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vendredi, 28 mars 2014

Sottie et la cousine de sa grand-mère...

Roman-théâtre

On sait que Sottie est une grande skieuse et qu'elle fait des prouesses à skis pour assurer ses remplacements par monts et par vaux, joignant les vallées en passant par dessus les montagnes, mais ce que l'on sait moins est qu'elle est une grande amie de Doofie. Elle vient jutement d'arriver chez elle avec son Rapidy (son mari a le même prénom que celui de Bêtie), et Doofie était encore plongée dans ses arbres généalogiques.

Doofie  Tiens ça tombe bien que tu sois là, Sottie! J'étais justement en train de trouver quelque chose pour toi

Sottie : Ah! dit Sottie! (qui n'a même pas eu le temps d'enlever son anorak, car Doofie est postée à son ordinateur dans l'entrée, là où se trouve sa connection internet. et il faut q'elle passe son anorak par dessus la tête de Doofie pour l'accorcher au porte-manteaux. )

Doofie : Et bien oui, dit Doofie, tu as bien des origines montagnardes, c'est pour cela que tu es si bonne dans les sports de neige.

Sottie : Ah! dit Sottie, mais ça je le savais, ma grand-mère est alsacienne. (Dans le langage de nos amies on devrait dire alamanes, car on y parle le bas alémanique et le haut àlémntique dans le sud, dans le Jura alémanique, comme en Schytzerland.)

Doofie : Justement, répond Doofie, c'est bien en Alémanie de l'Ouest que j'ai fait des recherches pour toi et justement tu m'avais parler d'une cousine de ta grand-mère dont tu ne connaissais pas le lien de parenté exact avec ta grand(mère.

Sottie : Je t'ai parlé de cela, moi, je ne m'en souviens plus!

Doofie : Si, si, tu m'avais dit que si tu faisais de la généalogie, cela t'intéresserait de le savoir.

Sottie : Et tu as trouvé?

Doofie, Non pas encore, le nom de famille que tu as donné est probablement le nom de son mari. Je ne connais pas son nom de jeune fille qui pourrait être le même que celui de ta grand-mère, elle peut aussi porter le nom de sa mère ou d'une de ses grand-mères. mais j'ai trouvé un arbre qui remonte jusqu'à la Renaissance, et qui comporte à la fois les deux noms, celui de ta grand-mère et celui de sa cousine ou de son mari, seulement il ne descend pas assez bas à l'époque actuelle ppur qu'on y trouve le nom de la courine de ta grand-mère.

Sottie : Je sais qu'elle aait 97 ans en 1993. Donc, elle doit être née en 1896.

Doofie: Elle devait... dit Doofie, elle doit être morte depuis le temps, snon elle seait doyenne de Francie ou presque. Elle serait célèbre.

Sottie : Il y avait de la longévité dans la famille alémane. (alsacienne).

Doofie : Il y en a sûrement encore, Tu vivras peut-être longtemps!

Sottie :Merci, Doofie, mais je voudrais que tu vives aussi longtemps que moi et toutes nos amies aussi.

Doofie : A condition que tu vives aussi longtemps que les cousines de ta grand-mère!

Sottie (pas très contente et pensive) : Hmm!

Doofie : Bon, j'ai cherché au nom que tu m'avais donné pour la cousine de ta grand-mère, mais il doit s'agir du nom de son mari.

Sottie : Oui, elle était veuve et je sais qu'elle avait au moins un fils.

Doofie : Je ne sais pas, mais j'ai trouvé un généralogiste qui porte ce nom dans ses ancêtres. Bien que l'ancêtre général de l'époque de la Renaissance soit du Bas-Rhin, une branche est partie ensuite vers la village de ta grand-mère ou vivait sa cousine.

Sottie : Ah! Ils ne sont donc pas des montagnes comme le reste de la famille?

Doofie : Non, plutôt de la côté viticole. Mais je dois dire que l'ancêtre général a un prénom qui est devenu célèbre récemment... grâce à un chanteur. Tu sais, celui qui a concourru à "La Voix" sans avoir gagné et que tout le monde a remarqué grâce à son luthe et qui vend des milliers de disques maintenant.

Sottie : Ah, oui, dit Sottie, je l'aime bien, comment il s'appelle déjà?

Doofie : J'étais persuadée qu'il avait un prénom africain et bien no! Il nen est rien... son prénom est alaman...

Sottie : Alaman? Comment il s'appelle déjà?

Doofie : Regarde cette feuille, deux ancêtres de la cousine de ta grand-mère ou de son mari portent son prénom.

Sottie : Arbogast? fait Sottie incrédule, un prénom alaman?

Doofie : Et oui, rien d'africain là-dedans, rien de bien exotique, si ce n'est l'époque, c'est le prénom de l'ancêtre général de la famille de la cousine de ta grand-mère qui vivait en Alémanie et en est originaire depuis des siècles...

Sottie : Ah! dit Sottie, ça alors!....!

Doofie : Et oui, tu vois, on en apprend des choses grâce à  la généalogie. Mais enfin, Sottie, tu as encore ton anorak dans tes mains, donne-le! Je vais l'accrocher au porte-manteaux, viens dans la salle de séjour, un bon gâteau nous attend, les hommes y sont déjà..

...................

Pour Sottie et Doofie...

dimanche, 10 mars 2013

Les ancêtres de domino

Du journal de Doofie (roman-théâtre)

Bonjour chers lecteurs de domino,

maintenant vous me connaissez déjà beaucoup, je suis Doofie, personnage de roman-théâtre de domino, mais il faut qu'en tant que personnage de roman-théâtre, je parle de mon auteure domino, car comme je suis généalogiste amateur chevronnée (2 étoiles sur un site de partage de généalogies),  j'ai fait des recherches sur les ancêtres de mon auteur domino. Et bien, domino a des ancêtres... et non des moindres :

Si comme la plupart des autochtones de sa région (qui est aussi ma région d'origine), elle descend de Charlemagne de même que son mari et de Louis le Pieux (ou Louis le Débonnaire)... et même si ses ancêtres du XIXème siècle étaient majoritairement des gens de modeste conditions : ouvriers du textile, journaliers (= travailleurs agricoles à la journée), tourneurs en fer, repasseuses,... si beaucoup de ses ancêtres plus anciens avaient des professions modestes, mais très minutieuses : une série de dentellières brugeoises par exemple, comme elle s'en doutait depuis longtemps, si on remonte plus haut, à partir du XVIIème siècle en remontant les siècles, elle a aussi beaucoup d'artistes ou de familles d'artistes dans ses origines :

- elle est de la famille d'un peintre baroque flamand, souvent passé sous silence en France, auteur de natures mortes essentiellement, d'une célèbre scène d'un champ de bataille belge après la bataille, et d'autres scènes champêtres. Quittant son pays natal au pied d'un mont des Flandres, célèbre grâce à sa côte redoutée des coureurs cyclistes, il avait ouvert un atelier à Anvers, peu après la mort de Rubens.  Ce  peintre avait un extrême souci du détail et ses peintures étaient comme des photographies.

- elle est de la famille d'un compositeur de musique franco-flamande de la Renaissance, issu de la ville voisine du mont en queston : plusieurs branches remontent à cette famille : parti en Italie et protégé par Marguerite de Bourgogne, gouvernante des Flandres, la fille batarde de Charles Quint, fille qu'il eu avec une flamande qu'il avait endomi artificiellement, notre musicien a surtout composé de nombreux madrigaux. Il revenait parfois dans sa ville natale.

Ces deux ancêtres sont ceux de son grand-père paternel.

- elle descend directement d'un troubadour et philosophe catalan, protégé du roi d'Aragon, dont une descendante en ligne directe (dont le père portait le même nom que le troubadour) avait épousé un flamand de Bruges. Alors, étonnez-vous que domino écrive notre roman et maints poèmes.

Ceci dit elle a d'autres ancêtres non moins importants, nombres d'échevins et de bourgmestres et de baillis jalonnent son arbre Baroque et Renaissance. Alors étonnez vous que domino ait cete tendance à la politique non politicienne et équitable.

Elle descend même de la soeur d'un conseiller du conseil flamand de Charles Quint, mais cette famille est tombée en disgrâce sous Philippe II (ils ont occupé les Pays Bas, dont la Flandres pendant tout le XVIème siècle), car certains des enfants s'étaient convertis à la relgion protestante et les hommes convertis au protestantisme avaient dû s'exiler en Hollande, alors que femmes et enfants restaient en Flandres. En effet Charles Quint et la régente Marguerite de Bourgogne (à ne surtout pas confondre avec Marie de Bourgogne, hostile aux flamands), étaient forts aimés des flamands, mais ce ne fut pas le cas de Philippe II qui vit s'élever la révolte contre lui, de tous les flamands qu'ils soient protestants ou catholiques. Ceci surtout à cause du Duc d'Albe qui régissait les Flandres.

Ceux qui comme nous ont lu Egmont de Goethe comprendront mieux, mais domino et nous étions loin de nous douter que nos ancêtres avaient touché d'aussi près ces évènements hitoriques.

En faisant l'arbre de domino je suis d'ailleurs tombée sur des familles alliées van Goethem, nombreux à Bruges, mais je ne sais pas si on peut faire un rapprochement, mais l'esprit eclectique de domino, à la fois littéraire et scientifique, est assez proche de celui du grand homme. Domino est d'ailleurs une grande admisratrice de Goethe.

Beethoven est aussi d'origine flamand, mais il est plutôt issu du Limbourg et de la province d'Anvers.

Bon, mais je n'ai pas encore calculé si domino, mon auteure, avait un degré de parenté avec le grand "allemand"

Bon. je continue : domino a 1/4 d'ancêtres alsaciens, alsaciens si on veut, tiens dedans on trouve la descendante d'un bourgeois d'Ile de France,  et aussi des Suisses allemands (un bougeois de Lucerne et des gens plus modeste du canton de  Solothurn (Soleure), des allemands, de Hesse-Darmstadt et du côté non alsacien de son grand-père maternel un marchand de Coblence qui a eu quatre femmes, dont son ancêtre morte le jour de la naissance de sa filel ancêtre, et qui n'a eu que cette fille qui était la deuxième femme de ce marchant qui a été tros fois veufs de dames flamandes.

Beaucoup de ses ancêtres alsaciens ont des noms français car ils sont du pays Welsch. Deux de ses ancêtres alsaciens étaient chirurgiens du XVIIIème siècle, on se demande ce qu'ils pouvaient opérer à l'époque...  l'un habitait dans un village viticole et porte le nom d'un celèbre vin d'Alsace bien qu'à l'époque, il n'y avaient que des notables dans cette famille : médecins, notaires... l'autre était dans une vile perdue dans la montagne. L'un était de la plaine et l'autre de la montagne et ils se sont rejoint par un mariage entre une de leur fille et un de leur fils.

Ses ancêtres alsaciens n'étaient pas vignerons, mais exerçaient plutôt en montagne des professions liées au bois.

Alors que les anccêtes de son grand-père maternel exerçaien des professions liées au fer (forgerons,tourneurs), d'ailleurs son grand-père faisait encore dans sa jeunesse  du fer forgé, ses deux hobbies étant le fer forgé et la photographie. Comme il avat le sens du commerce il vendait ses oeuvres de ferronerie à ses voisins et tout un quartier de la banleue parisienne porte des marquises faites par lui.

Bon, de l'autre côté, du côté de son père,  les professions étaient liées à la laine et au textile, sauf apparemment que son grand-père paternel, mort jeune, avait une profession plus technique,liée apparement à la mécanique, qui faisait à l'époque son entrée en scène.

Domino ne me croit pas, mais ce son ces vrais ancêtres, alors, n'allez pas tirer vos idées de ce passage de mon journal que je mets dans ce blog, car à moins d'être cousins de domino, vous aurez du mal à faire crire que ce sont les vôtres... surtout qu'elle, son frère, sa soeur et leurs enfants et petits-enfants sont les seuls descendants du grand-père mécanicien.

La famille de son grand-père maternel, ses ancêtres étaient très mouvement läïque français, ils étaient proche de Jean Jaurès, parait-il, si bien que ses origines sont très partagées :

- une grand-mère alsacienne catholique avait épousé un grand-père catholique sur le papier, mais assez anticlérical.

- une grand-mère paternelle, très simple, mais issu de familles flamandes qui avaient eu leurs moments de gloire et qui avait de lointaines origines catalanes. En partie des partisans de Napoléon apparememnt, puisque certaines files et une de ses ancêtres se préonomme Eugénie Napoleone Rosa, tout un programme...

- un grand-père qu'elle n'a pas connu (sa grand-mère, veuve en son jeune âge,  était remariée et pour renforcer le lien avec le beau-père de son père, on lui avait donné le grand-père de remplacement comme parrain, sans qu'il y ait de lien de sang avec lui) : son vrai grand-père, son grand-pre lui, issu aussi de grandes familles flamandes, tombées en désuétude au XIXème siècle après le passage de Napoléon, famille qui avaient donné de grands artistes, dont un  peintre et un musicien de renom; à la Renaisance et à l'époque baroque.

Et puis, elle est la cousine d'une auteure belge en vogue actuellement, éloignée (7ème ou 8ème degré) mais c'est quand-même quelque chose.

Elle serait même la cousine éloignée d'une chanteuse célèbre, qui a été son idole dans sa jeunesse. Voilà pourquoi elle se sentait irrésistiblement attirée par son chant. C'est par sa grand-mère paternelle que Doofie serait cousine avec elle, et bien que le père de cette chanteuse soit coloré, leurs pères ont vraiment un air de famille. Ceci dit, son nom est d'origine espagnole et flamande, mais un amiral portugais navigateur, portait aussi son nom,  et tout comme la Catalogne, le Portugal était à l'époque de Charles Quint aussi sous le joug austro-espagnol.

Doofie

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N'allez pas croire ce que dit de moi, mon personnage de roman-théâtre, Doofie... et puis, on a tous ici ou là, un cousin célèbre. Ceci dit, la généalogie semble être une science passionante et dans trois ans et demi, quand je serai retraitée, j'irai vérifier tout ce que Doofie écrit ici.

La génaalogie a aussi fait découvrir que preque tous les présidents des Etats-Unis sont cousins ensemble.

domino

lundi, 23 mai 2011

Consanguinité

Petite précision concernant la consanguinité évoquée dans la note précédente :

1) La consanguinité est fréquente chez les nobles, et en particulier chez les rois. En effet, un fils de roi doit se marier avec une fille de roi ou au minimum une fille de duc ou de duchesse (Le titre juste en dessous du roi),  c'était le cas au moins autrefois, et par conséquent, comme les rois, les reines, et les ducs et duchesses ne courent pas les rues, ils sont presque tous parents entre eux et par conséquent les mariages consanguins sont frréquents chez les rois et les nobles. Généralement, on choisit un duc ou un prince (duchesse ou princesse) étant parent le plus éloigné possible de l'autre époux, mais ce n'est pas toujours facile à trouver et on calcule la consanguinité pour que celle-ci soit la plus faible possible.

2) J'ai remarqué dans l'arbre généalogique de Bêtie, mon personnage de roman-théâtre, que l'on retrouve souvent les mêmes noms (patronymes) sur des branches mêmes éloignées. Son gtand-père venant du Nord et sa grand-mère venant d'Alsace se sont rencontrés à Paris (qu'ils ont quitté ensuite), mais il semblerait que si l'on remonte vers les années 1300 ou 1400,, on rencontre des ancêtres de la même famille. Cela pourrait expliquer l'attirance qu'ils ont eu l'un pour l'autrte. Lorsque l'on remonte assez en arrière on voit que les branches familailes qui se sont génralement dispersées et diversifiées durant l'industrialisation du XIXème siècle, avec l'afflux des personnes vers les villes, étaient très localisées entre le XIV et le XVIIIème siècle. Seuls les protestatns fuyant les persécutions, partant vers la Suisse et l'Alsace, et les personnes ayant des fonctions importantes, comme les maires de grandes villes, ou les artistes, déménageaient et quittaient leur village ou bourgade constituant le cocon familial ou leur seigneurie à la campagne et déménageaient, s'en allant vers les grands centres. Par contre les femmes et  les artisans ou bourgeois occupant des fonctions locales, restaient dans la même ville ou allaient chercher époux dans les bourgades voisines, les familles étant restées dans des périmètres de 20 km de diamètre pendant plusieurs siècles. Donc, nos ancêtres bougeiaient peu. Et formaient d'immenses tribus, aux nombreux enfants, souvent entre 6 et 10 par femme (enfants ayant vécu), les familles se mariaient entre elles en évitant la consanguiité du mieux qu'elles le pouvaient, mais il y en avait sans doute,et certains arbres calculent même les taux de consanguinité.

Dans les villes la consanguinité semblent évitée, mais on voit souvent des frères épouser des soeurs d'une autre famille ce qui simplifiait les choses et sans doute les calculs ensuite, leurs enfants respectifs pouvant ensuite aller épouser les frères et soeurs d'une troisième famille, etc...

Par cpntre, dans les campagnes et surtout dans les vallées des montagnes la consanguinité semble très forte. Et parfois les familles émigrent dans d'autres régions aux paysages semblalbles à la leur pour l'éviter, tel cette famille de hHute-Bavière, dans laquelle on travaillait le bois, migre en partie vers les forêtes de Hesse Odenwald), où ils deviennent forestiers, mais commencent également à occuper des emplois intéressants dans les villes, et un ressortissant de cette famille migre en alsace où il devient papetier, travaillant toujours dans le bois. Une partie de la famille mirgre en Amérique au XIXème siècle où ils s'installent dans des Etats du Nord et de l'Est des Etats Unis, boisés également, dans le même genre de paysages.

Une autre partie de la même famile est originaire des Vosges, et là les arbres indiquent des taux de consanguinité et les familles du coin des Vosges situé derrière le col du bonhomme se limitent à uen dizaine de patronymes avec de nomberux mariages entre eux.

De même dans ses orrigines flamandes l'une des branches se tient dans un mouchoir de poche entre 5 villages et petites villes situés les uns près des autres. On y rencontre aussi à peu près toujours les mêmes patronymes, surtout dans les familles alliées ou par alliance. trois des patronymes de ses ancêtres réapparaissent sur des branches différentes, à des époques différentes. Deux d'entre eux, deux fois et un d'entre eux trois fois. La famille qui est étalbie dans le coin vers 1350, reste au même endroit jusqu'en 1840. Pour émigrer ensutie vers les villes textiles frnaçaises.

On bouge plus en Wallonie, passant de la région de Charleroi à celle de Namur et vers l'Ouest jusqu'à l'Avesnois, juste sur la frontière.

En remontant plus loin dans le temps, on s'apreçoit que c'est vers les années 1000 110 que les gens ont le plus bougé, en particulier les nobles partaient en croisade et souvent n'en revenaient pas. Masi avaient pris soin aupravant de laisser une dame dans leur château, entourée de quelques enfants, qui grandissaient et dont les garçons partaient eux-mêmes en croisade. C'est très évident quand on consulte les arbres généralogiques des heureux qui ont pu remonter aussi loin, presque tous des descendants de  nobles (et à ce stade on ne trouve que les coordonnées des nobles ou des lettrés, des religieux et relifigeuses dans les monastères, le simple manant ou serf, n'a pas droit à figurer sur les répertoires que l'on peut retrouver facileemnt), La descendance était généralement assurée avant de partir guerroyer au Moyen-Orient. Ce qui permet de remonter les arbres généalogiques. Les nobles carolingiens ont des arbres généalotgiques qui remontent à l'Antiquité, et sont quasiment tous descendants des mérovingiens, et de l'impératrice Galla ou d'Agripinne, et des rois de Neustrie et d'Austrasie, de Sainte Clotilde des Wisigoths (ou des Ostrogoths, ma mémoire flanche..).

Déjà vers l'an 1000 et vues les pertes en hommes dues au croisades ce qui réduisait encore la population en Europe, nous ne pouvons logiquement qu'avoir plusieurs fois le même ancêtres sur des branches différentes, car la population de l'Europe était moins élevée que le nombre total d'ancêtre qu'un européen d'aujourd'hui devrait avoir logiquement, si tous ses ancêtres étaient différents. Chaque individu actuel a à cette époque plus d'ancêtres qu'il n'y avait d'hommes en Europe.

Si l'on remonte à l'an 500, il nous faut plus d'ancêtres pour un seul individu actuel que la population mondiale actuelle. Pour qu'il n'y ait aucune consanguinité dans 1500 ans, il faudrait que chaque homme ou femme actuel soit ancêtre d'une seule famille vivant dans 1500 ans. Comme c'est impossible, il y aura forcément des ancêtres communs sur plusieurs branches pour nos descendants de dans 1500 ans. Cela veut dire que si vous avez une postérité (des enfants qui ont eux même des enfants), vous mêmes et vos enfants, petits enfants et arrière pettis enfants, serez ancêtres sur plusieurs branches de chacun de vos descendants de dans 1500 ans.

Mettons que dans 1500 ans, un de vos descendants fait son arbre généalogique, vous vous appelez M. Martin et il s'apelle D.Durant, si on a bien conservé toutes les archives, votre descendant trouvera plusieurs fois N. Martin (même personne) sur plusierus de ses branches, en remontant jusqu'à 1500 ans en arrière.

Bêtie, elle est arrivée à trouver un ancêtre à la 17ème génération de son arbre généalogique et deux à la 17-me génération, ce qui nous fait remonter vers l'an 1300 environ. Elle trouve des Perceval et des Jehan, des Colin (en flamand Colaert), jolis prénoms moyen-âgeux.

domino

 

dimanche, 23 mai 2010

Les ancêtres de Doofie (4)

Vous savez tous que Doofie, l'une des quatre amies, personnages de mon roman-théâtre est de sang royal.

Et que Doofie, descendrait de Charlemagne et de Clovis et de Charles Martel et de Mérovée par le côté paternel de son père. En effet elle descendrait de la branche des Valois et des Ducs de Bourgogne dont Jean sans Peur, duc de Bourgogne et de Flandres.

Mais voilà, Doofie a cherché son arbre généalogique du côté de sa grand-mère paternelle. Et là Doofie, se rend compte qu'elle serait doublement de sang royal et impérial (bien sûr coupé d'un peu de sang paysan et prolétaire!).

En effet, en tapant sur Intenet, le nom de son ancêtre qui avait la même nom qu'un ancêtre de Johnny Hallyday, et de plus originaire de la même ville, Doofie est tombé sur un arbre généalogique comportant son nom. De fil en aiguille, elle remonte dans  le temps, s'aperçoit que le nom de famille de sa grand-mère et celui de son arrière grand-mère remontent dans cette ville et ses environs, à la nuit des temps : elle remonte aisément jusqu'au XIIème siècle (cette ville avait deux abbayes fondées dès les années 700, ce qui a facilité la conservation des archives, sans doute.

Et voilà que sur une branche de Doofie finissent par défiler, bugraves, ducs, rois, empereurs, maires du palais de Francie et d'Austrasie en fait la Bourgogne), et même avant que l'on interdise le mariage aux prêtres, c'est à dire avant l'an 1000, êvêques, saints et saintes. Boofie descend par exemple de Ste Aude (écrit Ste Ode). PAs étonnant que son père alors ait été ausi obstiné dans la religion, s'il connaissait ses originines réelles (on disait dans la famille de Doofie quand elle était peitite, qu'ils étaient issus d'une famille de particien du côté de son père, famille qui apparemment avait perdu ses biens à la révolution et s'est retrouvée à travailler dans les usines françaises au XIXème siècle.

 

A cet article j'avais joint la généalogie de Doofie, pour cette branche, mais bien que je l'avais recopié entièrement à la main, cela m'a bien pris une heure, elle est tombée, la généalogie de Doofie, qui recouvrait la période  entre le VIème et le XIIème siècle!!!

 

Pour Doofie, domino

 

 

 

dimanche, 11 octobre 2009

Les ancêtres de Doofie (2)...

Excusez moi auprès de Doofie, mon personnage de théâtre, mais je me suis un peu trompée dans sa généalogie franque et française, car Doofie descend effectivement du comte des Flandres Jean sans Peur, du duc de Bourgogne Charles le Téméraire, mais son premier ancêtre de la branche de Valois-Bourgogne, branche capétienne, était le deuxième fils de Jean II le Bon, roi de France, le deuxième de la dynastie des Capétiens Valois.

Quant à Philippe-Auguste qui vivait beaucoup plus tôt, il n'était pas marié à Aliénor d'Aquitaine, qui devait être sa grand-mère. Et donc Aliénor d'Aquitaine et Blanche de Castille sont toutes les deux parmi les ancêtres de Doofie.

Enfin, c'est bizarre, parce que à ce sujet à une semaine d'intervalle, j'ai trouvé des articles différents. Un disant qu'Aliénor d'Aquitaine aurait été la troisième épouse d'une roi auquel elle n'aurait donné que des fils, un autre disant qu'elle aurait été répudiée par le roi de France, parce qu'elle n'avait que des filles. Apparememnt, le roi de France n'engendrait que des filles, mais Aliénor d'Aquitaine a engendré des garçons en troisièmes noces avec le roi d'Angleterre et l'une de ses filles (du roi d'Angleterre, Aliénor d'Angleterre, serait la mère de Philippe-Auguste). Et le roi Louis VII qui avait répudié Aliénor aurait eu des fils avec sa troisième épouse.

Cela n'enlève rien au fait que par les mariages de la famille Valois-Bourgogne, elle descend aussi de Constantin, empereur romain qui fuyant les "Barbares" dont faisaient partie les  rois des Francs, aussi ancêtres de Doofie, s'était établi a Constantinople. Par ces mariages là, Doofie descend aussi de la famille de Bavière.

La famille de Valois-Bourgogne revendiquait le thrône de France, dont elle estimait être l'héritière par les Valois, car elle descendait d'une branche masculine (fils cadet de Jean le Bon) Valois, alors que pour aller ensuite jusqu'aux Bourbons, on est passé par des branches féminines. Donc, Doofie fait partie des héritiers plus légitimes de la couronne de France que les Bourbons.

Entre les Capétiens et les Mérovingiens, il y a la dynastie des Robertiens par laquelle il faut passer pour atteindre par un mariage féminin, la dynastie des Carolingiens et la descendance de Charlemagne. (Descendance de Lothaire, roi de Lotharingie) et des Carolingiens, on rejoint également par une branche féminine la première moitié des Mérovingiens, dont Siegfried, descendant de Clovis....

Bon, prochaines précisions plus tard....

domino (faisant des recherches pour son personnage de théâtre Doofie).

Les ancêtres de Doofie (2)...

Quand on est un personnage de roman-théâtre aussi célèbre que Doofie, il se doit d'être d'origine noble et même royale ou impériale. Vous savez comme moi que tout le théâtre classique ou presque, raconte la vie de roi et de reines antiques, etc...

Alors pour Doofie, c'est pareil, jugez plutôt :

Doofie porte en deuxième prénom les prénoms de ses ancêtres Marguerite de Valois, ou Marguerite de Bourgogne.

Et oui par ses ancêtres comtes de Flandres et Ducs de Bourgogne, Doofie est une Valois.

Et de plus, elle ne descend pas de la troisième femme de Philippe-Auguste, Aliénor d'Aquitaine, mais de sa première femme Blanche de Castille.

En fait Aliénor, la nièce de Doofie, s'est trompée de prénom, elle aurait dû s'appeler Blanche.

Mais attention, Doofie n'est pas une Bourbon, ni Louis XIV, ni Louis XVI ne sont parmie ses ancêtres, mais Philippe-Auguste, Saint Louis., Hugues Capet sont ses ancêtres.

Les ancêtres de Doofie, ducs de Bourgogne, ont toujours fait la guerre aux rois de France pour reprendre leur couronne!

Jugez plutôt :

Son ancêtre de l'époque napoléonienne dont le second prénom était auguste, qui vivait à la frontière linguistique entre les Flandres Oriantales et le Hainaut Belge, un géant de près de deux mètres, devenu grâce à sa tailel, grognard de Napoléon et annobli, s'était mariée avec une certaine Reine Béatrix, d'ancêtres Orange-Nassau, mais sur cette branche, on ne remonte que jsuque vers le 11ème siècle, où la branche se perd dans une forête palatine.

Mais Doofie, par le mariage du fils de son ancêtre Pierre Auguste avec une flamande de la région d'Anvers du nom de Jeanne Sanspeur, ne déscendrait de personne d'autre que du terrible, terrible, Jean sans Peur, comte de Flandres et duc de Bourgogne, prétendant à la couronne de France, qui  lui-même descendait de Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, légitime prétendant à la couronne de France.

Par la première fille de Philippe-Auguste et de Blanche de Castille, Doofie descend directement des rois de France, Valois et Capétiens, de Saint Louis, et de Hugues Capet, maire du Palais à l'époque carolingienne, mais ce n'est pas tout.... Voilà des origines moins sauvages que celles de Jean Sans Peur.

Par plusieurs branches féminines et mariages des Valois, Doofie descend d'une part de plusieurs princesses de Cosntantinople, qui elle-même descendait de l'empereur romain Constantin, chassé de Rome par les Barbares, dont faisaient parti ses ancêtres mérovingiens... Double origine, donc... Doofie, princesse d'Occident et d'Orient...

Mais remontons plus haut du côté des rois francs.... Par une branche maternelle, Hughes Capet descendait en droite ligne de Lothaire, père de la Lotharingie et par conséquent de Charlemagne.

Doofie, princesse royale et impériale d'Occident et princesse impériale d'Orient...

Charlemagne, par une branche féminine, descendait lui-même des mérovingiens, mais pas des rois fainéants, d'ailleurs Doofie a toujours été courageuses, mais des 8 premiers rois mérovingiens environ, et en particulier de Chilpéric 1er qui n'est autre que Siegfried. Des analogies entre la biographie réelle de Chilpéric 1er, roi mérovingien chrétien, et la légende de Siegfried, relatée dans la Chanson des Nibelungen écrite vers 1200 sont très évocatrices : querelle de reines, querelle entre le roi Gunter et sa femme Brunnhilde et Chilpéric 1er qui avait fait assassiner la soeur de Brunnhilde, sa première femme, et assassinat de Chilpéric 1er lors d'une partie de chasse, par une homme de main de Gunter et de Brunnhilde rois et reines d'Austrasie (ancêtre de la Lotharingie). Chilpéric fut tué d'un coup d'épée ou de pognard dans le dos comme Siegfired. Histoire de trésor enfoui dans une rivière ou dans un lac. En fait Le trésor des Nibelungen n'aurait pas été enterrré dans le Rhin (pas d'OR du Rhin, donc, Wagner s'est trompé, mais dans la forêt d'Orient ou dans la Marne, proche de Soissons, résidence des rois de Neustrie, dont Chilpéric était Roi.

Chilpéric 1er ou Siegfried descendait en droite ligne de Clovis, qui, tout comme l'empereur Constantin, s'était converti au christianisme.

Constantin descendait lui, des empereurs romains.

Donc Doofie, avec les membres de sa famille qui descend des Contes de Flandres, est l'une des prétendantes au vrai throne royal et impérial d'Occident et 'Orient, elle règne à la fois à Rome, Constantinople (Bysance ou Istambul), et Aix-la Chapelle, à Soisson et à Paris.

Physiquement, elle ressemble aux princesses de Suède et de Hollande.

Quand elle était prof dans lycée où elle a travaillé dix ans, les élèves de Doofie lui disaient toujours qu'elle avait quelque chose en plus... par rapport aux autres profs, ce que certains appelaient du charisme. (Mais quand Doofie ne met pas ses lunettes seulement..)

Par certains mariages, Doofie aurait aussi des ancêtres Habsbourg et règne ainsi aussi sur l'Europe Centrale... dont la dynastie avait moins de droit de s'appeler romaine que celle de Doofie, héritière des empereurs romains par Constantinople. Doofie réunit en elle toutes les origines royales et impériales de L'Europe de Sud-Est au Nord-Ouest.

Doofie descend des rois mérovingiens qui possédaient des pouvoirs magiques comme Siegfried-Chilpéric 1er.... d'ailleurs c'est pour celà que Doofie écrit son journal sur mon i-grimoire...

Doofie a un peu ce caractère là, descendante  de preux rois, tel que Saint-Louis, elle est entière, ..... Descendante d'hommes terribles, sans peur et téméraires, elle lance des éclairs avec ses yeux qui deviennent noirs quand elle se met en colère...

Voilà, et quand Doofie s'endort, elle revit les combats de ses ancêtres masculins et les heures passées au château de ses ancêtres féminines, Doofie sans château, dans sa petite maison, dont l'héritage s'est perdu dans le lac d'Orient, prétendante à une partie de ce trésoir, et dans les cryptes des  églises (à Aix-la-Chapelle par exemple) dans les fossés du château-fort d'Anvers...  dans les somptueux palais des Mille et Une nuits, dans le vase de Soissons... Quand elle dort, Doofie voit les vitraux de la Sainte Chapelle, les fleurs de lys sur fond bleu roy. D'ailleurs la couleur bleu roy sied très bien à Doofie... et les émaux de la couronne de Charlemagne...

Doofie, héroïne de roman-théâtre, dotée des pouvoirs magiques mérovingiens dans son sommeil, notre Doofie à nous, chers lecteurs, quels ancêtres pour Doofie qui a le don des langues.... ... et pour cause!

Reste à Doofie a chercher qui était le Roi Arthur pour savoir, si elle peut aussi régner magiquement sur les Iles Britanniques ou la Bretagne.

Car Doofie aime passionément la Bretagne.

Doofie cherche aussi si elle ne descend pas, par sa branche maternelle puisque nous avons jusqu'ici parlé de la branche paternelle, d'un empereur Inca, en effet son grand-père maternel avait des ancêtres pas loin de Binche, et nous savons que la tradition des Gilles est d'origine Inca, de l'époque des Pays-Bas espagnols.

Elle cherche aussi, si par le côté maternel de sa mère, elle n'aurait pas des origines hongroises, car du vin d'Alsace aux vignes de Tokay, il n'y a pas loin.... Esterhazy, donc, puis Huns, descendante d'Attila et des Moghols, pourquoi pas? Cavalière dans les steppes de Genghis Khan, il ne lui manquerait  plus que la couronne africaine, et elle pourrait déjà régner sur l'Amérique, l'Europe et l'Asie du Nord.

domino