dimanche, 20 janvier 2013
Aussi pour la pédagogie
Roman-théâtre
Bêtie, ma personnage de roman-théâtre, TZR (Titulaire en Zone de Remplacement) a été appelée un jour où elle était à l'université pour un remplacement, on lui a reproché de ne pas être chez elle pour prendre le coup de téléphone (tout en sachant que même quand elle est là, son téléphone, branché sur une messagerie, se met en mode messagerie a bout de trois sonneries).
Reproche 1 , elle était à l'université et suivait des cours de langues qui ne sont pas de l'allemand.
Objection : Suivre des cours de langues de niveau débutant ou débutant 2, peut vous donner beaucoup d'idées pour vos propres cours de langue, en l'occurence, l'allemand. En effet, les professeurs sont souvent des locuteurs natifs qui utilisent les manuels de leur propre pays; voir comment sont conçus ces manuels souvent à la pointe du progrès, car issus de pays jeunes qui ont du renouveler toute leur pédagogie des langues il y a 20 ans, changement de régime oblige, ont des méthodes pédagogiques intéressantes et leurs manuels suivent de près le cadre européen des langues.
Reproche 2 : Vous pourriez avoir un téléphone mobile.
Objection : Bêtie,lorsqu'elle a commencé sa carrière de professeur du public sur un poste établissement, n'avait pas de téléphone du tout, même pas de fixe. En effet, à cette époque, fin des années 70, peut-être que seuls un foyer sur trois avait le téléphone; noss parents n'ont eu le téléphone qu'au début des années 70, et nous-même vers le milieu des années 80. Quand on téléphonait à nos parents, une fois par semaine, on allait à une cabine publique située dans la ville voisine. Bêtie a donc obtenu son CAPES alors q'elle n'avait ni téléphone, ni permis de conduire. Bêtie n'a pas grandi avec le téléphone, elle a d'ailleurs peur des sonneries de téléphone qui lui annoncent parfois de mauvaises nouveles ou que prinicpaux et proviseurs, rectorat, secrétaires d'établissement utilisent pour l'enguirlander. A chaque fois que la sonnerie du téléphone retentit, elle sursaute et elle pâlit, parfois elle se sent même défaillir, même si c'est un ami ou quelqu'un de la famille qui l'appelle. C'est pourquoi, elle préfère maintenant leur envoyer des mails, ou communiquer par Trombinoscope Livre, cela fait moins sursauter. Bêtie a encore moins grandi avec un téléphone mobile. Elle en a eu un certes, perdu quelque part, maintenant en panne, mais seul son mari en avait le numéro. Elle ne pensait à en écouter les messages et à les lire que toutes les unes ou deux semaines, car ce n'est pas encore entré dans ses moeurs d'écouter un répondeur.
...................
Moi, je pense que c'est normal, parce que regardez : mes grands-parents paternels n'ont jamais voulu avoir la télévision. Aucun de mes grand-parents n'a eu le téléphone. Ma grand-mère paternelle qui roulait pourtant à vélo et avait quelques ancêtres prestigieux, avait une frousse bleue de monter dans une voiture, car elles allaient trop vite. Quand nous partions en vacances, elle craignait toujours que nous ayions un accident et elle n'était rassurée que lorsqu'environ 3 jours après notre arrivée sur place, vu les délais postaux, et vu la longueur de la route, avec la 2 CV et sans les autoroutes qui n'existaient pas il fallait environ 3 jours pour arriver à l'autre bout de la France, alors ma grand-mère attendait 6 à 8 jours la permière carte postale, et était enfin rassurée. Au retour, mon père allait tout de suite, dès l'arrivé à la maison chez mes grand-parents pour leur dire qu'on était revenus.
Donc, cela veut dire que c'est normal qu'à un certain âge on n'utilise plus forcément, les nouvelles techniques. Bêtie, mon personnage de théâtre et moi, nous avons su quand même nous adapter à l'ordinateur, mais nous n'avons pas d'i-pod, d'i-pad, de lecteur mp3 (j'en ai acheté un, mais je ne sais aps m'en servir), d'i-phone, etc... je n'ai jamais eu de console de jeux. J'ai quand même un APN (cela revient moins cher qu'un appareil de photos d'antan pour le développement, tant qu'on ne tire pas les photos sur papier). J'en suis d'alleurs à mon troisième, deux étant tombés en panne alors que mes appareils d'antan ne tombaient jamais en panne. Mon Rapidy en est bien à son quatrième téléphone mobile, mais toujours des classiques sans internet. Le minitel n'est plus utilisé, trop cher, il a été vie mis au rancart. J'en suis à mon troisième ordinateur seulement, doublé par un qutrième plus petit.
Finalement, les élèves apprenaient mieux à l'époque non numérique, avec les magnétophone à bande (si, si je suis passée rapidement aux cassettes, mais pendnt tout un temps, au début des platines-CD, je n'avais plus acheter de dissques car on ne trouvait plus de 33 touts et de 45 tours, et je n'étais pas passée à l'ère du CD, j'ai bien mis 5 ans avant d'acheter des CD (dans les années 90), et je n'achète toujours rien par internet. Mon mari, qui ne s'est d'ailleurs jamais mis à l'informatique, ne veut pas. Je ne me suis jamais mise au Blue-Ray, je ne sais d'ailleurs pas ce que c'est exactement et mes personnages de roman-théâte, à cet égard là, sont comme moi.
domino
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Pour réparer un livre mouillé
Pour réparer un livre mouillé
Sottie, mon personnage de roman-théâtre me communique par écrit ce remède :
Si vos avez un livre qui est tombé dans la neige ou dans une flaque d'eau, ou qui a été mouillé dans votre sac à dos, voici un remède simple que j'ai trouvé :
Ne pas attendre pour réparer,sinon,les pages vont coller ensemble et la réparation sera impossible à faire.
Placer ne feuille de papier absorbant (papier de cuisine en rouleau) entre chaque page ou chaque coin mouillé.
Entreposer le livre dans une pièce normalement chauffée.
Attendre que le tout sèche.
Quand le livre est sec, enlever les feuilles de papier absorbant, les pages ne collent plus entre elles.
(Il est plus difficile de réparer des livres dont le papier est glacé que des livres dont le papier est mat, car le glaçage des pages "colle". Cette réparation n'enlève pas les tâches de teinture si un objet, votre trousse par exemple a déteint sur le livre), ou si des couleuurs d'une autre page on déteint, c'est surtout pratique pour les livres ou partition imprimés en noir sur blanc).
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Je ne sais pas ce que ce remède vaut devant un livre à moitié perdu, on peut toujours essayer.
domino
11:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pour enlever les tâches d'encre
Remède de grand-mère (pour aider mon personnage de roman-théâtre Bêtie)
1) Mouiller la tâche d'encre avec de l'eau froide,
2) Poser dessus du papier absorbant imbibé de vinaigre blanc, attendre que la tâche soit absorbée, 5 minutes environ.
et hop! La tâche est partie!
domino
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samedi, 19 janvier 2013
Informatique défaillante, donc mauvaise manière de servir
Du journal de Bêtie
Il est Samedi 6 heures 20 du matin, paysage enneigé, routes verglacées.
J'essaie de me connecter aux collèges pour faire mes cahiers de texte des deux derniers jours, car les collèges m'ayant certes communiqué les codes de Pronote, mais pas ceux de des ordinateurs des collèges (ils ne m'ont pas créé de compte, ni donné celui de ma collègue), je ne peux accéder aux ordinteurs du colège et à celui de ma classe pour faire les cahiers de texte.
J'ai déjà demandé ces codes plusieurs fois, mais je ne les ai toujours pas, ni d'un côté, ni de l'autre.
Voulant me connecter de la maison à l'un des collèges j'obtiens le message suivant "Votre adresse IP a été suspendue" C'est vrai que j'ai eu du mal à accéder à Internet ce matin et que j'ai dû m'y reprendre plusieurs fois (débrancher la box et la rebrancher c'est un bon système!) mais de là à faire suspendre mon adresse IP sur l'un des collèges (celui où je n'ai que 3 heures, mon cahier de texte est d'ailleurs à jour dans ce collège et je voulais seulement vérifier et compléter un peu les objectifs), cela est du véritable harcèlement.
J'avais aussi recopié les cahies du remplaçant qui m'a précédé d'après les indications qu'il m'a fournies.
Mais en tout cas, j'ai reçu une lettre concernant ma manière de servir et de futures santions administratives, ceci concernant un jet de crayons par terre qui a eu lieu en décembre 2010, il y a plus de deux ans, une mère d'élève ayant téléphoné au proviseur de la cité scolaire que sa fille était en dange, ceci en sixième. Et une lettre écrite par un parent de seconde, dont le proviseur n'a jamais voulu me dire le contenu exact, mais il est certain qu'il ne s'agissait pas de discipline, puisque je n'aiavais pas de problème de discipline dans cette clase. L'un de mes élèves, faibles au début, avait d'après mon collègue qui avait les groupes de compétences (plusieurs de mes élèves étaiennt 'montés" dans son groupe, énormément progressé.
Le deuxième évènement concernant ma manière de servir étant leis jets d'encre qui avaient eu lieu un lundi après-midi jsute à la fin d'un cours où les élèves avaient bien travaillé. Ils avaient sali, et en partie pendant qu'une partie des élèves nettoyaient le bas des murs, les tables et les chaises et surtout "O grand malheur!'", le sol qui était ciré deux fois par jour au moins, pour qu'il brille autant. C'était avec des SEGPA.
D'ailleurs, j'ai été seule dans la salle d'allemand jusqu'à ce qu'une professeur d'anglais vienne demander ma classe, parce que on mavait réinstallé un système de visoi-projection qui fonctionnait bien et dont elle se servait pour passer des films, faisant parfois irruption dans ma classe, parfois avec le principal qui m'ordonnait de libérer immédiatement la salle, à des heures où elle n'était pas prévue, m'empêchant d'enregistrer les exercices que je venais de réaliser avec mes cinquièmes.
(J'estime d'ailleurs avoir été victime du hacèlement moral de cette MA d'anglais plus jeune que moi, -je suis bi-admissible à l'agrégation - qui m'a parfois fait pleurer).
Bon, je voulais dire que le dernier rapport fait sur moi concerne cette salle, qui tant que j'ai été seule dedans, en novembre, décembre et peut-être janvier (je ne me souviens plus quand la professeur d'anglais a demané à être dans ma salle), était propre comme un sou neuf, avec le sol qui reluisait. Mais dès qu'elle est venue chez moi elle a été pleine de terre et de petits papiers, que je devais ramasser avant de faire cours l'après-midi. Mes élèves ayant tendance à resalir la salle, lorsqu'ils voyaient un sol sale.
Dans les collèges où j'ai été depuis le début de l'année, les sols ont toujours été propres et je n'ai jamasi eu de reproches ce ce côté.
Juste qu'hier cinq chaises n'avaient pas été mises à midi sur les talbes et l'agent me l'a reproché, mais comme toutes les places ne sont pas occupées, chaque élève s'était occupé de sa chaise, mais pas des places vides. Parce qu'il faut toujours que je leur dise "Mettez aussi les chaises des places vides sur les talbles. Ou "Faites deux chaises chacun ou trois chaises chacun", selon le cas.
Bon, bref, pour cette histoire de salle salie et les deux trois crayons qui ont été lancés dans une classe, et pour la note administrative qui a été baissée suite à ces deux rapports faits sur moi, un troisième rapport fait sur moi avait été fait à la demande du rectorat suite à mon entretien avec l'inspecteur qui m'avait inspecté l'année précédente disant que je devais "utiliser les manuels avec discernement", -ce qui pourrait laisser croire que j'agis sans discernement, et que par conséquent je serais bonne pour l'hôpital psychiatrique - tout comme l'autre inspecteur qui 10 ans avant ayant demandé une "tutelle pédagogique", alors que j'étais titulaire, a provoqué une mise en congé pour "maladie mentale", car la médecine du rectorat avait interprété "tutelle légale et demandé une expertise psychiatrique. Un tuteur pédagogique est ce qu'on appelait dans l'ancien temps "conseiller pédagogique" et donc quelqu'un qui aide les stagiaires à préparer leurs cours.
Alors, maintenant, je vais être destituée à cause de trois crayons lancée et d'un peu d'encre lancée sur le sol et le bas des murs. Les tâche étant du bleu effaçable pouvaient être enlevées avec des effaceurs ce que les élèves avaient d'ailleurs commencé à faire, lorsque la classe suivante est arrivée et a été chercher des chiffons chez les agents de service ce qui a provoqué la venue du principal. En effet, le principal et la gendarmerie sont intervenus uniquement parce qu'à ma demade les élèves ont demandé des chiffons aux agentes de service.
Moi si j'avais été principale, j'aurais fait revenir les élèves de la SEGPA qui avait sali et je leur arrais fait nettoyer. Au moins, cela aurait été une mesure édcative.
Le rectorat avait reçu des photos de ces "dégradations", je répète que c'était de l'encre facilement effaçable ou lavable à l'eau puisqu'il s'agissait d'encre bleue effaçable. la gendarmerie appelée pour "constater les dégâts, m'avait d'ailleurs photographié la main sur laquelle il y avait des traces d'encre bleue, dûes au nettoyage car j'avais également mis la main à la patte avec les élèves de cinquième arrivés après les SEGPA. Et une minuscule tâche qui avait été faite sur l'un de mes cahiers. De 5 mm sur 1 mm, estimant que mon cahier ayant été touché par l'envcre, j'aurais subi un préjudice moral. Donc, le contraire de ce que dit le rectorat. La tâche étant d'ailleurs effaçable avec un effaceur.
Bon, je vais vous expliquer une chose :
Dans les années 90, on avait tous entendu à la radio (ou à la télévision pour ceux quil l'ont) qu'un professeur de philosophie enseignant dans un bon lycée de la région parisienne, s'était mis tout nu devant ses élèves pour prouver que le ridicule ne tuait pas. Tout ce que ce professeur a eu comme sanction, c'est d'être mis dans un lycée de ZEP, dans lê même secteur, donc, sans déménagement.
Moi, je n'ai jamais commis de telles exactions et je fais des remplacements depuis 8 ans, après une vingtaine d'années sur des postes étalbissement dans des collèges et lycées, souvent loin de chez moi, jusqu'à 80 km puisque la zone de remplacement agrandie fait 100 km de diamètre et de côté, souvent dans des REP et zones sensibles.
Bien sûr ma principale de collège de rattachement qui interprète mal mon blog, va dire "C'est elle qui a fait cela!", parce qu'elle n'écoute pas la radio! Ou elle ne l'écoutait pas dans les années 90. Et elle m'affauble de tout ce que je reproche aux autres.
Par exemple on a dit dernièrement, que je ne travaillais pas assez, et j'avais repoché dans les années 90 à un collègue, mainteant retraité, donc on peut le dire, de ne pas travailler assez, en effet quand je récupérais en terminale des élèves que j'avais eu en seconde et qu'il avait eu en première, leur niveau avait souvent baissé pendant l'année où les avait eu, alors que je donnais des interrogations de verbes forts,de vocabulaire, de régimes des verbes et des adjectifs toutes les semaines, un DS long toutes les 3 semaines et un résumé comentaire à faire à la maison à chaque fin de texte, et toutes les corections à faire selon des codes que l'on avait eu au réseau "téussite au lycée", donc, .je relevais tote les copies deux fois, mais - o malheur pour mon inspection, je ne vérifais pas les classeurs car c'étaient des lycéens.
Suite au congé maladie que l'on m'avait obligé à prendre après ces années passées à travailler à fond dans un lycée, on a écrit dans des réglements de lycée -celui où j'ai été rarttachée ensuite comme TZR -qu'il était interdit de faire farie des corrections de devoirs, chose vraiment aberrante, ceci pour m'empêcher de marquer la distance avec les collègues qui n'en donnaient pas, - le collègue retraité dont 'j'ai parlé plus tôt dsant "Mais enfin, nous ne pourrions jamais faire tout ce que tu fais, tu ne vois pas le temps que cela nous prendrait..." Depuis, on a décidé pour les professeurs d'allemand de ne plus faire donner qu'une "tâche finale",une fois par mois. Et j'en donne plus et la plupart des collègues de collège d'après les notes que je vois, aussi. Mon collègue agrégé, toujours bien vu, maintenant retraité, avait une seul carnet de note pour 10 ans, qui contenait une à deux notes par trimestre. Il n'a jamais été sanctionné.
Un jour, alors que je n'étais pas encore dans son lycée, il me l'a raconté plus tard, un élève a poussé une chaise qui était derrière lui sur la table, par la fenêtre. Elle est tombée dans l'avant-cour juste à côté d'un CPE qui passait par là, qui a failli la recevoir. Mon collègue qui racontait cette histoire en riant, a juste été convoqué qu bureau et eu quelques remontrances.
Après mon inspection de mars 2002, alors que jamais rien de cette sorte ne s'était passé dans une de mes classes, un élève m'a dit : "C'est vrai, Madame, que dans votre cours une chaise était tombée par la fenêtre". J'ai démenti formellement cetet information et j'ai dit, non, ça s'est passé dans la classe d'un collègue alors que je n'étais même pas encore dans ce lycée; un auter a dit : mais non, tu le connais, il a piqué une colère et a lancé la chaise par la fenêtre! En effet, mon collègue piquait souvent de grandes colères (environ trois fois par cours), mais n'était jamais inquété pour cela alors que pour la première colère que j'a piqué comme enseignante, j'ai tout de suite été envoyée chez un expert psychiatre. Et lui qui a piqué des colères durant toute sa carrière, atrapant parfois des élèves par le bras et les secouant comme des pruniers, n'a jamais été inquiété de sa carrière. Il a tout juste eu des remontrances à la CPE. Il avait un jour traité mes genitlles élèves que j'avais eu en 2nde et en 1ère L de "potiches", alors qu'elles participaient beaucoup avec moi.
Par contre,c'est lui qui, sachant qu'il n'avait plus que trois mois à faire avant sa retraite a décidé d'aller en zone de remplacement pour que les deux collègues en place dans ce lycée puissent rester sru leur poste, c'est lui qui m'a précédé sur mon remplacment actuel et bien qu'il a donné des choses très dfficiles -de niveau lycée- il a été très apprécié des élèves qui l'ont trouvé gentil.
Depuis que j'ai quitté ce lycée d'il y a dix ans, la moité des postes du lycée ont été supprimés, alors qu'on avait réussi à les maintenir dans les années 90, où l'on avait quatre à cinq postes.
Je me demande si avant l'inspection de mars 2002, on n'avait pas mis une partie de son dossier dans le mien, car c'est à partir de ce moment qu'on a décidé d'écirire "la professeure" pour les professeurs femmes. Je pense d'ailleurs avoir été beaucoup victime de mysoginie de la part de certains chefs d'établisement.
Une demande : Si vous m'avez eu comme professeur, et que vous avez une bonne opinion de moi (et ne vous destinez pas à l'éducation nationale, sinon, vous pourriez être sanctionnés plus tard pour les éloges que vous faites de moi. alors, écrivez au rectorat, le bien que vous pensez de moi.
La même chose, si vous m'aviez apprécié comme collègue, pour ma bonne collaboration. Par exemple une professeure de communication avait beaucoup apprécié ma collabrartion en BTS secrétariat, concernant les épreuves de letres commerciales en allemand.
Ou un collègue avait apprécié ma collaboration en BTS hôtellerie-restauration en ce qui concernait la préparation des sujets. Je lui avais d'ailleurs prêté mon mari bilingue pour faire les enregistrements, mais son nom avait été tu vis à vis du collègue et des inspecteurs parce qu'l porte un nom français, bien qu'il soit plus germanophone que francophone.
Je demande par ailleurs que tous les chefs d'établisements ou les adjoints (jai souvent été mieux vue par les adjoints que par les chefs d'établissement eux-mêmes) qui m'ont aprpéciée (par exemple dans le lycée ou j'avais sur ma note administrative "Donne toute satisfaction" au début des années 90), qu'ils écrivent des lettres défendant ma réputation. Et ceux des remplacements qui se sont bien passés aussi, car seuls les chefs d'établissement ou ça se passe "mal" font des rapports sur moi et les autres là où cela se passe bien, ne font pas de rapprorts positifs.
Sur le remplacement du mois d'octobre, je n'ai pas vu le chef d'établissement à la fin du remplacement, mais dans l'ensemble, tout l'administration était sympathique avec moi, et moins les collègues, car ils n'avaient pas été prévenus que la collègue allait prendre un court congé, prévu.
Sur le remplacemet d'un mois en novembre-décembre, à part, comme me l'a dit la principale à la fin du remplacment, notre entretien houleux au début du remplacement, car j'aurais dû être suspendue au téléphone pour entendre les remplacements que l'on me donne (donc rester chez moi 24h sur 24 comme si j'étais en congé maladie, ne plus faire d'études ni de courses dans la journée). elle pensait que nous nous sommes bien entendue; Elle m'ouvrait d'ailleurs tous les matins à 7 heures 30 du matin (c'était l'heure à laquelle arrivait mon autobus, pris après un train), elle-même la porte du collège, située près de son bureau, souriante, ce qui constituait un accueil chaleureiux et me mettait dans de bonnes dispositions pour la journée.
Heureusement que je n'ai pas reçu la lettre que je viens de recevoir durant ce remplacement.
Le principal de mon remplacement actuel (où il y a le maximum de mon horaire que je complète à 15 km de là, en prenant un bus entre midi, ce qui m'empêche de manger à midie car on n'a pas le droit de manger dans les bus) qui avait dans cette REP ce matin là d'autres chats à fouetter, m'a dit que cette lettre reçue du rectorat ne concernait pas du tout son établissement et qu'il y était pour rien.
C'est pourquoi l'on reçoit des années après, des lettres sur votre "manière de servir" pour de petits évènements qui ont été montés en épingle par certaines personnes.
Bien sûr, cette letre donnée juste avant les cours, m'a mise en colère et m'a mal lunée contre les élèves ce matin-là qui, même gentils, ont dû subir mes foudres. J'ai tellement grondé un élève qui entrait en faisant du bruit que ma dent à pivot s'est détâchée.
Ce genre de lettres et de reproches injustifiés "votre manière de servir" arrivant des années après (deux ans pour le premier rapport), peut vous causer de nouveaux ennuis, car il fait changer votre attitude vis à vis des élèves.
(Le rapport de janvier 2012 étant d'ailleurs la reprise de celui d'octobre 2011, avec une phrase rajoutée disant que la situation s'était améloirée et un reproche supplémentaire concernant le travail que je faisais en complément d'horaire, qui n'avançait pas : j'ai donné le résultat en fin d'année au CDI). J'ai laissé aussi beauoucp de traces de mon travail sur des ordinateurs, il est possible que le travail profite maintenant à mon ex-collègue. C'était un travail à long terme.
Fille de la grande ville, je me sens d'ailleurs mieux adaptée à une population plus urbaine et industielle, les architectures de la ville de mon deuxième collège d'ailleurs, assez hétéroclites, me faisant penser à ma ville natale, mis à part les collines.
Je vais donc teminer ici cet était des choes actuelles.
En demandant à tous les anciens élèves, anciens colègues, ou anciens adjoints qui ont une opinion positive de moi et surtout de mon travail d'envoyer -à moins qu'ils aient peur d'être ensuite harcelé dans leur carrière- au rectorat des éloges sur moi. Si vous avez du négatif, vous abstenir.
Bêtie
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Pour défendre Betie
domino
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jeudi, 17 janvier 2013
Disparition (suite)
Roman-théatre
Du journal de Doofie Comme ses copines TZR Doofie a commencé un nouveau remplacemen au mois de janvier à la rentrée. Comme d'habitude on lui a prêté quelques livres pour débuter son remplacement mais comme elle préfère avoir ses livres à elle, pour pouvoir écrire ses préparations en partie dessus elle a demandé à Schnelly d'aller lui chercher quelques livres à grand métropole régionale.
Le voici revenu hier soir avec un superbe livre vert-jaune acheté aux environs de 20€. En effet Doofie en tant que TZR, comme elle change sans cesse d'établissement, n'a jamais de spécimens. Bon Doofie commence la nuit dernière à travailler dans son nouveau livre, qu'elle replace à côté du livre prêté dans son cartable (Doofie rend toujours ce qu'on lui prête à la fin des remplacements... et ses clefs aux adminstrations - et pas aux collègues, puisqu'elle signe des bordereaux). Mais son remplacement actuel, n'est pas encore terminé).
Voilà, elle ne sait plus exactement, mais le nouveau livre n'était pas dans son cartable quand elle a déballé ses affaires en classe. Elle n'avait d'ailleurs pas encore eu le temps d'écrire son nom dessus. Doofie préfère travailler sur ses propres livres parce qu'elle peut alors les annoter. Ce qui va plus vite pour l'utilisation en cours. Doofie a donc pensé que son livre était à la maison. Seulement voilà, une fois arrivée à la maison pas de trace du livre en question, alors qu'elle en avait bien deux hier soir. Le livre prêté et le livre à elle. Que Schnelly venait de lui acheter d'après sa commande.
Elle demande simplement à Schnelly s'il n'a pas vu le livre qu'il lui avait donné hier soir. Schnelly sort le lvre prêté du cartable de Doofie en disant "Ouvre tes yeux, il est là!" Pas celui-là, il vient de l'armoire de la collègue, l'autre, le neuf! "C'est celui-là!" Mais non, celui-là est recouvert avec une couverture en plastique, celui que tu m'as acheté hier n'est pas rrecouvert. Alors, le ton monte, car Schnelly dit "Ce n'est pas moi qui l'ai pris! Je n'ai pas touché à tes affaires!" (Mais il il vient d'y toucher en sortant l'autre livre du cartable). Bon, le ton monte, monte, Schnelly n'est pas du tout content que Doofie l'aurait accusé d'avoir repris le livre. Alors que Doofie n'a rien dit du tout : elle a dit qu'elle ne trouvait plus le livre, et pense encore qu'elle a pu le laisser sur une table au collège. La scène finit dans les pleurs et les larmes et les livres qui volent.
Doofie n'est pas encore allée dormir, elle ne supporte pas d'aller se coucher auprès de cette homme qui geint comme un bébé pris en faute. Il l'horripile.
En douce, Doofie regarde en douce dans le cartable de Schnelly, si le livre n'y serait pas.. il n'y est pas... et il n'y a d'ailleurs presqu'aucun livre dans son cartable de classe, seulement un qu'elle ne connait pas.
Elle se demande s'il fait vraiment cours, s'il ne serait pas déjà en retraite et qu'il ne le lui aurait pas dit. Parce que son cartable est vraiment léger, à l'intérieur, il n'y a que quelques papiers mal rangés dans quatre sachets en plastique. l Doofie va aller en douce voir dans les pouelles à la cave. Elle se demande si on n'a pas pris le livre dans son cartable, qu'elle n'a laissé qu'une fois seul, dans la salle des professeurs.
En plus, la collègue en lui a même pas prêté les cassettes pour faire cours avec ce livre.
Pour Doofie
Domino
PS Bizarre, certaines fonctions ayant disparu du traitement de texte, ce message ne peut être édité avec les alinéas nécéssaires et les lignes ne peuvent être justifées. Mes excuses.
Ah! Cela vient d'être rétabli, je refais donc la présentaton de la note.
00:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 15 janvier 2013
Reprographie
Du journal de Bêtie
Je suis dans des collèges où il y a des services de reprographie.
Depuis 2 ans dans tous les collèges où j'ai été, j'arrivais le matin 1/4 heures à l'avance, et boum, on faisasit soi-même (avec des quotas) 10 exemplaires, 30 axemplaires de ce que j'avais tapé la veille au soir, tandis qu'ici, même pour un montage et des copie isolées, vous n'avez pas le droit de le faire vous même, il faut donner livres et polycopiés originaux à une secrétaire, je ne sais combien d'heures à l'avance.
Alors que je suis toujours sur les routes et que je n'ai presque pas le temps de préparer sauf le dimanchje (et pas le temps de réviser pour mon concours de la fin de la semaine prochaine, on m'a fait tellement d'hsitoires pour les journées de préparation que j'ai demandées (je n'en ai eu qu'une) que je ne prends même pas de journée de révision, je travaillerai le mercredi matin alors que le concours est le jeudi (j'étais admissible l'an dernier et j'ai failli l'avoir à quelques points près sur le gros total).
Dans les deux collèges où je suis seule une classe a vraiment un manuel (et pas de cahier de TD), dans le deuxième collège un élève m'avait dit la semaine dernière qu'ils avaient un livre et me l'avait montré, mais hier personne n'avait son livre et certains disent qu'ils n'en ont pas eu. Alors il faut faire des polycopiés pour tous les cours ce qui, quand vous êtes toujours sur les routes, vous fait travailler la nuit, fait marcher l'impimante la nuit quand les services de reprographie sont trop lents. Et l'imprilmante est lente ausi il faut plusieurs heures pour tirer 150 exemplaires d'un polycopié de trois pages.
La seule classe qui a un livre est la 3ème LV1 ou blilangue qui a un livre de 6ème.
.Pour Bêtie
domino
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