samedi, 06 mars 2010
Retraités actifs
Pour faire des langues vivantes en primaire on a d'abord songé à faire venir dans le primaire plusieurs types de pesonnes :
- les professeurs du secondaire (c'est ainsi que j'ai été amenée à farie une demi-journée dans deux classes de primaire, alors que j'étais professeur de lycée),
- des anciens MA de langue au chomâge, dont certains sont devenus intervenants en langues dans le primaire à temps complet,
des intituteurs eux-mêmes (avant la création des professeurs des écoles, ils s'appelaient comme cela, l'instit" étant une institution en France!), qui avaient appris cette langue dans leur jeunesse et en avaient gardé de bons souvenirs. Généralement les enfants de ces instit- là et leurs élèves peuplaient les classes de 6ème et 5ème LV1!
- parfois des étudiants en langue...
Puis on a songé à institutionaliser la chose, on a fait venir des inspecteurs pour voir si les instit' enseignants les langues vivantes dans leurs classes étaient compétents ou non.
Puis on a créé une "habilitation en langues" pour les professeurs des écoles qui souhaitaient enseigner les langues vivantes en primaire.
Puis on a décidé de rendre la chose obligatoire pour les professeurs des écoles, les obligeant à se spécialiser dans une langue vivante, pour l'enseigner à leurs élèves, rendant le CLES (Certificat en langue de l'enseigenement supérieur, qui se passe à 3 niveau, B1, B2 et C1)obligatoire pour l'entrée en 2ème année d'IUFM pour les professeurs des écoles qui enseigneront les langues en primaire, sauf bien sûr s'ils ont une licence de langue).
L'avenir de l'éducation nationale prévoit que les professeurs des écoles enseigneront eux-même dans leur classe une langue vivante.
Mais il y a une catégorie d'intervenants possibles auxquels on n'a jamais pensé : Les pauvres profs de langue retraités qui n'arrivent pas à joindre financièrement les deux bouts.
Ne serait-ce pas pour les plus jeunes d'entre eux (ceux entre 60 et 75 ans, mais je connais des retraités de 80 ans bons en langue, qui deviendraient vite l'idole des enfants...), à la fois un bon moyen de maintenir leurs neurones en bon état, et une source supplémentaire de revenus non négigeables par ce temps de crise. Il faut savoir qu'en rapport salaire/niveau d'études atteint, les professeurs font partie den France des plus bas salaires.
Il suffirait qu'ils fassent deux à trois heures par semaine et qu'ils soient rémunérés selon leur dernier grade et échelon atteint. Evidemment cela coûterait plus cher au gouvernement, mais les retraités sont des professeurs expérimentés, et ils auraient peut-être plus d'autorité que les jeunes qui sauraient aussi qu'ils ont été des professeurs de collège ou de lycées renommés. Pour augmenter leur aura, leur notoriéré et leur autorité.
Il ne faudrait pas qu'ils fassent des routes trop longues pour ne pas être stressés par les routes (le stress amenant une dégénérescence du cerveau, qui au contraire devrait être stimulé par cette acrivité) et veiller à ce qu'ils soient respectés, pour qu'ils ne subissent pas de stress suplémentaires.
Bien sûr, il faudrait qu'ils soient volontaires, mais payés.
Lorsqu'un professeur âgé s'en va en retraite, on entend souvent dire : "Ah! C'est dommage qu'il s'en va!" Pour les veils instits, c'est pareil. Ce serait bien pour les professeurs de langue aimés et appréciés. Dans ce cas et s'ils ont une bonne notriété, il faudrait qu'ils restent dans le coin où ils ont enseigné.
domino
10:59 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : éducation, enseignement, langues vivantes, langues vivantes en primaire
vendredi, 05 mars 2010
Economies
Auparavant j'étais sur des postes fixes et ma note administrative augmentait régulièrement.
Depuis que je suis TZR, elle a augmenté de 0,1 en 7 ans.
La seule fois où ma note a augmenté c'est quand j'ai passé toute l'année à aider ma collègue TZR de français en documentation.
A chaque fois que j'ai fait des remplacements dans ma matière, ma note n'a pas augmenté. Et cette année, malgré tout le mal que je me suis donné dans la neige et en prenant les transports en commun à des heures très matinales et très tardives (pas de car avant la fin des classes, donc obligation de rester sur place quand je n'avais plus cours).
Cela ne veut dire en aucun cas que je serais meilleure documentaliste. Mais cela veut dire :
1) Que l'académie a besoin de documentalistes mais pas de profs d'allemand, alors on décourage les vieux profs d'allemand de le rester.
2) Que l'état veut faire des économies : non seulement le gel de la note ralentit l'avancement, mais le fait d'inciter des professeurs qui pourraitent réussir l'agrégation de leur matière à partir en documentation, une matière où il n'y a pas d'agrégation, bloque les carrières également, car au 11ème échelon où je suis arrivée, il ne me resterai dans ce cas, que la hors-classe, que je ne peux avoir en allemand, faute d'inspection récente en allemand. Donc, à moins de devenir agrégée un jour, mon avancement est bloqué.
TZR 11ème échelon des bi-admissibles, je coûte cher aussi à l'Etat quand je fais des remplacements, les frais de déplacement et les heures supplémentaires étant plus chers que pour un MA ou qualqu'un situé à un échelon moins élevé, c'est pour cela qu'ils utilisent pour les remplacemeents des profeseurs plus écononiques.
Des économies pour l'Etat.
domino
06:53 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 04 mars 2010
Rattachements et assurances
Dans l'éducation nationale il y a deux types de remplaçants, les auxiliaires en obligation de réemploi et les TZR.
Les auxiliaires doivent en principe effectuer un service de rattachement quand ils n'ont pas de remplacements et quand ils ont des remplacements ou des postes à temps partiels, effectuer des complémens d'horaire en Centre de documentation ou dans d'autres matières que leur mantière d'étude (on suppose que les auxiliaires sont toujours étudiants, puisqu'en principe pour sortir de leur statut d'auxiliariat, ils passent le CAPES. (Un problème se posera pour eux pour passer le CAPES à partir de l'année prohaine quand celui-ci va se préparer uniquement en IUFM).
Les titulaires en Zone de Remplacement ou TZR sont de deux sortes (vous choisissez la sorte de remplacement à effectuer lors de votre demande de mutation sur la Zone de Remplacement, celle-ci pouvant être effectuée lorsque vous avez bénéficié d'une suppression de postes par exemple, il est difficile, une fois le choix effectué, de changer le choix du type de remplacement) :
- ceux qui font des remplacements à l'année : il sont nommés sur un poste vacant pour un an, par exemple sur le poste de quelqu'un qui est en CLM, CLD ou disponibilité pour toute l'année. Si ce poste lui plaît et que la personne ne revient pas, il est possible que le TZR se fasse ensuite nommer en poste fixe dessus (ce qui est arrivé au collègue de mon collège de rattachement).
- ceux qui font des remplacements de moyenne durée (comme moi).
(ne parlons pas de courte durée, celle-ci étant mal intérprétée par les syndicats : professeurs d'un établissement faisant des remplacements à l'interne des professeurs malades quelques jours, cette idée, chère aux allemands (les fameusesVertretungen qui donnent un surcroît brusque de travail aux professeurs), ayant été balayée).
Lorsque vous faites des remplacements de moyenne durée, vous remplacez les professeurs malades pour d'assez courtes périodes (un ou deux mois par exemple) ou les congés de maternité (4 à 6 mois selon les cas). En principe les périodes sont de 3 semaines à 6 mois. En principe en tant que titulaire d'une matière, vous n'avez pas de service de rattachement à effectuer, sauf si vous êtes extrêmement volontaire, mais il arrive dans ce cas que les chefs d'établissement respectueux des règlementations vous renvoie à force cris chez vous, si vous vous attardez trop sur votre rattachement. En effet, en l'absence de V.S. vous n'êtes pas assuré pour des cours effectués en service de rattachement "sauvage". l'étabilissement de rattachement étant seulement chargé de gérer votre carrière. Et un V.S. ne peut s'établir qu'à l'année.
Donc, si votre collège de rattachement vous fait un V.S., il y a de grandes chances pour que vous n'ayez aucun remplacement dans l'année, et pire si ce V.S. n'est pas dans votre matière, vous n'aurez pas de remplacement dans votre matière dans l'année. Chose vraiment très ennuyeuse si vous passez l'agrégation interne de votre matière car alors lors des formations, on vous regarde en chien de fayence, et les inspecteurs de votre matière ne vous aiment pas. Et les V.S. ne se font qu'à l'année seulemnt. Sans V.S., point d'assurance "accident du travail". Bien sûr, je parle d'assurance 'accident du travail", si vous tombez dans les escaliers par exemple. C'est à dire que si vous avez un accident sur un service de rattachement sauvage, même sur le parcours, ce serait uniquement votre assurance personelle qui entrerait en ligne de compte, et ce ne serait pas considéré comme accident du travail.
J'ai eu pesonellement un accident sur le parcours d'un service de rattachement "bénévole", puique je suis TZR, il y a quelques années, et il n'a pas été condidéré comme accident du travail.
(Quand on m'a obligée à faire de la doc pendant un an, sans nomination rectorale, je ne montais pas sur les chaises et les tables, comme ma collègue pour aller accrocher et décrocher les affiches! et je suis pourtant tombée deux fois de ma chaise à roulettes, celle-ci ayant gilssé sous moi...)
En pricnipe, on peut supposer quand même que vous êtes assurés si vous allez sur votre rattachement, pour signer un paper ou aller voir votre casier si vous en avez un (personnelement, on n'a pas jugé bon de m'en faire un). Un peu comme les parents d'élèves qui vont discuter des résultats de leur enfant.
En pricnipe entre ses remplacements le TZR prépare ses cours tous asimuts et peut suivre des formations de PAF ou faire de la recherche (comme moi) et continuer à se former à l'unviersité (comme moi).
Un professeur sur poste établissement qui fait des études, peut demander à avoir sa journée de congé placée de telle façon qu'il puisse suivre ses cours, ce n'est pas le cas d'un TZR à remplacements de courte durée, qui doit accepter ce qu'on lui donne quand il fait un remplacement, se rattrapant entre les remplacements, quant il y arrive. Un désavatange à prendre en considération pour ceux qui préparent des Masters, ou des Doctorats et font des deuxièmes cursus.
En pricnipe un TZR à remplacement de courte durée, est payé de ses frais de déplacement de son collège de ratachement à son établissement. Mais il n'est pas payé des frais de déplacement de chez lui à son collège de rattachement. Pendant un an, j'ai fait un service de rattachement "sauvage" à 32 kilomètres de chez moi, sans être couverte pour les accidents du travail.
Actuellement, je suis toujours rattachée à 32 km de chez moi, dans l'une des villes de travail de mon mari (c'était prévu en fait pour faire la route avec lui, mais maintenant, il n'est plus toujours sur cette route là).
Donc, un chef d'établissement n'a pas à prednre en compte dans votre note adminsitrative le fait que vous ne faites pas de service de rattachement en baissant votre mention d'assiduité-ponctualité.
Au contraire, sur mon rattachement précédent, bien qu'on m'avait employée en fin d'année pour les surveillances de baccalauréat (mais je recevais un papier dans mon casier, m'indiquant la surviellance à faire) et aussi pour le club de guitare du lycée (mais en tant que participante, même si je donnais des conseils techniques aux éléèves), on ne m'a jamais imposé un travail particulier, et on m'a refusé un service de rattachement fixe, j'étais seulement 'tolérée".
domino
06:17 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rattachements tzr
mardi, 02 mars 2010
Le téléphone.... sonne quand il est là...
C'était vers le mileu de la deuxième moité du vingtième siècle , dans la première moitié des anées 70, que je devins prof.
Mes parents venaient seulement d'avoir le téléphone, que l'on a jamais possédé durant mon enfance et mon adolescence, tout comme on n'avait pas de télévision, parce que "ça nuisait aux études des enfants", disait mon père.
Au début je n'étais pas encore mariée. J'avais une chambre dans l"établissement, sans téléphone, mais comme j'étais toujours là, même le week-end et sauf le mercredi et le jeudi où j'allais en fac préparer mon CAPES, on n'avait pas besoin de me téléphoner chez moi, on frappait tout simplement à ma porte pour me les dire ou faire dire par des messagers improvisés ou me demandait de descendre, par exemple, si mes parents m'appelaient au téléphone. Il était dans la salle des profs, deux étages au dessous.
Puis à la fin de la première année d'enseignement Schnelly 2 et moi, on s'est mariés. (Shnelly 1 est le mari de Doofie, mon personnage de théâtre!).
On n'a pas eu le téléphone tout de suite, loin s'en faut.
Dans notre premier appartement, celui où j'habitais pendant mes deux années d'enseignement suivant et pendant le stage de CAPES (on 'n'avait pas jugé opportun de déménager pendant celui-ci, ne sachant pas où je serais nommée ensuite). nous n'avaons jamais eu le téléphone, mais des canaris apprivoisés qui prenaient leur douche sous le robinet et se posaient sur nos mains et me becqottaient comme ils le faisait à la Lotte de Werther. Depuis nous avons toujours eu des canaris juqu'à il y a deux ans, quand le dernier est mort.
J'ai fait mon stage de CAPES et mes six premiers mois de carrière de certifiée (en prenant le bus d'un LEP, car je n'avais ni permis, ni téléphone!) sans téléphone.
Quand on habitati dans cette petite ville entourée de campagne, pour téléphoner, il fallait aller à la poste, où deux grosses cabines antiques attendaitent les amateurs de dialogues à distance. Mon mari allait tout seul téléphones aux parents, le samedi matin, tant que la poste était ouverte, et moi, je n'utilisais le téléphone qu'en cas de besoin urgent. On n'avait pas de téléphone mais ce fut peut-être l'une des plus belles préiodes de ma vie.
Au milieu de ma première année de prof certifiée titulaire on a démanagé pour un autre appartement, situé à 4 km de mon collège et nous rappochant du travail de Schnelly 2 , qui pu à partir de ce moment rentrer ous les soirs.
Pour téléphoner, il fallait aller à la poste en semaine ou à une cabine, le dimanche soir. c'était Schnelly 2 qui allait le dimanche soir téléphoner de la cabine à mes parents et aux siens, puis au bout de trois ans, à ma mère toute seule. La cabine était à environ 1 km de la maison.
On n'a jamais eu le téléphone pendant mes deux premiers postes (fixes et ministériels) après mon CAPES. Le téléphone n'est apparu chez Schnelly 2 et moi, qu'au milieu des années 80. Bien sûr, les téléphones portables n'existaient pas encore.
Et ce téléphone me faisait peur. Mis à part le dimanche, quand ma mère téléphonait et qu'on entendait "Allo! Coucou! C'est moi! Maman!" (J'avais même enregisté sa voix mais les archives de la messagerie ont disparu). Il me fasait peur, car dans le troisième collège où j'étais en poste fixe, il servit par exemple à une rentrée, à faire le siege du rectorat pour savoir où j'étais, car on m'avait accordé une délégation rectorale* dans un bon lycée, qu'on m'a enlevée le jour de la rentrée car le poste était demandé par quelqu'un qui était influent dans cette ville. Si bien que j'étais d'une part remplacée par un MA sur mon poste ministériel, sans être malade, et quelqu'un m'avait brûlé la politesse sur la délégation rectorale. J'ai dû faire le sièce du téléphone du rectorat pendant toute la journée de prérentrée, pour me retrouver finalement dans le collège où j'étais l'année précédente.
A partir de ce moment le téléphone, que nous n'avions que depuis quelques années, me faisait toujours sursauter. Et encore maintenant, il me fait sursauter.
Tout cela pour vous dire, qu'on peut faire la moitié d'une carrière de professeur sans téléphone!
domino
*délégation rectorale : Une faveur que l'on pouvait obtenir d recteur, pour enseigner dans un collège ou lycée plus proche des chez soi que son poste ministériel, par exemple.
23:48 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : téléphone
Notes
Lorsque j'étais dans lycée où j'ai travaillé dix ans et même avant, on faisait des propositions de notes administratives. La secrétaire de direction vernait dans la salle des profs, nous montrait notre note, et on devait dire si on était d'accord ou pas. Si on n'était pas d'accord on demandait un entretien au proviseur pour discuter de la note.
Maintenant, elle ne me sert plus à grand chose puisque je suis au 11ème écherlon des bi-admissible, ce qui est le plus haut échelon de mon grade et la hors classe semble bien aléatoire.
Ensutie je suis passée des postes-établissement au poste ZR (Zone de remplacement!)
Mais toujours est-il que depuis que je suis TZR (Ttitulaire en Zone de remplacements), je n'ai plus à négocier la notre, on signe et basta.
Avant d'être TZR, j'avais toujours eu TB en assiduité-ponctualité. J'avais des appréciations qui allaient de "Donne toute satisfaction" à "Professeur(e) sérieux (-se) et consciencieux (-se)." Ce qui fait un peu "professeur laborieux". Je n'en étais pas très contente.
Alors, mainteant que devrais-je dire. La première année que j'étais TZR, j'ai été notée en janvier avant le début de mon remplacement, et j'ai eu "professeur sérieux et consciencieux". Et TB etn assiduité ponctualité, même si le proviseur "ne tenait pas" à ce que je reste 18 heures dans mon lycée de rattachement.
Puis l'année suivante le proviseur du lycée de rattachement a changé, c'était quelqu'un qui revenait d'un pays africain, où une guerre venait de se déclarer. Il a commencé par me trouver des noises à cause des prises de courant d'un collège voisin, soi-didant démontées par mes élèves. En réalité, j'en ai déjà partie, les morceaux de plastique trouvés par terre étaient tombés d'un buste d'anatomie en plastique (ils sagissait de poumons, de coeur, etc..) dans ce laboratoire de SVT (qui remplaçait le labo de langue où jaurais dû faire cours?) et ce n'était vraisemblablement pas mes élèves qui les avaient fait tomber.
Ce fût le déclin de ma carrière.
L'année suivante je n'eus plus de remplacement, et il ne supportait plus que je reste au CDI ou dans la salle des profs. Quand je reçus ma note administrative par la poste, elle était un peu meilleure que l'année d'avant, on n'y parlait plus de la classe de 4ème, mais l'appréciation n'était pas élogieuse. Et il y avait deux AB, mais toujours un TB en assiduité pondtualtié. Après tout j'avais accepté de leur débarasser le plancher, avec mes recherches sur ordianteur, destinée à mes collègues.
L'année suivante j'ai demandé un changement de rattachement, bien mal m'en a pris.
la note fût donner au milieu d'une année, ou contrairement à l'autre lycée, on m'obligeait à faire du CDI. Comme on m'avait fait signer un papier d'affectation en service au début de l'année, on m'a fait une note du style "Ne fait aucune heures d'enseignement, mais de la documetnation" comme si je l'avais choisi. En fait, je la faisais parce qu'on m'y obligeait.
Au bout d'un an on a compris que j'étais une TZR d'alleamnd et on m'a laissé tranquille avec la doc, en me donnant rein d'autre et mon TB en assiduité ponctualité s'est commuté en AB! Bien qu'on ne me demandait rien et que je suivais bon an mal an, force stage pour "redevenir" professeur d'alleamnd, ce que j'était déjà et encore, mais je finasisais par en douter, et de nombreux cours à l'université.
L'année dernière, on m'a appelée pour faire une remplacement dans mon collège de rattachement, hors matière, encore... Et toujorus l'appréciation "N'a effectué aucune heure d'enseignement", sans même évoqué le remplacement que j'avais fait. Alors que je n'avais jamais manqué sur ce remplacement, j'ai eu toujours AB en assiduité ponctualité.
C'est seulement cette année, que je suis devenue de nouveau prof d'allemand à part entière (je vous rapelle certifiée par concours externe, ceci depuis très longtemps, bi-admissible à l'agrégation par concours interne). Alors je me demande.... est-on seulement au courant dans mon collège de rattachement que j'ai fait ces remplacements, pour lesquels je n'ai jamais manqué. Si jamais j'ai encore AB en assiduité pnctualité et "N'a assuré aucune heure d'enseignement", on pourra s'arracher les cheveux!!!!!!!!
domino
23:04 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : note administrative
Blog disparu...
Bon, voilà qu'en republiant un article, mon blog a disparu...;
L'éducation nationale n'aime pas qu'on explique ses quatre vérités... Dépéchez vous de la faire réapparaître parce que j'ai un train à prendre dans trois quart d'heure avec 20 minutes de route pour y aller, et je dois encore me préparer pour partir. Et je ne partirai pas tant qu'il ne sera pas revenu et mon mari s'énerve et commence à crier sur moi...
On est en train de se disputer Schnelly et moi (c'est le blog de Doofie) à cause du blog qui n'apparait plus, on commence à crier et à hurler, lui qui veut que je fasse rapidement mon cartable et moi qui veut que le blog réapparaisse sur sa face visible.ut
Comme les autres blogs Haut et Fort s'affichent sur mon ordinateur, je suppose qlu'il s'agit de harcèlement moral contre mo-mêrme. Et d'un truc pour que Schnelly 2 et moi arrivions en retard.
domino
07:09 Publié dans Bizarreries i-grimoirienne.... | Lien permanent | Commentaires (0)