mardi, 10 février 2015
Des effluves exotiques
Roman-théâtre
Dummie sonne à la porte de Doofie. Doofie qui vient de descendre de son étage, ouvre la porte...
Doofie : Qu'est-ce qui t'amène si tard Dummie? Il est presque neuf heures du soir.
Dummie : O! Presque rien, Dummie. J'étais en train de travailler quand soudain des parfums exotiques ont empli l'air. Il y avait en même temps des notes de musique qui semblaient venir de par ici. J'ai attendu que ces douceurs suaves, qui m'avaient complètement dérivée de mon travail, cessent, pour venir te voir...
Doofie (souriante et moqueuse): Ah! dit Doofie... Tu as rêvé..??
Dummie : Je t'assure que non! (Soudain réveuse...) Il y avait là des senteurs d'Amérique du Sud, j'étais au Brésil, en Argentine, je voyais aussi des danseuses flamencos et parfois j'étais de retour dans une Europe ancienne, où il faisait bon jouer quelques valses que l'on soit italien ou allemand, ou quelque mazurkas...
Doofie (toujours un peu moqueuse...) : Oh! Mais c'est un très beau rêve...
Dummie :Je t'assure que je ne rêvais pas... il y aviait même un certain Léo qui nous envoyait des nouvelles de Cuba, et Maria, la fille du drapier allemand, qui nous berçait lentement... et tout cela porté par des doigts, des doigts de princesse... d'une pricesse... hmm.. qui n'a pas sorti sa fille Manuela depuis plusieurs année, princesse abandonnée dans un étui, ni sa nina (prononcez nigna) barocca, ni sa nina romantica...
Doofie : Mais ce n'était aucune d'elle, Dummie... J'ai maintenant quatre caravelles pour partir en exploration de l'Europe au Nouveau Monde... Schnelly ne voulant pas me l'apporter ici en bas quand il est là (il est parti faire des courses), je suis montée dans la chambre, j'ai tiré Santa Monica, ma quatrième caravelle de son étui et je l'ai fait chanter en la prenant près de moi dans mon lit.
Dummie : Elle chante bien, ta Santa Monica, quelle voix douce et inneffable...
Doofie : Je l'ai prise dans mes bras et elle a chanté, elle a même chanté les morceaux de l'ange déchu, le tombeur de femme d'il y a deux siècles, mais Dieu a dit qu'il le ferait entrer finalement au paradis, après deux siècles de purgatoire, pour que Javier voit qu'il n'était pas si méchant que cela.
Dummie : Ah! Javier est arivé au paradis, quelle bonne nouvelle... Il doit jouer de sa nina barocca et de sa vihuela qui chantent avec les anges...Mais pourquoi tu n'as pas fait chanté ta nina barocca?
Doofie : Oui, la Santa Monica est la plus jeune, elle dort près du lit et a besoin de soins attentifs et de beaucoup de douceur, c'est pour cela que j'ai profité que Schnelly n'était pas là, pour caliner ses cordes de mes doigts...
Dummie : D'où ces sons ineffables, Doofie... Tu as bien joué une heure...
Doofie : Une heure et demi et mes doigts allaient tout seul, je n'ai rien enregistré, rien que pour moi...
Dummie : Et pour le quartier, Doofie, c'était si beau, j'ai entendu les cinq premières études de Léo, plein de valses, d'études, le début d'une larme
Doofie : Cale ira vite de le réapprende, il faut que je passe seulement une demi heure sur cette larme et elle reviendra dans mes doigts.
Dummie : J'a entendu des berceuses, des sons d'Amérique du Sud, d'Amérique du Nord, plein de belles choses...
Doofie : Mais tu vois, je ne sais rien par coeur, Dummie, je suis obligée de tout lire, sans papier, j'improviserais. mais tu entendais Santa Monica, ... Je jouais tout doucement, vraiment en sourdine.
Dummie : Mais oui, Doofie,au plus tu joues doucement, au plus cela s'entend car tout se tait pour écouter ces sons ineffables et respirer ces parfums d'antan et ces odeurs exotiques...
Doofie : Ah oui, Merci des compliments que tu fais à ma quatrième caravelle, Santa Monica, qui nous emporte sur ses océans de douceur, vraiment, moi-même, je n'y suis pour rien, je n'ai voulu que faire chanter un peu cette caravelle enfant qui ne demande qu'à voler sur les mers de sonorités douces, étranges ou enchantées.
Dummie : Oui, parfois un son étrange, une dissonance, nous entraîne dans une de ces églises aux clochers à bulbes ou dans un de ces chateaux où les princes sortent des mares d'eau du parc.
Doofie : Tu me fais frissoner..
Dummie : Mais non, c'est toi avec ta Santa Monica qui me fait frissoner.
Doofie : Un de ces jours on pourra faire un duo et faire chanter Santa Monica et Manuela ensemble...
Dummie : Bonne idée... Tiens voilà, Schnelly..
Schnelly : Attention, les filles reculez, j'ai besoin de place pour poser mes caddies, j'ai amené ....
Dummie : Oui, on sort de la poésie... bonne nuit Doofie... je rentre la masion rêver aux sons de ta quatrième caravelle...
Schnellly : Tu as fait ta langue slave 2... fait chanter Santa Monica? Qui est-ce? ... ah oui, Santa Monica...?
Doofie pense : Pourtant c'est lui qui me l'a offerte et il ne s'en souvient plus...
......
Pour Doofie et Dummie *
domino
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vendredi, 06 février 2015
La principale s'acharne...
Roman-théâtre
Je n'ai pas parlé de Bêtie depuis longtemps, mais je dois dire que même si cela s'était calmé ces derniers temps, la principale de son collège de rattachement (toujours la même depuis 2006-2007, mais il parait qu'elle va partir à la retraite à la fin de l'année scolaire) continue à s'acharner sur elle.
Elle vient d'émettre un avis défavorable à l'accès à la hors classe des certifiés de Bêtie. Ceci dit,elle commet une première erreur, parce qu'une hors-classe des bi-admissibles à l'agrégation a été créée il y a quelques années, et il est évident qu'en étant bi-admissible à l'agrégation, Bêtie ne peut accéder qu'à la hors-classe des bi-admissibles à l'agrégation, et non à la hors classe des certifiées qui est inférieure à la hors-classe des bi-admissibles à l'agrégation, car si Bêtie accédait à la hors-classe des certifiés, elle reisquerait dête lésée au nveau du salaire et du titre.
Donc, il s'agit déà d'une erreur dans sa lettre.
La principale ne parle plus de l'inspection. Son rapport de l'année précédente serait-il meilleur que ceux d'avant?
Par contre, elle met en exergue le blâme qu'elle a mis en 2008 pour une histoire ridicule, celle du paperboard. Rappelez-vous, Bêtie qui n'avait pas eu de services de rattachement à faire lors de son rattachement administratif précédent dans un lycée, même si par prudence, elle restait sur place 18 heures par semaine entre ses remplacements, à aider un peu ses collègues d'allemand en leur préparant des ressources sur internet, a dû tout de suite dans ce collège rejoinde le CDI (Centre de Documentation et d'Information) où elle a dû aider toute l'année ou presque, la TZR de français qui avait été nommée par le recteur dans ce CDI. La TZR de français en question l'a remerciée chaleureusement en fin d'année disant que sans elle, elle ne s'en serait jamais sortie. Bêtie qui était une ancienne professeur certifiée de lycée et de BTS ayant perdu son poste, était depuis deux ans bi-admissible à l'agrégation, mais sous les ordres d'une "certifiée" qui lui mettait des bâtons dans les roues pour réaliser tout ce qu'elle voulait dans ce CDI.
Bon, Bêtie avait commencé fait dans l'année, profitant de la postition au CDI, uneexpostiion sur l'Alelmagne pour le 22 janvier et avait commencé une expostition sur certains pays européens sélectionnés par des élèves,dont l'Autriche, qui n'a pu aboutir à cause de l'hsitoire du paperboard. Bêtie ayant appelé à la rescousse un ouvrier qui était dans la cour, un soir après les cous, parce que alors qu'elle voulait fermer le CDI le paperboard avec une affiche commencée qu'elle avait posé sur une table était introuvable.Il a cru, on ne sait pourquoi, qu'il était de voleur, alors que Bêtie avait entendu des pas à l'étage et la porte de la salle de lecture qui ouxtait le CDI, où aurait dû être le paperboard s'ouvrir, et que venant de la cour, il n'était pas concerné par ce supposé "vol". D'ailelurs quand la principale est venue lui parler d'un ton sec le lendemain, elle avait fermé la paroi qui séparait les deux salles pour faire croire que Bêtie ne trvaillait qu'au CDI et pas dans la salle de lecture. Cet ouvrier qui n'était pas concerné par l'affaire a fait un rapport sur elle, disant qu'elle l'aurait traité de voleur, alors qu'elle l'avait appelé à la rescousse pour savoir s'il n'avait pas vu quelqu'un dans les parages qui arait emmené ce paperboard. Le lendemain, on l'a retrouvé dans l'armoire, mais on ne sait pas si ce n'est pas la TZR de français qui l'aurait remis dans l'armoire. Cette TZR, 30 ans plus jeune que Bêtie, a eu sa mutation sur un poste de français l'année suivante, et on ne sait pas ce qu'elle est devenue, alors que Bêtie est toujours rattachée là.
Bon, passons à l'étape suivante : la principale dit que depuis lors et bien depuis lors, des principaux ont fait des repports sur son manque d'autorité lors de ses différentes suppléances, mais notons au passage que l'orsque les remplacements se passent bien (généaralement quand ils sont suffisamment courts et éloingnés pour que les principaux n'aient pas le temps de recevoir le dossier de Bêtie), aucun rapport positif n'est fait. En effet, lorsque les principaux reçoivent le dossier avec le blâme, même s'ils avaient une attitude aimable et positive vis à vis d'elle jusqu'alors, ils se braquetn conte elle. C'est donc le dossier qui prédomine sur le tavail réel de Bêtie.
3ème étape :La principale a dit que Bêtie aurait l'année scolaire dernière reçu des mises en demeure durecteur de rejoindre des postes de suppléances. Or, Bêtie n'en a reçu aucune, si ces mises en demeure ont réellemet été envoyées, eles ont dû être bloquées par son mari, qui trois ans et demi plus âgé qu'elle et professeur retrraité depuis un an et demi. Bêtie n'a jamasi reçu les mises en demeure de rejoindre son poste en question. De même qu'elle n'a pris connaissance des salaires à moitié perçus de mars 2014 et de mai 2014, qu'en août 2014, au moment où elle a eu besoin de justificatifs de sa qualité de salariée pour avoir le droit de suivre des études par correspondance, ce qui a provoqué une grande dispute entre Monsieur et Madame,car Madame continuait à dépenser comme si elle avait eu ses salaires complets. Depuis,ils ne s'entendent plus et malgré un mariage qui date de 40 ans, Bêtie a souvent envie de divorcer.
Donc, contrairement à ce que dit la lettre, Betie n'a reçu à sa connaissance auucne mise en demeure de reoindre un poste.
De courant septembre 2013 à décembre 2013, Bêtie a fait un remplacement sur deux établissements dans sa zone initiale. L'un des collèges situé à 26 km de chez elle, l'autre à 36 km
(signalons que la zone initiale fait environ 50 km de large sur 35 km de haut quand on regarde la carte, et que Bêtie habite au Sud-'Ouest de la zone. Cette zone a été agrandie il y a quatre ans à 3 autres zones, dont les extrêmités sont situées à 100 km de chez Bêtie : pont le plus éloigné à l'Ouest de sa première zone : 90 km, point le plus éloigné en diagonale , donc au Nord-Ouest de sa zone : 100 km, point le plus éloigné au Nord-Nord-Ouest (il n'y a pas de Nord, c'est un pays étranger), 80 km. Bêtie utilise les transports en commun. Il y a deux lignes qui passent près de chez elle, l'une traverse sa zone intitiale du Nord au Sud, ele vient de Paris et va jusqu'à la frontière d'un pays étranger, mais les trains y sont souvent remplacés par des autocars. L'autre la conduit à son rattachemetn à 32 km au Sud-Est, puis passe dans une autre académie et dans l'autre sens, rejoint Grande Métropole Régionale à 100 km. Son premie poste du public, qu'elel a occupé il y a un peu plus de 30 ans est à 4 km de chez elle, non loin de la gare de départ. Ce collège a été démoli et n'existe plus. )
Bon, elle a commencé une allant de fin septembre aux vacances de Toussaint, et a dû rendre les clefs des classes, avant les vacances, car sa collègue allait revenir. Elle a repris une semaine et demi après la reprise, car la collègue tardait à revenir ou à faire son prolongement de congé maladie et Bêtie n'avait pas le droit de reprendre la suppléance, sans y être invitée. C'est une semaine et demi après les vacances qu'elle a été rappelée ssur la même suppélance, donc sur deux établissements desservis par deux lignes de train différentes, assorties chaque fosi d'un traet en autocar de 15 km après la descente du train. Les deux collèges n'étant pas reliés entre eux par les transports en commun aux heures où Bêtie devait aller de l'un aà l'autre, Bêtie devait faire deux fois par semaine une traet en taxi de 15 km.
Ensuite, elle a été appelée durant la première semaine de janvier pour un remplacement impossible à faire. Deux collèges encore, l'un étant sur la ligne de grande métropole régionale, mais pas tout à fait puisqu'il fallait prendre un autocar à partir de la descente du train à 70 km de son domicile pour atteindre le collège, sur une dizaine de kilomètres, et d'autre part,l'aute collège était sur une autre ligne de train, avec correspondance dans une gare intermédiaire, plus un trajet en autocar d'aussi une dizaine de kilomètres. Les deux collèges distants l'un de l'autre de 25 km n'étaient pas joignables entre eux par les transports en commun,dans les délais impartis. Donc,Bêtie aurait dû prendre ente les deux établissements un taxi sur 25 km. De plus, lorsque Bêtie a reçu le coup de téléphone,un seul chef d'établissement ayant téléphoné sur les deux, victime d'un refroidissement ou d'une grippe depuis la première semaine des vacances de Noël, elle était complètement aphone,ne savait sortir aucun son, toussait comme une dératée, et ne pouvait donc répondre au téléphone. Elle n'a pas reçu de mise en demeure de rejoindre ce remplacement de trois semaines, ou alors, il ne lui a pas été remis.
Début février, Bêtie reçoit un coupe de téléphone d'un lycée avec un collège à seulement,ouf, 20 km de chez elle! Enfin! Les collègues sont sympas et la collègue qu'elle remplace partant enretraite à la fin de l'année, ils envisagent avec elle, qu'elle pourrrait bien rester et demander le poste l'année suivante. . Tout roule bien, pas de problèmes de discipline,mais elle est inspectée dès la deuxième semaine, dans une classe qu'elle n'a eu qu'une seule foir auaravant. L'inspection est ce qu'elle est, car Bêtie en suivant le cahier de texte de la collègue qu'elle a lu sur internet, fait le thème de l'évolution du sentiment national en Allemagne, ce qui s'avère dfficile pour les élèves. C'est en première classique première et seconde langue. Bêtie depuis douze ans a touours été inspectée en lycée, alors qu'elle a travaillé comme TZR la plupat du temps en collège. Bon, pour une fois on signale quand même que son allemand est plus que satisfaisant. Alors que les deux rapports précédents se taisaient sur ce point, on se doute pourquoi, alors que d'autres collègues avaient des floppées de fautes de prononciation signalées.
Avant les vacances de février, c'est la date de fin du remplacement, mais Bêtie a commencé à s'occuper de l'échange scolaire en 4ème et 3ème, à tavailler en commun avec la professeure d'anglais de 5ème bilangue (30 élèves en 5ème et 6ème bilangue, dans chaque classe, mais adorables). Elle a une heure en commune prévue et préparée le jour de la rentrée de mars, elle va donc faire l'heure avec la collègue d'anglais (non rémunérée pour elle-même), on voit donc qu'elle n'a pas de mauvaise volonté, pour continuer le remplacement. Et la classe qui suivait n'a pas de nouveau professeur et felle ait donc cours à ses élèves toute la matinée. Le proviseur entre midi voit qu'elle est encore là et finalement l'autorise à faire cours l'après-midi alors que l'avis officiel du rectorat pour la prolongation n'est pas encore arrivé. . Elle reçoit sa prolongation de 15 jours dans l'après-midi, elle fait cous 15 jours et alors qu'elle commence à bien s'habituer, à mettre léchange scolaire en route, le proviseur lui dit le denier vendredi que le rectorat a nommé un monsieur à partir de lundi. Donc,"au revoir, tous mes chers collègues et élèves chéris", Bêtie doit de nouveau partir. Avec ses larmes.
Peu de temps après un collège à 80 km de son domicile l'appelle. Encoe cous dans deux collèges. Le deuxième collège est à 90 km de son domicile. Train avec corespondance. Bêtie qui n'a pas refusé la remplacement, étudie les parcours sur les cartes d'internet avec les horaires des transports en commun d'internet. Il y a deux hics, l'un des collèges dans une grande ville est à 'l'extrêmté opposée de la ville, près de l'autorute A1 certes, mais loin de la gare. l'autre collège, celui qui a appelé est dans une petite ville à une dizaine de kilomètres dans l'autre sens par rapport à la ville. Autocar obligatoire. Mais le principal dit qu'il va regader lui-même si le remlacement est réalisable : Non, le car revient de l'aute collège 20 minutes trop tard et il ne peut pas changer les horaires du collège. C'est aussi de la mauvaise volonté de la part des principaux et des collègues en poste dans ces collèges qui ne veulent pas changer d'emploi du temps pour que la TZR puisse farie cours.
Donc, ce remplacement qui devait durer deux ou trois semaines a été supprimé.
Si elle a reçu une lettre de mise en demeure du rectorat de rejoindre son poste, elle n'en sait rien...
Peu de temps après, c'est un lycée du même secteur qui appelle pour un remplacement qui va jusqu'au 16 juin. Bien que le lycée soit à 60 km de chez elle avec une correspondance et soit une assez longue route à pied pour aller jusqu'au lycée, soit encore un autocar qui roule 5 minutes. Mais il faut l'attendre à la gare. Un jour le train est arrivé en retard à cause d'une grève et le car étant râté, elle a dû prende un taxi pour être à l'heure. Le taxi est rentré dans l'enceinte du lycée, sur le parking et ça a fiat une histoire. L'avant-dernier jour, Bêtie a rencontré un élève de son cous d'adultes de sa ville de ratatchement à plus de 100 km de là, il s'est arrêté aec sa voiture devant elle et Rapidy, alors q'uelle attendait le car pour aller à la gare, et il se demndait ce qu'elle faisait-à. le car est arrivé derrière et a klaxonné. Donc,la rencontre fut brève. Parce que Bêtie en fait tient toujours secret les endroits où elle travaille et ne les révèle qu'après-coup.
Bêtie n'a plus fait ses cours d'adultes cette année scolaire, elle commençait déjà depuis mai à avoir de fortes douleurs aux genoux lors de ses déplacements à pied et a commencé à avoir très mal et à ne plus pouvoir se déplacer qu'avec difficulté et des bâtons pour aider sa jambe droite à avancer quand le genou gauche est si douloureux qu'elle ne peut plus s'appoyer dessus. Depuis janvier elle a encore une grippe et la voix de nouveau fort enrouée. Bêtie pense toujours qu'elle reprenda ses cours 'd'adultes, mais elle ne sait pas quand elle reprendra. Bête a fait sa prérentrée. Elle a attendu la navette qui fait elle tour de la ville entre midi pendant bien une heure et a râté le pot d'entre-midi dans son établissement,car la pré-rentée avait lieu dans l'autre établissement de la principale (dans la même ville, sur une autre collinne).
Sa principale va encore attirer l'attention du rectorat sur Bêtie avec le rapport qu'elle fait sur elle, alors que bêtie voulait rester discrète par rappot au recorat. Un rapport toatlement inutile. Si Bêtie passait en hors-classe elle serait à l'indice immédiatement supérieur, c'est à dre que son salaire n'augmenterait que de petu-être vingt Euros par mois. L'enjeu financier ne vaut pas ce rapport.
Bêtie a réussi plusieurs (trois années) formations universitaires l'an dernier qui complète sa formation. Avec toutes ces galères de TZR!! Lej eu en vaut-il la chandelle? je veux dire, ce rapport contre une professeure âgée qu ia vait fait ses preuves dans sa jeunesse et qui a mal à ses deux genoux et ne sait presque plus marcher en vaut-il la chandelle? Cela ressemble nettement à un harcèlement moral de la part de sa principale de rattachement.
Bêtie part en retraite dasn une an et sept mois en septembre deux mille seize. Est-ce qu'elle tiendra d'ici-là? Est-ce qu'elle va réussir à bénéficier de sa retraite de fonctionnaire.
Pour défendre Bêtie
domino
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mardi, 03 février 2015
La petite fille de Doofie attend ses notes de fac : Rien : le vide!!!!
Roman-théâtre
La petite fille de Doofie, agrégée d'allemand à 19 ans, car elle a un QI comme sa grand-mère, attend ses notes de 1ère session de 1er semestre pour les deux formations de Licence 2 (ex-Deug 2) qu'elle suit par ailleurs :
L'université l'a annoncé depuis une semaine sur l'ENT (espace numérique de travail) des études par correspondance : résultats hier soir sur l'ent, consultation des copies auourd'hui vers midi. Et bien il est déjà le lendemain des résultats, presque 8 heures du matin et sur l'ENT : il n'y a rien, rien, rien,le vide complet. La petite fille de Doofie a envie de tout plaquer,d'autant plus qu'elle n'a pas pu passer toutes ses UE en 1ère session : en double cursus 7 UE (Unités d'études) tombaient en même temps qu'une autre en permière session. Il y en avait bien deux qui tombaient à la même heure, même amphi,même place, mais les professeurs n'ont pas voulu qu'elle passe les deux, elle doit repasser l'autre en deuxième session,sans seconde chance, donc sans rattrapge. LEs 7 UE qui tmbaient en même temps qu'une auttre, ele doit déjà les faire au rattrapge(donc une seule chance au lieu de deux, ce qui est foncèremet injuste par rapport à ceux qui ne font qu'un seul cursus, d'autant plus que ceux qui en font deux sont plus courageux), et elle espère avoir réussi les treize autres, mais elle n'a aucune nouvelle de ses notes, elle a attendu toute la nuit, il est déà top tard pour prendre le seul train,ensuite ce sont des autobus sur 35 km avant d'atteindre un train à cause de ces éternels tavaux sur les voies. Elle a attendu toute la nuit après ses notes, elle pleure, pleure, pleure, ele pense qu'elle a tout râté et rien, rien,rien, touours aucune note, les admistrations ne répondent jamais à ses demandes, pour avoir des renseignements sur quelque chose, elle est obligée de se référer aux forums d'étudiants, sinon rien, rien, rien,les deux secrétaires chargées de répondre aux étudiants sur l'ent répondent à tous sauf à elle : c'est le harcèlement moral complet vis à vis de cette fille qui a fait de billantes études secondaires. Et universitaires.
D'autres se targuent d'avoir des bacs + 5 avec des BTS de tourisme, des écoles de coaching et de psychologie du coaching et des trucs idiots comme cela. Et nous, bi-admissibles et agrégées d'allemand, on se bidonne bien quand on les voit brandir sur l'ent, sur Lindkn et su Viadeo leurs diplômes de tourisme, de feng-shui, leur bac + 5 de décoration maison et de psychologie du coaching. Des bacs ° 5, cela? Ils se moquent du monde ou quoi???? Et avec cela, elles obtiennent des équivalences en histoire de l'art, parce qu'elles savent meubler une maison ou la peindre.
Enfin,la petite fille de Doofie pleure, ele a déà râté son train de 8 heures, touours prostrée devant son ordinateur à la recherche de ses notes qui apparaitront peut-être un jour. Sans espoir, ils m'ont peut-être mis des défaillances où j'ai composé, des notes où j'ai été absentes, ils ont peut-être donné mes notes à une autre personne, c'est pour cela qu'il faut que 'j'aille absolument voir mes copies avec ces trains qui ne fonctionnent pas (d'habitude il y en a un par heure et comme e dois aller là-bas, ils font des travaux exprès pour me géner, c'est touours comme cela, pense-t-elle : le monde entier est contre moi. La petite fille de Doofie est complètement déprimée parce ce que ses notes n'arivent pas.
Vous vous demandez pourquoi la petite fille de Doofie qui est agrégée d'allemand et a déjà réussi des CLES et autres DU dans sept langues vivantes, n'a pas demandé de validation d'acquis pour ses licences d'autres matières : tout simplement parce qu'elle est honnête. Et pense que pour demander une équivalence, il faut avoir fait exactement les mêmes programmes que les UE dont on demande les équivalences. Ce que n'ont bien sûr pas fait ceux qui ont des diplômes de décoration maison et de feng-shuit à bac + 5!!!
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Pour Doofie et sa petite fille
domino
07:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 01 février 2015
Réalité ou Rêve?
Roman-théâtre
(Dimanche après-midi, Doofie et Dummie sont réunies autour d'une tasse de thé).
Doofie : Ce matin, il s'est encore passé quelque chose de bizarre?
Dummie : Encore? Avec toi, il ne se passe que des choses bizarres...
Doofie : Oui, enfin, je veux dire, je ne savais pas que c'était le matin, je croyais que c'était la nuit, j'avais une quinte de toux et envie d'aller aux toilettes, alors je suis descendue dans le noir. Mais je ne savais pas l'heure du tout...
Dummie : Dans le noir, comment tu fais? Tu as des yeux de chat?
Doofie : C'est à dire que les lampadaires du dehors éclairent beaucoup les couloirs par les fenêtres du haut.
Dummie : Ah! Et tu es donc descendue.
Doofie : Oui, je suis restée dans la pénombre, jusque là rien de bizarre. Ma quinte de toux s'est calmée et en sortant des toilettes, je suis allée dans la cuisine, toujours dans le noir, me laver les mains, rien d'anormal. Je me suis dit que j'allais me peser parce que je trouvais que je maigrissais, chose que je n'ai pas eu le temps de faire : la balance était dans l'entrée.
Dummie : Et tu n'y vayais pas clair?
Doofie : Pas assez pour lire les chiffres sur la balance, alors avant de prendre la balance, j'ai allumé la lumière et là...
Dummie : Là... quel suspens...!!!
Doofie : J'ai entendu comme le bruit d'un camion qui se dirigeait vers la maison par la rue en face, mais plus sourd..
Dummie : Plus sourd, pas étonnant, il y a de la neige...
Doofie : Et malgré la lumière que je venais d'allumer, c'était comme si le fait que j'avais allumé la lumière se voyait du dehors et avait attiré le véhicule en question... malgré la lumière qui brillait dans la pèce, jai vu des clignotants bleus plus forts que les lampadaires et la lumière allumée, on les voyait dans la fenêtre en haut de l'entrée et cela se reflétait sur le plafond dans le fond de l'entrée même avec la lumière.
Dummie : C'était peut-être la police ou les pompiers, ou une ambulance...
Doofie : Mais il n'y avait pas de sirènes et apparemment pas d'urgence dans le quartier, jusqu'ici tout avait été complètement silencieux, pas d'odeur de brûlé non plus, jai eu peur...
Dummie : Et qu'as-tu fait?
Doofie : J'ai vivement éteint la lumière, aussi vite que je l'avais allumée, on entendait commé comme un petit bruit rythmé, comme un clignotant, mais pas de sirène, ni de pim-pon, je me suis assise pour être plus petite par rapport aux lumières, et j'ai observé le plafond : il y avait comme des lumières tounatnes bleues devant la fenêtre et au fond de la pièce en haut du mur et sur le plafond. Cela a fait comme si le véhicule tournait (d'après el bruit de moteur étouffé) sur le terre-plein devant et j'ai entendu qu'il repartait rapidement. Mais pendant qu'il faisait demi-tour j'ai regadé ces lumières au plafond et c'était éblouissant.
Dummie : Et puis?
Doofie : Tout est rentré dans l'ordre... Il faisait de nouveau noir de noir dehors, je me suis demandé quelle heure il était, j'ai saisi ma montre à côté de l'ordinateur et j'ai essayé de regarder dans le noir, en me disant que si je rallumais la lumière, le véhicule clignotant pourrait revenir. Je n'arrivais pas à bien voir... j'ai lu 9 heures - 1/4, mais ce n'était pas possible car il faisait noir.. j'ai regardé encore, j'ai vu la trotteuse qui se déplaçait et que j'avais prise pour une aiguille et je ne voyais pas la petite aiguille. J'ai encoe lu 8 heues - 25, c'était possible, ou bien 7 h - 20. Finalement, j'ai allumé l'oridinateur, mais dans le noir, l'écran éclairait mon visage en bleu-vert, tu imagines... je me voyais en reflet dedans.. mais j'ai réussi à taper les codes et à ouvrir le compte, il était 6 heures 40, donc, ce que j'avais vu en dernier sur ma montre. Puis, j'avais l'intention de remonter, mais je me suis endormie sur la chaise et j'ai rêvé.
Dummie : Ah! Et tu as rêvé d'OVNIS..
Doofie : Chut! Tu ne dois jamais dire ce nom.. tu vas les attirer, on est en fin de soirée et il fait presque noir, regarde, tu dois encore rentrer chez toi...
Dummie : Ce n'est pas loin,juste quelques maisons plus loin... moi, à cette heure-là, un dimanche matin, je dormais...
Doofie : Bon, je continue, j'ai rêvé... un drôle de rêve... je ne me souviens plus du début...mais à un moment j'étais dans un bâtiment long, comme une école, tout en plein pied, mais il y avait des pièces d'habitation et des chambres de chaque côté d'un couloir assez large. Comme souvent dans mes rêves, je m'installe dans des maisons quasiment vides, mais assez grandes et spacieuses. Là j'avais une chambre à côté de l'entrée qui était sur le bout du bâtiment, mais sur le long côté, pas sur le petit côté. Cette entrée était moderne, le bâtiment aussi, il y avait des vitrages doubles ou triples sur la porte et au dessus, comme une espèce de véranda, dont chaque pan de verre avait une forme courbée vers l'extérieur. Les portes s'ouvraient et se fermaient automatiquement. J'étais dans la chambre juste à coté qui était grande et spacieuse comme un petit appartement avec un lit et un bureau, je venais d'ariver comme en vacances et j'installais mes affaires.
Dummie : Ah.. c'est la farniente quoi, dans tes rêves...
Doofie : C'est vrai que je rêve souvent de voyages et d'installation dans des maisons, et de randonnées, à une époque je campais dans mes rêves, en ce moment ils sont un peu plus confortables.
Dummie : Ah! Moi aussi je rêve souvent de voyages,aussi dans la réalité..
Doofie : Oui, bien sûr,mais laisse moi raconter, sinon on ne s'en sortira pas... Bon, je t'ai décrit l'endroit où se passait mon rêve, mais pour le attacher avec mon pasé immédiat, des lumières bleues venant du dehors ont commencé à clignoter dans la chambre où je m'installais, j'ia eu peur, je suis sortie par la porte donnant sur le grand couloir et j'ai fermé la porte de la chambre en laissant mes affaires là. Juste entre la chambre et l'entrée, le long du mur du couloir dans un renfoncement, il y avait une table longue pour environ six personnes et deux bancs de chaque côté, je me suis assise au milieu d'autres personnes, au milieu du banc, c'était convivial, a ma droite, il y avait mon défunt père, décédé depuis bien trente ans, mais il était plus jeune que les derniers temps, il n'avait pas de cheveux blancs, il avait l'âge de quand j'étais petite, et il riait beaucoup et était sympathique, les gens étaient jeunes (d'environ 35 ans) et sympatiques, il y avait des femmes et des hommes, mais tous était inquiets à cause des lumières bleues qu'on voyait clignoter sur ma droite et la droite de mon père par les baies vitrées sur le plafond face à l'entrée. A un moment, mon père s'est levé et a regardé par les baies vitrées, mais il est revenu en courant à sa place, car il a eu peur. On se demandait ce qu'il avait vu, mais il n'a rien dit et on a continué nos convesations.
Dummie : A part les lumières bleues, c'était un rêve agréable...
Doofie : Assez agréable ...
Dummie : Et comment cela s'est-il terminé?
Doofie : Je me suis endormie dans le rêve ausi. Quand je me suis réveillée (dans le rêve), il faisait jour (dans le rêve, pas dans la réalité, car il faisait encore noir). J'étais debout avec d'autres gens dans le large couloir du même bâtiment et on discutait des évènements de la nuit, et je disais qu'il faudrait que le couloir soit encore plus large, et qu'au lieu de renfoncements avec des tables, on fasse des petites pièces supplémentaires à l'intérieur du couloir avec des portes qui se ferment et sans fenêtres, pour que les gens puissent se refugier quand il y a des choses bizarres dehors. Les gens écoutaient ma prpoposition sans prendre parti et je me suis réveillée pour de bon, cette fois et il faisait encore... noir.
Dummie : Et il y avait encore des lumièes clignotantes?
Doofie : Non, je suis bien vite remontée me coucher, il était 7 heures 40, soit une heure de plus qu'avant...
Dummie : Tu t'es recouchée à 8 heures moins vingt du matin?
Doofie : Et bien oui, à 50° Nord et même un peu plus au Nord, il fait encore nuit début février à cette heure-là! Et c'ést dimanche, et Schnelly dormait encore... Alors, je me suis recouchée, d'ailleurs c'est meilleur pour mes genoux de dormir couchée plutôt qu'assise...
(Bon, laissons là Dummie et Doofie à leur conversation et espérons qu'elles ne voient plus de lumières clignotantes bleues au milieu de la nuit..) Quant à Schnelly, il a dit que cela devait être le chasse-neige ou la sablière, qui passait dans la rue, mais la sablière aurait pris la rue dans l'autre sens (il y a un sens unique juste à gauche de la maison), et la sablière aurait eu un clignotant orange comme les travaux publics ou les tracteurs. Doofie n'a même pas osé soulever la persienne de la cuisine pour voir ce que c'était.
Un peu plus tard, Dummie dit : tu sais, je ne suis pas toujours contente quand Quicky me réveille, parfois il coupe des rêves bien agréables, alors je maugrée, en disant, tu exagères, je faisais un beau rêve, j'étais heureuse et tu m'as coupé mon rêve...
Doofie qui baille déjà : Oui...
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Pour Doofie et Dummie :
domino
21:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 31 janvier 2015
Ils s'y croient déjà!
Roman-théâtre
Ah! dit Doofie, en baillant,déjà les présientielles dans un an! C'est écrit dans le journal régional, là!
Dans un an ? s'exclame Dummie, mais ce n'est pas possible, cela ne fait pas déjà quatre ans que notre président est là...
Quatre ans? Non, pourtant c'est bien un quinquennat maintenant, et plus un septennat, mais déjà quatre ans que l''Empereur Entreboues n'est plus là, cela me semble court!
Non, je vas vérifier, dit Dummie, non, cela ne fait que trois ans, il a été élu en 2012, alors ce journal s'est trompé.
Pourtant, dit Doofie... Le journal est formel, Océane Laplume prépare déjà les élections présidentielles de mars 2016!
Elle s'y croit déjà! Plus qu'un an pour acheter une maison en Flawallie! Parce que elle nous mettre à la potre, c'est sûr!
Oui, regarde, pemière vague d'expultion : le Sud de la Mare Nostrum, depuis les arivées de 1958.
Suite, clame Dummie : deuxième vague d'expulsion : le Nord de la Mare Norstum, arivée depuis 1930, il suffit d'avoir un ancêtre des pays du Nord de la Mare Nostrum, Espagne, Portugal, Italie,Balkans...
Suite, clame Doofie :3ème vague d'expulsions, Pays de l'Est, immigration vers les mines du Nord, Toute imigration avant 1920, il suffit d'avoir un ancêtre de ces pays-là pour être expulsé!
Suite, poursuit Dummie la déclamation, nous, immigration waflamme et flawalle à partir de 1870, tiens, on en fait pratie, regarde, j'ai quatre arrière-grands parents qui font partie de cette immigration d'un pays voisin...
Moi aussi, dit Doofie et en plus, j'ai deux ancêtres dont les noms ont des consonnances alsaciennes, donc pas très fraçaises, et une autre arrière-grand-mère aux consonnanes waflamme, bien que ses parents soient arrivés en France, vers 1840.
Oui, c'est sûr dit Dummie, que si Océane Laplume passe aux élections dans un an, le temps qu'elle arrive à la quatrième vague d'immigration de la région, celle de 1870, il faudra compter à peu près quatre mois après mars 2016..
Mars 2017, coupe Doofie..
Mais non, regarde ce journal de la égion de Bêtie auquel nous sommes abonnées : C'est bien écrit mars 2016.
Ils se sont trompés, dit Doofie,ce n'est pas possible autrement. Non, on a deux ans pour s'acheter une maison en Waflammie et pas une seule année!
Dummie baille : j'iai bien me recoucher, j'ai sommeil..
Doofie : Bon, je rentre chez moi, à cette heure... Schnelly va se demander ce que je fais dehors, je repends moin journal, c'est bien écrit mars 2016! Elle s'y croit déjà!
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domino (Pour Doofie et Dummie..)
06:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 27 janvier 2015
Pensée du soir
"Seul d'entre les animaux, l'homme a la parole.."
Aristote (384 av. J.C. 322 av. J.C.) Politiques (Politika)
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