jeudi, 16 octobre 2014
Les oublis des uns ont de lourdes conséquences sur la vie des couples...
Du joournal de Doofie
Ce soir, Schnelly est passé à la Maison de la Presse chercher les revues que je prends toutes les semaines. D'habitude la marchande de journeaux retient tout dans des sachets en plastique. Comme Schnelly paie souvent à l'avance, cela m'aide à avoir mes séries complètes, mais cette fois-ci, il manque les deux livres que j'attendais le plus.
Je suis sûre qu'ils sont parus, je les ai vus hier à Grande Métropole Réguionale, je les aurais bien achetés tout de suite, mais je savais qu'ils étaient retenus à lamaison de la presse locale. (et peut-être déjà payés) Donc, je ne les ai pas achetés.
Ce soir, Schnelly arrive tout goguenard avec mes courses et mes revues. Je lui avais déjà téléphoné dans l'après-midi :" Surtout fais attention à ces deux livres-là! Ils seront dans tes paquets, ne les perds pas!" Je donne les titres au téléphone. Je pensais en fait qu'ils les avait déjà dans ses caddies puisqu'il était passé à la Presse avant d'aller au magasin d'alimentation,et quand je lui ai téléphoné il était dans le magasin d'alimentation.
Shnelly est revenu, il déballe ses victuailles, il va sûrement me donner bientôt mes deux livres tant attendus.
Comme je ne sais plus bien marcher, je fais quelques exercices de marche sur le trottoir en attendant qu'il range les courses dans le garage (c'est l'endroit où il range les vicuuailles depuis que je lui ai confié ce domaine du ménage).
D'un seul coup alors que je prenais l'air du soir heureuse, il lui dis, tiens, j'ai tes journeaux,mais il manquait justement ces deux livres-là : et il me redit les titres que j'avais donné avant, ils ne sont pas encore arrivés.
Ce sont des livres publiés comme des périodiques, j'en ai besoin pour mes généalogies royales et les branches bâtardes des roiss.
Mais enfin,je les ai vu à grande métropole régionale, ce n'est pas possible ce que tu dis, le plus vieux des deux est paru il y a quinze jours, d'habitude, elle me les retient! m'exclamai-je! De toute façon, tu le fais exprès, je suis sûre que tu les a cachés là dans un coin du garage... ou alors tu les a largué en route parce que j'en ai parlé au téléphone.
Ce n'est pas vrai! hurle Schnelly, en se donnant une claque sur la joue! De toutes façons la dame m'a dit qu'elle les avait oublié, elle me les donnera demain.
Demain! Et tu vas repasser là-bass demain, il n'y en a pas assez que tu fasses des courses, ele te les a mis dans tes sachets, tu mens!!!
Doofie, va refaire quelques exercices de marche dehors, mais le coeur n'y est plus, même si au bout d'une centaine de pas, son genou semble vouloir de nouveau la porter. Elle rentre, semonce encore Schnelly qui était en train de téléphoe à la soi-disant marchande de journeaux d'un air doucereux.
Ne t'en fais pas! Je les aurai demain!
Celui d'il y a trois semaines? Elle l'a remis aux invendus, je ne l'aurai plus jamais! Elle ne pourra pas se procurer l'ancien numéro, d'habitude, elle n'y arrive jamais.
Donc, s'il a les deux numéros demain, je suis sûre que il aura menti. Il ira se promener et les reprendra dans un coin du garage. A moins qu'ils les ai laissés dans le car... perdus à jamais.. du moins l'ancien numéo,très important pour moi.
Quel menteur... Si la dame les a réellement oubliés, elle aura provoqué une scène de ménage.
..../....
Je suis montée dans la partie habitation.
J'ai fermé le verrou qui monte de la cave et du garage dans la maison. Trois fois qu'il frappe, il fait coucou d'un air gentil. En tout cas,il n'aura plus un mot tant que je n'aurai pas mes deux revues et surtout qu'il ne s'avise pas de me dire coucou en passant. Je laisse fermé.Il reste enfermé à la cave et au garage pendant bien une demi-heure (de toutes façons, s'il veut s'en aller, il peut le faire par le garage). Mais il remonte plusieurs fois et fiat gentiment : Coucou! Tu ouvres?
Parfois les revues que je viens d'acheter disparaissent pendant deux jours et reviennent avec des photos floutées; Là ce sont des belles gravure anciennes. Les flouter, ce serait scandaleux!,
Schnelly, questions disparitions dans la maison semblait s'être calmé depuis quelques temps.
En effet, cela fait environ deux mois, que sans avoir récupéré tout ce qui avait disparu avant, je n'avais pas constaté de nouvelles disparitions dans la maison. Mais là,, même si c'est pour de petites choses, les mesnsoges recommencent.
.......
Et puis toujours cette incertitude :
La vendeuse de journeaux a-t-elle vraiment oublié de les mettres dans les sachets qu'elle a donné à Schnelly?
Est-ce que comme j'ai téléphoné en donnant les deux titres du contenu des livres, son téléphoe étant peut-être sur écoute, quelqu'un aurait réussi à les subtiliser dans son sac, vu qu'il est passé à la Presse au début de ses courses et est ensuite passé par un magasin d'alimentation...
Comme le magasin d'alimentation vend aussi des journeaux et qu'il est rentré dans le supermarché avec son caddie plein de journaux et de livres, on lui les a peut-être confisqués les livres à la caisse du magasin d'alimentation; moi, personnellement,je ferai le contraire, j'irai débord faire mes courses alimentaires et j'irai avec le caddie plein de victuailles à la presse, parce qu'à la presse, ils ne vendent pas de victuailles....
Mais il s'est quand même contredit : Il a d'abord dit qu'ils n'étaient pas parus, puis, comme j'ai dit que je le avais vues ailleurs hier, il a dit que la marchande avait oublié de les lui donner....
Peut-être qu'en attendant le bus, il a été boire un café à la boulangerie et qu'il les a lu là. Quelqu'un a trouvé qu'ils étaient bien et il les a prété....
J'ai eu la malhencontreuse idée de lui rappeler qu'il avait des correspondantes allemandes (les profs avec lesquelles il avait fait le dernier échange scolaire de sa carière), il a peut-être envoyé l'un des tomes à chaune d'entre elles,les magasins sot dans le quartier de la poste, et s'est dit : je rachèterais ceux pour Doofie après, sans penser qu'il s'agissait d'un périodique. Qu'il ne pourrait plus les racheter ensuite....
J'ai imaginé aussi qu'un homme à la mine patibulaire est venu vers lui, a pris les deux livres dans son sac et a dit en le regardant d'un air moqueur : "Merci... Tu as claqué du fric pour rien!..."
A un moment, alors que je marchais avec mes canes le long du trottoir, il a dit "Tu n'es pas obligée de rester devant la maison, tu peux aller jusqu'au coin de la rue.." Peut-être que pendant que je tournais le dos en allant jusqu'au coin de la rue,il les aurait donnés à quelqu'un qui est arrivé derrière moi. Je me suis reprochée d'être soritie de la maison quand il est arrivé, si je lui avais dit tout de suite joyeusement "Tu as mes deux lives et mes revues..." et j'aurai éclaté de joie comme je le fais d'habitude, il me les aurait donné, mais j'ai dit "Tiens, je vais en profiter pour marcher un peu".
............../...................
Bon, j'ai rouvert le verrou de la porte de la cave; il a commencé de ouveau à se justifier,à dire que si la dame de la Presse ne lles avait plus, il irait les chercher ailleurs, qu'il fera le tour du monde pour les toruver.
J'ai dit que je ne voulais pas de justification, j'ai crié pour qu'il se taise, j'ai horreur quand il se justifie comme un élève, comme un enfant.
Je suis allée aux toilettes,j'ai cru que je devenais folle, car, frustrée de la lecture que je voulais faire ce soir (j'avais lu les deux premiers numéros d'une traite), j'avais envie de rire comme ils le font dans les films où il y a des fous, comme le père de Scarlett O(Hara quand il perd sa femme. De rire d'un énorme rire sonore de fou... d'un homme fou.
J'ai claqué une fois très fort la porte des toilettes en hurlant : Monsieur Shcnelly est un menteur,je l'ai écrit dans mon blog pendant qu'il était à la cave et maintenant le monde entier le sait. Et j'ai reclaqué la porte très fort je l'ai rouverte pour qu'il l'entende bien et j'ai déclamé comme au théâtre : Le monde entier sait que Schnelly est un menteur!
J'ai claqué la porte une troisième fois, le verrou qui n'a jamais marché depuis les vingt-cinq ans que nous sommes ici est tombé à terre, j'ai cru que j'allais être enferméé dans les toieltes, mais la porte s'ouvrait encore : J'ai hurlé : Le monde entier sait que Schnelly est un menteur.
J'ai claqué encore deux fois la porte en redisant la même phrase avec un gros rire. J'ai vu que Schnelly était en train d'écrire un mot dans la cuisine.
Un mot de départ? Tu parles!
(Si enfin il partait, faisait un compte en banque séparé et me laissait gére mon budget, mes courses et surtout mon régime alimentaire seule! si c'est moi, qui part, je predrai toutes mes affaires, mes livres, mes disques, mes instruments de musique... il le sdisperserait, les donnerait aux pauvres voisins, à la Médiathèque, à ses anciens élèves chéris qu'il rencontre toujours,sur rendez-vous, régulièrement, alors qu'ils sont étudiants et étudient parfois la même chose que moi. Lui est retraité et s'occuppe toujours de ses anciens élèves et leur donne mes livres et mes cous que je cherche partout.)
(S'il partait seulement six mois pendant lesquels je serai en vacances, je pourrai faire mes rangements, nettoyer la maison, arranger le tout à ma guise, replacer les meubles, installer des bibiothèques fermées à clef, dégager la sortie vers le jardin et faire le jardin, tout cela sans qu'il soit dans mes jamabes,toujours en train de me contredire, de dire qu'il ne veut que du blanc sur les murs et pas de jaune lumineux. Je pourai, à condition d'avoir moins mal à la jambe, mais déjà avec plus de place dans le lit, je pourrai changer la position de mes jambes,arrager les couettes et les couverures pour qu'eles ne soient pas squattées par monsieur durant une partie de la nuti (il est énorme, quand je le vois marcher dans une foule, c'est lui qui a la plus forte carurre de tout le monde ,même s'il est assez petit pour les normes actuelles). Avec sa carrure et ses épaules larges, il fait peur.)
Un mot d'excuses, Tu parles!
Il me l'a donné, il avait écrit qu'il avait mis le sachet dans le fond du caddie sans se rendre compte que les deux livres n'y était pas, il croyait que le marchande de journaux avait mis toute la commande dedans.
C'est son excuse. Ce n'est pas celle que j'accpete, car je suis sûre qu'il a eu les deux livres jusqu'au moment où je lui ai téléphoné les titres. Il accuse la marchande de journeaux de n'avoir pas fait son travail, alors que c'est lui qui a jeté les livres ou s'est fait subtilisé les livres.
C'est pareil, tout ce que j'achète par correspondance arive avec un mois de retard ,quand ça arrive (les marchandises sont souvent épuisées) ; Qui retient les marchandises ? : La firme qui doit les envoyer ou Schnelly? Il les cache quelque part dans la cave pour m'embêter.
L'autre jour, j'ai vu un homme assez fort passer avec des béquiles, (je me contente de mes cannes de randonnée pour le moment) il avait un costume gris comme le tailleur-pantalon en taille 60 que je me suis commandée (on n'en trouve pas d'aussi grand dans les magasins)... Un mois et demi que j'ai fait la commade et toujours rien. J'aurais bien aimer aller voir de près si sa veste n'était pas boutonnée côté femme! Et lui faire la remarque : "Mais votre veste est boutonée à l'envers, Monsieur,vous êtes sûr de ne pas avoir acheté un modèle dame?"
Pour une fois que j'avais envie d'avoir un look plus classique pour avoir plus d'autorité lors de mes prohains remplacements! Mon tailleur-pantalon n'arrive pas!
Un jour, j'étais dans la cuisine, on frappe à la persienne, je regarde par la fenêtre de la cuisine, il y avait une voiture de livraison, je vois la jeune voisine qui a déménagé depuis prendre mon paquet; J'ouvre, la voiture démarre. Pas moyen de demander si c'est mon paquet. Elle est déjà rentrée chez elle. Rien dans la boîte aux lettres.
Le soir, je le raconte à Schnelly, car j'avais l'impression que c'était ma commande de pulls; Schnelly va voir chez la voisine, elle dit que c'ést un paquet pour elle-même, alors que j'avais commandé dans la même firme peu de temps avant.
Quelques deux semaines plus tard, mon paquet arrive, seulement voilà, la voisine blonde à longs cheveux qui promenait fièrement son bébé de deux ans dans sa poussette en long et en large dans la rue... avait les mêmes pulls que moi,un peu trop grands pour elle...
Schnelly avait fait la commande une deuxième fois. En excusant celle qui portait ce qui aurait dû être mes pulls.
Bon, ce soir, il est déjà parti dormir, et moi... il faut que j'aille dans le même lit que lui..? il n'y en a qu'un dans la maison; avec mon nounours chéri. Mon nounours chéri, il est là, à côté du menteur... et le menteur dort du sommeil de l'injuste. Et moi, je n'ai pas envie d'aller à côté du menteur. il me dégoûte. ça me dégoûte d'être aussi près d'un menteur cela me frise les nerfs; je vais rester ici le plus longtemps possible. Je passerai la nuit debout, ou plutôt assise, ou bien j'rai dormir quand il se lèvera, mais il se pourrait qu'il fasse encore des bêtises quand je dormiai, s'il ne dort pas aussi. Il est encore une fois sur la mauvaise pente.
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Je lui ai dit : Je n'irai pas dormir à côté d'un menteur. Il est redecendu en pleurant, voilà qu'il pleurniche maintenant, il essaie de m'amadouer par les larmes de crocrodile, alors qu'il sait où sont les livres : Donnés à quelqu'un d'autre? Jetés? .... En tout cas, pas oubliés par la vendeuse. De toute façon, ils étaient payés d'avance.
......................
La vendeuse : Mais imaginez, Monsieur que vous êtes en train de provoquer un divorce; cette dame là elle avait retenu ici toute la collection. elle a acheté le N° 1 là, quand il était encore en vente et m'a retenu tout le reste de la collection, comme je le fais parfois pour elle. Vous vous arivez et vous prenez les livres que j'avais retenu pour elle.
Le monsieur : Si c'est une collection, je veux aussi les livres 1 et 2.
La vendeuse : Plus moyen de les trouver monsieur, l'éditeur ne nous les envoie qu'à parution, ensuite les numéros en trop partent aux invendus.
Le monsieur : A ce moment là, demandez à cette dame qu'elle me donne les deux premiers numéros.
La vendeuse : Mais enfin, moinsieur, ele les a acheté avant que vous-même vous faisiez la collection, c'est à vous de rendre les numéros trois et quatre!
Le monsieur : Ouui, mais moi je suis plus cultivé qu'elle, je suis un monsieur bien, en costume cravate et tout,regardez-un peu comment est habillé son retraité de mari qui n'a pas pu continuer l'enseiglnement au delà de 65 ans soi-disant pour limite d'âge. Il n' a plus besoin de livres. Ce n'est plus un enseignant.
La vendeuse : Oui, mais c'est pour sa femme, elle est encore professeure;
Le monsieur : Oui, mais regardez comme elle boîte, elle ne tient plus qu'avec ses cannes, elle est finie, sa femme, elle n'a plus besoin de se cultiver,moi, j'ai besoin qu'elle me donne les deux premiers numéros de gré ou de force pour ma culture.
La vendeuse : De toute façon, j'ai déjà trois personnes abonnées et comme nous sommes une petite ville, nous ne pouvons en avoir plus. Je ne peux pas vous abonner.
Le monsieur : Alors, enlevez l'abonnement de cette dame et donnez le moi;
La vendeuse : Non, monsieur, ils étaient là avant vous.
Le mosieur (tire son colt de sa poche) : Je vous prends la caisse, si vous ne m'abonnez pas.
La vendeuse : Bon, je vous abonne, mais sans garantie de l'avoir toutes les semaines.
Le monsieur : Et puis j'irai menacer M. Schnelly, pour qu'il me donne les deux premiers numéros qu'a déjà sa femme.
Doofie
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Pour Doofie
Schnelly
19:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 14 octobre 2014
Comme un rayon de lune...
Roman-théâtre
Bon, ça devrait, vu le titre, ressembler à un poème... et non... ce rayon de lune dont Doofie va vous entretenir n'a rien de poétique.
(voix téléphonique) Dummie : Bonsoir, Doofie, je n'ai pas eu le temps de venir chez toi ce soir, trop de travail... mais je viens te dire bonne nuit, Doofie...
Doofie : Oui, bonne nuit, Dummie, bon j'espère que je ne vais pas encore me réveille en pleine nuit..
Dummie : Te réveiller en pleine nuit, pourquoi, il est déjà presque deux heures du matin et je viens seulement de terminer mon travail et toi, tu es encore debout.. C'est déjà la pleine nuit.
Doofie : Oui, c'est pareil pour moi, mais toutes les nuits, ces dernies temps je me réveilel vers quatre ou cinq heures du matin car je dois me lever pour aller aux toilettes, je descends dans le noir et Schnelly m'éclaire la pemière partie de l'escalier avec une lampe électrique, je n'ose pas allumer la lumière, pour la deuxième partie celle qui donne dans l'entrée, il y a assez de lumière avec les lampadaieres de la rue, seulement voilà, nous avons des lampadaires oranges.
Dummie : Oui, je le sais, Doofie je connais bien la maison.
Doofie : Je m'assois sur le thrône...
Dummie : C'est très prosaïque, domno notre auteure, disait bien au début de cette scène de théâtre, que ça n'aurait rien de poétique...
Doofie : Assise sur le thrône, je tourne le dos à la fenêtre. Et bien voilà tout à coup, je vois l'ombre de ma tête projetée sur le bas du mur devant moi, dans un halo blanc argenté.
Dummie : Ah! Un halo blanc argenté, c'est poétique quand même, ça devait être la lune..
Doofie : Oui, mais le halo n'était pas très distinct...
Dummie : pas très distinct..
Doofie : C'était un léger halo, parfois, il disparaissait... et revenait...
Dummie : Les nuages qui passent devant la lune.. tu n'as pas eu la curiosité de regarder d'où ça venait..
Doofie : Si, mais c'était la lune, mais sa taille, elle était minuscule, peut-être quare fois plus petite que quand ele est petite habituellement,et elle éclairait très fort. Elle était tout en haut de la fenêtre qui est déjà en haut des toilettes.
Dummie : Donc, plus de peur que de mal...
Doofie : Oui, mais voilà, en allant dans l'entrée, je ne voyais plus le rayon de lune, pourtant les fenêtres sont à la même hauteur, tout en haut de la pièce. Le rayon de lune n'éclairait que les toilettes, j'ai trouvé cela bizarre; je l'ai dit à Schnelly en montant, mais il a dit que ce n'était rien, probablement la lune... et il est decendu lui-même aux toilettes : je lui ai demandé s'il avait remaqué quelque chose de bizarre, il a dit que non. C'était avant-hier.
Dummie : Ah, tu vois des choses bizarres et pas lui...
Doofie : C'est toujours comme cela... La nuit dernière, pareil, je descends à quatre ou cinq heures du matin, sans penser à rien, je m'assoies sur le thrône, tout est comme d'habitude. Soudain alors que j'allais me relever, je vois sur le mur à ma gauche un rayon lumineux blanc, comme une raie de lumière, j'ai pensé que c'était encore la lune, mais pas moyen de la voir, si c'était elle, elle devait être très haute dans le ciel. Le rayon très fin éclairait le mur à ma gauche, j'avais peur de me lever. Je suis vite passé par la porte qui est à gauche, la lune n'éclairait pas l'entrée et ne passait pas par ses fenêtres qui sont à la même hauteur et orientées de la même façon.
Dummie : Ah! C'est bizarre quand même...
Doofie : Sur ce, Schnelly est arrivé, il a allumé toutes les lumières, même celle des toilettes, j'ai dit : Attention, tu vas nous faire remarquer... Il a dit : Pourquoi? J'ai dit : A cause de la raie de lumière sur el mur...
Dummie : Et ensuite?
Doofie : Je suis remontée, quand il est remonté aussi, je lui ai demandé s'il avait vu quelque lumière bizarre, il a dit que non, que tout était normal.
Dummie : Bon, va dormir, Doofie, il est deux heures du matin... tu vas encore voir des choses bizarres si tu ne vas pas te coucher tout de suite.
Doofie : C'est bizarre, en effet, l'écran commence à m'éblouir et les lumières - Schnelly a allumé toutes les lumièes des couloirs de haut en bas, sont faiblardes et jaunes. Alos qu'elle brillaient plus dans la soirée;
Dummie :Va dormir, Doofie et prends tes pécautions pour les toiletes, si tu te relèves pour y aller dans quatre ou cinq heures, il fera presque jour.
Doofie : Bon, gros bisous, Dummie, je vais suivre tes conseils, je te le dirai demain, si j'ai encore vu quelque chose de bizarre.
domino
02:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
La journaliste alternative, c'est ...
Plus de 2000 notes ... Qu'est-ce que j'écris ... même si ce n'est pas toujours très bien, ni relu... et dans les 3300 commentaires...
Un jour j'ai vu que plus de 1500 pages avaient été lues dans la journée, un grois lecteur était passé ce jour-là.
Ce blog exste depuis 2006... depuis plus de 8 ans et demi. Où est ce temps pinnier des blogs, où j'étais dans la catégorie "De tout et et de rien"... Catégories ou groupes qui nous permettaient de faire connaissance avec ceux qui avaient les mêmes passions que nous...
Le temps où je n'étais pas obligée de faire paser mes idées par l'intermédiaire d'un roman-théâtre où Doofie, Dummie, Sottie et Bêtie essentiellement sont mes porte-paroles...
lEt la petite pixie, et Eliot?? Et la soeur de la petite pixie... ils ont toujours leur cabane dans la colonne de droite, ils peuvent toujous revenir si tant est que leur conceptrice retrouve le disque dur de leur serveur.
Enfin, Doofie, 234 de QI et Dummie, Sottie, Bêtie et les autres, ne prennent pas le risque de disparaître car elles n'ont pas d'image; Chacun les imagine comme il veut, un peu boulottes comme leur auteure... ou bien comme une frustée, ou comme Gloria de Fémina.. comme vous voulez.
Et comment imaginez-vous Sweetie, Doucie et Zartie...? Blondes aux cheveux longs, ou brune aux cheveux courts? Et Klugy, oh, celui-là,maintenant ill y en a même deux, car Sweetie ayant changé d'académie, il fallait en remettre un dans la salle des profs de Dummie et Doofie..
Schnelly est barbu, ça, je vous le dis... il a une barbe blanche maintenant.
Quant à Monsieur JeSaisTout, agrégé d'allemand retraité depuis bientôt deux ans, il a les cheveux couts et châtains (peut-être blancs depuis), et il porte un éternel costume dans les verts et une parka verte.
Bon, votre domino est fatiguée, elle a mal àux genoux et à sa jambe, elle a du mal à marcher depuis le mois d'août. J'espère qu'elle tiendra encore le coup et pourra encore vous distraire longtemps.
domino
01:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
Je n'aurai jamais l'agrégation : trop vieille!
Du journal de Dummie :
Bonjour,
L'agrégation d'allemand : je suis "out"!
En effet jusqu'ici il était écrit : Aucune limite d'âge n'est opposable au candidat à l'agrégation (dans les conditions de concours sur le site du ministère).
Cette année : Aucune limite d'âge n'est opposable au candidat à l'agrégation, toutefois le candidat devra s'assurer qu'il n'aura pas atteint la limite d'âge à l'issue de son stage, sinon il ne pourra s'inscrire.
Déjà dans cette formulation il y a une contradiction :
Pas de limite d'âge, mais on peut atteindre la limite d'âge. Ils sont doués au ministère; et qu'elle est cette fameuse limite d'âge???
Aucune indication :
En principe tout fonctionnaire né avant 1951 peut travailler jusqu'à 65 ans et tout professeur demander une autorisation de prolonger sa carrière jusqu'à 68 ans.
De plus si vous êtes né en 52, vous avez le droit de travailler sans autorisation particulière un trimestre de plus, deux trimestres de plus si vous êtes né en 53, et si vous êtes né en 55 et après jusqu'à 66 ans sans permission préalable ce qui est dû à l'augmentation du nombre de trimestres de cotisation pour avoir la retaitre complète.
En ce qui me concerne pour concourir à la session 2015, je suis née par rapport à une titularisation en septembre 2016 quatre mois trop tôt.
Grande contradiction des concours de recrutement : lorsque vous avez réussi brillament votre stage de CAPES dans votre jeunesse, que vous êtes titulaire certifié de longue date et même bi-admissible à l'agrégation, vous devez refaire un stage pour devenir agrégé stagiaire et certains prétendent même que si vous râtez deux fois votre stage d'agrégation, vous ne redevenez même pas certifié, mais vous perdez votre stage de CAPES réussi dans votre jeunesse; pas étonnant alors que certains ne prennent jemais le risque de passer l'agrégation.
Maintenant , j'ai eu des collègues dont on a validé le stage d'agrégation en une année sans qu'ls soient inspectés spécialement pour cela, c'était dans les années 90. L'inspecteur fermait les yeux et signait les papiers pour la titulariation d'agrégé de ceux qui avaient réussi le concours sans inspecter.
Et puis pire encore : en 2011, nous étions 71 personnes à passer l'oral de l'agrégation externe, et je n'étais pas la dernière des admissibles, j'avais quelques points d'avance, en 2012, nous étions 89 personnes à passer l'oral de l'externe et je n'étais pas la dernière admissible, j'avais aussi quelques points d'avance à l'écrit. L'année dernière il me manquait deux points pour être admissible : j'avais 48 points et il en fallait 50 (attention pour les vieux de la vieille pour lesquels il n'y avait pas d'admissibles en dessous de 80 points, les coefficients ont changé!), et il y avait 70 admis! Si cela avait été il y a deux ans, en 2012, j'aurais été admise; et en plus, on ne sait pas pourquoi alors qu'il y avait 50 postes, seulement 49 ont été admis en 2012. Est-ce que j'étais la 50ème ? Et que l'on a baissé mes points au vue de mon âge. Pourtant, j'ai encore été inspectée l'an dernier.
Et pourquoi on n'a pas attribué ce 50ème poste ? Alors que cette année (en 2014) on en a attribué 70 et qu'on est descendu plus bas dans les points d'amissibilité.
En juillet, je me suis demandée si soudainement je n'étais pas agrégée, mon salaire avait augmenté, idem en août, ... mais sans bulletin de salaire,à quoi correspondait cette brusque augmentation?
Réponse vers la fin septembre:
En juillet : indexation sur le coût de la vie. Chiv alors, cela va être tous les moins comme cela? Puisque mon Quicky a vu ses revenus baisser de 600 € par mois depuis qu'il est retraité, cela aurait compensé.
En août : fini, l'indexation sur la coût de la vie, déjà, c'était annuel seulement! Mais la même somme pour un rappel d'indemnités de TZR années antéieures plus un rappel d'indemnités de TZR année courante.
Bon, je suis sûre que si on calcule bien des rappels d'indemnité de TZR année antérieures et année courante, il doit encore y en avoir beaucoup.
Un rappel de salaire, c'est une somme qu'on avait oublié de vous verser en temps voulu et que l'on vous verse enfin! Normalement on devrait nous donner des intérêts parce que pendant ce temps on ne peut pas mettre cette somme sur notre compte épargne, quand c'"est possible, mais ici cela a juste servi à compenser le manque à gagner dû aux soi-disants services non faits des missions impossibles données parfois l'an dernie (impossibles sur le plan des communications par voie de terre sans prendre de taxi). En fait, on m'a juste rendu ce que j'avais perdu sous une autre forme.
Bon, si j'avais eu l'agrégation externe en 2011 ou 2012, années où j'étais admissible et où j'ai réalisé quelques beles performances quand même (quelques notes au dessus de 10/20), j'aurais eu une augmentation de salaire quand même, car actuellement mon salaire est toujours au même montant qu'il y a cinq ans (pas de changement d'échelon depuis cinq ans, que je suis au 11ème échelon des bi-admissibles et que l'on me refuse la hors-classe des bi-admissibles).
(Pour les étrangers : Un TZR c'est un professeur titulaire certifié, bi-admissible ou agrégé, qui effectue des remplacements soit à l'année, soit de moyenne durée : 3 semaines à 6 mois, il a le même statut juridique que tous les professeurs titulaires, c'est à dire qu'il est fonctionnaire de l'état, mais il est payé en plus pour ses frais de dépalcement, car il intervient souvent loin de son domicile).
(Pour les étrangers et les ignorants : un professeur bi-admissible est un professeur certifié par CAPES qui de plus a réussi au minimum deux fois l'écrit de l'agrégation (interne ou externe, indifféremment) durant sa carrière).
(Pour les étrangers : le CAPES peut être considéré comme un bac + 5 avec son stage, et l'agrégation avec son stage comme un bac + 6)
(Pour les vieux de l'agrégation d'allemand : dans les années 90 il y avait des coefficients plus élevés et les notes d'admissibilité tournaient entre 75 et 85 environ, selon les années, en 99 j'ai même eu quelque chose comme 73 points, alors que la bare d'admissibilité était à 75 points.)
(Je me suis étonnée que pour l'agrégation externe on ne m'ait pas demandé de founir mes papiers comme mes diplômes ou le CAPES au début de l'oral, je n'ai dû montrer que ma carte d'identité. Est-ce parce que l'on fournissait déjà ses papiers en décembre de l'année précédente au rectorat d'inscription.)
Sur les 5 fois où j'ai passé l'oral d'une agrégation, par trois fois mon nom de jeune fille qui était bien orthographié sur les papiers du rectorat et du ministère : convocations, relevé de note, etc... gérés électroniquement, .... était mal orhographié sur les affiches des horaires, et les listes donnés aux jurys. Est-ce que l'on s'est trompé en tapant mes notes, si par exemple le logiciel affiche le noms d'après les premières lettres que l'on tape, les notes peuvent être données à une autre personne qui a un nom qui commence par presque les mêmes lettres.
Et pour revenir au début : La limite d'âge qui n'est pas opposable mais qui exiterait quand même, à quel âge est-elle. L'un des dernires BO sur la matière indiquait en 2000 pour la session 2001 : 64 ans, en 2001 pour la session 2002, 65 ans. Et en 2002 pour la session 2003 : 66 ans, et en 2003 pour la session 2004 : aucune limite d'âge n'est opposable au candidat. Libéalisation aussi sur le plan du nombre des agrégations que l'on peut passer : désormais dans le BO de 2003 pour 2004, tout candidant même de l'enseignement public pouvait s'inscire à une ou plusieurs agrégations et aux agrégations interne et externe.
Pour Dummie
domino
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lundi, 06 octobre 2014
Le sosie...
Roman-théâtre
Vous avez déjà vu une fausse journaliste qui est l'auteur de nos vies de personnages de roman-théâtre ignorer l'actualité? Pourquoi pas... Le blog de notre auteure domino n'a jamais été vraiment en prise sur l'actualité, ce qui fait que par exemple domino ignore totalement pourquoi son personnage Bêtie a tant d'ennuis ou eu tant d'ennuis.
Et bien à cause d'une histoire de sosie... parce que Rapidy âgé est le sosie d'un présumé terrorriste norvégien (mais en fait on ne sait pas s'il est vraiment terroriste, apparemment il l'aurait été dans sa jeunesse, comme chanteur ou guitariste d'un groupe de métal). Quand le norvégien était jeune il ne ressemblait pas beaucoup à Rapidy qui était plutôt brun, alors que le norvégien était blond. Et de plus Rapidy avait ses sourcils qui se rejoignaient au milieu, ce qui n'est pas le cas du norvégien. Mais sourcils mis à part, une fois que le gris et le blanc ont pris possession de la chevelure et de la barbe, les deux se ressemblent beaucoup.
Par contre le copine française du norvégien est beaucoup plus blonde et beaucoup plus jeune que Bêtie. Ce n'est pas du tout un sosie et contrairement à cette maman qui vit à la campagne et était une fan de tir à la carabine, Bêtie a toujours été ennemie des armes quelles qu'elle soit. C'est une différence fondamentale, même si la femme du norvégien ressemble aux étudiantes en allemand qui préparait le CAPES à, l'époque où Bêtie préparait l'agrégation, à moins que Bêtie ne l'ait rencontrée au club des études germaniques et scandinves, en grande partie géré et occupé par les scandinavistes et délaissé par les germanistes (c'est comme cela que l'on dit?). Et en plus, Bêtie a été attirée longtemps par les langues scandinaves, mais ne les a jamais apprises.
Autre chose : Rapidy, qui ressemble comme deux gouttes d'eau à ce norvégien âgé comme lui, n'a pas la même voix que lui. Et il ne parle pas les mêmes langues. Rapidy parle le dialecte sarrois, l'allemand et le français courramment, mais comparé à l'excellent anglais du norvégien, son anglais est assez aléatoire. Raipidy ne parle pas norvégien, bien qu'il a raconté dans sa jeunesse à Bêtie qu'il a fait une partie du tour des côtes de Norvège en bâteau avec des amis quand il ne connaissait pas encore Bêtie. Il est probable que s'il n'avait pas rencotré Bêtie, il aurait eu une vie beaucoup moins sédentaire.
Outre toutes les tribulations dont Bêtie a été vicitme depuis l'époque de l'empereur Entreboues, tribulations qui ont commencé en 2002 alors qu'il venait d'être nommé ministre de l'intérieur et n'était pas encore empereur. Tribulations qui se sont accentuées quand l'empereur Entreboues est devenu empereur et n'ont même pas cessé à l'avénement du Roi de Hollandie.
Bon, ni domino, ni ses pessonnages de roman-théâtre Bêtie et Rapidy n'était au courant de cette histoire de terroriste norvégien qui est un sosie de Rapidy. On râte parfois l'actualité, même en tant que fausse journaliste. Par exemple, une après-midi récente, Rapidy ayant laissé la radio allumée alors qu'il était parti faire les courses, Bêtie lui reproche souvent de ne pas éteindre sa radio, il en a une au rez-de-chaussée et une à l'étage et il n'éteint pas celle du rez-de-chaussée quand il monte à l'étage. Et pour une fois, grâce à cette radio allumée, Bêtie a fait une découverte... pendant une heure elle a entendu parler de dix terroristes corréziens qui auraient retardé un TGV à l'époque de l'empereur Entreboues, mais en fait il n'y aurait que deux présumés coupables, on ne sait pas pourquoi les huit autres ont été arrêtés, ils ont été arrêtés, selon les mauvaises intentions qu'on leur prête.
Et puis, question trains, Bêtie a trouvé vraiment des bizareries. Dès qu'elle commence un remplacement, les trains, après avoir pris connaissance des parcours qu'ele fait se mettent en grève dans les deux jours et font la grève totale sur le parcours qu'elle doit faire. Un hasard? Quand Bêtie allait voir des psys à cause des médecins du rectorat, on a toujours essayé de lui prouver que les recoupenets qu'elle faisait entre certains évènements étaient des hasards. Si elle doit faire des trajets en bus de ville, la compagnie de bus se met en grève dès le deuxième jour de son remplacement, pour agression contre un chauffeur.
Après avoir écouté cette émission avec attention, Bêtie tape sur internet le nom du principal accusé, ou plutôt de sa ville, assortie de Mille Taureaux , elle a dû faire tourner les premières lettres de l'alphabet, car elle avait compris Carnac, qui est en Bretagne, et tombe sur l'autre affaire, aussi sur le plateau des Mille Taureaux, apparememnt refuge des terroristes de tout poil. Bon, là encore, Rapidy avait une tante dans ce coin-là quand il était jeune, c'était chez elle qu'il avait fait un gâteau, dont il avait oublié la levure; et que sa tante avait dit devant ce gâteau dur et tout plat : Pas étonnant qu'il est bon, il n'y a eu que des bonnes choses dedans! Oui, Rapidy savait faire les gâteaux, mais il cuisine mal le reste, et ne fait plus de gâteaux depuis que le four est tombé en panne en 2002 précisément, il fallait en acheter un autre, ce qui ne fut jamais fait, car c'est à cette époque qu'ont commencé les ennuis de Bêtie.
Bon, elle y apprend que cete famile apparemment tranquille dont le moniseur était un ancien chanteur ou musicien de hard-rock norvégien et la dame une beauté blonde locale, qui a plus un look suédois que du midi, fan de tir à la carabine, était accusée de projeter aussi des actes terroristes, bien que l'on en ait aucune preuve.
Alors, vu que ce chanteur de hard-rock très médiatisé en France maintenant et qui fait partie un peu de la mouvance gothique moderne, un peu du style Rammstein, est souvent sollicité pour donner interviews et autographes, pas étonnant que son sosie Rapidy ait été sollicité par les élèves pour chanter, donner des autographes... et malgré qu'il chante archi-faux, les élèves ont trouvé qu'il chantait merveileusement bien. Rapidy a commencé à "emprunter" les livres de chants allemands de Bêtie, livres qu'elle ne toruvait plus, pour chanter devant ses élèves. Heureusement que Rapidy prenait sa retraite, car sinon, il serait devenu la star qui chante faux.
A l'époque de l'empereur Entreboues, quand Bêtie passait par la station de métro de la gare de Grande Métropole Régionale, elle se trouvait toujours encadrée sur les escalators par quatre à six policiers qui trouvaient qu'elle n'avançait pas assez vite. Bêtie est âgée et a souvent mal aux jambes, et elle hésite parfois avant de poser son pied sur l'escalator,mais comme elle parait plus jeune que son âge, ils interpétait cela comme de l'obstruction à la marche rapide des gens qui se précipitent vers leur tavail. Parce que en fait Bêtie n'a jamais fait exprès d'hésiter devant ces escalators qui sont trop rapides et dont la partie où l'on s'y engage n'est pas assez plate longtemps. Normalement, il faudrait que l'escalier reste plat pendant plusieurs mètres avant que les maches se soulèvent ou se baissent.
Un jour la police s'est même approchée d'elle et a demandé son nom, elle a dit qu'ele s'appelait Mme Rapidy sans préciser ni son prénom et son nom de jeune fille;Ils devaient croire qu'elle était la femme du présumé terroriste norvégien dont son mari est le sosie; une autre fois, elle était au kisoque à journeaux et ils étaient collés derrière son dos. Enfin, depuis que le roi Hollandie est au pouvoir, la police qui n'est plus dans cette gare que ferroviaire et non plus nationale et les soldats de la station de métro se font plus discrets. Avec leurs baönettes au canon, braquées sur les pieds des voyageurs, on se serait cru en pleine guerre, en Palestine ou en Israël, Bêtie n'avait jamais rien vu de tel, même à la frontière de RDA, les Vopos étaient plus discrets. Dans les gares des grandes villes, il y avait au maximum un Vopo qui se promenait tout seul.
En Mitteleuropa, il n'y en avait pas non plus dans la gare. Seulement une voiture le soir pas loin de la résidence d'étudiants, mais ils étaient là pour verbaliser les voitures en stationnement interdit.
Bon, avec Doofie quif fait ses arbres généalogiques et a trouvé que Dummie descendait à la fois des rois d'Upsalla, des pharaons et des empereurs romains et des empereurs de Chine, excusez du peu, Bêtie va être taxée de gothisme. Avec son mari soisie d'un terroriste norvégien et qu'elle trouvait plutôt ressembler à un habitant des pourtours de la Méditérannée, elle se sent en danger. Et avec son lien sur Tokio Hotel... avec Bill qui avait les yeux aussi maquillés qu'un goth, maquillage qu'à l'époque de leur grande gloire certaines filles de nos classes d'allemand cherchaient à imiter, Bêtie a décidément tous les défauts. ..
Et en plus,jusqu'ici, Bêtie ne savait pas que son mari était le sosie d'un terroriste et Rapidy ne savait pas qu'il était le sosier d'un terroriste, mais aussi celui de Debussy et de Tarrega. Alors elle comprend un peu mieux cet ancien proviseur du dernier poste établissement qu'elle avait eu, lui dire "J'espère que l'on peut faire confiance à votre mari" ce qui a sapé la confiance que Betie à son mari, et aussi cet inscpecteur qui le 22 mars 2002 lui a dit : "Je ne vous confierais jamais mes enfants." Et Bêtie s'est toujours demandé pourquoi, alors qu'elle avait beaucoup de succès auprès de ces élèves et sortait de ses promotions de bacheliers de futurs profs d'allemand, on lui a soudain témoigné d'aussi peu de confiance et pourquoi sa belle-mère peu de temps avant son décès lui a dit, à elle et à Rapidy : "J'espère que vous avez bientôt fini avec vos bêtises, vous, là-haut!" Bêtie qui s'entendait bien avec elle, lui a demandé "Quelles bêtises?" et elle lui a dit "Oui, les bêtises qu'il a faites, lui, en désignant son mari."
Peut-être le fait que ce présumé terroriste norvégien est pour l'union des euopéens, fait que à cause du travail pour l'Europe, mais celle de l'Union Européenne et de l'exposition sur l'Europe qu'elle voulait faire, mais qui n'est pas arrivée à son terme, elle a été saquée. Parce que eux ont une idée européenne, mais ce n'est pas la même chose; pour Bêtie l'Union Européenne est simplement le garant de la paix en Europe et a pour fonction d'éviter de raviver les vieilles haines.
Pour Bêtie
domino
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Le vieil étui à lunettes...
Roman-théâtre
Doofie a mal aux genoux, surtout au genou gauche. Comme ça a l'air d'être des rhumatismes, ça vient et ça s'en va et ça revient, mais quand c'est là, pas moyen de marcher. S'appuyer sur le jambe gauche pour avancer le pied droit est une vrai torture. Quand c'est plat, on peut encore avancer en pas de patineuse, cela évite de soulever les pieds, sinon... ouille, ouilel... Quand ça fait mal dans les deux genoux à la fois, plus moyen d'avancer sans s'appuyer, ou plutôt se cramponner quelque part. Doofie n'est pas Sottie...
Profitant d'une petite accalmie, Doofie fait du ménage. Elle essaie de réparer ce que Schnelly n'a pas fait quand elle travaillait six journées par semaine à l'extérieur. Parce que Schnelly est retraité, mais les hommes retraités qui s'occupent du ménage (excusez-moi, messieurs, mais un cas n'est pas une généralité, bien sûr..), les hommes retraités qui s'occupent du ménage, c'est terrible... pour leur femme.
Par exemple Schnelly fait à manger; il a fait des progrès pour le goût, mais est un peu en régression culinaire depuis les vacances : quand il reprend pour donner du goût ses expérimentations de mets qui ne vont pas ensemble, Doofie est obligée d'assaisonner avec une bonne dose de ketchup pour faire passer le goût fade de la cuisine Schnelly.
Mais enfin, il fait aussi la vaisselle. Après la vaisselle, théoriquement, on nettoie la cuisinière et l'évier... mais lui, non, il faut repasser derrière lui,et si vous 'êtes pas là ou n'avez pas le temps, la saleté s'accumule.
Il avait fait une pile de poubelles en sachets en plastique devant une armoire de cuisine, la plupart du temps impossible à ouvrir tant il y a des choses devant. A l'intérieur, après avoir réglé le problème des ordures tombées à terre, voir collées... Doofie a trouvé de vieilles boîtes de Muesli toutes poussiéreuses et dautres mets non moins ragoûtants. Elle a nettoyé l'armoire, a nettoyé certaines grosses pièces qui trainaient sur le plan de travail, et que Schnelly avait laissé envahir par la poussière et les a rangées à la place des paquets de Muesl. Schnelly n'a rien vu, juste qu'il doit trouver qu'il y a moins d'affaires sur le plan de travail.
Elle a retrouvé le vieil étui à lunettes, façon harmonica en fer blanc, de Schnelly au milieu des vieilles ordures qui se trouvaient sous les sachets qui servent à trier en verre, emballages et ordures normales. Vu l'état de l'étui devenu tout sale et tout rouillé, Schnelly a accepté de s'en séparer.
En sortant les poubeles, Doofie a jeté un coup d'oeuil au jardinet en pente qui est devant la maison. Tout a repoussé, elle s'est dit : Je vais donner un coup de balai sur l'escalier extéireur jonché de feuilles mortes, mais... le grand balai avec la grosse brosse blanche, n'était plus à l'endroit où elle le met habituellement à côté des poubelles dans le garage. Schnelly et elle, ont bien cherché dix minutes après, pourtant un balai aussi gros, ça devrait se voir. Alors Doofie a refermé la porte du garage et a dit : "Je ferai l'escalier une autre fois". Finalement, il a retrouvé le balai dans la chaufferie, placé en parallèle à un caddie de courses, il ne se voyait pas.
A un moment, Doofie s'est demandée s'il n'avait pas prêté le balai aux voisins qui sont déjà repartis pour la semaine, la maison voisine semble être une maison de week-end. Pourtant mis à part les jardins derrière, ce n'est pas un quartier destiné à des vacanciers. Les maisons années 60, mitoyennes, avec les garages dans le sous-sol, sont toutes semblables. Avant, elles servaient aux employés d'une usine où ils étaient logés gratuitement Puis ayant fermé peu à peu, l'usine a revendu ses maisons. Et Doofie et Schnelly ont acheté leur maison à cette usine, pour un prix intéressant; une affaire...
Au début les nouveaux voisins venaient tous les week-'ends avec plusieurs voitures et motos. Maintenant, ils ne viennent plus qu'une fois tous les quinze jours ou trois emaines, en juillet et août, contrairement à l'an dernier, mis à part un week-end, ils n'étaient pas là. L'autre voisine, en vacances dans son pays, non plus, alors, c'était le calme près de chez Doofie.
Le temps que Schnelly cherche et trouve le balai, Doofie cétait déjà repartie à d'autres occupations, elle fera l'escalier quand elle rentrera les poubelles; Schnelly trimbale des victuailles de la cave vers la cusine. Avec force bruits de sachets en plastique. Mais selon lui, il n'y a plus assez à manger; et surtout Doofie a utilsé tout le papier blanc absorbant qui sert à la cuisine à faire le ménage; les éboueurs passent, enfin, toutes les saletés que Doofie a mis à la poubelle cette semaine vont partir... et le vieil étui à lunettes tout rouillé de Schnelly aussi, il ne semblait même pas avoir un pincement au coeur, et pourtant, parfois, il veut vraiment que Doofie garde des choses impossibles, comme des vieux chaussons troués. .. Il a déjà réecombré le peu de place que Doofie avait réussi à faire au fond du garage. C'est toujours comme cela, ce qu'elle dégage est vite ré-encombré, alors elle nettoie les armoires en catimini, sans qu'il le voie; L'autre jour il a surpris qu'elle fermait la porte de lamier qu'il avait bloquée depuis des lustres et a vite dit : qu'est'ce qu'il y a dedans! Ne touche pas à cela, a dit Doofie qui y avait rangé quelques ustensiles de cuisine à la place des victuailles qui avaient depuis longtemps dépassé la date limite de consommation.
Bientôt, si Schnelly découvre l'endroit, il y aura du courrier emballé dans des sachets en plastique entre les ustensiles de cette armoire... enfin, il faut lui faire la guerre, pour qu'il obéisse... après 40 ans de mariage.
Il a changé, au début du mariage, le moindre grain de poussière qui traînait sur une armoire, il l'enlevait, il lavait l'appartement d'alors tous les dimanches à fond... il faisait le ménage, parce qu'il est féministe. En Allemagne, il y a même des hommes féministes qui sont devenus un temps "hommes au foyer", ils s'occupaient du ménage et des enfants pendant que la femme qui gagnait un meilleur salaire, travaillait. Maintenant, ils ont des petites retraites et la plupart du temps, ne font plus rien chez eux. iIs vivent en partie aux crochets de leur femmes...les féministes dans l'âme...
Pour Doofie et Schnelly...
domino
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