jeudi, 20 novembre 2014
Les meilleures notes d'agrégation d'une bi-admissible
Mes meilleures notes d'agrégation d'allemand
Si je rassemble mes meilleures notes obtenues des années différentes, je pourrais être agrégée...
Agrégation interne |
/20 |
année |
Ecrit dissertation |
15,25 |
2012 |
Ecrit traduction |
12/20 |
2005 |
Oral universitaire |
11/20 |
2003 |
Oral didactique |
7,75/20 |
2012 |
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Agrégation externe écrit |
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Dissertation allemande |
4,5/20 |
1991 |
Thème écrit |
12/20 |
2011 |
Version écrite |
14/20 |
2011 |
Dissertation française |
5/20 |
Dans les années 1990 |
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Agrégation externe oral |
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Explication de textes en allemand |
1/20 |
2011 et 2012 2011 (tronc commun) 2012 (option littérature) |
Version orale + grammaire |
9,75/20 |
2011 ou 2012 |
Thème oral + agir |
12/20 |
2012 |
Thème oral : |
12/20 (9/15) |
2012 |
Agir |
14/20 (3,5/5) |
2011 |
Leçon en français (civilisation du tronc commun) |
2/20 |
2012 |
Leçon en français (linguistique) |
4,5 /20 |
2011 |
Bon, peut-être que je n'aurais pas réussi l'oral de l'externe, si on additionnait mes meilleures notes, mais j'aurais réussi l'interne quand même...Malheureusement, toutes ces notes ont été obtenues des années différentes et je me retrouve avec 5 admissibilités et aucune admission..
Et plus d'espoir de l'avoir, car prenant ma retraite dans un an et 10 mois, je suis considérée comme ayant dépassé la « limite d'âge » (notion très floue, car il n'y a pas de limite d'âge, mais il y en a une quand même) avant la fin du stage d'agrégée. Je resterai donc titulaire d'un beau CAPES des années 70, et d'un bi-admissibilité à l'agrégation, certifiée bi-admissible à l'agrégation. Hurrah!
domino
Sujets de ces notes :
agrégation interne
dissertation : Empire austro-hongrois
traduction 2005 : il y avait une version de Jelinek
oral expl texte: Discours de Bismarck
didactique : Intégration des turcs en Allemagne
Agrégation externe
dissertation allemande : Poèmes de Brecht
dissertation française : Théâtre moderne (je ne me souviens plus de l'auteur)
explications de textes tronc commun : Un discours, période 1945/90
explication de textes option littérature : Im Kreise gelaufen (Peter Weiss)
grammaire : 1) La linéarisation de l'énoncé
2) L'expression du temps.
leçon en français linguistique : ... L'énoncé ???
leçon en français tronc commun civilisation : Les tchèques dans l'empire austro-hongois : Un sujet de prédilection où j'ai eu 1/20! Na shledanou!
domino
Le jury d'extere : Elle ne comprenait pas ce que l'on disait, ele fronçait les sourcils. Mais non! elle comprenait tout, mais elle fronçait les sourcils parce qu'elle préparait sa réponse...
19:52 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, concours, agrégation
jeudi, 30 octobre 2014
Postes d'enseignement frontaliers et carte d'identité valable et non valable
Roman-théâtre
Du journal de Doofie
On a été informés hier que notre carte d'identité qui expire en Novembre pour Schnelly et en décembre pour moi sera prolongée de 5 ans, mais valable uniquement en France et dans certains pays, mais pas en Allemagne et en Belgique (je peux encore aller aux marchés de Noël en Allemagne jusqu'au 2 décembre! Ensute : plus de Noël en Alemagne pendant 5 ans... et si d'ici là, on fait des prolongations valables uniquement en France, ce sera pour 10 ans, puis pour le restant de ma vie que je ne pourrai plus aller en Allemagne) Cla m'étonnerai que pour parler allemand, je puisse encore aller en Autriche, je sais que ma carte est valable en République Tchèque encore 5 ans, mais si la carte n'est plus valable ni en Suisse, ni en Autriche,vu qu'il n'y a pas de mer ppur prendre la bateau jusqu'en Rep Tchèque, je devrais prendre l'avion,mais comme j'ai horreur de l'avion et une peur panique de voir l'avion que je prendrais tomber en chute libre, je n'irai pas en avion, donc, basta, si la Suisse et l'Autriche n'ouvre pas la porte à ma carte d'identité périmée depuis moins de 5 ans, je ne vais plus pouvoir, moi qui suis prof d'allemand et active dans les jumelages avec l'Allemagne, aller en Allemagne ou en Autriche.
Le problème se pose pour les postes sur deux établissements limitrophes de l'un des pays qui 'n'accepte pas la carte d'identité périmée depuis moins de cinq ans. Comme les deux postes qu'a occupé Bêtie en suppléance au 2ème et une partie du 3ème trimestre 2012-2013 et au premier trimestre 2013-2014.
En poste sur deux établissements limitrophes de la Taxandrie, Bêtie effectuait deux fois par semaine un trajet inter-établissement en taxi à 18 € le trajet aller seulement. Le taxi passait par une route dont l'Ouest est en Francie et l'Est en Waflammie. Heureusement, le sens du trajet éait calculé pour que la voiture reste en Francie, sauf quand elle doublait et les taxis doublent souvent, car alors, elle n'était plus en Francie, mais en Taxandrie. Dans un virage d'ailleurs, les deux côtés de la route étaient en Waflammie.
Sur le poste d'il y a presque deux ans, Bêtie qui habite au Sud d'une agglomération de 135 mille habitants qui suit le cours d'une rivière sur 30 km, avait une partie de sa suppléance, à 11 km de chez elle, donc pleinement en Francie et l'autre partie à 30 km, à la limite de la Taxandrie. A l'aller le bus d'agglomération (une nouvelle ville de 30 km de long (l'une des plus longues du monde!) qui porte tout simplement le nom d'Agglo) qui conduisait au collège qui est tout en haut d'une colline qui domine la ville, par vent, par neige et par verglas et Dieu seul sait s'il y en a eu cete année-là, car les gens oublient vite!- passait à l'aller, car il fait une boucle, par la Waflammie (Taxandie). C'était d'ailleurs entre deux arrêts, le premier arrêt étant le long de la voie ferrée, le deuxième après être passée devant l'entrée de la grand-rue commerçante qui mène à la gare de la ville de Waflammie, prend une rue entièrment en Waflammie avant d'effectuer un nouvel arrête juste après le panneau d'entrée en Francie. Donc, là, on était bien en Waflammie, puisque après avoir quitté la Francie deux minutes avant et avoir vu le panneau Waflammie, on était de nouveau en Francie avec un beau panneau "Vous entrez en Francie!". Encore trois arrêts et on était au collège en haut de la colline, le bus passait dans une rue derrière le collège et il y avait bien encore cinq minutes à pieds jusqu'au collège, sur un trottoir très glissant par temps de verglas.
Comme ni Bêtie, ni moi, on ne peut faire de passeport biométrique parce qu'on ne connait pas les incidences que peuvent avoir les rayonnements des appareils utilisés sur les terminaisons nerveuses de nos doigts de guitaristes virtuoses, on n'ira pas en Germanie, ni en Waflammie/Flawallie d'ici 5 ans.
Donc, ne donnez pas dà Bêtie e poste où il faut passer par la Waflammie pour y aller... En plus, sur ces postes, on a beaucoup d'élèves Waflammes issus des établissements Waflammes où d'après mes neveux, waflammes, c'est le chaos complet.
Et comment vont faire les collègues qui de plus en plus nombreux ont acheté une maison en Belgique, juste derrière la frontière, parce que les maisons sont moins chères là-bas? Ils vont devoir acheter une maison en France, à expiration de leur carte d'identité, car ils ne pourront plus rester en Belgique...
Doofie
12:01 Publié dans enseignement (3), Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 28 octobre 2014
Les salaires diminuent
Roman-théêtre
Du journal de Bêtie
Les salaires baissent
Entre septembre 2013 et septembre 2014, mon salaire de professeur bi-admissible à l'agrégation 11ème échelon a baissé de 80 € environ. Quelle nouvelle cotisation ont-il inventé pour que les salaires baissent? (Je parle du salaire de base sans les indemnités de TZR).
Après avoir donné une prime pour compenser l'augmentation du coût de la vie en juillet, voilà qu'ils nous baissent nos salaires, ce qui fait que l'un dans l'autre, sur l'année on va reperdre la prime que l'on a eue.
Et pourtant, il faut que je soigne ma jambe car du 3 août jusqu'à il y a quelques jours j'étais obligée de marcher avec des bâtons pour compenser la douleur vive que j'avais dans le genou (qui s'est calmée au bout d'une semaine de vacances d'octobre sans marche à pied, mais je ne fais pour le moment que le tour du pâté de maison et encore!)
Depuis 9 ans que je suis TZR (avant, j'étais sur poste fixe, un poste en lycée que j'ai perdu à la faveur d'une politique du rectorat menée contre les postes d''allemand pendant l'ére de l'empereur Entreboues), je n'ai que rarement perçu des indemnités de déplacement alors que j'ai effectué des remplacements jusqu'à 80 km de chez moi et 120 km de mon collège de rattachement (soit 160 à 240 km AR journaliers). Parfois c'est le contraire, pour un collège à 8 km de mon collège de rattachement, je dois faire un trajet de 30 km à partir de chez moi, soit 60 km AR.
Pour un remplacement de 5 mois dans ma ville de rattachement, sans indemnité, car dans la même ville, je devais faire 68 km AR quotidiennement.
Mon collègue qui a le poste fixe sur mon rattachement a été plusieurs années TZR avant d'avoir le poste fixe et percevait alors les indemnités de TZR depuis son rattachement, alors que moi-même j'effectuais le même parcours de 64 km AR pour pointer à la documentation du collège sans indemnité de déplacement car je travaillais sur mon rattachement.
Ce serait plus logique de calculer les indemnités de TZR depuis le domicile (conjugal pour moi et en propriété indivisible avec mon époux), mon époux étant retraité, nous ne pouvons plus bouger). (Certains voudraient démolir ma maison pour qu'on bouge, mais il ne pourront pas parce que c'est dans un coron d'usine, patrimoine mondial de l'humanité). Pareil : on a retrouvé des réglementations selon lesquelles un voisin n'a pas le droit de vous faire enlever un arbre fruitier, l'arbre qui dépasse chez ma voisine étant un pommier à deux sortes de pommes, elle ne peut pas le faire enlever. L'arbre qui pousse devant la maison est un frêne en voie de disparition dans les forêts françaises, donc protégé.)
Ceci dit, je n'ai jamais eu les indemnités inter-établissements bien qu'ayant fait des remplacements sur plusieurs établissements et bien qu'ayant souvent dû payer le taxi pour être à l'heure dans mon deuxième établissement ou tout simplement pour pouvoir faire les cours de l'après-midi car il n'y avait aucun transport en commun entre les deux villes. Pourtant un règlement stipule que les compléments d'horaire doivent être faits dans la même commune.
Or, en décembre 2009 (je ne suis plus sûre de l'année) , j'ai fait un déplacement de 60 km entre deux établissements : ce déplacement n'étant à effectuer que le vendredi, car les autres jours je travaillais soit dans l'un, soit dans l'autre établissement, le cours du matin finissant à 11 h 10, j'ai dû prendre un taxi pour atteindre la gare à 8 km car il n'y avait pas de bus à cette heure-là. Il y avait l'avant-veille des vacances de Noël de la neige d'une épaisseur incroyable et le bus que j'avais pris pour aller à la gare vers 5 heures sur soir, devait prendre son élan pour monter les côtes, j'ai bien cru ne jamais arriver! Le lendemain plus aucun bus, le taxi après avoir accompli des prouesses sur neige, et avoir été bloqué par un mariage dans un village est arrivé à 11 h 59 à la gare pour un train à 12 h piles. Heureusement que j'avais mon billet, j'ai dû traverser la gare en courant pour avoir le train.
Depuis 5 ans, je n'ai fait que courir. Avec des sacs lourds de livres et de classeur, que je porte dans un sac à dos, j'ai usé mes genoux.
J'ai l'impression que si mon salaire baisse, quelqu'un se met l'argent que je pers dans sa poche : détournement de fonds?
Des indemnités que j'aurais dû precevoir en tant que TZR, je n'en ai peut-etre eu depuis 9 ans que je suis TZR, un dizième ou un vingtième. Certains collègues disaient que ça leur doublait leur salaire de certains mois, cela n'a jamasi été le cas pour moi. Depuis 8 ans, je n'ai peut-être eu pour entre 10 et 20 remplacements et même plus (parfois j'en fait 5 par an), peut-être que quetre petits versements en tout. Jamais les indemnités de ZEP, etc... pour certains étalbissements, etc..
(J'ai encore été dérangée par Rapidy qui m'a demandé 20 fois s'il devait brancher l'ordinateur pendant que j'écrivais, j'ai fini par me mettre en colère, car je lui ai répondu trois fois non. Il me casse les pieds, je descends au milieu de la nuit,et il est toujours autour de moi.. Retraité,, il m'espionne à longueur de journée. Quand j' étais chez mes parents, il y a plus de 40 ans, mes frère et soeur ou ma mère frappaient à la porte de ma chambre avant d'entrer - et mon père n'y entrait jamais - je frappais à la porte de la chambre de mes frère et soeur avant d'y entrer en attendant bien d'entendre un « Oui » et je n'allais jamais dans la chambre de mes parents sauf si j'y étais invitée par ma mère dans la journée, la plupart du temps pour regarder des vieilles photos qui étaient dans un placard à côté de son lit et qu'elle m'expliquait, avant d'entrer) et pour le repas, on nous appelait avec le gong.. Même en vacances, quand , avec ma soeur, on partageait la même chambre, on frappait avant d'entrer.) C'était pareil pour la salle de bains, je veux dire même encore plus strict, au cas où la personne serait nue). Ici, il n'y a pas moyen d'être tranquille, il est toujours sur mes talons. Entre dans la salle de bains quand j'y suis, sans s'annoncer. C'est vraiment un manque d'éducation de toujours demander vingt fois la même chose, ou de me suivre partout. Tout juste s'il n'irait pas là où je ne peux qu'aller seule, à ma place. Il rentre même dans les toilettes quand j'y suis. Il y a une porte, mais pas de verrou. Depuis qu'il est retraité, je ne peux jamais m'isoler, même quand j'écris ou que je travaille, il me dérange à tout bout de champ. Mas attention si Monsieur est occupé, et que tu as besoin d'une aide urgente pour t'aider à tenir quelque chose qui va tomber par exemple, ou pour avoir un outil de jardin, il faut attendre une demi-heure. Il est même devenu, depuis qu'il est retraité, méchant, alors qu'il était si gentil étant jeune, mais, dans la liberté des années 70, on allait souvent dormir chez des amis, ou ils venaient dormir chez nous, on dormait dans les canapés des salles de séjour, sans porte, on allait dans des stages de musique où l'on dormait dans des dortoirs, j'ai laissé passer beaucoup de choses, sans m'en apercevoir, des petits quolibets gentils tels que Mücke qui veut dire « moustique », des petites moqueries telles que « Madame Jamais Contente ». Sur le moment, cela ne me faisait rien, mais en y repensant, cela me fait mal.
Je suis partie loin de mon histoire de salaire, j'ai moins de salaire qu'il y a un an, que se passe-t-il encore?
domino
15:56 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : salaires, enseigneement, tzr
jeudi, 06 février 2014
Religion, Art et Littérature et laïcité.
Du journal de Doofie (Roman-théâtre)
Je me demande pourquoi certains élèves rejettent en bloc que l'on parle de religion au collège sous prétexte de laïcité.
La laïcité est généralement mal comprise par les élèves.
Une chose est sûre : il y a de la religion dans les programmes de collège :
Exemples :
En histoire :
- Les premiers chrétiens
- Les débuts de la religion musulmane.
- La réforme protestante et la réforme luthérienne en allemand.
- Les guerres de religion en France.
En français :
- Parmie les écrits fondateurs : la Bible.
En allemand :
- La réforme luthérienne
- L'influence fraçaise à Berlin les huguenots.
- Les fêtes de l'année, dont l'Avent, Noël, les Rois Mages et Pâques.
(Il y a des chansons de Noël qui n'ont pas de motifs religieux ou presque pas, par exemple O Tannenbaum ou Schneeflöckchen, Weißröckchen) et que l'on peut chanter dans le public.)
Dans la pupart des établissements publics, on dresse des sapins de Noël qui en soit ne sont pas chrétiens (certaines religions chrétiennes les rejettent comme étant non chrétien et interdisent à leurs enfants de chanter "O Tannenbaum" ou "Mon beau sapin" parce qes chants ne sont pas assez religieuses et font allusion au côté commercial de Noël.
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Alors que Bêtie était en train de traiter un texte sur la fille d'une chanteuse pop très connue, elle-même actrice, il était écrit dans le livre que c'était la fille d'une "Pop-Ikone", un élève lui ayant demandé ce que voulait dire "Ikone" ele a expliqué que dans la religion orthodoxe, c'était une image rellgieuse que l'on place sur un mur. Et tout de suite un élève a rétorqué : "On n'a pas le droit de parler de religion en classe, Madame! Et regardez un pe l''affiche là-bas sur la laïcité, vous l'avez lue?!" Evidemment Bêtie avait dit aussi par extension, il s'agit actuellement d'une idole, d'une personne idolâtrée.
Cet élève n'était pas de religion musulmane, mais bien français, peut-être athée (si les parents sont communistes) ou catholique. Peut-être a-t-il même fait sa communion deux ans avant.
Elle a rétorqué qu'il ne fallait pas faire de prosélytisme religieux, c'est à dire faire de la publicité pour sa propre religion, mais que les religions étaient quand même un peu dans les programmes. Et que de toute façon, comme elle n'était pas de religion orthodoxe, elle ne faisait pas de prosélytisme religieux, parce que ce n'est pas sa religion.
En effet, Bêtie n'a pas dit qu'ils devaient adorer ces images apellées icônes.
En Alemagne, il y avait des cours de religion, dans toutes les écoles à cause des français on écrit maintenant Ethik sur l'emploi du temps et non plus Religion. En tout cas sur les manuels d'allemand français!
A cause de ces élèves qui prennent la laïcité au premier degré, c'est à dire comme "interdiction de parler de religions, quelles qu'elle soient, pendant les cours, pire que dans l'URSS en ses plus beaux jours et que les iconoclastes de la Révolution Française qui ont détruit tant de chefs d'oeuvre, la statuaire des églises, les tableaux dans les églises, etc..les profs d'histoire n'osent plus traiter des chapitres religieux de leur livre d'histoire, ou bien les profs de français n'osent plus traiter de la Biblie comme écrit fondateur, au même titre que l'Iliade et l'Odyssée alors que c'est obligatoire dans les programmes de français.
(Est-ce que vous connaissez l'histoire du révolutionnaire qui en détruisant le tombeau d'Henri IV s'est retrouvé face à son corps parfaitement conservé et à son visage qui le regardait bien en face, fixement dans les yeux, lui qui prêchait pour la tolérance religieuse? Le Réoilutionnaire prit peur, lâcha sa hâche et s'enfuit...)
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Le problème du manque de culture religieuse est beaucoup plus grave que cela, car ce problème touche le niveau culturel des étudiants des universités en particulier littéraire.
Combien de fois les jurys d'agrégation d'allemand par exemple, se sont plaint que les étudiants dans les explications de texte de l'oral, ne reconnaissent pas la source biblique d'une phrase. Car les auteurs allemands même modernes, font beaucoup allusion à la Bible dans leurs écrits et incluent même dans leurs textes des phrases de la Bible. Ou font des métaphores filées e style biblique. C'est ce que l'on appelle l'intertexualtié avec la Bible.
Généralement, les étudiants ayant une religion chrétienne, et ayant eu dans leur enfance ou leur jeunesse des cours de religion ou de catéchisme, sont avantagés dans ce genre d'explications de texte! Les anciennes générations issues de l'enseignement privé confessionnel où l'on étudiait encore la Bible en long et en large, sont particulièrement avantagées.
Il n'y a pas qu'en littérature qu' avoir des connaissances sur la religtion est utile. Actuellement l'histoire de l'art est très prisée dans l'enseignement primaire et secondarie; C'est une nouvelle matière.
Seulement les professeurs de toutes matières, théoriquement, qui font l'hsitoire de l'art dans leurs cours, ne donnent généralement pas de cathédrales, d'églises, de sculptures ou de tableaux religieux" à commenter. Ceci pour éviter la sacro-sainte phrase, provenant d'élèves soit un peu contestataires, soit ayant mal compris le laïcité : "On n'a pas de droit de faire de la religion en classe". Ce qui fait que les élèves du public se trouvent ensuite désavantagés s'ils veulent continuer l'histoire de l'art par rapport à ceux qui sont issus du privé dont les professeurs pouvaient parler librement de religion en classe, sans compter les cours de religion eux-même
A l'université cependant, les étudiants d'Histoire de l'Art étudient l'architecture des églises, ont des tableaux religieux du Moyen-Age et de la Renaissance à commenter. Ils doivent même connaître comment sont représentés les Saints, les Prophètes et les Evêques pour les reconnaître sur les tableaux, les sculptures et les vitraux. Ils étudient les retables et tableaux d'autel du Moyen-Age.
En Histoire aussi une bonne partie du programme parle de religion : les unités d'études traitant du Moyen-Age surtout, parlant de l'Occident chrétien au Moyen-Age, et celui sur l'époque moderne, parlant des guerres de religion. L'unité d'étude parlant de la conquête de l'Orient par les musulmans, etc...
Et tout ceci dans l'université publique, non confessionnelle. Ce n'est pas la Catho qui a l'apanage de la culture religieuse.
Voilà pourquoi ce manque de culture religieuse dans l'enseignement secondaire nuit aux études des étudiants qui se destinent à des carrières de professeurs d'histoire, de français, voire des carrières d'historiens ou de biblothécaires, ou dans le domaine culturel, etc. Les anciens élèves frais émoulus du bac, qui entrent alors à l'université pour faire ces matières ont alors accumulé un retard culturel important, s'ils ont refusé au nom de la laïcité de s'intéresser aux religions et les adeptes incondionnels de religions non chrétiennes peuvenet souffri alors aussi d'un manque de culture chrétienne, car il faut bien qu'ils se disent quand même que l'Europe est un continent de tradition chrétienne et que la connaissance des symboles de cette religion (ou plutôt groupe de religions) est indispensable pour aborder cetains types d'études.
Même dans les études de langue, il faut une bonne connaissance des religions, surtout si vous étudiez l'allemand ou l'espagnol, ou même l'italien car ce sont des pays où il y a beaucoup d'art religieux.
Dans les langues de niveau débutants, on voit aussi les coutumes de Noêl et de Pâques, lorsqu'il s'agit de langues européennes et même des petites fêtes de Noël sont organisées par les étudiants, par exemple on fête la Ste Lucie en études scandinaves, et Noël en études slaves. En dehors du cours, lors de soirées chantées où l'on déguste les spécialités culinaires de la fête.
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Donc, en fait, des lois sur la laïcité mal comprises par élèves et parents , peuvent entraîner un manque culturel important pour les élèves issus de l'enseignement public secondaire.
Pour Doofie
domino
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21:00 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 04 février 2014
Dissertation
Roman-théâtre
L'année dernière (session 2013) la petite fille de Blödie a passé l'agrégation d'allemand. L'agrégation externe.
En dissertation en français, elle a eu comme sujet :
"Selon un historien, tout, dans la monarchie des Habsbourg, serait devenu plus allemand après 1866/1867. Cette affirmation vous semble-t-elle justifiée?"
La petite fille de Blödie s'est dit : voilà, dans ce sujet, on parle de la monarchie des Habsbourg et non de l'Autriche ou de l'Aurtiche-Hingrie. Evidemment, le jury se réfère à un programme qui a été publié auparavant et dont les dates limites sont 1867-1918. Et le territoire sur lequel il fallait travailler, l'Autriche-Hongrie (la double monarchie ou k. und k. Monarchie).
La petite fille de Blödie lisant le sujet a surtout vu ceci : "monarchie des Habsbourg, donc je parle des Habsbourg et je ne m'étends pas trop autour., il est ensuite écrit "plus allemand", donc là il y a un "plus" qui induit un "moins", et ensuite il y a cet "après" qui est très important, car "après" induit un "avant".
Donc, la petite fille de Blödie construit son plan autour de cet" après" qui induit un "avant". Donc, un plan équilibré serait de parler de ce qu'il y avait "avant" 1866-67, parler de l'époque charnière e 1866-67 et ensuite faire une partie égale à la première qui parle de l'après 1856-1857, tout en appliquant cela aux Habsbourg,
Tiens, la petite fille de Blödie venait justement d'avoir lu une revue sur les Habsbourg, éditée par un hebdomadaire très sérieux, revue qu'elle avait achetée en Allemagne l'été précédent. Cette revue couvrait toute la période des Habsbourg d'Autriche depuis Rodolphe 1er jusqu'à la mort de François-Joseph, et la petite fille de Blödie connaisait donc parfaitement le sujet de la "monarchie des Habsbourg" d'Autriche.
Maintenant on attend d'un germaniste de haut niveau comme devraient l'être les professeurs agrégés, qu'ils connaissent toute l'historie allemande, suisse et autrichienne et pas seulement la péirode 1866-1918, donc que tout candidat à l'agrégation d'allemand doit pouvoir parler de la monarchie des Habsbourg sur toute la longueur de lsa durée.
Donc, elle a construit son plan de la façon suivante, ce qui lui semblait évident :
- Qu'est-ce qui était allemand chez les Habsbourg avant 1866-67?
- La période transitoire de 1866-67 (défaite de Sadowa, instauration de la double monarchie, le compromis ou Ausgleich austro-hongros),
- Qu'est ce quie est devenu plus ou moins allemand après 1866-1867 (il va de soi que la montée des nationalismes ne concene pas seulement les allemands d'Autriche, mais aussi les hongrois qui revendiquent leur identité et leur culture et aussi les tchèques qui revendiquent aussi leur identité et de la collecte de fonds qu'ils ont faite à Prague pour reconsrtuire le théâtre national (Narodni Divadlo) qui avait brûlé pendant sa construction, par exemple, ce théâtre devenant leur fierté, des autres nationalités slaves ou non (la petite fille de Blödie sait bien que les hongrois ne sont pas slaves, ils parlent une langue ouralo-altaïque de la branche finno-ougrienne, la petite fille de Blödie parle même un peu tchèque et hongrois, alors elle sait tout cela), et parlant de la ville cosmopolite de Tchernowitz (ne pas confondre avec Tchernobyl!) (actuellement en Ukraine, juste au Nord de la Roumanie) où est né Paul Celan, juste après la période, en 1920, (Elle a bien écrit Celan et pas Ceylan comme le dit le rapport de jury, car elle doit être la seule à en avoir parlé, je connais très bien cet auteur, ...), ville où l'on parlait toutes les langues de l'Empire. .. donc,cette montée des nationalismes, si l'on considère l'ensemble du territoire de la monarchie autrichienne des Habsbourg
Et le rapport de jury ddt ceci (en parlant de la copie de la eptite fille de Blödie, car elle doit être la seule à être remontée jusqu'à la fondation de la monarchie des Habsbourg, à Rodolphe 1er. de Habsbourg. dit ceci :
"Ce sujet invitait explicitement à démarrer l'analyse en 1866/67. Si quelques rappels de la situtation de l'Empire autrichien avant ces dates pouvaient être bienvenus dans l'introduction, consacrer toute une première partie de la composition à cette contextaluisation relevait en revanche du hors-sujet et remonter à l'époque de Rodolphe 1er était totalement superflu".
De l'avis de la petite fille de Blödie, parler de Rodolphe 1er, c'était quand même montrer que la dynastie des Habsbourg était d'origine allemande puisque issue d'une petite seigneurie du Würtemberg, donc ils étaient bien allemand.
Par contre parler de Rodolphe II, qui vivait à Prague, et était plutôt cosmopolite et ne tenait pas particulièrement à Vienne, il aimait l'alchimie et les astronomes comme Tycho Brahé, Copernic et kepler,c ela permettait de montrer que la monarchie des Habsboug n'a pas toujours été centrée sur le côté germanique de l'Empire.
Dans la troisième partie montrer que Elisabeth 1ère, dite Sissi, avait chercher à favoriser les Hongrois et Andrassi, c'est elle qui avait plaidé la cause d'Andrassi auprès de son époux Frnaçois-Joseph, et qui avait plaidé la double monarchie, ést aussi une chose qu'a écrite Bêtie, pour montrer comment parmi les Habsbourg eux-mêmes, les avis étaient divisés. De même que la postition du fils des époux Fodolphe (héritier du thrône anti-paternel) qui favorisait aussi les nationalités non allemandes et prenait parti pour ces nationalités, était sans doute une chose fort intéressante que la petite fille de Blödie a faite, et dont les autres n'ont sans doute pas parlé.
Que le sujet devait explicitement démarrer à 1866/1867 n'est pas forcément évidet, vu que le mot après induit forcément ét très logiquement un avant. Par ailleurs un éminent cours par correspondance fait expréssément pour ce concours commençait par parler pendant un chaptre de l'histoire des Habsbourg depuis les débutsd ela dynastie, donc, les candidats devaient avoir aussi des connaissances sur ce sujet.
Pour que le sujet soit explicite, il aurait dû être libellé ainsi : "Selon un hstorien tout dans la monarchie des Habsbourg serait devenu plus allemand après 1866-67. Cette affirmation vous semble-t-elle justifiée? Vous traiterez cette question en vous concnetrant sur la période à partir de 1866" ou ne pas mettre la citation et écrire : Tout dans la monachie des Habsbourg estil devenu plus allemand à partir de 1866/67? De plus, on nous dit toujours de citer nos sources, mais dans le sujet, les sources ne sont pas citées, car il est écrit un historien", c'est d'ailleurs une constante dans les sujets d'allemand de ne pas citer les noms des auteurs de citation, par exemple, s'il s'agit d'un sujet de littérature avec une citation de cinq ligne, on écrit "Ein Kritiker schrieb..." C'est au bon candidat qui a lu beaucoup de livres en en connaissant de multiples citations apr coeur de détermner de quel histoiren ou de quel critique littéraire il s'agit.
La petite fille de Blödie qui a traité l'avant et l'après 1866/67 a eu 01/20 à sa dissertation d'histoire autrichienne.
Le terme "plus" induit une comparaison. Pusiqu'il y a le mot après, il faut donc comparer avec l'avant.
Dégoûtée, la petite fille de Blödie, qui n'est pas Bêtie, Bêtie est beaucoup plus vieille, s'est dit : Ils verront si je ne suis pas bonen en hstorie et s'est inscrite en première année d'histoire à l'unversité pour essayer de devenir meilleure hsitorienne que le jury d'agrégation d'allemand.
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Pour défendre la petite fille de Blödie
domino
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Doofie : Moi, si j'avais été la petite fille de Blödie, j'aurais traité le sujet de la même façon qu'elle. S'il y avait un après dans lequel quelque chose devait être plus ou moins allemand, il fallait qu'i y ait un avant dans lequel quelque chose devait être plus ou moins allemand,et pour pouvoir comparer, il fallait parler de cet avant, sinon le premier terme de la comparaison était inexistant. Dans une comparaiso, il faut toujours deux termes, le permier élement de la comparaison et le deuxième, si le premier élément de la comparaison est absent, alors, on ne peut faire de comparaison et dans ce cas, on ne pouvait pas traiter le sujet ou ne le traiter que de façon partielle.
Dummie : Je pense que si le jury a critiqué la dissertation de la petite fille de notre amie Blôdie dans le rapport de jury (sans indiquer son nom), c'est parce que les autres candidats qui ne connaisaient pas bien "l'avant" vu qu'il était un peu hors programme, mais pas hors sujet, la plupart des candidats n'ont traité que l'après. C'était par ignorance de ce qu'il y avait avant. Par conséquent, si j'avais été le jury, j'aurais mis un bonus à ceux qui avaient traité l'avant de façon exhaustive comme la petite fille de Blödie (je dois dire quand même que sa dissertation faisait sept à huit copies, soit 40 pages, et que la partie "après" avait été aussi traitée de façon exhaustive, elle avait d'ailleurs l'année précédente déjà eu cette questions à l'oral. Et fait une excellente dissertation d'interne sur la même période historique, notée au dessus de 15/20.) Par exemple, j'aurais décrété que ceux qui n'avaient fait que à partir de 1866 auraient eu jusqu'à 12/20 et les autres, ceux qui avaient fait aussi avant 1866-67, auraient été notés jusqu'à 16/20.
Doofie : D'ailleurs dans le rapport de jury c'est écrit "après", mais j'ai l'impression que dans le sujet qui a été dirtribué il y avait aussi le mot "avant". C'est un souvenir vague que j'ai. Mais de toute façon avec le "plus" et le mot "après", il est évident que la petite fille de Blödie a raison. En plus, il n'y a même pas eu de reçu dans notre académie alors qu'on était assez nombreux à se préseter.
Dummie : C'est parce qu'il n'y a pas de profeseur de notre académie dans le jury. Ils font tous passer les étudiants et ceux de Normale Sup avant notre académie où il n'y a pratiquement que des professeurs du secondare qui se présentent à l'externe.
Doofie : J'ai remarqué autre chose quand je passais l'agrégation d'allemand avec des notes meilleurs que celles de la fille de Blödie puisque dans les années 90 j'arriivais quand même à avoir des notes entre 3 et 5 aux deux disserations ce qui n'est plus le cas aujourd'hui pour la fille de Blödie qui se paie des 1 en dissertation française tous les ans, même quand elle est admissible grâce à la traduction, même en dissertation frnaçaise alors qu'elle est de langue maternelle française, j'uilisais des mots comme "A l'intar de.. " Nonobstant..." Un jour, je sus allée voir mes copies, et la professeur qui m'avait commenté ma copie de dissertation franaçaise m'a dit que ma langue vu le "Nonobstant..." était trop juridique. Et je lis maintenant dans le rapport de jury : :"Nonobstant ces réserves, le jury a pu lire cette année quelques excellentes copies..."
Dummie : Quelques excellentes copies, j'aimerais bien les voir, moi, ces excellentes copies et voir ce qu'il y a dedans. Pourquoi, avec l'accord des candidats, ne publie-t-on pas ces quelques excellentes copie dans le rapport de jury, je suis sûr qu'en demandant aux dix premiers de chaque épreuve, le jury aurait au moins deux ou trois réponses positives et pourrait publier ces excellentes copies.
Doofie : Pareillement, j'aurais bien aimé voir les copies de ceux qui ont plus que moi en traduction...
Pour Dummie et Doofie
domino
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mardi, 28 janvier 2014
Problèmes de nom
Roman-théâtre
Mon personnage de roman-théâtre s'appelle de ses vrais prénoms et noms de naissance :
Bêtie Bouffie Mary de la Dummie
Un jour, alors qu'elle avait passé l'écrit de l'agrégation externe, elle voit sur les résultats d'admissiblilité le nom :
Bouffie Mary Dummie
Elle se dit : Cela doit être moi, mais ils se sont trompés dans mes noms et prénoms. Haletante, elle tape son n° de table et sa date de naisance pour avoir le message "Vous êtes admissibles" et il apparait le message "Vous êtes refusée" avec des notes certes honorables, mais juste un peu en dessous du seuil d'admissibilité.
Elle cherche dans quelle académie est cette Bouffie Mary Dummie, elle est dans l'académie de Paris et pas dans celle de Bêtie.
C'était en 2009.
En 2010, la même chose se reproduit. Bêtie était même dans une bibliothèuque d'allemand à l'université lorsqu'elle voit encore apparaître ce nom sur la liste d'admissiblité et pas le sien. Elle le montre à la bibliothécaire qui trouve cela bizare aussi, car une nouvelle fois, Bêtie était seulement presque admissible.
La même année, sa preque homonyme Bouffie Mary Dummie est reçue aussi à l'oral de l'agrégation et cettte perssonne qui a un nom qui ressemble à son nom de jeune fille, va commencer maintenant une carrière d'agrégée dans l'académie de Paris.
Les deux années suivantes, 2011 et 2012, Bêtie Bouffy Mary de la Dummie est enfin admissible à l'agrégation externe, mais pas admise.
Peut-être qu'en voyant tous ses prénoms sur la carte d'identité, les surveillants ont cru qu'elle était déjà agrégée. D'ailleurs à une époque, quand Dummie allait à des stages PAF, tout le monde la croyait agrégée.
Mais Bêtie Bouffie Mary de la Dummie se pose toujours des questions, est-ce que Bouffie Mary Dummie existe vraiment? Ne serait-ce pas une usurpatrice qui se serait fait octroyer une partie du dossier universitaire (celui de jeunesse) et une partie du dossier professsionnel (ses bonnes années de lycée) de Dummie????
Voici pour comparer un extrait du journal de Doofie :
J'ai déjà llairé de telles affaires, au niveau de personne qui sont arrivée à un poste clef à l'université;
Dans les années 80, je suis allée à un stage genre PAF la liaison collège-lycée; Il y avait là des collègues plus jeunes que moi,dont une nouvelle venue, agrégée, professeur dans un colège de la campagne. J'ai mangé avec elle, elle était sympathique, avait une voie agréable et bien timbrée, des cheveux frisés mi-longsruns persque noirs, elle était un peu boulotte (je l'étais moins qu'elle à l'époque, et maintenant je le suis plus qu'elle à cette époque-là), mais elle était assez petite de taille, plus petite que moi.
A un moment, on a dit alors que j'étais dans un lycée, qu'elle était maintenant professeur à l'université et qu'elle avait quitté ce collège pour faire une carrière universitaire. Un jour alors qu'elle avait changé d'université, je l'ai eu comme professeur,elle était tojours brune (avec un peu de gris) et frisée, mais beaucoup plus grande, plus grande que moi et très mince. Son visage aussi avait changé, il n'était plus aussi joli qu'avant et elle avait maintenant des lunettes qu'elle portait toujours. Elle n'était plus habitllée du tout de la même façon, dans les années 80, elle portait des chemisiers blancs décolletés avec des violants et des jupes évasées avec des volants aussi. Maintenant elle était toujours en pantalon, habillée d'une façon plutôt sportive. Alors je me suis demandée si c'était vraiment celle que j'avais rencontrée enre 15 et 20 ans auparavant. Je me suis dit qu'elle avait pu maigrir et que quand on est plus mince, on parait plus grand, mais je me suis demandée comment alle avait pu autant grandir Sa voix ausi, bien qu'encore forte et bien timbrée n'était plus aussi mélodieuse.
C'est pourquoi aussi quand vous avez des diplômes dans une matière, il faut diversifier votre cursus universitaire en faisant d'autres études dans d'autres matières, comme cela celui qui essaierait d'usurper de votre dossier et d'une partie de votre nom, ne pourrait pas prouver qu'il est bon aussi dans ces matières,; par exemple, faire de la musique si l'autre n'est pa musicien; comment pourra-t-il prouver qu'il joue bien de votre instrument? Qu'il sait faire de la lecture à vue dans l'aigu du manche comme lors de mon examen instrumental?
Un jour, j'ai vu un autre profeseur d'université arriver en cours, très connu, il n'avait plus tout à fait le même visage qu'un mois aupraravant et je me suis demandée si c'était vraiment lui, d'autant plus qu'en septembre suivant, il avait repris son aspect habituel.
Dans les années 90, je n'allais pas à l'université. C'est une professeure d'université rencontréée par hasard dans mes loisirs qui m'a dit "Va à l'université pour te faire connaître, tu auras plus facilement ton agragation".
Ou bien : "On connaîtra ta valeur et on mettra dans les mêmes édudes des personnes qui ont un nom approchant pour te voler ta réputation".
Quand je passe par l'université maintenant, les professeurs d'allemand, sauf une, qui pense que je serais en thèse, ne me reconnaissent plus. Depuis le temps qu'elle pense que je suis en thèse, je devrais l'avoir finie et être en habilitation à diriger des recherches. Je devrais faire mon Professor après avoir fait le Doktor. J'ai tout juste droit de certains autres professeurs à un petit hochement de tête qui veut dire bonjour, sans que l'on semble me reconnaître, ou alors mes anciesn professeurs passent à côté de moi sans me voir, alors qu'à l'époque où je hantais la bibliothèque d'allemand (c'était une époque où à moi, TZR, on ne me donnait pas de remplacement), les mêmes personnes s'intérresaient beaucoup à moi, me saluaient cordialement dans la bibliothèque, demandait comment j'allais, où en était mon travail, etc..
Doofie
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domino
18:47 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0)