jeudi, 17 mai 2007
Deux poids et deux mesures (3)
Quand mes supérieurs hierarchiques m'attaquent, je dénonce les autres qui font pire que moi...
1) Dans lycée où j'ai travaillé dix ans, à 20 km d'endroit où je travaille, il y a un prof qui fut un ami à nous.
Ce prof, quand il ne crie pas, n'est pas respecrté. Quand il crie il est respecté cinq minutes. Et pourtant il travaille dans un lycée facile.
Quand je faisais cours dans la classe à coté, il se mettait en colère, même si les élèves ne faisaient pas de bruit (dans sa tête il devait les entendre toujours faire du bruit), à chaque début d'heure, en traitant les élèves de tous les noms possibles et imaginables, des noms que je n'aurais jamais osé prononcé.
Un jour cependant, il a été convoqué chez la CPE (niveau certifié, son soi-disant supérieur hierarchique, car il est agrégé) parce qu'il avait traité les filles de Terminale L de potiches.
Quand je faisais cours dans la classe à coté de la sienne, porte fermée, alors qu'il avait la porte ouverte et que mon bureau était de l'autre coté du mur par rapport au sien, s'il se mettait à crier en se décrochant le voix, j'avais peur et je me mettais à trembler. Ses élèves se taisaient 5 minutes, il les laissait bavarder un quart d'heure sans rien dire, à voix haute puique je les entendais et dès que sa voix était revenue, il recommençait à hurler en traitant les élèves de tous les noms d'oiseaux, et dans sa classe on recommençait au début, 2/3 minutes de silence, 5 mn de silence relatif, dix minutes de bavrdages à voix haute et re-belote, hauts cris de monsieur...
Cet homme qui injuriait ses élèves, ne se fâchait jamais sur les collègues et était un béni ouï-oui face à l'administration. S'il était un béni-ouï-ouï face à l'administration, c'est à cause de la note administrative, la note administrative sert à fausser les relations entre les professeurs et l'administration, et aussi entre les professeurs et les élèves, car à partir du moment où l'administration utilise sa force de frappe, gel ou baisse de note administrative face à un professeur qui a eu un problème d'autorité (il peut s'agir parfois d'un seul petit problème sur l'année), le professeur se sent mal à l'aise face à ses élèves et la situation empire. Dans le cas de mon collègue, ce n'est pas le cas, il rendait de menu service à l'administration comme fournir deux ou trois documents pour l'exposition d'un de ses collègues, aller faire une course pour une exposition, conduire le proviseur en Allemagne dans le cadre d'un jumelage (mais tout le monde avait peur en voiture avec lui, mais il n'a jamais d'accident, sauf des griffes sur sa voiture et on se demande comment). Et l'année après notre inspection commune il a tout de suite eu 40/40 de note administrative,
Cependant, même s'il hurle trois fois par heure (c'est à dire 3x15 = 45 fois par semaine , au point que l'on entend dans 3 à 4 couloirs, et ceci pendant une à cinq minutes à chaque fois, il était très bien vu par l'administration, et c'était aussi un peu la mascotte du lycée. On dit de lui "Oh! Monsieur NN, on ne travaille pas avec lui" - il avait un seul carnet de notes pour dix ans, là où j'avais le même carnet de notes pour un trimestre, c'est vrai qu'il faisait des économies de papier! Et de copies pour les élèves aussi! Pourtant il n'est pas écologiste. Il se vante dans l'Education Nationale où on interdit le racisme, d'être De Villieriste. Si ses élèves faisait trois devoirs d'une demi-page par trimestre, il avait beaucoup travaillé.
Bon, je vais cesser de médire sur un collègue qui restera anonyme sur mon blog.
2) Il y a pire :
Dans le collège où j'ai fait une suppléance pendant six mois, les collègues ne se faisait entendre des élèves qu'en hurlant, ça hurlait dans les couloirs, dans les classes, sur les classes des collègues, partout.... un climat insupportable. Comment voulez-vous que les élèves deviennent polis quand ils entendent toujours les profs criés.
3) On m'a dit de ne pas dénoncer les collègues. C'est le médecin assermenté que j'ai vu pour la reprise du travail qui me l'a dit.C'est très mal vu dans l'éducation nationale. C'est pour cela que je ne peux pas aller à la police dire ce que je vois souvent maintenant, et vous m'en pardonnerez, si je ne le fais pas ou si je le fais ici anonymement. J'ai vu récemment des professeurs crier sur les élèves en les attrapant par le bras, faire changer de place les élèves en les attrapant et en les secouant par le bras, ce sont professeurs hommes qui font cela, même dans les rangs de la cantine au vu et au su de tout le monde, j'ai vu des professeurs hommes ayant de la force physique secouer des filles qui refusaient de changer de place, et la fille criait ouille en se frottant le bras. Et pourtant, c'était des élèves qu'il n'aurait pas fallu brusquer si on ne veut pas qu'ils se révoltent.
Personnellement, si je faisais cela, je me ferais mal physiquement à moi-même, et j'aurais trop peur qu'on me le rende.
Donc, on arrive à un état de fait, où la violence est acceptée par l'administration, quand elle est du professeur à l'élève, mais on n'accepte pas qu'un professeur hurle de douleur quand il constate un vol (ou un changement d'objets importants de place par une autre personne) et qu'il est désemparé, seul ou presque dans l'établissement.
Cette année, j'ai entendu parlé d'un prof qui avait reçu un coup après avoir frappé lui-même un élève. Face à l'administration il a eu gain de cause, et est toujours là. Donc, son coup à lui (le premier) était autorisé (????) et celui de l'élève, non ??????
Il y a quelques années, au moment des détournements d'avion des islamistes, un de mes élèves, français, fils de principal de collège et d'une collègue de collège, avait, imitant un terroriste qu'il avait vu aux informations, allumé un briquet sous ses chaussures (qui n'étaient pas munies d'explosifs, heureusement!), je lui ai mis une heure de colle. Ses camarades ont été plaidé sa cause auprès de la CPE disant "qu'il avait rien fait, parce que eux n'avaient rien vu et que je racontais des histoires", choses qu'ils font souvent pour éviter des sanctions à leurs camarades. Cet elève qui était en première L et à qui son père avait interdit de suivre la section théâtre et qui, bon élève en collège, s'était révolté contre les adultes parce qu'on lui avait interdit de suivre la section qu'il voulait, avait écrit sur sa fiche de seconde qu'il s'interessait à toutes les religions.
Par la suite, c'est à dire quatre jours plus tard, les "délégués-je-défends-tout-à-tort-et-à-travers", sont venus me voir et ont dit :
"Vous ne pouvez pas enlever la colle à NN?"
J'ai dit : "Non!".
"Et bien Madame on dira à la CPE que ce n'est pas vrai, que vous avez menti, que vous avez rêvé, qu'il n'a rien fait", tout en disant qu'elle l'avaient bien vu. Les élèves de ce lycée faisaient souvent cela pour déstabliser les profeseurs et faire enlever les sanctions.
Je dirai, oui, mais dans ce cas là, vous ne seriez pas honnêtes, vous mentiriez.
Elles m'ont dit : "Pour ne pas mentir, on pourra dire qu'on a rien vu!" (Mais au moins l'une d'entre elles l'avait vu quand même).
Je leur ai dit :"Vous mentiriez quand même!"
Et elles ont rétorqué "Et bien non, Madame, ce n'est pas la même chose que de dire qu'il n'a rien fait."
La colle est resté, et même pire.
Pendant le même cours cependant le cas de l'élève NN empire.
Il m'a prise pour le pilote d'un avion américain. Contrairement à ce que l'élève a dit plus tard, la classe était très calme. J'étais en train d'étudier Mignons Lied dans Deutsch als Pass de Premières. J'avais passé la cassette de la méthode au début de l'heure, Les élèves filles surtout (on était dans un lycée avec une section musicale) aimaient chanter et avaient fredonné avec la cassette, c'était les élèves que j'avais eu en seconde l'année précédente qui à potentialités égales étaient les meilleures. L'élève a dit au conseil de discipline pour excuser son acte, qu'il y avait des filles qui fredonnaient et que ça le gênait. Or, personne ne fredonnait plus depuis le passage de la cassette.
Profitant de mettre un papier à la poubelle qui était sous le tableau (comme les élèves n'étaient qu'une dizaine je leur permettais de jeter leurs brouillons pendant le cours, ce qui faisait dire au proviseur que j'étais trop permissive), l'élève a soudain bifurqué et m'a tendu deux règles platifiées vers le cou, et a même touché ma grosse écharpe de laine (sur le moment quand j'ai été chez la CPE porter une nouvelle colle, la CPE qui n'a pas ri du tout par la suite, n'était pas là et la surveillante a ri en disant, "il faut que jeunesse passe". )Plus tard, l'administration ayant monté cet incident en épingle, j'ai eu un black-out complet).
Le Vendredi (l'évènement s'était passé un lundi) les élèves ont minimisé devant le proviseur la chose en disant qu'il serait resté à sa place et aurait brandi la règle vers moi de sa place. Puis, ils ont dit qu'il était à deux mètre, puis à 60 centimètres. Je me souvenais bien qu'il avait touché mon écharpe de laine en allant chez la CPE, mais une fois la demande de rapport faite (au départ, j'avais seulement donné un billet de colle), la convocation chez le proviseur pour discuter de cet incident, l'importance accordée à l'évènement, je ne me souvenais pratiquement plus de rien, c'était comme dans un rêve. Et les élèves profitent de cette situation pour minimiser la chose. Actuellement, je me souviens de "l'incident" de cette époque mieux qu'alors. L'élève a eu 10 jours de renvoi. Il a eu les "circonstances atténuantes" à cause des soi-disant fredons dans la classe. Au moment où l'incident se passait, j'étais en train d'écouter les élèves qui participaient.
L'élève n'a eu que dix jours de renvoi et parce que un mois plus tard un élève m'avait attrapé par le poignet pour regarder ce que j'écrivais, on a convoqué l'inspecteur pour voir "ce qui n'allait pas dans mon enseignement" parce que j'avais été "victime" de deux "agressions". J'ai été mise à pied sous forme de congé longue maladie obligatoire pendant 13 mois, dont le dernier mois à demi-traitement, j'ai été mutée de ce lycée par "mesure de protection", mise en zone de remplacement, où on m'a rattachée dans un premier temps à un lycée REP - Prévention violence, et où on m'a fait faire une suppléance dans un collège ZEP -prévention violence. j'étais heureuse dans ce lycée, j'y avais des élèves interessants, certes je dois dire que l'on peut faire aussi des choses interessantes en collège, mais ce n'est pas la même chose. Mon niveau universitaire de bi-admissible est plus adapté au lycée qu'au collège. Je fais actuellement une route de 35 km aller (donc 70 km par jour) au lieu de 15 km aller (30 km par jour). Comme je ne suis pas sûre de rester cle n'est pas la peine que nous achetions une autre maison en vendant la nôtre. Ce serait une perte financière et à notre âge (56 et 59 ans), se lancer dans l'achat immobilier n'est plus possible.
Dans ce cas là (dix jours de renvoi pour l'élève, mise à pied -c'est comme ça que je l'ai vécu- d'un an pour le professeur, ZEP, REP, zone prévention violence (j'avis déjà été dans ce type de collège avant d'enseigner), perte des classes d'examen de BAC et de BTS - l'élève qui avait été menaçant et la prof (moi) qui n'avait rétorqué qu'avec une heure de colle, pas assez au gré du proviseur, mais une colle à laquelle attachaient de l'importance). Qui a été le plus puni? Le coupable ou la victime ? A mon avis, c'est moi, la victime qui ai été beauoup plus sanctionnée que l'élève. Surtout psychologiquement.
Et je vous rappelle les désidératas de la médecine du rectorat :
-"Me couper les cheveux, que j'avais déjà coupé de rage après l'inspection, alors que nt l'inspection ils étaient encore d'une belle couleur et épais, mes cheveux ne sont plus jamais redevenus aussi beau".
-"Me teindre les cheveux dans ma couleur d'origine", alors qu'ils étaient à l'époque encore d'un beau châtain doré avec seulement quelques blancs, la médecine du rectorat voulait que je me les teigne en auburn, couleur que j'ai en horreur.
Demander à quelqu'un de se couper les cheveux est une atteinte au physique de la personne humaine. Regarder en Angleterre, ce monsieur qui a coupé les cheveux d'une belle blonde qui était devant lui à la caisse, il a fait de la prison(Il y a environ une dizaine d'années).
-"Cette mise en congé s'est passée juste à un moment où le premier quinquennat de droite venait de passer. S'ils veulent gagner plus de voix, il faudrait qu'ils agissent autrement. Les difficultés que l'on me fait pour retrouver un poste tout allemand, les mesquineries dont je suis victime et qui veulent me faire partir d'où je travaille et me faire brouiller avec tout le monde, salir ma réputationdans une ville où j'aurais pu plus tard obtenir un vrai poste d'allemand, tout cela, c'est le fait de gens de droite et d'extrême-droite. Les longues attentes entre les suplléances où on a l'impression d'être en Berufsverbot, (interdition professionelle), tout cela, je le vis très mal. Je n'ai pas fait de crise de nerf pendant 13 ans entre le collège de 1989 et 2002, parce que à cette époque bien que l'avis soit mitigé pour le proviseur que j'ai eu 9 années de suite, on ne m'enfonçais pas trop. Si j'ai fait une crise de nerf lundi soir, c'est senti qu'on me faisait des crasseries parce que, sérieuse, je reste longtemps le soir.
Pour le moment on m'accuse de soi-disant ne pas savoir où je mets les affaires dans ce CDI que je connais par coeur.
C'est la porte ouverte à tous les abus, plus tard on m'accusera d'avoir fait des choses que je n'ai pas faites, dictature.
Dictature des mesquins, dictature de la principale qui ne veut pas écouter ma version (pour cela mon ancien proviseur, celui du lycée où je suis restée 9 ans était plus réceptif, il m'écoutait quand même parler et ne me coupait pas trop la parole sauf une fois où il a dit "Taisez-vous!", dès que je lui dit que si on a retrouvé le matériel après la pause de midi une nuit et une demi-journée plus tard, le matériel a pu être remis pendant la pause de midi, mais je répète toujours la même chose).
Voilà pour vous parler de "Deux poids et deux mesures",
domino
09:40 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement
Le commentateur indélicat....
Vous avez vu que l'usurpateur ou l'usiurpatrice a profité d'une case à commentaires laissée ouverte pour s'introduire sur mon i-grimoire.... Et bien j'ai remplacé les commentaires outrageux par (...). Comme cela je garde les IP d'ordinateur ce qui permettra de situer géographiquement au moins (car il a 3 IP différentes) ce commentateur indélicat. Qui a déjà pris il y a une ou deux semaines le prénom de ma collègue du CDI... La connaissant, je peux bien me douter qu'il ne s'agit pas d'elle.
Par conséquent, chers lecteurs, ce n'est pas demain la veille que je pourrais ouvrir les commentaires sur cet i-grimoire.
domino
09:15 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : commentaires
En Sarkozie
Par mon cri réprimé
Par ma voix muselée
Par ma principale
De droite
En Sarkozie
Tous les symptômes
Du sarcome
De la langue de bois
Musèlent et cassent
La voix de la prof efficace
En Sarkozie
Je suis la première victime
Du symptome
Du sarcome
D'une dictature
Pas très mûre.
domino
04:20 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, sarkozie
Ma principale n'est pas honnête, ou alors elle s'est fait avoir...
Lisez mes notes précédentes, si vous voulez comprendre de quoi je parle ici.
J'ai écrit en titre : "Bizarreries dans le CDI". Oui, car depuis quinze jours environ, des choses changent de place, sans que l'on puisse vraiment incriminer les élèves. Par exemple les fiches de CDI des élèves avaient été empilées au bout d'une étagère, alors que d"habitude elles y sont étalées et classées par classe....
Mais à propos de ce rouleau de papier et des fiches que je venais de taper, voici ce qui s'est passé d'après ma principale.
Ma principale pense que j'ai eu une attitude anormale. Aujourd'hui pendant que j'étais allée à l'université, j'ai reçu un avis de lettre recommandée que je ne pourrai aller chercher que Vendredi, et encore en arrivant en retard car la poste n'ouvre qu'à neuf heures (ma principale veut me revoir pour continuer à me faire travailler illégalement en documentation) car demain c'est férié.
Mais voilà ce qui est anormal pour ma principale. Après que je sois partie Mardi matin (un peu après 11h), ma collègue est allée comme d'habitude prendre son repas de midi à la cantine. Je vous rappelle que ni la surveillante ni moi, n'avions trouvé l'énorme rouleau de papier-tableau le lundi soir, ni ma collègue ni moi n'avions trouvé ce rouleau le mardi matin, or, ce rouleau est réapparu le mardi après-midi avec les papiers de l'exposition dedans, chacun sachant que tout surveillant et tout agent d'entretien possède un passe pour entrer dans toutes les pièces du collège dont le CDI. On n'entre pas avec ce passe par la porte principale du CDI qui nécessite une clef spéciale, mais les deux portes de la salle de lecture, et la porte arrière du CDI s'ouvrent avec ce passe. Comme ces deux pièces communiquent intérieurement, vous avez tout compris. La clef spéciale de la porte d'entrée du CDI censée limiter le nombre de visiteurs, ne sert pas à grand chose, vu que par les autres portes toute personne possédant une clef d'une autre pièce entre comme dans un moulin.
Vous avez compris comme moi, le rouleau de papier avec tout ce qu'il y avait dedans a été sans doute remis dans le CDI pendant que ma collègue mangeait à la cantine.
Mais ce rouleau de papier-tableau revenu a pour ma principale toujours été là.
La principale qui m'a bien dit que c'est moi qui n'aurait pas su ce que je faisais et que c'est moi qui aurait mis machinalement ce matériel à sa place habituelle. Or, la place habituelle du gros rouleau de papier n'est PAS une armoire ou un haut d'armoire. Je ne trahirai pas sa place habituelle, mais ce rouleau est trop gros pour être mis dans un rayonnage, les armoires métalliques étaient fermées à clef et les clefs en sont d'un maniement difficile, donc si j'avais mis du matériel dans ces armoires, je m'en souviendrais, car on met parfois longemps à refermer l'armoire. Et ces fermetures d'armoire se font sentir jusque dans les doigts. Par contre, on peut mettre les rouleaux au dessus des armoires, mais les dessus d'armoires sont hauts, intteignables sans monter sur une chaise, et moi trop lourde pour monter sur l'une d'entre elle. Si j'étais montée sur une chaise pour atteindre le haut de l'armoire, je serais peut-être tombée avec la chaise et je l'aurais senti passer. Donc, sur l'évènement principal , la principale a menti ou n'a pas réfléchi :
1) que je pouvais rien mettre aussi vite dans l'armoire à cause des clefs trop longues à manipuler à cette heure et,
2) que je ne pouvais pas monter sur une chaise pour mettre quelque chose en haut de l'armoire.
Le fait qu'elle m'accuse d'avoir crié pour rien et de façon "anormale" (c'est le grand mot des chefs d'établissement et de la médecine du rectorat), parce que c'est moi qui n'aurais pas mis le papier à l'endroit où je pensais l'avoir mis, est une erreur de sa part, puisque je me souviens très bien avoir étalé sciemment le papier sur la table (mais cela personne ne peut le savoir à ma place, puisque j'étais seule), avec les feuiles que je voulais coller aux emplacements voulus, préparant ainsi les feuilles pour le lendemain.
.Une erreur ou une malhonteté ?
Ma principale a déjà écrite uine lettre bassement administrative au rectorat, mais ne veut pas reconnaître l'erreur qu'elle a faite.
La principale est plus jeune que moi, elle est en pleine forme physique et n'a même pas réalisé, si ma collègue a trouvé le rouleau de papier-tableau en haut de l'armoire, que je n'ai pas pu,- même sans savoir ce que je faisais, comme elle le prétend -, mettre ce rouleau de papier là-haut, car je suis d'une part trop petite, d'autre part trop lourde pour monter sur une chaise que je ferais craquer s'il me venait seulement à l'idée de monter sur une chaise qui glisse d'un coté. Ce serait la chute assurée.
Pour mettre le rouleau dans l'armoire derrière le bureau, il faudrait le tordre ou l'écorner. Le papier ne serait alors plus utilisable pour une exposition.
Bon, j'aurais soi-disant, d'après la principale, eu un comportement déliquescent pour avoir crié au secours après avoir été victime d'un vol ou d'une malveillance, je dirais plutôt une malveillance, c'était totalement anormal de crier ainsi après un choc du à une espèce d'agression, car une malveillance est une agression.
Chacun sait s'il a lu le livre d'Hirigoyen, que faire disparaître le matériel de travail de collègues harcelés, fait partie des techniques de harcèlement. En remettant ensuite les choses à leur place pour dire "Elle a rêvé!" ou "Elle a mal cherché". C'est aussi une technique des maris envers leurs femmes. "Tu ne sais plus ce que tu fais" et si la femme s'énerve en cherchant "Tu perds tes nerfs!", "Tu es anormale!".
Mettre le patron ou le supérieur hierarchique de son coté en orchestrant bien la chose pour faire croire que c'est l'autre qui ne sait plus ce qu'il fait, est une technique de harcèlement moral, passible pour ceux qui le font surtout de connivence de 2 ans de prison. Pour ceux qui soutiennent le harceleur aussi.
J'ai beau le savoir, mais quand je suis victime de ce genre de "crasserie", au bout d'un certain temps, je craque quand même.
Maintenant il s'agit peut-être d'une affaire politique, parce que l'Europe (il s'agissait de matériel pour une expositions sur les pays d'Europe du Nord et de l'Est), tout le monde n'aime pas.
De la part de la principale, insister tant sur cette histoire, et continuer à me harceler avec cette histoire au lieu de ne plus en parler, est du harcèlement. Quand quelqu'un fait une crise de nerf, le meilleur moyen d'en guérir est de continuer ses activités normalement, en n'en parlant plus.
On est dans une société qui n'accepte plus le cri et les pleurs,
Pas plus qu'elle n'accepte le chant du non professionnel s'il n'est pas dans un groupe comme une chorale
Or, crier, pleurer ou chanter, c'est s'extérioriser, c'est une soupape de sécurité.
Laissons le droit au chant, aux cris, aux pleurs,
Ne considérons pas comme malades les gens qui pleurent ou qui crient
On est dans une société qui n'accepte plus que l'on crie sa douleur,
On est dans une société qui sanctionne le cri de détresse ou l'appel des victimes.
Ma principale a dit que je serais soi-disnt malade. Elle me déçoit.
Comme demain c'est férié, je continuerai à vous casser les pieds avec mon histoire.
domino
00:50 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, harcèlement moral
mercredi, 16 mai 2007
Fautes de frappe
Excusez les fautes de frappe, je les corrigerai plus tard, car je m'endors sur l'ordinateur.
domino
01:58 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : i-gimoire
mardi, 15 mai 2007
Goujaterie...
Je vais vous expliquer ce qui s'est passé lundi soir, sinon vous n'allez rien comprendre de ce qui s'est passé ce soir là, car j'ai interrompu ma note (Bizzareries au CDI, note à laquelle celle-ci fait suite).
Comme je vous le disais deux notes auparavant, j'avais bien tout fermé l'ordinateur et l'imprimante dont je m'étais servie pour taper un texte pour l'exposition, et j'avais apporté ce que je venais d'imprimer dans la salle contigüe, la salle de lecture où nous venions d'installer les grilles d'exposition (une heure auparavant). J'ai rangé tout ce que j'avais laissé sur les 3 tables en faisant du découpage et du collage en petit matériel : ciseaux, colle, stylos, feutres, etc... J'ai installé le rouleau de papier-tableau (paper-board) sur une table, bien déroulé et mes feuilles imprimées dessus pour rassembler le matériel, vec des textes prêts à être collés sur les grandes feuilles le lendemain matin, jusque là j'étais très calme, très sereine et presque heureuse. Je n'ai jamais eu l'intention de les ranger ailleurs, car comme je revenais tôt le lendemain matin, ma collègue TZR de français et responsable du CDI s'étant déjà servie de cette table pour entreposer une exposition de français, j'ai pensé que je pouvais me servir de la même table pour poser ce qui attendait de mon exposition).
Je suis allée à l'ordinateur du bureau du CDI pour l'éteindre. Comme il est assez récalcitrant, j'ai du attendre un peu je me suis assise devant lui et son message d'"erreur fatale" qui n'était pas fatale du tout, puisqu'il s'est rallumé normalement le lendemain et c'est juste à ce moment qu'au lieu de la concierge est passé un homme que j'ai identifié depuis comme étant le jardinier du collège. Il m'a dit qu'il remplaçait la concierge pour son tour du soir, et que je devais me dépêcher de partir.
Après que l'ordinateur se soit éteint, j'ai fait comme à l'accoutumée le tour du propriétaire du CDI, et là -stupéfaction !- le gros rouleau de papier et les feuilles imprimées que j'avais posé sur une table de la salle de lecture deux/trois minutes avant n'étaient plus là. Je me suis dit : "Je ne rêve quand même pas, je suis sûre de les avoir posés là il y a deux miinutes!" Comme ces rouleaux sont suffisamment grands pour qu'on les voit bien, j'ai fait 3 fois le tour de la salle de lecture et du CDI pour les retrouver. Et non, ce matériel qui devait me servir ce matin avait disparu. Sans aucune explication donnée par la personne qui les avait pris.
Comme il y a quatre porte au CDI, une à chaque bout de chacune de ces deux anciennes salles de classe; j'ai pensé que quelqu'un avait ouvert avec une clef l'une de ces portes qui étaient fermées auparavant et avait pris le rouleau.
C'est là que j'ai essayé à défaut de pouvoir rattraper l'homme de service (le jardinier, en fait) parce que je ne cours pas assez vite (il n'était déjà plus dans le couloir), j'ai crié en détachant bien mes syllabes pour qu'il l'entende : Pou-vez vous m'ap-por-ter-ra-pi-de-ment-le-rou-l'eau-et-les-feuilles-de-l'ex-po-si-tion. et-que-je-ne-pou-vais-sor-tir-du-col-lège-tant-que-le-pa-pier-n'é-tit- pas-re-ve-nu.
J'entendais que l'ouvrier passait et repassait dans le couloir d'en haut. Je croyais que tous les élèves étaient partis et que j'étais seule avec lui dans le bâtiment , c'est pourquoi je me suis permise de crier après lui. Mais il n'est pas venu. Ensuite, je l'ai vu dans la cour. Je lui ai fait signe de la fenêtre de venir et j'ai continué à crier à m'en décrocher la voix (que je n'ai pas retrouvée depuis), qu'il devait venir pour voir s'il n'avait pas vu qui avait pris ce matériel (toutes les apparences font penser à lui, mais je ne suis pas le commissaire Maigret, et c'est peut-être aussi quelqu'un qui est passé derrière lui, pour faire croire que c'est lui, peut-être aussi qu'il pensait que j'étais déjà partie, peut-être que quelque chose aurait disparu dans l'autre partie du CDI, celle où j'étais, si je n'avais pas été là, et si je n'avais pas fait du foin sur cette disparition ensuite), et d'après la description des évènements que j'en ai fait à ma collègue ce matin, elle pense que c'est quelqu'un qui a fait cela, pas pour voler, mais pour m'embêter et elle pense aussi à un adulte et toutes les apparences montrent que cela doit être lui qui a pris le rouleau, les feuilles et le plan de l'exposition (de son début tout au moins). Mais je peux me tromper et publiquement, je ne l'ai pas accusé. Toujours est-il qu'il a passé sa tête par la porte du CDI, une ou deux minutes après que j'ai vu le matériel disparu pour la dernière fois et je me suis aperçue de la disparition du matériel une minute après son passage.
Quelqu'un est monté ensuite, près m'avoir entendu crié, mais ce n'était pas un ouvrier mais une surveillante (N.), j'étais étonnée de la voir là, parce que tous les soirs on me faisait croire que j'étais la dernière à rester dans le bâtiment. En fait, elle m'a dit qu'elle faisait l'étude à l'autre bout du bâtiment (donc, on me mettait dehors à 17h 45 tous les soirs alors que les élèves restaient plus longtemps, peut-être jusqu'à 18h 30/19 heures. Il n'y a pas de porte entre le premier étage et le deuxième, ni au milieu du couloir, car le collège n'est pas très grand, donc on pouvait accepter que je reste plus longtemps, au moins aussi longtemps que ces élèves en étude).
Alors, cette surveillante qui m'a touvée en larmes (c'est sûrement elle qui a mouffeté auprès de la principale), en train de tourner en rond dans le CDI à la recherche de ce gros rouleau de papier qui aurait du crever les yeux, m'a demandé ce qui se passait. Visiblement, elle ne comprenait pas toutes les réponses à ce qu'elle m'a demandé . Elle m'a demandé par exemple si ce n'était pas ma collègue qui l'avait emmené alors que celle-ci était partie une heure et demi auparavant, alors que cela faisait encore 1/4h seulement que j'avais étalé moi-même ce rouleau de feuilles sur la table, deux ou trois minutes avant de constater sa disparition. Et environ 10 à 13 mn que j'avais constaté sa disparition au moment où la surveillante est entrée après que j'ai crié "Au secours!" et "Au voleur!" (sans accuser personne).
Avant de partir, j'ai mis une feuille "Ne pas démonter" sur les grilles d'exposition qui n'étaient pas remplies de documents, et la surveillante m'a aidé. J'ai mis des affiches sur les tables : ne rien bouger et ne rien prendre de ce qu'il y a dans le CDI et sur la table où était l'exposition ironiquement : "Ne pas enlever l'exposition qui était ici!", avec "était" sciemment au passé. Sur l'une des feuilles sur laquelle j'ai écrit "Ne pas bouger ce qui est dans le CDI", j'ai écrit au dessus "Pour le personnel de service".* Ceci pour qu'on n'enlève pas d'autres affaires, en croyant bien faire, pour débarasser.
Bon, je suis partie sans plus d'incident, au regret de ne pas avoir retrouvé le bien du CDI.
Ce matin, j'ai téléphoné prudemment à ma colègue qui était déjà au CDI pour lui annoncer la situation. Et lui demander si elle n'avait pas revu le rouleau de papier et ce qu'il y avait dessus. Elle donnait un cours de français au CDI (une moitié de classe qu'une collègue lui avait prétée), mais a regardé quand-même : toujours rien n'était revenu. Elle m'a dit que pour l'exposition je pourrais employer le papier qui était sur le trépied, qui lui servait de tableau, mais je lui ai demandé si elle en aurait assez jusqu'à la fin de l'année pour ses cours.
Le CDI a déjà épuisé tous ses crédits pour l'exercice 2007, c'est à dire jusqu'en décembre 2007, mais ce n'est pas moi qui ai fait les commandes. Beaucoup d'abonnements n'ont pas pu être renouvelés. On avait 2000 euros de crédits pour le CDI pour toute l'année, ma collègue qui est prof de français a acheté beaucoup de livres de littérature de jeunesse d'occasion.
Ma collègue pense aussi que prendre ou voler un rouleau de papier-tableau (paper-board) et des textes d'exposition, c'est pour embêter son monde et pas pour s'en servir. Car ces objets n'ont pas une très grande valeur. Celui qui aurait vraiment voulu voler pour prendre quelque chose de cher, aurait pris un ordinateur. Le coupable doit être quelqu'un qui ne m'aime pas. Et pas quelqu'un qui vole pour voler.
Quand je suis arrivée au collège, je n'ai pas eu de problèmes d'emblée. On a discuté avec ma collègue (je lui avais téléphoné avant) de ce que j'allais faire pour le vol de la veille au soir. On a décidé que je téléphonerai à la principale à partir du téléphone interne. Quand j'ai eu la principale au bout du fil, elle a à peine écouté quand je lui ai parlé de vol au CDI, en parlant doucement, elle m'a dit d'un air péremptoire et en criant, ce qui a coupé net toute communication réelle possible, "C'est justement à ce propos que je veux vous parler", quasiment comme si je me serais volée moi-même (mais parfois ma principale sourit en criant, mais au téléphone on ne s'en rend pas compte). Comme si ce serait moi la voleuse! Pourquoi irais-je voler mon propre matériel de travail, alors que j'en avais tant besoin? Ce serait ridicule. Je lui ai dit : "Mais enfin, Madame, "ce n'est pas moi qui ai volé, il y a eu un vol dans le CDI et c'est quelque chose de très grave." Elle voulait peut-être me parler des appels d'hier mal perçus par la surveillante et l'homme de service (le voleur peut-être?), qui ont semé le trouble et fait peur à ces chérubins qui étaient à l'autre bout du bâtiment à un autre étage.
Mais vous savez tous comme moi, et cet adage est bien connu et m'a été répété par mon collègue d'allemand, monsieur JE SAIS TOUT dans le lycée où je suis restée dix ans :
ON NE FAIT PAS DE REMOUS DANS L'ENSEIGNEMENT FRANçAIS, C'EST TRES MAL VU.
(Et les réactions bizarres de certains profs bloggueurs sur cet i-grimoire tendent à me le prouver.)
*
Voici mon jugement sur ma principale :
1) Elle crie toujours sur les élèves et beucoup plus que moi, elle vocifère, et me reproche de crier une seule fois dans l'année.
2) Si elle avait dit gentiment quand je lui ai signalé le vol dans le téléphone interne, "Ah bon, et bien vous venez me voir et on va essayer de retrouver le rouleau de papier", cela m'aurait rassurée et j'aurais pu discuter avec elle. Elle n'a pas trouvé les mots qu'il fallait pour que je ne m'en aille pas. Elle a crié et rompu de ce fait toute possibilité de communication. Je suis quelqu'un sur laquelle il ne faut jamais crier, sinon, je m'enfuis.
Devant tant d'incompréhension, de gougeâterie, de mesquinerie de la part de l'administration, il ne me restait plus qu'une solution, m'enfuir loin du collège. Je suis rentrée chez moi en ramassant en route mon époux qui ne travaille pas le mardi, mais m'accompagne pour que je ne sois pas toute seule sur mes 35 kilomètres aller et surtout retour (en tout 70 km en pleine campagne) tout l'hiver pendant la nuit surtout, mais c'est l'été et il vient par habitude et au cas où je m'endormirais en route).
J'ai dit au téléphone à la principale qui si elle le prenait comme cela, elle m'avait vu pour la dernière fois. Et pourtant au début de l'année je m'entendais bien avec cette principale, mais nos relations se sont dégradées lorsqu'elle a pris connaissance de mon dossier où on me reprochait à moi qui suis toujours gentille et souriante, des rapports "conflictuels" avec les collègues. J'ai connu des profs hurleurs, des profs qui disaient leur vérité aux administrations à longueur d'année qui n'étaient jamais attaqué par l'administration, bien qu'étant toujours à longueur d'année en conflit avec l'administration, ils avaient toujours d'excellentes notes administratives. Ce sont souvent des syndicalistes auxquels ils n'osent pas s'attaquer. Deux poids et deux mesures comme je vous l'ai toujours dit.
[Prenthèse : Update 20/5/07 : Les dossiers devraient rester au rectorat ou au ministère et ne jamais être donnés aux principaux. On ne devrait leur donner que les choses principales : tant qu'il y a des notes, note administrative et note globale de l'année précédente sans les B, TB, AB et sans l'appréciation, ce qui permettrait d'avoir TB d'un seul coup, car si ma principale n'avait pas vu ma note de l'année précédente j'aurais eu trois TB. Ils se laissent influencer. Les principaux et proviseurs ne devraient jamais avoir accès complet, sinon il n'y a aucun moyen de remonter la pente pendant toute la carrière. Comme autre renseignement, on ne devrait leur donner que des coordonnées générales, échelon, qualité, matière, ancienneté,) et même pas la liste des établissement où l'on a été avant, car certains se renseignent par téléphone. Ce sont de toutes façons ces dossiers qui font la malheur de l'enseignement, car un enseignant sur lequel le chef d'établissement a des préjugés (cela se sent), se sent mal à l'aise et enseigne mal.]
Comme je l'ai toujours dit, il y a dans l'éducation nationale française, gougeâterie, mesquinerie et petitesse, étroitesse d'esprit et couardise. Voilà ce que j'en pense. Et je le dis HAUT et FORT, car c'est ce que je vis au quotidien depuis plus de trente ans.
J'ai dit à ma principale que en tant que professeur bi-admissible en allemand (qu'est ce qu'était ma principale avant d'être principale, PEGC?) le service en CDI était basé sur le volontariat et que je mettais aujourd'hui fin à mon volontariat en CDI et que si elle me trouvait des heures d'allemand à faire, elle n'avait qu'à me rappeler. En fait, elle n'avait pas le droit de m'employer en CDI sans mon accord. Or, elle n'a jamais sollicité mon accord. Au début de l'année, elle m'a fait miroiter des dédoublements de classe de mon collègue d'allemand (qui a 19 heures + des heures en primaire, mais ayant déjà travaillé avant dans cette ville, il connaît mieux les ficelles) et de l'EILE en primaire. Je n'ai jamais rien vu arriver de tout cela. Elle m'a dit "En attendant allez au CDI", et je n'ai jamais vu se terminer l'attente.
Ceci dit : Vive la France et son enseignement pourri !
domino
(Dans quelques jours nos revenus vont peut-être diminuer de plus de la moitié (je gagnais plus que mon mari), avec les impôts à payer sur les deux salaires et ensuite, je 'n'aurais peut-être plus droit à ma retraite de fonctionnaire, alors que je suis fonctionnaire depuis plus de trente ans.
Merci les fabriquants d'i-grimoire , grâce aux i-grimoires on peut dire ce que l'on pense d'un système en faillite.
Update 20/5/07
*Peut-être que si je ne l'avais pas appelée, la principale n'en aurait plus parlé. Elle vit dans un autre bâtiment, et ne vient que rarement ici. Si on ne mange pas à la cantine, comme c'est le cas pour moi depuis février, elle ne sait même pas si on est là ou pas, c'est sa secrétaire qui nous ouvre si on arrive quand le portail est fermé, mais elle a ses fenêtres de l'autre coté.
*(2) J'ai appris à mes dépens Vendredi matin que c'est cela que les personnels de service n'ont pas apprécié, ce sont apparemment les techniciennes de surface (traduisez femmes de ménage) qui ont trouvé cela le mardi matin avant que ma collègue et moi, nous n'arrivions, et elles l'ont pris pour elles, alors que ce sont des personnes avec lesquelles je m'entends bien d'habitude et qui ne bougent jamais rien de ce qu'on prépare. Ces feuilles ont été mises dans mon dossier. C'est vraiment faire des histoires pour rien. J' ai dit à la principale qu'il n'y avait pas d'injures sur ces feuilles. Et que je ne comprenais pas pourquoi, ils s'étaient vexés, d'ailleurs la surveillante N. n'a pas vu de mal non plus à ce que je prévienne par affiches localement limitées qu'on ne touche pas à mon travail.
23:50 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eneignement