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lundi, 02 novembre 2015

Accident d'élagage

Roman-théâtre

Dummie est chez Doofie...

Tiens, dit Doofie, j'ai reçu un mail de Foolie, il y a eu aussi un élagage devant chez elle avec un accident...

Un accident? dit Dummie toute tremblante, mais tu sais, Foolie est un peu sorcière.

Dummie lit :

 

"Vers une heure de l'arrès-midi, je suis rentrée chez moi, car je n'ai pas cours le lundi après-midi... J'ai regardé dans la boîte aux lettres, puis j'ai aidé Quicky à s'occuper des poubelles. Puis, j'ai regardé la rangé de six arbres dans la rue perpendiculaire à la mienne, juste en face de chez moi. Ils étaient en pleine frondaison d'automne et déjà trois arbres ne ressemblaient plus qu'à des saules sans branches et sans feuillage, alors que ce sont des platanes.

Les ouvriers sont revenus, ils étaient deux, pendant que j'étais dans la maison, ils ont fait deux arbres, puis, j'ai regardé dehors, je suis allée sur le perron. Je les ai regardé faire. Le camion benne était presque en dessous du dernier arbre. Un homme était sur une échelle à hauteur du départ des branches. Son collègue était en bas. A un moment, une branche est tombée directement dans le camion. Je me suis dit, ça alors, ils mettent les camion sous l'arbre pour que les branches tombent dedans. Mais l'autre homme a enlevé la branche du camion et s'est mis à la tronçonner pour qu'elle prenne moins de place dans le camion. Son collègue dans l'arbre poursuivait son élagage avec un outil à main qui ne faisait pas de bruit, alors que la tronçonneuse de celui au sol faisait beaucoup de bruit.

L4autre homme tournait autour du noeud de départ des branches, il n'était même plus au-dessus de son échelle, mais assis sur le noeud et penché il enlevait les branches courtes sur le pourtour avant d'enlever les grosses branches. Il est revenu sur le haut de l'échelle, et a commencé à couper les grosses branches. L'homme qui était en bas, avait changé de place et son collègue n'a pas du voir qu'il n'était plus à la même place. Au lieu de tronçonner les branches qui étaient devant le camion dans la rue devant, il est allé sur le côté près du terre plein et a commencé à tronçonner une branche que son collègue avait fait tomber sur sa droite. Une deuxième branche est tombée et j'ai entendu celui du haut qui criait 'M....!" (cinq lettres).

L'homme qui était en bas à droite avait disparu dans les branches. Il s'est relevé à moitié et était assis au milieu des branches, sa tête était pleine de sang. J'ai eu peur, je suis devenue toute froide, j'ai couru dans la maison et j'ai appelé tout de suite le 15 et une dame au bout du fil (c'était le SAMU ou SMUR de Grande Métropole Régionale à 100 km d'ici) m'a demandé des renseignements. S'il était assis ou couché, les coordonnées exactes, le n° des maisons, elle m'a demandé le nom de la rue deux fois parce que c'est une cité et je lui ai répondu que ce n'était pas une rue, mais une cité de maisons. Elle m'a dit qu'elle appelait les pompiers.

Ensuite j'ai vu que le collègue qui était descendu de son arbre, s'occupait de son collègue, un monsieur assez âgé. Il lui a épongé la figure et a fait une compresse avec un mouchoir blanc sur sa tête. Le blessé s'est mis debout, il avait l'air sonné. Il a commencé à fumer une cigarette et je leur ai dit de loin que les pompiers allait venir et le collègue qui n'avait pas compris qu'ils étaient déjà prévenus a dit : Ce n'est pas la peine, il va se faire recoudre chez un médecin. Alors comme les pompiers n'arrivaient pas (au moins dix minutes à mon avis, mais cela pouvait être plus court ou plus long, mais si la personne avait été en train de mourir, les secours seraient arrivés trop tard). Alors j'ai refait le 15 et j'ai demandé si c'était eux qui avaient appelé les pompiers ou si c'était moi qui devais les appeler et ils ont dit que non, qu'ils arrivaient, je leur ai dit aussi que le monsieur voulait se faire recoudre chez un médecin, mais on a entendu les sirènes de pompiers à ce moment là.

Quand ils sont arrivés en face de moi, je leur ai fait signe de l'index pour leur montrer où était le blessé. Il est monté dans la voiture des pompiers debout, puis la police est arrivée et moi, je suis rentrée dans la maison. Je n'avais pas envie de leur parler. Après je serais embêtée avec les témoignages et tout le tintouin.

En plus, juste avant que l'accident arrive, j'avais pensé que ce pauvre arbre auquel on enlevait toutes les branches devait bien souffrir. Je me suis donc senti un peu coupable. Aurais-je des talents de sorcière? Entre midi, j'avais appelé de ms voeux la pluie, pour qu'ils ne puissent pas continuer leur travail, il aurait mieux valu pour eux qu'il pleuve.

L'homme qui grimpe aux arbres est reparti en camion après le départ des pompiers en laissant sur place l'échelle et les branches restantes. Il est revenu ensuite, a installé des plots rouges et blancs autour du camion et a mis le restant des branches dedans. Puis après, il est revenu chercher l'échelle qu'il avait laissée là par terre. Ce soir, l'arbre auquel il manque un tiers des branches, est encore en train de dresser fièrement une partie de sa couronne boisée vers le ciel.

J'ai remarqué que l'homme qui monte aux arbres quand il est descendu du camion avait un casque route, il l'a enlevé ensuite et il avait une casquette au-dessous, celle qu'il avait auparavant quand il a fait tomber la branche sur son collègue. Mais le collègue qui travaillait au sol n'avait pas de casque, s'il en avait eu un il aurait sans doute été moins blessé.

Quand on nous a fait visiter des mines et des souterrains dans un pays d'Europe Centrale, on avait dû mettre des casques légers. Quand on se cognait dans les parois des couloirs de la mine, ça faisait boing boing.  Mais ça ne faisait pas mal.

Dans les souterrains on a failli se perdre avec tout un groupe derrière moi, comme je marche moins vite que les autres et que j'étais au milieu, on a perdu la tête du groupe. Impossible de les voir à une fourche. A droite ou à gauche? J'ai vu plus de lumière à gauche (c'était juste avant la sortie) et je ne me suis pas trompée. En conduisant la moitié de la cohorte au hasard, je me suis dit "Pourvu que je ne me sois pas trompée!" mais j'étais sur le bon chemin.

Bon, ça  c'est une histoire de casque... En attendant quand je suis rentrée dans la maison, je me sentais toute froide partout, la tête vidée, les membres froid comme de la glace, j'étais glacée et je me sentais patraque d'avoir vu tout ce sang sur la tête de l'élagueur. Des autres gens sont sortis quand les pompiers sont arrivés. Juste un peu avant, alors que j'avais déjà été deux fois en contact avec le Samu ou Smur de Grande Métropole Régionale, j'ai entendu une femme qui était passée devant chez moi et qui a été en voit une autre, dire "Il faudrait peut-être appeler les pompiers" alors qu'ils étaient en train d'arriver.

Les gens mettent longtemps à réagir.

Bisous à toi, Doofie.

Foolie

Dummie arrête sa lecture 'Ah et bien, ça alors... justement on parlait des élagages d'arbres ce matin ensemble, quelle coïncidence!

Doofie : Et pauvre Foolie, elle se sent toute chose et moi aussi...

Dummie : C'est vrai, rien qu'à lire son mail, je me sens mal...

Doofie : Ne tombe pas dans les pommes Dummie, tiens voilà un morceau de gâteau pour te ravigoter.

_______________

Pour' Dummie, Doofie et Foolie! Pour les arbres estropiés et les hommes blessés de vouloir les raccourcir.

domino

21:58 Publié dans Arbres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : écologie, ville, arbres

Arbres coupés

Roman-théâtre

Doofie et Dummie se rencontre en salle des profs. Dummie dit à Doofie : Tu as l'air maussade, Doofie!

 

Doofie : Oui, on a coupé presque tous les arbres devant chez moi, dans la rangée perpendiculaire.

Dummie : Coupés, abattus?

Doofie : Non, Dummie, transformés en balais de WC! comme dit Schnelly, et encore, ils n'ont même plus de branches,; juste au moment où c'est le plein automne et qu'ils avaient de magnifiques frondaisons multicolotes!

Dummie : Oui, c'est dommage...

Doofie : C'est à cause de la voisine qui se plaint. C'est comme cela que l'on habite ici, une paire de dames au foyer qui n'ont que cela à faire, se plaignent des feuilles à ramasser en automne. C'est aussi pour cela que la voisine voudrait que nous coupions tous nos arbres. Elle voudrait que tout le quartier soit chauve car la moindre feuille  d'automne sur sa  pelouse ou sa terrasse la dérange.

Dummie : C'est comme la voisine de ma mère. On l'aime bien quand même et le quartier était très vert parce que la municipalité n'a jamais accepté de transformer ses quartiers verts en déserts, ils ont juste remplacé les cerisiers du japon qui avaient de magnifiques fleurs roses tous les ans que ma mère photographiait et dont elle faisait des gorges chaudes, par des arbres sans floraison parce que la voisine se plaignait des pétales de fleurs qu'il fallait balayer au printemps. Mais les gens n'étaient pas bêtes, ils balayaient les feuilles une fois toutes les pétales tombées. Pareil pour les feuilles, ils attendent la fin de la chute des feuilles pour les balayer

Doofie : Et la voisine de ta mère... Elle ne venait pas de la campagne?

Dummie : Si... Le week-end, elle allait chez ses parents et ceux de son mari... Elle prenait un bol d'air là-bas, alors que nous n'avions que les jardins et les parcs pour respirer. Mais il y a des rues passantes pas loin des parcs et il y a du CO2 quand même. Quand il avait le temps, mon père nous emmenait en voiture à la campagne le dimanche après-midi ou bien toute la journée à la mer, respirer soit l'iode, soit l'oxygène.

Doofie : Ah ! L'iode, on a besoin aussi pour la thyroïde!

Dummie : Quant à la voisine de ma mère, elle a fait couper tous les sapins de ma mère, elle en a fait enlever deux et élaguer le troisième, ils étaient pourtant à plus de deux mètres de chez elle. Par contre son autre voisine, une citadine, laissait tous ses arbres pousser, de belles espèces dont les branches passaient par dessus les haies de ma mère, mais ma mère aimait bien les arbres de cette voisine.J'ai regardé récemment sur la vue aérienne de Glouglou Cartes, les arbres de cette voisine sont toujours là. Mais on voit quelques transformations quand même.

Doofie : Oui, mais la ville de notre jeunesse est bien verte.

Dummie : Oui, il y a l'avenue des cottages près de la mairie et l'avenue qui va au grand parc, là les arbres sont centenaires. Quand j'étais petite j'adorais marcher dans les feuilles d'automne quand  on prenait ces avenues pour aller au parc. Je shootais dans les feuilles.

Doofie : Oui, moi aussi, j'adorais ces avenues. Les arbres sont très haut et les troncs très larges, sans doute des centenaires. Dans le parce de la mairie il y a des arbres remarquables avec des troncs qui font bien deux mètres de large, même plus. Ils sont chouchoutés, on emmaillotte leurs troncs en hiver pour qu'ils n'aient pas froid. Avec des espèces de filets verts. Il y a plein de tilleuls dans la rue adjacente à la mairie où il n'y a plus beaucoup de circulation à grâce à la station de métro.

Dummie : Ici, ils coupent les branches au ras des troncs. Au printemps, les feuilles ont du mal à repousser et les arbres ont de drôles de formes. Ceux de la rangée d'en face ont été coupés il y a trois ans, ils recommençaient seulement à avoir une forme normale.

Doofie :Tiens, regarde dans le roman de domino, ta réplique s'est mise en gras, sans qu'elle n'y fasse rien, automatiquemetn, ta réplique doit être très importante!

Dummie : C'est vrai que c'est une réplique très importante, c'est le thème principal de notre conversation!

Doofie : Oui  c'est bizarre! Mais très utile, ces automatismes d'internet qui mettent en relief automatiquement ce qui est important.

Dummie : Mais j'ai remarqué une chose : ce sont généralement les gens de la campagne qui n'aiment pas les arbres. Ici, on est à moitié à la campagne, cela s'appelle ville, mais c'est le village... Quand ma mère venait ici, elle disait "Ah! On est à la campagne!" Même dans l'appartement d'une ville  où j'ai habité onze ans, elle disait : "Ah! On est à la campagne ici, parce qu'il y avait une pâture en contrebas, mais avec une usine dans le fond.

Doofie : Oui, il faut dire que nos mères sont nées à Lutèce, elles ont grandi dans la banlieue pavillonnaire du Sud, puis notre grand-père est retourné dans sa région, dans sa ville natale,  quand me mère avait treize ans. Dans la banlieue pavillonnaire, il y avait aussi beaucoup d'arbres. Et des jardins autour des maisons. Plus ensuite dans ma ville natale, mais la verdure était dans les jardins derrière les maisons. Dans la maison de mon enfance, il y avait des lilas. Le jardin était tout petit, mais bien cinq ou six lilas étaient alignés le long du grand mur de côté. Et un autre était au milieu du jardin. Sur un mur qui était celui de la cuisine des autres voisins, cuisine qui était plus longue que la nôtre, il poussait une vigne qui donnait un raison sûr. Chez mes grand-parents qui avaient un jardin plus grand, il y avait aussi une vigne autour d'un puits.

Dummie : Du côté de mes autres grand parents, ils avaient une petite cour triangulaire pleine de jolies fleurs avec des rosiers tiges. On faisait le tour du triangle de fleurs par une allée et dans le fond, il y avait la baraque à oiseaux un baraque transformée en volière à canaris.Mon grand-père gagnait un tas de concours de chant canari. J'ai eu longtemps leurs descendants chez moi, mais maintenant, ils sont tous morts.

Doofie : Moi, il y a une autre chose qui me chagrine, il me faudrait une maison trois fois plus grande pour être à l'aise avec tous mes livres.... et Schnelly ne veut rien savoir, il ne veut pas acheter d'autres maisons, même dans le quartier. Si j'avais plus de place, je pourrais mieux faire mon ménage, car tout ne serait pas l'un sur l'autre...

Dummie : Dans le quartier où j'habitais quand j'étais petite, les gens avaient agrandi les maisons par derrière, ils construisaient des cuisines, des salle de bains, installaient des baraques dans le fond pour ranger les outils ou avoir l'impression d'être dans le jardin, même quand il pleuvait, par exemple on jouait aux cartes dans la barque des voisins   derrière, on jouait avec eux, cette baraque avait des vitres de style verrière vers le jardin juste en dessous de leur cerisier qui dépassait au dessus de notre jardin. C'étaient des petits jardins, mais nous on était petits et on voyait cela très grand.

Doofie : Bon, il est l'heure de reprendre! J'espère qu'ils ne vont pas continuer à enlever les arbres automnaux face à chez toi!

Dummie : Oui, si ça tombe, quand je vais rentrer ce soit, toutes les belles frondaisons dorées auront disparu. Justement qu'il y a deux jours, je me suis dit : Tiens l'automne commence, que c'est beau! Et voilà que l'on enlève tout! Ils le font exprès, ou quoi?

Pour Doofie et Dummie

domino

 

jeudi, 30 avril 2015

Un voisin pas sympa

Roman-théâtre

Doofie a mis quatre jours et demi à parvenir à sa porte-fenêtre et à l'ouvrir. Mais au bout d'une demi-heure qu'elle était dans le jardin (elle a descendu l'escalier de la terrasse à l'aide d'un de ses bâtons pour ne pas tomber, car elle a toujous mal aux genoux). Elle a commencé à débrousaille avec son sécateur. Le voisin qui fait du bruit depuis presque une semaine à refaire sa façade arrière qu'il a recouverte d'hideuses slatte de bois grise, toute la façade unie, alors que nous avons des façades bi-colores briques rouges et béton blanc, que certains repeignent en couleur, ce que Doofie a l'intention de faire aussi. Cela rompt totalement le rythme des façades de la rangée de maison toutes pareilles.

Il a fait une grande terrasse, de l'autre côté de la maison, ne arrière de la terrasse qui est près de la maison, carrée, qui fait la moitié du jardin et ressemble à une piste d'atterissage pour OV..... pardon je n'ai pas le droit de proncncer le mot entièrement, à cause de Doofie qui en a vu au bout de ls rue... NI. En fait il y a juste de la place pour qu'un sou.... cou.... ah oui ne pas le dire entièrement... pe, vo.... surtout coupons le  mot... lan...te. Bien que Doofie ait vu des tri.... an... chut... gles et des lo... san... ges ... chut! vo... lants!

Doofie, qui n'était  pas sotite depuis 2011 par cette porte (depuis le passage des OV... bref, bous avez compris en septembre 2011)... parce qu'elle avait peur des ... chut... chut.. chut!...  à l'époque la maison d'à côté était vide, elle n'était pas encoe revendue après la fuite des voisins devant les OV... ... ils avaietn déjà du en voir au mois d'août, car ils étaient partis le 31 août.

De toutes façons, il peut y en avoir partout, même s'ils sembleraient revenir régulièrement à certains endroits. Par exemple, on en a jamais vu à Grande Métropole Régionale dans les années 60/70, alors qu'elles abondaient sur la Provence et l'Itaile et sur un pays voisin de la région de Bêtie.

Ces nouveaux voisins sont arrivés dans l'année qui a suivi et ont commencé tout de suite à  critiquer,Doofie et Schnelly et à faire des travaux tous les vendredis qui étaient la journée de congé  de Doofie, à faire comme les voisins pécédents, la fête tous les samedis soirs. Sauf que la fête ne se terminait pas , comme avec les voisins précédents, lorsque Doofie rentrait de ses cours bénévoles du samedi après-midi, mais continuait dans la nuit. Avec les anciens voisins, on entendait juste le bruit des bouteilles qui étaient jetés dans la poubelle à verre. Avec eux la musique et leur refrain Santiano chanté à tue-tête.  

Les cyprès de la haite '"étaient pas très hauts, déjà critiquée par la voisine pour ses "arbes", Doofie avait tout ratiboisé à dix, vingt centimètres du sol. Elle a vu hier que de sa vingtaine de rosiers tous plus beaux les uns que les autres, seuls trois ont repris. L'arbre à papllons  a disparu. Le forsythia s'est étendu. L'arbre à boules rouges(cotonéaster)  a monté vers le haut au lieu de s'étendre.

Le pire c'est que Doofie, assez fatiguée, avait  commencé le débrouisallage. D'abord les petites branches, elle s'est creusé  un chemin entre le cotonéaster et le buis qui a un peu gonflé, juste de quoi faire un beau topiaire, et elle a commencé à faire ce qu'elle peu près de la haie de sa vosine. Le travail avançait bien. Elle a vu que le pommier était planté à plus de deux mètres de chez sa voisine ou à deux mètres justes, ele ne devra pas l'enlever. De toutes façons, il y a des règlementations spéciales sur les arbres fruitiers, normalement on n'a pas le droit de supprimer un arbre qui peut servir à la nourriture de la famille. Ce pommier devait donner deux sortes de pommes, mais l'autre moitié a disparu. Ils étaient liés par un trons à deux branches basses.  Elle n'a même pas le droit de consommer les pommes tombées sur son terrain, mais doit les donner au propriétaire de l'arbre.

En fait, Doofie ne comprend même pas pourquoi l'autre voisine a trouvé qu'il y avait des odeurs pestilentielles d'animaux morts, c'est vraiment exagéré. D'abord il n'y a pas un seul terrier de rongeurs dans son jardin (ils préfèrent la pelouse de la municipalité et sa pelouse à elle), et pas d'animaux morts, non plus, aucun. Le seul animal que Doofie a vu, mis a part les oiseaux qui se sont mis à chanter quand elle est sortie, c'est un chat tout noir qui l'a regardée avec l'air de dire : pourquoi tu es en train de détruire ma cachette? Vous pensez bien que s'il y avait des rongeurs sur son terrain ce chat voisin aurait eu tôt fait de les déloger!!!

Bon, en fait, là où cela n'a pas été, c'est qu'alors que Doofie arrivait à bout de ce qui jouxtait la clôture de la lettre recommandée, son travail fut interompu par le voisin,  qui commença a vomir une harangue concernant le fait que le cheneau ne serait toujours pas réparé. Doofie a dit qu'elle n'éntendait plus le ruissellement quand il pleut la nuit et que cela devait être réparé. Il  a prétendu que non,qu'il y avait des infiltrations chez lui. Doofie s'est souvenu qu'il y a eu des problèmes à l'arrivée d'un locataire, alors que des travaux dont le nouveau cheneau venaient d'avoir été faits chez lui, alors que jusque là tout allait bien et que le voisin d'alors s'était plaint de mauvai tavaux, alors que'il y avait des infiltrations d'eau chez eux, mais pas chez Doofie.

Doofie venait de remarquer qu'un tuyau d'arrosage avait été mis sur son balcon à elle et lui a demandé pourquoi il avait mis ce tuyau là. Il s'est fâché en disant : "Cela fait trois ans que je vous demande de faire des travaux,... (en fait, Doofie sait qu'il en a parlé pour la première fois à voix basse à Schnelly, il y  a seulement un an, alors qu'elle était en train de trier son garage et que la porte du garage était ouverte) ... "( vous voulez que j'enlève immédiatement mpn tuay. Pourtant le tuayau semble être là depuis longtamps, il est croqué à deux endroits et il y a de la poussière sur les pliures. Doofie se demande soudain s'il ne fait pas couler de l'eau sur son balcon pour faire croire qu'il y a des infiltrations et voit qu'au dessus du balcon, son mur à elle, est impeccable, alors qu'il y a un peu de vert sur le mur en dessous du balcon (entre le balcon et la terrasse, c'est à dire au niveau du rez-de-chaussée. Donc, il ferait couler de l'eau le long du balcon avec le tuyau pour prouver qu'il y a une infiltration, et il veut faire intervenir son assurance à elle (peut-être pour payer son ravalement de façade).A mon avis, il essaie de se faire payer des trucs par Doofie et Schnelly.

Personellement, Doofie et Schnelly n'ont jamais eu de tuyau d'arrosage. D'ailleurs, le robinet d'eau est beaucoup trop loin du jardin pour s'en servir.

Doofie a parlé de ses voitures qu'il garait toujouts devant son garage à elle et il a dit que ça n'avait pas d'importance puisqu'ele ne sortait pas de voiture. Elle lui a rappelé la loi, qu'on ne stationne pas devant les portes cochères et devant les sorties de voiture. au début il prétendait même que c'était son deuxième garage! Alors que chaque maison ici n'a qu'un seul garage.

Et puis Doofie aurait pu lui reprocher aussi l'antenen de télé qu'il a mis au dessus de chez elle. Doofie et Schnelly n'ont même pas la télévision et ont une antenne au dessus de chez eux, alors qu'il y a une antenne collective dans le quartier. On se demande pourquoi depuis quelques temps, mis à part les paraboles pour revevoir l'étranger, des antennes traditionneles ont fleuri sur les toits, alors qu'il n'y en avait aucune pendant au moins les quinze premières années. Il a fat un cerclage autour de la cheminée mitoyenne (qui a deux conduits pour eux et deux conduits pour nous, c'est la cheminée de la hotte de cuisine). Mais elle a oublié de leur en parler, s'ils déposent plainte pour son cheneau et ses arbres, parce qu'alors qu'il en avait jamais parlé avant, il a commencé à critiquer ses arbres, elle déposera plainte pour son antenne de télé quie est au dessus de sa hotte de cuisine (au risque que la foudre tombe sur sa hotte de cuisine, sur sa cuisinière électrique et dans sa cuisine). Etpour les voitures qu'il gare sans cesse devant notre garage.

Elle a appirs dans la conversation que ce voisin allait en semaine travailler à Paris. Et sa femme, avec sa camionnette blanche gaz de France qui a un eimmatriculation du 44, Loire Atlantique? Une voiture de fonction qu'elle utilise pour ses loisirs? Si ce n'est plus une voiture de fonction, les sigles devaient être effacés.

Et puis... Si elle travaille à gaz de France, c'est peut-être elle qui a fait des modifications sur son évacuation d'eau, ce qui fait fuir l'évacuation de sa machine à laver et bloque les vidances du lavabo du rez-de-chaussée et de la baignoire de l'étage dont les eaux usées remontent par le tuyau de la machine à laver et inondent le garage...

Bon, bref, Doofie se pose toutes ces questions insolubles... et le voisin a commencé à râler pour les arbres qui étaient trop gand et s'est plaint de l'ombre, alors que les jardins sont au Nord, à  l'ombre des maisons.  Cependant le soleil se couche en été au Nord-Ouest, donc de l'autre côté de sa maison et pour le démenti un resplendissant soleil couchant est venu inonder son jardin dans les minutes qui ont suivi!

Schnelly est arrivé et il a cessé ses invectives, et Doofie et Schnelly ont commencé à enlever les branches qu'ils peuvent de son côté à lui.  Doofie a donc cessé le travail presque fini du côté de  sa voisine. En élaguant la haie de cyprès, avec son sécateur à mains, toujours, Doofie a senti que cela sentait bon le conifère, un peu comme les bonbons à la sève de pin et que c'était bon pour la santé, tous ces "arbres" qu'on veut lui faire enlever... et tout cet osygène qui s'en dégage. Il y a de bonnes odeus de sous-bois, de conifères, de l'oxygène, tout, et la voisine dit que ça sent mauvais!

Et en plus, Doofie est anti-alcoolique et il y a des canettes de bières vides sur la terrasse du voisin!

En effet, Doofie et Schnelly se demandent pourquoi ils ont tant d'ennuis matériels depuis que ces voisins sont là.

Pour Doofie (qui est TZR d'allemand en fin de carrière)

domino

PS Cette histoire est en grande partie vraie : les soi-disant terriers et soi-disant odeurs, les arbres à enlever, l'antenne de télé sur le toit du voisin qui n'a pas la télé, les voitures devant la garage du voisin, le tuyau d'arrosage sur le balcon du voisin, etc.. 

Mon avis : Si Schnelly avait déjà réagi pour l'antenen de télé mis par le voisin sur son toit alors qu'il n'a pas de télé, cela irait déjà mieux...

lundi, 01 décembre 2014

Les arbres encore coupés!

Roman-théâtre

Du journal de Doofie

Je suis encore très peinée. Ce matin, en sortant de chez moi, je me suis rendue compte qu'ils avaient tondu au ras des branches tous les platanes du petit square. Il parait que c'est comme ça pour les platanes. Selon Schnelly, on les transforme en balais de WC! Ils n'ont pas encore fait ceux juste devant chez nous qui ont été décoiffés par les scies électriques il y a seulement deux ans. Au printemps, il faudra attendre plus longtemps pour  avoir les feuilles que pour les autres arbres. Cela ne fait pas du bien aux arbres, à mon avis, cela doit leur faire mal. Les arbres qui ont été plantés ici vers 1962, datent de la construction des maisons, ont maintenant plus de 50 ans. On aurait pu en faire des centenaires.

Et en plus avec la vue dégagée maintenant, on verra mieux les OV....., non, il ne faut pas que je prononce le nom,, mais c'était de ce côté-là qu'elles étaient passées. Alors, on les verra mieux, on ne pourra plus se cacher sous les arbres si on rentre la nuit et qu'on les voit ariver. Il y a trois ans et trois mois... toute une armée, comme un meeting aérien silencieux au dessus des maisons qui sont de l'autre côté de ce petit square, en six ou sept passages... (je ne sais pas si cela a continué après que je sois rentrée dans la maison). Ils ont dit que c'était des lanternes thïlandaises. il prennent les O..... IS pour des lanternes.

En tout cas, moi qui ne dis jamais de gros mots, j'ai poussé une exclamation... Les c....! Ils ont encore taillé les arbres! Ils exagèrent franchement. Tout cela à cause des riverains qui réclament pour les feuilles d'automne alors que les feuilles sont déjà tombées. Ce n'est pas la peine de réclamer si elles sont déjà tombées, on aurait pu attendre encore un an avant qu'elles retombent.

On a ici des platanes qui ressemblent aux saules des bords de rivière, alors que lorsque l'on est arrivé dans le quartier, on avait de magnifiques arbres de plusieurs dizaines de mètres de haut. Ils avaient un port magnifique. Dans le quartier les fils électriques sont souterrains. Il n'y a en l'air que quelques lignes de téléphone. Les arbres ne gênaient peut-être que les lampadaires, mais pourquoi mettre les lampadaires du côté des arbres? Ils auraient pu les mettre de l'autre côté de la rue, du côté des maisons et en mettre de moins grands. Avant les lampadaires étaient même accrochés aux maisons. Ils étaient blancs. Maintenant, il y a des grands lampadaires aux lampes oranges, qui parfois se mettent à clignoter, il y a un lampadaire qui s'éteint, s'allume en blanc et reste allumé une vingtaine de secondes, et puis, il s'éteint de nouveau et recommence son cycle, quand il a commencer à faire son cinéma, j'ai cru que c'était encore un O.... I.

Bon, les grands lampadaires, ça fait que la nuit on y voit clair comme en plein jour, que la lumière orange, cela fait que les vitres sont éclairées en orange. Bref, on prend notre calme cité où presque pas un chat ne bouge la nuit (si, si, ils en profitent pour se promener, les petits matous gris, tigrés, noirs, blancs, tachetés qui vous regarde avec leurs beaux yeux lumineux quand vous rentrez tard le soir), on prend notre calme cité pour un repaire de bandits où il faut voir clair la nuit, mais il n'y a pas âme qui vive dans les rues, ici tout le monde est couché à neuf heures du soir,même Schnelly... il n'y a que les profs et les étudiantes attardées, je veux dire, intelligentes, mais âgées, qui font leurs devoirs la nuit, chez lesquels on voit encore briller quelque lumière après neuf heures du soir, sauf le week-end, quand le "nouveau" voisin  qui ne vient que les week-ends vient faire son cirque avec ses motos et ses voitures qu'il stationne devant chez nous et même devant notre garage au mépris du code de la route et de tout respect d'autrui. Je me demande si quelquefois ils n'ont pas mon courrier et mes paquets qu'ils ne donnent que le samedi. Nous quand on voit un courrier qui n'est pas pour nous, on va le mettre dans la bonne boîte, mais on ne le remet pas au facteur qui va le renvoyer au destinataire pour que la personne attende encore un mois après son courrier.

Bon, les grands lampadaires, c'est comme dans un carrefour, les arbres coupés, c'est pour qu'on ait trop chaud lors des canicules d'été.

En plus, ils sont au nord de jardins de maisons, donc ils ne font pas d'ombre. ils ne gênent pas les fils électriques  puisqu'il n'y en a pas.

Les lampadaires, ont des fûts creux qui emprisonnent les oiseaux.

Si on avait des petits lampadaires style becs de gaz, le quartier serait plus joli. Un jour, je me suis dit que j'allais repeindre les parties bétonnées blanches de la maison en style art nouveau. Avec plein d'entrelacs de feuillages verts pour remplacer ceux qui nous manquent.

Dans la ville où j'ai grandi, les arbres sont immenses, ils les emmailottent même en hiver. Les arbres du parc de la mairie sont emaillotés avec des tissus verts pour leur tenir chaud en hiver, il y a des arbres remarquables, des centenaires, des bicentenaires, des tricentenaires. On ne comprend pas pourquoi dans cette cité, il y a toujours des gens qui râlent parce qu'ils doivent ramaser les feuilles dans leur jardinet devant et sur leur escalier. Dans la ville où j'ai grandi, dans les rues, il y a des arbres, souvent des deux cotés de la rue, des tilleuls ou des cerisiers du Japon qui fleurissent en rose au printemps et jonchent le sol de leurs pétales roses alors qu'en automne on ne balaie les tapis mordorés des routes que juste avant le gel d'hiver. On a coupé une fois les arbres aux fleurs roses devant chez ma mère, c'était sa voisine qui venait de la campagne qui avait râlé,contre les pétales qu'elle devait balayer et depuis que ma mère n'est plus là, dans cette autre ville où j'habite, c'est ma voisine portugaise qui avait gémi à propos des incendies de forêts qu'il y avait eu autour de sa ville natale et autour de la maison de ses parents, qui râle contre les arbres d'ici et leurs feuilles. Les arbres pour elle sont beaux au Portugal, mais pas chez nous. Alors que là-bas ils ont apparemment des oliviers rabougris.

Et puis ici,dans ce quartier, c'est bizarre, mais on a l'impression que les maisons rétrécissent. ma maison est moins grande qu'avant, il y a moins de place. Et mo, j'ai beau maigrir, mes vêtements s'agrandir, je fais toujours le même poids!

Enfin, ma consolation, c'est le rossignol qui vient chanter tous les matins à la même heure, avant le lever du jour, quand il fait encore noir, à la fenêtre de mes toilettes, on dirait qu'il vient pour moi, l'autre jour il a poussé des trilles pendant cinq bonnes minutes. Pourvu que ma voisine ne le chasse pas. Les rossignols sont le contraire des canaris, ils chantent comme eux, mais ils chantent la nuit.

Ma voisine est toujous dans ses toilettes à écouter ce que je fais, pour le moment elle ne doit rien entendre venant de chez moi si ce n'est le souffle du chauffage d'appoint. Mais j'entends son balai dans les toilettes qui jouxtent les miennes. Elle écoute pour savoir si on dit du mal d'elle.

Inutile d'écrire sur ton journal a rugi Schnelly, inutile d'écrire sur les arbres... et pourquoi? Il n'aime plus les arbres, maintenant, il a un comportement étrange pour le moins... Il s'est un peu radouci, râle moins quand je cherche quelque chose, mais il est étrange... Il y a encore deux jours, il m'a coupé la parole au bout de deux mots alos j'ai sangloté et il s'est mis à pleurer aussi... il faudrait savoir ce qu'il veut...  Par conre il n'a pas pleuré pour mes deux profs de musique morts, alors qu'il les connaissait aussi bien que moi.Schnelly ne pleure jamais pour les morts, ou alors pas devant les auttres, parfois, il rit pendant les enterrements. Si je meure avant lui, il rira à mon enterrement...

Allez, je ne sais pas, mais... tout cela est bizarre, les arbres taillés et la vie qui f... le camp. A propos pas étonant que les O... IS soeint pasé par ici, j'ai des montagnes des Corbières en photo dans le fond de mon entrée,une photo que j'ai mise là, il y a bien 15 ans et faite il y a plus de vingt ans. Une belle montagne ronde au bout d'une vallée. C'est peut-être le Pech Bugarach. Alors, pas étonnant que les O.. l'ont regardé en passant.

Allez... je retourne à mon travail.

Doofie...

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Pour Doofie,

domino

 

14:53 Publié dans Arbres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : arbres, nature, ville, villes, quatier

samedi, 02 octobre 2010

Pleurer pour les arbres....

Doofie écrit dans son journal :

Il n'y a pas que moi qui pleure pour les arbres et les oiseaux (Tiens! Les oiseaux commencent à revenir, les pies sont revenues sur le campus, et hier j'ai entendu un oiseau chanter près de ma façade, on l'entendait bien, pas dans le lointain.

Bon, en tous cas, sans qu'on leur donne de préavis, les oiseaux des parcs et avenues de Stuttgart voient leurs arbres tomber, alors ils vont aussi déserter la ville en signe de protestation, comme ces 10 000 habitants descendus dans la rue hier pour manifester contre le projet Stutgart 21. La télé allemande montre des gens qui pleurent lors de l'abattage des premiers arbres.

Qu'est-ce que c'est Stuttgart 21? C'est la construction d'une partie de la ligne de train rapide (genre TGV) Paris-Budapest. Ligne dont on a prévu qu'elle traverserait Stuttgart. Et pour cela on démolit des parcs, des avenues et des maisons. Les travaux ont d'ores et déjà commencé;

Hier la police a tiré sur les manifestants dans le parc avec des canons à eaux et des gazz lacrymogènes. Il y a eu 100 blessés dans le parc, essentiellement des jeunes de lycées et collèges blessés aux yeux. En France, on fait un tas de tralala autour des blessés de la Love Parade et on ne parle pas de ces blessés-là.

Dans les commentaires sur le site d'une télévision une dame s'exclame : la seule liaison ferroviaire directe qui existait entre Paris et Budapest a été supprimée depuis un an... et ils démolissent pour en construire une autre....

C'est comme le Paris-Moscou, il croisait le Calai-Bâle ou plutôt le Londres-Milan-Naples dans une petite ville non loin de chez moi (c'est moi Doofie qui parle, pas l'auteure du blog, domino!). De cette petite gare à la croisée des chemins, on prenait le train avec les élèves pour aller en jumelage en Basse-Saxe et le train était direct, ou bien on prenait le train pour Paris à n'importe quelle heure de la journée et le train direct pour Bâle en Suisse, ou pour Metz ou pour Strasbourg. Maintenant pour faire ces trajets il faut changer plusieurs fois ou faire des trajets par la grande métropole régionale.

Il y avait encore les wagons de la Mitropa qui passaient par là. La grande époque feroviaire. Mitropa étant la compagnie des wagons restaurants et wagons-lits d'Europe Centrale. Il y avait beaucoup de métiers liés au train : le restaurateur qui passait dans les couloirs avec ses cafés et ses sanwichs, le surveillant du wagon-lit qui avait sa cabine au bout de chaque wagon. Tous ces métiers supprimés ont prvoqué du chomâge.

Bon, revenons à l'Allemagne, ils démolissent une partie de Stuttgart pour faire passer le train. Angela Merkel est pour, le SPD et les Verts sont contre, ils comptent sur ces manifestations et celles contre la prolongation de durée de vie des centrales atomiques qui vont fonctionner 20 ans de plsu que prévu avant d'être remplacée par les énergies entièrement renouvelables comme celle du vent (manifestations à Gorleben ces derniers jours) pour obtenir un revirement politique. Comme dans les années 50 le SPD utilise les manifestations pacifistes à l'époque, écologistes aujourd'hui pour agrandir son électorat.

Le projet est appelé par la télé un "gigantesque programme de démolitions".

Les tenants du projet disent qu'on ne peut plus reculer, vu déjà tout l'argent qui a éé investi dans ce projet (pour la planification, payer les urbanistes, les architectes, etc...) Et ne pensez-vous pas que l'on dépense les denires publics et l'argent des contribuables pour rien?

Ceci dit, c'est en tant que Doofie, personnage du roman-théâtre de domino : en tant que Doofie, je suis contre tout abattage d'arbre, car l'arbre est l'habitat des oiseaux, notre oxygène et nous embellit le paysage.

Bon, je suis aussi contre les trop grandes et trop rapides modifications de paysages urbains (et ruraux, cela va de soit). Ces modifications accompagnées de leurs démolitions et de la suppression d'espaces verts, rendent les gens qui habitent ou habitaient ces quartiers malheureux. Alors, avant de penser à faire des liaisons rapides (après tout ceux qui ont de l'argent pour prendre ce futur train, en ont aussi pour prendre l'avion!), pensez à tous les gens et animaux que vous rendez malheureux!

Et que vivent les oiseaux!

Doofie

 

Pour Doofie, mon personnage de roman-théâtre

domino

 

 

mardi, 03 août 2010

Doofie est triste à cause de ses arbres..

Doofie mon personnage de romanèthéâtre écrit dans son  journal:

Schnelly et moi, nous avons dû quitter précpitament les bords de la piscine d'où l'on aprecevait dans le fond, la mer qui brillait entre les colinnes boisées et couvertes d'oliviers.

En effet, dans le courrier qu'on faisait suivre, Schnelly a trouvé une lettre de la municipalité disant qu'on devait enlever tous nos arbres (nous n'avons que deux malheureux sapins et plantations de notre jardin, car plainte avait été déposé par nos voisins parce que nos arbres situés au Nord de leur maison (donc, qui ne leur font jamais d'ombre) leur faisait de l'ombre. De même pour nos plantations qui sont bien que situées à distance respactable de chez nos voisins et qui ne dépassent jamais trois mères de hauteur, sont trop touffues.

Nous avons pris le TGV et nous somme rentrés.

Quand nous sommes revenus nous avons constaté que notre plus haut sapin, situé à 3 mètres 50 de la clôture de la voisine avait déjà été étêté. J'ai donc pris mes gants de jardin, j'ai d'aboid commencé à couper les petits arbustes qui longent la rampe de l'escalier devant, celui qui fait comme des fleurs de mimosa au printemps, et celui qui fleurit en rose au printemps et donne de jolies baies oranges à l'automne, dont les oiseaux du ciel sont firands. J'ai coupe le plus possible de branches, il ne me reste plus qu'à les réduire au ras du sol. C'est dommage, car c'est eux qui ont protégé notre porte d'entrée lors de la tornade et lors de la tempête de juillet. Et qui ont filtré l'air en protégeant les fenêtres de l''entrée et des toilettes en juillet. A la prochaine tempête, adieu mes fenêtres.

 

Doofie s'est mise à pleurer quand elle s'est attaquée au tout petit conifère qui faisait un mêtre de haut. Elle a coupé le rosier blanc, le rosier rouge, et le petit rosier rose au ras du sol, puis elle s'est attaquée au grand rosier rose dont il y a quelques années on disait dans la cité qu'il était magnifique et que c'était le plus beau rosier de la cité. Elle a coupé avec son sécateur toutes les branches qu'elle pouvait pour ne laisser que quelques grosse branches qu'elle coupera après quand elle aura l'outil adéquat. Elle a réduit a néant la petite boule de buis à laquelle elle avait donné une forme ronde lors de son dernier toilettage il y a deux mois.

Schnelly ramassait les branches et les mettaient dans des sacs poubelles verts. D'ailleurs on ne vend plus que des sacs poubelles verts et plus des noirs parce que les gens ont peur qu'on dise qu'ils mettent des bébés dedans.

Scnelly a fait un sac poubelle différent pour le conifère, parce qu'après Doofie va faire un recouvre sol avec les branches de conifères coupées pour empêcher les mauvaises herbes de pousser. Dans le jardin derrière il n'y avait presque plus de mauvaises herbes grâce aux plantations. Une fois les plantations enlevées les mauvaises herbes, chardons, orties, pissenlits et les petites fleurs jaunes, repousseront. Doofie ne mettra pas de pelouse comme ses voisin qui ont tous enlevé tous leurs arbres et ont mis des pelouses vertes toutes identiques et sans fleurs. Dans la rangée de maison, il y a des locataires du CIL, mais Doofie est propritaire avec Schnelly, ils ont mis dix ans pour payer avec un crédit bancaire la maison dont ils sont propriétaires, c'était à l'époque où Doofie travaillait en lycée, elle gagnait plus quie Schnelly et est donc autant propritaire que lui. D'ailleurs lorqu'ils ont racheté la maison à l'usine qui les avait fait construire, Doofie a signé chez le notaire avec lui.

Il faut dire que d'habitude c'est Doofie qui fait le jardin, elle avait choisi soigneusement tous ses arbustes et ses rosiers rares dans des catalogues de vente de plantes et d'arbre par correspondance. La dernière fois qu'elle en avait commandé, c'était lors de la mise en congé qui a suivi son inscpection de 2002, mais, dégoûtée, elle n'a pas installé les pots d'arbustes aux fleurs blanches qu'elle voulait mettre sur sa terrasse le long de la rampe qui la sépare des voisins, pour être tranquille chez elle. Elle avait quand même eu le temps de planter une haie de cyprès de 20 cm de haut qui ont mis trois ans à atteindre 80 centimètres et qu'elle a aujorud'hui dénudé complètement en les coupant aussi bas que l'épaisseur que pouvait couper son sécateur le lui permettait. C'était la haie qui la séparait de la maison d'à côté qui appartient au CIL, mais elle était plantée dans son jardin à elle. Si on avait un jour enlevé la clotûre si on avait laissé le temps à la haie de s'épaissir, elle aurait perdu quelques dizaines de centimètres de terrain au profit du CIL d'à côté. Les branches n'allaient pas chez le vosin puisqu'elle se repliait devant le grillage.

Si Doofie n'avait pas enlevé ses plantations et qu'elle avait voulu revendre sa maison, sa maison aurait eu une plus-value, car les plantations donnent une plus-value pour le cadre de vie. Même les arbres qui se trouvent autour des jardins et retiennent les terres rapportées qui sont en dessous des maisons donnent une plus-value aux maisons pour le cadre de vie, mais la municipalité veut les enlever.

Doofie avait renforcée sa haie bocagère qui est derrière la maison dans le fond du jardin avec des petits thuyas qui n'étaient pas bien haut (au maximum 1 mètres 50, elle voulait faire une double-haie pour se prétéger des intrusions et des regards des gens qui passent dans el chemin. En coupant les arbres de son jardin d'un côté '(elle a réussi aujourd'hui à enlever les arbustes  sur une bande de 2m50 de large,Lle jardin faisant la largeur de la maison, c'est à dire 7 mètres et 14 mètres de long en comptant le talus et la terrasse. Doofie s'est piqué les bras et les jambes et même la figure avec des branches de roisers. Elle a enlevé les arbres d'un arbuste inconnu qu'elle a dû acheter dans sa jardineerie et qui faisait des belles frondaisons au dessus de l'escalier qui va de la terrasse en hauteur au jardin. Elle a aussi reçu le jus d'une plante dans son meilleur oeuil et son oeuil voit maintenant tout trouble,, mais ça passera sûrement d'ici demaine.

Mais c'est Doofie qui raconte sa vie dans son journal et pas moi qui la commente. A un moment Schnelly est allé aux toiletttes et il est revenu en disant que ce n'était pas la voisine du côté où l'on était en train de couper qui avait dit quelque chose, mais la voisine portugaise de l'autre côté (lelle est devenue jalouse de Doofie depuis le décès de son mari, jalouse de Doofie parce qu'elle chante bien et joue de la guitare. Un jour il y a deux ans, Doofie avait joué de la guitare sur sa terrasse et tout de suite la voisne avait été chercher son balai pour laver bruyamment sa terrasse à elle qui fait toute la largeur de la maison et dépasse sur le terrain de Doofie, avec sa balustrade blanche et sur laquelle elle a détournée la gouttière mitoyenne pour récupérer l''eau de pluie pour elle toute seule. Comme depuis quelques temps les chenaux débordent lorsqu'il pleut, Doofie se demande si elle n'a pas aussi bloquer l'écoulement de ses chenaux  vers la gouttière mitoyenne.

Bon, finalement je parle toujours, mais laissons Doofie continuer son jounal :

J'avais à peine commencé à tailler l'arbuste du long de la terrasse que soudain, je me suis piquée. Je me suis asssise après ce travail pour me reposer sur la terrasse et je me suis assise sur des orties que j'avais enlevées, ouille!

Actuellement, j'ai les avant-bras qui lancent des douleurs cuisantes, ils sont pleins de marques rouges d'orties et de ronces.

Je suis arrivée au framboisier, il a bien donné l'an dernier, cete année, en juin, on n'avait pas eu le temps de se servir mais comme il est remontant, enfin, il était remontant, on aurait eu des framboises des bonens franmboise que Schnelly aimait cueillir et me les offir fin août début septembre. Dans les magasins les framboises côutent chères et on avait envrion 10 framboises par jour lan dernier que l'on mangeait relifgeusement.

J'ai coupé la haie de cyprès, mais je n'ai pas été jusqu'au bout, car Schnelly m'a demandé de tailler un chemin pour rentrer la  tête du sapin qui est couchée le long du chemin derrière. Peut-être qu'en faisant sécher le bois pendant dix ans dans la cave, je pourrais faire des chevalets ou des archets ou des tables d'ukulélé. L'épicéa fait de belles tables d'harmonie et mon sapin pousait régulièrement. Il n'était pas assez grand pour faire des tables de guitare. Mon sapin n'avait pas encore vingt ans puisqu'on la planté en arrivant ici. L'autre sapin, peut-être un Douglas, était un sapin aux reflets bleus.

J'ai coupé tous les rosiers qui étaient entre mon ancienne allée (le bois des bordures a pourri et se confond avec la terre), et la haie de cyprès. Je les ai coupé au ras du sol, il y avait un Osiria, un rosier aux magnifiques fleurs groupées roses foné et blanches, en pleine floraison. demandé à Schnelly de mettre les fleurs dans des vases. Il a mis un peu des fleurs de buddeïa (l'arbre a papillons) dans le vase aussi. Maintenant que j'ai enlevé toutes les fleurs et toutes les branches vertes que je savais couper du buddeïa, les papillond, ces jolies inssectes qui ne font de mal à personne et servent à la fécondation des plantes, ne viendront plus dans le jardin. Cette année, on entendait moins les oiseaux que d'habitude (c'est peut-être le voisin de trois maisons au dessus qui fait du tir à la carabine qui les a  tous tué. Schnelly m'a dit que c'est aussi trois maisons au dessus qu'on a demandé que je coupe mes arbres, mais là, c'est complètement en dehors de réglementations.  Il parait que dans la cité les gens ont signé une pétition pour que nous enlevions "nos plantations" et pour qu'on quitte la ville.

En fait, si j'avais laissé mes arbustes grandir, c'est que je voulais les retaillé en leur donnant des formes rondes, j'ai une amie qui habite dans une autre villle et qui a fait cela avec ses arbustes et cela fait très beau.

Schnelly a pleuré quand j'ai coupé les branches du buddeä. J'ai aussi comencé à couper le forsythia, mas je n'ai pas fini, car la nuit commençait à tomber. J'ai été jusqu'au fond du jardin, et là stupéfaction, j'ai découvert que notre haie bocagère de ma double haie thuyas à l'intérieur, haie bocagère à l'extérieur (plantée depuis la consctruction de la cité) a disparu. Sauf les deux arbres qui ont grandi dedans et sont à l'extérieur de la clotûre. A la palce de la haie bocagère, il n'y a plus qu'ne vieille cloture rouillée. Les vposins de chaque côté et ceux de toutes la cité ont encore leur haie bocagère. Alors pourquoi les ouvriers municipaux ont-ils enlevé notre haie et pas celles des voisins.?

C'est le responsable des espaces verts qui a trouvé que c'était mieux d'enlever notre haie à nous ce qui maintenant fait un trou dans les haies qui bordent le chemin. En plus, c'est un chemin à l'arrière des maisons où pas grand monde ne passe, et c'est situé à l'endroit où le chemin est le plus étroit ou de l'autre côté, il y a une écurie en tôle ondulée, dans une patûre qui a été achetée par quelqu'un qui habite dans la rue perpendiculaire. Déjà lui, il y a dix ans, alors que nos sapins faisaient au maximum quatre mètres de haut et laissaient un espace entre eux, voulait qu'on les enlève, parce que cela faisait de l'ombre à ses chevaux. Qui avaient tout le reste de la patûire pour brouter au soleil.

Bon, déjà maintenant alors que j'ai enlevé quelques branches basses des sapins et les thuyas de 1 mètre, 1 mètre 50 plus petits que moi qui formaient une deuxième haie à l'intérieur à une distance d'une dizaine de centimètres de la première, on voit bien la tôtle ondulée de l'usine. Tant que les deux arbres extérieurs à la haie et que les deux sapins ne sont pas enlevés, on ne voit pas encore l'usine, mais ça viendra bientôt. Les voisins vont s'en mordre les doigts d'avoir fait enlever nos sapins parce qu'ils vont voir l'usine et sa fumée, déjà comme cela, on la voit briller de tous ses feux la nuit au travers des frondaisons.

J'ai continué à faire le tour du jardin par le fons, je suis revenue le long de la haie de la voisine qui râle, et j'ai commencé à taillé la partie des troënes qu'elle a planté (sans nous demander notre avis, car je voulais bien toutes sortes de haie, sauf une haie de troënes, il y en avait déjà dans le jardin de mes parents, et je trouve ces haises quelquonques.

Puis j'ai enlevé queqlues rosiers anglais qui étaient derrière la haie de troëne mais n'étaient pas fleuris. J'ai commencé à couper un arbuste et un petit buisson de buis qui m'arrive à la taille, mais il a bien mis quinze ans pour m'arriver à la taile, car le buis ne pousse pas vite, mais je n'ai pas fini. J'ai redonné quelques coups de sécateur à l'arbre à papillon et au buddeïa qui sont au milieu du jardin, mais n'y seront bientôt plus.

Puis il commençait à faire noir et je suis rentrée.

Voilà c'était un extrait du journal de Doofie, je dois ajouter que Doofie adore les arbres, qu'elle s'excusait auprès d'eux à chaque fois qu'elle commençait à en couper un. Doofie crois, c'est son avis et cela n'engage qu'elle) qu'il y a des esprits dans les arbres (ils sont plus visibles sur les photos qu'à loeil nu), et que si on coupe les arbres, l'expris s'en va ailleurs harceler les humains qui les ont fait couper. Alors si vous apprenez un jour que ma voisine portugaise et le voisin trois maisons au-dessus et le maire sont hantés par les esprits, vous vous souviendrez que c'est parce qu'ils ont fait couper les arbres de Doofie.

Doofie a aussi peur que le maire veuille vérifier l'interieur de la maison suite à l'inondation. Il ne peut pas, car ce ne sont pas cinq centimètres d'eau dans la cave et le garage qui ont pu abîmer quelque chose d'autres que les affaires à Doofie et à Schnelly. Nous sommes propriétaires et il n'a pas le droit de venir vérifier chez nous. Nous avons fait refaire l'électricité aux normes quand nous sommes arrivés, une grosse partie du chauffage, fait changer la chaudière, des radiateurs, fait mettre du carrelage dans l'entrée et la cuisine (avant c'était lino noir pas beau). Nous avons fait faire une cuisine intégrée. Et j'en passe...

Il est clair que Doofie est victime de la jalousie de sa voisine portugaise et de quellques autres. Il y a même un enfant qui est venu dire à Doofie que c'était bien d'enlever les petits arbustes de son jardinet, parce que les arbres, ce n'est pas beau. Où sont les actions où lon faisait planter un arbre par élève, que font les professeurs des écoles pour apprendre aux enfants que "Les arbres, ce n'est pas beau!"

En plus, sa voisine portugaise pleurait une anée où elle est revenue du Portugal parce qu'il y avait eu des incendies de forêt sur les terres de ses parents. Tous ces beaux oliviers qui étaient partis en fumée. Quelle tristesse! Elle aime tant les arbres au Portugal et veut faire supprimer ceux des français!

La voisine de Doofie a d'ailleurs peut-être hérité des terres arborées de ses parents depuis.

Il parait que le maire qui a une grosse maison entourée d'une propriété arborée avec une haie de thuaya qui fait bien dix mètres de haut devant, veut que Schnelly lui donne gratuitement nos titres de propriété pour rendre la mairie propriétaire des lieux et faire ce qu'ils veulent dans notre maison.

Le maire s'était fait élire il y a deux mandats sous une étiquette plus ou moins écologiste de personnes qui protestaient contre la construction d'une usine de retraitement des déchets dont des déchets prétroliers. A sa place on a installé sur la friche indutrielle une nouvelle centrale qui marche avec du gaz naturel, énergie fossille, alor que dans un pays où il y a beaucoup de vent, il aurait été plus interlligent d'installer des éoliennes. D'ailleurs Doofie adore les regarder tourner, elle trouve cela reposant.

Avant Doofie dans son quartier souriait et parlait à tout le monde, elle ne parle plus à personne et fait une tête d'enterrement quand elle voit des vosins dans la rue.

Elle pense que le maire devrait couper sa haie au ras du sol comme on a fait à la haie à Doofie derrière, et qu'il devrait enlever tout ses arbres, arbustes et arbustes à fleurs. Déjà pour montrer au gens dont il veut faire enlever les arbres et les arbustes, le mauvais exemple.

Avant pour la haie derrière je faisais une coupe écologique pour que les oiseaux puissent venir y nicher  et maintenant, il m'ont tout enlevé, écrit encore Doofie.

Désormais, quand j'aurais fini d'enlever toutes les fleurs, les arbres et les arbustes, je vais bétonner le jardin de la maison jsuqu'à la haire derrière, comme cela plus aucun voisin ne pourra trouver à redire sur mes plantations et j'espère que le maire qui est venu jusque devant ma maison nous demander d'enlever les arbres, et les arbustes, bétonnera aussi sa propriété arborée pour donner le mauvais exemple.

Je voulais dire aussi autre chose, au bout de la rangée de maison de Doofie, entre les deux rangées de maison qui se font suite, il y a un gros lampadaire orange. Ce lampadaire rond a une lumière plus grande que sa tailel de jour, sa lumière orange fait au moins la taille de la lune quand elle est grande et elle brille très fort et ébouit. Doofie qui avait remarqué déjà cette lumière il y a trois ans, se demande ce que c'est.

 domino