dimanche, 29 mai 2011
Mesure que je prendrais si j'étais ministre de l'éducation nationale...
Si j'étais ministre de l'éducation nationale (et avez vous remarqué que ce ministre est aussi ministre de la jeunesse et des associatiions, ceci depuis qu'on a découvert que mon personnage Bâtie donnait des cours d'allemand, essentiellement au 3ème âge, dans une association, on a décidé de rendre le ministre ministre des associations, même pour celles qui ne concerne absolument pas les jeunes comme "la chorale "Dans la fleur de l'êge", des plus de 70 ans" ou l'association d'amitié des "mamies du quartier".
Bon... passons..
Si j'étais minsitre de l'éducation nationale, je prendrais les mesure suivantes :
Il est interdit de médire contre un professeur et de le critiquer publiquement. Et même en famille.
les professeurs n'ont pas le droit de médire de leurs collègues.
Les parents n'ont pas le droit de médire des professeurs de leurs enfants ni de les critiquer, après tout, ils ont tous fait de longues études pour devenir professeurs, que leurs enfants, même excelents en école primaire et en sixième n'arriveront peut-être jamais à faire.
Les élèves, quelque soit leur école, n'ont plus le droit de médire des professeurs auprès de leur camarade même si un professeur a été chahuté il y a un, deux ou dix ans, dans l'école X Y Z, il ne le sera pas focément ailleurs, ni dans votre école, ni dans une autre. Parfois ce sont même des grands-parents qui disent : Ah! Un tel, je l'ai eu quand j'étais jeune, c'était le b.. dans sa classe, et d'un seul coup, après eu la paix pendant trente ans, il est critiqué par ce grand-père et boum.. chahuté dans la classe de son petit fils et ça refait boule de neige, même si c'éait devenu entre temps un pilier du collège ou du lycée.
Ce qui se passe dans le cas, où l'on médit d'un prof, ou qu'on le critique, alors, il ne peut plus s'en sortir.
Alors, silence et bouche cousue..; Dites à tous, tel prof, il est très bon, et tous les profs seront bons, et ceci que vous soyez élève, parent, collègue ou supérieur hérarchique; et alors tout les professeurs seront bons, il n'y aura plus de "problèmes de discipline", ou très peu.
Dire aussi des remplacçants : C'est un excellent remplaçant ou une excellent remplaçante qui arrive...
Même les parents n'auront plus le droit de dire : "Qu'il a un drôle d'air ce prof là" ou les élèves "Oh, tu as ce prof, on l'a eu l'année dernière, qu'est ce qu'il était c... "
Bon, j'en ai déjà parlé ici plusieurs fois que ce qui fait le plus de tort à l'enseignemen, c'est la médisance;
Quand j'étais jeune prof dans un collègue, j'étais respéctée, mais on disait de moi "Oh, elle organise le jumelage", " elle en fait de trop", etc..; cela aussi, c'est de la médisance.
C'est aussi pour que mes personnages de théâtre Bêtie et Doofie et leurs autres amies soeint plus heureuses que je dis cela.
Pour Doofie, Bêtie et compagnie,
domino
PS Alors, les élèves ont dit : "Oui, mais aux consiels de classe, les professeurs médisent toujousr de nous, ils disent du mal de nous".
Si vous êtres élèves, les professeurs ont a évaluer votre travail et le fait que vous ne troubliez pas le travail des autres, et aussi à évaluer vos capacités, et vos résultats pour pouvoir vous conseiller au mieux pour votre avenir. Ce n'est donc pas de la médisance.
Bon, l'évaluation des professeurs est-elle de la médisance. Certaineement, quand on s'en prend à quelqu'un qui travaille bien en lui faisant toujours des appréciations négatives. Car on s'attaque souvent aux mêmes et souvent à des professeurs qui sont à la fois sérieux et ont des potentialités.
Et pourquoi? Parce que en France on aime la médiocrité, j'en suis de plus en plus persuadée. On aime aussi "ceux qui ne font pas de remous", on me l'a répété cent fois.
Objection : on s'attaque à ceux qui ont des capacités et travaillent en dessous de leurs capacités.
Défense Oui, mais il y a des limites, il faut aussi que ceux qui ont des capacités économisent leurs forces pour pouvoir tenir longtemps. Avoir des capacités plus forte que le commun des vivants et se voir contraint à travailelr des nuits entières, parce qu'on vous dit que fous ne f... rien et on s'énerve sur vous en vous le disant alors que vous êtes en trains avec la fatigue d'en faire de plus en plus et de travailler toutes les nuits de perdre vos capacités, ... c'est être victime de la médisance, de la critique et voire du harcèlement.
Pour que Bâtie et mes autres personnages de roman-théâtre puissent devenir des profs heureuses.
domino
16:11 Publié dans Enseignement (2) - Galères de rentrée TZR | Lien permanent | Commentaires (0)
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