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vendredi, 25 avril 2014

Le méchant

Roman-théâtre

La semaine prochaine, Doofie et ses amies iront sur leur camping avec une piscine d'où l'on aperçoit la mer là-bas qui scintille entre deux collines (leitmotiv). En attendant Doofie et Schnelly sont à la maison. Doofie a dit à Schnelly qu'il pouvait sortir mains et poches vides pour aller se promener pendant qu'elle vaque à ses diverses occupations, mais Schelly ne l'entend pas de cette oreille-là. S'il sort, c'est seulement et uniquement pour faire des courses.Il ne sait pas sortir sans dépeser quelque chose alors qu'il aurait tout le loisir de faire de la marche rapide et sans moi qui marche plus lentement, sans porter un lourd sac à dos et traîner un sac lourd. Mais Schnelly ne veut jamais écouter les conseils de Doofie.  Il a décrété aujourd'hui : "Je vais faire des courses".

Bon, Doofie a attendu qu'il soit près pour enlever les affaires qui lui servent à travailler et qu'elle a posées à côté de son ordinateur près de la porte, mais Schnelly n'était jamais près. Et quand Doofie a enlevé ses affaires pour qu'il sorte enfin, il a dit : "Attends, il faut encore que je remonte mes sacs de la cave et que j'aille me changer là-haut!" Il n'était pas prêt! J'en ai pour dix minutes à me préparer!

Comme Doofie 'n'a plus beaucoup de place,c'est pour cela qu'elle presse Schnelly de faire les rangements de la cave avec elle, elle ne peut pas les faire seule car il entrepose souvent des choses lourdes devant ce qu'elle doit trier et en plus régulièrement, il y a des choses qui reviennent devant ce qu'elle doit trier. Avant le dernier triage, elle a remarqué deux grands sacs poubelles noirs qui étaient là en plus devant les affaires à trier. Elle a commencé à trier le contenu d'un sac, celui où il y avait des affaires à Schnelly de ses cours d'antan déchirées et quelques préparations à elle, anciennes, qu'il avait déchirées avec le reste (ce sont des préparations qu'il lui avait piquées en douce!), et Doofie était en train de trouver qu'il y avait bien des textes intéressants là-dedans quand Schnelly a voulu lui arracher le sac poubelle noir des mains en lui disant "C'est déjà trié!" Mais non, a protesté Doofie, cette feuille-là coupée en deux, c'est intéressant pour moi. En regardant discrètement hier, elle a remarqué que deux grands sachets poubelles noirs à peine pleins se sont ajoutés devant ses affaires à trier du fond du garage où en principe, elle n'aurait dû trouver que des vieilles choses d'il y a 25 ans et des affaires amenées de chez sa mère. Et elle trouve toujours plein de choses à lui, et des choses pas très anciennes à elle, glissées entre les vieilles choses.

Bon, revenons à aujourd'hui... Il va se changer avant d'aller faire les courses et en descendant frôle un paquet de classeurs que Doofie avait mis sur un alignement qui double la rampe de l'escalier. Tout tombe en bas et il se retrouve coinncé dans le haut de l'escalier. Comme il avait mis le sac, dans lequel Doofie a mis les papiers cartons emballages boîtes de conserve vides et bouteilles plastiques vides évacuées de la cuisine pour les descendre dans les poubelles à la cave (au garage), juste en bas de l'escalier pour descendre à la cave chercher ses sacs ce qu'il avait fait avant... Doofie doit se pencher par dessus le-dit sac pour ramaser ce qui est tombé du tas et qui s'est mélangé avec quelques vêtements tombés aussi de la marche d'en dessous. Deux vêtements à elle et une paire de chaussettes à elle qu'elle avaient retrouvées au garage; Schenlly est conincé trois marches au-dessus et doit aider Doofie a remettre ce qui est tombé sur le tas, car à cause du sac que Schnelly avait déplacé, mais n'avait pas remis en place devant la porte de la cave avant de monter (ses sacs à lui, trainent par contre devant la porte de la cave à la place de son sac à transporter les emballages, tri des ordures oblige), Doofie ne peut pas se mettre en face de l'escalier et elle n'a pas le bras assez long pour reposer les affaires.

Lorsqu'il avait frôlé un paquet de classeur qui est tombé, Schnelly a juré ses grands dieux que ce n'était pas lui qui avait fait tomber tout cela, que c'était tombé tout seul, mais par hasard, juste au moment où il passait à côté. Compreez bien que c'est un éléphant dans un magasin de porcelaine. Alors pour rendre la chose plus plausible il  a dit que c'étaient les vibrations déclenchées par son passage qui avaient fait tomber les objets.

Et si vous êtes un enfant qui lisez ces lignes, n'allez pas dire à votre maman que ce sont les vibrations déclenchées par votre pssage qui ont fait tomber le beau vase en porcelaine de Chine. A moinrs que ce ne soit le chat, mais il n'y en a pas chez Schnelly et Doofie, à moins que ce ne soit le chat de la voisine, ou une secousse sysmique imperceptible...

On a eu dans les années 90 deux secousses sysmiques perceptibles dans l'académie de Bêtie, académie  que nous avons quittée, une fois dans un sens, une fois dans l'autre... la première fois c'était la faille de Masstricht et la deuxième fois, celle qui suit le bassin miier de Belgique. Une fois le lit a bougé d'avant en arrière et l'autre fois l'armoire-penderie  a tangué de droite à gauche. Mais comme tout était encore bien rangé (cela ne faisait pas longtemps qu'on était dans cette maison de là-bas), rien n'est tombé, même pas un livre dans les bibilothèques.

Bon, voilà...  revenons à nos moutons... Enfin Schnelly et Doofie ont remis les affaires en place (ce n'est pas leur place définitive, Doofie veut d'abord faire de la place en-bas, amener ce qui est dans le coin près de la porte provisoirement dans la place dégagée, aménager son espace travail dans le coin près de la porte et ensuite remettre les affaires de ce coin en place, au fur et à mesure qu'elle triera les affaires, compléter les bibliothèques et les rayonnages qu'elle installera dans ce coin, et alors d'auters endroits seront débarassés dans lesquels elel pourra installer de noveaux meubles ou agrandir les meubles existants, Doofie est pour le mélange des genres, elle voit très bien les meubles très années 70 de son living (c'est comme cela que l'on disait à l'époque) encadré jusqu'aux plafond et sur les côtés par des bibliothèques d'une autre couleur. On lui dit qu'il ne faut pas mettre de rustique avec le moderne, mais Doofie voudrait bien tout mélanger comme cela, elle aurait tous les genes qu'elle aime en même temps, et ses meubles seraient alors assez grands pour tout ranger. Au fur et à mesure qu'elle avancera, elle reclassera tout, toutes les feuilles dans des classeurs, tous les livres par genres et par collections... car avec tout ce qu'elle a travaillé ces derniers temps à cinq jours par semaine plus le samedi, c'est devenu un vrai capharnaum chez elle, parce qu'elle n'a plus le temps de ranger, elle est en plus obligée de ranger ce que Schnelly ne range pas. Et ce qu'il remet aux places où elle a débarassé. Comme à la cave, il replace toujours des sacs à trier devant ce qu'elle trie, maintenant qu'il y a un petit espace libre à l'endroit où elle a trié, si bien qu'elle n'avance plus dans ses triages.

Quand Schnelly a pu descendre les quatre marches,, sur lesquelles le tas qu'il avat frolé avait valsé, Doofie n'avait pas encore rangé certaies choses qu'elle avait placée au-dessus de son ordinteaur comme sept à huit beaux petits cahiers Clairefontaine, pas encore utilisés (elle les cherchait depuis longtemps), deux  vêtments et une paire de chaussettes qu'elle a montés du garage. Et voilà que une fois Schnelly parti, elle a regardé ce qu'il avait dans ses sacs, il y avait de vieilels piles qu'il veut jeter à l'endroti appropiré et elle lui  demandé pourquoi il ne lui disait pas qu'il allait les jeter, sinon, elle allait s'imaginer qu'il les avaient mis dans un autre coin de la maison, elle ne voit plus qu'un seul vêtement des deux, les deux chaussettes, heureusement, car ce sont de jolis mi-bas aux jacquards norvégiens,et  seulement cinq cahiers Clairefontaine. Est-ce que pour se venger du fait que Doofie avait regardé dans ses sacs, il les auraient emmené discrètement au passage...???

A moinrs qu'il n'y ait eu que cinq cahiers et un seul vêtement? ...

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Tiens justement pendant ce temps-là, Schnelly est allé dans un nouveau magasin qui vient d'être costruit. Le magasin est bâti sur pilotis, enfin sur des colonnes (on le ssait parce qu'on l'a vu en costruction) et en dessous il y aurait, paraît-il un parking souterrain. D'un seul coup, puisque Doofie pensait à des secousses sysmiques, Schnelly sent des vibrations sous ses pieds. Un gros camion vient de mettre son moteur en route dans le parking. Oh! Un tremblement de terre, se dit Schnelly... Un vendeur passe au bout du rayon, vite, vite moinsieur, il faut sortir, le magasin va s'écrouler.

Et mon caddy, proteste Schnelly qui a son caddy presque plein... Je passe d'abord à la caisse sinon, j'aurais fait tout cela pour rien.

Non, non, monsieur, laizssez votre caddie-là, le magasin peut  s'écrouler.

Schnelly ne sait pas où sont les caisses... car ce n'est que la deuxième fois qu'il vient ici. Vite, vite, il faut que je paie, sinon, j'aurais passé du temps pour rien, les caisses sont-là, les vendeuses ont quitté leur poste... Plein de caddies pleins sont entreposés devant les caisses. Un haut parleur annonce, "Nous avons fait les vérifications nécessaires, notre clietèle peut reprendre ses caddies et continuer ses courses, mais tous les gens sont paris, et ont laissé leur caddie-là, pleins, la nourriture fraîche ne peut plus être mise en rayons, mais Schnelly, lui a de la chance, une caissière s'est réinstallée à son poste et il est le premier à la caisse, il ne devra pas faire la queue...

Pour Doofie (et Schnelly??!!...)

domino

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