mercredi, 26 novembre 2014
Dummie et Doofie, Doofie et Dummie...
Roman-théâtre
Dummie : Oh! Doofie, c'est vraiment dumm, ça! Je vais sur ma châine Votre Tube Cathodique, j'essaie de me connecter et c'est ton e-mail qui s'affiche comme identifiant avec ma photo et quand je n'arrive plus à rentrer, c'est le compte de ton e-mail. Et au dessus c'est le nom de ma chaîne avec ta photo!
Doofie : Ah! C'est bizarre, çà! Je vais essayer. Ah! ça alors, j'essaie de me connecter sur ta chaîne et j'ai ta photo avec ton e-mail et le nom de ma chaîne.
Dummie : Je vais taper mon code secret en dessous du nom de ta chaîne et de ma photo... Mince, c'est ta chaîne qui est dessus.
Doofie s'assoie à la place de Dummie et fait quelques opérations sur sa chaîne,sur l'ordinteur d'à-côté, elle a tapé ses codes pour que Dummie retrouve sa chaîne. ça alors,dit Doofie, maintenant alors que juste avant j'avais mon interface, maintenant j'ai la tienne!
Dummie : On a deux fois mon interface alors, où est passé la tienne?
Doofie : J'avais remarqué que depuis quelque temps, les messages de Votre Tube Cathodique n"arrivait plus sur mon e-mail.
Dummie : Et les miens non plus, je vais regarderr... Et bien non, j'ai les tiens... sur mon e-mail.
Doofie l J'en ai quelques uns aussi, mais il sont déjà vieux de quelques mois. Mais ce sont les tiens...
Dummie : Exactement, cela fait quatre mois que je n'étais pas allée sur Votre Tube Cathodique. C'est bizarre, ma chaîne fonctionne avec ton e-mail, et la mienne avec le tien,nous ne pouvons plus rien nous cacher...
Klugy 2 : Ah! Ah! Elles se sont connectées sur le même compte d'ordinateur et maintenant on a la salade (traduction d'une expression allemande : Wir haben den Salat!)... Leurs compte de Votre Tube Cathodique se sont mélangés parce que Glouglou a cru qu'ils étaient une seule et même personnne! Et Dummmie devient Doofie et Doofie Dummie, ah ah! Cela leur apprendra d'être toujours ensemble!
Dummie : Ah! Je me suis déconnectée, j'ai enlevé les cookies et maintenant, j'ai de nouveau ma chaîne à moi. Fais pareil, Dummie.
Doofie : Ah! Oui, c'est ma chaîne!! Mais non, la tienne revient, ça alors..
Bon, laissons-là Dummie et Doofie, En train de se dépatouillet avec leurs interfaces et leurs e-mail.
domino
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301 vues, plus de 301 vues, 311 vues! Trafalgar Victory!
Roman-théâtre
Doofie : Regarde Dummie, j'ai 311 vues sur ma vidéo d'il y a six ans!!!!
Dummie : 311 vues, merveilleux, tu as battu le record des 301 vues! Enfin, bref, pas le record, mais tu as réussi à percer cette barrière presque infranchissable.
Doofie : Cela faisait plus d'un an que j'avais "plus de 301 vues"...
(plus loin dans la salle des profs : Klugy 2) Ah! Avec sa voix merveilleuse, Doofie, une célébrité, 311 internautes l'ont regardée en six ans, ça fait quand même 50 internautes par an. Comme il y a 52 semaines dans l'année, une moyenne d'un par semaine, quelle célébrité!
Dummie : Mais ce n'est pas une chanson, c'est Doofie qui improvise un merveilleux morceau classique sur sa guitare... on dirait du Villa-Lobos... Que c'est beau... Un toucher émouvant...
Doofie : Oh! Tu exagères, si je jouais si bien, j'aurais 100 000 vues en une soirée, comme cette nana qui explique que l'on peut jouer 10 chansons à la mode avec trois accords...
Dummie : En tout cas, au XIXème siècle, les chansons à la mode transcrites par les guitaristes, c'étaient des airs d'opéra, comme dans les Rossiniaene de Mauro Giuliani, ou dans les airs de Friedrich Caspar Mertz. Des merveilles...
Doofie : Ils jouaient aussi les valses de Strauss qui grâce à nos mamans ont bercé notre enfance à la guitare.
Dummie : Une merveilleuse époque le XIXème siècle...
Klugy 2 (dans son coin, comme pour lui-même, il mange son casse-croûte en corrigeant ses copies...) En tout cas, les 311 vues en 6 ans.... C'est une Trafalgar Victory...
Doofie : Et j'aurais eu aussi mal à la jambe que maintenant?
Dummie :Sûrement, ils étaient encore moins bons en médecine que maintenant.
..../.....
Dummie : J'ai encore du travail, regarde, sept devoirs pour l'université tombent le même jour..
Doofie : Tu es en double cursus...
Dummie : Oui, par correspondance..
Doofie : Bigre! j'en ai huit à faire pour le début de la semaine prochaine!
(Dummie et Doofie se plongent dans leurs cours et dans leurs livres)
(Dans un autre établissement scolaire... dans une autre salle des pofs...)
Foolie : Et ta commande par correspondance?
Blödie : L'une est arrivée entièrement, mais ils ne m'envoient pas encore d'autres catalogues,la deuxième, j'avais un article indisponible,un autre différé de huit jours, mais un mois après je reçois un remboursement pour cet article indisponible. La troisième commande, j'en ai reçu un article, les autres articles, deux pulls, un pantalon et une veste, pas de nouvelles....
Foolie : Quand as-tu commandé ?
Blödie : Début septembre.
Foolie : Cela fait deux mois et demi.... Et ... tu sais... ce n'est pas étonnant que ces entreprises périclitent. S'ils ne servent pas les clients rapidement.
Blödie : C'est parce que l'on a des grandes tailles, et ils n'engagent pas la fabrication si seulement quelques pesonnes commandent des grandes tailles.
Foolie :Et je n'arive pas à maigrir... Speedy fait la cuisine à longueur de journée, ou la vaisselle, depuis qu'il est retraité, il passe sa vie dans la cuisine,et je ne peux même plus y entrer et me faire mes repas comme avant... et j'ai mal aux jambes...
Blödie : C'est contagieux, moi, j'ai mal à la cheville...
(Laissons-là nos amies deviser...)
domino
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samedi, 22 novembre 2014
Trois de mes profs partis
Bonsoir,
En peu de temps, j'ai appis le décès de trois profs de musque qui ont accompagné un bout de mes études musicales ou ont joué un rôle déterminant dans le choix d'un inscrument.
Je tais toujours les vrais noms des vivants dans ce blog, sauf quand ils sont extrêmement célèbres, par mesue de protection pour eux. Mais je ne sais pas si'il faut dire le nom des morts. Car on ne peut plus rien faire contre eux, alors on pourrait dire leur nom, mais il reste leur famille, et il ne faut pas qu'ils s'en aille aussi à cause de moi.
Et pourquoi dirais-je le nom des autres, si je ne dis même pas le mien!
Il y a deux ans environ, je l'ai su tout de suite, l'une de mes profs de guitare était partie et je suis même allée à son enterrement parce que ce n'était pas trop loin. Ce fut ma deuxième prof de guitare. J'avais eu un autre professeur dans un conservatoire pendant un an et deux trimestes (j'avais été acceptée dans le cours à Noël), et c'était ma deuxième prof. Elle n'était pas guitariste de formation, mais altiste et aussi violoniste et avait appris la guitare sur un tard pour compléter son enseignement et avoir plus d'élèves qu'elle en avait en alto. C'était une dame déjà âgée, environ 25 ans plus âgée que moi et quand je l'ai connue j'avais 27 ans. Elle était alors deux fois plus âgée que moi. Elle avait une fille de 15 ans, devenue professeure de musque qui passait son prix de guitare au CNR régional et complétait son enseignement. Ma professeure était très sévère sur le rythme, je me souviens avoir un jour pleuré parce que j'avais fait une coche au lieu d'une noire ou le contraire. Elle m'a appris les six premières études de Brouwer (quelqu'un de très connu, donc je peux dire son nom) et je faisais le grand lvre des études de Sor par Ségovia, je restais parfois trois mois sur une étude, et les études opus 60 de Carcassi que j'avais déjà commencées avec mon premier professeur. Bref, c'éait, même si le succès n'étais pas toujours au rendez-vous, une excellente professeure. Elle était déjà très âgée quand elle est décédée, presque l'âge de ma mère, 87 ans je crois. Elle avait été un peu une seconde mère pour moi. Parce qu'à l'époque où j'étais son élève, ma mère était loin.
Mais pour mes deux autres professeurs, je l'ai su longtemps après. C'étaient mes professeurs des années 90 alors que j'avais déjà passé 40 ans. Quand en 1994, je suis allée pour la première fois à un stage de guitare, j'ai fait la connaissance en la pesonne d'un de mes professeurs connaissance de la guitare baroque. C'était un petit mexicain plein d'humour qui avait fait toute sa carrière d'enseignant en France et y enseignait encore. Déjà âgé à l'époque. Je me souviens que pendant la période assez longue où j'ai suivi ce stage, construction de ma guitare baroque comprise, il avait dit un jour qu'il avait soixante trois ans, l'âge que j'ai maintenant. Je crois qu'il est décédé à plus de 75 ans, mais pour l'époque actuelle, c'est jeune encore, il était retourné sans son pays. Mais c'est la façon dont j'ai appris qu'il était décédé sans en savoir la date exacte qui était surprenante. Un guitariste du même stage que moi avait lancé une invitation pour un rassemblement des anciens stagiaires et c'est là que j'ai cherché des vidéos sur les trois grands maîtres du stage, et je suis tombée sur un "Hommage à... ", m'apecevant que le petite mexicain ne serait pas au rendez-vous où je ne pouvais pas aller. Et quelques jours après cela se confirma, nouvelle vidéo où mes deux autres maîtres, rendaient lors de cette assembllée hommage à leur ami disparu, le troisième des Tres Amigos. Le maître qui m'avait fait découvir la guitare baroque et m'avait fait aimer cet instrument était parti depuis un an et demi ou deux ans et je ne le savais pas!
Ensuite le choc est venu aujoud'hui. Vers le milieu des années 90 ayant arêté le chant en école de musique, faute de pouvoir aller plus haut, j'avais eu deux fois un premier accessit en diplôme et il m'aurait un deuxième prix pour pouvoir concourrir pour le premier. Et cet échec m'a fait me tourner vers une association régionale pour le développement de la voix et des chorales. Et là j'ai suivi pendant bien six ans des cours avec le même professeur. J'étais allée aussi à son stage dans un beau pays du midi. Un jour, il m'a annoncé qu'il quittait cete stfucture associative et la région en grande partie ne gardant que la chorale d'un conservatoire. Alors, on ne s'est plus jamais revu. Je n'ai plus continué le chant, même s'il m'avait recommandé une prof féminine de la même association. C'était mon quatrième pofesseur de chant. J'en avais eu trois qui s'était succédé dans la même école. Un jeune professeur qui est pati parce qu'il avait réussi son CA, et qui était très respectueux et m'admirait parce que j'avais un CAPES d'allemand et que à l'époque avoir un CAPES d'allemand c'était extraordinaire? Il me faisait chanter en soprano et je montais régulièrement au contrre-do. Un plus vieux près de la retraite qui est resté longtemps, mais avait ses chouchous. Et un troiisème qui m'a fait chanter en alto. Alors, mon nouveau professeur qui bien qu'agrégé de français de son état, était un excellent technicien avait fait sortir ma voix. Et redevenir soprano. Aujoud'hui, je ne sais pas pourquoi, je me fabrique sur une feuile de traitement de texte, un curriculum vitae musical et je tape machinalement les noms des professeurs que j'ai eu. Je tape le sien et je tombe sur les nouveaux stages qu'il a dirigé, le plus récent que je vois date de l'été 2013. JJe tombe sur son Copain d'avant et son curruculum vitae, je vois qu'il n'est plus dans l'éducation nationale, bien qu'il est encore loin de la retraite, il était dix ans plus jeune que moi. Je regarde des vidéos de concert, il est retourné dans sa région natale, où il dirige des choeurs et donne des cours de chant. Il est devenu musicien à part entière. A sa place, j'aurais quand même gardé le poste d'agrégé. Mais bon, je sais que c'est un bien meilleur musicien que moi, qui bien qu'ayant fait le conservatoire jusq'à celui de Paris, n'a commencé ses études de chant qu'une fois l'agrégation de lettres en poche. Et là soudain que vois-je sur une vidéo :"Hommage à..." Mais enfin, ce n'est quand même pas possible, pas encore un! La vidéo date d'il y a dejà plus de dix mois... Plus de dix mois qu'il nous a quitté à un âge encore jeune, et je n'en savais rien... Et à à peine un peu plus de 50 ans, c'est trop jeune... Je ne sais pas de quoi il est mort, à la même époque, j'étais assomée par la grippe et une laryngite, paradoxalement, une laryngite qui m'avait laissée sans voix pendant plusieurs semaines. Le jour où il est mort, j'étais complètement muette et désespérée car je pensais ne plus retrouver ma voix et c'est encore les vocalises et les trucs que j'avais appris avec lui qui m'ont rendu ma voix et mais je ne sais pas si maintenant, j'arriverai encore à faire ses vocalises et ses trucs.
Il y a des personnes qui vous accompagne comme cela pendant un temps de votre vie, j'ai eu ces trois professeurs pendant des périodes qui vont de 6 à 10 ans, ils vous accompagnent pendant un dixième au moins de ce que vous avez passé de votre vie. et d'un seul coup, vous apprenez avec une ou plusieurs années de retard qu'ils ont quitté ce monde.
Allez, c'est la vie... On ne comprends pas toujours pourquoi des pesonnes aussi actives qui ont une vie si remplie s'en vont... alors que certains retraités -ce fut le cas de ma mère - s'ennuient à longueur de journée.
domino
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jeudi, 20 novembre 2014
La drôle de lune
La drôle de lune
Roman-théâtre
L'autre soir Gwupie était dans le car, qui remplaçait le train sur la fin de son trajet. Déjà quand il n'y a que 5 personnes dans le grand compartiment du wagon (¼ du wagon), ce n'est pas très drôle, on a un peu peur, surtout si le contrôleur n'est pas à proximité, mais dans ce car... Bon, le train...Quand le train s'arrête une heure quelque part à cause d'un accident sur la voie du train qui précède, ou de menaces d'accident (un autre soir c'était quelqu'un qui menaçait de se jeter d'un pont au dessus du train : le far-west quoi, ou les films d'indien), les contrôleurs passent et repassent pour vous rassurer, alors que finalement, on ne fait qu'attendre. Quand vous voyez une drôle de lumière passer de l'autre côté de la vitre, sans qu'il y ait le lampadaire correspondant sur la vitre d'en- face, on a plus (plusse) peur. L'autre soir, c'était un soir étrange... En s'arrêtant dans une gare, Gwupie voit dans une maison en face de cette gare, des lumières blanches qui vacillent. Regardant mieux, elle se dit que c'est la télévision. Regardant encore mieux, elle voit les lumières qui s'agrandissent,deviennent verticales. Elle dit à Rychly qui est assis dans les bancs d'en face : Regarde Rychly, il y a des lumières bizarres là-bas dans la maison d'en face. Il ne regarde pas. Fait : Hein? Et reprend sa lecture. Il ne regarde jamais quand Gwupie voit des choses bizarres. Gwupie voit un éclair devant la maison, entre la maison et la gare, que sa rame a dépassée. Le train s'ébranle... Elle voit une autre fenêtre de la maison en question, avec les mêmes lueurs blanches verticales, une fenêtre en coin par rapport à l'autre fenêtre. Des lueurs verticales, des reflets dans une victime.
Ce sont sûrement des lueurs spectrales, se dit Dummie en vérifiant mon roman qui relatent ses aventures.
C'est peut-être une fuite de gaz, se dit Sottie, plus pragmatique, même si Dummie a plus les pieds sur terre que Doofie, en lisant mon roman avant publication, parce que parfois on parle d'elle dedans. Rychly aurait dû faire plus attention,et ils auraient dû appeler les pompiers du coin pour le signaler.... Cela aurait peut-être encore retardé le train...Non, puisqu'il était reparti... Mais au moins Gwupie aurait pu avoir bonne conscience, mais Rychly ne fait jamais attention à ce qu'elle dit et trouve toujours que cela n'a pas d'importance.
Le train de Gwupie quitte la gare, des lampadaires défilent sur la droite, se reflétant dans la vitre gauche. On pourrait les prendre pour des.... se dit Gwupie qui se fait peur à elle même. Soudain, une grosse lumière blanche passe sur la gauche, en sens inverse du tain. Pas de lampadaire dans la vitre de droite qui pourrait être reflété. Gwupie a peur. Elle découvre qu'il y a des stores dans ce train, elle n''avait jamais vu qu'il y avait des stores dans les TER. D'habitude, elle aime bien regarder le paysage... Mais la nuit, elle a peur... Elle baisse le store de son côté, à moitié pour voir le paysage sans le ciel. Elle dit à Rychly : Tu as vu, il y a des stores ici! Il y en a toujours eu, répond Rychly. Ah! fait Gwypie... C'est la première fois que je les vois. Tu peux fermer ceux de ton côté... ? demande Gwupie... Pas la peine, on arrive bientôt... Déjà? Dans six minutes...C'est cette gare-ci? Non.... Ce n'est que Saint-Copain-les-Bouteilles... Ce n'est pas encore Dentellière. Six minutes, tu dis, cela fait plus... Tu baisses le store... On va encore traverser la forêt de Dentellière-Nord. Non, on arrive, dit Rychly. Quand Gwupie se chamaille ainsi avec Rychly qui commence à ranger les affaires et à se lever dix minutes à l'avance, cela passe le temps, et elle ne pense plus aux drôles de lumières.
On descend, ce soir le train s'arrête ici, après, il faut prendre un bus... Gwupie ne sait pas bien marcher, elle a mal aux genoux, elle aussi, elle a ses bâtons de Nordic Walk, ça lui sert bien,juste que les bouts sont trop pointus et ça glisse sur le carrelage. Rychly est pour une fois utile,il demande aux agents de la sécurité ferroviaire qui sont sur le quai, si on peut faire attendre le car qui remplace la suite du train, car Gwupie ne marche pas vite.. Ils disent pas de problème et les accompagnent un bout en indiquant à Rychly et Gwupie un drôle d'ascenseur. Justement que Gwupie venait de se dire que dans des villes comme Dentellière, en Allemagne, il y a des ascenseurs à tous les quais. Ah! Mais il y a un ascenseur pour remonter, un ascenseur transparent où l'on voit que ça monte. Pas comme dans le métro où tu ne sens même pas que l'ascenseur est déjà monté ou descendu. Remercions-les de nous avoir accompagné un bout. Mais ils disent que Gwupie devrait marcher moins vite,car elle se fait mal, mais c'est toujous Rychly qui la fait aller vite. C'est normal, Rychly, comme Schnelly, et Rapidy court toujours devant Gwupie qui a de plus petites jambes que lui. Il s'énerve en courant toujours à droite et à gauche chercher des renseignements.
Gwupie voit le bus démarrer, quitter la ville, longer l'université où l'on ne fait pas sa matière, elle voit l'entrée de l'autoroute, dit : Oh! On est bien seul ici... Elle pense toujours aux drôles de lumières, surtout à celles que Doofie a vu un jour. Toute une armada,elle a dit.. Une véritable armée du ciel... Puis elle s'endort. Le petit pain qu'elle tenait dans un papier de boulanger à la main depuis le départ du car, pour ne pas manger dans le car, est tombé brusquement par terre à cause du relâchement de ses muscles endormis. Cela la réveille brusquement. Souvent quand elle s'endort avec un livre, c'est le livre qui tombe à terre. Son petit pain est au milieu du couloir du bus. Rychly le ramasse. .Il est encore emballé. On est dans la forêt de Dentellière-Sud. Encore une forêt. Apparemment il n'y a plus que nous et le chauffeur dans le car... Les rares passagers sont tous descendus. Quand c'est le train, il y a plus de monde... Les gens hésitent à prendre le train, quand il y a des travaux sur la voie, de nuit... comment ils font pour y voir clair... Et la nuit... Brr... Réparer des voies dans la forêt... J'aurais peur à leur place. Avant d'arriver à la gare où l'on descend d'habitude, Gwupie voit la lune, toute petite, comme celle de Doofie (ou bien Bêtie, ou bien Sottie, je ne sais plus.. l'autre jour). Comme celle qu'on voyait par la fenêtre des toilettes chez l'une d'entre elle et qui faisait un rayon argenté sur le mur. Deux nuits, presque en suivant. Elle voit une toute petite lune très brillante avec comme un nuage au milieu, elle a une drôle de forme, elle n'est pas ronde... Gwupie se demande si c'est vraiment la lune. L'autre jour, en arrivant vers la maison à la même heure, il y avait une lune renversée, celle des loup-garous; juste au dessus de l'horizon, immense, avec ses montagnes et tout, la vraie lune rousse, celle qui est agrandie par les couches d'air de l'atmosphère plus longue si vous regardez sur les côtés que juste au dessus de vous. A l'opposé, à l'Est. Ici une semaine plus tard, elle est à l'Ouest à la même heure, Ouest-Nord-Ouest, bizarre... Elle devrait être décroissante. Et elle est presque entière, avec un anneau au milieu. Très blanche... Très lumineuse...
On est arrivé. Gwupie descend... péniblement. Elle a encore son petit pain dans la main, et sa serviette en papier pour s'essuyer les mains ensuite... qu'elle a déjà dû amasser trois fois, à chaque endormissement. Rychly lui donne ses bâtons de marche nordique. Elle a du mal à marcher, on passe devant la gare, déjà fermée, elle ferme à dix heures, il n'y a plus un chat dans les rues,même pas une voiture. On arrive sur un parking, on voit encore cette lune, ouest- nord-ouest..; Rychly dit que c'est un lampadaire blanc au milieu des lampadaires oranges. Gwupie voit bien que ce n'est pas vrai. La lune se cache derrière une cheminée du bâtiment d'usine, mais vérifié aujourd'hui sur la « Vue sur la Route » de Glouglou,il n'y a pas de cheminée à cette usine en voie de désaffection. Puis la lune bizarre se cache derrière un arbre et on ne la voit plus...Gwupie dit : Il faut se remémorer chaque détail du chemin, pour être sûr qu'on n'a pas été enlevé sur la route. Elle enregistre les points de repère dans son cerveau. Comme cela, demain matin, quand elle sortira du lit, elle saura qu'elle a bien fait la route entièrement, pas comme les fois où elle en oublie une partie.. elle se réveille le lendemain, en ne se souvenant que du départ et de l'arrivée. Et elle voit parfois que son pantalon qui avait un tissu lisse hier, a des bouloches aujourd'hui,comme si on lui avait volé son pantalon bien lisse et bien nettoyé pour le remplacer par un vieux, comme si on lui avait changé ses habits. Rychly lui achète toujours les mêmes pantalons. Mais il y en a des plus ou moins larges, des bleu-marine et des noirs. Elle fait des commandes d'autres pantalons par correspondance, d'autres formes et d'autres couleurs, mais ils n'arrivent pas. Elle reçoit des nouveaux petits catalogues de soldes, alors qu'elle n'a pas eu la commande précédente entièrement. Et elle attend toujours le reste de la commande. En novembre, une commande de septembre.
Cette fois-ci, Gwupie a bien repéré la route, c'est sûr qu'ils n'ont pas été enlevés en cours de route et reposés devant leur porte. Elle entre dans la maison. Son pantalon est toujours le même, il n'est pas bouloché, son pull est le même, son T-shirt est de la même couleur.
Le lendemain, Gwupie se réveille, elle a mal au pied, aux genoux, à la cheville, jusqu'ici, seuls les genoux faisaient mal, maintenant, c'est aussi la cheville qui à force de compenser la douleur du genou prend une mauvaise position. Peut-être une tendinite. C'est dur de descendre l'escalier. Rychly a rebranché l'ordinateur. Tap.. tap.. tap.. Gwupie tape : Taille de la lune... petite lune... grosse étoile... grosse planète... elle ne trouve rien sur l'évènement de la veille. Elle trouve : Planètes géantes. Elle s'initie aux atmosphères de Neptune et de Saturne, deux planètes souvent oubliées... Presque liquides. On pourrait peut-être y poser des bateaux, personne n'y a jamais pensé... Faire des atterrisseurs flottant pour se poser sur Neptune et Uranus aux grands océans d'hélium, aux atmosphères humides et glacées, chargées d'hydrogène. Gwupie apprend que la température d'une planète dépend aussi de sa chaleur intérieure, de son magma... c'est pour cela que la terre est assez chaude... il n'y a pas que le soleil tout seul qui la réchauffe. Si une planète plus éloignée du soleil était plus chaude intérieurement, elle pourrait avoir la température de la terre se dit Gwupie et avoir de l'eau. ..Si le soleil n'était plus aussi chaud, la terre resterait chaude quand même, grâce au magma, mais il manquerait la lumière, on serait obligés de s'éclairer à longueur de journée comme en hiver. .. J'ai des idées de génie, se dit Gwupie, je vais pouvoir en remontrer au super-IQ de Doofie! On est sauvées. La fin du monde n'aura pas lieu.
Elle s'initie aux sattellites de Neptune, il y a Triton, Néréïde, Larissa, Naïade, Thalassa, Despina, Galatée et Protée... Quels jolis noms, les plus connus de ses quatorze satellites... Des noms aux consonnaces aquatiques et féminines... Quatorze lune..; Si la terre avait deux lunes, ce ne serait pas si grave... Neptune avec ses quatorze lunes tourne bien rond. Alors la terre, elle pourait avoir plus de lunes sans que ce soit dangereux pour elle. On a peur pour rien... Tiens, il y a une planète pour chaque signe astrologique... La mienne c'est... Taureau... Taureau... Vénus... hmm! Vénus! Quel bel astre!
Ah enfin! Une carte astronomique en temps réel. Tiens, il était quelle heure, Rychly quand on a vu ce lampadaire? Onze heures trente... Minuit... Bon, la journée d'hier n'y est plus, mais je peux encore mettre O heures d'aujoud'hui. Mince! A minuit la lune était couchée du même côté que le soleil, au Nord ... c'est l'hiver, le soleil est couché au Nord-Nord-Ouest, un peu plus à l'Ouest que la lune. Et puis, au niveau de l'horizon la lune, si elle se voyait encore, devrait être grosse et pas toute petite... Donc, ce n'était pas le lune...
Quelles sont les étoiles qu'il y a de ce côté : Altaïr, Véga et Deneb... elles sont parmi les 9 étoiles les plus brillantes du ciel. Gwupie étudie la carte, tape les noms des trois étoiles, il y a une carte de la constellation de l'Aigle, c'est dans celle-là qu'il y a Altaïr, la constellation est représentée sur une carte animée dont la luminosité change. Quand elle baisse, je vois les trois étoiles alignées que je voyais de ma chambre quand j'étais chez mes parents il y a très longtemps et qui sont mes repères et mes bonnes étoiles. Elles étaient souvent juste en face de la fenêtre de ma chambre. Je n'avais jamais vu de drôles de lunes ou de drôles de lumière à l'époque. J'habitais dans une très grande ville et le ciel était étoilé. Toujours étoilé. Pas comme ici, où la plupart du temps, même par temps clair,o ne voit pas beaucoup d'étoiles. C'est l'agglomération où j'étais hier soir. Tout était normal là-bas, pas beaucoup de nature à l'époque,mais pas de surprises célestes non plus. Tout était encore normal à l'époque. Il faisait clair dans le quartier, assise à la fenêtre, je pouvais lire à la lumière des lampadaires, sans lunettes, je n'en avais d'ailleurs pas. Tout était normal à l'époque.
Bon, Gwupie se dit : Altaïr est sur l'Ouest, c'est une grosse étoile, mais elle est l'une de mes trois étoiles. Mes trois étoiles sont au bout de l'Aigle, elles ne sont pas si grosses que cela. On les voyait très bien à l'époque, mais il n'y avait pas des étoiles qui ressemblaient à des morceaux de lune, des étoiles aussi grosses que maintenant. Quelle peut-être cette étoile. Päs de planètes, sur la carte du ciel. Les planètes sont déjà couchées à cette heure-là. Elles sont presque toutes vers l'Ouest, du côté du soleil, sauf Jupiter. Ce n'est pas une planète. Une station orbitale? Peut-être, surtout que j'avais l'impression que cela se scindait en deux... Vraiment, je ne comprends pas... Pas une comète, elle aurait une queue... Alors... ?? Ce n'est pas non plus ce qu'à vu Doofie... C'est rond ou presque et beaucoup plus gros... Vraiment on dirait la lune... Alors qu'elle devrait être couchée...Je ne comprends pas..; Je devrais appeler Doofie qui sait tout... mais elle va se moquer de moi.
Elle prend son courage à deux mains... Allô, Doofie... Ah... fait Doofie qui baille, j'étais justement en train de trouver que tu descends des Przémyslides et des premiers rois de Pologne et de Hongrie... Mais Doofie, ce n'est pas cela qui m'intéresse... Les Przemyslides, les Premiers Penseurs... Gwupie, c'est pour cela que tu es intelligente... Pas autant que toi, j'ai justement besoin de tes lumières... De mes lumières... Ah... Tu parles de cette drôle de lumière... de cette drôle de petite lune... Non, je ne sais pas dit Doofie, qui préfère éviter la conversation... Tu la vois aussi... demande Gwupie... Mais oui, je te l'ai déjà raconté, elle fait même des rayons comme la lune dans mes toilettes... Ah! C'est vrai, dit Gwupie... Et elle explique tout ce qu'elle a lu sur l'astronomie aujoud'hui, tout ce qu'elle a appris sur Uranus et sur Neptune,mais garde pour elle l'idée qu'on devrait y atterrir avec des bateaux, pour mieux les étudier. Allez Doofie, bonsoir, j'ai peur, tu sais.. Moi aussi, dit Doofie.
Pour Gwupie... et Doofie...
domino
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Les plans sur la comète : Cocorico!
Les plans sur la comète : Cocorico!
Dummie : Tu as vu, Doofie, ce qu'ils ont fait en Francie. Moi, je ne suis plus pour la rattachement de la Nordie à la Flawallie et à la Waflammie, regarde ce qu'ils ont fait.
Doofie : Moi non plus, tu sais Dummie, si on séparait la Nordie de nous, cela séparerait aussi Bêtie...de nous...
Dummie : Mais je ne parle pas de cela, Doofie, regarde ce qu'on fait les Franciens, ils ont envoyé un module lunaire sur une comète.
Doofie : Oh! Je le sais déjà, grand succès pour la Francie, le directeur de Glouglou dont la vallée du sable électronique est en train de s'enfoncer dans les sables de la Baie de Saint-François, n'a plus qu'à bien se tenir.
Dummie : Mais regarde le moteur de recherche de Glouglou,ils font de la publicité pour nous et notre technologie.
Doofie : Je parlais du directeur de Glouglou qui a battu tout seul le record d'altitude accroché à un ballon : dans les 44 000 mètres, mais après il n' a pas réussi à battre le record de vitesse en chute libre, c'est un européen qui le détient, un autrichien, à quelques km/h près, alors qu'il avait passé le mur du son!
Dummie : Et il est arrivé vivant à terre!
Doofie : Bien sûr, il avait mis deux heures pour monter là-haut, c'est mieux qu'en escaladant l'Everest et on monte beaucoup plus haut, et puis pour descendre, il a quand même ouvert son parachute avant d'aterrir à 100 km de son point de décollage. Il a fait un roulé-boulé et hop, il s'est retrouvé debout face aux gens venus le chercher. A plus de 50 ans, il faut le faire.
Dummie : Et oui, il y en a qui sont en forme à 50 ans, moi, j'ai mal aux genoux. Moi aussi. Mais pour aller sur une comète, en Francie on est les meilleurs, on est ceux qui avons envoyé le plus loin un module et l'atérrissage le plus lointain, on a mis dix ans pour le faire, dix ans de voyage...
Blödie : Il paraît que les cométiens sont déjà en train d'empêcher l'ancrage du troisième pied de l'engin.
Dummie : Oui, mais les Franciens commence le forage, tu crois, Doofie, toi qui avec ton IQ de 236 sait tout, ils vont les ramener sur la terre...
Doofie : Je n'en sais rien... J'étais plongé dans la généalogie et voilà que d'un seul coup, on me demande de m'intéresser aux astres et aux comètes. Laisse cela à ma nièce, elle voulait astrophysicienne, mais l'école à Lutèce était trop chère. Elle fait autre chose dans les mesures physiques.
Blödie (plaisante) : Elle mesure les gens?
Doofie : Non, elle mesure la densité des matériaux. Ce sont tous des scientifiques dans la famille, il n'y a que moi et une autre nièce qui avons fait des études littéraires et de langue, moi modernes et elles anciennes.
Dummie : Elles ont combien de IQ tes nièces?
Doofie : Oh bien dans les 170, un peu plus qu'Einstein!
Blödie et Dummie (ensemble) : Ah!
Doofie : Le QI est héréditaire!
Blödie : Oh! Tu vas choquer tous ceux qui sont pour le meilleur niveau pour tous.
Dummie : Et notre cousin célèbre Jules Ferry! Il doit se retourner dans sa tombe!
Blödie : En tout cas au Centre des Etudes Cométiennes, ils doivent avoir une sacrée moyenne de QI. J'ai vu une vidéo (je me suis d'ailleurs endormie en la regardant), elle durait quatre heures, et dire qu'au début sur Votre Tube Cathodique les vidéos ne pouvaient pas faire plus de 10 minutes, j'ai été obligée d'en couper en deux morceaux), ils regardent tous leur écran d'ordinateur comme cela, comme si rien n'était, on dirait que c'est comme si je préparais un cours d'allemand sur mon ordinateur. Cela a même l'air encoe plus simple.
Dummie : Tu te rends compte qu'ils sont là depuis dix ans, dans un bureau à une vingtaine en train de suivre leur voyageur automatique...
Doofie : C'est la planque quoi, comparé à l'enseignement de l'allemand en collège...
Dummie : Oui, on aurait dû faire ce métier... On aurait été plus tranquille.
Doofie (baille et boit son café) : Ah! Dans deux ans la retraite!
( Et elle s'enfonce de nouveau dans ses grimoires généalogiques. Tiens... C'était des Mormons dans ce bateau... La tante de la femme du petit cousin de mon grand-père a fait deux fois le tour de l'Amérique par le cap Horn, avant d'être jetée dans le feu par sa servante, elle était trop sévère avec elle, elle avait demandé d'aller chercher de l'eau à la source et à la petite de faire la vaisselle, mais la plus vieille servante a fait la vaisselle, elle s'est mise en colère parce qu'elle n'avait pas d'eau et la servante la poussée dans le feu.)
Dummie : C'était quand, Doofie...
Doofie : J'ai pensé tout haut? En 1858. (Elle pense tout haut : Elle était revenue avec le capitaine qu'elle avait épousé en Californie, elle aurait mieux fait de rester avec sa famille là-bas, ils ont vécu plus longtemps qu'elle, son père qui était pilote de bateau (c'est eux qui ont fondé Saint François) a remonté le Fleuve Sacrement et une autre rivière, et ensuite ils sont passés par un tas de résevoirs et ils ont passé le sommet des Rocheuses et son redescendu vers un grand lac, puis tout l'Utah, où ils ont fondé deux villes... )
Dummie : Mais le cousin de ton arrière-grand-père, il venait de où ?
Doofie : J'ai encore parlé tout haut...? De Waflammie, il avait traversé toute l'Amérique du Nord en diligence, en trois étapes, il a eu 4 enfants, le premier est né en Waflammie, le deuxième pas très loin de la Nouvelle York, le troisième chez les indiens du Kansas, et le quatrième en « California-o! Blow boys, blow for Californio ». Il était agriculteur et chercheur d'or, comme beaucoup de ceux qui ont débarqué à Saint François après les 250 passagers du bateau de la Nouvelle York. Ceux du bateau sont arrivés là-bas en 1846, vers 1850 déjà tous les chercheurs d'or débarquaient là-bas et faisaient comme eux, ils arrivaient en bateau par le cap Horn... Alors, les passagers du premier bateau qui voulaient être tranquille car ils étaient victimes de discrimination religieuse près de la Nouvelle York , ils ont voulu partir, et c'est le pilote de bateau, père de la file qui était retournée avec son capitaine à l'Est de l'Amérique qui a conduit tout le monde par le fleuve Sacramento et une autre rivère, d'abord à Nouvel Espoir, au bord du fleuve en question, plus ils ont esssayé de rejoindre leurs co-religionnaires en passant par dessus les montagnes et sont ensuite redescendu tout la vallée des lacs jusqu'à un petite lac salé où ils ont fondé une toute petite ville : habitat tout à fait américain : des petites maisons de bois dispersées dans des rues tirées au cordeau à angle droit , sous les arbres plantés dans les villes irriguées. Mis à part les grands centres villes, avec leurs gratte-ciel gigantesques et les centre-villes historiques avec leurs grandes bâtisses de bureaux, les quartiers résidentiels qu'ils soient d'une religion ou d'une autre, ce n'est que cela : rien que des rues tirées au cordeau qui ont souvent des numéros et parfois des noms, et entre lesquelles on trouve les maisons sous les frondaisons dans des espaces non clôturés, même les cimetières ne sont pas clôturés et les tombes sont dispersées sous les arbres.
Dummie : Comment tu sais tout cela? Tu es allée là-bas?
Doofie : Oui, virtuellement en suivant la Vue de la Rue de Glouglou qui ferait bien de déménager vers les collines à la ville fondée par le père de la femme du petit-cousin de mon grand-père, s'il ne veulent pas que leurs ordinateurs soient submergés par les eaux du golfe » de St François qui envahissent progressivement le Vallée du Sable Electronique. D'ailleurs les villes de Sainte Claire et Saint Joseph sont menacées.
Dummie : Je n'ai pas un QI comme le tiens, mais il faudrait faire autre chose. Comme les hollandais : construire des digues et creuser des canaux. Ainsi Vue sur la Montagne, Sainte Claire et Saint Joseph, et Vallée Ensoleillée, pourraient devenir les Venises de l'Amérique et pas l'Atlandide, comme c'est le cas maintenant!
Doofie : Allez vite, écrivons leur un mail, pour les prévenir qu'ils sont en danger...
Blödie : La Venise de l'Amérique, on pourrait en faire une exploitation touristique, Glouglou avec ses milliards de dollar a bien l'argent pour transformer leur vallée en Venise américaine!
(Doofie, Dummie et Blödie boivent leur café...)
Pour mes amies du roman-théâtre, Doofie, Dummie et Blödie...
domino
21:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les meilleures notes d'agrégation d'une bi-admissible
Mes meilleures notes d'agrégation d'allemand
Si je rassemble mes meilleures notes obtenues des années différentes, je pourrais être agrégée...
Agrégation interne |
/20 |
année |
Ecrit dissertation |
15,25 |
2012 |
Ecrit traduction |
12/20 |
2005 |
Oral universitaire |
11/20 |
2003 |
Oral didactique |
7,75/20 |
2012 |
|
|
|
Agrégation externe écrit |
|
|
Dissertation allemande |
4,5/20 |
1991 |
Thème écrit |
12/20 |
2011 |
Version écrite |
14/20 |
2011 |
Dissertation française |
5/20 |
Dans les années 1990 |
|
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Agrégation externe oral |
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Explication de textes en allemand |
1/20 |
2011 et 2012 2011 (tronc commun) 2012 (option littérature) |
Version orale + grammaire |
9,75/20 |
2011 ou 2012 |
Thème oral + agir |
12/20 |
2012 |
Thème oral : |
12/20 (9/15) |
2012 |
Agir |
14/20 (3,5/5) |
2011 |
Leçon en français (civilisation du tronc commun) |
2/20 |
2012 |
Leçon en français (linguistique) |
4,5 /20 |
2011 |
Bon, peut-être que je n'aurais pas réussi l'oral de l'externe, si on additionnait mes meilleures notes, mais j'aurais réussi l'interne quand même...Malheureusement, toutes ces notes ont été obtenues des années différentes et je me retrouve avec 5 admissibilités et aucune admission..
Et plus d'espoir de l'avoir, car prenant ma retraite dans un an et 10 mois, je suis considérée comme ayant dépassé la « limite d'âge » (notion très floue, car il n'y a pas de limite d'âge, mais il y en a une quand même) avant la fin du stage d'agrégée. Je resterai donc titulaire d'un beau CAPES des années 70, et d'un bi-admissibilité à l'agrégation, certifiée bi-admissible à l'agrégation. Hurrah!
domino
Sujets de ces notes :
agrégation interne
dissertation : Empire austro-hongrois
traduction 2005 : il y avait une version de Jelinek
oral expl texte: Discours de Bismarck
didactique : Intégration des turcs en Allemagne
Agrégation externe
dissertation allemande : Poèmes de Brecht
dissertation française : Théâtre moderne (je ne me souviens plus de l'auteur)
explications de textes tronc commun : Un discours, période 1945/90
explication de textes option littérature : Im Kreise gelaufen (Peter Weiss)
grammaire : 1) La linéarisation de l'énoncé
2) L'expression du temps.
leçon en français linguistique : ... L'énoncé ???
leçon en français tronc commun civilisation : Les tchèques dans l'empire austro-hongois : Un sujet de prédilection où j'ai eu 1/20! Na shledanou!
domino
Le jury d'extere : Elle ne comprenait pas ce que l'on disait, ele fronçait les sourcils. Mais non! elle comprenait tout, mais elle fronçait les sourcils parce qu'elle préparait sa réponse...
19:52 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, concours, agrégation