vendredi, 19 mars 2010
Correction
Voici mes revendications pour l'empaquetage et les corrections des copies d'agrégation.
1a) Acutellement :
A la fin des épreuves ou même avant pour les candidats qui ne restent pas jusqu'au bout des épreuves,, le candidat rend sa copie en signant un bordereau, et sa copie est mise par le surveillant de bout de rangée dans un classeur, classée avec les autres copies. Le bordereau est signé aussi en début d'épeuve.
Après les épreuves, il n'y a pas de contrôle du ou des candidats sur sa copie.
Il n'y a pas de copie pour les candidats absents.
1b) Demande :
Comme au bac, tous les candidats resteraient jusqu'à la fin des épreuves. A la fin de l'épreuve le surveillant relève lui même les copies des candidats présents Il mettraient pour les absents une copie dont les en-têtes sont remplies sur laquelle il écrit en grand "absent" comme au bac : cela évite le décalage des copies.
Les bordereaux sont aussi signés en début et en fin d'épreuve comme c'est le cas aujourd"hui.
Les copies de la même matière sont mis dans une seule enveloppe. Et non un classeur par rangée, comme c'est le cas actuellement) . Qui sera fermée devant trois représentants des candidats de la matière, plus les candidats qui le désirent plus trois représentants des syndicats ne passant pas ce concours là/ Les enveloppes sont cachetées devant les candidats, signées sur la jonction entre la partie collée de l'enveloppe, et la partie adjaçante. Un cachet de cire est mis sur l'enveloppe. Pendant la mise sous enveloppe les candidats qui surveilleent la mise sous enveloppe de même que les syndicalistes, regardent bien si toutes les copies sont mises sous enveloppe.
2a) Présentation de la copie :
Actuellement : On écrit divers renseignements dont son nom et sa date de nasisance, son numéro de candidat, sur une partie de la copie qui sera enlevée de la copie donnée aux examinateurs pour la correction. Une autre partie de l'en tête sous la première conctituant l'en-tête vue par les correcteurs. Cette en-tête visible des correcteurs fait quatre ligne et comporte l'intitulé du concouts, l'année de la session, le nom de la matière, celui de l'épreuve et le repère de l'épreuve (un chiffre donné sur le sujet). (Une fois de plus, un soulignement en gras, impossible à enlever,se met dans mon texte).
On colle une étiquette code-barre en haut à gauche. Celle ci comporte le numéro de candidat (ou de table) qui en principe ne doit pas être donné au jury, car il est connu du candidat (qui pourrait le donner à un correcteur) et du rectorat.
Jadis, on portait une numéro d'anonymat sur les copies, cela se faisait au niveau du ministère, Quand on allait voir sa copie (pour l'externe à Paris), le numéro était porté sur un listing et il fallit donner ce numéro au juty pour qu'il retrouve les copies puisqu'elle portait ce même numéro, mais le jury lui-même ne savait pas à qui appartenait telle copie. Je pense que ce système était meilleur que celui des étiquettes.
Ce numéro devrait être porté sur chacune des copies formant un devoir et non seulement sur la première.
Pour éviter la perte d'une partie d'un devori le numéro d'anonymat devrait être mis sur chacune des copies d'un devoir. Ce qui n'est appramment pas le cas.
Actuellement, le candidat met un code-barre sur la partie non anonymée de la copie, mais il n'y a pas de code barre mis à la disposition du candidat pour la partie non anonymée de la copie, donc on se demande si depuis l'avènement de ce code barre, le personnel gérant les copies pose une deuxième code barre sans nom et numéro de table sur la partie anonymée de la copie. Ou bien s'il n'y a rien et que par conséquent les copies ne soiten plus anonymes, car pour garder le code-barre collé par le candidat, on ne les couperait plus.
Les code-barres peuvent être facilement enlevés etchangés de copie!
Demande : Que sur les copies soit porté au sylo indélébile un numéro d'anonymat. Que celui-ci ne soit connu de personne sauf des personnes qui surveillent la salle, qui porteraient ce numéro sur toutes les copies rendues par les candidats et toutes les parties de devoir. Ceci afin d'éviter que si un devoir se glisse dans une autre, on corrige le début du devoir d'un candidat avec la fin du devoir d'un autre candidat.
3a - Actuellement tout le travail de manutention de copies est fait à différents stades par du personnel administratif du ministère (secrétaires,e tc..). En particulier, l'arrivée des copies au ministère après l'écirit, la coupe des en-têtes pour anonymer les copies, le repport de codes condidentiels (différents des numéro de table). la distribution aux jurys, le retour de chez les jurys.
3b Des observateurs des syndicats assisteraitent aux différentes étapes de mautention des copies pour voir si rien ne se perd. Ils n'auraient pas le droit de toucher les copies, mais de réagir en cas de mauvais code,
4a - Pour le correction:
Il y a actuelelement deux jurys par épreuve qui corrigent chez eux. Puis ils se réunissent à deux pour harmoniser leurs notes, s'influençant l'un l'autre. Parfois à la baisse. Ils ne mettent qu'une seule notre par matière pour eux-deux.
4 b- Ce que je voudais: :
Les deux jurys sont convoqués dans un endroit pour rorriger les copies. Chacun dans une pièce différente, pour ne pas se voir et se parler. A la fin de la correction les jurys remettent leurs note sur un ordinateur ou minitel, mais ce-fasiant ils n'ont pas le droit de consulter l'utre jury pour ne pas s'influencer mutuellement. l'ordinateur fait la moyenne entre les deux notes.
Les jurys de chaque matière d'écrit (de chaque matière d'écrit cela veut dire par exemple civilisation, dissertation, etc...) envoient leurs notes séparément, sans consultation de l'autre jury ayant fait la double correction, et sans consultation du jury des autres épreuve a
5 a - Il y a actuelleemnt délibération des jurys des différentes matières d'écrit qui voient si par exemple au vu des différentes notes obtenues on peut donner l'écrit à un candidat ou pa ss et font un classement.
5 b- Ma proposition : Il n'y aurait plus de délibération, c'est l'ordinateur qui fait les addistions et sélectionne les candidats admissibles selon un ordre mathématique, déterminé uniquement par les notes qu'ont mis les jurys individuellement.
6 a - Il y a levée de l'anonymat par le président du jury seul au moment où il établit la liste.
6 b. Il n'y aurait plus de levée d'anonymat, l'ordinateur faisant tout, et le classement des admissibles se ferait par la transformation électronique des numéros d'anonymat des candidats ayant les meilleurs totaux généraux, en leur nom, directement sur le logiciel qui publie les réusltats.
domino
(la note n'est pas finie)
23:23 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : agrégaton correction copies
dimanche, 31 janvier 2010
Mauvais rêves.
Doofie a rêvé il y a 20 ans ceci :
Qu'elle n'avait plus le droit d'être prof et que pour gagner sa vie, elle était devenue chanteuse.
Qu'elle devait rendre tout ses diplômes à l'université, tous les diplômes acquis depuis sa jeunesse au prix d'un dur labeur. Disons quand même là que j'ai déjà surveillé un candidat de baccalauréat qui passait son bac en prison! Donc, même les criminels peuvent garder ou obtenir des diplômes, pourquoi Doofie devrait-elle rendre les siens. Pourquoi Doofie aurait moins de droits qu'eux?
Que le recteur d'académie avait prononcé sa destitution (alors qu'en fait, seul le ministre est habilité à destituer un professeur qui est fonctionnaire du ministère).
Comme avec son espace numérique de travail de l'univesité , on a mis aussi des insterdictions d'inscription comme à la défunte Bêtie, Doofie se dit que finalement on n'en est pas loin avec ce gouvernement populiste.
Bon, ceux qui prennent le train en route n'y comprendront rien. Lisez donc les notes précédentes depuis le début des histoires de Dummie, Doofie et compagnie en haut.
domino
03:36 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : doofie, rêves, paranormal
samedi, 30 janvier 2010
Sanction illégale
Normalement pour un retard pour rendre un livre dans les bibliothèques universitaires, la sanction est de faire une interdiction d'emprunt égale à la longueur du retard. Celà veut dire que si Faulie rend le livre lundi (mais comme elle est harcelée, et qu'elle a annoncé à l'avance qu'elle rendrait le livre lundi il y a de grandes chances que la biblohèque d'allemand soit en fermeture exceptionnelle. Comme lorsqu'elle devait s'inscrire en Master 2 avant le... il y avait toujours des fermetures exceptionnelles, amener un document signé par sa directrice de mémoire au bureau des Masters, il y avait toujours fermeture exceptionnelle, le mercredi quand elle arrivait à venir avant 17 heures ou 16 heures, heure de fermeture du bureau. Et fermeture constante le lundi, lors de son premier remplacement, alors qu'elle avait sa journée de congé le lundi.
Donc, si Faulie ne peut rendre son livre lundi,à cause d'une fermeture exceptionnelle de la bibliothèque d'allemand, il faudra attendre le Mardi, mais dans ce cas on refermera la bibilothèque dès qu'un message partira du bas, qu'elle est en train de monter l'escalier.
Bon, bref, la sanction prévu est une interdiction d'emprunt équivalente à la durée du retard.
L'interdition de s'inscrire ne peut se faire qu'en fin d'année universitaire si l'étudiant n'a pas rendu tous ses livres, or, Faulie a rendu tous les livres de l'an dernier. Paut-être que Faulie a rendu des livres fin Mai et qu'on a oublié de les faire passer au scanner pour les enlever de l'ENT, mais en dehors de cette fameuse grammaire, aucun livre n'est indiqué sur son espace electronique.
Mais il ne peut y avoir d'interdiction d'inscription si les livres sont rendus en cours d'année, avant c'était avant le 30 octobre de l'année suivant l'année universitaire, maintenant cela doit être avant le 30 septembre.
Donc, cette interdiction en cours d'année avec annulation d'inscription est tout à fait illégale.
domino
12:59 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bibliothèques, université
Les clefs et l'adresse..
Doofie s'est posée des questions parce qu'un étudiant inscrit en Master comme elle voulait absolument avoir son adresse postale (et il l'a demandé devant d'autres étudiantes, devant ses jeunes copines) alors que Doofie ne veut révêler son adresse à personne. Il voulait lui envoyer les cours de Master auquel elle ne pouvait pas assister à cause de ses remplacements.
Doofie a voulu lui payer les timbres d'avance et lui fournir des enveloppes pré-timbrées à son nom et adresse, il n'en a pas voulu. Elle voulait lui payer d'avance les photocopies ou lui donner une carte à son nom remplie pour qu'il puisse photocopier ses cours pour elle, il n'en a pas voulu.
Doofie n'a rien reçu. Elle a recopié les premiers cours pendant les heurs de bibliothèque, mais a eu du mal à les avoir. Puis elle a eu un ou deux polycopiés plus celui du seul séminaire transversal où elle a réussi à aller. Elle a dû faire un devori pour rattapper.
Cet étudiatn s'intéresse toujours beaucoup à elle et à ses remplacements. Elle finit par se demander si cet étudiant hyper-actif dans le bon sens, qui d'après lui-même a eu plus de 18 de moyenne au bac, 18 ou plus à tous ses examens universitaires, a été dispensé de 1èr semestre de Master 1 parce qu'il a passé sa 3è année de licence, et son premier semestre de Master 1 (le 7ème semestre allemand) dans une université allemande), a eu 18 ou 19 à son Master 1. Il a eu 19 et 20 à ses partiels de sa troisième année de langue rare et a été dipensé des deux premières années. (Doofie se demande, bien que cet étudiant soit assez fort, si toutes les note qu'il avance sont vraies).
Doofie se demande si ce n'est pas lui qui téléphone au rectorat pour lui faire avoir des remplacements sur les séminaires, ou s'il ne connait pas quelqu'un de bien placé au rectorat. Pendant les cours où il a cours en même temps que Doofie en particulier en linguistique, Doofie trouve qu'il ne participe pas toujours à bon escient, sort parfois du sujet réel et qu'il met de la poudre aux yeux.
A la biblothèque, il fait toujours beaucoup de bruit, dès que des copines à lui arrivent, il se lève, les salue bruyamment. Quand il est arrivé à la fin de l'année universitaire dernière, il a comencé à dire très fort : Et comment ça va Madame Doofie, il parait que l'an prochain, je serait en Master 2 avec vous! Doofie ne voulait pas dire qu'elle postulerait pour le Master, elle voulait le tenir secret, et elle n'était pas encore sûre de s'y inscrire, et d'un seul coup, le secret était dévoilé à voix haute. Il a commencé à parler bruyamment dans la biblothèque. Il a dit à Doofie qu'il a fait ses deux premières années de licence (défunt DEUG) dans la même université, or, c'était la première fois que Doofie le voyait dans la bibliothèque d'allemand, alors qu'elle était là,il y a 2 ou 3 ans.
Doofie se demande aussi si on ne cherche pas à la bloquer, elle et toutes ses amies dont Bêtie et Faulie, pour qu'elle n'aille pas plus loin, car elle metrrait beaucoup de théories linguistiques à plat et réformerait complètement la linguistique si on la laissait libre de ses recherches.
domino
12:11 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : université, rattrapage de cours
Grève de la faim et de la soif
doofie écrit dans son journal :
Pour défendre Faulie et à la mémoire de Bêtie, victimes d'une sanction inique à l'université, Doofie, Sottie, Follie et Dummie ont décidé de faire la grève de la faim et de la soif (sauf le café pour rester éveiller cette après-midi), et ceci tant qu'on ne lui aura pas supprimé son intediction d'inscription, et remis son ENT en place et rendu son espace de langues vivantes (6 langues) à Faulie (pour Bêtie il est trop tard, elle n'est plus de ce monde..)
L'année dernière, et l'année d'avant, alors que Bêtie et Faulie, agrégaives, suivaient tous les cours d'agrégation pendant les grèves, car les étudiants des piquets de grève, laisaient passer les capétitifs et les agrégatifs pour qu'ils puissent suivre les cours,à cause des dates précoces de concours. A pied, elles étaient obligées de faire des détours énormes pour passer par le poste de contrôle, et il leur fallait un courage énorme pour passer devant les grévistes, ayant chaque jour peur d'être refoulées, d'autres étudiants bloquaient l'univesité, empêchant les autres d'étudiants et d'autres ne venaient pas du tout à leurs cours, ni voter pour la reprise des cours.
Aucun de ces étudiants, ayant été absent ou ayant bloqué l'université n'a été sanctionné. Surtout ceux qui bloquaient en empêchant les autres d'exercer leur droit à l'étude.
Et Bêtie et Faulie, elles qui ont toujorus suivi les cours, quand elles n'avaient pas de remplacement (elles sont TZR) pour avoir consulté leur espace numérique de bibliothèque une demi-journée trop tard sont sanctionnées d'une interdiction d'incription définitive, puisqu'elle a été portée sur leur fiche individuelle.
Elle apprenaient aussi des langues dont elles ont besoin pour leur comité de jumelage et dans leur région il n'y a pas d'autre endroit où l'on donne des cours de ces langues. Bon, de toute façon, avec ce qu'elles ont appris en un semestre (elles ont réussi leur partiel) elles en ont assez pour continuer seule en étudiant leurs livres, enfin je veux dire pour Faulie, parce que Bêtie n'est plus de ce monde depuis cette nuit.
On voudrait d'ailleurs savori combien d'étudiants sont passés de vie à trépas quand ils ont eu leur message en rouge sur leur ENT!
Il faudrait des statistiques exactes sur les suivides d'étudiants dans cette université, même s'ils le font chez eux ou dans la rue ou sur la plage ou dans une forêt. Qui ne sont pas toujours dûes aux autres étudiants et à des problèmes amoureux, maiis aussi à des sanctions iniques, à des réoriantations trop hâtives en fin de premier semestre, etc..;
Bêtie et Foolie qui avaient fait toute leur classe de terminale à 16 ans et avaient eu une mentionn au bac, avaient redoublé leur première année, pour l'avoir au second essai avec mention AB. Ce qui donc ne veut rien dire, on peut faire une mauvaise première année, redoubler et faire un sans faute les deux années suivantes. Et avoir la licence en 4 ans plutôt qu'en trois, en sachant que nombre d'étudiants qui à l'épqoue avaient eu leur première année directement se sont cassés le nez en deuxième année (on ne pouvait redoubler que l'une des deux premières années, alors que maintenant on peut tripler la première année, et rester autant de temps que l'on veut en deuxième année).
Doofie (moi), Sottie, Dummie et Foolie font la grève de la faim et de la soif à partir de 11 heures ce soir, s'il n'y a pas d'amélioration dans l'ENT de Faulie. Par solidarité.
Par exemple on a vu que sur son espace, Faulie ne peut plus consulter ses résultats des années précédentes (de depuis que l'université est infortaisée : plus de maîtrise, de C2 i, de CLES 2 d'anglais, et de CLES 1 d'espagnol, les admissibilités à l'agrégation n'ayant jamais été portée sur son ENT. Donc Faulie pense qu'on lui a enlevé tout ses diplômes réussis depuis quelques années.
Faulie avait réussi les partiels de ses deux langues rares, avait eu apparemment une unité transversale en Master 2 (en rendant un devoir) jusqu'ici. Et peut-être les autres si on n'avait pas mis ce message.
Doofie
Il parait que le gouvernement populiste (le populisme est une forme de facisme) que nous avons actuellement considère les grèves de la faim à la Gadhi comme un délit. Alors qu'ils n'a jamais sanctionné les étudiants bloqueurs, dont Bêtie avait été la victime. C'est d'ailleurs à cause de ses prises de position contre les grèves étudiantines que Bêtie n'aurait pas été défendue par les syndicats étudiants. Mais elle pense que les étudiants ont le droit à l'étude. Il y a d'autres moyens, une grève de la faim sans bloquer les autres par exemple, pour ne pas enfreindre la liberté d'étudier, ou une grève du zèle où tous les étudiants réclameraient 10 heures de cours supplémentaires à elurs professeurs qui solidaires accepteraient de les faire gratuitement de 18 heures à minuit pour gêner la fermeture de l'université. Ou des cours normaux qui auraient lieu la nuit, etc... Si on faisait cours de 18 à 20 heures beaucoup de professeurs du secondaire, bloqués par les horaiers, suivraient les cours d'agrégation à l'univesité. Il suffit de regarder l'espage CNED. Les capétitifs et les agrégatifs sont connectés en grand nombre à minuit, une heure du matin, alors qu'il n'y a presque pesonne sur le site aux heures de cours scolaires.
11:42 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : harcèlement universitaire
Bêtie a de gros ennuis (2)
Doofie continue son journal (suite de la note précédente) :
Voici ce que Bêtie avait trouvé dans son ENT. Elle n'a pas compris, elle est toujours sage comme une image, participe aux cours. Elle a payé régulièrement ses droits à l'université. Plus de 300 Euros. Pour faire une chose pareille, on aurait dû faire un conseil de discipline, mais pourquoit? A part n'avoir pas pu trouver un ordinateur, un jour de concours, pour renouveler l'emprunt d'un livre à la bibliothèque de son UFR, Bêtie n'avait rien fait de mal...
Il s'était passé des choses bizarres Mardi et Mercredi. Lundi ou Mardi c'est un classeur à Bêtie qui avait disparu dans son cartable. Bêtie l'a retrouvé au milieu de sa cuisine. Elle ne sait pas comment il est arrivé là. Avant, elle avait perdu deux heures à le chercher dans l'université. Son mari se souvient qu'elle l'avait près de son cartable le matin (elle l'avait posé là pour le mettre dedans, donc, elle était persuadée l'avoir) et comme il pensait qu'elle n'en avait pas besoin, il l'a mis dans la cuisine, et elle après, elle a cru qu'elle l'avait déjà mis dans son cartable.
Pour ses clefs c'est autre chose. Doofie a deux trousseaux de clefs et l'un d'entre eux avait disparu. Elle s'en est rendu compte pendant un cours qui avait lieu dans une salle attenante à la bibliohèque de son UFR. Elle avait eu une prémonition soudain sur un trousseau de clefs qui manquait et en effet il en manquait un! Elle a fouillé pendant le cours tout son cartable, tout son sac à main, toutes ses poches, en essayant de faire le moins de bruit possible, toutes ses poches dont celles de son manteau, qu'elle avait fouillé à fond jusqu'à les retourner : rien! Bêtie qui habituellement ne perd jamais ses clefs, a eu peur. Elle a cherché, cherché, rien. Elle se voyait déjà avec le serrurier, changer les serrures, tout! Elle pensait de nouveau que c'était son mari qui lui avait pris les clefs. Elle voulait divorcer, deux fois de suite, cela fait de trop et cela me fait predre un temps fou! Elle avait à peine dit aux étudiants qui étaient là et la voyaient chercher quelque chose qu'elle voulait divorcer, qu'elle est allée pour téléphoner à son mari qui a pris une engu.... dans le couloir, et là sur l'appui de fenêtre, juste en face de la bibliothèque il y avait une bague. vouloir divorcer, une bague? Quelqu'un l'avait-il mis là exprès? Elle s'est dit que si la bague restait là quelqu'un la volerait peut-être, alors, elle a porté la bague au bureau de la bibliothèque où officiait une étudiante et a donné sa bague à la monitrice. Qui a dit qu'elle la donenrait à la bibliothécaire.
Et puis soudain à la fin d'un cours, les clefs sont réapparues dans sa poche. Cette fois-ci, ce ne pouvait pas être son mari qui les avait rendues. Il faisait cours à 130 km de là! Il ne pouvait avoir fait l'aller-retour, c'est quelqu'un donc parmi les germanistes puisqu'il n'y avait eu qu'eux autour d'elle ce jour-là. En effet, elle avait déjà fouillé à fond sa poche en enlevant toutes les affaires qui était dedans, et pas de clefs. les slefs sont revenus dans cette poche de manteau, alors qu'elles n'y étaient pas avant. Elle a dit à un collègue plus âgé : 'C'est quelqu'un d'ici qui les avait pris. Est-ce que cela a été mal pris?
Ce matin, son mari a pris la carte code de la chambre d'hotel et l'a rendue à l'accueil, cet après-midi, Bêtie a penser avoir oublié de la rendre. Elle a regardé dans son sac, elle n'était plus là. Après les épreuves, elle a téléphoné à son mari, c'est lui qui avait pris la carte!
Bon, ceci dit, cet après-midi, Bêtie eu celà sur son espace universitaire. (voir plus bas, en grosses lettres rouges sur l'espace univesitaire).
Doofie
Pour Doofie , personnage de roman-thâtre
domino
Vous êtes interdit d'inscription à l'université de.... Pour le détail de cet interdit, consultez sur ce site dans votre application "Scolarité Etudiant" dans votre "Dossier" le menu "Dossier administratif" en sélectionnant le sous menu "fiche individuelle". Sur fiche individuelle : interdiction d'inscription : situation irrégulière à la biblothèque d'allemand.
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02:28 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bêtie, doofie, université, interdiction d'inscription