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mercredi, 08 juin 2011

Encore un remplacement au moment d'un examen!!!

Roman-théâtre

Encore un remplacement dans une période d'examens pour mon personnage de roman-théâtre, Bêtie, en plus un remplacement en fin d'année dans un collèges où si c'est comme ailleurs les moyennes sont déjà faites.. on dirait que mettre des remplacements sur les périodes de révisions et d'examens de Bêtie et en plus, comme cette fois-ci, des remplacements inutiles pour des élèves qui ne pensent plus qu'aux vacances, c'est fait exprès!!!!

Résumons, car cela fait un moment que je n'ai pas parlé de Bâtie;

Bêtie est TZR d'allemand. elle est déjà âgée, mais doit faire encore au minimum 5 ans pour avoir une retraite décente (les dernières années comptent double ou triple pour la somme qu'elle gagnera pendant la retraite).

Avant, Bête était sur des des postes fixes, elle a été tout un temps en collège, puis en lycée pendant presqu'une quinzaine d'années. Cela se passait bien en lycée. Mais à la faveur d'une "lesure de carte scolaire", entendez par là suppression de poste, Bettie a perdu son poste;

Alors, Adie les jurys de bac, de BTS, less petis gâteaux et cafés au rectorat pour les réunions de choix de sujets des BTS (4 heureux élus sur 3 académies), Bêtie redevient la TZR lamda, la bonne à tout faire de l'enseignement.

Bon, alors voilà Bêtie bon an mal an, qui fait des remplacements, la plupart du temps en collège, parce qu'on ne sait pourquoi, depuis sa bi-admissibilité à l'agrégation, on ne veut plus lui donner de lycéens et en plus, cette année, on se demande si elle aura vraiment le niveau pour enseigner en seconde!!! N'importe quoi!!!

Bon, au début de cette année scolaire, comme on voit arriver les 60 ans de Betie, on lui cherche des chicanes pour la mettre plus vite en retraite (et lui faire perdre la retraite décente à laquelle elle pourrait prétendre dans cinq ans, pour lui faire gagner une retraite de misèer et la faire entrer au bout de trente ans de cons et loyaux services dans l'enseignement, dans le quart monde.

Après donc des temps difficiles sur son premier remplacement où le proviseur lui cherche des noises  la fait inspectrer, inspection qui tourne mal, fait des lettres à larectrice, à laquelle la rectrice done suite en envoyant une lettre de menaces à Bêtie, l'enjoignant de prendre sa retraite au premier septembre, sinon elle prendra des sanctions administraitves si elle ne fait pas preuve de plus d'autorité.

A la rentrée du 3ème trimestre, Bêtie a un nouveau remplacement, deux établissemtns à 80/90 km de chez elle, des horaires impossibles à faire en transports en commun ce qui la fait utillisre 4 fois le taxi par semaine, deux fois entre la gare d'arrivé après un lever à 3 heres 45 du matin pour prendre le train à 5 h 21 à la gare près de chez elle et au bout de deux trains arriver à 7 h 11 dans une gare où le taxi l'emmenait en 20 minute dans un collège situé à la limite d'un département d'une autre région, qui n'est même pas limitrophe du coin où elle habite.

Pendant trois semaines, Bêtie jongle avec les horaires de bus, de tain, conacte les taxis, les confirme.

Entre le remplcament précédent et le remplacement en question, elle a passé vitorieusemtn un écrit, mais elle ne le sait pas encore. Personne ne la félicitera pour cette réussite sinon nous, Doofie, Sottie, Dummie, Blödie et Foolie et aussi son Rapidy qui lorsqu'elle lui annonce dans la nuit daigne à peine sortir de son sommeil.

Enfin, elle a de nouveau le sourire, qui est revenu après huit ans de tristesse, due aux remplacements.

Bêtie elabore un plan de révisions à la fin de son remplacement, qu'elle suit scrupuleusement, entrecoupé de cquelques périodes dédiées au ménage, aux renagements, aux classements, car depuis un an que Bâtie court en tous sens pour ses remplacements, sa maison a bine souffert.

Alors, plan de ménage et plan de révisions pour l'oral font bon ménage.

Et voilà, aujourd'hui à 16 heures 30 piles, ça tombe... Bêtie l'a entendu en rentrant de la marche qu'elle doit faire pour que ses jambes ne "gonfellent" pas, -allusion à une pièce que Rapidy et elle ont joué en patois, mais Rapidy qui ne sait pas le patois de la région faisait le faux médecin, qui a un langage châtie, alors que le mari de théâtre de  Betie, malade imaginaire, disait : Ah! M'Tiête, elle gonfelle!", bon si Bêtie reste assise par temps chaus à ses révisions ses jambes, elles gonfellent, alors, elle était pas là, quand à l'heure fatidique des 16 h 30 à 17 heures, c'est toujours à cette heure là qu'ils appellent les principaux et principales, il y a eu des messages : Eh! La TZR, on vous attends dans le collège à 40 km de chez vous, à partir du 10! Zone de Remplacement Voisine.

Bon, Bêie voulait pas le drie, qu'elle passait un écrit, entre deux remplacement, son écrit était passé inaperçu parce qu'elle en avait parlé à personne et avait dit à Rapidy de se taire et elle l'a eu. Remplcament jusqu'au 1er juillet! ça va juste tomber sur son oral! Elle ne voulait pas dire non plus qu'elle l'avait réussi et qu'elle allait passer un oral, et maintenant avec ce templacement là, elle va être obligée de demander une autorisation d'absence, alors cela va se savoir dans l'admininstration et on reisque de lui barrer la route, même si le jury la trouve au nveau.

De totue façon, sur sa convocation, c'est écrit "Présence obligatoire" et la convocation émane du ministrèe, alors le ministère a priorité sur le rectorat, donc on sera obligé de la laisser passer son oral, n'en déplaise à ses détracteurs qui cherchent à lui mettre des bâtons dans les roues, déjà en détruisant son plan de révisions;

Cela fait vingt ans que Bâtie rêve de passer cet oral, et boum, l'année où elle est admissible on lui met un rempalcement de fin d'année, alros que d'habitude elle n'en a jamais en fin d'année.

Autre ombre au tableau : le remplacement précédent s'était bien passé, alors la rectrice ne pouvait plus arguer du fait que Bêtie n'aurait pas d'auorité pour la metre en retraite prématurément. mais maintenant elle lui donne un remplacement en fin d'année, alors que les moyenes sont faites, que les élèves selon les collègues et meme selon Rapidy (qui est plus vieux qu'elle et a le droit lui de travailler, alors qu'il est certifié par liste et n'a jamais réussi tous les concours que Bêtie a réussi) sont énervés,

Bien sûr, la collègue qu'elle va remplacer, si Bêtie en croit Internet, c'ess une grande déléguée syndicale, qui va l'obliger à abandonner ses revisions pendant qu'elle va aux commissions paritaires faire passer tous els autres en hors classe sauf Bête, qui va respecgter les voeux de rattachement de tout le monde, sauf de Bêtie qui veut rester au même endroit à cause de ses dosseirs de retraite et parce qu'elle connait les collègues. Pendnat quie la collègue va installer les néo-certifiés et agrégés venant d'autres académies sur des postes lycée qui intéresseraient Bêtie, si elle réussit son oral. Et qui de toute façon empêcher Bêtie de réussir son oral quitte ou double pour qu'on ne  puisse ne pas la metre en retraite conre son gré.

Pourquoi elle fera passer tous les autres, sauf Bêtie dont on dira du mal, parce qu'on dit toujours du mal de Bêtie, ça a commencer il y a trente ans et ça dure, on dit toujours du mal des profs. Pourquoi elle metra les autres sur les bons postes, parce qu'ils ont du piston.

Mais Bêtie a décidé, même si elle n'arrivera pas à faire toute ses révsions, un train à prendre sur 35 km, puis un tramway à l'arrêt duquel elle s'est fait attaquée pour la première fois de sa vie, même en ayant vécu de 0 à 23 ans, dans une grande agglomération à mauvaiser réputtrion, pour lui voler son matéiel électronique. Le collège n'est d'ailleurs pas loin de cet arêt de tram, corespondance un arrêt plus loin puis bus sur deux arrêts. Encoer tout un périble.

Et puis, comment seront les élèves, on n'entendra pas le coq chanter dans ce milieu urbain! Elle ne pleurera pas en quittant les lieux avant de psser son oral puisqu'il est juste sur la fin du remplacement.

Elle doit comencer dans deux jours, un vendredi premier jour du remplacement (pourquoi on fait commencer des remplacements en fin de semaine, c'est en fin de semaine que les élèves sont le plus fatiqué et énervés.

La collègue se plaint sur internet que c'est le grand b.. dans son collège car il n'y a pas eu de principal pendant trois mois, pas de principal adloint pendant une semaine en même temps, c'est le CPE qui faisait tout; au téléphone, Bêtie entend une personne souriante qui oublie de raccrocher le téléphone après son message, mais elle ne sait pas qui c'est. Apparemment, elle était occupée avec un élève quand elle lui a téléphoné car ele entendait une voix juvénile en même temps. Quoique lors de son dernier remplcaement, elle a vu la secrétaire jouer à la surveillante d'un élève récalcitrant qui attendait dans son bureau que le principal ait fini de manger. Et finalement dire "Après tout, ce n'est pas mon travail!" Bêtie   salue cd'ailleurs ici ette secrétaire très sympathique. et toujours souriante.

Bon, on met Betty sur un collège difficille et en fin d'année scolaire pour lui reproche des problèmes d'autorié, et la metre en retaite contre son gré et sans toutes ses années en septembre et on veut l'emêcher de réviser pour son oral, alors que les étudiants eux sont tous en train de travailler. Et vont la doubler.

Pour Bêtie, Dominique

 

 

 

 

dimanche, 29 mai 2011

Mesure que je prendrais si j'étais ministre de l'éducation nationale...

Si j'étais ministre de l'éducation nationale (et avez vous remarqué que ce ministre est aussi ministre de la jeunesse et des associatiions, ceci depuis qu'on a découvert que mon personnage Bâtie donnait des cours  d'allemand, essentiellement au 3ème âge, dans une association, on a décidé de rendre le ministre ministre des associations, même pour celles qui ne concerne absolument pas les jeunes comme "la chorale "Dans la fleur de l'êge", des plus de 70 ans" ou l'association d'amitié des "mamies du quartier".

Bon... passons..

Si j'étais minsitre de l'éducation nationale, je prendrais les mesure suivantes :

Il est interdit de médire contre un professeur et de le critiquer publiquement. Et même en famille.

les professeurs n'ont pas le droit de médire de leurs collègues.

Les parents n'ont pas le droit de médire des professeurs de leurs enfants ni de les critiquer, après tout, ils ont tous fait de longues études pour devenir professeurs, que leurs enfants, même excelents en école primaire et en sixième n'arriveront peut-être jamais à faire.

Les élèves, quelque soit leur école, n'ont plus le droit de médire des professeurs auprès de leur camarade  même si un professeur a été chahuté il y a un, deux ou dix ans, dans l'école X Y Z, il ne le sera pas focément ailleurs, ni dans votre école, ni dans une autre. Parfois ce sont même des grands-parents qui disent : Ah! Un tel, je l'ai eu quand j'étais jeune, c'était le b.. dans sa classe, et d'un seul coup, après eu la paix pendant trente ans, il est critiqué par ce grand-père et boum.. chahuté dans la classe de son petit fils et ça refait boule de neige, même si c'éait devenu entre temps un pilier du collège ou du lycée.

Ce qui se passe dans le cas, où l'on médit d'un prof, ou qu'on le critique, alors, il ne peut plus s'en sortir.

Alors, silence et bouche cousue..; Dites à tous, tel prof, il est très bon, et tous les profs seront bons, et ceci que vous soyez élève, parent, collègue ou supérieur hérarchique; et alors tout les professeurs seront bons, il n'y aura plus de "problèmes de discipline", ou très peu.

Dire aussi des remplacçants : C'est un excellent remplaçant ou une excellent remplaçante qui arrive...

Même les parents n'auront plus le droit de dire : "Qu'il a un drôle d'air ce prof là" ou les élèves "Oh, tu as ce prof, on l'a eu l'année dernière, qu'est ce qu'il était c... "

Bon, j'en ai déjà parlé ici plusieurs fois que ce qui fait le plus de tort à l'enseignemen, c'est la médisance;

Quand j'étais jeune prof dans un collègue, j'étais respéctée, mais on disait de moi "Oh, elle organise le jumelage", " elle en fait de trop", etc..; cela aussi, c'est de la médisance.

C'est aussi pour que mes personnages de théâtre Bêtie et Doofie et leurs autres amies soeint plus heureuses que je dis cela.

Pour Doofie, Bêtie et compagnie,

 

domino

 PS Alors, les élèves ont dit : "Oui, mais aux consiels de classe, les professeurs médisent toujousr de nous, ils disent du mal de nous".

Si vous êtres élèves, les professeurs ont a évaluer votre travail et le fait que vous ne troubliez pas le travail des autres, et aussi à évaluer vos capacités, et vos résultats pour pouvoir vous conseiller au mieux pour votre avenir. Ce n'est donc pas de la médisance.

Bon, l'évaluation des professeurs est-elle de la médisance. Certaineement, quand on s'en prend à quelqu'un qui travaille bien en lui faisant toujours des appréciations  négatives.  Car on s'attaque souvent aux mêmes et souvent à des professeurs qui sont à la fois sérieux et ont des potentialités.

Et pourquoi? Parce que en France on aime la médiocrité, j'en suis de plus en plus persuadée. On aime aussi "ceux qui ne font pas de remous", on me l'a répété cent fois.

Objection : on s'attaque à ceux qui ont des capacités et travaillent en dessous de leurs capacités.

Défense  Oui, mais il y a des limites, il faut aussi que ceux qui ont des capacités économisent leurs forces pour pouvoir tenir longtemps. Avoir des capacités plus forte que le commun des vivants et se voir contraint à travailelr des nuits entières, parce qu'on vous dit que fous ne f... rien et on s'énerve sur vous en vous le disant alors que vous êtes en trains avec la fatigue d'en faire de plus en plus et de travailler toutes les nuits de perdre vos capacités, ... c'est être victime de la médisance, de la critique et voire du harcèlement.

Pour que Bâtie et mes autres personnages de roman-théâtre puissent devenir des profs heureuses.

domino

 

 

 

Et les melons et les pastèques?

Bon, il y a eu sans garantie d'oubli :

- La maladie des myrtilles cueillies dans les Vosges qui donnait une maladie cérébrale.

- La maladie de la vache folle donnant une dégénérescence cérébrale aussi. On a vu soudian moins de vaches dans les pâtures, elle commencent seulement à revenir, mais 'n'ont pas encore atteint le nombre antérieur.

- La griope aviaire (apparemment, personne n'en est mort en France, mais... les pauvres poules, canards, coqs, pigeons, oies, etc... ont été en prison pendant un an..)

- Bon, il y a eu longtemps avant Tchernobyl, mais ça ne passe jamais les murs invisibles impénétrables dressés autrour de la France.. et il y a Fukushima, il parait que le nuage est passé, mais on ne sait même plus quand..là le danger était réel, mais invisible et pas immédiat, alors ma foi, des murs invisibles protègent notre pays.

- Il y a eu la grippe A et les produits pour se laver les mains et les vaccins qui ont rendu les gens plus malades encore. Et la J Net en classe "Mademe, j'ai éternué, je peux aller me laver avec la Ginette (c'était le nom du produit J Net!)"Madame, j'ai toussé, je me suis mouché, je peux aller me laver les mains avec la Ginette?" ça a duré quelques mois! Pas le droit de leur dire non, c'était dans les textes, ils DEVAIENT se laver les mains arpès chaque éternuement, chaque raclement de gorge, et pourquoi pas après chauqe baillement?

- Puis, maintenant, juste quand j'allais commencer un régime amaigrissant dont le concmbre est un auxiliare précieux, voici la maladie du concombre!

- Adieu, les belles sihouettes longilignes dues au concombre, adieu les masques de beauté qui rendent le teint éclatant et  favorisent le bronzage!!!

Mesdames, cet été pas de concombres : vous serez empâtées et aurez le teint pas très frais!

Et il parait qu'on a déjà prévu la maladie du melon et de la pastèque... ce n'est pas assez nourissant...

Bon, allez dormez sur vos deux orrilles, surtout si vous n'avez pas mangé de concombre récemment!

Doofie, personnange de roman-théâtre

 

Pour Doofie, domino

 

mardi, 24 mai 2011

Le titre de professeur certifié enfin reconnu comme Bac + 5

Cette fois-ci, la formulation portée sur le site du ministère portant sur les conditions de diplômes ou de titres pour passer l'agrégzation externe est très claire :

"Vous devez justifier à la date de publication des résultats d'admissibilité :

- d'un master."..

(suit une autre liste de diplômes de bac + 5)

puis...

"Vous êtes reconnu justifier de remplir la condition de titre ou de diplôme pour vous inscrire au concours, si vous avez ou avez eu la qualité

- d'enseignant titulaire de la catégorie A

- ou de maître contractuel de l'enseignement privé sous contrat admis définitivement à l'échelle de rémunération des professeurs certifiés...etc..."

Donc, le "sont réputés avoir les diplômes" qui pouvait être imal nterprété (en la défaveur du candidat) a été supprimé.

 

domino

 

lundi, 23 mai 2011

Modes de prénoms

Nous qui sommes profs, nous sommes plus ou moins sensibles aux modes de prénoms et nous nous rendons compte qu'actuellement les parents semblent redoubler d'originalité et que nous trouvons des prénoms de plus en plus diversifiés. Mais certains prénoms sont à la mode depuis vingt ans, comme Emilie, ou Aurélie.

Il y a des modes de prénoms aussi selon les lieux géographiques et ces modes peuvent être très localisées. Par exemple la mode des prénoms anglais pour les garçons : Jason, Sullivan, Bryan, etc... 

Voilà, certaines modes ont marqué notre carrière, par exemple il y a eu lépoque des Chiristelle et des Christophe, il y avait cinq Christelle dans chaque classe et trois Christophe dans chaque classe, maintenant, les Christophe sont devnus des Christopher.

Il y a des modes liées à la popularité d'un chanteur, comme les Jennifer. Qui commencent à arriver en collège.

Ou d'une chanson, comme les Dominique des années 50.

En classe dans les années 60 on était entourées de Marie-quelque chose, Marie-Françoise, Marie-Pierre, Marie-France, Marie-Marguerite, Marie-Odile, etc..  et par les Monique, Colette, Chantal, Véronique, Nicole, Catherine, Christine, Maryse, Elisabeth, Isabelle,  (Cinq Christine dans ma classe!) tandis que les garçons s'appelaient François, Michel, Bernard,  Guy, ou Jean et quelque chose, Jean-Jacques, Jean-Pierre, Jean-Claude, Jean-François, Jean-Michel, Jean-luc, etc... , puis nos petits frères et petites soeurs se sont apellés Christine, Thierry, Régis, on avait déjà changé de génération.

Faisant l'arbre généalogique, j'ai remarqué que les prénoms comme Catherine et les composés sur Jean et Marie avec les mêmes deuxièmes prénoms que pour les enfants nés entre 45 et 55, étaient courants au dix-huitième siècle et à l'époque de la révolution française. Les prénoms de cette époque ne sonnent pas vieux à nos oreilles, alors que ceux du dix-neuvième siècle, sonnent vieux, car on a alors des légions de Théophile, Cyrille, Théodore, Victor, Antroinette, Pélagie, Clémentine, .Martial, ... Certains de ces prénoms sont de nouveau à la mode aujorud'hui et semblent de nouveau modernes.

Par contre les époques plus anciennes nous réservent bien des surprises. En Flandres belge, les prénoms sont enregistrés en latin jusqu'à la révolution française, et tous les prénoms masculins teminent pas -us et tous les prénoms féminins par -a, mais ils ont aussi leur version française.

Vers le 16ème 17eme siècle on toruve quantité de Aegidius ou Egide et de Hermès (un Saint Hermès local étant à l'origine de cette mode locale, semble-t-il).  mais aussi surtout des Pierre et des Henri, prénoms qui sont toujours à la mode au travers des siècles de même que Jean et Marie.  Il y a des familles où l'on trouve quantité de Joseph et de Josèphe porté en deuxième prénom, comme Marie-Josèphe ou Pierre Joseph ou Jean Joseph.

A la Renaissance, on constate une recrudescence de Léonard, mais on trouve aussi des Hermine, et beaucoup de Jacquemine et de Jacqueline, pour les hommes des Jacques ou Jacobus (traduction latine de Jacques), et aussi des Judocus et Judoca, nombreux en Flandres. Bêtie a fait des yeux ronds quand elle a découvert que certaines de ses ancêtre s'appelaient Judoca, alors qu'elle avait été Judoka dans sa jeunesse... et toujours beaucoup de Jean (Joannes en latin, Jan en flamand). Et Anne ou Anna pour les femmes est aussi très courant.

Au Moyen-Age, on trouve de nombreux Jehan, Colin, Peerse, ... les prénoms féminins sont plus rares, car moins présents sur les arbres généalogiques, car les documents répertoriaeint surtout les hommes. On trouve des Marie, des Anne et des Marguerite;

On peut dire que au travers des générations, les prénoms Jean et Marie sont les plus courants, surivis de Jacques pour les hommes et de Marguerite, Anne et Catherine pour les femmes.

Domino

 

Consanguinité

Petite précision concernant la consanguinité évoquée dans la note précédente :

1) La consanguinité est fréquente chez les nobles, et en particulier chez les rois. En effet, un fils de roi doit se marier avec une fille de roi ou au minimum une fille de duc ou de duchesse (Le titre juste en dessous du roi),  c'était le cas au moins autrefois, et par conséquent, comme les rois, les reines, et les ducs et duchesses ne courent pas les rues, ils sont presque tous parents entre eux et par conséquent les mariages consanguins sont frréquents chez les rois et les nobles. Généralement, on choisit un duc ou un prince (duchesse ou princesse) étant parent le plus éloigné possible de l'autre époux, mais ce n'est pas toujours facile à trouver et on calcule la consanguinité pour que celle-ci soit la plus faible possible.

2) J'ai remarqué dans l'arbre généalogique de Bêtie, mon personnage de roman-théâtre, que l'on retrouve souvent les mêmes noms (patronymes) sur des branches mêmes éloignées. Son gtand-père venant du Nord et sa grand-mère venant d'Alsace se sont rencontrés à Paris (qu'ils ont quitté ensuite), mais il semblerait que si l'on remonte vers les années 1300 ou 1400,, on rencontre des ancêtres de la même famille. Cela pourrait expliquer l'attirance qu'ils ont eu l'un pour l'autrte. Lorsque l'on remonte assez en arrière on voit que les branches familailes qui se sont génralement dispersées et diversifiées durant l'industrialisation du XIXème siècle, avec l'afflux des personnes vers les villes, étaient très localisées entre le XIV et le XVIIIème siècle. Seuls les protestatns fuyant les persécutions, partant vers la Suisse et l'Alsace, et les personnes ayant des fonctions importantes, comme les maires de grandes villes, ou les artistes, déménageaient et quittaient leur village ou bourgade constituant le cocon familial ou leur seigneurie à la campagne et déménageaient, s'en allant vers les grands centres. Par contre les femmes et  les artisans ou bourgeois occupant des fonctions locales, restaient dans la même ville ou allaient chercher époux dans les bourgades voisines, les familles étant restées dans des périmètres de 20 km de diamètre pendant plusieurs siècles. Donc, nos ancêtres bougeiaient peu. Et formaient d'immenses tribus, aux nombreux enfants, souvent entre 6 et 10 par femme (enfants ayant vécu), les familles se mariaient entre elles en évitant la consanguiité du mieux qu'elles le pouvaient, mais il y en avait sans doute,et certains arbres calculent même les taux de consanguinité.

Dans les villes la consanguinité semblent évitée, mais on voit souvent des frères épouser des soeurs d'une autre famille ce qui simplifiait les choses et sans doute les calculs ensuite, leurs enfants respectifs pouvant ensuite aller épouser les frères et soeurs d'une troisième famille, etc...

Par cpntre, dans les campagnes et surtout dans les vallées des montagnes la consanguinité semble très forte. Et parfois les familles émigrent dans d'autres régions aux paysages semblalbles à la leur pour l'éviter, tel cette famille de hHute-Bavière, dans laquelle on travaillait le bois, migre en partie vers les forêtes de Hesse Odenwald), où ils deviennent forestiers, mais commencent également à occuper des emplois intéressants dans les villes, et un ressortissant de cette famille migre en alsace où il devient papetier, travaillant toujours dans le bois. Une partie de la famille mirgre en Amérique au XIXème siècle où ils s'installent dans des Etats du Nord et de l'Est des Etats Unis, boisés également, dans le même genre de paysages.

Une autre partie de la même famile est originaire des Vosges, et là les arbres indiquent des taux de consanguinité et les familles du coin des Vosges situé derrière le col du bonhomme se limitent à uen dizaine de patronymes avec de nomberux mariages entre eux.

De même dans ses orrigines flamandes l'une des branches se tient dans un mouchoir de poche entre 5 villages et petites villes situés les uns près des autres. On y rencontre aussi à peu près toujours les mêmes patronymes, surtout dans les familles alliées ou par alliance. trois des patronymes de ses ancêtres réapparaissent sur des branches différentes, à des époques différentes. Deux d'entre eux, deux fois et un d'entre eux trois fois. La famille qui est étalbie dans le coin vers 1350, reste au même endroit jusqu'en 1840. Pour émigrer ensutie vers les villes textiles frnaçaises.

On bouge plus en Wallonie, passant de la région de Charleroi à celle de Namur et vers l'Ouest jusqu'à l'Avesnois, juste sur la frontière.

En remontant plus loin dans le temps, on s'apreçoit que c'est vers les années 1000 110 que les gens ont le plus bougé, en particulier les nobles partaient en croisade et souvent n'en revenaient pas. Masi avaient pris soin aupravant de laisser une dame dans leur château, entourée de quelques enfants, qui grandissaient et dont les garçons partaient eux-mêmes en croisade. C'est très évident quand on consulte les arbres généralogiques des heureux qui ont pu remonter aussi loin, presque tous des descendants de  nobles (et à ce stade on ne trouve que les coordonnées des nobles ou des lettrés, des religieux et relifigeuses dans les monastères, le simple manant ou serf, n'a pas droit à figurer sur les répertoires que l'on peut retrouver facileemnt), La descendance était généralement assurée avant de partir guerroyer au Moyen-Orient. Ce qui permet de remonter les arbres généalogiques. Les nobles carolingiens ont des arbres généalotgiques qui remontent à l'Antiquité, et sont quasiment tous descendants des mérovingiens, et de l'impératrice Galla ou d'Agripinne, et des rois de Neustrie et d'Austrasie, de Sainte Clotilde des Wisigoths (ou des Ostrogoths, ma mémoire flanche..).

Déjà vers l'an 1000 et vues les pertes en hommes dues au croisades ce qui réduisait encore la population en Europe, nous ne pouvons logiquement qu'avoir plusieurs fois le même ancêtres sur des branches différentes, car la population de l'Europe était moins élevée que le nombre total d'ancêtre qu'un européen d'aujourd'hui devrait avoir logiquement, si tous ses ancêtres étaient différents. Chaque individu actuel a à cette époque plus d'ancêtres qu'il n'y avait d'hommes en Europe.

Si l'on remonte à l'an 500, il nous faut plus d'ancêtres pour un seul individu actuel que la population mondiale actuelle. Pour qu'il n'y ait aucune consanguinité dans 1500 ans, il faudrait que chaque homme ou femme actuel soit ancêtre d'une seule famille vivant dans 1500 ans. Comme c'est impossible, il y aura forcément des ancêtres communs sur plusieurs branches pour nos descendants de dans 1500 ans. Cela veut dire que si vous avez une postérité (des enfants qui ont eux même des enfants), vous mêmes et vos enfants, petits enfants et arrière pettis enfants, serez ancêtres sur plusieurs branches de chacun de vos descendants de dans 1500 ans.

Mettons que dans 1500 ans, un de vos descendants fait son arbre généalogique, vous vous appelez M. Martin et il s'apelle D.Durant, si on a bien conservé toutes les archives, votre descendant trouvera plusieurs fois N. Martin (même personne) sur plusierus de ses branches, en remontant jusqu'à 1500 ans en arrière.

Bêtie, elle est arrivée à trouver un ancêtre à la 17ème génération de son arbre généalogique et deux à la 17-me génération, ce qui nous fait remonter vers l'an 1300 environ. Elle trouve des Perceval et des Jehan, des Colin (en flamand Colaert), jolis prénoms moyen-âgeux.

domino