dimanche, 08 août 2010
Les français qui prononcent l'allemand se ridiculisent...
Bon, lorsque vous n'étes pas germaniste et que vous prononcez des noms propres en allemand, savez-vous que vous vous ridiculisez face aux germanistes? Je parle en particulier des journalistes de radio et de télévision.
Par exemple aujoud'hui, parlant des inondations en Allemagne, une journaliste a prononcé la Nice, en prononçant Nice comme la ville de Nice, alors qu'il s'agissait de notre célébirssime Neisse, membre affluant de notre célèbre ligne de démaracation de la fin de la guerre "la ligne Oder-Neisse", et qui se prononce comme Nice dans Very Nice en anglais, avec un -e au bout en plus...
Et quand on entend dire Odaire à la place de Oder qui se prononce comme une odeur avec le -r atténué et même le -er transformé en presque -a, en fait entre e et a.
Il s'agit des inondations de la Neisse (et ne prononcez pas non plus comme le Loch Ness, mais comme dans Nice dans "The Loch Ness is Very Nice!" et cela ne se dit pas Nessie non plus!), à Görlitz, pays à l'extrême Sud-Est de la Saxe, petit pays où l'on parle la langue slave appelée le sorabe.
Peut-être que les inondations des pays de l'Est et l'humidité vont empêcher le feu de Russie de progresser jusque là. Moscou serait actuellement enfumé et on ne voit plus le Kremlin qui disparait dans le smog, et à Helsinki la pollution serait 10 fois plus forte que d'habitude.
Alors, dépéchez-vous d'amener des bloc de glace vers Moscou et à la frontière finlandaise pour stopper le feu. On pourrait utiliser le morceau de la banquise qui vient de se détacher et qui est trois fois comme Paris au Groenland (morceau de glacier qui s'est détaché du continent Groenlandais et qui flotte dans la mer..) Gare aux bateaux, et au Titanic... Si le bloc de glace vient vers l'EUrope il n'y a qu'à le laisser venir, on l'installera à l'Est d'Helsinki pour le protéger des feux de forêts (ou de St Petersbourg).
Actuellement, ici, il n'est pas encore 17 heures, et même s'il ne pleut pas, il fait très sombre. Coincée entre notre volcan islandais (crache-t-il encore celui-là?) et les feux russes, décidément notre pauvre Europe a bien le ciel gris...
Bon, que dois-je dire encore, ah! Oui! Je reviens à mon titre....
Doofie, mon personnage de roman-théâtre a écrit dans son journal que :
Un prof des universités nous a dit qu'en tant que germaniste même quand on parle et qu'on écrit le français, à propos de l'Allemagne, il ne fallait plus drie Ratisbonne, mais Regensbrug, Brunswick, mais Braunschweig (en fait c'était moi qui avait écrit Brusnwick et Ratisbonne dans un devoir de Master 2 rédigé en français et j'ai dû changer les noms de ville que j'avais donné en français dans la première version en allemand dans la seconde version complémentaire. J'ai donc dû écrire Braunschweig à la place de Brunswick.
Moi, je lui ai répondu en disant qu'en histoire rédigée en français, on dit bien la Diète de Ratisbonne et pas la Diète de Regensburg, mais il m'a intérrompu. Je suis bonen en version et les profeseurs de version m'écoutent d'avantage.
Pourtant, on dit bien en français Cologne et pas Köln, Hannovre et pas Hanoover, Francfort et pas Frankfurt, Munich et le Bayern de Munich et pas München et le Bayern de München, la kermesse de la bière à Munich et pas à München. Alors pourquoi faire autrement pour Brunswick et Ratisbonne... ?
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Bon... chers amis, après avoir relevé ces quelques inepties de personnes haut-placées dans le domaine universitaire et qu'on a pas le droit de contredire, je vous quitte momentanément..
domino
17:05 Publié dans Dummie et Cie à l'université, Les langues vivantes des i-grimoiriens, Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : germaniste, allemand, neisse, oder-neisse, allemagne, finlande, russie, islande, pollution atmosphérique, villes allemandes, braunschweig, brunswicke, ratisboenne
samedi, 07 août 2010
Doofie a une idée....
Mon personnage de théâtre, Doofie, qui retrouve un peu sa voix....
Une voisine (à part) : Quoi! Elle retrouve sa voix, je n'ai pas encore réussi à la faire crier assez avec mon feu de barbecue!
Une autre voisine (à part) : Quoi! Elle n'est plus enrhumée? Je n'ai pas encoer insisté assez pour qu'elle termine son élaguage sous la pluie.... Et puis, il ne pleut plus. Je le lui rappelerai à la prochaine pluie...
Doofie, mon personnage de théâtre, qui commence à retrouver sa voix... vais-je pouvoir continuer sans être interrompu,elle voix de chanteuse ... sa bvit comme une recluse avec Schnelly dans sa maison. Schnelly, cette après-midi voulait aller faire les courses, mais Doofie n'a pas voulu. Pensez-vous, Schnelly a même retrouvé un petit pain au chocolat pour Doofie et il n'était même pas dur... Sans les courses de Schnelly, on fait des économies, il faudrait manger toutes les provisions avant de sortir à nouveau, c'est ce que pense Doofie.
Bon, Schnelly a aussi insisté sur les feux en URSS, euh... en Russie.... Schnelly écoute la radio en sourdine... pour ne pas géner le bébé qui dort et faire semblant que Doofie et lui sont repartis en vacances. Comme cela les enfants du quartier ne frappent plus à la porte.
Bon, Schnelly a dit que les feux en URSS, euh... en Russie... c'était vraiment très grave. Grave, vous m'entendez... Irkourkst serait menacée (au fait, comment on écrit Irkourstk? C'est comme Kroutchov ou Kroutchev, comment-vous l'écrivez, vous! Si au moins ils avaient le même alphabet que nous... Moscou serait ausi menacé, les habitants porteraient même des masques à cause de la fumée, et les forêts ukrainiennes polluées par Tchernobyl, elles risquent de redégager la radioactivité acumulée dans leurs arbres. Et aussi une centrale en activité a été éteinte, car le feu la menace... Bon, Moscou, d'est aux portes de l'Europe, après il y a la Biélorussie, la Pologne, l'Allemagne... C'est plain de forrêts aussi...
Alors, Doofie a une idée, il faudrait d'abord protéger les villes et les centrales, pour cela il faut faire une muraille... Une muraille, mais c'est long à construire... objecte Schnelly...
Non, dit Doofie, il faut tout de suite aller pécher des icebergs et aller chercher la glace dans les conserveries de poisson... et si ça ne suffit pas, couper des morceaux de banquise, après tout la banquise n'est pas si loin de la Sibérie. Et les mettre dans de gros avions cargo et larguer les blocs de glace autour des villes et des centrales. On pourrait amener la glace avec des bateaux conserveries sur les côtes Nord de la Sibérie et ensuite les transporter en avion vers les villes et les centrales.
Puis ensuite, il faut faire une barrière de glace à l'Est de l'Europe si les feux s'&pprochent de trop. Imagine un peu Schnelly, ici, nous sommes juste au bout de la fprêt Nord-Européenne. Il ne faudrait pas que ça vienne jusqu'ici. Bon, on a reçu une averse de grélons l'autre jour, la glace ne doit pas être si loin. Bon, ici, il fait encore relativement humide.
Alors, qu'est ce qu'ils attendent, les gouvernements, aller pêcher les iciebergs dans des filets attachés aux avions et les mettre en barrière autour de villes. Et quand les villes menacées sont protégées, commencer à faire des barrières de glace autour des feux (au lieu de jeter de l'eau dessus sans jamais pouvoir l'éteindre). Quand les flammes viendront buter sur le mus de glace, elles s'éteindront ou du moind seront ralenties, ce qui laissera le temps de jeter de l'eau de l'autre côté de la glace. Allez, tous les pays, unissez-vous, larguez vortre glace.
Oui, dit Schnelly, c'est une bonne idée...
domino
01:03 Publié dans Arbres, Le théâtre i-grimoirien..., les vacances i-grimoiriennes de l'enfant domino, Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : incendies en russie, moscou, sibérie
jeudi, 05 août 2010
Doofie est aphone..
Vous savez tous que Doofie, mon pesonnage de roman-théâtre, chante très bien, et bien ce matin, elle s'est réveillée sans voix. D'abord, elle avait trop dormi, il était déjà neuf heures et demi passées et Schnelly dormait encore. Elle ne sait pas si son enrouement était dû au rhume qu'elle sentait dans son nez, elle avait du mal à respirer, ou au fait qu'elle avait crié si fort "Au feu!" et "Au secours" quand elle a vu des flammes de deux mètres de haut à un mètre du mur d'une maison voisine, qu'elle en a perdu la voix. Doofie espère que sa voix redeviendra aussi belle qu'avant, mais pour le mpment, elle est aphone!
Juste au moment où le maire a télépjhoné à Schnelly dans le camping où il passait ses vacances avec Doofie pour dire qu'il devait revenir abattre tous ses arbres, Doofie était en train d'apprendre une chanson qu'elle voulait enregistrer. Sa voix était encoer belle.... A cause de ses voisins, parce que Doofie a poussé aussi des hurlements quand elle a su qu'elle devait enlever ses beaux sapins et tous ses autres arbustes et rosiers serrés les uns contre les autres dans un jardin de 7 mètres de large sur 14 de profondeur, Doofie qui est comme Idéfix, le chien d'Astérix et qui hurle quand on enlève un arbre, n'a plus de voix, car elle pleure et hurle à chaque fois qu'elle doit entamer la branche d'un nouvel arbre...
Doofie a aussi une spécialité, elle rêve facilement et plus facilement encore lorsqu'elle touche à du bois encore vivant. Tiens, quand elle faisait le stage de lutherie, en allant dormir, quand elle plongeait dans un demi-sommeil, elle voyait les ciseau à bois creuse et la sciure voler autour. Quand elle jardine, elle voit les plantes au monent où elle s'endort. Elle voit la cisaille qui coupe les plantes ou les branches, les branches de rosiers qui dressent leurs épines vers elle. Puis si elle ne jardine plus pendant un ou deux jours, le soir suivant quand elle sombre dans un demi-sommeil elle voit des branches noires et des branches épineuses noires qui ont perdu leur verdure, et des tuyauteries sales avec des épines, horrieur! Doofie a tué des arbres ou des parties d'arbres et ceux-ci se vengent contre elle! Ils se vengent contre elle en lui donnant des images de leur mort.
Quand Doofie était jeune et que la famille partait en vacances, au moment d'aller dormir au bout du deuxième jour de voyage (il fallait trois jours pour traverser la France en deux-chevaux, les autoroutes n'existaient pas, toute la famille voyait au moment de dormir des routes avec des arbres qui défilaient et des villages qu'on traversait. Mais comme c'était toute la famille, qui soualée de "vitesse", la deudeuche essayait vaillament de garder le 90 à l'heure pour monter les côtes de la N10, mais parfois elle ralentissait à la fin de la côte! revivait le voyage en voyant défiler le ruban gris, et les champs et les arbres devant ses yeux. Cela s'appelle des images résiduelles.
Le feng-shui ment! Il parait qu'il ne faut pas avoir de rosiers à proximité des jardins voisins, parce que les épines piquent l'amitié. Or, Doofie a enlevé il y a deux jours, les rosiers d'un côté de son jardin et le lendemain, il y a eu l'histoire du barbecue et la discussion à propos du barbecue du côté où elle a enlevé les rosiers et l'un deux avait de très grosses épines comme dans le rêve de Doofie.
Bref, Doofie n'a pas la vie facile en ce moment : drôles de vacances!
(Toute ressemblance avec la réalité est totalement fortuite).
01:27 Publié dans Arbres, Les aventures de Dummie, psychologie i-grimoirienne, quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 03 août 2010
Schnelly adoré des voisins, Doofie haïe des voisins...
Voilà un retournement de situation dans mon roman-théâtre, Doofie a piqué une crise de nerf ce soir parce sa voisine deux maisons au-dessus a failli mettre le feu au quartier. En effet tous les chenaux sont reliés entre eux. C'est déjà arrivé dans une autre cité semblable que trois 1er étage de trois maisons contigües brülent parce qu'un ouvrier qui réparait un cheneau a fait une erreur de chalumeau.
Ici, il ne s'agit pas d'un chalumeau, mais d'un barbecue. Cela sentait le brûlé depuis un moment dans son jardin et Doofie s'inquiétait, elle a d'abord demandé à Schnelly de regarder dans la maison si rien ne brûlait parce que ça sentait de plus en plus fort le brûlé. (C'est déjà une nuisance olfactive des barbecues de sentir dans tout un quartier, nous, personnellement, nous n'avons jamais eu de barbecue). Et nous n'avons jamais fumé.
Il y a quelques années l'ancien voisin de Doofie qui était spécialiste dans les injures à l'adresse tout le quartier, sa spécialité (de cet apprenti-boulanger, mais il avait une autre spécialité le patois et surtout les injures en patois local (que je ne renie pas quand c'est du beau patois et pas des mots qui commencent par p... et sont des injures pour les femmes), et en particulier les injures envers les femmes d'une cinquantaine d'année, qui s'entendaient bien à l'époque, même la voisine portugaise qui avait encore son mari s'entendait bien avec moi, parce que son mari aimait les arbres et m'entendre jouer de la guitare.
Bon, voilà la suite : Il y a quelques années donc, le voisin faisait son barbecue à flammes hautes juste à un mêtre de ma palissade en bois et à 1 mètres cinquante de ma persienne de salle de séjour en bois. Fianlement Doofie en a parlé à un médecin qu'elle voyait à l'époque, et Doofie a eu gain de cause : le voisin a dû installer son barbecue sur la pelouse et quelques temps plus tard, comme c'était un locataire et que Doofie était propriétaire de sa prppre maison, le voisin qui faisait le barbecue avec des hautes flammes à 1 mètre de sa maison a dû partir.
Aujourd'hui, ça sentait le brûlé dans tout le quartier et on a même entendu des voitures de pompiers qui devaient chercher où était l'incendie, et ce n'est pas Doofie qui les avait appelés. Schnelly finit par dire à Doofie, ce n'est rien, c'est la voisine deux maisons et deux numéros au-dessus qui fait du barbecue. Jusque là rien de grave, Doofie voit que le barbecue était situé à un mètre du mur de sa maison avec un buisson derrière à un mètre également, et qu'elle était en train de l'attiser. Doofie continue son élagage tranquillement, soudain elle lève le nez et voit d'immenses flammes d'au moins deux mêtres de haut qui lêchait le dessous de son balcon à elle. Les personnes agêes deux maisons au-dessus de l'autre côté commence à s'inquiéter aussi. Je vois qu'ils se lève de leur table, se lève dans la direction du feu qu'ils voient au travers de ce qui reste d'arbres à Doofie.
"Au feu, au feu!" crie Doofie, le chien à côté du barbecue commence aussi à s'énerver et à aboyer. Les personnes qui faisaiient le barbecue étaient rentrées chez elle et ne surveillaient plus le feu. Doofie crie de plus belle, sans pouvoir rentrer dans la maison, car elle surveillait le feu, Schnelly vient vite (bien sûr il était à ce moment calfeutré dans la maison et ne s'en faisait pas, alors que les voissins d'au dessus commençaient aussi à s'inquiéter et sont rentrées dans leur maison peut-être pour appeler les pompiers.
Peu à peu, les flammes baissent d'elle-mêmes sans doute par manque de carburant, et Doofie arrête de crier "Au feu!" alors au bout de cinq minutes au moins la femme qui faisait le barbecue sort, et Doofie lui fait la remarquie qu'on peut mettre le feu à toutes les maisons en mettant le feu à un seul cheneau (les rigoles au bord des toits), comme je l'ai déjà expliqué plus haut, peuvent mettre le feu à toutes les maisons par le grenier commun non utilisé. Et que son barbecue est placé peut-être un peu trop près des maisons car avec le vent (et il y en avait un peu) des flamèches peuvent s'échapper par le toit. Doofie lui dit cela par prudence et parce que elle avait tout comme les pesonnes agées deux maisons au dessus, paniqué à cause des grandes flammes du barbecue de sa voisine.
La femme qui est une jeune femme mère d'une bonne demi-douzaien d'enfants dont au moins quatre garçons, (mais après tout si elle a du travail avec eux, c'est parce qu'elle a bien voulu les faire, et quand il n'y a ni école, ni centre aéré, les gamins sont toute la journée dehors dans la rue, se mettent derrière la voiture de Doofie, quand je fais demi-tour pour gêner ma manoeuvre, a pris tout de suite la mouche, elle est montée sur ses grands chevaux, et elle a commencé à dire, je ne vous permets pas de faire des remarques, vbus voyez bien que mon barbecue a une protection derrière (une protection de dix à vingt centimètres de haut au maximum, vous croyez vraiment que l'on peut appeler cela une protection, et pas de protection devant, alors que les flammes sans surveillance peuvent s'échapper par devant et surtout vers le haut. En effet, les flammes avaient diminué des trois-quart de leur hauteur quand la femme est sorite de chez elle, et elles faisaient encore bien cinquante à soixante centimètres de haut. Doofie lui a dit : 'Oui, mais tout à l'heure vos flammes faisaient deux mètres de haut et léchaient presque le balcon et le mur". La femme a commencé a tutoyer Doofie en l'invectivant et en criant : "vous en avez la preuve? Vous avez fait une photo!" De toute façon, vous n'êtes qu'un fainéante. Votre mari va souvent faire les courses à pied avec son caddy même sous la pluie!et vous vous ne savez pas faire les courses." Hier, Doofie a élagué pendant trois heures sous la pluie, avec un simple T-shirt sur le dos. Et le jour de l'inondation, Doofie a mis ses pieds presque nus dans l'eau de la cave pour écumer l'eau et la metre dans un seau. C'est elle qui a indiqué au père du voisin immédiat venu à la rescousse de son fils où était l'écoulement (que son fils n'avait pas entretenu et il était bouché), et qui a continué à écumer le caniveau avec une petite boite bleue pour remplir des seaux qu'elle allait vider elle-même dans l'égout, un autre voisin venu à la rescousse a proposé de continuer à sa place, mais elle n'a pas voulu. Doofie élague depuis deux jours ses arbres elle-même. Schnelly ne fait que remplir les sacs poubelles vert clair. Doofie a dit a la femme qu'elle avait bien travaillé à l'école, qu'elle avait eu son bac à 17 ans et un mois, qu'elle avait un niveau bac + 5, qu'en tant que professeur elle avait travaillé jusqu'à 105 heures par semaine (en passant des nuits à corriger des cassetes et des copies), elle a dit à la femme qu'elle était plus jeune qu'elle n'avait pas à la tutoyer (Schnelly se laisse un peut trop tutoyer par les voisins récents). Pour Doofie c'est la femme qui est coupable, et la femme a commencé à dire à Doofie qu'elle allait déposer plainte contre Doofie, alors que c'est la femme qui a monté le ton la première (avant Doofie parlait fort parce qu'elle était loin, seulement pour lui donner des conseils parce qu'elle sentait aussi sa propre maison en danger...). La femme a monté le ton, elle a invectivé Doofie en disant que Schnelly faisait les courses à sa place, que Schnelly était fatiqué, que ce n'était pas normal qu'elle donne du travail à Schnelly! Alors que si elle savait, Schnelly veut faire des heures supplémentaires pour gagner autant que Doofie qui a un grade et un échelon supérieur au sien, de son Schnelly qui est certifé par liste alors qu'il est bilingue de naissance, alors que Doofie a réussi ses études d'allemand mieux que lui en ayant fait allemand seconde langue, parce que Schnelly était trop paresseux pour travailler le CAPES et disait toujous :"oh la littérature, je n'aime pas cela, la poésie, je n'y comprends rien", alors que sa femme Doofie, est poète. Doofie chante bien et à un moment dans le quartier, ils ont cru que c'était Schnelly qui chantait en haute-contre et jouait de la guitare, et alors qu'il ne connait pas une traitre note de guitare, il se rengorgeait et ne disait rien (il y a presque cru), parce que les gens n'aimant pas sa femme Doofie, ils auraient déposé plainte contre Doofie s'ils avaient su que c'était elel qui chantait et jouait de la gutare, mais ils féclicitaient Schnelly.
Si Doofie reste à la maison aussi pendant que Schnelly fait les courses, c'est aussi pour surveiller le garage à cause des careaux cassés.
En plus Schnelly aime les choses mécaniques comme faire la vaisselle et faire les courses et la cuisine étant devant, il fait souvent le vaisselle devant la fenêtre pour dire aux gens :"Regardez c'est moi qui fait le ménage", pendant que Doofie fait la lessive ou nettoie la salle de bain.
Schnelly a toujours adoré faire les courses. Quand Schnelly et Doofie se sont mariés, la mère de Doofie n'avait que 54 ans ce qui veut dire qu'elle était cinq and plus jeune que Doofie actuellement, et beaucoup plus en forme qu'elle. Sa mère n'avait plus travaillé depuis la naissance de son frère en 1948, avec les allocations familiales, et son salaire, son père avait assez d'argent pour entretenir la famille. Quand Schnelly arrivait chez les parents de Doofie (c'était la même chose que chez ses propres parents), sa question vis à vis de sa belle mère était : Il n'y a pas de courses à faire? Et sa mère disait d'abord non, puis au bout d'un moment elle trouvait bien un ingrédient pour la cuisine et aussitôt Schelly détalait et revenait au bout de deux heures, ayant enfin trouvé l'ingrédient après avoir fait dix magasins et être allé à pied à trois ou quatre kilomètres ce qui représentait sept kilomèters aller-retour.
Schnelly a ma demande est en train de rassembler 100 Euros pour les donner à la femme pour qu'elle ne dépose pas plainte contre Doofie, parce que c'est la femme qui a traité Doofie de fainéante et qui la tutoyé et elle a dit à Doofie qui ne l'a ni insultée, ni tutoyée, qu'elle allait déposer plainte contre elle, alors Doofie si les cent euros (100 Euros font 600 francs) pour racheter la plainte de la dame, parce que si Doofie perdait son emploi de professeur, il aurait moins d'argetn lui-même, Si Doofie perdait son emploi, et sa retraite de fonctionnaire, Schnelly serait dans la dèche d'ici trois ans quand il sera en retraite, alors que sinon Schnelly bénéficierait encore pendant trois ans supplémentaire du salaire complet de Doofie.
En fait, c'est Schnelly qui dépense le plus d'argent et ne donne jamais ses comptes à Doofie, même s'ils ont un compte commun, car il est trop paresseux pour les mettre sur un papier et les donner à Doofie qui les réclame depuis le début du mariage. C'est pour cela qu'il ne faut pas vous inquiéter si vous voyez Doofie avec des pantalons en lambeaux au niveau des pieds. Doofie ne sait jamais si elle a assez d'argent pour s'acheter des vêtements et ne s'en achètent plus. Alors que Schnelly a toujours des beaux pantalons et des beaux T-shirts.
Schnelly perçoit les deux salaires sur le compte commun et donne de l'argent de poche à Doofie qui gagne plus que lui la plupart du temps. Et il lui reproche d'acheter trop de livres.
Continuons notre histoire : Doofie après que la femme qui a un comportement dangereux avec le feu, l'a eu bien insultée, qu'elle est rentrée pour appeler la police, Doofie est rentrée aussi, a voulu partir de la maison en voiture sans Schnelly, parce que la femme l'a défendu et tient avec lui, lui qui ne sait même pas se servir d'un ordinateur, qui n'a jamais eu son CAPES alors qu'il était bilongue de naisance, il a râté trois fois l'oral, mais Schnelly qui bien que plus vieux, est plus en forme que Doofie, l'a suivie au garage, Doofie n'avait pas son sac ni les clefs de la voiture, il a amené le sac et les clefs et l'ordinateur qu'elle voulait mettre à l'abri de la police, après tout personne n'a besoin de savoir qu'elle raconte sa vie à la journaliste alternative,
Il est très net que cette femme avec laquelle Schnelly était souvent fourré il y a deux ans, et dont il faisait les éloges à Doofie parce que cette femme est une sportive et qu'elle jouait au foot avec les enfants du quartier devant notre maison (je ne sais pas si c'est toujours le même femme parce qu'elle a changé de figure et a coupé sa longue queue de cheval, mais Schnelly dit que c'est toujours la même). Doofie s'est rendu compte pour la première fois de sa vie que Schnelly était amoureux d'une autre femme et draguait et se faisait draguer. Enfin, du moins, elle en a l'impression, elle peut se tromper, mais c'est certain que ses éloges sont louches et que le fait que la femme le défende contre Doofie est louche aussi.
Cependant Schnelly qui s'est rendu compte que le quartier prenait la cause de Schnelly contre Doofie, va donner un cadeau en argent à la femme pour que ne dépose pas plainte, avec une lettre vantant les mérites de Doofie et disant son amour pour Doofie et faire cesser les comérages contre elle et la diffamation. Ce matin encore, Doofie s'est rendu compte qu'au moins cinq femmes du quartier tenaient des conciliabules contre elle, sur son trottpoir, devant sa porte. Doofie les entendait discuter de ses toilettes.
Si la femme dépose plainte Schnelly est d'accord pour déposer plainte contre elle avec moi, car il a entendu que la femme me traiter de fainéante.
Revenons en arrière, Doofie a voulu partir en voiture, mais Schnelly voulait la suivre et les carreaux du garage sont toujours cassés ce qui en oblige un au moins à rester à la maison.i Doofie est obligée de rester avec les careaux. Si Doofie s'en va et laisse Schnelly à la maison, ceux-ci risquent de venir chercher les affaires dont elle a besoin pour travailler pour son métier et ses études chez elle, et si Schnelly s'en va porter leurs affaires ailleurs pour les mettre en sécurité, Doofie ne pourra pas vérifier si elles sont vraiment au bon endroit et si elles sont bien en ordre. Donc, il est important de réparer d'abord les careaux, Schnelly a acheté le plexiglas, mais il faut le couper et le coller et le visser sur la porte.
Doofie a peur du feu, elle a peur que ses affaires brûlent. Cette nouvelle affaire vient troubler les travaux d'élaguage de Doofie, à cause de ce feu de barbecue, elle a dû arrêter ses travaiux qui étaient pourtant en bonne voix. Actuellement il n'y a que la moitié du jardin où les arbres ont perdu leurs feuilles et ne sont plus que des bâtons. Doofie s'était dit depuis quelques années que si elle devait quitter la maison, elle emmenerait ses pieds de rosiers et de plantes et d'arbustes dans le nouveau terrain. Maintenant, la plupart de ses rosiers étant enlevés, elle ne pourra plus le faire. Des beaux rosiers achetés par corespondance. Aujourd'hui Doofie a enlevé le rosier qui faisait des roses de couleur abricot de style rose thé. Elle a continué à enlever le forsithia, a enlevé beaucoup de branches du lilas. des branches basses du sapin, elle a vu que du lierre commençait à monter sur la sapin jugé dangereux, mais que celui-ci n'atteignait pas la hauteur de Doofie et ne tournait pas autour du tronc, donc, il ne l'étouffe pas. Doofie a commencé a enlever le lierre, en le coupant d'abord en bas. Doofie fait tout au sécateur à main (vous savez que le luthier lui a interdit d'utiliser des insstruments électriques et montait sur ses grands chevaux à la moindre petite coupure!). Doofie a fait encore beaucoup de coupes dans le jardin cette après-midi.
Bon, vu ce que la voisine avait dit contre elle et en faveur de son mari, Doofie a voulu partir elle a dit à Schnelly, puisque tu es mieux que moi, je te donne tout ce qu'il y a dans la maison, je n'emmène que mon ordianteur et mes instruments de musique, et tu peux disposer de tout, tout donner à la voisine qui t'aime tant si tu veux. Schnelly a dit : Non, je pars avec toi!
- Actuellement, Doofie sait que Schnelly est parti amener sa lettre, cela dure longtemps, pourvu qu'il ne soit pas encore en train de retourner sa veste - et de prendre parti pour la voisine contre sa femme. Doofie ne sait jamais retourner sa veste.
Schnelly prétend avoir toujours été du côté de Doofie, alors Doofie se demande pourquoi les voisins sont pour lui et contre elle, ils pratiquenet "diviser pour régner", mais jusqu'à faire divorcer un couple marié depuis 36 ans, il faut le faire ! Et ce n'est pas un couple qui a tenu "pour les enfants", puisqu'il n'en a pas. Il y a parfois des couples qui divorcent une fois que les enfants sont mariés, car ils attentdent pour ne pas leur faire de tort. Alors que Doofie et Schnelly sont mariés depuis 35 ans sans enfants et n'ont pas dû attendre que les enfants soient mariés. Malgré leiurs différences et leurs diférends ils tiennent sans enfants depuis 35 ans.
Doofie (et moi aussi) est foncièrement contre le fait de donner des avantages financiers aux parents et des retraites paraît-il plus importantes aux femmes qui ont trois enfants. Doofie est pour la suppressions des allocations familiales à partir du deuxième enfant, pour que les gens qui font des enfans, les font vraiment pour les enfants eux-mêmes et pas pour toucher des allocations familiales qui la plupart du temps servent à la boisson.
Quand Doofie a ouvert la porte du garage pour partir, tous les enfants du quartier ont arrêté leurs vélos devant son garage, l'un a dit que son garage était mal rangé, l'autre a ricané et s'est moqué de moi, alors je leur ai dit que j'étais professeur et que j'allairs contacter leurs professeurs d'école et de collège pour les faire sanctionnes à la rentrée s'ils continuaient, alors, ils ont été un peu plus gentils et ont même eu peur. J'ai déjà fait cela à Grande métropole régionale alors qu'un petit essayait de me soutirait de l'argent à un distributeur de billets de métro. Et le petit est devenu tout pâle s'est excusé, et a dit "Excusez-moi Madame, je ne vous embête plus". C'est un argument massue.
Bien sûr, Doofie a regardé dans le jardin de sa voisine d'au-dessus, parce qu'il y avait un danger immédiat, et ce n'est pas pareil que des enfants qui regardent par curiosité dans un garage, parce que les cartons de Doofie dans le fond du garage ne sont pas dangereux.
Je leur est déjà dit qu'ils étaient indiscrets et ne devaient pas regarder à l'interieur des maison.
Bon, je crois que Doofie, et ses amies Dummie, Sottie et Foolie qui tiennent ensemble et habitent dans le même quartier vont déménager, Ce sont encore des propriétaires qui vont démnager, mais Doofie a d'ores et déjà fait savoir qu'une famille de Grande Métropole Régionale Sud (un quartier chaud) va acheter sa maison et que les enfants de cette famille mettent le feu aux voitures (peut-être qu'ils mettront le feu aux voitures de leurs parents!). C'est pour faire peur aux parents qu'elle a dit cela. Mais c'est arrivé dans la quartier pas du tout chaud de ma mère (dans Grande Métropole Régionale) après son décés.
Je dis cela parce que je pense que certaines personnes du quartier veulent nous faire partir pour acheter notre maison, avec le carrelage qui n'est pas dans les autres maisons, etc... et en nous faisant enlever nos plantations, il n'y aura plus la plus-value cadre de vie et ils l'achèteront moins cher que ce que nous aurions pu exiger. De plus l'électricité est aux normes ce qui fait une plus-value.
Bon, je disais, ce sont des propriétaires qui vont partir, alors que les locataires (la femme qui a injurié Doofie est locataire du CIL), vont rester. Mais Doofie et Schnelly préfèrent vendre à un particulier et pas au CIL, de toute façon, le CIl détruirait les travaux faits par Schnelly et Doffy pour mettre la maison à des normes inférieurs. Les travaux du CIL ne sont pas toujours bien faits : notre voisin d'avant en arrivant s'était beaucoup plaint de choses qui n'allaient pas dans sa maison. Disfonctionnement de la robinetterie et tuyauterie, papier-peints mal posés, etc..
En tout cas, il est sûr que Doofie, depuis qu'elle est revenue de vacances prématurément n'a pas la vie facile avec ses voisins. D'ailleurs c'est toujours en été qu'il y a des problèmes et généralement en août (en juillet les enfants sont au centre aéré et les parents sont moins stressés et restent chez eux et ne vont pas dehors.
Schnelly retourne facilement sa veste, par exemple il veut garder son sapin (je suis sûre que lorsqu'on l'enlèvera, il ira pleurer en cachette), mais si la voisine dit "Il faut l'enlever", il répond que c'est sa femme qui ne veut pas, alors qu'il ne veut pas l'enlever non plus. Il est béni-oui-oui, et agit contre Doofie en acceptant des choses officiellement, alors qu'il ne veut pas les accepter. En fait, officiellement, il est contre sa femme, mais dans son coeur, il est pour elle, mais il ne veut pas le dire.
Si on lui disait "Il faut que vous tuiez Doofie, sinon on vous tue vous-mêmel", il accepterait de tuer Doofie, à moins qu'il ne croie que ce soit une plaisanterie. Bon, c'est symbolique "Dites du mal de votre femme, si on dit du mal d'elle, il renchérit pour plaire aux gens, si on dit du bien d'elle, il dit aussi du bien pour plaire aux gens". Ceci dit on ne fait pas la même chose dans l'autre sens, on ne parle jamais de Schnelly à Doofie, du moins, ceux qui connaissent bien Doofie. Dans la vie courante, si on dit du mal de Schnelly, par exemple des élèves par rapport à son travail, Doofie le défendra.
Mais maintenant, il voulait faire enlever le sapin, parce qu'on lui a dit d'enlever le sapin, mais si les gens critiquent le fait qu'on a enlevé le rosier, il dira "C'est Doofie qui voulait l'enlever!" Alors que Doofie na jamais voulu enlever quoi que ce soit de son jardin. Elle saborde son jardin parce que on lui a dit d'enlever le sapin et d'éclaircir les plantations, alors elle saborde tout le jardin, toutes les plantes qu'elle avait bichonnées jusqu'à il y a deux ans.
(Une chose qu'il faut rappeler : que Doofie n'a jamais fumé quoi que ce soit, Schnelly et elle se sont fait la promesse à l'âge de 18 ans pour Doofie et 21 ans pour Schnelly de ne jamais boire de boissons alcoolisées. Ils n'étaient pas encore mariés, se sont fiancés quatre ans plus tard et mariés 5 ans plus tard et ne vivaient pas ensemble alors, Doofie vivait chez ses parents et refusait les verres de Champagne que son père voulait qu'elle boive aux anniversaires et à la nouvelle année. Au début de leur mariage, Doofie et Schnelly n'ont acheté des boissons alcoolisées que pour leurs invités, pour qu'ils acceptent de prendre un repas chez eux, car inviter les parents à un repas sans alcool, ça ne se faisait pas, mais Schnelly et Doofie regardaient leurs invités boire sans boire eux-mêmes. Enfin, Schnelly fait peut être des exceptions, car quand il va tout seul chez quelqu'un, on lui dit :"Vous prendriez bien un petit verre... et on inssite, Allez... Pour nous, faites une exception, et Schnelly finit par accepter. Doofie n'accepte jamais de boisson alcoolisée, elle reste fidèle à elle-même. Mais pour leur maison Doofie (Doofie et Schnelly n'achètent plus jamais d'alcool, même pas de vin, ni de bière, mais parfois on leur en offre et alors les boutielles restent à la cave pendant des dizaines d'années. Quand on leur offre des bouteilles de bière, Schnelly va parfois en boire une en cachette de Doofie, elle a trouvé trois bouteilles qu'on leur a offertes vides à la cave. Les autres n'étaient pas entamées. Doofie ne les boira jamais, c'est évident. D'ailleurs, elle ne connait même plus le goût des boissons alcoolisées auxquelles elle avait goûté trois ou quatre fois par an chez ses parents avant l'âge de 18 ans.
Evidemment, quand on a fait partir Doofie du lycée où elle a travaillé dix ans... on a trouvé de l'alccol à brûler ou à polycopier dans son casier, cela ne servait qu'à la machine à polycopier, dite "à alcool".
Doofie est une femme pleine de droiture et qui s'est fixé une ligne de conduite une fois pour toutes.
Doofie a pourtant un défaut, celui de faire une crise de nerf quand on la pousse à bout et ici, le quartier la pousse à bout en la harcelant et vont jusque à la harceler dans son couple avec Schnelly, son mari.
Doofie veut éviter la police demain matin, appelée par cette femme jeune qui se croit insultée par une vielle, alors que cette voisine ' tutoie la vieille, de vingt ans son ainée, et qu'elle lui reproche de lui donner des conseils. Et qu'elle trate cete femme vieille de fainéante, alors qu'elle ne sait même pas que lorsqu'on a vingt ans de plus, on fait le travail moins vite qu'une jeune. Et que Doofie n'a jamais reçu de reproches quand elle était jeune; même pour son fond de garage, avant l'arrivée de ces locataires de deux maisons à côté (Doofie et Schnelly sont propriétaires) et ils considèrent qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent dans leur maison du moment qu'ils ne mettent pas la vie des autres en danger. Alors que cette femme, avec son barbecue, met la vie des autres en danger.
Doofie est droite, claire, elle n'accepte aucune compromission, elle n'est sujette à aucune toxicomanie, elle et Schnelly ont réussi à faire interdire le tabac sur tout le TER (Train Express Régional) et dans les gares. Doofie ne supporte pas la proximité du tabac, ni l'haleine qui sent l'alcool, elle n'ira jamais à la kermesse de la bière à Munich (elle a eu deux textes là-dessus à l'épreuve professionnelle de l'agrégation interne et elle en a été très choquée. Oui, Doofie a été choquée par les textes qu'on lui a donné à l'oral de l'agrégation interne, dont elle avait dit qu'on pourrait les donner à la rigueur à des sections hôtellerie-restauration. Et ce que le jury attendait c'est que c'étaient des textes sur la culture allemande).
Doofie sait que si elle s'en va, Schnelly sera libéré de sa promesse et boira de l'alcool et ce sera la décadence pour lui. D'ailleurs, l'alccol fait perdre la mémoire, il y a une expression qui est 'noyer son chagrin dans lalcool", c'est parce que Doofie ne boit jamais d'alcool, qu'elle pleure et fait des crises de nerfs quand les adultes la poussent à bout.
Pour cette affaire de barbecue, Doofie demande une chose que les barbecues soient interdits à proximité des maisons jusqu'à une distance de 50 mètres des maison. Finalement, ce serait plus intelligent de faire des Grillplätze comme en Allemagne, avec des cercles très larges emmurés et encastrés dans la terre, recouverts d'une grille, dans lequel couve un feu. Ces Grillplätze sont courants dans les clairières des forêts, en montagne, et parfois dans des espaces verts près des habitations où les familles peuvent venir griller leurs saucisses ou leur viande gratuitement. Un Grillplatz est littéralement une place à griller. Ce serait beaucoup mieux de faire cela que de faire des barbecues près des maisons.
Il y a deux ans la voisine portugaise de Schnelly et Doofie disait que Doofie qui était sortie toute l'année pour ses études et ses remplacements et ses cours du samedi, c'est à dire environ six fois par semaine, tout comme cette année, ne sortaient pas suffisamment pendant les vacances, parce qu'elle préparait son agrégation et d'autres examens, et la voisine voulait absolument la faire sortir. De quoi elle se mêle? "Moi, je ne dis à personne ce que je remarque d'anormal chez les gens. Et je ne me permets pas de me mêler de leur vie. Si le maire n'était pas venu nous obliger à couper les arbustes hier, je n'arai peut-être pas été dans le jardin à l'heure des barbecues et je ne me serais pas disputée avec cette voisine. C'est comme d'habitude, une enchaînement de circonstances dûes à une intervention extérieure dans la vie de Doofie. Le maire voulait faire un devis à Schnelly pour l'arrachage des plantations, et si Doofie ne le fait pas elle-même, ils vont devoir payer, et les jardiniers coûtent chers, plus de mille euros je crois pour enlever un arbre. Si c'est mille euros, c'est pour quelques heures de travail, prendre autant qu'iun prof a en quinze jours de travail avec copies corrigées et cours préparés et tout le reste dans son travail. Et le prof a fait plus d"études que le jardinier et le bûcheron! Et le jardinier et le bûcheron prennent en une demi-journée, ce que Schnelly ou Doofie gagnent en quinze jours ou un mois. Et le professeur a aussi un risque professionnel, déjà celui de la route et aussi celui de l'agression possible.
Doofie souhaiterait que les voisins la laissent tranquille et leurs enfants aussi et la police éventelle aussi,et les éventuels psys qui voudront venir et l'emmener pour l'enfermer parce qu'elle a fait une crise de nerf et a hurlé dans sa maison autant pour le barbecue de la voisine (Doofie et Schnelly n'ont jamais eu de barbecue) que pour la supression des arbres. Si les psys l'enferme, si on la met en prison il faudra que les voisins attendent qu'elle revienne pour l'élagage des arbres.
domino
20:47 Publié dans Colère i-grimoirienne, "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (0)
Doofie et ses arbres...
Hier ma note vous a expliqué comment Doofie revenue de vacances en TGV à cause de l'injonction du maire de couper ses "plantations" si on peut dire que deux malheureux riquiquis de sapins, trois fois moins haut que les deux sapins qui sont dans les jardins des maisons d'en face, jardins qui donnent vers chez eux (son quartier est fait de maisons qui se tournent le dos! Ce qui favorise la communication, n'est ce pas!!), sa haie de cyprès d'1 mètres cinquante, sa veille haie bocagère plantée dans les années 60 et qui a été enlevée par les ouvriers municpaux des espaces verts, qui exigent l'abatage de ses sapins qui pourraient un jour faire concurrence aux espaces verts municipaux (il est prévu qu'ils enleève tous les platanes du quartier).... bon, bref les plantations de Doofie constituées de quelques buissons de rose rares (Doofie voulait faire une roseraie, c'est râpé!), dont deux rosiers anglais aux magnifiques fleurs de rosiers abricots. D'un magnifique rosier rose dont les fleurs ressemblaient à de la porcelaine... qui ne donne plus bien, car Doofie l'a déjà coupé trop court sur injonction de sa voisine l'année dernière...
Dans le jardin d'en face, lors de la tempête du 14 juillet, le sapin trois fois plus haut que celui de Doofie s'était courbé sur el toit de leur maison (mais il est beaucoup plus près de la maison que celui de Doofie, celui de Doofie est au fond du jardin, alors que celui de la maison en face est en bas du talus qui jouxte la terrasse. A un moment Doofie a même vu que le haut du sapin de la maison d'en face, balayait le toit, mais le toit n'a eu aucun dégât et le sapin qui fait une fois et demi la hauteur des maisons est resté en place, mais cassera peut-être à la prochaine tempête. Pour le moment il a l'air drôle parce qu'il est tout penché d'un côté et ça embête Doofie de voir ce sapin courbe en face de sa cuisine, parce qu'elle a le sens de la symétrie et elle va le faire déclarer sapin dangereux pour le faire enlever, parce que le maire aurait dit que son sapin à elle, trois fois plus petit était dangereux!
Avant la tempête et depuis plusieurs jours Schnelly ne voulait plus ouvrir la persienne derrière, et Doofie croit que c'est parce que la cîme du sapin avait déjà été enlevée à cause de la voisine et que ce n'est pas la tempête qui l'a enlevée. Schnelly essaie de lui faire croire que la grêle a cassé les carreaux du garage, mais Doofie croit que ce son les ballons des enfants du quatier, car elle avait entendu plusieurs fois des ballons claquier sur la porte du garage. Une fois, elle était même dans le gargare et elle a crié, parce qu'elle a eu peur. En effet, le trou qui a été fait dans l'une des vitres (presque toute la vitre a sauté) est beaucoup trop gros pour avoir été fait par un grêlon.
Doofie avait vu qu'avant l'averse de grêle Schnelly avait vu un hélicoptère blanc passer au dessus de la maison et s'en était réjoui, Doofie avait entendu seulement le moteur, c'était peut-être un canadair qui a largué une grosse averse et des grêles, en effet il est impossible que en été il y ait d'aussi gros grêlons, généralement les averses de grêles tombent de mars à mai, mais là, la canicule était trop forte pour qu'il y ait de la glace, à moins qu'elle provenait du volcan istlandais! En effet, quand le volcan a commencé son éruption au milieu d'un glacier, il a envoyé de la glace en l'air et cette glace retombe peut-être maintenant sur la terre.
A la fin de la tempête, Doofie a vu un avion blanc qui repartait dans l'autre sens, mais il était très haut dans le ciel et ne laissait pas de traînées blanches comme les avions à réaction et a disparu d'un seul coup.
Doofie se demande si ce n'est pas un voisin qui a bouché la canalisation qui vide le caniveau qui est devant les entrées de garages intentionellement, pour obliger Doofie à enlever ce qu'elle avait dans son garage. Mais Doofie n'a rien enlevé du tout. En effet, une pière en ciment obtruait l'entrée de la canalisation qui se trouve chez le voisin. En tout cas c'est lui qui devait entretenir cette cannalisation parce qu'elle se trouve sur son terrain.
Enfin, Doofie a une promesse d'achat pour sa maisonn à six années d'ici quand elle partira en retraite, le temsp qu'elle trouve un maison dans un autre pays, ou dans une autre région. Il s'agit d'une famille recomposée entre une famille de Lille Sud (quartier chaud) et Strasbourg-Sud (quartier chaud), avec 17 enfants, dont des couples de jumeaux, beaucoup de garçons, dont les 7 plus âgés (le plus âgé a 13 ans) posent déjà beaucoup de problèmes de délinquance. Ils se réjouissent déjà, car ils pourront élever des moutons dans le garage et faire des méchouis dans le jardin bétonné que Doofie aura fait bétonner d'ici-là! Les ainés ont dit qu'ils se feraient beaucoup de copains et mettraient le quartier à feu et à sang et feraient brûler les voitures qui couchent dehors! Ils ont promis qu'is chahuteraient à l'école primaire et dans les collèges avoisinnant, ils se feraient renvoyer de l'un où ils auront formé des autres chahuteurs pour aller semer la panique dans un autre!
(Tout ceci c'est l'histoire de Doofie, Doofie n'exprime pas forcément mes idées).
domino
13:40 Publié dans Arbres | Lien permanent | Commentaires (0)
Doofie est triste à cause de ses arbres..
Doofie mon personnage de romanèthéâtre écrit dans son journal:
Schnelly et moi, nous avons dû quitter précpitament les bords de la piscine d'où l'on aprecevait dans le fond, la mer qui brillait entre les colinnes boisées et couvertes d'oliviers.
En effet, dans le courrier qu'on faisait suivre, Schnelly a trouvé une lettre de la municipalité disant qu'on devait enlever tous nos arbres (nous n'avons que deux malheureux sapins et plantations de notre jardin, car plainte avait été déposé par nos voisins parce que nos arbres situés au Nord de leur maison (donc, qui ne leur font jamais d'ombre) leur faisait de l'ombre. De même pour nos plantations qui sont bien que situées à distance respactable de chez nos voisins et qui ne dépassent jamais trois mères de hauteur, sont trop touffues.
Nous avons pris le TGV et nous somme rentrés.
Quand nous sommes revenus nous avons constaté que notre plus haut sapin, situé à 3 mètres 50 de la clôture de la voisine avait déjà été étêté. J'ai donc pris mes gants de jardin, j'ai d'aboid commencé à couper les petits arbustes qui longent la rampe de l'escalier devant, celui qui fait comme des fleurs de mimosa au printemps, et celui qui fleurit en rose au printemps et donne de jolies baies oranges à l'automne, dont les oiseaux du ciel sont firands. J'ai coupe le plus possible de branches, il ne me reste plus qu'à les réduire au ras du sol. C'est dommage, car c'est eux qui ont protégé notre porte d'entrée lors de la tornade et lors de la tempête de juillet. Et qui ont filtré l'air en protégeant les fenêtres de l''entrée et des toilettes en juillet. A la prochaine tempête, adieu mes fenêtres.
Doofie s'est mise à pleurer quand elle s'est attaquée au tout petit conifère qui faisait un mêtre de haut. Elle a coupé le rosier blanc, le rosier rouge, et le petit rosier rose au ras du sol, puis elle s'est attaquée au grand rosier rose dont il y a quelques années on disait dans la cité qu'il était magnifique et que c'était le plus beau rosier de la cité. Elle a coupé avec son sécateur toutes les branches qu'elle pouvait pour ne laisser que quelques grosse branches qu'elle coupera après quand elle aura l'outil adéquat. Elle a réduit a néant la petite boule de buis à laquelle elle avait donné une forme ronde lors de son dernier toilettage il y a deux mois.
Schnelly ramassait les branches et les mettaient dans des sacs poubelles verts. D'ailleurs on ne vend plus que des sacs poubelles verts et plus des noirs parce que les gens ont peur qu'on dise qu'ils mettent des bébés dedans.
Scnelly a fait un sac poubelle différent pour le conifère, parce qu'après Doofie va faire un recouvre sol avec les branches de conifères coupées pour empêcher les mauvaises herbes de pousser. Dans le jardin derrière il n'y avait presque plus de mauvaises herbes grâce aux plantations. Une fois les plantations enlevées les mauvaises herbes, chardons, orties, pissenlits et les petites fleurs jaunes, repousseront. Doofie ne mettra pas de pelouse comme ses voisin qui ont tous enlevé tous leurs arbres et ont mis des pelouses vertes toutes identiques et sans fleurs. Dans la rangée de maison, il y a des locataires du CIL, mais Doofie est propritaire avec Schnelly, ils ont mis dix ans pour payer avec un crédit bancaire la maison dont ils sont propriétaires, c'était à l'époque où Doofie travaillait en lycée, elle gagnait plus quie Schnelly et est donc autant propritaire que lui. D'ailleurs lorqu'ils ont racheté la maison à l'usine qui les avait fait construire, Doofie a signé chez le notaire avec lui.
Il faut dire que d'habitude c'est Doofie qui fait le jardin, elle avait choisi soigneusement tous ses arbustes et ses rosiers rares dans des catalogues de vente de plantes et d'arbre par correspondance. La dernière fois qu'elle en avait commandé, c'était lors de la mise en congé qui a suivi son inscpection de 2002, mais, dégoûtée, elle n'a pas installé les pots d'arbustes aux fleurs blanches qu'elle voulait mettre sur sa terrasse le long de la rampe qui la sépare des voisins, pour être tranquille chez elle. Elle avait quand même eu le temps de planter une haie de cyprès de 20 cm de haut qui ont mis trois ans à atteindre 80 centimètres et qu'elle a aujorud'hui dénudé complètement en les coupant aussi bas que l'épaisseur que pouvait couper son sécateur le lui permettait. C'était la haie qui la séparait de la maison d'à côté qui appartient au CIL, mais elle était plantée dans son jardin à elle. Si on avait un jour enlevé la clotûre si on avait laissé le temps à la haie de s'épaissir, elle aurait perdu quelques dizaines de centimètres de terrain au profit du CIL d'à côté. Les branches n'allaient pas chez le vosin puisqu'elle se repliait devant le grillage.
Si Doofie n'avait pas enlevé ses plantations et qu'elle avait voulu revendre sa maison, sa maison aurait eu une plus-value, car les plantations donnent une plus-value pour le cadre de vie. Même les arbres qui se trouvent autour des jardins et retiennent les terres rapportées qui sont en dessous des maisons donnent une plus-value aux maisons pour le cadre de vie, mais la municipalité veut les enlever.
Doofie avait renforcée sa haie bocagère qui est derrière la maison dans le fond du jardin avec des petits thuyas qui n'étaient pas bien haut (au maximum 1 mètres 50, elle voulait faire une double-haie pour se prétéger des intrusions et des regards des gens qui passent dans el chemin. En coupant les arbres de son jardin d'un côté '(elle a réussi aujourd'hui à enlever les arbustes sur une bande de 2m50 de large,Lle jardin faisant la largeur de la maison, c'est à dire 7 mètres et 14 mètres de long en comptant le talus et la terrasse. Doofie s'est piqué les bras et les jambes et même la figure avec des branches de roisers. Elle a enlevé les arbres d'un arbuste inconnu qu'elle a dû acheter dans sa jardineerie et qui faisait des belles frondaisons au dessus de l'escalier qui va de la terrasse en hauteur au jardin. Elle a aussi reçu le jus d'une plante dans son meilleur oeuil et son oeuil voit maintenant tout trouble,, mais ça passera sûrement d'ici demaine.
Mais c'est Doofie qui raconte sa vie dans son journal et pas moi qui la commente. A un moment Schnelly est allé aux toiletttes et il est revenu en disant que ce n'était pas la voisine du côté où l'on était en train de couper qui avait dit quelque chose, mais la voisine portugaise de l'autre côté (lelle est devenue jalouse de Doofie depuis le décès de son mari, jalouse de Doofie parce qu'elle chante bien et joue de la guitare. Un jour il y a deux ans, Doofie avait joué de la guitare sur sa terrasse et tout de suite la voisne avait été chercher son balai pour laver bruyamment sa terrasse à elle qui fait toute la largeur de la maison et dépasse sur le terrain de Doofie, avec sa balustrade blanche et sur laquelle elle a détournée la gouttière mitoyenne pour récupérer l''eau de pluie pour elle toute seule. Comme depuis quelques temps les chenaux débordent lorsqu'il pleut, Doofie se demande si elle n'a pas aussi bloquer l'écoulement de ses chenaux vers la gouttière mitoyenne.
Bon, finalement je parle toujours, mais laissons Doofie continuer son jounal :
J'avais à peine commencé à tailler l'arbuste du long de la terrasse que soudain, je me suis piquée. Je me suis asssise après ce travail pour me reposer sur la terrasse et je me suis assise sur des orties que j'avais enlevées, ouille!
Actuellement, j'ai les avant-bras qui lancent des douleurs cuisantes, ils sont pleins de marques rouges d'orties et de ronces.
Je suis arrivée au framboisier, il a bien donné l'an dernier, cete année, en juin, on n'avait pas eu le temps de se servir mais comme il est remontant, enfin, il était remontant, on aurait eu des framboises des bonens franmboise que Schnelly aimait cueillir et me les offir fin août début septembre. Dans les magasins les framboises côutent chères et on avait envrion 10 framboises par jour lan dernier que l'on mangeait relifgeusement.
J'ai coupé la haie de cyprès, mais je n'ai pas été jusqu'au bout, car Schnelly m'a demandé de tailler un chemin pour rentrer la tête du sapin qui est couchée le long du chemin derrière. Peut-être qu'en faisant sécher le bois pendant dix ans dans la cave, je pourrais faire des chevalets ou des archets ou des tables d'ukulélé. L'épicéa fait de belles tables d'harmonie et mon sapin pousait régulièrement. Il n'était pas assez grand pour faire des tables de guitare. Mon sapin n'avait pas encore vingt ans puisqu'on la planté en arrivant ici. L'autre sapin, peut-être un Douglas, était un sapin aux reflets bleus.
J'ai coupé tous les rosiers qui étaient entre mon ancienne allée (le bois des bordures a pourri et se confond avec la terre), et la haie de cyprès. Je les ai coupé au ras du sol, il y avait un Osiria, un rosier aux magnifiques fleurs groupées roses foné et blanches, en pleine floraison. demandé à Schnelly de mettre les fleurs dans des vases. Il a mis un peu des fleurs de buddeïa (l'arbre a papillons) dans le vase aussi. Maintenant que j'ai enlevé toutes les fleurs et toutes les branches vertes que je savais couper du buddeïa, les papillond, ces jolies inssectes qui ne font de mal à personne et servent à la fécondation des plantes, ne viendront plus dans le jardin. Cette année, on entendait moins les oiseaux que d'habitude (c'est peut-être le voisin de trois maisons au dessus qui fait du tir à la carabine qui les a tous tué. Schnelly m'a dit que c'est aussi trois maisons au dessus qu'on a demandé que je coupe mes arbres, mais là, c'est complètement en dehors de réglementations. Il parait que dans la cité les gens ont signé une pétition pour que nous enlevions "nos plantations" et pour qu'on quitte la ville.
En fait, si j'avais laissé mes arbustes grandir, c'est que je voulais les retaillé en leur donnant des formes rondes, j'ai une amie qui habite dans une autre villle et qui a fait cela avec ses arbustes et cela fait très beau.
Schnelly a pleuré quand j'ai coupé les branches du buddeä. J'ai aussi comencé à couper le forsythia, mas je n'ai pas fini, car la nuit commençait à tomber. J'ai été jusqu'au fond du jardin, et là stupéfaction, j'ai découvert que notre haie bocagère de ma double haie thuyas à l'intérieur, haie bocagère à l'extérieur (plantée depuis la consctruction de la cité) a disparu. Sauf les deux arbres qui ont grandi dedans et sont à l'extérieur de la clotûre. A la palce de la haie bocagère, il n'y a plus qu'ne vieille cloture rouillée. Les vposins de chaque côté et ceux de toutes la cité ont encore leur haie bocagère. Alors pourquoi les ouvriers municipaux ont-ils enlevé notre haie et pas celles des voisins.?
C'est le responsable des espaces verts qui a trouvé que c'était mieux d'enlever notre haie à nous ce qui maintenant fait un trou dans les haies qui bordent le chemin. En plus, c'est un chemin à l'arrière des maisons où pas grand monde ne passe, et c'est situé à l'endroit où le chemin est le plus étroit ou de l'autre côté, il y a une écurie en tôle ondulée, dans une patûre qui a été achetée par quelqu'un qui habite dans la rue perpendiculaire. Déjà lui, il y a dix ans, alors que nos sapins faisaient au maximum quatre mètres de haut et laissaient un espace entre eux, voulait qu'on les enlève, parce que cela faisait de l'ombre à ses chevaux. Qui avaient tout le reste de la patûire pour brouter au soleil.
Bon, déjà maintenant alors que j'ai enlevé quelques branches basses des sapins et les thuyas de 1 mètre, 1 mètre 50 plus petits que moi qui formaient une deuxième haie à l'intérieur à une distance d'une dizaine de centimètres de la première, on voit bien la tôtle ondulée de l'usine. Tant que les deux arbres extérieurs à la haie et que les deux sapins ne sont pas enlevés, on ne voit pas encore l'usine, mais ça viendra bientôt. Les voisins vont s'en mordre les doigts d'avoir fait enlever nos sapins parce qu'ils vont voir l'usine et sa fumée, déjà comme cela, on la voit briller de tous ses feux la nuit au travers des frondaisons.
J'ai continué à faire le tour du jardin par le fons, je suis revenue le long de la haie de la voisine qui râle, et j'ai commencé à taillé la partie des troënes qu'elle a planté (sans nous demander notre avis, car je voulais bien toutes sortes de haie, sauf une haie de troënes, il y en avait déjà dans le jardin de mes parents, et je trouve ces haises quelquonques.
Puis j'ai enlevé queqlues rosiers anglais qui étaient derrière la haie de troëne mais n'étaient pas fleuris. J'ai commencé à couper un arbuste et un petit buisson de buis qui m'arrive à la taille, mais il a bien mis quinze ans pour m'arriver à la taile, car le buis ne pousse pas vite, mais je n'ai pas fini. J'ai redonné quelques coups de sécateur à l'arbre à papillon et au buddeïa qui sont au milieu du jardin, mais n'y seront bientôt plus.
Puis il commençait à faire noir et je suis rentrée.
Voilà c'était un extrait du journal de Doofie, je dois ajouter que Doofie adore les arbres, qu'elle s'excusait auprès d'eux à chaque fois qu'elle commençait à en couper un. Doofie crois, c'est son avis et cela n'engage qu'elle) qu'il y a des esprits dans les arbres (ils sont plus visibles sur les photos qu'à loeil nu), et que si on coupe les arbres, l'expris s'en va ailleurs harceler les humains qui les ont fait couper. Alors si vous apprenez un jour que ma voisine portugaise et le voisin trois maisons au-dessus et le maire sont hantés par les esprits, vous vous souviendrez que c'est parce qu'ils ont fait couper les arbres de Doofie.
Doofie a aussi peur que le maire veuille vérifier l'interieur de la maison suite à l'inondation. Il ne peut pas, car ce ne sont pas cinq centimètres d'eau dans la cave et le garage qui ont pu abîmer quelque chose d'autres que les affaires à Doofie et à Schnelly. Nous sommes propriétaires et il n'a pas le droit de venir vérifier chez nous. Nous avons fait refaire l'électricité aux normes quand nous sommes arrivés, une grosse partie du chauffage, fait changer la chaudière, des radiateurs, fait mettre du carrelage dans l'entrée et la cuisine (avant c'était lino noir pas beau). Nous avons fait faire une cuisine intégrée. Et j'en passe...
Il est clair que Doofie est victime de la jalousie de sa voisine portugaise et de quellques autres. Il y a même un enfant qui est venu dire à Doofie que c'était bien d'enlever les petits arbustes de son jardinet, parce que les arbres, ce n'est pas beau. Où sont les actions où lon faisait planter un arbre par élève, que font les professeurs des écoles pour apprendre aux enfants que "Les arbres, ce n'est pas beau!"
En plus, sa voisine portugaise pleurait une anée où elle est revenue du Portugal parce qu'il y avait eu des incendies de forêt sur les terres de ses parents. Tous ces beaux oliviers qui étaient partis en fumée. Quelle tristesse! Elle aime tant les arbres au Portugal et veut faire supprimer ceux des français!
La voisine de Doofie a d'ailleurs peut-être hérité des terres arborées de ses parents depuis.
Il parait que le maire qui a une grosse maison entourée d'une propriété arborée avec une haie de thuaya qui fait bien dix mètres de haut devant, veut que Schnelly lui donne gratuitement nos titres de propriété pour rendre la mairie propriétaire des lieux et faire ce qu'ils veulent dans notre maison.
Le maire s'était fait élire il y a deux mandats sous une étiquette plus ou moins écologiste de personnes qui protestaient contre la construction d'une usine de retraitement des déchets dont des déchets prétroliers. A sa place on a installé sur la friche indutrielle une nouvelle centrale qui marche avec du gaz naturel, énergie fossille, alor que dans un pays où il y a beaucoup de vent, il aurait été plus interlligent d'installer des éoliennes. D'ailleurs Doofie adore les regarder tourner, elle trouve cela reposant.
Avant Doofie dans son quartier souriait et parlait à tout le monde, elle ne parle plus à personne et fait une tête d'enterrement quand elle voit des vosins dans la rue.
Elle pense que le maire devrait couper sa haie au ras du sol comme on a fait à la haie à Doofie derrière, et qu'il devrait enlever tout ses arbres, arbustes et arbustes à fleurs. Déjà pour montrer au gens dont il veut faire enlever les arbres et les arbustes, le mauvais exemple.
Avant pour la haie derrière je faisais une coupe écologique pour que les oiseaux puissent venir y nicher et maintenant, il m'ont tout enlevé, écrit encore Doofie.
Désormais, quand j'aurais fini d'enlever toutes les fleurs, les arbres et les arbustes, je vais bétonner le jardin de la maison jsuqu'à la haire derrière, comme cela plus aucun voisin ne pourra trouver à redire sur mes plantations et j'espère que le maire qui est venu jusque devant ma maison nous demander d'enlever les arbres, et les arbustes, bétonnera aussi sa propriété arborée pour donner le mauvais exemple.
Je voulais dire aussi autre chose, au bout de la rangée de maison de Doofie, entre les deux rangées de maison qui se font suite, il y a un gros lampadaire orange. Ce lampadaire rond a une lumière plus grande que sa tailel de jour, sa lumière orange fait au moins la taille de la lune quand elle est grande et elle brille très fort et ébouit. Doofie qui avait remarqué déjà cette lumière il y a trois ans, se demande ce que c'est.
domino
01:21 Publié dans Arbres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : arbres, municipalité, harcèlement moral de la part de voisins