samedi, 16 mars 2013
Hermès, Charles Quint, Philippe II et le Duc D'Albe
Roman-théâtre
- Doofie : Ma chère Dummie, je viens de faire une recherche et je suis tombée sur un article en néerlandais sur l'encyclopédie Klikimédia.. Ton je ne sais combien de fois arrière-grand-oncle Hermès, le frère de ton aïeule Baerbel n'était pas seulement le conseiller de Charles Quint.
Né en 1500, professeur de droit à la faculté de Louvain de 1526 jusq'à son mariage en 1537, il fut conseiller de Charles Quint seulement à la fin de son règne à partir de 1550. Ensuite, il fut conseiller de Philippe II d'Espagne... et du Duc d'Albe...
- Dummie s'exclame : Quoi???? Du duc D'Albe? De Alba du Don Carlos de Schiller? Ce vilain personnage...
- Doofie : Et oui, ma pauvre Dummie...
- Dummie : Tu aurais pu t'abstenir de me le dire... Déjà Philippe II, il n'a pas très bonne réputaion aux Pays-Bas, alors Alba... Moi, j'aurais pris parti pour Don Carlos.
- Doofie : Alva, ma chère, ça s'écrivait en néerlandais Hertoog Alva...
- Dummie : Oh! Mais que me dis-tu là...
- Doofie : En plus, c'était un de leurs amis, l'un de leurs familiers...
- Dummie : ça alors... Et mon aïeule, elle était aussi leur familière?
- Doofie : L'histoire ne le dit pas... Elle était restée dans sa ville natale, où il y a une église Saint Hermès. Son mari, le beau-frère d'Hermès, était bourgmestre durant certaines années, car la charge était élective. Ils avaient beaucoup de frères et soeurs...
- Dummie : Le bourgmestre... C'est aussi mon ancêtre... Forcément...
- Doofie : Bien sûr..
- Dummie : Mais par qui je descends d'eux, mes grands-parents du côté de mon père n'étaient pas très aisés... ? Lui état ouvrier et ma grand-mère ouvrière du textile...
- Doofie : C'est à la fin de l'absolutisme que tout a chaviré pour tes ancêtres, mais certaines branches de cette famille ont eu plus de chance. Petit à petit, les héritages se subdivisent tant qu'il ne reste plus grand chose.
- Dummie : Et le philosophe troubadour catalan ?
- Doofie : Là, tu descends directement de lui par ta grand-mère paternelle.. Les deux femmes qui t'offrent ces ancêtres sont ton arrire-arrière grand mère du côté de ton grand-père paternel et ton arrière grand-mère du côté de ta grand-mère paternelle. Qui avait une ancêtre sur sa branche féminine qui était la fille d'un descendant direct du catalan, elle s'est mariée avec un flamand. de Bruges, peut-être quelqu'un de connu. Peut-être qu'elle était la fille d'un grand d'Espagne, car ce philosophe avait été dans sa jeunesse page du roi d'Aragon.
- Dummie : En fait, c'était des ouvriers qui étaient mariés ensemble et descendaient tous les deux d'interllectuels très célèbres au Moyen-Age et à la Renaissance...
- Doofie : Exactement... sans le savoir sans doute... C'est ainsi que les grandes âmes se choisissent pour faire des petites filles comme toi...
- Dummie : Oh, ne me lance pas de fleurs Doofie, je ne suis pas si bien que toi...avec ton QI de 232... la championne du monde des QI.
- Doofie : Il faut bien être championne de quelque chose... Mais je vais te raconter une chose : pendant nos études d'allemand, on nous a inculqué que le Duc d'Albe (Alba pour Schiller) était un méchant, et Don Carlos un gentil.. et voilà que tu te retrouves par tes ancêtres en porte-à-faux avec cette idée, voilà, ce qui te chagrine Dummie, mais il faut de tout pour faire une famille...
domino
18:06 Publié dans Famille i-grimoirienne, histoire i-grimoirienne, Les aventures de Dummie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire, charles quint, philippe ii, don carlos, schiller, littératue, généaloge, dummie, doofie, ancêtres
dimanche, 10 mars 2013
Les ancêtres de domino
Du journal de Doofie (roman-théâtre)
Bonjour chers lecteurs de domino,
maintenant vous me connaissez déjà beaucoup, je suis Doofie, personnage de roman-théâtre de domino, mais il faut qu'en tant que personnage de roman-théâtre, je parle de mon auteure domino, car comme je suis généalogiste amateur chevronnée (2 étoiles sur un site de partage de généalogies), j'ai fait des recherches sur les ancêtres de mon auteur domino. Et bien, domino a des ancêtres... et non des moindres :
Si comme la plupart des autochtones de sa région (qui est aussi ma région d'origine), elle descend de Charlemagne de même que son mari et de Louis le Pieux (ou Louis le Débonnaire)... et même si ses ancêtres du XIXème siècle étaient majoritairement des gens de modeste conditions : ouvriers du textile, journaliers (= travailleurs agricoles à la journée), tourneurs en fer, repasseuses,... si beaucoup de ses ancêtres plus anciens avaient des professions modestes, mais très minutieuses : une série de dentellières brugeoises par exemple, comme elle s'en doutait depuis longtemps, si on remonte plus haut, à partir du XVIIème siècle en remontant les siècles, elle a aussi beaucoup d'artistes ou de familles d'artistes dans ses origines :
- elle est de la famille d'un peintre baroque flamand, souvent passé sous silence en France, auteur de natures mortes essentiellement, d'une célèbre scène d'un champ de bataille belge après la bataille, et d'autres scènes champêtres. Quittant son pays natal au pied d'un mont des Flandres, célèbre grâce à sa côte redoutée des coureurs cyclistes, il avait ouvert un atelier à Anvers, peu après la mort de Rubens. Ce peintre avait un extrême souci du détail et ses peintures étaient comme des photographies.
- elle est de la famille d'un compositeur de musique franco-flamande de la Renaissance, issu de la ville voisine du mont en queston : plusieurs branches remontent à cette famille : parti en Italie et protégé par Marguerite de Bourgogne, gouvernante des Flandres, la fille batarde de Charles Quint, fille qu'il eu avec une flamande qu'il avait endomi artificiellement, notre musicien a surtout composé de nombreux madrigaux. Il revenait parfois dans sa ville natale.
Ces deux ancêtres sont ceux de son grand-père paternel.
- elle descend directement d'un troubadour et philosophe catalan, protégé du roi d'Aragon, dont une descendante en ligne directe (dont le père portait le même nom que le troubadour) avait épousé un flamand de Bruges. Alors, étonnez-vous que domino écrive notre roman et maints poèmes.
Ceci dit elle a d'autres ancêtres non moins importants, nombres d'échevins et de bourgmestres et de baillis jalonnent son arbre Baroque et Renaissance. Alors étonnez vous que domino ait cete tendance à la politique non politicienne et équitable.
Elle descend même de la soeur d'un conseiller du conseil flamand de Charles Quint, mais cette famille est tombée en disgrâce sous Philippe II (ils ont occupé les Pays Bas, dont la Flandres pendant tout le XVIème siècle), car certains des enfants s'étaient convertis à la relgion protestante et les hommes convertis au protestantisme avaient dû s'exiler en Hollande, alors que femmes et enfants restaient en Flandres. En effet Charles Quint et la régente Marguerite de Bourgogne (à ne surtout pas confondre avec Marie de Bourgogne, hostile aux flamands), étaient forts aimés des flamands, mais ce ne fut pas le cas de Philippe II qui vit s'élever la révolte contre lui, de tous les flamands qu'ils soient protestants ou catholiques. Ceci surtout à cause du Duc d'Albe qui régissait les Flandres.
Ceux qui comme nous ont lu Egmont de Goethe comprendront mieux, mais domino et nous étions loin de nous douter que nos ancêtres avaient touché d'aussi près ces évènements hitoriques.
En faisant l'arbre de domino je suis d'ailleurs tombée sur des familles alliées van Goethem, nombreux à Bruges, mais je ne sais pas si on peut faire un rapprochement, mais l'esprit eclectique de domino, à la fois littéraire et scientifique, est assez proche de celui du grand homme. Domino est d'ailleurs une grande admisratrice de Goethe.
Beethoven est aussi d'origine flamand, mais il est plutôt issu du Limbourg et de la province d'Anvers.
Bon, mais je n'ai pas encore calculé si domino, mon auteure, avait un degré de parenté avec le grand "allemand"
Bon. je continue : domino a 1/4 d'ancêtres alsaciens, alsaciens si on veut, tiens dedans on trouve la descendante d'un bourgeois d'Ile de France, et aussi des Suisses allemands (un bougeois de Lucerne et des gens plus modeste du canton de Solothurn (Soleure), des allemands, de Hesse-Darmstadt et du côté non alsacien de son grand-père maternel un marchand de Coblence qui a eu quatre femmes, dont son ancêtre morte le jour de la naissance de sa filel ancêtre, et qui n'a eu que cette fille qui était la deuxième femme de ce marchant qui a été tros fois veufs de dames flamandes.
Beaucoup de ses ancêtres alsaciens ont des noms français car ils sont du pays Welsch. Deux de ses ancêtres alsaciens étaient chirurgiens du XVIIIème siècle, on se demande ce qu'ils pouvaient opérer à l'époque... l'un habitait dans un village viticole et porte le nom d'un celèbre vin d'Alsace bien qu'à l'époque, il n'y avaient que des notables dans cette famille : médecins, notaires... l'autre était dans une vile perdue dans la montagne. L'un était de la plaine et l'autre de la montagne et ils se sont rejoint par un mariage entre une de leur fille et un de leur fils.
Ses ancêtres alsaciens n'étaient pas vignerons, mais exerçaient plutôt en montagne des professions liées au bois.
Alors que les anccêtes de son grand-père maternel exerçaien des professions liées au fer (forgerons,tourneurs), d'ailleurs son grand-père faisait encore dans sa jeunesse du fer forgé, ses deux hobbies étant le fer forgé et la photographie. Comme il avat le sens du commerce il vendait ses oeuvres de ferronerie à ses voisins et tout un quartier de la banleue parisienne porte des marquises faites par lui.
Bon, de l'autre côté, du côté de son père, les professions étaient liées à la laine et au textile, sauf apparemment que son grand-père paternel, mort jeune, avait une profession plus technique,liée apparement à la mécanique, qui faisait à l'époque son entrée en scène.
Domino ne me croit pas, mais ce son ces vrais ancêtres, alors, n'allez pas tirer vos idées de ce passage de mon journal que je mets dans ce blog, car à moins d'être cousins de domino, vous aurez du mal à faire crire que ce sont les vôtres... surtout qu'elle, son frère, sa soeur et leurs enfants et petits-enfants sont les seuls descendants du grand-père mécanicien.
La famille de son grand-père maternel, ses ancêtres étaient très mouvement läïque français, ils étaient proche de Jean Jaurès, parait-il, si bien que ses origines sont très partagées :
- une grand-mère alsacienne catholique avait épousé un grand-père catholique sur le papier, mais assez anticlérical.
- une grand-mère paternelle, très simple, mais issu de familles flamandes qui avaient eu leurs moments de gloire et qui avait de lointaines origines catalanes. En partie des partisans de Napoléon apparememnt, puisque certaines files et une de ses ancêtres se préonomme Eugénie Napoleone Rosa, tout un programme...
- un grand-père qu'elle n'a pas connu (sa grand-mère, veuve en son jeune âge, était remariée et pour renforcer le lien avec le beau-père de son père, on lui avait donné le grand-père de remplacement comme parrain, sans qu'il y ait de lien de sang avec lui) : son vrai grand-père, son grand-pre lui, issu aussi de grandes familles flamandes, tombées en désuétude au XIXème siècle après le passage de Napoléon, famille qui avaient donné de grands artistes, dont un peintre et un musicien de renom; à la Renaisance et à l'époque baroque.
Et puis, elle est la cousine d'une auteure belge en vogue actuellement, éloignée (7ème ou 8ème degré) mais c'est quand-même quelque chose.
Elle serait même la cousine éloignée d'une chanteuse célèbre, qui a été son idole dans sa jeunesse. Voilà pourquoi elle se sentait irrésistiblement attirée par son chant. C'est par sa grand-mère paternelle que Doofie serait cousine avec elle, et bien que le père de cette chanteuse soit coloré, leurs pères ont vraiment un air de famille. Ceci dit, son nom est d'origine espagnole et flamande, mais un amiral portugais navigateur, portait aussi son nom, et tout comme la Catalogne, le Portugal était à l'époque de Charles Quint aussi sous le joug austro-espagnol.
Doofie
___________________
N'allez pas croire ce que dit de moi, mon personnage de roman-théâtre, Doofie... et puis, on a tous ici ou là, un cousin célèbre. Ceci dit, la généalogie semble être une science passionante et dans trois ans et demi, quand je serai retraitée, j'irai vérifier tout ce que Doofie écrit ici.
La génaalogie a aussi fait découvrir que preque tous les présidents des Etats-Unis sont cousins ensemble.
domino
12:11 Publié dans Famille i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ancêtres, généalogie, doofie, domino
lundi, 23 mai 2011
Consanguinité
Petite précision concernant la consanguinité évoquée dans la note précédente :
1) La consanguinité est fréquente chez les nobles, et en particulier chez les rois. En effet, un fils de roi doit se marier avec une fille de roi ou au minimum une fille de duc ou de duchesse (Le titre juste en dessous du roi), c'était le cas au moins autrefois, et par conséquent, comme les rois, les reines, et les ducs et duchesses ne courent pas les rues, ils sont presque tous parents entre eux et par conséquent les mariages consanguins sont frréquents chez les rois et les nobles. Généralement, on choisit un duc ou un prince (duchesse ou princesse) étant parent le plus éloigné possible de l'autre époux, mais ce n'est pas toujours facile à trouver et on calcule la consanguinité pour que celle-ci soit la plus faible possible.
2) J'ai remarqué dans l'arbre généalogique de Bêtie, mon personnage de roman-théâtre, que l'on retrouve souvent les mêmes noms (patronymes) sur des branches mêmes éloignées. Son gtand-père venant du Nord et sa grand-mère venant d'Alsace se sont rencontrés à Paris (qu'ils ont quitté ensuite), mais il semblerait que si l'on remonte vers les années 1300 ou 1400,, on rencontre des ancêtres de la même famille. Cela pourrait expliquer l'attirance qu'ils ont eu l'un pour l'autrte. Lorsque l'on remonte assez en arrière on voit que les branches familailes qui se sont génralement dispersées et diversifiées durant l'industrialisation du XIXème siècle, avec l'afflux des personnes vers les villes, étaient très localisées entre le XIV et le XVIIIème siècle. Seuls les protestatns fuyant les persécutions, partant vers la Suisse et l'Alsace, et les personnes ayant des fonctions importantes, comme les maires de grandes villes, ou les artistes, déménageaient et quittaient leur village ou bourgade constituant le cocon familial ou leur seigneurie à la campagne et déménageaient, s'en allant vers les grands centres. Par contre les femmes et les artisans ou bourgeois occupant des fonctions locales, restaient dans la même ville ou allaient chercher époux dans les bourgades voisines, les familles étant restées dans des périmètres de 20 km de diamètre pendant plusieurs siècles. Donc, nos ancêtres bougeiaient peu. Et formaient d'immenses tribus, aux nombreux enfants, souvent entre 6 et 10 par femme (enfants ayant vécu), les familles se mariaient entre elles en évitant la consanguiité du mieux qu'elles le pouvaient, mais il y en avait sans doute,et certains arbres calculent même les taux de consanguinité.
Dans les villes la consanguinité semblent évitée, mais on voit souvent des frères épouser des soeurs d'une autre famille ce qui simplifiait les choses et sans doute les calculs ensuite, leurs enfants respectifs pouvant ensuite aller épouser les frères et soeurs d'une troisième famille, etc...
Par cpntre, dans les campagnes et surtout dans les vallées des montagnes la consanguinité semble très forte. Et parfois les familles émigrent dans d'autres régions aux paysages semblalbles à la leur pour l'éviter, tel cette famille de hHute-Bavière, dans laquelle on travaillait le bois, migre en partie vers les forêtes de Hesse Odenwald), où ils deviennent forestiers, mais commencent également à occuper des emplois intéressants dans les villes, et un ressortissant de cette famille migre en alsace où il devient papetier, travaillant toujours dans le bois. Une partie de la famille mirgre en Amérique au XIXème siècle où ils s'installent dans des Etats du Nord et de l'Est des Etats Unis, boisés également, dans le même genre de paysages.
Une autre partie de la même famile est originaire des Vosges, et là les arbres indiquent des taux de consanguinité et les familles du coin des Vosges situé derrière le col du bonhomme se limitent à uen dizaine de patronymes avec de nomberux mariages entre eux.
De même dans ses orrigines flamandes l'une des branches se tient dans un mouchoir de poche entre 5 villages et petites villes situés les uns près des autres. On y rencontre aussi à peu près toujours les mêmes patronymes, surtout dans les familles alliées ou par alliance. trois des patronymes de ses ancêtres réapparaissent sur des branches différentes, à des époques différentes. Deux d'entre eux, deux fois et un d'entre eux trois fois. La famille qui est étalbie dans le coin vers 1350, reste au même endroit jusqu'en 1840. Pour émigrer ensutie vers les villes textiles frnaçaises.
On bouge plus en Wallonie, passant de la région de Charleroi à celle de Namur et vers l'Ouest jusqu'à l'Avesnois, juste sur la frontière.
En remontant plus loin dans le temps, on s'apreçoit que c'est vers les années 1000 110 que les gens ont le plus bougé, en particulier les nobles partaient en croisade et souvent n'en revenaient pas. Masi avaient pris soin aupravant de laisser une dame dans leur château, entourée de quelques enfants, qui grandissaient et dont les garçons partaient eux-mêmes en croisade. C'est très évident quand on consulte les arbres généralogiques des heureux qui ont pu remonter aussi loin, presque tous des descendants de nobles (et à ce stade on ne trouve que les coordonnées des nobles ou des lettrés, des religieux et relifigeuses dans les monastères, le simple manant ou serf, n'a pas droit à figurer sur les répertoires que l'on peut retrouver facileemnt), La descendance était généralement assurée avant de partir guerroyer au Moyen-Orient. Ce qui permet de remonter les arbres généalogiques. Les nobles carolingiens ont des arbres généalotgiques qui remontent à l'Antiquité, et sont quasiment tous descendants des mérovingiens, et de l'impératrice Galla ou d'Agripinne, et des rois de Neustrie et d'Austrasie, de Sainte Clotilde des Wisigoths (ou des Ostrogoths, ma mémoire flanche..).
Déjà vers l'an 1000 et vues les pertes en hommes dues au croisades ce qui réduisait encore la population en Europe, nous ne pouvons logiquement qu'avoir plusieurs fois le même ancêtres sur des branches différentes, car la population de l'Europe était moins élevée que le nombre total d'ancêtre qu'un européen d'aujourd'hui devrait avoir logiquement, si tous ses ancêtres étaient différents. Chaque individu actuel a à cette époque plus d'ancêtres qu'il n'y avait d'hommes en Europe.
Si l'on remonte à l'an 500, il nous faut plus d'ancêtres pour un seul individu actuel que la population mondiale actuelle. Pour qu'il n'y ait aucune consanguinité dans 1500 ans, il faudrait que chaque homme ou femme actuel soit ancêtre d'une seule famille vivant dans 1500 ans. Comme c'est impossible, il y aura forcément des ancêtres communs sur plusieurs branches pour nos descendants de dans 1500 ans. Cela veut dire que si vous avez une postérité (des enfants qui ont eux même des enfants), vous mêmes et vos enfants, petits enfants et arrière pettis enfants, serez ancêtres sur plusieurs branches de chacun de vos descendants de dans 1500 ans.
Mettons que dans 1500 ans, un de vos descendants fait son arbre généalogique, vous vous appelez M. Martin et il s'apelle D.Durant, si on a bien conservé toutes les archives, votre descendant trouvera plusieurs fois N. Martin (même personne) sur plusierus de ses branches, en remontant jusqu'à 1500 ans en arrière.
Bêtie, elle est arrivée à trouver un ancêtre à la 17ème génération de son arbre généalogique et deux à la 17-me génération, ce qui nous fait remonter vers l'an 1300 environ. Elle trouve des Perceval et des Jehan, des Colin (en flamand Colaert), jolis prénoms moyen-âgeux.
domino
18:55 Publié dans Famille i-grimoirienne, Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : généalogie, famille, ancêtres, bêtie
dimanche, 23 mai 2010
Les ancêtres de Doofie (4)
Vous savez tous que Doofie, l'une des quatre amies, personnages de mon roman-théâtre est de sang royal.
Et que Doofie, descendrait de Charlemagne et de Clovis et de Charles Martel et de Mérovée par le côté paternel de son père. En effet elle descendrait de la branche des Valois et des Ducs de Bourgogne dont Jean sans Peur, duc de Bourgogne et de Flandres.
Mais voilà, Doofie a cherché son arbre généalogique du côté de sa grand-mère paternelle. Et là Doofie, se rend compte qu'elle serait doublement de sang royal et impérial (bien sûr coupé d'un peu de sang paysan et prolétaire!).
En effet, en tapant sur Intenet, le nom de son ancêtre qui avait la même nom qu'un ancêtre de Johnny Hallyday, et de plus originaire de la même ville, Doofie est tombé sur un arbre généalogique comportant son nom. De fil en aiguille, elle remonte dans le temps, s'aperçoit que le nom de famille de sa grand-mère et celui de son arrière grand-mère remontent dans cette ville et ses environs, à la nuit des temps : elle remonte aisément jusqu'au XIIème siècle (cette ville avait deux abbayes fondées dès les années 700, ce qui a facilité la conservation des archives, sans doute.
Et voilà que sur une branche de Doofie finissent par défiler, bugraves, ducs, rois, empereurs, maires du palais de Francie et d'Austrasie en fait la Bourgogne), et même avant que l'on interdise le mariage aux prêtres, c'est à dire avant l'an 1000, êvêques, saints et saintes. Boofie descend par exemple de Ste Aude (écrit Ste Ode). PAs étonnant que son père alors ait été ausi obstiné dans la religion, s'il connaissait ses originines réelles (on disait dans la famille de Doofie quand elle était peitite, qu'ils étaient issus d'une famille de particien du côté de son père, famille qui apparemment avait perdu ses biens à la révolution et s'est retrouvée à travailler dans les usines françaises au XIXème siècle.
A cet article j'avais joint la généalogie de Doofie, pour cette branche, mais bien que je l'avais recopié entièrement à la main, cela m'a bien pris une heure, elle est tombée, la généalogie de Doofie, qui recouvrait la période entre le VIème et le XIIème siècle!!!
Pour Doofie, domino
21:19 Publié dans Famille i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : doofie, généalogie, ancêtres
mardi, 05 janvier 2010
Ressemblances....
Dans la salle des profs, nos trois vieilles profs d'allemand, Doofie étant retenue ailleurs, discutent de l'actualité !
- Tiens, t'a vu comment elle s'appelle la fille de Johnny? dit Sottie,
- Laura Smet, ben oui, c'est normal, c'est son nom de famille à lui, Johnny Hallyday, c'est un pseudonyme...
- Comme domino?
- Oui, comme domino, notre auteure, notre mère à toutes...
- C'est terrible cette histoire là, tu te rends compte.... Une histoire comme dans Roméo et Juliette, Laura partagée entre la famille de son amour et la sienne, c'est comme les Capulet et les Montaigut!
- Ben, oui, mais c'est pas ça que je vois...
- Quoi?
- Johnny, il est d'origine belge, et le nom Smet est un nom flamand.
- Et alors?
- Et bien, Doofie m'a dit un jour le nom de ses ancêtres...
- Ses ancêtres. Quel rapport? On le sait bien que c'est une princesse de sang royal...
- Oui, mais princesse de sang royal, ce n'est pas par les mêmes ancêtres, c'est par les ancêtres de son grand-père paternel.
- Ah? Et de quells ancêtres vas-tu parler alors?
- Du côté de sa grand-mère paternelle, Doofie avait une arrière grand-mère qui s'appelait Smet.
- La mère de sa grand-mère paternelle alors?
- Oui...
- Et tu crois que....
- Ben oui, quoi, Doofie c'est aussi un génie musical, t'as déjà vu comment elle improvise sur sa guitare...
- Et en plus... Tu m'y fais penser... En regardant ses vidéos, celle où elle explique la technique de guitare, je me suis rendu compte que son visage me faisait penser à quelqu'un....
- A qui?
- Ben, c'est peut-être parce que je le savais déjà, qu'elle a une ancêtre du nom de Smet, son arrière grand-mère, mais elle ressemble à Johnny...
- Et son frère, il paraît que c'est un sosie de Bob Dylan... Ya juste qu'il ne chante pas...
- Il paraît que quand il était petit, il chantait comme un rossignol, ya un curé qui voulait le faire chanter en soliste dans le choeur de garçon de l'église, mais lui, il ne voulait pas...
- Mais un jour ya une prof de musique qui a dit qu'il chantait faux, il était en 5ème et il avait 13 ans, l'âge de la mue... Alors, il n'a plus jamais voulu chanter... Quelquefois, Doofie, elle l'entendait fredonner dans sa chambre, et elle trouvait qu'il ne chantait pas faux mais à cause de cette prof, il n'a plus chanté devant les gens. Il a eu une autre prof de musique dans le lycée où il a été à partir de la quatrième, elle leur parlait du groupe des cinq, alors son frère, il écoutait Smetana (encore Smet? C'est vraiment d'origine belge? Doofie a peut-être aussi des origines tchèques...), Borodine, Moussorsky, Rimsky-Korsakov, et Doofie elle entendait tout cela de sa chambre, et il écoutait aussi la musique symphonique des années 70 : les Pink Floyd et Genesis!
- Oui, il avait quand même bon goût, le frère de Doofie...
- Son frère, il ressemble à Johnny?
- Il ressembait plutôt à Gene Vincent, une espèce de look de crooner et de garçon anglais, toutes les filles en étaient amoureuses, il avait aussi un peu du prince Charles dans sa jeunesse.
- Ben, oui, sang royal oblige...
- Et Doofie, elle ressemblait à la princesse Anne... Et sa mère à la Reine d'Angleterre.
- Enfin, bref, c'est marrant ces ressemblances. Dommage que Johnny ait des enfatns, sinon, elle aurait pu hériter une fortune d'un cousin éloigné...
Plus loin, Coolie :
Vous avez entendu les convesations de nos maîtresses de stage, elles sont cool!
Oui, vieilles surtout, objecte Sweetie.
C'est vrai que pour leur âge, elles ont des conversations intéressantes, dit Softie.
domino
00:16 Publié dans Famille i-grimoirienne, Humour i-grimoirien., Les aventures de Dummie, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : johnny hallyday, smet, ancêtres
vendredi, 18 septembre 2009
Les ancêtres de Doofie ...
Roman-théatre (fiction)
Des ancêtres de Doofie à la troisième génération un quart sont alsaciens et les trois quarts sont ch'tis (entendez par là nordistes).
Des ancêtres de Doofie à la quatrième génération, un quart sont alsaciens toujours, un quart ch'ti, un bon deux tiers de la moitié flamandes de Belgique et une bon tiers de la moitié wallons de Belgique.
Des ancêtres de Doofie à la cinquième génération toujours un quart sont alsaciens, toujours du même bled, preque les trois quarts sont belges et seulement un petit seixième est ch'ti (nordiste!).
Doofie a son arbre généaloqique pour certaines branches jusqu'à la septième génération, un quart de ses ancêtres est alsacien, preque les trois quarts sont belges, une seule branche retrouvée jusqu'à la ciquième génération seulement est ch'ti (nordistes).
A la septième génération, vers 1700, Environ la moitié de ses ancêtres sont flamands belges et un quart wallons belges, et un quart alsacien. Dans les ancêtres wallons on trouve aussi un patronyme allemand sans doute originaire de la région d'Eupen (Belgique germanophone).
Pas étonnant alors que Doofie ait aimé l'allemand, elle l'a dans ses gênes! Pas étonnant qu'elle ait fait du néerlandais.
Elle a des cousins anglais, mais cela n'a rien à voir avec ses origines, c'est le frère de sa grand-mère alsacienne (son grand-oncle) qui s'est marié avec une anglaise et a fondé une branche anglaise de la famille alsacienne.
Presque tous les ancêtres lointains de Doofie habitaient des pays de montagne (en Alsace) ou de collines (Ardennes flamandes, Wallonie, région des collines du Hainaut Belge). Beaucoup de ses ancêtres habitaient sur la frontière linguistique entre les Flandres Orientales et le Hainaut Belge, certains flamands se mariant avec des wallonnes toujours dans ce pays de Colinnes.
Les patronymes de ses ancêtres sont alsaciens ou allemands pour un quart, français lorrain (du pays Welsch d'Alsace) pour un trente-deuxième si on remonte à la cinquième génération, flamands (néerlandais, branche flamande) pour la moitié et français pour le quart restant.
Les prénoms de ses ancêtres sont (tous les noms des arrière grands parents de Doofie sont connus) :
Deuxième génération : Victor, Marie-Joséphine, Marguerite et Georges.
Troisième génération : Martial, Zoé, Léontine, Jean-François, Pélagie, Théophile, François-Jean-Baptiste, et Joséphine.
Quatrième génération (14 ancêtres trouvés sur 16) :
Barbe ou Barbara, deux fois Nicolas, Madeleine, Reine-Elise, Natalie, Charles-Francois, Jeanne-Thérèse, Léopol-Eugène, Marie-Louise, Joseph-Jean, et Reine-Béatrix.
(Bon, d'accord Doofie descend de la Reine Béatrix, ce n'est pas possible, elle est trop veille pour descendre d'elle, cette Reine-Béatrix ci vivait au début du dix-neuvième siècle, c'était le règne des prénoms composés, même en Belgique! La plupart des prénoms des ancêtres flamands vivant en Flandres, ont été francisés, mais leurs noms sont restés flamands, ceci sans doute suite aux campagnes napoléoniennes.)
Cinquième génétation :
6 ancêtres trouvés sur 32 :
Clémentine, Jean-Jacques, Thérèse, Marie-Thérèse, Jean-Luc, et Louis.
Sixième génération : 7 ancêtres trouvés sur 64.
Jacques ou Jean, Catherine, Ferdinand, Marie-Jeanne, Marie-Augustine, Hubert et Reine. (C'est dans la branche wallonne de la famille que nous sommes remontés aussi loin)
Pardon il n'y a personne trouvé dans la 7ème génération, mais on peut imaginer qu'il n'y a pas eu de changement de régions dans cette période très agricole qu'était le début du XVIIIème siècle.
Bon, certains sont à la recherche de sang bleu, entre Pierre-Augustin et la naissance son fils Théophile il y aurait 50 à 70 ans de passés, mais Pierre Augustin a un autre fils, Désiré, peut-êtres est-ce le maillon manquant. Pierre-Augustin étant dans les ancêtres attestés par les papiers de famille de Doofie, alors que Désiré n'y figure pas. La femme de Désiré qui s'appelait Jeanne, a un patronyme qui laisse penser que son nom français en pays de Flandres elle descendrait de Jean Sans Peur, comte de Flandres et de Bourgogne descendant des mérovingiens. En sachant que Pierre-Auguste était marié avec Reine-Bétrix (prénom peu être courant à l'époque, il n'y a qu'un pas à franchir pour dire que notre auguste ancêtre aurait épousé une autre princesse de sang royal et que Doofie serait à la foir mérovingienne et de la famille d'Orange, double princesse de sang royal, et comtesse de Flandres et Duchesse de Bourgogne!
Bon, mais n'allons pas trop loin, mais pourquoi pas, les yeux rêveurs de Doofie dans ses rêves laissent penser qu'elle est mérovingienne donc franque (Les Francs éaient des Germains dirigés par Mérovée, et Clovis) et de la famille d'Orange-N(Oranien), donc..... mystère. Il faudra chercher. C'est par son père que Doofie serait une princesse. Et seulement aux quatrièmes et cinquièmes générations.
Résultat de la Recherche : Orange-Nassau : Orange, originaire du Vaucluse, Provence.... les yeux marrons de Doofie, son regard tourné entre les collines vers la mère, au loin...
Quelles origines, Doofie, Jean-sans-Peur, Guillaume le Taciturne,... des Hommes Terrrribles....
Plus les Nassau, originaires du Palatinat, ayant peu à peu conquis ou annexé par mariages une partie des Pays-Bas.
Et Joan Baez descend par sa mère de Lord Chandos! D'où le nom de sa maison d'éditions : Chandos Music.
Et Lord Chandos, alors, il descendait de qui? (Recherche à faire, parce que c'est à la maman de Joan que dominique ressemble le plus, plus qu'à son papa...)
Recherche rapide et pas très scientifique : Lord Chandos, Jean Chandos capitaine qui aurait gagné la bataille de Crécy pour le Prince Noir, descendrait des Comtes du Hainaut (vers 1300, maison de Flandres et d'Avesnes. Mais il s'agit ici d'une branche descendant des Carolingiens et non des Mérovingiens. Donc, ennemi des Mérovingiens? Descendant de Lothaire, et de Lotharingie, ils auraient pris le pays occupé par la partition entre les fils de Clovis. Parce qu'il y avait eu deux partages en trois, celui du royaume Franc (mérovingiens) et celui de l'Empire Carolingien (celui de Pépin le Bref et de Charlemagne).
Joan Baez par sa mère Joan Chandos Bridge descendrait donc des Carolingiens
Mais je pourrai être parente avec Joan Baez par les Contes de Flandres, s'est dit Doofie.
Capétiens et Carolingiens sont parents par le mariage de Marguerite de Bavière avec Antoine de Bourgogne neveu de Jean sans Peur.
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En tout cas, voilà de beaux prénoms pour vos futurs enfants.... les ancêtres de Doofie.
Ceci dit Pierre Auguste ou Pierre Augustin portait aussi un prénom spécial : Pierre est le fondateur de l'église, Auguste le nom donné aux empereurs romains, le frère de Doofie, porte le prénom de Jean sans Peur et en deuxième prénom (usuel) le prénom d'un empereur romain, son fils a apparemment un prénom d'un prince de Thuringe ou de Franconie, et sa dernière fille le prénom d'une Reine de France.
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Recherche complémentaire sur les origines de Doofie : je ne trouve plus l'article où l'on disait que Jean Sans Peur descendait des mérovingiens, mais il serait aussi de famille capétienne, de la branche des Valois, branche cadette des Capétiens.
Charles de Valois son ancêtre, était titulaire de nombreux comtés français, plus roi d'Aragon et empereur titulaire de Constantinople. Donc, Doofie serait non seulement de sang royal, mais aussi de sang impérial.
Noms prestigieux alors parmi les ancêtres de Doofie : Saint Louis, Philippe Auguste (encore Auguste!), Hughes Capet, mais encore...
Par une de ses arrière grand mères, Marguerite de Vermandois, Hughes Capet descendrait de Charlemagne et voilà que les Capétiens descendent des Carolingiens. Voilà enfin ma parenté avec Joan Baez et la famille Chandos, se dit Doofie!
Les Carolingiens étaient descendants des maires du Palais du royaume franc, par contre Hugues Capet descendait par son père d'une famille de comtes de Rhénanie, les Rupertiner ou Robertiens. Le plus vieil ancêtre connu est Rudpert II,né au VIIIème siècle. Comte également du Wormsgau (région de Worms).
Les ancêtres de Doofie enfants de Rudpert III étaient rois du West Frankenreich, entendez par là Frankreich, Frankreich, la France. Donc, à cette époque les vrais rois de France ne furent pas les fils de Charlemagne, mais.... Eudes de Paris (Odo von Paris), et Robert Ier de France (Robert der Erste von West-Frankenreich oder Frankreich), les allemands disent bien, Robert 1er de France, roi de France. Ancêtre direct de Hugues Capet. A l'époque de Charlemagne et de ses fils, les Robertiens étaient les vrais rois de France.
Mais voyons comment des Carolingiens nous passons aux mérovingiens. Charlemagne était le fils de Berthe aux Grands Pieds de Laon, petite fille de Bertrade, fondatrice du monastère de Prüm, acte de fondation qu'elle signe en présence de Thierry, descendant mérovingien. Et de là, remontons directement à Clovis, roi des Francs et assurons ainsi la légitimité et des Carolingiens et des Capétiens.
Mais entre deux arrêtons nous sur le sort de Chilpéric 1er, roi des Francs mérovingiens, dynastie à laquelle on accordait des pouvoirs magiques, assassiné à la chasse par la Reine Brünehilde! Chilpéric 1er ne serait personne d'autre que le valeureux Siegfried des légendes germaniques, alors tenez vous bien et mettez votre anti-germanisme et votre haine des légendes germaniques à la poubelle. La chanson des Nibelungen n'est autre que votre histoire, l'histoire de France! Siegfried était notre roi Chilpéric 1er, roi mérovingien de France!
Alors voilà pour les Nibelungen : le roi Mérovingien des Francs a un demi-frère qui s'appelle Gontran. Chilpéric est marié en secondes noces avec Frédégonde, il guerroient repoussent les Thuringeois, Danois, Saxons et autres peuples de l'Est. Il s'empare du trésor de la villa Brennacum, palais de Berny près de Soissons (le trésor des Nibelungen, donc le trésor de Clovis), Gontran, le demi-frère de Chilpéric reçoit le royaume des Burgondes, tandis que Chilperic avait reçu le royaume des Francs, en fait, chaque fils d'un roi recevait une part de son royaume. Chilpéric, après de nombreuses batailles et après avoir assuré sa force dans le royaume face au pouvoir écclésiastique est assassiné par la reine Brünehilde, pas par elle-même exactement mais par un homme de main, nommé Falco (Hagen des Nibelungen). Brunnehilde aurait peut-être agi de concert avec Gontran (Gunter des Nibelungen). Dans les Nibelungen, l'action se déroule au bord du Rhin, mais il semblerait que l'auteur bavarois ait déplacé cette histoire vraie, en Austrasie. Alors qu'elle se déroulait en Neustrie!
Donc, Doofie est une princesse de sang européenne, reine de Neustrie et d'Austrasie, duchesse de Bourgogne et de Flandres, impératrice de Constantinople, et d'Occident, princesse d'Orange-Nassau, et de plus mérovingienne, carolingienne et capétiennes, héritière des Valois, tout cela c'est notre Doofie! Mystérieuse prof d'allemand qui dort dès qu'elle est sans occupation, rêvant à ses royaumes perdus. descendante de Mérovée, de Clovis, de Chilpéric 1er, c'est à dire de Siegfried, de Charlemagne, de Hugues Capet, de Philoppe Auguste, de Saint Louis, et par une branche de la maison des Valois, de Jean sans Peur et de Guillaume le Taciturne.... Quelle ascendance!
Et Doofie a fait une découverte incroyable : que Siegfried est français! Et a été assassiné par une reine de Bourgogne, Brünnehilde.
Chilpéric 1er ou Siegfried, ancêtre de Doofie !
Apparement Brünnehilde n'est pas une Walkyrie, mais une reine, combattante, désireuse de venger l'assassinat de sa soeur ainée , première épouse de Chilpéric, par Frédégonde, amante et deuxième femme de Chilpéric. Reine d'Austrasie et de Bourgogne, elle fait la guerre à la Neustrie qui est la partie du Royaume franc, dans laquelle se trouvent Paris et Soissons.
domino
16:05 Publié dans Famille i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : généalogie, ancêtres, famille