lundi, 04 juin 2007
Tout à fait autre chose... (ours ou singe?)
Je me suis demandée un jour si nos ancêtres étaient vraiment les singes, les singes montent aux arbres, ils sont agiles, croyez-vous que la Vénus de Willemsdorf montait aux arbres ?
Moi, je trouve que nos ancêtres féminines avaient plutôt la forme d'ourses. Et qu'encore maintenant la femme est plus pataude et caline (je suis une femme, ne m'en voulez pas, en tant que femme je ne pas être mysogyne), que la femelle du singe. Si nous étions des ourses, des descendantes d'ourses ?
Encore les hominidés qu'Alexandre le Grand lançait au devant de ses armées, auraient été des hommes terribles, des hommes de Neanderthal, des homo habilis, qui auraient encore vécu à cette époque.
Certains disent que des habitants d'un village de l'himalaya aperçoivent régulièrement de loin des hommes d'un autre âge dont la description ressemblerait à celle de l'homme de Neanderthal. Des revues de trek, vers l'an 2000 s'en étaient fait largement l'écho.
C'est dans ce coin là que l'on voit aussi régulièrement le Yéti, mi-ours mi-homme. N'est-ce pas mon cher Rheinhold ?
Alors que notre ourson Knut témoigne tant d'affection et de tendresse à un humain, rien d'étonnant.
Romulus et Rémus auraient été élevés par une ourse, pardon, une louve... Mogly par les animaux de la jungle, alors pourquoi ne pourrions nous pas élever des ours comme des bébés? Ce serait un juste retour des choses.
Alors je porte mes rondeurs avec fierté, moi, descendante d'ourse quand celles qui prônent la maigreur croient descendre du singe...
Bon, je sens que cette note élucubrante ne va pas me faire que des amis...
domino
22:20 Publié dans Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Knut, singe, ours, d'où venons-nous?, origine de l'homme, humour
La loi la meilleure
Dans cette société, je n'ai remarqué qu'une chose....
que la loi du moindre effort est toujours la meilleure.
Interprétation :
Ceux qui travaillent plus que la loi du moindre effort (comme moi) sont toujours les dindons de la farce.
domino
21:55 Publié dans Pensée du soir, Pensées et Aphorismes, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, société, satire, pensées, aphorismes
La liberté
La liberté...
c'est de dire non.
c'est de se montrer supérieurs aux supérieurs hierarchiques qui vous lient les mains en ce qui concerne votre travail,
c'est de faire pour ses élèves des programmes plus interessants et plus complets que les programmes imposés,
c'est de dire non comme cet élève qui a dit qu'il était "imposé' au CDI (en colle),
c'est de faire la grève du zèle en faisant plus(ssssse) que 18 heures et en ne se faisant pas payer les heures supplémentaires (heures sups hors horaires évidemment),
c'est de sortir du collège au moment où l'on ferme les portes et en criant HAUT et FORT que 1.4h c'est pas assez pour ranger le matériel de la dernière heure et préparer celui du lendemain matin, surtout quand on voit à 17h45 des professeurs descendre de leur classe en courant pour ne pas être enfermés dans le collège,
c'est de se laisser enfermer le soir dans les collèges et les lycées pour montrer qu'il n'y a pas assez d'agents d'accueil dans l'éducation nationale, car s'il y avait assez d'agents d'accueil, ils pourraient rester plus longtemps puiqu'ils auraient moins d'heures le matin pour certains d'entre eux,
c'est de se faire nommer à 100 km de son habitation familiale pour faire 200 km par jour en suivant une formation sur sa journée ou ses demi-journées de congé, pour tomber dans les pommes en plein cours en janvier ou en mars pour montrer que le recteur a eu tort de vous nommer aussi loin, la liberté c'est de tomber dans les pommes tous le même jour ou presque pour qu'il n'y ait plus assez de remplaçants,
(c'est cela la résistance passive, restons tous le plus longtemps possible dans nos collèges et lycées pour qu'on en ai marre de nous, et qu'on nous rende la vie plus facile en arrêtant de nous dire : vous êtes interessants tant que vous gardez des élèves, mais ininteressants dès que la cloche a sonné.)
Car ce qui interesse l'administration, c'est que les élèves soient dans une salle avec un adulte aux horaires impartis, tout le reste étant inintéressant pour l'administration.
Que vous vouliez préparer votre cassette et votre rétro-projecteur la veille, placer les polycopiés sur la table dans l'ordre où vous allez les distribuer, c'est ininteressant pour votre administration. Du moment que vous êtes dans votre classe au son de la cloche et que vous débarassiez le plancher une fois la cloche sonnée, voilà ce qui est interessant !
Mettre des agents qui travailleraient de 14 à 20 heures cela interesseraient les femmes qui veulent faire leur marché le matin, et je suis sûre que de tels horaires ne déplaieraint pas à tous ! Voilà qui n'est pas ininteressant, même si c'est inintéressant pour l'administration.
Ce n'est pas en défilant dans les rues qu'on obtiendra quoi que ce soit, employez d'autres formes de lutte qui concernent directement la chose que vous voulez obtenir, comme rester plus longtemps, quand on vous dit de rester 35 heures (sans pouvoir suivre vos séminaires et vos cours d'université en même temps), etc.... Mais il faut rester plus longtemps en gênant les autres.
domino
21:30 Publié dans enseignement (3), Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, société, luttes
dimanche, 03 juin 2007
Disparition...
Je viens de constater une nouvelle disparition, mais cette fois-ci à la maison.
Je suis rentrée Jeudi soir avec des livres dont je me sers depuis le mois de septembre et des cours dans mon cartable.
Comme soi-disant je n'allais pas assez vite pour changer mon cartable vendredi matin, mon époux l'a fait pour moi. Il a troqué mes affaires d'allemand qui étaient dans mon cartable jeudi contre mes affaires de documentation qu'il a mis dans mon cartable Vendredi matin. Jusque avant cette année, je faisais mon cartable moi-même; j'ai toujours fait mon cartable moi-même, mais depuis cette année mon époux me bouscule tous les matins parce que je ne vais pas assez vite à son gré, mais une fois que la voiture est sortie (c'est moi qui conduit), il reste 10 minutes dans la maison pour vérifier s'il a bien fermé les plaques chauffantes de la cuisinière qu'il a allumé pour faire le café, et me fait poireauter dehors, l'autre jour, j'ai même eu le temps de faire tout le tour du quartier en voiture en attendant, histoire de passer le temps d'attente sans trépigner d'impatience.
Et voilà ! Ce matin, il m'a dit : On doit aller dans Comité de Jumelage traduire pour un match de foot franco-allemand. On est dimanche, je me suis levée à 7 heures du matin, il m'a dit, si on arrive à 12h, ça ira aussi, on peut n'y être que pour la remise des trophées. Puis à l'approche de 10 heures, changement de programme, monsieur y va tout seul, mais en train, parce que comme j'étais devant mon ordinateur (que j'allais fermer pour me préparer à partir), on ne serait jamais arrivés là-bas à 12 h. C'est à 40 km de routes tortueuses, on met 1h pour y aller, on avait à 9h 50 largement le temps de se préparer tout doucement et de partir.
Et voilà, puisqu'il me laisse devant mon ordinateur et se précipite dehors, je continue un peu de web et d'Internet, puis je cherche les bouquins et les classeurs de jeudi, que monsieur a échangé précipitamment avec mes classeurs du Vendredi et alors là..... Introuvables. Je lui téléphone. Si, si, ils sont dans un sachet vert, là où tu branches l'ordinateur et le modem, juste à coté. Là je trouve mon cartable de Vendredi qu'il n'a pas encore touché, mes affaires d'hier dans un sachet d'une autre couleur, mais pas les livres que je cherche, ni mes classeurs du Jeudi. Il me rappelle au téléphone tout joyeux, alors que à force de chercher, je commence à pleurer.... "Tu as trouvé?" -"Non!"
Alors je lui explique tout ce que j'ai trouvé dans cet endroit, tout sauf mes affaires du mercredi et du jeudi,j'ai cherché dans d'autres endroits, un paquet comme celui-là, ça devrait crever les yeux, et je ne trouve pas.... Je vais encore aller voir à la cave, au garage, on ne sait jamais, bien que ce ne soit pas des places pour des livres et des cours, la dernière fois que je les ai vus c'était dans le cartable le jeudi soir, comme j'étais crevée, je n'ai pas eu la force de les déballer moi-même, je dormais debout... Il dit bien les avoir sorti du cartable lui-même. Hier, quand on est partis faire nos cours du samedi, j'ai trouvé qu'il fermait plus vite la porte d'entrée que d'habitude et je me demande s'il l'avait vraiment fermée. Je lui ai demandé trois fois si la porte était bien fermée. "Tu n'as qu'à aller voir toi-même!" a-t-il hurlé. Mais il fallait que je ressorte de la voiture et que je remonte tout l'escalier ! Je n'en ai pas eu le courage...
Bon, je me dis qu'au meilleur des cas, il a mis ce sachet qui paraît-il est vert (un sachet poubelle comme ceux que donnent certains magasins comme sachet à provisions? et qu'il aurait mis à la poubelle?), dans un autre endroit que celui où il dit l'avoir mis, mais où ????? En tout cas, ce n'est pas moi qui l'ai rangé parce que j'étais trop fatiguée le jeudi soir, et ce n'est pas moi qui est fait mon cartable Vendredi matin, donc pas moi qui l'ai vidé non plus.... Lui, est plus grand que moi, plus fort, quand nous nous promenons à deux, il marche toujours 10 à 100 mètres devant moi et ceci depuis plus de 30 ans, mon mari courait le 400 m en 48 secondes quand il était en Terminale, aussi vite que Colette Besson aux jeux olympiques de la même année, mais il n'a jamais fait de compétitions et ne s'est jamais entraîné. Moi, je mettais 1mn 28 pour faire 400 mètres. Soit presque le double de lui !
Depuis les disparitions de fils de branchement d'ordinateur quand j'ai acheté mon ordinateur l'an dernier, j'ai relâché la surveillance; j'ai relâché la surveillance des sorties d'objets de la maison, depuis le début de cette année scolaire. C'est peut-être pas bien, mais pendant 6 mois, j'ai fouillé les sacs de mon mari avant qu'il ne sorte de la maison, pour voir s'il n'emmenait pas quelque chose dont j'allais avoir besoin dans la journée, car c'était toujours les choses dont j'avais un besoin urgent qui disparaissait, hier je suis allée voir le jardin de derrière, histoire de voir ce qui se passe, parce qu'on a de nouveaux voisins. J'avais fermé les portes en partant, avec mon époux à l'intérieur. Quand je suis revenue la porte d'entrée était grande ouverte et mon époux dans la cuisine. Je lui ai signalé son imprudence et il m'a dit : "Oh ! Je viens de l'ouvrir pour te faciliter l'entrée!" Peut-être que quelqu'un est venu le temps que j'étais derrière.
Quand on rentre le soir, il se précipite vers la boîte aux lettres, le courrier est au milieu des réclames et j'ai parfois l'impression qu'il cache rapidement une lettre, en se servant des réclames pour cacher la lettre qu'il fait disparaître dans son manteau.
Jeudi soir, en rentrant, on est allé acheter des chaussures à Ville Où Je Descends Du Train. Il était temps, car mes chaussures commençaient à être trouées. Il a toujours son mot à dire dans ce que j'achète, il n'a pas voulu que je prenne un modèle qui ressemblait trop à des chaussures de sport; j'étais assise le dos à la vitrine, en train d'essayer des chaussures, il était devant moi avec le marchand de chaussures, la face tournée vers la vitrine quand quelqu'un est passé devant le magasin. Quelqu'un a qui il a dit bonjour, il me semble que le marchand de chaussures, lui, n'a pas dit bonjour à cette personne. La personne avait l'air de rester debout sans bouger sur le trottoir en regardant mon époux, je me suis retournée, c'était une femme beaucoup plus sophistiquée que moi. Elle regardait mon époux et pas le marchand de chaussures. J'ai vu que mon époux lui faisait signe avec sa tête de partir, comme si elle avait été importune. C'était une femme que je ne connaissais pas. Grande et mince, avec des cheveux bruns. Entre 40 et 50 ans.
Je me suis demandée qui était cette femme, et je le lui ai demandé une fois dans la rue. Il m'a dit "Oh, c'est personne !, "Si, c'est quelqu'un ai-je dit" et j'ai insisté.... "Oh! C'est une femme que je vois parfois dans le train, je la connais de vue".... Mais, s'il la connait si peu, pourquoi l'a t'elle regardé longuement, et pourquoi lui a-t-il fait signe de partir (Comme j'étais assise derrière des boîtes de chaussures empilées, elle ne m'avait sans doute pas vue).
Voilà, mon époux n'a soi-disant rien à me cacher, mais depuis 5 ans environ, sur nos trente ans et plus de mariage, je ne le comprends plus bien, je ne comprends plus son changement de comportement.
En plus, il y a d'autres choses qui changent en lui, avant il parlait toujours très lentement en cherchant ses mots comme s'il mettait longtemps à les choisir. Maintenant il parle plus vite.
Avant il chantait faux, depuis une ou deux semaines, il chante juste, sans que personne n'y a rien fait.
Je me demande parfois, s'il a un sosie, un clône et si ce ne serait pas le clône ou le sosie qui déplace mes affaires.
Moi, je ne touche jamais à ses affaires, sauf pour nettoyer ses vêtements. Lui, regarde souvent dans mon sac à main sous prétexte de mettre de l'argent dans mon porte-monnaie, depuis cette année il fait aussi mes sacs scolaires et universitaires.....
domino
P.S. Il vient de rentrer, le sachet n'était pas vert, mais blanc, il était dans le coin où j'ai regardé vingt fois sans voir de sachet blanc à cet endroit là... ni vert, ni rouge, à part ceux que j'ai cité plus tôt, par quel tour de passe passe a-t-il réussi a faire passer ce sachet blanc là-bas, mystère.... Il s'est excusé de s'être trompé sur la couleur du sachet, mais si ce sachet avait été là, même blanc, je l'aurais vu....
Si, j'ai compris le tour de passe passe. Ce coin-là est près d'une porte donnant sur l'entrée. Il s'est penché un instant dans un coin de l'entrée près de cette porte en me disant "Il est là..." Je lui ai dit : "C'est pas là que tu avais dit qu'il était..." Il est allé de l'autre coté de la porte (Vraisemblablement il a du passer son bras par l'encoignure de la porte pendant que je ne regardais pas, en posant le sachet de l'autre coté, et est allé de l'autre coté, où j'avais regardé vingt fois, en disant, il est là....
(peut-être qu'il a prété mes cours à quelqu'un ou que quelqu'un me les a changé, peut être qu'on a mis des renseignements faux dans mes cours... )
je vais vous dire une chose, la première année que j'ai repris l'université pour préparer l'agrégation une professeure m'avait écrit sur ma copie "Très grande aisance dans le maniement de la langue allemande, " J'ai retrouvé cette copie avec la même note et une appréciation beaucoup plus mitigée deux ans plus tard.... Et je sus sûre d'avoir lu cette appréciation 36 fois et de ne m'être pas trompée...
J 'ai eu aussi l'imrpession que certains de mes papiers officiels avaient été changés. Par exemple, je suis quasiment sûre que sur l'un de mes papier figurait ma profession "'professeur". Il devait s'agir de mon permis de conduire qui date des années 70. Il n'est plus écrit ma profession sur mon permis de conduire, il y a toujours la même photo, mais il a l'air neuf.
Donc, mon époux serait le complice de quelqu'un qui veut m'empêcher de réussir mon agrégation, mais de qui?
L'autre jour, lorsque mon prof de grammaire m'a dit de prendre tel texte, le texte n'était pas dans mon classeur, que j'avais pourtant bien rangé, dans l'ordre demandé. J'ai pensé qu'il ne me l'avait pas donné, mais on a trouvé cela bizarre tous les deux. Je commence à voir où peut être le malfaiteur. Quand au rouleau de paper-board, ce n'est pas possible que ce soit lui, car mon époux, lorsqu'il vient à ma rencontre le soir, n'entre pas dans le collège.
Le proviseur d'il y a cinq, six, sept ans m'avait déconseilé de faire entrer mon époux dans le lycée, bien qu'il soit prof lui-même. Il m'avait dit une fois "Votre mari est professeur, mais est-ce qu'on peut lui faire confiance?" J'avais été choquée par cette question, pour moi, à l'époque, c'était évident qu'on pouvait lui faire confiance, je n'avais pas encore constaté de disparitions à la maison. Je constate des disparitions depuis cinq ans, cela a commencé par mes vêtements, et surtout mes chaussettes. On ne reçoit plus personne, pour être sûre de ne pas accuser de tierces personnes.
J'ai déjà dit à mon époux que la kleptomanie est une maladie qui se soigne, mais je n'ai pas obtenu de réponse. Ses chaussettes à lui ne disparaissent jamais et elle vont pourtant dans la même machine à laver, c'est cela qui est drôle. Il a prétendu que mes chaussettes pouvaient sortir du tambour pendant la lessive, mais ma machine s'ouvre par le haut, et le tambour est fermé. Ce sont les machines allemandes qui ont des tambours ouverts et s'ouvrent par devant.
domino
15:15 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vie de famille
vendredi, 01 juin 2007
Accueil on ne peut plus cordial....
Que s'est-il passé ensuite à propos de ma principale en courroux ?
J'ai fini par aller chez un médecin dont j'ai l'habitude, il a fait une lettre pour ma généraliste, dans laquelle il donne tous les torts à mon administration. Le fait de ne pas vouloir m'écouter... De crier... etc.: .... Le fait qu'on n'ait retrouvé le parperboard après la pause de midi durant laquelle des personnes possédant la clef on pu pénétrer dans le CDI, montrent que l'administration n'est pas très honnête vis à vis de moi.
Ma généraliste a recopié quelques phrases de sa lettre pour faire un certificat m'autorisant à reprendre le travail à condition de n'avoir ni stress répétés ni provocateurs. Il s'agit ici bien entendu non pas des élèves mais bien dans la tête du médecin et la mienne des provocations de l'administration, puisque le Mardi matin au téléphone interne du collège, la principale a bie crié la première.
J''avais simplement dit "Madame, j'ai a vous signaler un vol (ou une disparition) au CDI"ceci d'un ton neutre , et la principale a hurlé dans le téléphone : "Oui, à ce propos, je voudrais vous voir".
Ce mardi-ci quand j'ai donné le certificat, la principale a jeté un coup d'oeuil dessus, je lui ai bien lu les mots "stress et provocateurs" en lui disant que cela la concernait, et Madame n'a rien trouvé mieux que de continuer à hurler sur moi, qu'elle était ma supérieure hiérarchique et que c'était elle qui commandait (Elle est quelques années plus jeune que moi).
Elle m'a dit qu'elle n'était pas bien au courant des décrets régissant le statut des TZR (pourtant c'est son métier, surtout si on rattache des TZR chez elle), et que elle pensait que si elle n'avait pas d'allemand à me donner, je devais faire du CDI, parce que je gagnais un gros salaire (10ème échelon), et qu'il fallait justifier de ce salaire, et que ce n'est pas en restant chez moi à préparer des cours d'allemand pour tous les manuels et tous les niveaux, ceci pour faire face à toute éventualité, que je justifiais de mon salaire.
Elle m'a dit aussi que finalement je n'avais qu'à attendre 18 h dpar semaine dans le collège qu'on me téléphone. J'ai tenté de lui expliquer que les quelques suppléances que j'ai eues depuis les quelques années que je suis TZR (avant j'ai été plus de deux décennies sur des postes établissement), j'avais reçu les coups de téléphone du rectorat chez moi et pas dans mon établissement de rattachement et que c'est moi-même qui avait informé l'établissement de rattachement des suppléances, alors que cet établissement n'étaient pas au courant et non le contraire. Mais si je reste trois jours par semaine (3 X 6 heures) au collège situé à 35 km de chez moi (70 km, 3 fois par semaine pour ne rien faire...si je restais dans la salle des profs), quand le rectorat me joindra-t-il les jours où je suis à l'université ? Pour que le rectorat puisse me joindre, il faudrait que je sois 5 jours sur 5 et à toutes les heures dans l'établissement et que je ne suive plus ma formation d'agrégation... Que j'aille me tourner les pouces au collège 5 fois par semaine.
Elle m'a dit que si elle me faisait travailler, c'était pour les collègues me critiquent moins. (Mais ils sont plus jeunes que l'âge où je suis devenue TZR, peut-être qu'en fin de carrière, ils seront aussi TZR ! Et qu'on les critiquera parce qu'ils se tournent les pouces, même s'ils travaillent.
Je lui ai dit que dans certains établissements de rattachement, on envoie les TZR à la maison, pour que justement les collègues ne pensent plus à eux et croient qu'ils font des suppléances. Et ne soient plus jaloux d'eux.
Ce n'est pas tant que je plaiderais ma cause pour ne pas travailler, au contraire. Même si la documentation n'est pas ma tasse de thé (il y a beaucoup d'activités répétitices comme de répertoirier tous les jarticles de revue dans l'ordinateur). J'ai tellement travaillé quand j'étais prof d'allemand à part entière de lycée et de BTS (de 70 à 105 heures par semaine) qu'on ne peut pas me reprocher de la paresse.
Bon, enfin bref tout cela pour vous dire que ma principale m'a reçue d'une façon brusque et n'a ps du tout tenu compte des objections que je formulais concerannt cette histoire de disparition de papier.
Bien évidemment, le rouleau de papier a été retrouvé dans l'armoire derrière notre bureau
1) Un endroit où je n'aurais jamais pensé à le mettre vu que sa place était sous le coté du bureau, je ne vois pas pourquoi j'aurais soudainement éprouvé le besoin de mettre en sécurité ce rouleau de paperboard, alors qu'il est depuis le mois de septembre sous le bureau à la vue de tous.(Et n'oubliez que quand je suis dans ce CDI je réfléchis toujours à la place que je donne au moindre objet). On essaie de faire croire que je serais folle. On dirait que l'on fait un peu avec moi comme mon frère a fait avec les papiers de ma mère avant qu'elle ne parte en maison de retraite.
2) presque une journée complète après que ce rouleau ait disparu, donc avec possibilité que quelqu'un l'ait mis à cette place entre midi.
3) Ce rouleau m'a semblait moins épais que celui que j'avais étalé sur une table ce fameux lundi soir. Si c'est le même, peut-être qu'une personne s'en est servi entre temps en utilisant un certain nombre de feuilles. A moins que l'on en ait ramené un autre. Il y a beaucoup de gens qui se servent du matériel d'autres personnes sans le leur demander. Et les remettent ensuite en place sans qu'on en ait rien su. Cette utilisation a peut-être été faite sans mauvaise intention de la part de l'auteur de cette disparition momentanée.
Bref, ma principale a fait beaucoup de bruit pour rien, car si elle n'avait rien dit, l'affaire en serati restée là. mais à cause de tout le bruit qu'elle a fait autour, cela a été plus néfaste à moi qu'aux autres protagonistes de cette histoire. Et cette histoire a également sali ma réputation de professeur calme.
En tout cas Mardi j'ai repris le travail, comme il y avait le Jeudi de l'Ascension et le Lundi de Pentecôte que nous avions rattrapé à l'avance dans ma semaine de congé inopinés je n'ai pas manqué beaucoup et avec toutes les heures supplémentaires non payées que j'ai faites avant l'évènement du paperboard, j'ai largement rattrapé ces journées.
En tout et pour tout j'ai manqué trois jours entier la semaine dernière, plus les deux parties de journées où la principale m'a fait fuir en hurlant sur moi. Ce sont les seuls jours où j'ai manqué cette année scolaire alors que je ne suis obligée d'effectuer ce service de documentation. Et tout de suite on en fait une histoire abominable.(Mon collègue d'allemand a manqué plus souvent, ses élèves arrivaient souvent au CDI en disant qu'il n'était pas là, c'était surtout le lundi matin, il devait être en retard).
Et ce mardi, 'ai fait encore plus d'heures que prévu, j'ai fait la journée continue, de 10 h, moment où j'ai quitté le bureau de la principale, jusqu'à 5 h. En prenant 1/4h pour manger mon sandwich, soit 6h 45 au lieu de 6 heures.
domino
domino
01:00 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, harcèlement moral
vendredi, 25 mai 2007
Lettre ouverte de la Petite Pixie
Maman domino, la journaliste alternative,
Non, maman ce n'est pas moi, mon usurpatrice, je suis la vraie petite pixie, et je t'aime, tu n'es pas folle, je le sais bien, car je te connais, et je te regarde tous les jours par ma fenêtre dans ton écran d'ordinateur.
L'usurpateur est méchant, il ne nous aime ni l'une, ni l'autre, et je le dis ici, c'est la vraie petite pixie qui écrit cette note et je t'aime.
Tu fais bien d'enlever les commentaires de l'usurpateur qui dit des bêtises sur moi... en se faisant passer pour moi.
La petite pixie (aidée par domino)
11:30 Publié dans A propos de la petite pixie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : petite pixie, commentaires