lundi, 01 octobre 2012
Blog recouvert par une page de phishing
Bonjour,
je suis Doofie, la personnage de théâtre de domino. Il y en a marre. On ne peut même plus jouer notre roman-théâtre correctement. Ils ont été ooller une page de phishign Sthumbs ou je ne sais pas quoi, sur le blog de domino, notre auteure. Surtout, si vous arrivez à nous lire, n'allez pas vous inscrire sur les rubriques de cette page de phishing, ils prennent vos coordonnées pour vous harceler ou vous arnaquer ensuite
Et puis, c'est dégoûtant, pourquoi coller une page de phishing sur notre roman-théâtre.
Qui a fait cela? Le pouvoir? Pour qui allons-nous votre la prochaine foi? Certainement pas l'extrême droite, ce n'est pas nos idées. Pas la droite on la vue à l'oeuvre. Pas la gauche, on la voit à l'oeuvre maintenant, aussi dictatoriale que la droite. Il n'y a plus de liberté d'expresssion dans ce monde qui va à la dérive, alors si la fin du monde de décembre 2012 pouvait tuer tous les dictateurs en ne laisant que les gens purs et pas corrompus comme nous et domino,alors on serait d'accord pour la fin du monde.
Doofie
pour Doofie, domino
12:00 Publié dans Blog, bug | Lien permanent | Commentaires (0)
Disfonctionnements
Bonjour,
je ne sais pas si vous arriverez à lire cette notre tout de suite, car il y a un disfonctionnement sur mon blog actuellement.
Apparemment, tout fonctionnait bien hier, puisque pour le 30/09 mes statistiques sont normales (170 clics dans la journée).
Mais depuis ce maitn, quand j'affiche mon blog ou que je tape son adresse dans le navigateur, le blog n'apparait que quelques secondes et à la place de son adresse, une adresse bidon apparait avec une publcité pleine page qui empêche de voir le blog au-dessous : "Thumbs.com" ou bien c'est un site de phishing, ou alors quelqu'un a demandé à H et F qu'on ne voit plus mon blog, que je ne peux d'ailleurs même pas voir moi-même, soit un site de phishing s'est collé dessus, mais alors, je ne peux le réparer moi-même.
A moins que ce soit pour que le blog soit moins lu. Quand des personnes viendront pour lire le blog, s'ils tombent sur la publicité à la place du blog, il ne veindront peut-être plus une nouvelle fois lire le blog, quand il sera réapparu, pendant qu'il n'existe plus.
Je ne présente pas ce blog au C2i2e, car ce n'est pas un blog fait pour l'enseignement, alors inutile que les correcteurs s'intéressent à lui et le trouve inadapté. Il est effectivement inadapté à l'enseignement, puisque c'est un blog perso, un blog qui a commencé sous la catégorie 'De tout et de rien" aux débuts de Haut et Fort (enfin pas tout à fait au début, mais, en 2006, ce blog existe depuis 2006, c'était encore l'époque pionnière et sympa.
Il n'y a jamais eu de violation de droits d'auteur dans ce blog, tout ce que j'écris, sauf citation entre guillemets, est absolument original. Maintenant peut-être qu'un plagiaire veut faire passer ses notes, ses articles ou son livre plagié sur la journaliste alternative pour ses écrits à lui. Dans ce cas, j'aimerais bien qu'on me le signale.
Peut-être que des étudiants font leur thèse ou leur mémoire à propos de la journalsite alternative, dans ce dernier cas, ils risquent d'être bloqués dans leur travail si mon blog est bloqué.
......................
Je viens de faire un signalement à mon filtre d'anti-hameçonage, du style "vérifier ce site", pour la page qui se colle au-dessus de la journaliste alternative. Cette page de phishing a une adresse longue de quatre lignes qui n'est pas la même que celle de la jounaliste alternative. Espérons que l'antiphishing ne va pas enlever les deux! Faire un signalement sur un site de phishing qui recouvre votre blog peut-il être dangereux pour votre blog?
domino
07:50 Publié dans bug | Lien permanent | Commentaires (0)
Des études faciles...
Roman-théâtre
Du journal de Dummie
1) J'ai lu dans un journal que récemment un professeur de français de lycée voulant tester ses élèves sur leur triche sur le web, leur a donné un commentaire composé en précisant, il faut absolument que ce que vous écrivez soit personnel.
Parallèlement, il a posté sur le web, à différents endroits plusieurs faux corrigés du même texte, avec des erreurs voulues, et cela n'a pas manqué : Sur 65 élèves auxquels il avait donné le commentaire 56 avaient triché sur le web et recopié sans en changer une seule lettre les faux commentaires bourrés d'erreurs!
Mais il n'y a pas que dans le secondaire qu'on trouve des étudiants malhonnêtes.
2) Vu de mes yeux : des étudiantes en programme Erasmus, en provenance de pays dont j'étudie les langues, se sont présentées chez deux professeures de leur langue maternelle en UV débutant, 3ème annéem (3è année grands commençants), dans le but d'acquérir à bon compte des EJCTS (crédits universitaires, il en faut un certain nombre pour réussir un diplôme) . Heureusement, les professeurs ont refusé ces étudiantes trop fortes par rapport au reste de leur groupe et qui auraient sans doute donné toutes les réponses et empêché les autres de s'exprimer. Totu en gagnant trop facilement leur diplôme.
3) Les certifications de langue de niveau B2 (niveau européen), sont actuellement très prisées, car elles sont non seulement exigibles pour passer les concours d'enseignant qui n'ont pas de langue vivante, mais aussi de plus en plus demandées par les employeurs ou pour d'autres concours administratifs;
Récemment, une université qui avait organisé en son sein des épreuves de niveau B2, d'une langue slave, supervisés par des professeurs en provenance d'une unisversité de ce pays, a vu les diplômes en provenance du pays en question, s'envoler lors de leur arrivée dans l'université française. Le vol de diplômes commence à devenir courant, les étudiants les refont à la photcopieuse.
Alors, attention : même chez vous, enfermez bien dimlômes et attestations!
4) Bêtie pense même qu'il y a deux ans (2010), une personne de l'académie de Paris a usurpé d'une partie de son partonyme et de ses deuxième et troisième prénom à l'agrégation (Bêtie n'était pas admissible il y a deux ans à l'externe (en 2010), mais elle a été admissible l'année dernière (2011) et cette année (2012) depuis que cette "usurpatrice" n'est plus là. Bêtie a un patronyme suffisamment rare, pour qu'en avoir la troisième partie semble vrament très bizarre, surtout avec ses deuxièmes et troisièmes prénom. Son patronyme : 8 naissances en un siècle et deux femmes qui l'ont en nom marital, plus un décès récent en nom marital. Et je les connais tous, c'est ma famille proche.a demi-usurpatrice aurait pu choisir des noms et prénoms (vieillots, car ce sont ceux des grand-mères de Bêtie) plus courants. L'usurpatrice aurait pu pour passer l'agrégation faire des photocopies des diplômes de Bêtie et gommer son pemier prénom et le début de son nom.
Pour la petite histoire, elle était déjà bi-admissible avant ces deux admissibilités là, elle est admissible 5 fois.
Tout le monde rit en s'étonnant en regardant les listes d'admissibles, car il y a toujours le nom d'une célébrité du XIXème siècle! Mais ce candidat là, au nom très difficile à porter, car marqué politiquement, existe vraiment (tout le monde se demandait s'il existait), mais oui, il était même en train de passer lors de la réunion de notre groupe.
Dummie
Pour Dummie :
Doofie
06:49 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 26 septembre 2012
La semaine des quatre jeudis
Du jounal de Sottie, mon personnage de roman-théâre :
Il y a des expressions qu'on employait quand on était jeune, et qu'on emploie plus guère aujourd'hui : tiens, en voici une : "Attendre 107 ans", c'est particulièrement ma mère, qui était d'origine alsacienne qui employait cette expression, en disant : "Je ne vais quand-même pas attendre 107 ans", alors que mes copains et copines disaient plutôt : "Attendre le dégel", et les professeurs aussi : "Alors, quoi, t'attends le dégel?"
La première fois qu'à 100 km de chez moi, j'ai dis aux élèves "Je ne vais pas attendre 107 ans", ils m'ont regardé bizzarrement, ont ri un a dit : "Pourquoi justement 107 ans, madame?" Ce qui m'a mise passablement en colère, et j'ai répondu "107 ans, mais enfin, c'est une expression du langage courant!" Car, j'ai pris cela pour une effronterie. Mais ces élèves, manifestement, n'avaient jamsis entendu cette expression. Généralement, les professeurs, plus ironiques, disent : "Pas tous ensemble!" ce qui veut dire que s'ils par hasard se réveillent, ils ne doivent pas répondre tous ensemble.
Une autre expression était très courante à notre époque, jusque dans les années 60, quand nous avions notre journée de congé le Jeudi à l'école primaire, dite élémentaire aujourd'hui, et le mardi à l'école secondaire, appelée aujoud'hui collège et lycée. C'était "la semaine des quatre jeudis".
En quoi consistait cette expression et biien, je ne me souviens plus très bien, mais en gros c'était "Tu vas le faire la semaine des quatre jeudis?" ou bien "C'est pour la semaine des quatre jeudis?", En fait, cette expression a disparu, lorsqu'un ministre de l'éducation nationale a décidé, pour rééquilibrer la semaine de l'écolier, qui n'avait plus cours le semedi après-midi de remplacer, comme jour de congé hebdomadaire, le jeudi par le mercredi.
Alors, moi, j'avais proposé de dire "la semaine des quatre mercredis", mais la nouvelle expression n'a pas fait souche.
Par contre, la semaine scolaire s'est de plus en plus amenuisée, l'élève du secondaire n'ayant généralement plus cours le samedi matin, surtout dans les lycées où il y a un internat, mais certains lycées remplacent le samedi matin, par des devoirs sur table (ou devoirs surveillés dits D.S, dans certains établissement on dit des "contrôles"). Les parents qui ne travaillent pas le samedi ont contribué à cette évolution, souhaitant partir en week-end dès le vendreidi soir.
Savoir maintenant si la semaine non-stop est bonne pour les élèves, allez vous le demander. Quand fait-il son travail personnel, surtout s'il habite loin et rentre tard par les transports en commun. J'ai enseigné dans un lycée, où les cours se terminaient à 18 heures et où les élèves rentraient parfois chez eux entre 19 et 20 heures. (Les professeurs aussi...) La pupart des élèves habitant loin, mais pas assez loin pour être à l'internat, ou dont les parents ne voulaient pas qu'ils soient à l'internat, étaient défavorisés sur le plan du travail. Je sais que nous, on apprenait nos leçons dans les autobus, mais ce n'est pas le cas dans cette région.
Actuellement, je travaille dans le train. Je veux dire, pas sur le champ, mais à l'heure actuelle..
Mais bref, en Allemagne, où l'on avait jusqu'ici un système idéal où l'élève qui va en classe 6 jours par semaine termine à 13 heures tous les jours (les français qui disent que l'après-midi éaiit réservée au spot scolaire et à la musique ont tort : en effet, le sport est dans l'emploi du temps du matin et la musique aussi et ce sont seulement ceux qui veulent, qui pratiquent le sport ou la musique l'après-midi dans des clubs ou à l'école de muisque ou chez un professeur particulier pour la musique. Ces cours sont bien entendu payés par les parents), bref, en Allemagne, on a maintenant tendance à copier la France, pour amener l'âge du bac à 18 ans au lieu de 19 ans. Mais actuellement, beaucoup de jeunes français qui ont redoublé durant leurs scolarité, passent le bac entre 19 et 21 ans. Je pense que pour arriver au niveau de l'Abitur en Allemagne, il y a plus de barrières et que seuls les meilleurs arrivent dans cette classe, sans jamais avoir redoublé. Comme nous qui en Allemagne en terminale à l'âge de 16 ans (17 ans en fin d'année scolaire) sommes passées lors de notre séjour de Pâques en Allemagne, en classe de Terminale, pour des génies. Ma correspondante était en Oberprima et était aussi un génie puisqu'ele avait 18 ans au lieu de 19.
Enfin, je m'éloigne du sujet, ce bon temps du jeudi est bien révolu, depuis au moins trente ans : les rentrées le 1er Octobre à l'école primaire, vers le 23 septembre, à l'école secondaire (déjà quand je suis devenue prof après 5 ans d'université, la rentrée était le 13 septembre). Les rentrées au goût d'automne avec les premières feuilles qui tombaient des arbres... le jeudi à la maison, puis dans le secondaire, le jeudi après-midi. Les samedi qui finissaient un peu plus tôt : pas d'étude le soir après les cours le samedi, avec la joie de souffler un peu le dimanche, on allait à la "messe des paresseux", celle de midi. Ce qui nous permettait de faire la grasse matinée une fois par semaine. Les trois journées de congé à la Toussaint, les vacances de Noël et les vacances de Pâques (pas de vacances en février). C'était le bon temps... comme a toujours dit ma mère. Mais un bon temps pas si bon que ça, si on juge du travail que devait fournir un enfant ou un adolescent. Et les longues périodes de travail, mais les grandes vacances, trois mois.. c'était vraiment des grandes vacances, des journées délicieuses passées avec maman quand papa travaillait pendant deux mois de ces grandes vacances.
Ah! Les semaines des six jeudis et du dimanche, les grandes vacances... pendant lesquelles on s'ennuyait parfois... pas de télé à l'époque, seulement la radio et des livres, et le journal local qu'on lisait aussi. Parfois des après-midi au cinéma et la piscine quand on est devenu plus grands et le mois de vacances avec la 2CV qu'on appelait pas encore la Deudeuche. On aurait pu faire beaucoup plus de choses pendant notre enfance, de la muisque (que j'ai dû arrêter à la nasisance de ma soeur, le pianon faisait peut-être trop de bruit), apprendre des langues... apprendre plein de choses... mais on avait bezaucoup de temps libre pendant les vacances, mais jamais pendant l'années scolaire, car le soir on apprenait par coeur les leçons, les fameux résumés de grammaire, les règels d'arithmétique, les résumées d'histoire et de géographie et des sciences naturelles, et parfois, on avait aussi des devoirs, souvent même. .. bref, quand des parents nous reprochent de donner trop de travail en cinquième, cela me fait rire, en cinquième, je faisait ma version latine tous les jeudis après-midi, ce fameux jeudi après-midi de liberté...
Sottie
Pour Sottie, son auteure, l'auteure de ses jours romanesques, domino
13:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Europe Centrale : Mitteleuropa
Dummie, mon personnage de roman-théâre, écrit dans son journal..
Un problème se pose maintenant : Qu'est-ce que l'Europe Centrale, pour nous Occidentaux, et surtout pour nous,les déjà anciens, qui avons été habitués à la divistion entre l'Europe de l'Ouest, affiliée à l'Otan, et l'Europe de l'Est, affiliée au Pacte de Varsovie, durant 40 ans, pendant la guerre froide (1946-1989, qui a failli éclater en guerre chaude en 1987 avec les fusées Persching )? Les deux grands de l'époque auraient volontiers sacrifié l'Europe, pour gagner cette guerre, qui doublée par des insurrections à l'Est, n'a pas eu lieu (c'est comme la guerre de Troye...)
L'Europe Centrale, dont on parle de plus en plus, comprend, n'en déplaise à vous-même, français bien occidentaux, des pays très proches de chez nous. Allez, pendant la guerre froide, on voyait passer pas loin de chez moi, le train Moscou-Paris (qui n'existe plus, doit dit en passant, pas plus que le Paris-Varsovie, sinon, je le prendrais pour aller exercer mes langues slaves 2 et 3. Parce que c'est bien d'avoir des trains sans correspondances. Et la raison pour laquelle nous nous étions installé là-bas, dans l'académie de Bêtie, c'était parce que finalement, ces trains sans correspondances étaient très pratiques, par exemple pour les jumelages scolaires.
L'Allemagne, faisait à l'époque, encore partie de l'Europe Centrale... en voici la preuve : les bons vieux wagons allemands, marqués DR (Deutsche Reichsbahn), car le siège de la Reichsbahn était à Berlin Est, contrairement aux trains d'Allemagne "de l'Ouest", apparteneant à la Deutsche Bundesbahn (DB) avaient gardé l'ancien sigle. Les wagons restaurants et les wagons-lits portaient eux, en plus du sigle DR, la marque de la MITROPA, qui était la compagnie de wagon-lits et de wagon-restaurants est-allemands. Ce qui est bien la preuve que l'Allemagne dite "de l'Est" fait partie de l'Europe Centrale et donc aussi l'Allemagne "de l'Ouest".
L'Allemagne entraîne dans son sillage tous les pays de langue allemande : la Suisse et le Luxembourg compris et bien sûr l'Autriche, bien située au centre. En gros les ex-empires allemands et autrichiens du XIXème siècle, sont l'Europe Centrale, et vous ne le savez peut-être pas, l'Empire autrichien comprenant la Hongrie, la Bukovne (maintenant en Ukraine...) Et la Transylvanie où l'on parle encore aujoud'hui hongrois et tchèque dans certaines régions. Il y a donc en Europe Centrale des petits pays comme la Slovénie, pays de montagne situé au Sud de l'Autriche et le Nord de la Croatie, assez montagneux et dont le style des villes ressemble à celui de l'Autriche du Sud. En particulier, la forme des églises est la même, alors que celles des autres pays de l'ancienne yougoslavie font plus méditéranéennes. Et le reste de l'ex-Yougoslavie fait partie des Balkans. L'Europe Centrale est essentiellement de religion chrétienne, catholique et orthodoxe à l'origine, mais plutôt catholiques, les pays à écriture cyrillique n'en faisant pas partie, et aussi protestante depuis le XVème siècle (réforme hussite en Tchéquie, bien que 70% des Tchèques sont, suite à la période communiste, devenus athées.
L'EUrope Centrale comprend donc des pays entiers et des morceaux de pays, mais politiquement parlant, plus que géographiquement parlant, la Suisse et le Luxembourg n'en ferait pas partie et politiquement parlant, comme il existe aussi une Europe du Sud, différente de l'Europe balkanique et comprenant aussi l'Italie et l'Espagne, l'Europe de l'Ouest est maintenant réduite au Bénélux, à l'Angleterre, à la Grand-Bretagne et à l'Irlande.
Historiquement parlant, l'Alsace et la Moselle, feraient aussi partie de l'Europe Centrale. Metz a d'ailleurs été longtemps la capitle de la Burgondie, de l'Austrasie (différente de la Neustrie ou Francie dont les capiteles ont été Soissons, puis Paris) et de la Lotharingie, partie centrale de l'Empire de Charlemagne, octroyée à Lothaire lors du partage de son empire, puis cette région a fait aussi partie de la Bourgogne, dont les ducs étaient opposés au roi de France et régnaient aussi sur les Flandres, puis a appartenu aux Habsbourg, sous Charles Quint et Philippe II.
La famille de Luxembourg a régné plus sur l'Euoper Cetnrale que sur l'Ouest, puisqu'elle a donné quelques rois à la Bohême (en république tchèque).
Quel pays et régions comprend donc l'Europe Centrale ?
Et bien géographiquementet historiquement on met en Europe Centrale :
- L'Allemagne,
- L'Autriche,
- Le Luxembourg,
- la Suisse,
- la Pologne,
- la Hongrie,
- la République Tchèque (néologisme maintenant accépté : Tchéquie),
- la Slovaquie,
- la Slovénie,
- le Nord-Est de la Croatie,
- la Transylvanie (en Roumanie),
- la Bukovine (en Ukraine),
- l'ex-clave russe de Kaliningrad (Königsberg),
- les Pays Baltes (Lithuanie, Lettonie et Estonie),
Politiquement, on ne met en Europe Centale que les pays entiers cités ci-dessus, moins les Pays Baltes, qui font alors partie de l'Europe du Nord, bien que très différents sur la plan architectural et historique, et moins l'ex-clave (contraire d'enclave) russe de Kaliningrad qui fait partie comme la Russie de l'Europe de l'Est, qui comprend alors, la parie européenne de la Russie (jusqu'à l'Oural), l'Ukraine et la Biélorussie. Historiquement cette ex-clave russe était allemande jusqu'en 1945.
Actuellement, il s'est formé dans l'Union Européenne, le groupe de Visegrad, dit d'Europe Centrale et comprenant la Pologne, la Tchéquie, la Slovaquie et la Hongrie.
Voilà dont, ce que l'on appelle en gros l'Europe Centrale : pays germaniques et pays slaves, Hongrie, sauf la Russie et sauf les pays slaves qui faisaient partie de l'Ex-URSS : la Biélorussie et l'Ukraine.
Dummie
(pour Dummie, son auteure : domino)
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lundi, 24 septembre 2012
Ecrit du nouveau CAPES : De la rigolade?
Roman-théâtre
Du journal de Doofie, ma personnage de théâtre.
Quand je vois les épreuves écrites du nouveau CAPES, je me dis que c'est franchement de la rigolade : 2 épreuves écrites au lieu de quatre à notre époque, et pas de dissertation.
Quand j'ai passé et réussi le CAPES dans les années 70, j'avais quatre épreuve d'écrit :
- dissertation en allemand sur l'une des quatre questions de programme (prises dans le programme de l'agrégation), coefficient 2.
- version
- thème
- commentaire dirigé en français d'un texte du programme, texte en allemand (de l'une des quatre questions prises dans le progarmme d'agrégation).
NB : Le thème et la vesion étaient notés sur 20 séparément.
Maintenant il ne reste de ce programme que deux épreuves et plus de dissertation :
- Commentaire dirigé en français d'un texte allemand hors programme.
- Thème et version, comptés ensemble et plus courts que ceux de notre époque.
Les professeurs stagaires certifiés rentrent directement dans la carrière et ne font plus de stage (mais ils sont dit stagiaiers pendant un an).
A notre époque, notre cinquième année d'études était un stage divisé en trois trimestres : on passait le premier trimestre dans un lycée avec un conseiller pédagogique, le deuxième trimestre dans un collège avec un autre conseiller pédagogique et le troisième trimestre dans un deuxième lycée avec un troisième conseiller pédagogique. Durant le dernier mois on se partageait entre le collège et l'un des deux lycées, où l'on prenait deux classes, une classe de chaque et à l'issu de ce mois on était inspecté deux fois, une fois en lycée et une fois en collège. Cette double inspection était en réalité un examen, qui nous donnait ensuite la qualité de titulaire. Il y avait trois "inspecteurs" dans notre classe, un IPR ou un IG et deux assesseurs qui étaient deux conseillers pédagogiques '(un des nôtre, plus un deuxième venu d'un autre lycée). Donc, un jury de trois personnes.
J'ai eu la chance d'avoir mon stage du premier coup (mes amies dont Bêtie aussi, on lui a même dit qu'elle aurait eu une mention, si elle avait chanté avec sa guitare en collège) , ceux qui ne l'avaient pas devaient refaire (redoubler) leur stage et s'ils ne l'avaient pas la deuxième fois, il fallait recommencer le concours.
Les deux inspections avaient lieu le même jour quand c'était dans la même ville et deux jours d'affilée quand c'était dans deux ville différentes. Elle faisait l'objet d'une notation globale, c'est à dire qu'on réussissait les deux ensemble ou rien du tout. C'est cet examen inspection un an après le concours du CAPES que l'on appelait CAPES pratique (on pourrait le donner dans les listes des titres admis pour passer l'agrégation, sur la liste au même titre que la deuxième année d'IUFM ou le PLC2. (Ne pas confondre avec PLP2)
On m'a conseillé de faire plutôt le collège parce que je chantais et que je jouais de la guitare, alors que je préfère toujours le lycée, et j'y ai aussi généralement meilleure presse. Plus tard, c'est en lycée que ma note administrative a augmenté le plus.
Autrement dit, le CAPES de notre époque, côté écrit de concours était une mini-agrégation, ce qu'il n'est plus maintenant Bien sûr, il faut un master 1 pour s'y présenter (pas forcément de la même matière), à l'époque, il fallait une licence en quatre certificats, on m'a dit un jour qu'en réalité c'était la maîtrise d'avant la réforme. Et que la maîtrise était alors un master. Mon grand frère a fait une maîtrise en quatre certificats (en scientifique) qu'il a commencé en 2ème année, il a commencé l'univesité en même temps que moi (j'avais de l'avance!).
Mais maintenant ma licence n'est plus reconnue que comme une licence et ma maîtrise comme une maîtrise. A cette époque, je pense que les étudiants d'allemand étaient meilleurs que maintenant. J'ai vu effectivement des étudiants obtenir licence et master, alors que je ne leur aurais jamais donné, vu les fautes de grammaire qu'il font encore et leur manque de vocabulaire de base (vie quotidienne ignorée, alors qu'ils connaissent tout le vocabulaire philosophique, il ne savent pas dire un poireau, mais ils savent comment on dit "la critique de la raison pure".
Bon, voilà, je ne veux froisse personne, mais l'écrit du nouveau CAPES, c'est de la foutaise.
En fait, on avait crée le concours prestigieux de l'agrégation à la fin du XIXème siècle, puis, un peu comme con avait inventé le CAPCEG dans les années 60, pour faire des professeurs de collège en augmentant l'horaire de trois heures (les PEGC avaient 21 heures et les certifiés 18, ce qui avait provoqué la colère d'une de mes collègues PEGC sur mon premier poste après le CAPES : elle était obligée de travailler trois heures de plus que moi alors qu'elle avait trois filles en bas âge), un peu comme cela, on a créé le CAPES qui était une mini-agrégation, une agrégation allégée, avec 3 heures de cours en plus (18 au lieu de 15) dans le courant de la première moitié du XXème siècle.
Ensuite, le CAPES a été galvaudé, bradé. Encore prestigieux dans les années 60/70, il a été doublé par un CAPES interne allégé dès les années 80 (le CAPES interne aurait encore une dissertation? et serait donc devenu mieux que le CAPES externe?). Ou peut-être déjà à la fin des années 70. Puis il a fait des jeunes : CAPES spécifique, réservé, 3ème concours, si bien qu'on s'est retrouvé, certainement inutilement, avec 5 types de CAPES. Pourquoi, puisque le CAPES externe a maintenant des épreuves de type interne, ne pas additioner les postes mis aux concours des 5 CAPES et n'en faire qu'un seul?)
Le problème est que quelqu'un qui a réussi le prestigieux CAPES de mon époque, est mis sur le plan de la rémunération sur le même plan que celui qui a réiussi un CAPES réservé ou spécifique ou un 3ème concours.
Bon, je vous ennuie avec tout cela.
Doofie, professeur certifiée par CAPES ancien et prestigieux à quatre épreuves d'écrit, admissible 5 fois à l'agrégation (3 fois à l'interne et 2 fois à l'externe).
Pour Doofie, qui se prend à elle toute seule pour un syndicat,
domino
15:13 Publié dans enseignement (3), "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (0)