lundi, 02 juillet 2007
O bruit doux....
On n'a plus l'habitude... Pendant la première moitié du printemps, on ne l'avait plus entendu, ce bruit qui envahit tous les pores de la maison, son toit, ses gouttières, les terrasses, le balcon, les murs, les persiennes, les coins des fenêtres, les vitres .... On l'avait oublié ce bruit....
Ce bruit qui tient à la fois du roucoulement du pigeon, de la roulade du rossignol et du crépitement du feu.
La première fois qu'on l'a entendu quelques secondes, puis une minute, on s'est dit... : "Mais qu'est-ce que c'est? Un chat qui se frotte sur la persienne? Un oiseau qui frôle le toit de ses ailes?" Puis le petit crépitement s'est tu.
C'est arrivé plusieurs fois, le bruit était souvent accompagné de quelques bruits plus forts qui nous donnaient à croire que quelque feu d'artifice était tiré dans le coin, et de quelques lueurs rapides et blanches.
Puis le bruit est arrivé ce soir, tenace, long, fort, le bruit qui amène l'apaisement après la chaleur, quand dans mon enfance le temps se faisait si lourd qu'on ne savait plus rien faire, et que les lumières et les roulements de tambours passés, en Juillet, le bruit s'installait pour trois jours d'affilée.
Le bruit est venu, persistant, fort, il a apporté avec lui quelques frissonements qui font que la peau devient granuleuse et se hérisse dans ses pores, comme si notre peau répondait à l'humidité qui semble envahir notre coquille de briques rouges, comme si la fraîcheur de l'air perçait la peau de notre maison, pour caresser la nôtre. Et alors, le bruit des goutières gargouillantes, des tuiles dégoulinantes, des cheneaux débordants, des balcons s'égouttant, des vitres lustrées par des ruisseaux transparents, des portes humectées par des battements de salves aqueuses, le bruit va s'amplifiant, puis perdure, et dure, et dure encore, des flots qui feront déborder les rivières se déversant sur des contrées naguére humides, et qui sans le bruit risqueraient de se déssécher.
Et alors, je me souviens de flots qui humectaient la maison des vacances, du bruit qui battait sur le jardin fleuri, après les mi-août de mon enfance.
Je me souviens, pas assez longtemps... Le bruit qui jadis durait trois jours, parfois une semaine est parti, le bruit doux,
"O bruit doux de la pluie,
Par terre et sur les toits,
Pour un coeur qui s'ennuie,
O le chant de la pluie",
récite en mon coeur, par coeur, mon contemporain des siècles passés*. Et le bruit est parti et déjà
"Le ciel est par dessus les toits,
Si bleu, si calme,"*
et déjà l'été revient, après un élan automnal, l'été et sa chaleur, qui nous donne la torpeur, tandis que le bruit doux et humide résonne encore en écho dans notre mémoire et nous apporte un peu de tiédeur.
domino
*Les vers sont de Verlaine, 19ème siècle, le texte en prose est de moi, domino.
19:50 Publié dans Littérature i-grimoiresque | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Verlaine, pluie, météo, prose poétique, poésie, poèmes, poème
vendredi, 29 juin 2007
Des hélicoptères pompiers....
- J'ai appris ce matin que la France allait envoyer des Caadairs à la Grèce, pour aller éteindre leurs incendies là-bas.
- Cela m'a fait repensé à une information que j'avais vu à la télévision il y a quelques mois, alors que j'étais dans un restaurant. .. un incendie s'était déclaré dans une tour new-yorkaise (il ne s'agit pas des twin-towers), Les pompiers new-yorkais sont montés pour éteindre l'incendie par l'intérieur du gratte-ciel, alors que l'on voyait très bien que si on avait projeté de l'eau par les fenêtres extérieures le feu aurait pu être éteint beaucoup plus rapidement.
Comme les canadairs passent habituellement au-dessus des bâtiments puisqu'ils ont été prévus pour éteindre des incendies de forêt, ils n'auraient peut-être pas fait l'affaire ici, mais du matériel de pompier embarqué dans un hélicoptère avec de grandes lances aurait permis d'éteindre l'incendie plus rapidement.
Ce qui était révoltant dans cette situation, c'était de voir les hélicoptères et les avions des télévisions américaines qui tournaient autour des buildings, passant parfois près de l'incendie, alors que les pompiers à l'intérieur semblaient pendant un moment impuissants.
Quand j'ai dit à mon époux : 'Mais pourquoi n'ont-ils jamais pensé à des hélicoptères pour éteindre les incendies sur les tours?", il a répondu "Parce que cela coûterait trop cher !"
Je lui ai dit : "Mais les Américains sont riches !"
Il m'a répondu : "Ils sont riches pour ce qu'ils veulent. Mais ne dépenseront pas d'argent pour cela".
Et moi j'ai dit : "Les américains (ceux des Etats Unis), pas riches? Microsoft et Google n'ont qu'à faire une donation d'hélicoptères à chaque ville du monde qui a de hauts buildings, ou des gratte-ciels, pour que l'on construise ce type d'hélicoptère avec des lances latérales, pour lancer l'eau sur les tours qui prennent feu."
Et si la France construisait des Canadairs pour l'étranger, au lieu d'envoyer les siens et de se démunir des siens momentanément, cela serait peut-être une industrie lucrative pour la France, la France pourrait ausi construire des hélicoptères arroseurs, à lances latérales (j'en revendique la maternité, et j'en dépose sur cet i-grimoire le brevet d'invention), du moins de l'idée, bon cela fait au moins trois fois que je dépose un brevet d'invention sur un blog, et je ne touche rien....) Et les construire et les vendre, en espérant qu'ils soient moins dangereux qu'un certain type d'Airbus.
Bon, j'espère qu'ils suivront mon idée !
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Mes excuses : Je viens de contrôler que les Canadairs sont canadiens, et pas français, alors pourquoi dit-on toujours que les français envoient leurs Canadairs à l'étranger? Bon, ce nous ne construisons pas les Canadairs, on pourra au moins construire les hélicoptères à lances d'eau latérales et les vendre à l'étranger.
Les petites pixies surveileront bien la météo pour que tout se passe bien lors de leurs déplacements. En tout cas petite pixie, il fait froid ici, qu'est-ce que tu as fait au temps ?
domino
12:45 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : société, pompiers
Payer des impôts sur ce qu'on ne gagne pas....
Tous les mois mon salaire est amputé d'environ 200 Euros divisés en 2 ou 3 cotisations de solidarité. Il s'agit de la CSG, contribution solidarité générale. Je ne sais pas où cet argent va, mais c'est de l'argent que je donne sur le produit de mon travail pour les autres. En plus on nous demande de travailler une journée de plus par an pour contribuer à la solidarité avec les plus démunis.
Le corps professoral est certes producteur en savoirs et en savoir-faires, mais il n'est pas producteur d'argent, donc à quoi cette journée solidarité peut-elle servir puisque nous n'avons rien à vendre qui produirait de l'argent pour aider les plus démunis?
Ceci, dit environ 10 % de notre salaire est déjà offert aux autres.
Mais le pire, c'est que si vous comparez le "Montant imposable du mois", avec le "Total du mois" (ce que l'on perçois rééellement, vous vous apercevrez que le "Montant imposable du mois" est de 100 Euros supérieur, au montant perçu. Car l'une de ces CSG est imposable Si bien que nous payons des impôts sur ce que nous ne recevons pas.
La CSG étant en elle-même un impôt retiré à la source, nous payons un impôt sur un impôt retiré du salaire.
Or, si nous donnions nous-même l'argent à une assocaition caritative, il serait déductible des impôts.
Si on additionne les CSG imposables de mon époux et de moi-même, et qu'on les déduit des impôts, nous nous rendons compte que nous passerions dans une catégorie inférieure d'impôts, car nous sommes juste en bas de la fourchette de notre catégorie.
Vous voyez ce que nous-même, nous perdons comme argent parce que nous donnons sans le souhaiter de l'argent pour les autres. Non seulement, nous donnons en contribution-solidarité environ chacun 200 Euros par mois, soit à deux 4800 Euros par an, mais en plus nous sommes imposables sur la moitié de cette somme que nous ne percevons pas, soit l'équivalent de plus d'un mois de salaire pour nous deux, sans avoir de treizième mois. Connaissez-vous un autre pays au monde qui oblige ses salariés et ses fonctionnaires non seulement à donner une partie de leur salaire à ceux qui sont au chomâge (souvent par leur faute, parce qu'ils n'ont pas assez bien travaillé en classe), mais en plus à payer des impôts sur ce qu'ils donnent). C'est pire que la gabelle ou la dîme du Moyen-Âge!
Comment voulez-vous dans ces conditions que notre pouvoir d'achat augmente ? Pourtant les professeurs, grands acheteurs de biens culturels (livres, disques, revues, entrées de spectacles) font aussi vivre certains secteurs économiques par ce qu'ils achètent... Certains secteurs économiques qui péricliteraient sans eux.
Je sais que lorsque nous étions jeunes mariés, alors que nous étions encore auxiliares (j'ai réussi mon CAPES après deux ans de mariage), il y a plus de trente ans de cela, notre pouvoir d'achat était plus fort que maintenant. Comme nous étions plus en forme physiquement on pouvait se permettre de passer des vacances sous la tente, avec un matelas pneumatique qui se dégonflait au bout de quelques nuits, sans conséquences fâcheuses pour notre santé (maintenant on attraperait vite des rhumatismes et on est obligé de prendre des hébergements en dur). Donc, en fait les besoins en confort augmentent avec l'âge pour des raisons de protection de sa santé, mais le pouvoir d'achat qui lui a depuis lors diminué par rapport à notre salaire de l'époque, même en montant dix échelons, ne nous permet plus de passer de longues périodes hors de chez nous, et ceci sans loyer à payer (à l'époque nous payiions un loyer, mais nous avons trimé pour acheter la maison).
Avant on pouvait encore aller dans la famille de mon époux en Allemagne, mais depuis que sa mère est décédée, plus personne n'a de place pour nous.... Et l'Allemagne est chère.
Dans les jumelages, c'est toujours un de mes anciens collègues qui a le beau rôle et accompagne en Allemagne même des musiciens, alors qu'en tant qu'agrégé, il gagne 500 Euros par mois de plus que moi. Il accompagne en Allemagne même des musicients, alors qu'il n'a aucune notion de musique et ne connaît aucun terme musical, et que j'ai moi-même une équivalence d'allemand musicologique. Mon époux et moi, devons nous contenter dans les jumelages de parler allemand avec les allemands qui viennent en France. Parce que Monsieur mon ancien collègue agrégé profite de toutes les occasions pour aller en Allemagne en faisant des économies. Bon, je n'ai peut-être pas besoins de bain linguistique puisqu'on me prend pour une allemande et que l'inspecteur a écrit que mon collègue agrégé devait parfaire sa prononciation ! (Ce ne sont pas les meilleurs qui ont l'agrégation, paraît-il... Même les jurys d'agrégation vous le disent).
Quel rapport avec le sujet de la note? Si, il y en a un et un bon : Avec l'argent que nous dépensons de force pour la contributions solidarité, on pourrait, nous profs de langues, se payer quelques séjours dans les pays de la langue qu'on enseigne. Un besoin que n'ont pas les professeurs de mathématiques ou de français.
domino
10:45 Publié dans la politique de mon i-grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : impôts, CSG, niveau de vie, société, politique
Qu'y a t-il de positif...?
J'ai rêvé que le recteur (je ne sais d'ailleurs pas à quoi il ressemble, car en plus il change tous les ans !) demandait à ma principale :
- Le recteur : Il n'y a pas que du négatif dans ce qu'à fait Mme domino dans votre collège ?
- Ben, a répondu la principale, (elle a répondu ben parce que c'était un rêve, sinon elle aurati répondu et bien...), vous savez du positif, tout le monde en fait, tous mes professeurs en font, si elle a fait du positif, c'est normal, tout le monde fait du positif.
- Le recteur : Et du négatif, qu'a-t-elle fait de négatif ?
- La principale :
- (Grosse énumération) :
. Ele a fait une exposition sur l'Allemagne qui a gêné tout le monde ! Surtout quand elle était à l'université le Jeudi. Sa collègue devait faire attention à ce que les élèves n'emmènent pas les petits drapeaux...
. Elle a fait remplir des fiches de CDI aux élèves, qui leur ont pris à chaque heure deux minutes de travail pris sur le temps où ils travaillaient (traduction : ou ils n'auraient rien fait s'ils n'avaient pas eu les fiches) au CDI.
. Elle a commencé un projet sur l'allemand et les Pays d'Europe du Nord et de l'Est, qui n'a pas débouché sur une exposition, pour cela elle restait une heure de plus tous les soirs, jusqu'à la fermeture du collège, ce qui gênait le service des agents chargés de faire la fermeture du collège.
. Elle a fait des clubs entre midi ce qui génait sa collègue qui voulait profiter tranquillement des ordinateurs à cette heure là pour faire sa correspondance personnelle et syndicale.
. Elle a rangé tous les documents de la bibliothèque de documents à sa façon, plus accessibles aux élèves, mais avant la venue de l'inspecteur de la Vie Scolaire, sa colègue a du tout remettre selon la classification Dewey, ce qui lui a occasioné une perte de temps.
. Et surtout, surtout, elle nous a ennuyé trois soirées par semaine, tant qu'elle allait à l'université préparer son agrégation et quatre soirées par semaine en juin, à travailler jusqu'à 17h45.
Le recteur :
- Elle travaillait pour son agrégation, je suppose !
La principale :
- Non, il paraît qu'elle ne travaillait que pour nous.... C'est à vérifier. On la voyait toujours taper sur l'ordinateur de la documentaliste avec un livre ou une revue (comme Wapiti ou TDC) posée sur le coté, peut-être qu'elle faisait semblant... c'est du moins ce que nous supposons, mme domino ne peut pas travailler réellement. D'ailleurs avec 140 de Q.I., elle devrait travailler plus vite et donc rester moins longtemps.
Le recteur :
- Bon et bien, puisque mme domino était gênante pour votre collège, je vais changer son rattachement, puisqu'elle faisait chez vous un service de rattachement de titulaire remplaçante, je suppose....
La principale :
- J'en suis fort aise...
(A la rentrée, en septembre. 2007...)
La principale au corps professoral :
Et bien, la documentaliste que j'attendais n'a toujours pas été nommée. Et de plus Mme .... , ma professeur d'allemand en CLM, qui était remplacée l'année dernière par Monsieur Occitan, qui a eu sa mutation pour un poste fixe, je ne sais pas si c'est dans l'Académie ou en Occitanie, est toujours en CLM et Mr Occitan n'est plus disponible. De plus avec l'arrivée d'une deuxième sixième bilangue, j'ai beaucoup de nouvelles inscriptions en allemand, et si un ou une TZR avait été là pour faire les quelques heures supplémentaires d'allemand, cela aurait été interessant.
Un prof :
Autrement dit, vous avez besoin maintenant de deux professeurs d'allemand.
Une prof d'espagnol :
Oui, c'est à cause de tout le tintamarre qu'ils font dans le primaire, avec l'association de jumelage franco-allemand dans laquelle mme domino officie. D'ailleurs en juin dernier, ils ont fait venir une classe de primaire allemande, et il paraît que depuis tous les élèves de cette école primaire veulent faire allemand! Mme domino était même là, elle a fait l'interprète toute une après-midi pour eux, et ils l'ont prise pour une allemande!
Les profs :
Ah oui! Et Mme domino ? Elle ne peut faire le remplacement de Mme ..... ?
La principale :
Elle est rattachée ailleurs, je ne peux plus en disposer.
Certains profs et les surveillants :
Ah ! C'est dommage, car elle nous avait beaucoup aidé l'année dernière...
La principale :
Aidés ? Aidés ? Elle a surtout géné le service des agents !
Les agents (sauf la concierge et le monsieur qui a passé la tête dans la porte du CDI, le soir où le rouleau de paperboard s'était éclipsé) :
Mais nous aimions bien Mme domino, elle nous faisait toujours de beaux sourires !
La principale :
Toujours est-il que je n'ai toujours ni documentaliste, ni professeur d'allemand...
(Une semaine plus tard, au conseil d'administration)
La principale :
Je n'ai toujours ni documentaliste, ni professeur d'allemand. Pour la documentaliste, je vais faire ouvrir le CDI provisoirement par les surveillants, qu'ils surveillent les élèves en permanence ou au CDI, cela revient au même. Mais je n'ai pas de surveillants qui parlent allemand.
(un mois plus tard, au conseil d'administration)
La principale :
Pour la documentaliste, la situation provisoire de prendre des surveillants s'éternise, mais ils veulent être à deux à cause des deux salles, et ils se relaient toutes les heures ce qui fait que le service manque de continuité, de plus les élèves se plaignent que le CDI n'est plus ouvert aux récréations, parce qu'à cette heure là, les surveillants surveillent la cour et les couloirs.
Pour le ou la professeur d'allemand, je n'ai toujours personne, nous risquons d'y perdre notre classe bilangue, je sais que mme domino est disponible parmi les titulaires suppléants, mais je ne veux pas la prendre. Et je ne porterai pas la décision de prendre mme domino ou non comme remplaçante en allemand au vote du conseil d'administration, parce que j'ai peur que les représentants de parents et d'élèves votent pour sa venue. Donc, c'est non !!!!
etc....
(Un an plus tard, au pot de sortie... en juin 2008)
La principale :
Finalement, je remercie les surveillants qui se sont occupés toute l'année du CDI, c'étaient vraiment une tâche difficile pour eux... Quand à l'allemand, j'ai perdu ma classe bilangue, car je n'ai pas eu de professeur d'allemand de toute l'année, elle sera donnée au collège ... de ... où mme domino va être nommée la rentrée prochaine. Je plains son futur principal.
(...)
Quel rêve, un véritable cauchemar ! Mais la fin en est douce quand même. Je veux dire l'avant-dernière phrase de la dernière réplique.
domino
09:05 Publié dans Enseignement (1) - Vie et anecdotes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, éducation, allemand, CDI, documantation
mercredi, 27 juin 2007
Peter, Paul and Mary...
Je renoue ici avec mes notes sur le Folk. Je viens de redécouvrir Peter, Paul and Mary. Le trio était composé de Peter Yarrow, Mary Travers et Noël (Paul est un pseudo) Stockey.
A la marche de la paix à New York en 1971 :
http://youtube.com/watch?v=q8U6Oh9uSY8
Et j'entends siffler le train (version originale en anglais)...
http://www.youtube.com/watch?v=BJXFJW3AIKA
"There but for fortune" de Phil Ochs, songwriter trop tôt disparu (Le répertoire est sensiblement le même que celui de Joan Baez, mais toujours harmonisé à trois voix.)
http://www.youtube.com/watch?v=iw4xAvm_DXE
"Don't think twice it's all right" de Bob Dylan (N'y pense plus tout est bien, version française Hugues Auffray, les chanteurs français allaient chercher leurs chansons en Amérique et avaient du succès avec...)
http://www.youtube.com/watch?v=AQ93dg8mnUk
Et maintenant.... Ils ont veilli, comme nous ! (Je suis comme Mary..) Ici, avec Pete Seeger.
http://youtube.com/watch?v=cLe9pJSRas0
domino
22:15 Publié dans L'i-grimoire du Folk | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : folk, musique, musiques, Peter Paul and Mary
vendredi, 22 juin 2007
Les horloges ont buggé...
Non, c'était seulement les horloges de mon i-grimoire qui ont buggué. Pour que l'on s'interesse plus à elles qu'aux petits pixies... Et en bugguant elles bloquaient tout l'i-grimoire. Ah ! Oh ! Temps ! Suspens ton vol !
domino
14:15 Publié dans bug | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : horloges, bug