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mardi, 15 janvier 2013

"Schneefrei" ou pas "schneefrei"

Du journal de Bêtie (roman-théâtre)

Alors que sur la collinne de mon deuxième collège, le ciel était d'un bleu limpide hier après-midi, mais le froid éétait vif, il a neigé cette nuit sur toute la région.

Nous n'avons pas de téléphérique comme dans les montagnes de Sottie, et par conséquent, il va falloir se payer : des bus inexistants ou qui ne roulent pas avant 9 heures du matin, même si les conditions de neige restent inchangées (s'ils peuvent rouler à 9 heures, ils peuvent rouler à 6 heures 30 aussi).

Et des trottoisr encombrés par la neige!

Il y a deux ans, il avait tellement neigé dans l'endroit où je faisais cours que les gens avaient fait de grands tas de neige sur les trottoirs qui gênaient la progression des piétons. En allant à pied du lycée à la gare, je suis tombée au moins trois fois en escaladant les tas de neige qui barraient les trottoirs de chaque côté des garages. J'ai continué à faire cours, et inspection au retour de l'écrit de l'agrégation interne (prévenue le vendreidi avant la traduction pour une inspcetion le lundi, quand le lycée avait reçu l'avis le mercredi, j'étais en journée de révision (je n'avais d'ailleurs pas cours le mercredi cette année-là).

Pendant la neige, j'ai continué à faire cours malgré les bleux acquis lors de mes chutes dans les tas de neige.

A mon âge, les chutes peuvent être rédhibitoires (os plus fragiles des femmes d'un certain âge).

Bon, des bus qui ne rouleront peut-être pas à cause de la neige, j'ai fait cours hier dans mon deuxième collège, mais vais-je pouvoir y arriver aujoud'hui? Déjà pour le premier collège, cela fera au moins quarante minute à pied dans la neige si les bus de roulent pas. Une vie de patachon et en arriver là en fin de carrière (i me reste 3 ans et demi à farie) alors que j'avais des conditions bien meilleures quand j'étais jeune (j'habitais à 4 km du collège seulement et quand j'étais MA avant le CAPES, j'avais une chambre dans le lycée).  Au plus on vieillit et au plus on monte en grade, au plus les conditions devienennt pires (je suis 5 fois admissibles aux agrégations).

Bref, tout semblait s'arranger hier, mais aujoud'hui, c'est déjà de nouveau la croix et la bannière pour les routes.

Si j'étais le recteur, pour protéger élèves et professeurs d'éventuels accdents, je déclarerais "schneefrei", c'est à dire congé pour la neige.

- "Schneefrei!?" a dit Klugy dans la salle des profs (il est encore là celui-là!), cela veut dire "libre de neige" et pas 'libre pour la neige' comme dans "eine schneefreie Straße"."

J'ai remarqué qu'à chaque fois que je vais dans un collège éloigné en pays valloné, collège souvent situés sur des hauteurs venteuses, il y a de la neige, et c'est toujours en hiver. En été on a tendance à m'envoyer en plaine...

Alors de deux choses l'une, a dit Bêtie : soit que la neige fonde... et qu'on ait une "schneefreie Straße", soit que la neige reste et que le recteur déclare "schneefrei" pour tout le département.

Je n'ai pas de skis comme Bêtie, ni de téléphérique à ma disposition.

Bêtie

 PS Les anciens avaient de meilleures vies que nous : A mon âge, ma mère était veuve depuis un an (ce que je ne souhaitepas pour moi-même), elle vivait d'une bonne pension de reversion qui était l'équivalent de mon salaire de l'époque, bref, une pension de reversion qui lui permettait de vivre, et ne travaillait plus depuis la naissance de mon grand frère quelques 34 ans plus tôt (Signalons que nous avons été des enfants sans problèmes pour les parents). Elle pleurait pour avoir des visites de ses enfatns qui travaillaient tous. Je n'aurai jamais de visites de mes enfants. Si j'en avais eu, je  n'aurais jamais eu le temps de m'en occuper.

______________________

 

Pou Bêtie, domino

 

lundi, 14 janvier 2013

Bruits bizarres...

Roman-théâtre

C'est encore du journal de Doofie, ma personnage de théâtre un peu loufoque... mais gentille, bien que son originalité et ses recherches généalogiques ne plaisent pas toujours  à ses copines, comme Dummie, à laquelle elle révèle des ancêtres célèbres auxquels elle préfèrerait ne pas trop penser. Elle s'est senti par exemple bizarre quand elle a su qu'elle descendait de Ramsès II, d'Attila et des empereurs Zhou et Tchou et Tchin, de 1000 ans avant notre ère.

Bon, voilà, Doofie relate dans son journal qu'elle a remarqué quelque chose, quand elle se lève au milieu de la nuit ou juste avant le petit matin si elle reste dans le noir (on voit suffisamment clair dans sa maison sans lumière la nuit pour se déplacer, du moins dans certaines pièces), pas de problème; par contre, dès qu'elle allume la lumière (ceci ne se produit pas quand la lumière est allumée en continu depuis le soir comme maintenant), tout de suite, dans la minute qui suit, elle entend dans le ciel comme des grondements d'avions qui arrivent de l'Ouest et se dirigent vers l'Est. Un peu comme des avions à réaction mais qui font un bruit plus sourd.

Quand une voiture démarre dans le quartier, mais c'est rare que des voitures démarrent avant 6 heures, surtout le samedi et le dimanche matin, leur bruit de moteur semble assourdi aussi, alors qu'il ne l'est pas dans la journée.

A l'heure où Doofie écrit ceci, les lumières allumées dans sa maison baissent d'intensité et il fait plus froid.

La magicienne Doofie se pose des questions. Est-ce que vous avez remarqué aussi de telles choses chez vous?

Pour Doofie

Bien cordialement

 

domino

 

samedi, 12 janvier 2013

Fiers sicambres !

Roman-théâtre

Nos amies, qui sont dans l'académie de Sottie, dont on a parlé, dans notre épisode d' hier,de ses  nombreuses périgrinations de TZR, sont réunies autour d'un bon bol de café et de divers mets de petit déjeuner servis par Blödie qui les a invitées, chose non coutumière, à prendre le petit déjeuner avec elle, bien que ce soit devenu coutumier chez elle.

L'heure est grave, car Doofie fait part de ses découvertes généalogiques mensuelles :

Voilà, pour Dummie, j'ai trouvé pas mal de choses, car Dummie descendant des Rois et des Empereurs, c'est facile de lui faire des lignées qu remontent très loin.

Encore moi! se dt Dummie, faisant la moue..

Pas tout -à-fait, Dummie, mes découvertes actuelles sont historiques, plus que généalogiques, ou plutôt, je confirme ceraines découvertes faites précédemment.

Ah! dit Dummie, d'un air peu intéressé qu'on lui découvre encore quelque sanglant ancêtre.

Tiens, savez-vous pourquoi, on prend souvent Dummie pour une chinoise... Parfois, cela remonte loin... vous savez...

C'est vrai que des élèves m'ont déjà demandé si j'étais chinoise. Je trouve que je n'ai pas l'air si chinoise que cela..., mais enfin...

Une chinoise aux cheveux clairs, dit Foolie..

Mais aux yeux noirs et de braise, dit Blödie...

Exactement.. dit Doofie... comme sont ancêtre Attila...

Attila, dit Dummie, mais il était sanglant... Tu penses vraiment que je descends d'Attila...

Pas si sanglant que cela... Tu descends d'Attila qui était marié, pour l'une de ses femmes, car comme beaucoup de rois de l'époque, il était polygamme, avec une princesse romaine qui est ton ancêtre.

Une princesse romaine, voilà qui est mieux, se dit Dummie.

Mais Attila était un être très civilisé, rétorque Doofie, d'ailleurs il avait été élevé à la cour wisigothe, où son père avait été fait prisonnier, parce que en fait, ce n'est pas Attila qui avait envahi l'Europe de l'Ouest, mais son père; et pour moi, la cour wisigothe s'étant quelque peu romanisée en Hispanie, car les mariages entre chefs barbares et princesses romaines étaient monnaie courante, c'était une façon de s'allier aux Romains et d'éviter de se battre avec eux. Attila, donc élévé à la cour wisigothe, aurait selon certains sources de l'époque été "le jumeau", "'l'ami d'enfance d' Aetius", le général romain qui se serait battu contre lui aux Champs Catalauniques, en  Champagne, le 20 juin 451.

Pourquoi se sont-ils battus l'un contre l'autre, s'ils étaient amis? demande Dummie...

Ou, justement, dit Doofie, c'est là qu'il y a un hic! Tiens moi, je pense que les Huns

1) Primo, ne se seraient pas arrêtés à Poitiers, ce sont les Maures qui ont été repussés à Poitiers en 732, en fait, le père d'Attila aurait été beaucoup plus loin, il a été fait prisonnier des Wisigoths qui étaient en Espagne (Hispanie), et le gros de ses troupes serait resté au Pays Basque, avec femmes et enfants, puisque les Barbares n'envahissaint pas, mais s'installaient sur des terres plus clémentes. Pour l'agriculture. Il y a dû y avoir une famine à l'Est qui a poussé les Barbares vers l'Ouest. D'ailleurs en allemand on n'utilise pas le mot "Invasions Barbares", mais Völkerwanderung, ce qui veut dire "Migrations des Peuples".

2) Secondo, ils étaient peut-être chassés aussi par un autre peuple, plus nombreux qu'eux et qu'on aurait confondu avec eux, par exemple les Turcs, qui les aurait pourchassés jusqu'à l'Ouest. Dans ce cas, ce ne serait pas contre Attila que Aetieus se serait battu, mais contre les Turcs qui auraient déjà fait une incursion en Gaule, 250 ans, environ avant d'être repoussé par Charles Martel à Poitiers.

Les deux noms de Aetius et de Attila se ressemblent.

Oui, justement, dit Doofie, Attila n'était peut-être pas le camarade de jeux de Aetius,mais tout simplement lui-même.  Attila aurait pu, comme beaucoup de Barbares ( par exemple Julius Sacrovir, un chef gaulois latinisé en Julius), latiniser son nom, lors du mariage avec la princesse romaine.

Et la bataille des Champs Catalauniques, alors...

Et bien, tout simplement Aetius-Attila aurait aidé à repousser un peuple qui a essayé d'envahir l'Europe de nombreuses fois... les Turcs.

C'est pour cela que l'Union Européenne, fait des histoires pour faire entrer les Turcs en Union Européenne! s'exclame Blödie...

Peut-être une rivalité histtorique, dit Foolie.. Ce sont surtout les allemands qui se sont alliés aux Turcs actuellement.

Mais ne m'interrompez pas à tout bout de champ, se fâche Doofie... Pour dire de telles bêtises. Voilà... Aetius Attila, alliés aux Francs, ces fiers Sicambres, repousse les Turcs à la bataille des Champs Catalauniques.

Mais on dit que les Hongrois descendraient des Huns...

Encore une idée reçue, les Hongrois descendent des Magyars, un autre peuple venu de l'Est, apparemment de l'Oural, beaucoup plus tard. Les Magyars ne seraient donc pas des Asiatiques. Ils se seraient ensuite mélangés à quelques peuplaces turques, revenues de l'Ouest et installées "près du Danube". Maintenant, il se peut que les Basques descendraient des Huns et seraient des cousins des Magyars, car il seraient venu aussi des mêmes régions de l'Oural. Mais on ne trouve entre les deux langues que des ressemblances grammaticales, par exemple le pluriel des noms en -k. J'ai appris un peu de basque quand jétais en vacances là-bas dans ma jeunesse : les pottok, petits chevaux de montagne qui pourraient descendre des petits chevaux d'Attila, se disent au pluriel pottokak. Les espadrilles basques sont des espartsiniak...

Ah, et tu en as mis des espartsiniak, demande Blödie..;

Oui, pendant presque tout ma jeunesse, dit Doofie... Je continue, ou plutôt je résume...

Vers 400 arrivent de l'Est le père d'Attila qui à cheval sur ses solides petits pottokak, avance vite vers le Sud-Ouest jusqu'à l'Hispanie où se sont installé les wisigoths. Ceux-ci font prisonniers le père d'Attila et laisse son peuple dans les montagnes. Le petit Attila qui porte le nom romain d'Aetius,descendant quand même d'un roi Barbare (respect à l'époque!) est élevé royalement à la cour des wisigoths car il est enfant de chef ou roi, et il devient général. Et il est roi puisque son père est Roi, il vise même de devenir Empereur Romain. Mais il avait de la concurrence... J'ai déjà évoqué dans cet i-grimoire de domino..

On va y relater notre conversation? , s'inquiète Dummie...

Tu sais bien que domino est notre auteure, l'auteure de nos jours et de nos conversations, et qu'elle fait ce qu'elle veut..

Bref, on n'existe même pas, pleure soudain Blödie...

Bon, arrêtez de geindre, dit Doofie, écoutez-moi... Aetius-Attila, avait de l'ambition, c'était un chef, un roi... il aurait pu être le roi Arthur,car il s'est retiré à Avallon, en France, une ville perchée sur un promontoire et qui ressemble à une île en plein ciel, par temps de brume. Certains chevaliers de la table ronde portent d'ailleurs le nom de chefs barbares de l'époque;

Mais voilà, quand j'en viens au Roi Arthur, je ne peux qu'évoquer une autre histoire qui touche tes ancêtres.

Un siècle après les aventures d'Aetius/Attila, Clothaire 1er partage son royaume entre ses 5 fils. Deux d'entre eux vont devenir rivaux à cause des femmes....

En effet c'et Frédégonde, la 3ème femme de Chilpéric 1er, petit fils de Clovis, dont tu descends aussi.. ainsi que de Chilpéric 1er et de Frédégonde et de Galswinthe... et de Audovère, tu as des ancêtres qui descendent de chacune de ses femmes..

Consanguinité! dit Sottie.

Mais cela ne joue plus de rôle aujourd'hui, les ancêtres de Dummie ne sont plus consanguins depuis plusieurs siècles. défend quand même Doofie... mais Quicky, le mari de Dummie, descend lui des Austrasiens, de Gunter et Brunnhilde qui n'est autre que la Reine Brunehaut, dont beaucoup de routes "romaines" portent son nom.

Mais Brunehaut/Brunhilde était sanglante, elle fit assassiner Chilpéric pour le punir d'avoir répudié Adovère qui était sa soeur et d'avoir permis l'assassinat de Galswinthe, une aure soeur à elle.

Quiccky et Dumme sont consaguins, s'ils descendent de deux soeurs...

Mais ceci ne joue plus aucun rôle après tant de siècles, dit Doofie... nous descendons toutes de Charlemagne qui est postérieur à toutes ces reines; bon, toujours est-il qu'il existait aussi un Sigebert et que Frédégonde s'appelle en allemand Fredegunde pas Kriemhilde.  Alors comment distribuer les rôeles dans le Nibelungenlied... Brunehaut est bien Brunhilde, son époux Gunter est bien Gunter d'Austrasie, Chilpéric 1er est assassiné dans un bois par un homme au service d'une femme vengeresse, qui veut venger sa soeur, cette femme vengeresse Brunnhilde/Brunehaut. Qui n'était donc pas une si bonne reine qu'il y paraît!

Un détail : L'Austrasie était beaucoup plus à l'Ouest de ce que l'on pense : elle était au Nord de la Burgondie et avait pour capitale Metz, et c'est Gunter qui a  conquis Worms, et a déplacé sa cour là-bas. Donc, l'Austrasie couvrait en fait la Moselle/Rhénanie, tandis que la Burgondie se situait autour de Dijon, la Neustrie et future France Paris, Soissons et son ancienne capitale d'zavant Clovis : Tournai;

Voilà, je m'arrête pour aujourd'hui, car le petite déjeuner est fini..

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Bon, je laisse mes amies, personnages de théâtre débarrasser leur table et faire la vaisselle... sans prendre partie sur ce qu'elles disent. Car vouloir refaire l'histoire, il faut le faire quand-même...

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Ce n'est que Doofie avec ses 232 de QI qui réforme l'histoire, nous, on ne dit rien proteste Dummie... On n'est que des QI 132!

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Bon,vais-je reprendre le dessus sur mes personnags?

domino

 

Téléphérique

Roman-théâtre

Bêtie vient de téléphoner à Sottie; tiens Sottie, comment se déroule ton remplacement? C'est vrai que tu prends le téléphérique pour aller travailler?

Oui, dit Sottie, tiens je vais t'envoyer un e-mail pour te le raconter.

Bêtie lit maintenant l'e-mail de Sottie :

Lundi, on m'a téléphoné que je devais faire un remplacement. Comme cela se doit, j'ai d'abord regardé où se trouvait les collèges en question.. car il s'agit de deux collèges... A vol d'oiseau, ils ne sont pas loin, si je prends un fil pour mesurer la distance d'après l'échelle de la carte, je trouve : 28 km pour le collège le plus éloigné et 11 km pour le plus proche, seulement voilà, il y a un hic.. aucune route ne suit le chemin du vol d'oiseau sauf quelques hautes routes de randonnée, dont une partie dans le pays voisin se nomme "via ferrata".

Tu sais qu'avec la conformation des montagnes, les vallées ne se touchent pas forcément, quelquefois, deux rivières coulent parallèlement vers le grand fleuve de plaine et ne sont éloignées l'une de l'autre que de 30 km, mais leurs vallées et celles de leurs affluents, ne se touchent jamais....  Et ici, on est dans des montagnes particulièrement hautes, car les sommets les plus bas sont à 3400 mètres et les cols intermédiaires, uniquement destinés aux randonneurs (les éléphants d'Hannibal ne les auraient pas empruntés),

- Tiens, se dit Bêtie, les éléphants venaient en Europe, à cette époque...??? Vivaient-ils en Afrique du Nord... Bizarre, ce que les climats ont changé..

Puis Bêtie reprend sa lecture :

... ne les auraient pas empruntés), (les cols) sont bien à 2800 m minimum.

J'ai alors étudié sur la carte les parcours possible, d'ici (je vis à Pont-sur-Torrent), il faut d'abord prendre le train jusqu'à Dentellière, qui se trouve à 50 km d'ici, puis jusqu'à L'île-en-Vallée qui se trouve à 100km dans la vallée du grand fleuve, et ensute, reprendre un train jusqu'à Carillon, situé à 50 km à l'intérieur de la vallée parallèle à celle du Torrent, c'est la vallée de la Durambre, et enfin continuer avec un petit train à crémaillère jusqu'à Voie-aux-Loups, qui est sur un affluent de la Durambre, situé à 15 km de là. Pour aller au deuxième établissement , à Montaujeux,  il faut redescendre jusqu'à Carillon, avec le train à crémaillère et ensuite.... remonter avec un autre train à crémaillère sur 25 km (à vol d'oiseau sur la carte, les deux établissements ne se trouvent qu'à 15 km l'un de l'autre, car la rivière fait un coude juste avant le confluent et ne s'éloigne que progressivement de la vallée de la Durambre, mais il y a de hautes montagnes à 2500 m entre les deux, sur le chemin de 15 km à vol d'oiseau .

.. et bien, ça à l'air compliqué, se dit Bêtie...quelle géographe cette Sottie, depuis qu'elle habite en montagne elle est devenue imbattable en matière de vallées et de montagnes de bassins hydrogrphiques, et de crêtes montagneuses... puis soudain, pensant au vol d'oiseau, Bêtie se dit, mais le rectorat, lui, il pense sûrement que les TZR savent tous faire du parapente et de l'ULM!...

Bêtie poursuit sa lecture :

Bon, le calcul fait que pour un parcours qui devrait ne  faite qu'une trentaine de km pour l'aller (à vol d'oiseau), je fais en fait 215 km pour le premier établissement où je travaille le matin et 40 km de plus pour celui de l'après-midi. Cela fait 430 km par jour.

Soudain le principal du premier établissement me téléphone...  bon, alors quand arrivez-vous, je vous attends dans une heure.. Madame Sottie.

Mais, monsieur, lui ai-je répondu,,comment voulez-vous, rien que pour venir dans votre établssement, il me faut faire 430 km aller-retour.

Je regrette, Madame, mais vous avez reçu votre affectation, vous ne pouvez pas faire autrement que de venir;

Je suis en train d'étudier le parcours, ai-je dit.

Bon, alors, dans ce cas, venez demain...

Dans la soirée, Sottie pense à une autre solution... finalement les trains s'arrêtent dans beaucoup de gares, et les téléphonriques destinés aux sports d'hiver qui passent par les crêtes, ne sont pas si mauvais que cela. Tiens, si je  pouvais emprunter les téléphériques jusqu'à Carillon, se dit Sottie, cela m'épargnerait 150 km sur le parcours de Voie-aux-Loups... 150 km d'épargnés, cela fait 300 km par jour... voilà une bonne affaire, en plus, cela me revient moins cher...

ça alors, se dit Bêtie, elle n'a même pas besoin de l'ULM!

L'e-mail se poursuit ainsi. ...  :

Je prends le premier téléphérique à Pont-sur-Torrent, il me mène à 10 km d'ici, sur le sommet du col d' Aulnaye-sur-Noye,  à 2400 mètres d'altitude, là je prends sur 5 km le télésiège qui suit la crête d'Améries, puis de là, je prends le téléphérique qui descend dans la vallée de Carillon-sur-Durambre. A 15 km.

De Carillon, j'ai le choix entre le télésiège du ramassage scolaire ou le téléphérique  ouvert à tous les passagers. Seulement,à cet heure le ramassage scolaire se fait dans l'autre ses, puisque les anciens collégiens de Voie-aux-Loups, vont au lycée de Carillon. Pour redescndre dans la vallée où se trouve Lavoix-aux-lLoups, je dois juste prendre la correspondance de téléphérique qui se trouvent dans la même station. Ces deux téléphériques raccourcissent mon parcours de 35 km, vu que par téléphérique Carillon et Voie-aux-Loups ne sont qu'à 10 km l'une de l'autre.

Donc, je ne fais plus que 40 km jusqu'à Voie-aux-Loups..  De plus, presque tous les téléphérques sont de la compagnie de Téléneige. Il existe aussi des autres téléphériques de la Compagnie Soleil de Montagne, mais ils sont pour les plus grands parcours. Mais ils ont des stations   dans chaque ville ou villages d'une certaine importance.

Pour aller au deuxième établissement, apès maintes recherches sur l'Internet, car les moyens de transports en commun trouvés précédemment ne circulent qu'avant midi et après 14 heures, alors que je dois faire la route entre midi, j'ai trouvé un autre train à crémaillère de la compagnie Téléneige, qui rejoint sur le Col d'Arpente, un télésiège, qui descend jusque près de la gare de Montaujeux, de là, je dois reprendre un téléphérique qui passe par un col situé en Lombardie, contourne une montagne et après avoir fait une mannoeuvre autour d'un pilone, remonte jusqu'au plateau sur lequel se trouve le collège de Montaujeux qui est à 2000 mètres d'altitude. On y sent, sur ces hauteurs, d'ailleurs que le vent est frais et la bise souffle encore plus fort qu'à Pont-sur-Torrent et à Voie-aux-Loups.

Le lendemain donc, j'ai pris  le téléphérique et me voici après un parcours bien enchaîné d'environ 2 heures au collège de Voix-aux-Loups, après avoir rencontré le principal qui m'a donné les listes d'élèves et mon emploi du temps -je ne travaille à Voix-aux-Loups que 4 matinées par semaine et trois après-midi à Montaujeux. Mais mon horaire est quand même réparti sur 5 jours par semaine. Un parcours bien enchaîné, non, car je n'ai pas trouvé l'arrêt du télésiège  du ramassage scolaire qui monte après Carillon, car à cette heure les lycéens font le parcours dans l'autre sens et de plus le téléphérique ne fonctionnait que 20 minutes plus tard, le temps de monter la pente à pied. Comme, elle était raide, j'ai mis 45 minutes au lieu des 10 minutes que l'on m'avait annoncées. J'étais bien fatiguée déjà quand je suis allée à Voix-aux-Loups.

Pour rentrer sur Carillon, j'ai fait toute la route à pieds, car il n'y avait pas de téléphérique, ni de télésiège à cette heure. Heureusement qu'il n'y avait pas trop de neige, j'avais d'ailleurs emmené mes raquettes en prévision, mais il aurait mieux valu prendre des sks, cela aurait été plus vite pour redescendre. Enfin à Carillon, le parcours s'est dérolé comme prévu jusqu'à Montajeux. Là, j'ai rencontré le principal, puis la principale adjointe qui m'a tenu un discours de morale comme si j'étais une débutante, et voulait que je commence de suite mon remplacement, alors qu'une minute avant, je ne savais même pas quelle classe j'allais avoir (je n'ai qu'une classe dans ce collège qui est un complément d'horaire). Puis, elle a changé d'avis, pensant que j'avais vraiment de bonnes intentions et disant qu'elle avait bien compris que j'avais besoin de faire une préparation solide pour me rassurer avant d'aborder ma classe. Un aide-éducateur m'a fait les honneurs de l'établissement en me faisant faire le tour du propriétaire.

Sur ce, je suis rentrée chez moi, par le chemin inverse, mais sans passer par Voix-aux-Loups, j'ai commencé à préparer les 4 heures que j'avais le mercredi à Voix aux Loups et le lendemain, je repars pour Voix-aux-lLoups, et là miragle je trouve un téléphérique "Spécial Scolaire" qui m'accélère un peu mon aller, et j'arrive à l'heure; comme je n'ai pas cours l'après-midi, le parcours du retour, se déroule bien, sauf que j'ai fait encore une  partie à pied. Les mollets commencent à me faire mal.

Jeudi matin, stupeur, en arrivant à Carillon, voici que je me rends compte que la compagnie Téléneige, vient de commencer une grève sauvage. Un accompagnateur de téléphérique a été menacé à Carillon même hier soir et la compagnie rétorque à cette agression en faisant une grève de trois jours, brr.. comment vais-je faire?  Je téléphone au collège de Voie-aux-Loups où je commence à 8 heues du matin que j'ai un problème à cause d'une grève soudaine de Téléneige. Heureusement  vers 8 heures, un Téléphérique de la Compagnie Soleil de Montagne s'arrête non loin de l'endroit où je fais le pied-de-grue attendant vainement un téléphérique de la compagnie Téléneige. Il s'arrête au même arrêt que ce téléphérique et est plus rapide, puisqu'il ne s'arrête pas aux stations itermédiaires, et arrive à 8 heures 10, 5 minutes à pied jusqu'au collège et je n'ai qu'1/4 d'heure de retard.

A midi le problème se repose : Je mets presqu'une heure cette fois-ci pour rejoindre Carillon-sur-Durambre. Là, pas un télésiège, pas un téléphérique pour Montaujeux. La ville semble déserte, sans le va-et-vient des téléphériques au abords de la Grande Station des Transports de Neige. Je questionne les gens qui atendent vainement dans les arrêts. Si Madame, il y a un autocar à 13 h 35, il arrive à 14 heures 28 à la Grande Station de Montaujeux. A 14 h 28, mais c'est presqu'à la fin de mon cours! Et de la Grande Station de Montaujeux il faut prendre encore un téléphérique qui ne fonctionne pas aujourd'hui ves le plateau où est le collège... il y a encore plusieurs kilomètres, brr... je suis épuisée...

A un moment, je téléphone à un TAXI-Neige, ce sont des espèces de télécabines dont on loue les cabines individuellement ou en petit groupe de 2 à 4 personnes. Ils vous conduisent directement à votre but sans s'arrêter pour la descente ou montée d'auters passagers, ils sont donc plus rapides. Mis ils sont en grève, à cause d'un chauffeur qui a été agressé dans la ville de Carillon. Pendant trois jours.

Il y a aussi le train à crémaillère qui part à 14 h 02 et arrive à la Grande Station de Montaujeux à 14 heures 12. Oui, mais de là, il faut encore monter au collège à plusieurs kilomètres. Et les téléphériques Télénege sont en grève. Je prends quand même le train pour Montaujeux, arriéve à Station de Montaujeux,      je commence à aller vers le collège tout en téléphonant, mais le secrétaire me dit que tant pis, je ne viendrais pas aujourd'hui (j'avais déjà téléphoné avant le cours).

A un moment, je me repose sur le chemin de la Grande station de Montaujeux. Dans une halte du téléphérique Téléneige, et un bobsleigh qui contient deux employés de Téléneige s'arrête devant moi pour me signaler qu'il n'y a pas de service de Téléneige aujourd'hui. Je leur réponds, "Oui, je le sais!". Et je leur explique ma façon de voir, sur le fait qu'ils gênent tout le monde et qu'à cause deux 22 élèves n'ont pas eu de cours d'allemand aujourd'hui.

N.B. Ce n'est pas une classe nombreuse, j'avais 28 cinquième au remplacement de Mâche-en-Plaine.

Bon, je suis retournée à Carillon-sur-Durambre.  Je suis bien allée à Montaujeux, mais pour rien, puisque lorsque j'ai téléphoné au secrétaire, tout en marchant entre la gare et le collège de Montaujeux, il m'a dit que ce n'était pas la peine de monter jusqu'au collège... que c'était des circonstances exceptionnelles.

Et je rentre    donc à Pont-sur-Torrent, avec de la gare de Montaujeux,    quelques trains à crémaillère et un train direct pour Dentellière et un autre train pour Pont-sur-Torrent;  sur 200 km et des poussières.

Vendredi Matin : Je n'ai cours, comme le Mercredi qu'à Voix-aux-Loups. Arrivée à Carillon la Compagnie Téléneige fait toujours grève, mais jai trouvé quand même un Téléneige Spécial Scolaire qui m'a amené presque jusqu'au collège de la Voix aux Loups. Au retour, j'ai trouvé une halte gare à la Voix-aux-Loups et de là, je suis rentrée, après un moment d'attente dans le froid qui tombait sur cette haute vallée industrielle, par le train direct vers Aulnaye- sous-Noix. Puis de là, à Pont-sur-Tbrrent. Ca je ne pouvais emprunter les téléphériques de Téléneige qui sont en grève.

Bon, ce que j'ai oublié de te dire, c'est que j'ai pris des skis, car parfois à cause de ces grèves, j'ai des tronçons de route à faire à pied. Tiens, je suis descendue à skis de la Nationale qui passe non loin du collège à la station de Voix-aux-Loups. Assez bizarre cette station : On descend en slalomnant sur une route entre des usines qui semblent fantômatiques dans la brume de la tombée de la nuit; On passe sur l'afflluent de la Durambre entre deux hautes usines. L'une d'enre elle crache une fumée qui a fait parler d'elle il y a quelques années car il parait qu'elle aurait été inciminée dans une épidémie de légionellose. C'est un endroit vraiment lugubre, on ne se douterait pas qu'il puisse y avoir des endroits pareils dans cette verte montagne. Puis on contnue à descendre vers la halte en suivant une rue de maions ouvrières, puis en se demandant comment accéder aux quais, sur lesquels à part un léger préau, il n'y a aucun siège et rien pour s'abriter du froid.

Quand un téléphérique est en panne quelque part, je crapahute avec mes skis, même dans les montées.

- Qu'elle est sportive, Sottie pense Bêtie -

Bon, je vais arrêer là cette description, j'espère que tu ne t'es pas ennoyée en le lisant.

Sottie

Oh, là, là, ma pauvre Sottie, se dit Bêtie, mais moi aussi, j'ai été gênée par une grève de bus qui m'a valu 1/4 d'heure de moins ce jeudi matin et une heure en moins dans l'autre collège l'après-midi. Pas moyen de trouver, ni bus, ni taxi et pas de trains entre midi!

Pour Bêtie et Sottie :

domino

 

  

mardi, 08 janvier 2013

Remplacements

Du journal de Dummie

Il parait qu'il peut arriver un cas de figure intéressant, un remplacement vient à échéance la vieille des vacances de Noël, le TZR est prévenu que le collègue va revenir et qu'il ne doit pas se représenter dans l'établissement.

Le jour de la rentrée, il est appelé sur un noveau remplacement, mais le collègue du remplacement précédent a pris une prolongation de congé. Le deuxième jour après les vacances il commence son nouveau remplacement, et huit jours plus tard reçoit sa destitution parce qu'il a été défaillant sur le remplacement précédent, bien qu'il n'avait pas le don d'ubiquité. PAr l'intermédiaire de son nouve établissement "qui ne peut pas le garder", car ils ne savent pas pourquoi il a été destitué.

Il doit ensuite engager une longue procédure pour faire valoir son droit, car pour avor été nommé sur un novueau remplacement alors que l'autre se prolongeait, il a perdu son CAPES, ou son agragation...

Il paraitrai en effet que les remplacements doivent être pris le lendemain de l'appel. Au moins la présence dans l'établissement pour prise de contact. Il paraittrait que le délai de rigueur pour les préparations est de 48 heures, mais comment faire lorsque vous savez qu'un professeur nommé sur un poste établisseent à son poste au mois de juin et deux mois pour préparer, qu'un professeur qui est toujours sur le même poste réutilse ses cours d'année en année,. alors qu'un TZR de langues, lorsqu'il existe une dizaine de séries de manuels méthodes pour le collège et bien 5 ou 6 manuels de lycée, à multiplier par le nombre de classes, tombe sur des livres arrivés à des chapitres ou unités différentes selon les remplacements et ne tombent pas forcément sur des choses qu'il a faites avant.

Pär exemple, sur le remplacement précédent, Bêtie avait encore assez de munitions pour tenir une semaine sur le même remplacement. Elle avait même donné du travail aux élèves au cas où elle reviendrait (marqué dans le cahier de textes électronique pour le collègue).

Un TZR qui a des remplacements de façon ininterrompue a beaucop plus de travail qu'un porfesseur sur un poste fixe. A chaque fois qu'il commence un remplacement dans un établissement qu'il ne connait pas, ou bien où il n'a pas été depuis longtemps, il faut qu'il s'informe d'un tas de choses, qu'il prenne les listes d'élèves, les clefs, si"nforme de ce qui est fait en ce moment par exemple s'il arrive dans une période de conseils de classe... et avant de partir, il laisse des traces pour le collègue qui rentre , rend le matériel, etc.. ce qui en gros mavait prs tout le vendredi après-midi la veille de la sortie. Eventuellement, si c'est possible, il voit le collègue remplacé et le revoit avant son départ et le retour de celui-ci... etc..

En effet  Bêtie va succéder à monsieur JeSaisTout, agrégé parti en retraite, qui faisait le remplacement de la collègue malade avant les vacances, pendant que Bêtie remplaçait à 75km tout en sachant que M. JeSaisTout pourvait aller à pieds de son appartement au collège.

Quelle joie, car alors qu'elle était en congé longue maladie, M. JeSaisTout avait dit que sa remplaçante lui succédait, de pouvoir dire maintenant "Je succède à M.JeSaisTout sur son remplacement!" Parce qu'en fait sa remplaçante ne lui succédait pas. Petite revanche.

Mais il ne faut pas lui dire, que c'est elle qui lui succède, car elle ne veut pas qu'il sache où elle est.

M. JeSaisTout était agrégé, donc nous pensons qui il ne devait pas avoir de complément d'horaire dans l'autre établissement. C'est quand même agréable d'être agrégé pour avoir un horaire moins chargé.

Revenons aux TER : ils doivent être à même de commencer un remplacement au pied levé.Comment voulez vous quand vos collègues ont tous des manuels diffrents (en langue on est quand même tributaire du manuel) ou des progessions différentes surtout lorsqu'ils n'ont pas de manuel. Il faut tenir compte de ce que le collègue a fait avant, voir des cahiers d'élèves etc.. pour ne pas refaire la meme chose.

Les principaux et adjoints ont dit à Bêtie : "On verra tout cela demain" Aujourd'hui, elle s'est renseignée sur l'emplacement des collèges et les moyens de transport.

On drait que maintenant on applique des réglementations inhumaines à la lettre, alors qu'avant on laissait quand même au TZR, le temps de se retourner.

Il serait de plus en plus nécessaire que les TZR soient prévenus au moins une semaine avant leur remplacement. Les principaux ont reçus les avis d'affectation seulement aujourd'hui et Bêtie n' a actuellement aucun document écrit concenant ces suppléances.

De toute façon, on vit dans un monde inhumain.

 domino

lundi, 07 janvier 2013

Infrastructure ferroviaire

Roman-^théâtre

Le recteur del'académie où enseigne Bêtie, ma personnage de roman-théâtre doit avoir des cartes feroviaires qui daent d'une autre époque :

En effet, il y a envirn 50 à 60 ans, une gare existait à environ 300 mètres de chez elle On en voit encore la trace, car à cet endroit se trouve un grand parking tout en longueur.

En face du collège où Bêtie a effectué un remplacment en novembre-décembre on voit encore l'ancienne gare avec le panneau portant le nom de la ville sur le côté du bâtiment. Et une place très longue qui fait aussi parking jouxte l'arrière de la rue parallèle qui comporte la mairie.

Je dis cela car il est écrit dans les textes régissant les ZR  :

"Le recteur d'académie définit les zones de remplacement en tenant notamment compte des infastructures routières et ferroviaires existantes".

En effet, jadis les lignes de chemin de fer existaient dans de petites villes et villages mais la SNCF a supprimé la plupart de ces lignes et les a remplacées, mais pas toujours, tout d'abord par des cars SNCF, puis par les cars du conseil général. Qui sont des cars affrétés par des compagnies normales de bus, mais utilisés pour les transports réguliers de personnes. On nomme ce réseau "Arc en ciel".

Il serait souhaitable que la SNCF reinstalle ses petites lignes avec des dessertes fréquentes (à certains endroit les rails existent encore) ou bien que ces anciennes lignes soient remplacées par des tramways rapides qui cirulerait sur des voies indépendantes des voitures. En plus cela économiserat de l'énergie.

La SNCF supprime des gares et des points d'arrêt ou transforme des gares jadis importantes en points d'arrêt. Par exemple la gare de sous-préfecture est menacée de fermeture, et d'être remplacée par un point d'arrêt, tout comme l'a été la gare de mon chef-lieu de canton.

Ce sont des gares dont les guichets sont de moins en moins longtemps ouverts Quant on connait la fréquentation des quais par les gamins désoeuvrés des sections de SEGPA qui y font des numéros d'acrobatie à vélo, après la fermeture de la gare le soir,  on se demande ce que ce sera quand la gare ne sera plus du tout dotée de surveilance, c'est à dire fermée avec un accès aux quais uniquement extérieu par le côté de la gare, ce qui implique une absence de chauffage lors de l'atente sur le quai. Quant on voit les attentes qu'il y a parfois lorsqu'il y a des mouvements sociiaux à la SNCF, on se dit que Brr... on aura de plus en plus froid. Passe pour l'été. Mais en hiver...

Sur le chemin de l'autre chef-lieu d'arrondissement, il y a au moins trois gares qu ne sont plus du tout desservies, même pas comme point d'arrêts, alors qu'elles l'étaient encore il y a 20 ans Et les trains qui faisaient la navette entre le chef lieu de cet arrondissement et les deux terminus régionaux du nôtre, n'existent plus. C'étaient pourtant des correspondances bien pratiques, quand on arrivait de lignes perpendiculaires qui sont dans ma zone de remplacement actuelle, agrandie depuis 2 ans.

Apparemment, Bêtie a  eu de la chance que le pont d'arrêt de l'un des établissement où elle faisait un remplacement il y a deux ans sur l'une de ces lignes où il y a un train de voyageurs toutes les trois heures existait encore.

Pour Bêtie

 

domino