'en comprenaient pas un traitre mot. Car ils avaient tendance à ramener toute l'Europe Centrale à l'allemand.

Bon, tout cela pour dire que sur le plan des heures passéés au travail si vous voyez tout ce que nous passons à travailler notre allemand et sivos savez que même quand nous serons retraités nous ferons encore de l'allemand : par exemple, les comités de jumelage municipaux accapareront encore d'avantage notre temps puisque nous aurons davantage de temps pour nous en occuper, les cours bénévoles pour les adultes des jumelages ou autres qui ne peuvent plus bénéficier de formation continue parce que ils sont la plupart du temps aussi retraités. Les visites familaies pour mon mari, les visites aux anciens correspondants... tout cela sera encore du temps consacré à l'allemand et aux pays allemands. Quand on est professeur de langue, même retraité, on ne sort plus de sa profession. Surtout avec des maris comme Rapidy et Schnelly.

Regardez, début des vacances, Schnelly et Rapidy vont déjà traverser l'Allemagne, vont encore faire une ou plus tard des excustions en Allemagne... Toujours et encore, le métier sera encore longtemps au rendez-vous surtout que lisant couramment la langue de Goethe, on continuera à se documenter dans cette langue sur les sujets qui nous intéressent comme la muisque pour nous, les filles...

Même tous les inspecteurs d'allemand ont beau s'attaquer à Bêtie, comme elle a un mari qu est à moitié d'origine allemande, ils ne pourront jamais l'empêcher de faire de l'allemand. S'ils l'empêchent un jour de continuer à faire de l'allemand dans le secndaire des lycées et collèges, ils ne pourront pas l'empêcher de continuer à participer à des jumelages ou d'enseigner l'allemand dans un autre cadre.

..../.....

Peut-être que en tant que professeurs d'allemand, nous sommes plus azimutés par l'allemand, je l'étais surtout en mes début de carrière, voyages sur voyages, en Autriche, en RFA, en RDA, en Suisse alémanique, en Alsace... des randonées au long cours qui nous ont permit de connaître certains coins en profondeur, : la Carinthie et une épingle d'or de randonnée pédestre, le tour de Sarre et une épingle d'argent de randonnée, des voyages en séjours officiels à l'Est, mais aussi inofficiels et même un séjour non déclaré officiellement au bord des lacs du Meklembourg alors que nous étions sensés êrte en Thuringe et déclarés chez les Vopos d'une petite ville de cette province, où malgré tout, tout se savait; Dresden lors de la reconstruction de la Frauenkirche, et avant quand tout était encore ruines autour du Zwinger, les lacs du Salzkammergut avec le camping inondé, et même  la randonnée nocture au Tirol du Sud,et l'autre randonnée nocture involontaire au retour des drei Zinnen, la rencontre en stop avec un alpiiste italien au nom germanique sans savoir qui il était, la renconre d'un chamois sur l'Eigergletscher, la rencontre d'un lynx près de la Alm hinter Brunn' en pleine nuit... il faut l'avoir vécu pour y croire, à l'enseignement de l'allemand et savoir, contrairement à nos petits élèves, que cette langue existe et n'est as virtuelle...

Blödie... l'azimutée de l'enseignement de l'allemand

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Pour Blödie, domino, azimutée de l'enseignement de 'l'allemand,

PS de Doofie :

Mais tout cela pour vous dire, que même en joignant l'utile à l'agréable, nous travaillons, presque toujours.... et que finalement, nous sommes bien sous-payés par rapport aux collègues des matières immuables. Je ne parle pas du matériel, quand vous etes dans un bled et que vosa achetez un guide de randonnée sur le patelin, quand vous faites des photos de vos visites ou voyages dans les pays dont vous enseignez la langue, où vous avez passé vos vacances et qui sont vos photos de vacances, (il ya une association de jumelage qui a eu tendance à penser que les photos que je faisais quand j'étais en voyage avec eux, seraient leurs photos, alors que ce sont les miennes et mes souvenirs de vacances, ce n'est pas parce que je suis professeur d'allemand que je dois donner tout ce que j'achète en Allemagne, ou toutes les photos que je fais en Allemagne (bon maintenant avec l'informatique, c'est plus facile de dupliquer les photos, parce que un jour Schnelly a du donner mes photos que je n'ai plus retrouvé. Il leur a même donné un film qui a été tiré chez ma soeur en Belgiqe en croyant que c'était l'Allemagne. Et il m'a fait croire que le labo de développement avait brûlé.

Bon, Schnelly va encore faire de l'allemand quand il sera en retraite, c'est sûr et je vais encoe faire de l'allemand,aussi quand dans trois ans je serai en retraite, c'est sûr!!!

Mais Monisuer JeSaisTout éait moins azimuté que lui, quoique en Alsace, mais pas alsacien de souche, j'ai plus de sang alsacien que lui (1/4), il n'est pas loin de l'Allemagne et fera sûrement encore de l'allemand, mais il a dit quand même dit qu'il n'enseignerait plus l'allemand, il a fini son secrétariat du'un comité de jumelage. Bien que docteur en allemand et agrégé d'allemand, on a l'impression qu'il avait envie d'en finir avec l'allemand, même s'il reste alsacien d'adoption et que les petits symboles alsaciens qui étaient dans son appartemetn doivent encore peupler la maison de ses parents. Il doit consacrer la plupart de son temps à ses soeurs et à ses tantes religieuses si elles sont encore en vie;

 

domino

                                                       

mercredi, 03 juillet 2013

Quand faire le ménage?

Roman-théâtre

Ce soir, Doofie a dit à Schnelly :

"Je vais faire le ménage avant les vacances!"

Schnelly a répondu : "Quoi? Tu n'as pas le temps!"

Elle a dit :

"Je vais couper l'herbe dans le jardinet devant et enlever les orties!"

Il a répondu :

"Oui, mais si tu coupes l'herbe trop court et qu'il fait sec (hmm! faire sec en ce moment? Il rêve ou quoi?).

si tu coupes l'herbe trop court, elle risque d'êre jaunie ensuite". Alors laisse le jardinet comme cela, a dit Schnelly.

"Hmm!" s'est dit Doofie, je vais devoir faire tout cela en cachette... car il me met toujours des bâtons dans les roues, il ne veut jamais que je fasse l'indispensable! Lui, du moment qu'il a a mangé, ça lui sufft!"

Alors, Schnelly a dit :

"Je vais te faire une pizza pour le repas du soir..."

"Une pizza", a dit Doofie, "'humm( hmm pas de l'air d'adorer, mais avec l'air de réfléchir...", pourquoi pas?""

Doofie se met à table : "Voici la soupe..." dit Schnelly, servant un bouillon de légume tiré d'un brick-pack".

"Ah!" dit Doofie " et lle avale son bol de soupe... sans pain, elle pense avoir une pizza ensuite.

Piuis le temps qu'elle boit sa soupe, Schnelly a disparu, il est déjà dans son lit.

"Et la pizza?" crie Doofie en bas de l'escalier...

"La pizza? Je croyais que tu n'en voulais pas..."

 

" Alors pour tout repas, Doofie a eu ce soir un bol de soupe au légumes tiré d'un brick-pack... on est au régime... c'es tsûr...

 

domino

 

SNCF : Dégradation depuis les années 70

Du journal de Dummie  (roman-théâtre)

Dans les années 70, j'habitais à 3 km d'une gare (comme j'étais en forme et jeune, je pouvais y aller à pied) à partir de laquelle je pouvais prendre des trains directs pour de nombreux coins d'Europe.

De la gare on pouvait aller directement et sans changer de train et parfois plusieurs fois par jour à :

- Paris,

- Lille

- Metz

- Strassbourg

- Bâle

- Milan

- Rome

- Naples

- Vintimille

- Calais

- Londres

- Bruxelles,

- Amsterdam,

- Rotterdam,

- Hambourg,

- Cologne

- Hannovre

- Berlin

- Varsovie

- Moscou

Excusez-moi du peu..

C'est d'ailleurs pour cette raison, que Bêtie, Doofie  Sottie, Foolie, Blödie, et moi nous avions élu domicile dans cette ville ou plus exactement dans une ville voisine. Bon, nous ne sommes jamais allées à Moscou, ni à Naples, ni même à Londres, et nous étions déjà trop vieilles pour avoir le ticket Inter-Rail (l'âge jusqu'auquel on pouvait l'avoir augmentait régulièrment en nous suivant d'un an, quand nous avons eu 2& ans, on a créé le ticket Inter-Rail pour les moins de 20 ans, quand nous avons eu 22 ans, jusqu'à 21 ans, et il s'est ensuite arrêté à 26 ans alors que nous avions 27 ans!

Maintenant à partir de cette gare, on peut juste aller à Paris, à Lille (il faut changer de train pour aller à Calais), à Maubeuge ou à Jeumont (moyennant un parcours dans les autobus locaux, vous pouvez continuer sur Charleroi à partir d'Erquelinnes, ou aller en bus jusqu'à Jeumont douane et reprdnre un bus vers Mons à la gare d'Erquelinnes, alors que jadis...

Jadis les trains qui allaient à Cologne et à Berlin s'arrêtaient à Mons et à Charleroi.

Vraiment la vie est devenue compliquée depuis que l'on a fait de cette petite gare de province dont  même nous qui dans notre jeunesse habitions à Grande Métropole Régionale, ignorions le nom si bucolique et verdoyant et Moyen-Âgeux, une gare subalterne de province, au lieu de ce noeud ferroviaire qu'elle était avant, le croisement de deux grands trains internationaux. Pour une petite ville industrielle à l'architecture eclectique, qui n'avait de bucolique que son environnement. Je me souviens de la première fois que j'y suis passée pour un changement de train pour aller faire une randonnée pédestre, j'étais sortie de la gare et j'avais fait les magasins Phildar et Pingouin, qui était dans la rue en face de la gare. Ils faisaient chez Phildar les pulls en T qui étaient la grande mode, c'était je crois dans les années 70. Il y a belle lurette qu'il n'y a plus de magasins Phildar et Pingouin dans cette ville, je crois même que les laines Pingouin n'existent plus, pas plus que les laines 3 Suisses.

Il y avait de l'affluence au buffet de la gare qui a fermé il y a quelques années, j'y ai encore révisé mon programme sur Cela tous les matins en attendant le train, en 2002-2003,  les carrelages de Douzies affichaient fièrement une date de la fin du XIXème siècle sur le sol, une date de la belle époque, au pied de l'immense bar qui prenait tout un mur, et de la cheminée monumentale à deux faces, en marbre, la deuxième face donnaint sur la salle de billard où l'on pouvait jouer aussi au Baby-Foot.

En face certains cafés et l'un des fiers hôtels de la Belle Epoque ont été détruits ou démolis pour faire place à un futur centre commercial.

Bon, bref, tout cela pour vous dire que c'est la croix et la bannière pour organiser un voyage en train à l'heure actuelle. Pour nous qui aurions aimé passer par là pour aller à l'Est.

Dummie

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Pour Dummie

domino

 

mardi, 02 juillet 2013

Arbres interdits dans les jardins

Roman théâtre

Décidément, Doofie qui pleure quand on coupe un arbre, elle est comme Idéfix, qui a vu toutes sa haie de derrière s'envoler il y a deux ans sous les coups de boutoir de sa voisine, doit encore couper des arbres, plantés à plus de 2m 50 de sa voisine. La voisine prétend, alors qu'il y a deux beaux sapins dans les maisons d'en face dont un qui fait toutes l'anvergure du jardin d'en face, que Dppfie n'a pas le droit de faire pousser son sapin à plus de deux mètres de haut, alors que le bord du tronc est à plus de 2 mètres 50 de sa clotûre. En fait, elle invente des réglementations qui n'existent pas ou parce qu'elle est étrangère, elle les comprend à l'envers, elle confond deux mètres de distance au sol et deux mètres de hauteur.

Quand un arbre est à plus de deux mètres de la cloture, il peut faire la hauteur qu'il veut. Ailleurs Doofie n'a que des arbuste tout petits, les plus grands sont le forsythias et le boudeiä et ils ne sont plantés au milieu du jardin. La haie de cyprès est de l'autre côté, elle forme haie avec les nouveaux voisins et ils ne disent rien (on pourrait sinon leur reporcher le bruit de tous leurs outils et béonneuses).

Du journal  de Doofie :

Quand la voisine d'à côté avait encore son mari, il faisait pousser des haricots verts à six mètres de hauteur tous les étés tout près de notre clot^^ure. Elle prétend que des branches vont chez elle, d'arbres qui seraient près de sa cloture, alors qu'il n'y a pas un seul arbre du côté de sa cloture, jadis j'avais des rosiers magnifiques (rosiers anglais) et des pivoines, mais j'ai tout enlevé quand elle a râlé il y a deux ans. J'ai même ratiboisé le petit conifère qui poussait dans le jardin devant, et il a l'air d'un bâton, triste souvenir de la haie de derrière qui a été coupée sans qu'on le demande (il reste deux petites souches), et si maintenant des arbrisseaux à l'état sauvage poussent à la place des rosiers, c'est de sa faute. Puisque'on a enlevé les végétations qui étaient plantées et controlées, il pousse mainteant à la place tout ce que l'on veut  l orties, ronces, arbrisseaux...

Quand la voisine avait encore son mari, il faisasit pousser des haricots verts sur des échalas juste derrière ma haiie. Et quand ils ont fait leur terrasse méridonale avec une balustrade qui donne dans notre jardin et un mur mitoyen qu'ils venaietn régulièrment repeindre en sautant dans notre jardin sans demander la permission d'y pénétrer (parce que la voisine ne se gêne pas pour venir dans mon jardin, retirer les plants de fleurs qui lui plaisent pour les replanter dans le jardin de son fils et pour couper au printemps à ras les tulipes de mon jardinet devant et en été mes glaïeuls pour les metttre dans ses vases). En plus elle pique les oignons  de fleurs dans mes jardinières de devant.  

Quand son mri vivait encore, elle ne se plaignait jamais de nos arbres, je crois qu'il n'avait pas la même conception de la vie qu'elle. Mais quand ils ont fait leur terrasse, tous les dimanche la bétonneuse et la marteau-piqueur fonctionnaient dès neuf heures du matin, alors que c'était le seul jour de la semaine où l'on pouvait dormir un peu plus lontemps.

En plus ma voisine ne connait pas les points cardinaux : elle prétend que mes sapins lui font de l'ombre, alors qu'ils sont plein Nord par rapport à son jardin (vous avez déjà vu le soleil au Nord vous?) et mes arbrissseaux sont au Nord-Oust, puisque mon jaridn est au Nord-Ouest du sien.En fait les jardins sont tournés orintés vers le Nord-Est par rapport aux maisons et ce qui fait de l'ombre sur sa terrasse, c'est sa propre maison!

On ne peut pas se fier aux boussoles car elles tournent fou à cause du changement d'axe dû au tsunami de 2005,  mais avant le tsunami c'était bien le coin de la maison côté de notre terrasse qui était au Nord. Et le devant de la maison est au Sud-Ouest, si bien que durant tout l'après-midi et le soir le soleil donne sur le devant, et les maisons font de l'ombre aux jardins.

Jamais la végétation de mon jardin n'a fait de l'ombre au sien.

Enfin, bref, elle interprète les régements à sa façon et inverse les points cardinaux, rien que pour nous nuire.

Au fait, ma voisine ne s'appelle ni Dummie, ni Bêtie, qui sont mes amis, et de toutes façons Bêtie n'habite pas dans ma région.

Doofie

 

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Pour Doofie :

domino