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mercredi, 06 juin 2007

Comparaison.

Je voudrais tenter cette expérience, mais pour cela il faudrait que l'agrégation d'allemand ne tombe pas en même temps que l'agrégation de français (lettres modernes)  :

- passer l'agrégation de français et l'agrégation d'allemand et voir à quelle dissertation j'ai la meilleure note :

. aux dissertations de l'agrégation de français ou

-à la dissertation en français de l'agrégation d'allemand.

Je serais alors quasiment certaine d'avoir de meilleures notes en dissertation française de lettres modernes, qu'en dissertation française de l'agrégation d'allemand.

En effet j'ai demandé un jour à une candidate d'agrégation de lettres modernes si le jury privillègiait les candidats qui ne composaient que sur deux copies maximum, par rapport aux candidats qui écrivent davantage (quelque soit la taille de l'écriture), comme c'est le cas à l'agrégation d'allemand. La candidate m'a répondu que non, que deux copies c'était beaucoup trop peu, et que il valait mieux faire une dissertation de sept copies bien structurée et bien détaillée, qu'une dissertation de deux copies, certes bien structurée, mais d'un contenu trop léger. Donc, les jurys de français et les jurys d'allemand n'ont pas les mêmes critères d'évaluation.

Il paraîtrait que les jurys d'allemand ne lisent même pas les dissertations d'allemand qui dépassent deux copies, qu'il font un tas avec toutes les dissertations qui dépassent deux copies et mettent la note 1 si l'allemand ou le français sont bons et  que l'introduction semble être dans le sujet, la note O,5 si l'introduction montre qu'il s'agit d'un hors-sujet et que l'allemand ou le français sont bons, et la note 0,25 si l'allemand ou le français ne sont pas très bons.

C'est vrai qu'un bon fonctionnaire ne doit pas composer plus que ce qu'on lui demande, tout comme il ne doit pas dépasser les horaires de travail de ses collègues qui ne sont pas professeurs (voir mes notes précédentes).

Ceci dit je ne dépasse jamais le temps imparti à l'écrit de l'agrégation, car je rends systématiquement ma copie une minute avant le moment où l'on va dire 'C'est terminé!" pour être sûre de ne pas avoir dépassé le temps. Maintenant à cette fameuse dissertation en français, on a dit aux autres candidats, c'est teminé, alors qu'on venait de mettre ma copie dans la pochette et quand j'ai remonté la colonne pour aller ranger mes affaires, l'une de mes camarades admissibles était encore en train d'écrire après l'heure, et à la dissertation en allemand, elle a rempli ses en-têtes après l'heure, mais elle a un avantage sur moi, elle est mince et j'ai de l'embonpoint (voir à ce sujet la Charte Européenne des droits de l'homme dont j'ai parlé le mois dernier). Ceci dit, je suis longue à ranger mes affaires et je vais aux toilettes avant de sortir, mais après avoir rendu ma copie, si bien que les surveilants me voient toujours sortir la dernière, alors que je rends ma copie la première des candidats qui vont jusqu'au bout des 7 heures. Sauf à la dissertation en allemand, j'ai posé mon stylo quand on a dit, c'est terminé. La candidate maintenant admissible placée 4 ou 5 places devant moi, il n'y avait personne entre deux, car il y avait sur la dizaine d'inscrits 7 absents, ce qui montre que beaucoup n'avaient pas réussi à ingurgiter le programme, s'est levée après moi, après avoir continué à écrire pendant quelques secondes, puis comme elle marche plus vite que moi, elle m'a dépassée, a rendu sa copie avant et j'ai du attendre derrière elle qu'elle finisse de remplir ses en-têtes. A l'agrégation interne j'ai attendu derrière une candidate admissible aussi qui n'avait pas collé son étiquette sur la bonne copie, pour que l'on me dise ensuite que je n'attendais pas à la bonne rangée (personne ne relevait les copies à ma rangée, la dame qui relevait les copies est arrivée d'une autre rangée, par contre il y avait une candidate d'une autre matière qui remplissait ses en-têtes à la table où 'aurais du rendre ma copie, le foutoir quoi !). Je précise que j'ai eu terminé avant la candidate qui s'était trompée d'étiquette parce que placée beaucoup plus près que moi de la table où il fallait rendre la copie,, elle écrivait encore quand je suis passée à coté d'elle, et elle a couru et m'a dépassée pour rendre sa copie.

domino

 

mardi, 15 mai 2007

Goujaterie...

Je vais vous expliquer ce qui s'est passé lundi soir, sinon vous n'allez rien comprendre de ce qui s'est passé ce soir là, car j'ai interrompu ma note (Bizzareries au CDI, note à laquelle celle-ci fait suite).

Comme je vous le disais deux notes auparavant, j'avais bien tout fermé l'ordinateur et l'imprimante dont je m'étais servie pour taper un texte pour l'exposition, et j'avais apporté ce que je venais d'imprimer dans la salle contigüe, la salle de lecture où nous venions d'installer les grilles d'exposition (une heure auparavant).  J'ai rangé tout ce que j'avais laissé  sur les 3 tables en faisant du découpage et du collage en petit matériel : ciseaux, colle, stylos, feutres, etc... J'ai installé le rouleau de papier-tableau (paper-board) sur une table, bien déroulé et mes feuilles imprimées dessus pour rassembler le matériel, vec des textes prêts à être collés sur les grandes feuilles le lendemain matin, jusque là j'étais très calme, très sereine et presque heureuse. Je n'ai jamais eu l'intention de les ranger ailleurs, car comme je revenais tôt le lendemain matin, ma collègue TZR de français et responsable du CDI s'étant déjà servie de cette table pour entreposer une exposition de français, j'ai pensé que je pouvais me servir de la même table pour poser ce qui attendait de mon exposition).

Je suis allée à l'ordinateur du bureau du CDI pour l'éteindre. Comme il est assez récalcitrant, j'ai du attendre un peu je me suis assise devant lui et son message d'"erreur fatale" qui n'était pas fatale du tout, puisqu'il s'est rallumé normalement le lendemain et c'est juste à ce moment qu'au lieu de la concierge est passé un homme que j'ai identifié depuis comme étant le jardinier du collège. Il m'a dit qu'il remplaçait la concierge pour son tour du soir, et que je devais me dépêcher de partir.

Après que l'ordinateur se soit éteint, j'ai fait comme à l'accoutumée le tour du propriétaire du CDI, et là -stupéfaction !- le gros rouleau de papier et les feuilles imprimées que j'avais posé sur une table de la salle de lecture deux/trois minutes avant n'étaient plus là. Je me suis dit : "Je ne rêve quand même pas, je suis sûre de les avoir posés là il y a deux miinutes!" Comme ces rouleaux sont suffisamment grands pour qu'on les voit bien, j'ai fait 3 fois le tour de la salle de lecture et du CDI pour les retrouver. Et non, ce matériel qui devait me servir ce matin avait disparu. Sans aucune explication donnée par la personne qui les avait pris.

Comme il y a quatre porte au CDI, une à chaque bout de  chacune de ces deux anciennes salles de classe; j'ai pensé que quelqu'un avait ouvert avec une clef l'une de ces portes qui étaient fermées  auparavant et avait pris le rouleau.

C'est là que j'ai essayé à défaut de pouvoir rattraper l'homme de service (le jardinier, en fait) parce que je ne cours pas assez vite (il n'était déjà plus dans le couloir), j'ai crié en détachant bien mes syllabes pour qu'il l'entende : Pou-vez vous m'ap-por-ter-ra-pi-de-ment-le-rou-l'eau-et-les-feuilles-de-l'ex-po-si-tion. et-que-je-ne-pou-vais-sor-tir-du-col-lège-tant-que-le-pa-pier-n'é-tit- pas-re-ve-nu.

J'entendais que l'ouvrier passait et repassait dans le couloir d'en haut. Je croyais que tous les élèves étaient partis et que j'étais seule avec lui dans le bâtiment , c'est pourquoi je me suis permise de crier après lui. Mais il n'est pas venu. Ensuite, je l'ai vu dans la cour. Je lui ai fait signe de la fenêtre de venir et j'ai continué à crier à m'en décrocher la voix (que je n'ai pas retrouvée depuis), qu'il devait venir pour voir s'il n'avait pas vu qui avait pris ce matériel (toutes les apparences font penser à lui, mais je ne suis pas le commissaire Maigret, et c'est peut-être aussi quelqu'un qui est passé derrière lui, pour faire croire que c'est lui, peut-être aussi qu'il pensait que j'étais déjà partie, peut-être que quelque chose aurait disparu dans l'autre partie du CDI, celle où j'étais, si je n'avais pas été là, et si je n'avais pas fait du foin sur cette disparition ensuite), et d'après la description des évènements que j'en ai fait à ma collègue ce matin, elle pense que c'est quelqu'un qui a fait cela, pas pour voler, mais pour m'embêter et elle pense aussi à un adulte et toutes les apparences montrent que cela doit être lui qui  a pris le rouleau, les feuilles et le plan de l'exposition (de son début tout au moins). Mais je peux me tromper et publiquement, je ne l'ai pas accusé. Toujours est-il qu'il a passé sa tête par la porte du CDI, une ou deux minutes après que j'ai vu le matériel disparu pour la dernière fois et je me suis aperçue de la disparition du matériel une minute après son passage.

Quelqu'un est monté ensuite, près m'avoir entendu crié, mais ce n'était pas un ouvrier mais une surveillante (N.), j'étais étonnée de la voir là, parce que tous les soirs on me faisait croire que j'étais la dernière à rester dans le bâtiment. En fait, elle m'a dit qu'elle faisait l'étude à l'autre bout du bâtiment (donc, on me mettait dehors à 17h 45 tous les soirs alors que les élèves restaient plus longtemps, peut-être jusqu'à 18h 30/19 heures. Il n'y a pas de porte entre le premier étage et le deuxième, ni au milieu du couloir, car le collège n'est pas très grand, donc on pouvait accepter que je reste plus longtemps, au moins aussi longtemps que ces élèves en étude).

Alors, cette surveillante qui m'a touvée en larmes (c'est sûrement elle qui a mouffeté auprès de la principale), en train de tourner en rond dans le CDI à la recherche de ce gros rouleau de papier qui aurait du crever les yeux, m'a demandé ce qui se passait. Visiblement, elle ne comprenait pas toutes les réponses à ce  qu'elle m'a demandé . Elle m'a demandé par exemple si ce n'était pas ma collègue qui l'avait emmené alors que celle-ci était partie une heure et demi auparavant, alors que cela faisait encore 1/4h seulement que j'avais étalé moi-même ce rouleau de feuilles sur la table, deux ou trois minutes avant de constater sa disparition. Et environ 10 à 13 mn que j'avais constaté sa disparition au moment où la surveillante est entrée après que j'ai crié "Au secours!" et "Au voleur!" (sans accuser personne).

Avant de partir, j'ai mis une feuille "Ne pas démonter" sur les grilles d'exposition qui n'étaient pas remplies de documents, et la surveillante m'a aidé. J'ai mis des affiches sur les tables : ne rien bouger et ne rien prendre de ce qu'il y a dans le CDI et sur la table où était l'exposition ironiquement : "Ne pas enlever l'exposition qui était ici!", avec "était" sciemment au passé. Sur l'une des feuilles sur laquelle j'ai écrit "Ne pas bouger ce qui est dans le CDI", j'ai écrit au dessus "Pour le personnel de service".* Ceci pour qu'on n'enlève pas d'autres affaires, en croyant bien faire, pour débarasser.

Bon, je suis partie sans plus d'incident, au regret de ne pas avoir retrouvé le bien du CDI.

Ce matin, j'ai téléphoné prudemment à ma colègue qui était déjà au CDI pour lui annoncer la situation. Et lui demander si elle n'avait pas revu le rouleau de papier et ce qu'il y avait dessus. Elle donnait un cours de français au CDI (une moitié de classe qu'une collègue lui avait prétée), mais a regardé quand-même : toujours rien n'était revenu. Elle m'a dit que pour l'exposition je pourrais employer le papier qui était sur le trépied,  qui lui servait de tableau, mais je lui ai demandé si elle en aurait assez jusqu'à la fin de l'année pour ses cours.

Le CDI a déjà épuisé tous ses crédits pour l'exercice 2007, c'est à dire jusqu'en décembre 2007, mais ce n'est pas moi qui ai fait les commandes. Beaucoup d'abonnements n'ont pas pu être renouvelés. On avait 2000 euros de crédits pour le CDI pour toute l'année, ma collègue qui est prof de français a acheté beaucoup de livres  de littérature de jeunesse d'occasion.

Ma collègue pense aussi que prendre ou voler un rouleau de papier-tableau (paper-board) et des textes d'exposition, c'est pour embêter son monde et pas pour s'en servir. Car ces objets n'ont pas une très grande valeur. Celui qui aurait vraiment voulu voler pour prendre quelque chose de cher, aurait pris un ordinateur. Le coupable doit être quelqu'un qui ne m'aime pas. Et pas quelqu'un qui vole pour voler.

Quand je suis arrivée au collège, je n'ai pas eu de problèmes d'emblée. On a discuté avec ma collègue (je lui avais téléphoné avant) de ce que j'allais faire pour le vol de la veille au soir. On  a  décidé que je téléphonerai à la principale à partir du téléphone interne. Quand j'ai eu la principale au bout du fil, elle a à peine écouté quand je lui ai parlé de vol au CDI, en parlant doucement, elle m'a dit d'un air péremptoire et en criant, ce qui a coupé net toute communication réelle possible, "C'est justement à ce propos que je veux vous parler", quasiment comme si je me serais volée moi-même (mais parfois ma principale sourit en criant, mais au téléphone on ne s'en rend pas compte). Comme si ce serait moi la voleuse! Pourquoi irais-je voler mon propre matériel de travail, alors que j'en avais tant besoin? Ce serait ridicule. Je lui ai dit : "Mais enfin, Madame, "ce n'est pas moi qui ai volé, il y a eu un vol dans le CDI et c'est quelque chose de très grave." Elle voulait peut-être me parler des appels d'hier mal perçus par la surveillante et l'homme de service (le voleur peut-être?), qui ont semé le trouble et fait peur à ces chérubins qui étaient à l'autre bout du bâtiment à un autre étage.

Mais vous savez tous comme moi, et cet adage est bien  connu et m'a été répété par mon collègue d'allemand, monsieur JE SAIS TOUT dans le lycée où je suis restée dix ans :

ON NE FAIT PAS DE REMOUS DANS L'ENSEIGNEMENT FRANçAIS, C'EST TRES MAL VU.

(Et les réactions bizarres de certains profs bloggueurs sur cet i-grimoire tendent à me le prouver.)

*

Voici mon jugement sur ma principale :

1) Elle crie toujours sur les élèves et beucoup plus que moi, elle vocifère, et me reproche de crier une seule fois dans l'année.

2) Si elle avait dit gentiment quand je lui ai signalé le vol dans le téléphone interne, "Ah bon, et bien vous venez me voir et on va essayer de retrouver le rouleau de papier", cela m'aurait rassurée et j'aurais pu discuter avec elle. Elle n'a pas trouvé les mots qu'il fallait pour que je ne m'en aille pas. Elle a crié et rompu de ce fait toute possibilité de communication. Je suis quelqu'un sur laquelle il ne faut jamais crier, sinon, je m'enfuis.

Devant tant d'incompréhension, de gougeâterie, de mesquinerie de la part de l'administration, il ne me restait plus qu'une solution, m'enfuir loin du collège. Je suis rentrée chez moi en ramassant en route mon époux qui ne travaille pas le mardi, mais m'accompagne pour que je ne sois pas toute seule sur mes 35 kilomètres aller et surtout retour (en tout 70 km en pleine campagne) tout l'hiver pendant la nuit surtout, mais c'est l'été et il vient par habitude et au cas où je m'endormirais en route).

J'ai dit au téléphone à la principale qui si elle le prenait comme cela, elle m'avait vu pour la dernière fois. Et pourtant au début de l'année je m'entendais bien avec cette principale, mais nos relations se sont dégradées lorsqu'elle a pris connaissance de mon dossier où on me reprochait à moi qui suis toujours gentille et souriante, des rapports "conflictuels" avec les collègues. J'ai connu des profs hurleurs, des profs qui disaient leur vérité aux administrations à longueur d'année qui n'étaient jamais attaqué par l'administration, bien qu'étant toujours à longueur d'année en conflit avec l'administration, ils avaient toujours d'excellentes notes administratives. Ce sont souvent des syndicalistes auxquels ils n'osent pas s'attaquer. Deux poids et deux mesures comme je vous l'ai toujours dit.

[Prenthèse : Update 20/5/07 : Les dossiers devraient rester au rectorat ou au ministère et ne jamais être donnés aux principaux. On ne devrait leur donner que les choses principales : tant qu'il y a des notes, note administrative et note globale de l'année précédente sans les B, TB, AB et sans l'appréciation, ce qui permettrait d'avoir TB d'un seul coup, car si ma principale n'avait pas vu ma note de l'année précédente j'aurais eu trois TB. Ils se laissent influencer. Les principaux et proviseurs ne devraient jamais avoir accès complet, sinon il n'y a aucun moyen de remonter la pente pendant toute la carrière. Comme autre renseignement, on ne devrait leur donner que des coordonnées générales, échelon, qualité, matière, ancienneté,) et même pas la liste des établissement où l'on a été avant, car certains se renseignent par téléphone. Ce sont de toutes façons ces dossiers qui font la malheur de l'enseignement, car un enseignant sur lequel le chef d'établissement a des préjugés (cela se sent), se sent mal à l'aise et enseigne mal.]

Comme je l'ai toujours dit, il y  a dans l'éducation nationale française, gougeâterie, mesquinerie et petitesse, étroitesse d'esprit et couardise. Voilà ce que j'en pense. Et je le dis HAUT et FORT, car c'est ce que je vis au quotidien depuis plus de trente ans.

J'ai dit à ma principale que en tant que professeur bi-admissible en allemand (qu'est ce qu'était ma principale avant d'être principale, PEGC?) le service en CDI était basé sur le volontariat et que je mettais aujourd'hui fin à mon volontariat en CDI et que si elle me trouvait des heures d'allemand à faire, elle n'avait qu'à me rappeler. En fait, elle n'avait pas le droit de m'employer en CDI sans mon accord. Or, elle n'a jamais sollicité mon accord. Au début de l'année, elle m'a fait miroiter des dédoublements de classe de mon collègue d'allemand (qui  a 19 heures + des heures en primaire, mais ayant déjà travaillé avant dans cette ville, il connaît mieux les ficelles) et de l'EILE en primaire. Je n'ai jamais rien vu  arriver de tout cela. Elle m'a dit "En attendant allez au CDI", et je n'ai jamais vu se terminer l'attente.

Ceci dit : Vive la France et son enseignement pourri !

domino

(Dans quelques jours nos revenus vont peut-être diminuer de plus de la moitié (je gagnais plus que mon mari), avec les impôts à payer sur les deux salaires et ensuite, je 'n'aurais peut-être plus droit à ma retraite de fonctionnaire, alors que je suis fonctionnaire depuis plus de trente ans.

Merci les fabriquants d'i-grimoire , grâce aux i-grimoires on peut dire ce que l'on pense d'un système en faillite.

Update 20/5/07

*Peut-être que si je ne l'avais pas appelée, la principale n'en aurait plus parlé. Elle vit dans un autre bâtiment, et ne vient que rarement ici. Si on ne mange pas à la cantine, comme c'est le cas pour moi depuis février, elle ne sait même pas si on est là ou pas, c'est sa secrétaire qui nous ouvre si on arrive quand le portail est fermé, mais elle a ses fenêtres de l'autre coté.

*(2) J'ai appris à mes dépens Vendredi matin que c'est cela que les personnels de service n'ont pas apprécié, ce sont apparemment les techniciennes de surface (traduisez femmes de ménage) qui ont trouvé cela le mardi matin avant que ma collègue et moi, nous n'arrivions, et elles l'ont pris pour elles, alors que ce sont des personnes avec lesquelles je m'entends bien d'habitude et qui ne bougent jamais rien de ce qu'on prépare. Ces feuilles ont été mises dans mon dossier. C'est vraiment faire des histoires pour rien. J' ai dit à la principale qu'il n'y avait pas d'injures sur ces feuilles. Et que je ne comprenais pas pourquoi, ils s'étaient vexés, d'ailleurs la surveillante N. n'a pas vu de mal non plus à ce que je prévienne par affiches localement limitées qu'on ne touche pas à mon travail.