vendredi, 06 février 2015
La principale s'acharne...
Roman-théâtre
Je n'ai pas parlé de Bêtie depuis longtemps, mais je dois dire que même si cela s'était calmé ces derniers temps, la principale de son collège de rattachement (toujours la même depuis 2006-2007, mais il parait qu'elle va partir à la retraite à la fin de l'année scolaire) continue à s'acharner sur elle.
Elle vient d'émettre un avis défavorable à l'accès à la hors classe des certifiés de Bêtie. Ceci dit,elle commet une première erreur, parce qu'une hors-classe des bi-admissibles à l'agrégation a été créée il y a quelques années, et il est évident qu'en étant bi-admissible à l'agrégation, Bêtie ne peut accéder qu'à la hors-classe des bi-admissibles à l'agrégation, et non à la hors classe des certifiées qui est inférieure à la hors-classe des bi-admissibles à l'agrégation, car si Bêtie accédait à la hors-classe des certifiés, elle reisquerait dête lésée au nveau du salaire et du titre.
Donc, il s'agit déà d'une erreur dans sa lettre.
La principale ne parle plus de l'inspection. Son rapport de l'année précédente serait-il meilleur que ceux d'avant?
Par contre, elle met en exergue le blâme qu'elle a mis en 2008 pour une histoire ridicule, celle du paperboard. Rappelez-vous, Bêtie qui n'avait pas eu de services de rattachement à faire lors de son rattachement administratif précédent dans un lycée, même si par prudence, elle restait sur place 18 heures par semaine entre ses remplacements, à aider un peu ses collègues d'allemand en leur préparant des ressources sur internet, a dû tout de suite dans ce collège rejoinde le CDI (Centre de Documentation et d'Information) où elle a dû aider toute l'année ou presque, la TZR de français qui avait été nommée par le recteur dans ce CDI. La TZR de français en question l'a remerciée chaleureusement en fin d'année disant que sans elle, elle ne s'en serait jamais sortie. Bêtie qui était une ancienne professeur certifiée de lycée et de BTS ayant perdu son poste, était depuis deux ans bi-admissible à l'agrégation, mais sous les ordres d'une "certifiée" qui lui mettait des bâtons dans les roues pour réaliser tout ce qu'elle voulait dans ce CDI.
Bon, Bêtie avait commencé fait dans l'année, profitant de la postition au CDI, uneexpostiion sur l'Alelmagne pour le 22 janvier et avait commencé une expostition sur certains pays européens sélectionnés par des élèves,dont l'Autriche, qui n'a pu aboutir à cause de l'hsitoire du paperboard. Bêtie ayant appelé à la rescousse un ouvrier qui était dans la cour, un soir après les cous, parce que alors qu'elle voulait fermer le CDI le paperboard avec une affiche commencée qu'elle avait posé sur une table était introuvable.Il a cru, on ne sait pourquoi, qu'il était de voleur, alors que Bêtie avait entendu des pas à l'étage et la porte de la salle de lecture qui ouxtait le CDI, où aurait dû être le paperboard s'ouvrir, et que venant de la cour, il n'était pas concerné par ce supposé "vol". D'ailelurs quand la principale est venue lui parler d'un ton sec le lendemain, elle avait fermé la paroi qui séparait les deux salles pour faire croire que Bêtie ne trvaillait qu'au CDI et pas dans la salle de lecture. Cet ouvrier qui n'était pas concerné par l'affaire a fait un rapport sur elle, disant qu'elle l'aurait traité de voleur, alors qu'elle l'avait appelé à la rescousse pour savoir s'il n'avait pas vu quelqu'un dans les parages qui arait emmené ce paperboard. Le lendemain, on l'a retrouvé dans l'armoire, mais on ne sait pas si ce n'est pas la TZR de français qui l'aurait remis dans l'armoire. Cette TZR, 30 ans plus jeune que Bêtie, a eu sa mutation sur un poste de français l'année suivante, et on ne sait pas ce qu'elle est devenue, alors que Bêtie est toujours rattachée là.
Bon, passons à l'étape suivante : la principale dit que depuis lors et bien depuis lors, des principaux ont fait des repports sur son manque d'autorité lors de ses différentes suppléances, mais notons au passage que l'orsque les remplacements se passent bien (généaralement quand ils sont suffisamment courts et éloingnés pour que les principaux n'aient pas le temps de recevoir le dossier de Bêtie), aucun rapport positif n'est fait. En effet, lorsque les principaux reçoivent le dossier avec le blâme, même s'ils avaient une attitude aimable et positive vis à vis d'elle jusqu'alors, ils se braquetn conte elle. C'est donc le dossier qui prédomine sur le tavail réel de Bêtie.
3ème étape :La principale a dit que Bêtie aurait l'année scolaire dernière reçu des mises en demeure durecteur de rejoindre des postes de suppléances. Or, Bêtie n'en a reçu aucune, si ces mises en demeure ont réellemet été envoyées, eles ont dû être bloquées par son mari, qui trois ans et demi plus âgé qu'elle et professeur retrraité depuis un an et demi. Bêtie n'a jamasi reçu les mises en demeure de rejoindre son poste en question. De même qu'elle n'a pris connaissance des salaires à moitié perçus de mars 2014 et de mai 2014, qu'en août 2014, au moment où elle a eu besoin de justificatifs de sa qualité de salariée pour avoir le droit de suivre des études par correspondance, ce qui a provoqué une grande dispute entre Monsieur et Madame,car Madame continuait à dépenser comme si elle avait eu ses salaires complets. Depuis,ils ne s'entendent plus et malgré un mariage qui date de 40 ans, Bêtie a souvent envie de divorcer.
Donc, contrairement à ce que dit la lettre, Betie n'a reçu à sa connaissance auucne mise en demeure de reoindre un poste.
De courant septembre 2013 à décembre 2013, Bêtie a fait un remplacement sur deux établissements dans sa zone initiale. L'un des collèges situé à 26 km de chez elle, l'autre à 36 km
(signalons que la zone initiale fait environ 50 km de large sur 35 km de haut quand on regarde la carte, et que Bêtie habite au Sud-'Ouest de la zone. Cette zone a été agrandie il y a quatre ans à 3 autres zones, dont les extrêmités sont situées à 100 km de chez Bêtie : pont le plus éloigné à l'Ouest de sa première zone : 90 km, point le plus éloigné en diagonale , donc au Nord-Ouest de sa zone : 100 km, point le plus éloigné au Nord-Nord-Ouest (il n'y a pas de Nord, c'est un pays étranger), 80 km. Bêtie utilise les transports en commun. Il y a deux lignes qui passent près de chez elle, l'une traverse sa zone intitiale du Nord au Sud, ele vient de Paris et va jusqu'à la frontière d'un pays étranger, mais les trains y sont souvent remplacés par des autocars. L'autre la conduit à son rattachemetn à 32 km au Sud-Est, puis passe dans une autre académie et dans l'autre sens, rejoint Grande Métropole Régionale à 100 km. Son premie poste du public, qu'elel a occupé il y a un peu plus de 30 ans est à 4 km de chez elle, non loin de la gare de départ. Ce collège a été démoli et n'existe plus. )
Bon, elle a commencé une allant de fin septembre aux vacances de Toussaint, et a dû rendre les clefs des classes, avant les vacances, car sa collègue allait revenir. Elle a repris une semaine et demi après la reprise, car la collègue tardait à revenir ou à faire son prolongement de congé maladie et Bêtie n'avait pas le droit de reprendre la suppléance, sans y être invitée. C'est une semaine et demi après les vacances qu'elle a été rappelée ssur la même suppélance, donc sur deux établissements desservis par deux lignes de train différentes, assorties chaque fosi d'un traet en autocar de 15 km après la descente du train. Les deux collèges n'étant pas reliés entre eux par les transports en commun aux heures où Bêtie devait aller de l'un aà l'autre, Bêtie devait faire deux fois par semaine une traet en taxi de 15 km.
Ensuite, elle a été appelée durant la première semaine de janvier pour un remplacement impossible à faire. Deux collèges encore, l'un étant sur la ligne de grande métropole régionale, mais pas tout à fait puisqu'il fallait prendre un autocar à partir de la descente du train à 70 km de son domicile pour atteindre le collège, sur une dizaine de kilomètres, et d'autre part,l'aute collège était sur une autre ligne de train, avec correspondance dans une gare intermédiaire, plus un trajet en autocar d'aussi une dizaine de kilomètres. Les deux collèges distants l'un de l'autre de 25 km n'étaient pas joignables entre eux par les transports en commun,dans les délais impartis. Donc,Bêtie aurait dû prendre ente les deux établissements un taxi sur 25 km. De plus, lorsque Bêtie a reçu le coup de téléphone,un seul chef d'établissement ayant téléphoné sur les deux, victime d'un refroidissement ou d'une grippe depuis la première semaine des vacances de Noël, elle était complètement aphone,ne savait sortir aucun son, toussait comme une dératée, et ne pouvait donc répondre au téléphone. Elle n'a pas reçu de mise en demeure de rejoindre ce remplacement de trois semaines, ou alors, il ne lui a pas été remis.
Début février, Bêtie reçoit un coupe de téléphone d'un lycée avec un collège à seulement,ouf, 20 km de chez elle! Enfin! Les collègues sont sympas et la collègue qu'elle remplace partant enretraite à la fin de l'année, ils envisagent avec elle, qu'elle pourrrait bien rester et demander le poste l'année suivante. . Tout roule bien, pas de problèmes de discipline,mais elle est inspectée dès la deuxième semaine, dans une classe qu'elle n'a eu qu'une seule foir auaravant. L'inspection est ce qu'elle est, car Bêtie en suivant le cahier de texte de la collègue qu'elle a lu sur internet, fait le thème de l'évolution du sentiment national en Allemagne, ce qui s'avère dfficile pour les élèves. C'est en première classique première et seconde langue. Bêtie depuis douze ans a touours été inspectée en lycée, alors qu'elle a travaillé comme TZR la plupat du temps en collège. Bon, pour une fois on signale quand même que son allemand est plus que satisfaisant. Alors que les deux rapports précédents se taisaient sur ce point, on se doute pourquoi, alors que d'autres collègues avaient des floppées de fautes de prononciation signalées.
Avant les vacances de février, c'est la date de fin du remplacement, mais Bêtie a commencé à s'occuper de l'échange scolaire en 4ème et 3ème, à tavailler en commun avec la professeure d'anglais de 5ème bilangue (30 élèves en 5ème et 6ème bilangue, dans chaque classe, mais adorables). Elle a une heure en commune prévue et préparée le jour de la rentrée de mars, elle va donc faire l'heure avec la collègue d'anglais (non rémunérée pour elle-même), on voit donc qu'elle n'a pas de mauvaise volonté, pour continuer le remplacement. Et la classe qui suivait n'a pas de nouveau professeur et felle ait donc cours à ses élèves toute la matinée. Le proviseur entre midi voit qu'elle est encore là et finalement l'autorise à faire cours l'après-midi alors que l'avis officiel du rectorat pour la prolongation n'est pas encore arrivé. . Elle reçoit sa prolongation de 15 jours dans l'après-midi, elle fait cous 15 jours et alors qu'elle commence à bien s'habituer, à mettre léchange scolaire en route, le proviseur lui dit le denier vendredi que le rectorat a nommé un monsieur à partir de lundi. Donc,"au revoir, tous mes chers collègues et élèves chéris", Bêtie doit de nouveau partir. Avec ses larmes.
Peu de temps après un collège à 80 km de son domicile l'appelle. Encoe cous dans deux collèges. Le deuxième collège est à 90 km de son domicile. Train avec corespondance. Bêtie qui n'a pas refusé la remplacement, étudie les parcours sur les cartes d'internet avec les horaires des transports en commun d'internet. Il y a deux hics, l'un des collèges dans une grande ville est à 'l'extrêmté opposée de la ville, près de l'autorute A1 certes, mais loin de la gare. l'autre collège, celui qui a appelé est dans une petite ville à une dizaine de kilomètres dans l'autre sens par rapport à la ville. Autocar obligatoire. Mais le principal dit qu'il va regader lui-même si le remlacement est réalisable : Non, le car revient de l'aute collège 20 minutes trop tard et il ne peut pas changer les horaires du collège. C'est aussi de la mauvaise volonté de la part des principaux et des collègues en poste dans ces collèges qui ne veulent pas changer d'emploi du temps pour que la TZR puisse farie cours.
Donc, ce remplacement qui devait durer deux ou trois semaines a été supprimé.
Si elle a reçu une lettre de mise en demeure du rectorat de rejoindre son poste, elle n'en sait rien...
Peu de temps après, c'est un lycée du même secteur qui appelle pour un remplacement qui va jusqu'au 16 juin. Bien que le lycée soit à 60 km de chez elle avec une correspondance et soit une assez longue route à pied pour aller jusqu'au lycée, soit encore un autocar qui roule 5 minutes. Mais il faut l'attendre à la gare. Un jour le train est arrivé en retard à cause d'une grève et le car étant râté, elle a dû prende un taxi pour être à l'heure. Le taxi est rentré dans l'enceinte du lycée, sur le parking et ça a fiat une histoire. L'avant-dernier jour, Bêtie a rencontré un élève de son cous d'adultes de sa ville de ratatchement à plus de 100 km de là, il s'est arrêté aec sa voiture devant elle et Rapidy, alors q'uelle attendait le car pour aller à la gare, et il se demndait ce qu'elle faisait-à. le car est arrivé derrière et a klaxonné. Donc,la rencontre fut brève. Parce que Bêtie en fait tient toujours secret les endroits où elle travaille et ne les révèle qu'après-coup.
Bêtie n'a plus fait ses cours d'adultes cette année scolaire, elle commençait déjà depuis mai à avoir de fortes douleurs aux genoux lors de ses déplacements à pied et a commencé à avoir très mal et à ne plus pouvoir se déplacer qu'avec difficulté et des bâtons pour aider sa jambe droite à avancer quand le genou gauche est si douloureux qu'elle ne peut plus s'appoyer dessus. Depuis janvier elle a encore une grippe et la voix de nouveau fort enrouée. Bêtie pense toujours qu'elle reprenda ses cours 'd'adultes, mais elle ne sait pas quand elle reprendra. Bête a fait sa prérentrée. Elle a attendu la navette qui fait elle tour de la ville entre midi pendant bien une heure et a râté le pot d'entre-midi dans son établissement,car la pré-rentée avait lieu dans l'autre établissement de la principale (dans la même ville, sur une autre collinne).
Sa principale va encore attirer l'attention du rectorat sur Bêtie avec le rapport qu'elle fait sur elle, alors que bêtie voulait rester discrète par rappot au recorat. Un rapport toatlement inutile. Si Bêtie passait en hors-classe elle serait à l'indice immédiatement supérieur, c'est à dre que son salaire n'augmenterait que de petu-être vingt Euros par mois. L'enjeu financier ne vaut pas ce rapport.
Bêtie a réussi plusieurs (trois années) formations universitaires l'an dernier qui complète sa formation. Avec toutes ces galères de TZR!! Lej eu en vaut-il la chandelle? je veux dire, ce rapport contre une professeure âgée qu ia vait fait ses preuves dans sa jeunesse et qui a mal à ses deux genoux et ne sait presque plus marcher en vaut-il la chandelle? Cela ressemble nettement à un harcèlement moral de la part de sa principale de rattachement.
Bêtie part en retraite dasn une an et sept mois en septembre deux mille seize. Est-ce qu'elle tiendra d'ici-là? Est-ce qu'elle va réussir à bénéficier de sa retraite de fonctionnaire.
Pour défendre Bêtie
domino
16:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
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