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samedi, 19 janvier 2013

Informatique défaillante, donc mauvaise manière de servir

Du journal de Bêtie

Il est Samedi 6 heures 20 du matin, paysage enneigé, routes verglacées.

J'essaie de me connecter aux collèges pour faire mes cahiers de texte des deux derniers jours, car les collèges m'ayant certes communiqué les codes de Pronote, mais pas ceux de des ordinateurs des collèges (ils ne m'ont pas créé de compte, ni donné celui de ma collègue), je ne peux accéder aux ordinteurs du colège et à celui de ma classe pour faire les cahiers de texte.

J'ai déjà demandé ces codes plusieurs fois, mais je ne les ai toujours pas, ni d'un côté, ni de l'autre.

Voulant me connecter de la maison à l'un des collèges j'obtiens le message suivant "Votre adresse IP a été suspendue" C'est vrai que j'ai eu du mal à accéder à Internet ce matin et que j'ai dû m'y reprendre plusieurs fois (débrancher la box et la rebrancher c'est un bon système!) mais de là à faire suspendre mon adresse IP sur l'un des collèges (celui où je n'ai que 3 heures, mon cahier de texte est d'ailleurs à jour dans ce collège et je voulais seulement vérifier et compléter un peu les objectifs), cela est du véritable harcèlement.

J'avais aussi recopié les cahies du remplaçant qui m'a précédé d'après les indications qu'il m'a fournies.

Mais en tout cas, j'ai reçu une lettre concernant ma manière de servir et de futures santions administratives, ceci concernant un jet de crayons par terre qui a eu lieu en décembre 2010, il y a plus de deux ans, une mère d'élève ayant téléphoné au proviseur de la cité scolaire que sa fille était en dange, ceci en sixième. Et une lettre écrite par un parent de seconde, dont le proviseur n'a jamais voulu me dire le contenu exact, mais il est certain  qu'il ne s'agissait pas de discipline, puisque je n'aiavais pas de problème de discipline dans cette clase. L'un de mes élèves, faibles au début, avait d'après mon collègue qui avait les groupes de compétences (plusieurs de mes élèves étaiennt 'montés" dans son groupe, énormément progressé.

Le deuxième évènement concernant ma manière de servir étant leis jets d'encre qui avaient eu lieu un lundi après-midi jsute à la fin d'un cours où les élèves avaient bien travaillé. Ils avaient sali, et en partie pendant qu'une partie des élèves nettoyaient le bas des murs, les tables et les chaises et surtout "O grand malheur!'", le  sol qui était ciré deux fois par jour au moins, pour qu'il brille autant. C'était avec des SEGPA.

D'ailleurs, j'ai été seule dans la salle d'allemand jusqu'à ce qu'une professeur d'anglais vienne demander ma classe, parce que on mavait réinstallé un système de visoi-projection qui fonctionnait bien et dont elle se servait pour passer des films, faisant parfois irruption dans ma classe, parfois avec le principal qui m'ordonnait de libérer immédiatement la salle,  à des heures où elle n'était pas prévue, m'empêchant d'enregistrer les exercices que je venais de réaliser avec mes cinquièmes.

(J'estime d'ailleurs avoir été victime du hacèlement moral de cette MA d'anglais plus jeune que moi, -je suis bi-admissible à l'agrégation - qui m'a parfois fait pleurer).

Bon, je voulais dire que le dernier rapport fait sur moi concerne cette salle, qui tant que j'ai été seule dedans, en novembre, décembre et peut-être janvier (je ne me souviens plus quand la professeur d'anglais a demané à être dans ma salle), était propre comme un sou neuf, avec le sol qui reluisait. Mais dès qu'elle est venue chez moi  elle a été pleine de terre et de petits papiers, que je devais ramasser avant de faire cours l'après-midi. Mes élèves ayant tendance à resalir la salle, lorsqu'ils voyaient un sol sale.

Dans les collèges où j'ai été depuis le début de l'année, les sols ont toujours été propres et je n'ai jamasi eu de reproches ce ce côté.

Juste qu'hier cinq chaises n'avaient pas été mises à midi sur les talbes et l'agent me l'a reproché, mais comme toutes les places ne sont pas occupées, chaque élève s'était occupé de sa chaise, mais pas des places vides. Parce qu'il faut toujours que je  leur dise "Mettez aussi les chaises des places vides sur les talbles. Ou "Faites deux chaises chacun ou trois chaises chacun", selon le cas.

Bon, bref, pour cette histoire de salle salie et les deux trois crayons qui ont été lancés dans une classe, et pour la note administrative qui a été baissée suite à ces deux rapports faits sur moi, un troisième rapport fait sur moi avait été fait à la demande du rectorat suite à mon entretien avec l'inspecteur qui m'avait inspecté l'année précédente disant que je devais "utiliser les manuels avec discernement", -ce qui pourrait laisser croire que j'agis sans discernement, et que par conséquent je serais bonne pour l'hôpital psychiatrique - tout comme l'autre inspecteur qui 10 ans avant ayant demandé une "tutelle pédagogique", alors que j'étais titulaire, a provoqué une mise en congé pour "maladie mentale", car la médecine du rectorat avait interprété "tutelle légale et demandé une expertise psychiatrique. Un tuteur pédagogique est ce qu'on appelait dans l'ancien temps "conseiller pédagogique" et donc quelqu'un qui aide les stagiaires à préparer leurs cours.

Alors, maintenant, je vais être destituée à cause de trois crayons lancée et d'un peu d'encre lancée sur le sol et le bas des murs. Les tâche étant du bleu effaçable pouvaient être enlevées avec des effaceurs ce que les élèves avaient d'ailleurs commencé à faire, lorsque la classe suivante est arrivée et a été chercher des chiffons chez les agents de service ce qui a provoqué la venue du principal. En effet, le principal et la gendarmerie sont intervenus uniquement parce qu'à ma demade les élèves ont demandé des chiffons aux agentes de service.

Moi si j'avais été principale, j'aurais fait revenir les élèves de la SEGPA qui avait sali et je leur arrais fait nettoyer. Au moins, cela aurait été une mesure édcative.

Le rectorat avait reçu des photos de ces "dégradations", je répète que c'était de l'encre facilement effaçable ou lavable à l'eau puisqu'il s'agissait d'encre bleue effaçable. la gendarmerie appelée pour "constater les dégâts, m'avait d'ailleurs photographié la main sur laquelle il y avait des traces d'encre bleue, dûes au nettoyage car j'avais également mis la main à la patte avec les élèves de cinquième arrivés après les SEGPA. Et une minuscule tâche qui avait été faite sur l'un de mes cahiers. De 5 mm sur 1 mm, estimant que mon cahier ayant été touché par l'envcre, j'aurais subi un préjudice moral. Donc, le contraire de ce que dit le rectorat. La tâche étant d'ailleurs effaçable avec un effaceur.

Bon, je vais vous expliquer une chose :

Dans les années 90, on avait tous entendu à la radio (ou à la télévision pour ceux quil l'ont) qu'un professeur de philosophie enseignant dans un bon lycée de la région parisienne, s'était mis tout nu devant ses élèves pour prouver que le ridicule ne tuait pas. Tout ce que ce professeur a eu comme sanction, c'est d'être mis dans un lycée de ZEP, dans lê même secteur, donc, sans déménagement.

Moi, je n'ai jamais commis de telles exactions et je fais des remplacements depuis 8 ans, après une vingtaine d'années sur des postes étalbissement dans des collèges et lycées, souvent loin de chez moi, jusqu'à 80 km puisque la zone de remplacement agrandie fait 100 km de diamètre et de côté, souvent dans des REP et zones sensibles.

Bien sûr ma principale de collège de rattachement qui interprète mal mon blog, va dire "C'est elle qui a fait cela!", parce qu'elle n'écoute pas la radio! Ou elle ne l'écoutait pas dans les années 90. Et elle m'affauble de tout ce que je reproche aux autres.

Par exemple on a dit dernièrement, que je ne travaillais pas assez, et j'avais repoché dans les années 90 à un collègue, mainteant retraité, donc on peut le dire,  de ne pas travailler assez, en effet quand je récupérais en terminale des élèves que j'avais eu en seconde et  qu'il avait eu en première, leur niveau avait souvent baissé pendant l'année où les avait eu, alors que je donnais des interrogations de verbes forts,de vocabulaire, de régimes des verbes et des adjectifs toutes les semaines, un DS long toutes les 3 semaines et un résumé comentaire à faire à la maison à chaque fin de texte, et toutes les corections à faire selon des codes que l'on avait eu au réseau "téussite au lycée", donc, .je relevais tote les copies deux fois, mais - o malheur pour mon inspection, je ne vérifais pas les classeurs car c'étaient des lycéens.

Suite au congé maladie que l'on m'avait obligé à prendre après ces années passées à travailler à fond dans un lycée, on a écrit dans des réglements de lycée -celui où j'ai été rarttachée ensuite comme TZR -qu'il était interdit de faire farie des corrections de devoirs, chose vraiment aberrante, ceci pour m'empêcher de marquer la distance avec les collègues qui n'en donnaient pas, - le collègue retraité dont 'j'ai parlé plus tôt dsant  "Mais enfin, nous ne pourrions jamais faire tout ce que tu fais, tu ne vois pas le temps que cela nous prendrait..." Depuis, on a décidé pour les professeurs d'allemand de ne plus faire donner qu'une "tâche finale",une fois par mois. Et j'en donne plus et la plupart des collègues de collège d'après les notes que je vois, aussi. Mon collègue agrégé, toujours bien vu, maintenant retraité, avait une seul carnet de note pour 10 ans, qui contenait une à deux notes par trimestre. Il n'a jamais été sanctionné.

Un jour, alors que je n'étais pas encore dans son lycée, il me l'a raconté plus tard, un élève a poussé une chaise qui était derrière lui sur la table, par la fenêtre. Elle est tombée dans l'avant-cour juste à côté d'un CPE qui passait par là, qui a failli la recevoir. Mon collègue qui racontait cette histoire en riant, a juste été convoqué qu bureau et eu quelques remontrances.

Après mon inspection de mars 2002, alors que jamais rien de cette sorte ne s'était passé dans une de mes classes, un élève m'a dit : "C'est vrai, Madame, que dans votre cours une chaise était tombée par la fenêtre". J'ai démenti formellement cetet information et j'ai dit, non, ça s'est passé dans la classe d'un collègue alors que je n'étais même pas encore dans ce lycée; un auter a dit : mais non, tu le connais, il a piqué une colère et a lancé la chaise par la fenêtre! En effet, mon collègue piquait souvent de grandes colères (environ trois fois par cours), mais n'était jamais inquété pour cela alors que pour la première colère que j'a piqué comme enseignante, j'ai tout de suite été envoyée chez un expert psychiatre. Et lui qui a piqué des colères durant toute sa carrière, atrapant parfois des élèves par le bras et les secouant comme des pruniers, n'a jamais été inquiété de sa carrière.  Il a tout juste eu des remontrances à la CPE. Il avait un jour traité mes genitlles élèves que j'avais eu en 2nde et en 1ère L de "potiches", alors qu'elles participaient beaucoup avec moi.

Par contre,c'est lui qui, sachant qu'il n'avait plus que trois mois à faire avant sa retraite a décidé d'aller en zone de remplacement pour que les deux collègues en place dans ce lycée puissent rester sru leur poste, c'est lui qui m'a précédé sur mon remplacment actuel et bien qu'il a donné des choses très dfficiles -de niveau lycée- il a été très apprécié des élèves qui l'ont trouvé gentil.

Depuis que j'ai quitté ce lycée d'il y a dix ans, la moité des postes du lycée ont été supprimés, alors qu'on avait réussi à les maintenir dans les années 90, où l'on avait quatre à cinq postes.

Je me demande si avant l'inspection de mars 2002, on n'avait pas mis une partie de son dossier dans le mien, car c'est à partir de ce moment qu'on a décidé d'écirire "la professeure" pour les professeurs femmes. Je pense d'ailleurs avoir été beaucoup victime de mysoginie de la part de certains chefs d'établisement.

Une demande : Si vous m'avez eu comme professeur, et que vous avez une bonne opinion de moi (et ne vous destinez pas à l'éducation nationale, sinon, vous pourriez  être sanctionnés plus tard pour les éloges que vous faites de moi. alors, écrivez au rectorat, le bien que vous pensez de moi.

La même chose, si vous m'aviez apprécié comme collègue, pour ma bonne collaboration. Par exemple une professeure de communication avait beaucoup apprécié ma collabrartion en BTS secrétariat, concernant les épreuves de letres commerciales en allemand.

Ou un collègue avait apprécié ma collaboration en BTS hôtellerie-restauration en ce qui concernait la préparation des sujets. Je lui avais d'ailleurs prêté mon mari bilingue pour faire les enregistrements, mais son nom avait été tu vis à vis du collègue et des inspecteurs parce qu'l porte un nom français, bien qu'il soit plus germanophone que francophone.

Je demande par ailleurs que tous les chefs d'établisements ou les adjoints (jai souvent été mieux vue par les adjoints que par les chefs d'établissement eux-mêmes) qui m'ont aprpéciée (par exemple dans le lycée ou j'avais sur ma note administrative  "Donne toute satisfaction" au début des années 90), qu'ils écrivent des lettres défendant ma réputation. Et ceux des remplacements qui se sont bien passés aussi, car seuls les chefs d'établissement ou ça se passe "mal" font des rapports sur moi et les autres là où cela se passe bien, ne font pas de rapprorts positifs.

Sur le remplacement du mois d'octobre, je n'ai pas vu le chef d'établissement à la fin du remplacement, mais dans l'ensemble, tout l'administration était sympathique avec moi, et moins les collègues, car ils n'avaient pas été prévenus que la collègue allait prendre un court congé, prévu.

Sur le remplacemet d'un mois en novembre-décembre, à part, comme me l'a dit la principale à la fin du remplacment, notre entretien houleux au début du remplacement, car j'aurais dû être suspendue au téléphone pour entendre les remplacements que l'on me donne (donc rester chez moi 24h sur 24 comme si j'étais en congé maladie, ne plus faire d'études ni de courses dans la journée). elle pensait que nous nous sommes bien entendue; Elle m'ouvrait d'ailleurs tous les matins à 7 heures 30 du matin (c'était l'heure à laquelle arrivait mon autobus, pris après un train), elle-même la porte du collège, située près de son bureau, souriante, ce qui constituait un accueil chaleureiux et me mettait dans de bonnes dispositions pour la journée.

Heureusement que je n'ai pas reçu la lettre que je viens de recevoir durant ce remplacement.

Le principal de mon remplacement actuel (où il y a le maximum de mon horaire que je complète à 15 km de là, en prenant un bus entre midi, ce qui m'empêche de manger à midie car on n'a pas le droit de manger dans les bus) qui avait dans cette REP ce matin là d'autres chats à fouetter, m'a dit que cette lettre reçue du rectorat ne concernait pas du tout son établissement et qu'il y était pour rien.

C'est pourquoi l'on reçoit des années après, des lettres sur votre "manière de servir" pour de petits évènements qui ont été montés en épingle par certaines personnes.

Bien sûr, cette letre donnée juste avant les cours, m'a mise en colère et m'a mal lunée contre les élèves ce matin-là qui, même gentils,  ont dû subir mes foudres. J'ai tellement grondé un élève qui entrait en faisant du bruit que ma dent à pivot s'est détâchée.

Ce genre de lettres et de reproches injustifiés "votre manière de servir" arrivant des années après (deux ans pour le premier rapport), peut vous causer de nouveaux ennuis, car il fait changer votre attitude vis à vis des élèves.

(Le rapport de janvier 2012 étant d'ailleurs la reprise de celui d'octobre 2011, avec une phrase rajoutée disant que la situation s'était améloirée et un reproche supplémentaire concernant le travail que je faisais en complément d'horaire, qui n'avançait pas : j'ai donné le résultat en fin d'année au CDI). J'ai laissé aussi beauoucp de traces de mon travail sur des ordinateurs, il est possible que le travail profite maintenant à mon ex-collègue. C'était un travail à long terme.

Fille de la grande ville, je me sens d'ailleurs mieux adaptée à une population plus urbaine et industielle, les architectures de la ville de mon deuxième collège d'ailleurs,  assez hétéroclites, me faisant penser à ma ville natale, mis à part les collines.

Je vais donc teminer ici cet était des choes actuelles.

En demandant à tous les anciens élèves, anciens  colègues, ou anciens adjoints qui ont une opinion positive de moi et surtout de mon travail d'envoyer -à moins qu'ils aient peur d'être ensuite harcelé dans leur carrière- au rectorat des éloges sur moi. Si vous avez du négatif, vous abstenir.

Bêtie

 

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Pour défendre Betie

domino

 

 

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