Ce n'était pas elle...

Roman-théâtre

Du journal de Doofie

Un lien dans mon journal électronique pour montrer que même si on a voulu dans un de ses collègue que Bêtie fasse cours dans une permanence séparée par une vitre du bureau des surveillants (grande question : y-a-t-il un tableau?), ce que ^Bêtie a refusé, il ne s'agissait pas de Bêtie dans cette histoire là;

Maintenant, comme on coulait changer l'horaire de Bêtie pour une histoire de prof d'anglais qui allait arriver, ^peut-être que cette prof d'anglais est la prof mutée dont on parle dans la vidéo et dans les articles, mais en tout état de cause ce n'était pas Bâtie, prof d'allemand, qui même si elle a habité dans la même ville avant son mariage, il y a près de 40 ans (c'était là qu'habitaient ses parents), elle n'a jamais enseigné à Grande Métropole Régionale, ni dans le collège en question.

http://www.youtube.com/watch?v=RZx_McJhVrQ

Et dans la presse

http://www.rtl.fr/actualites/info/article/la-prof-d-angla...

Evidemment comme Bête état convoquée au rectorat pour un classe salie il y a un an et demi... par de l'encre bleue effaçable.

A l'époque le principal avait apprelé la police pour constater les dégâts. La policière qui avait photographié la main de Bêtie tâchée d'encre -elle avait aidé les cinquièmes à faire le ménage quand ils sont arrivés dans la classe, ils avaient cours après les 4ème SEGPA) et les deux tâches d'encre sur son cahier de préparation, avait dit en douce à Bêtie que le principal exagérait vraiment, que ils étaient justement sur "un gros coup" et qu'à cause de lui, ils allaient râter leur gros coup (apparemment, ils étaient justement en train de poursuivre des truands).

Il y a eu d'ailleurs un peu plus tard une histoire de poursuites de truands ou mes cinquièmes (pas les SEGPA, mais les "normaux"), avaient eu très peur. C'était un mercredi après-midi et on a cherché des bandits de gand-chemin dans leurs jardins, car plusieurs habitaient près de la voie ferrée (c'était une vilel avec un train!),et les truants avaient arrêté leur voiture près de la gare, pour essayer de prendre le train avant de prendre la clef des champs.

La police avait frappé à la porte de leur maison, et avait demandé à aller au jardin pour atrapper les bandits. Is ont eu peur, ils n'osaient plus sortr.

bon,bref, mais pour la prof d'anglais, non réellement, s'il y a quelques points communs avec Bêtie :

a) une professeure de langues vivantes, mais pas la même langue

b) un lieu d'habitation qui est dans la ville où a habitait Bêtie jusqu'en 1974 et sa mère jusqu'à son décès en 2009. Bâite n'a pas de maison là-bas;

Mais non, pas de chance pour vous ce n'était pas Bêtie, mais voilà ce que c'est de dire tout d'abord à la radio :

 Une profeseure de la région a fait ceci et cela, sans donner de précisions ni de lieu ni de nom.

Le problème avec Bêtie c'est qu'on lui dit bland et on fait noir,on lui dit 'il faut farie des rapports sur les élèves, des rapports d'incident", etc.. mais quand elles fait de tels rapports, dans certains collèges cela se retourne contre elle car on se sert des rapports q'elle fait sur les élèves pour faire des rapprots contre elle.

Exemple : Séraphin a été insolent et ne travaillent pas.

Traduction (envoyée au rectorat) : Les élèves de Mme Bêtie sont insolent et ne travailent pas.

Doofie (pour défendre Bêtie des accusations mensongères dues à une confusion de son admisnistration du collège d'exercice avec une autre prof).

Pourvu que les férus en jeux de mots ne disent pas "Elle a été confondue". Comme M .JeSaisTout un jour où Bêtie était en congé maladie : "Elle est arrêtée". Avec le parler de la région.. on fait beaucoup d'erreurs.

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domino (pour défendre Bêtie d'avoir été confondue avec une autre prof)

 

Lutrin ou pupitre?

Roman-théâtre

Du journal de Dummie :

Un  jour où notre célébrissime Doofie, notre amie de toujours était à un stage de musique, voici ce qui lui est arrivé, elle préparait un duo avec une ressortissante de la très belle Helvétie, dans sa partie de langue francique.

Alors que les deux duettistes étaient assises devant leurs pupitres avec leur guitare bien placée en position classique, l'Helvète lui  demande "Peux-tu me passer mon pupitre?"

"Ton pupitre?", répond Doofie, s'inquiétant de la vue de sa camarade, "mais il est là devant toi!"

"Non, pas le lutrin!" répond l'Helvète, "le pupitre!"

"Le pupitre?" insiste Doofie, "Mais, il est là, devant toi!"

"Non, il est là-bas!" dit lHelvète en désignant le repose-pied qui traînait par terre, de l'autre côté de Doofie.

"Ah, ton repose-pied!" dit Doofie, "en éclatant de rire! Pour nous ceci est une repose-pied et là, c'est un pupitre!"

"Non, c'est un lutrin!"insiste l'Helvète qui avait un sacré caractère.

Dummie

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Cela me fait penser à certaines scènes d'Astérix, se dit Sottie qui lit en secret le journal de Doofie. Et elle écrit dans son journal à elle :

Moi, il m(est arrivé un autre truc hier. Alors que je fermais ma classe à Montaujeux, je demande à l'employée du ménage qui était dans le couloir en face de la classe à côté si je dois fermer les persiennes.

"Madame, faut-il que je ferme les persiennes?" Souvent, elle les ferme elle-même en faisant le ménage. Dans les collèges où je suis, on ferme toutes les persiennes, même aux étages pour des raisons de sécurité. Je me demande bien quel est le voleur qui escaladerait les murs aussi haut... mais dans ces pays de montagne, c'est vrai qu'il y a beaucoup d'alpinistes!

Au lieu de me dire "Non, non, laissez, je vais le faire" comme ele dit d'habitude, l'employée dit en se rapprochant :

"Qu'est ce que vous dites? Je ne comprends pas...?"

"Dois-je aussi fermer les persiennes?" redemandai-je. .

"Fermer quoi?" s'inquiète l'agente en fronçant les sourcils avec l'air de ne pas comprendre du tout et en se rapprochant pour voir ce que je désignais du doigt.

"Les persiennes!" insistai-je.

"Ah! Les volets!" répond l'agente avec un soupir de soulagement; "Non, je vais le faire... " dit-elle. "Mais comment-vous avez dit? Je ne comprends pas le mot."

"Ah! Vous dites les volets!" dis-je. "Chez nous tout au Nord du Nord, on disait les persiennes. Les volets c'était dans le temps, les grands volets à deux battants" fis-je tout en faisant le geste d'ouvrir et de fermer des volets à deux battants. Chez nous, ce qui s'enroule, ça s'appelle des persiennes!".

"Ah!" fait l'agente, "et d'où vient ce mot?"

"Je ne sais pas..." dis'je..."ça doit venir du mot Perse. Ils avaient peut-être des volets comme cela en Perse".

"Ah!" dit l'agente, et nous nous saluons cordialement.

Après vérification sur un dictionnaire d'internet, les persiennes sont des volets constitués de fines lamelles horizontales et qui peuvent laisser entrevoir le jour, alors que les volets sont à deux battants et en bois plein.

Sottie

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"Tiens,", se dit Doofie qu lit en secret le journal de Sottie. Moi, il m'en est arrivé une autre du même genre dans les années 80, alors que je faisais un groupe de chansons avec une collègue.

"Bon, demain, je ne viendrai pas répéter," me dit la copine et collègue, car nous allons mettre du tapis sur les murs de notre bureau."

"Du tapis sur les murs?" dis-je... 'Tu tapisses avec du tapis?"

"Et bien oui!" dit la collègue et néanmoins amie. "C'est normal que l'on mette du tapis sur les murs. Toi aussi tu as du tapis sur tes murs!"

"Moi? J'ai du tapis sur les murs? Non, c'est du papier, du papier peint, ma tapisserie!" dis-je, "pas du tissu!"

"Mais je ne mets pas de tissu" répondit la collègue, "mon tapis est en papier comme le tien!"

"Mon tapis? En papier? Mais ce n'est pas du tapis, moi, je mets les tapis par terre... c'est du papier peint".

"Du papier peint, si tu veux...." "Mais nous on dit du tapis", dit la collègue.

"Ah, moi mes parents disaient qu'ils allaient refaire la tapisserie."

"Ah non, " rétorque la collègue, "la tapisserie, c'est au point de croix, comme dans ton cadre là-bas!"

"Ah, le canevas!" dis-je. "Oui, c'est aussi de la tapisserie, mais chez nous, au Nord du Nord, le tapis, c'est uniquement par terre.

Doofie

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C'est vrai que dans cette région là-bas, ils ne parlent pas toujours bien, se dit Foolie, qui lit en secret le journal de Doofie..  tiens un jour j'étais chez ma tante, qui était depuis une quinzaine d'année dans la région... J'allais souvent chez cette tante, car c'était la personne de la famille qui habitait le plus près de chez moi. Elle me sert du café en me disant:

"Tu en veux, non plus?"

"Non plus? fis-je, en écarquillant les yeux..

"Ah!" fat ma tante, "Voilà que maintenant, je me surprends à parler comme les gens de par ici!! Comme on prend vite de mauvaises habitudes!  Ici, ils disent "non plus" à tout bout de champ. Tu sais, c'est drôle... qu'ils disent ni'mporte quoi, ils ajoutent non plus dans leur phrases. Tiens ma voisine, si elle veut que j'aille faire  les courses avec elle, elle me dit "Tu viens non plus?", au début, je me demandais s'il fallait que je vienne ou pas... ou bien "Ma fille est non plus là!" Mince alors, elle est là, ou elle n'est pas là?, se demandait ma tante. En fait, elle n'avait pas dit : Elle n'est plus là!", mais "Elle est non plus là" et pas  "elle n'est plus là, non plus".

Et si elle disait qu'elle n'était plus là, la voisine disait  : "Elle n'est  plus là, non plus!", comme quoi, dans ce régionalisme très local, le "n'" est important.

Enfin, bref, il y a de quoi se mélanger les pinceaux, avec ce "non plus" "Tu veux non plus encore de la soupe?" "Tu viens non plus avec moi te promener dans le parc?" "Tiens, tu as non plus un chat!" 'N'oublie pas de fermer la porte à clef, non plus!", "il est non  plus venu hier..." bref... avec leurs "non plus", le doute règne.

Foolie

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"Tiens" se dit- Dummie qui lit en secret le journal de Foolie, cela ressemble à mon histoire à moi... aurait-elle lu mon journal???

Mais, nous savons tous que Foolie est innocente, elle n'a pas lu le journal de Dummie, heureusement, que je suis là, moi, l'auteure, domino, pour l'innocenter.

Pour  Doofie, Sottie, Dummie et Foolie..

domino

"

 

Appréciation

Roman-théâtre

Du journal de Gwupie

Bêtie m'a dit qu'elle avait consulté son dossier de hors-classe des bi-admissibles à l'agrégation il y a deux semaines, elle avait deux assez-bien, ce qui lui donnait l'espoir d'entrer en hos-classe cette année (elle a une collègue d'anglas non bi-admissible qui est un échelon au dessous d'elle qui est passée hors-classse l'an derier).

Elle reconsulte le même dossier hier soir, l'appéciation de l'inspecteur a été baissé en défavorable, soit deux catégories en dessous. Voilà encore une sanction bien injuste qui va décourager Bêtie dans son travail. Lamanière forte n'a jamais eu de succès avec Bêtie!!!

Mais ce n'est pas por autant que Bêtie partira en retraite Elle doit encore faire trois ans pour avoir la retraite la plus complète possible , elle fera ses trois ans.

Elle a encore fait cours dans son collège du lundi hier, alors que les élèves ne montent plus en classe dans son autre collège depuis le retour des vacances (le bruit d'avant les vacances, c'était aussi parce que c'était avant les vacances, mais là, elle n'a pas pu profiter de la trève des lendemains de vacances : mauvais calcul de l'adminsitration.

Il y aurait une autre solution, ce serait de descendre à côté dela permanence que pour les deux classes qui posent problème, mais ça lui fait ranger les affiares qui sont sur son bureau juste avant ces heuers là, ce qui fait perdre du temps.

Si elle a fait une crise de sanglots avant les vacances, c'est qu'on l'a fait déménager en plein cours de troisième, alors que ces élèves là n'ont jamais posé de problèmes et ont toujours été gentils.

On ne donne plus d'élève à Bêtie soit disant qu'ele est malade à cause de sa crise de larmes faites avant les vacances de printemps, c'est à dire il y a presque un mois (comme si on ne pouvait pas guérire d'une crise de larmes en deux semaines (généralement Bêtie guérit d'une crise de larmes en une journée à conditio que l'on soit gentilles avec elle ensuite.

Les racontars vont bon train : alors qu'elle s'était baissée pour ramasser ses polycopiés, et sa dent qui était tombée par terre, certains racontent dans le collège (elle le sait par des élèves) qu'elle se "serait roulée par terre". et qu'elle aurait poussé des hurlements (elle a juste eu un sanglot prolongé, si on était au mur des lamentations, ce serait normal, mais dans notre société bourgeoise..)

En tout cas, si on aurait écrit qu'elle se serait "roulée par terre", ce serait un faux rapport!!!!Un rapport délictuel, un faux-témoignage.

La professeur d'anglais qui est dans le même collège depuis le début de sa carrière est passée en hors-classe alors qu'elle était au 10ème échelon des certifiés, Bêtie est au 11ème échelon des certifié bi-admissibles, TZR depuis 8 ou 9ans, alors qu'elle est deux échelons au dessus de la professeur d'anglais, n'est toujours pas passée en hors-classe.

Si elle état restée sur le poste d'il y a dix ans, il est fort pobable qu'elle y serait depuis longtemps.

Bêtie

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Pour Bêtie, domino

 

 

 

Aimez-vous vos élèves?

Roman-théâtre

 

Du journal de Gwupie

Avec l'actualité, a question se pose de savoir si on aime nos élèves...

Il paraitrait qu'il ne faut pas les aimer de trop, ça peut même mener en prison.

Par contre les "aimer bien" ou "les apprécier", doit-on les aimer tous et les apprécier tous.

Personellement, je dois dire que comme mes amies Bêtie, Doofie, Dummie et Cie, je n'aime pas tous mes élèves.

Je n'aime pas les empêcheurs de tourner en rond, ceux qui empêchent le cours de tourner rond.

Je n'aime pas les bavards, qui ne vous écoutent pas.

Je n'aime pas ceux qui font du bruit.

Je n'aime pas ceux qui ne font pas leur travail à la maison, ceux qui n'apprennent pas leurs leçons et ne font pas leurs devoirs.

Je n'aime pas ceux qui vous regardent d'une façon hautaine et ne se prennent pas pour rien.

Mais si un élève est faible et n'y arrive pas, je l'aime bien quand même s'il travaille et essaie de retenir quelque chose et essaie de faire des progrès

Bien sûr, j'aime que les élèves aient de bons résultats et aient suffisamment d'intelligence pour bien apprendre la langue de Goethe, mais si ma foi, ils n'ont pas les capacités suffisantes pour devenir de bons germanistes, j'aime qu'ils travaillent et qu'ils persévèrent.

J'aime bien les élèves qui participent, mais je n'aime pas ceux qui prennent la parole à tout bout de champ en la prenant aux autres.

J'aime bien les élves attentifs. Dont on voit sur le visage qu'ils comprennent.

Bien sûr j'aime bien les bons élèves, à condition qu'ils ne soient pas trop imbus d'eux-mêmes.

Bref, j'aime bien les élèves, travailleur, motivés, qui participent à bon escient,

 

Nouveau remplacement

Roman-théatre

Du journal de Gwupie

Bêtie va avoir un nouveau rempalcement dans la deuxième moitié du mois (horaire complet de 19 h sur un seul établissement), elle termine celui-ci, mais attention :

Pour les élèves des remplacements actuels : bien dire qu'elle peut revenir ensuite... et même si les troisièmes ne l'auront sans doute plus dans son collège d'exercice actuel, ils pourront encore l'avoir en seconde, et de toutes façons, ils étaient gentils. Come cela, ils ne chahuteront pas les dernières heures.

Elle va dans un endroit où elle était bien vue jusqu'ici, et où elle a déjà effetué un remplacement.

Le harceleur : Ah bon! On va essayer de savoir où elle va pour la salir.

Alors si vous apprenez où elle va : Motus et bouche cousue, je dirai même plus :: botus et mouche cousue.

Gwupiie

Pour Bêtie, domino

 

Gestion des titulaires remplaçants

Roman-théâtre

Bêtie qui est TZR à remplacements ou suppléances de courte et moyenne durée trouve une chose : l'établissement de rattachement ferrait mieux de gérer directement la carrière du professeur (papiers à envoyer, à singer, etc..plutôt que de les envoyer dans les collèges d'exercice.

Du journal de Bêtie :

A) Certains papiers n'arrivent jamais. Quand vous partagez vogtre casier avec le titulaire du poste

1 - Soit celui-ci fait ramasser son courrier par un collègue qui ramasse votre courrier en même temps et vous ne voyez jamais la couleur de vos bulletins de salaire et papiers adminsitratfs en tous genres...

(surtout quand on a omis depuis 7 ans de vous faire un casier de professeur (= pas un casier judiciaire) dans la salle des professeurs du rattachement),

2 -Soit vous êtes déjà sur un noveau remplacement quand le courrier arrive et celui-ci est remis soit au titulaire du poste ou au remplaçant suivant, soit il se perd en route,

B) Certains papiers qui concernent un remplacement précédent peuvent mal luner votre administartion contre vous. Je n'aurais jamais eu les ennuis que j'ai eu actuellemet si les courriers récents du rectorat concernant la classe salie  en 2011 (on est en 2013!) n'étaient arrivé sur mon remplacement actuel. Ils auraient dû être envoyés directement par mon collège de rattachement.

C'est une erreur aussi du collège de rattachement de les envoyer au collège d'exercice, il doit faire signer les papies directement chez lui, quand l'horaire du TZR permet à celui-ci d'aller dans son collège de rattachement, ce qui, quand on travaill cinq jours par semaine, avec les transports en commun, n'est pas toujours possible.

(Le fait qu'une vile soit bien desservie ou non ne dépend pas toujours du nombre de sa populaition, le coeur d'une agglomération fluvale de 135 000 habitants échelonnés sur 30 km de rivière est moins bien desservi qu'une ville de 9000 hab où je suis rattachée. Et  en plus la gare n'est pas loin de mon rattachement, en prenant un chemin pietonnier).

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En fat, si le principal d'un des collèges a pris le parti de metre les classes de Bêtie sous double surveilance, et si dans l'autre collège Bêiie a subi les visites de la prinipale adjointe et de la professeur principale qui ont voulu assister à ses cous c'est sans doute à cause de ce courrier du rectorat. Concerntant la classe salie du collège de 2011-2012 (où Bêtie avait été nommée par erreur sur un poste à l'année, alors qu'elel avait opté en tant que TZR pour des suppléances de courte et moyenne durée, à l'époque où elle est devenue TZR, elle pouvait opter).

Donc, voilà... le collège de rattachement est le collège de rattachement, c'est d'ailleurs là que doivent arriver tous courriers concernant les congé maladie (j'ai eu un ennui dès la première année, concernant un certificat médical qui avait été envoyé à mon lycée de rattachement, selon les indictations de celu-ci, parce que le principal du collège où je travaillais - le même collège que l'an dernier qui m'a fait bien des ennuis..), n'avait pas reçu ce certificat.

Pour ne pas salir d'avance un suppléant qui arrive, on demande d'envoyer les courriers concernant des remplacements précédents soit au collège de rattachemetn (où je fais tous les ans ma prérentrée) soit directement au professeur (en utilisant la bonne adresse si possible et pas une adresse où l'on a jamais habité).

Voilà, c'est compliqué, mais on voudrait que les carrières des TZR soent aussi mieux gérés, car si j'étais resté sur mon poste d'il y a dix ans, il est probable que ma carrière aurait avancé plus rapidement.

Bêtie

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Pour Bêtie, domino