lundi, 13 août 2007
Le QE ou quotient émotionnel
On a vu que jusqu'ici certaines entreprises utilisait de bons QI pour sélectionner leurs personnels. Actuellement un autre facteur est utilisé par les entreprises pour sélectionner leurs personnels, il s'agit du QE ou Quotient Emotionnel.
Qu'est ce que le Quotient Emotionnel?
Quelque chose qui mesure votre émotivité, votre peur, votre angoisse?
Nénni! Niet!
Rien à voir avec les pleurs que vous avez versé sur la mort de votre dernier animal favori, votre canari ou votre chat...
Le quotient émotionnel mesure par un questionnaire auquel vous devez répondre honnêtement les qualités émotionnelles qui serviront à faire de vous non pas un personnel soumis comme un mouton, comme on les privilégie dans l'enseignement et les administrations, mais au contraire une personne qui a de l'assurance, et qui a certaines propensions à se mettre dans la peau des autres pour savoir ce qu'ils ressentent et pouvoir collaborer sans heurts avec eux (qualité nommée "l'empathie").
Et bien, contrairement à ce que l'on (je veux dire ce que l'Education Nationale qui transforme ses professeurs en moutons) pense, j'ai un bon QE qui me ferait recruter par les meilleures entreprises ! Avec un bon QI, largement au dessus de la moyenne, quoi de mieux!
Voilà qui me ravigotte un peu, le fait que des tests ne me rabaissent pas à un vieux croûton accariate bon à mettre à la retraite.
Et pour eux, ce n'est pas comme ce qui est écrit dans les rapports de jury d'agrégation, on n' est j'amais vraiment trop sûr de soi (Il est écrit dans les rapports de jurys d'agrégation que certains candidats sont "trop sûrs d'eux". Comment voulez-vous alors faire face aux élèves, si vous n'êtes pas sûrs de vous? En lisant ces rapports là, je me suis toujours posée des questions...)
domino
21:10 Publié dans Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : QE, psychologie, enseignement
dimanche, 15 juillet 2007
A quelle âge ma retraite?
L'âge limite pour qu'un professeur prenne sa retratie est fixée à 65 ans. Il s'agit de la limite supérieure jusqu'à laquelle il a le droit légitime de travailler.
L'âge limite peut être reculé de dix trimestres si on n'atteint pas encore l'âge d'avoir une pension complète.
Cela veut dire qu'un professeur du secondaire peut travailler s'il le désire et s'il n'est pas complètement gaga d'ici là jusqu'à 68 ans et un trimestre.
Avant le réforme des retraites, nous devions 37 ans et demi d'années d'ancienneté.
Il semblerait qu'il y ait eu une réforme il y a 4 ans et demi selon laquelle nous devrions maintenant 40 ans pour bénéficier d'une retraite complète pour ceux nés avant 1950. Plus 1 trimestre par année d'âge à partir "né en 1950" compris.
Donc, je dois maintenant 40 ans et 2 trimestres pour bénéficier d'une retraite complète.
Une retraite complète de fonctionnaire, c'est 75% du salaire.
-mes trois années d'auxiliaire ne comptant pas pour la retraite, parce que je ne les ai pas "rachetées", et le fonctionnaire devant faire le choix lorsqu'il n'a pas racheté ses années d'auxiliaire entre sa retraite "normale" et sa retraite de "fonctionnaire", si sa carrière de fonctionnaire est plus longue que sa carrière "normale", les années d'auxiliaire non rattachetées et les années passées dans d'autres secteurs (entreprises, industrie) ne compteraient apparemment plus du tout pour la retraite, sauf pour les professeurs du technique pour lesquels comptent les années passées dans l'industrie, par exemple, puisque c'est sur la base de ces années qu'est comptée leur expérience professionnelle au moment de leur entrée dans le métier de professeur du technique, je parle de ceux qui travaillent par exemple dans les sections "métallurgie" ou "construction automobile" des lyvées techniques.
(note pas finie)
Je n'ai donc que 26 ans d'ancienneté, bien que j'ai commencé à travailler à l'âge de 22 ans.
- Mes trois ans d'auxiliaire ne comptant pas, semblerait-il, pour la retraite de fonctionnaire, et même conjugués mes 5 mois dans l'industrie (comme interprète), ils ne peuvent apparaemment pas faire l'objet d'une retraite Sécurité Sociale séparée, dans la mesure où je dois choisir entre mes deux retraites. Ces années de travail sont donc perdues pour la retraite ! Car j'aurais pu sinon avoir trois ans d'ancienneté en plus et avoir une retraite complète trois ans plus tôt. Enfin, pas tout à fait, car quand on rachète une année complète d'auxiliaire, elle ne compte pas comme une année complète pour la retraite de fonctionnaire. Quand j'ai eu mon CAPES à l'âge de 25 ans, il était écrit qu'il fallait que je les rachète dans l'année scolaire (pendant l'année de stage) et qu'ensuite il serait trop tard. C'était en 1976. Jeunes mariés, on avait besoin de notre argent entièrement et on était loin de penser à la retraite, se disant qu'on serait peut-être morts avant.En fait, on s'aperçoit maintenant que bien que quand on était auxiliaire on était content d'avoir un salaire, on a cotisé à la retraite durant ces années là pour rien, payant même une caisse complémentaire pour rien ?
-Et j'ai également pris des disponibilités étant jeune, ce qui fait que cela a diminué de beaucoup le nombre de mes années d'ancienneté.
Il y a cinq ans, j'avais eu - à ma demande -une évaluation de ma retraite pour les années déjà accomplies à 44% du salaire, mais les nombres d'années de travail nécessaires pour obtenir une retraite complète ayant augmenté ce poucentage a diminué apparemment fortement depuis.
Actuellement, je ne cotise plus pour une retraite complémentaire.
A l'âge de 56 ans, je n'ai donc, déduite les années de travail qui ne compte pas pour la retraite parce que je dois choisir entre les deux retraites, et il est évident que ma retraite de fonctionnaire sera plus forte que ma retraite d'auxiliaire, je n'ai que 26 ans d'ancienneté.
Donc, alors que je n'ai commencé qu'à travailler à l'âge de 22 ans (et croyez moi à l'époque en allemand, j'avais des classes de plus de 30 élèves), pour ma retraite, c'est comme si je n'avais commencé à travailler qu'à partir de 'âge de 30 ans.
[Mes trois années d'auxiliaire n'ont jamais compté dans mon ancienneté de fonctionnaire, si bien que mon ancienneté pour la hors-classe et mes passages d'échelon n'est calculée que sur mes années de fonctionnaire, mes années d'auxiliaire n'ayant, je ne sais pas pourquoi, jamais compté dans mon ancienneté de titulaire, d'ailleurs ces trois années (1973 à 1976) ne figurent même pas sur mon dossier électronique de professeur. Donc, mis à part le salaire que j'avais reçu momentanément, j'ai fait ces années là pour rien, j'aurais mieux fait de les utiliser pour passer l'agrégation, mais mes parents qui même alors que j'étais majeure me laissaient peu de liberté, m'ont obligée à travailler au moins un an avant de me marier].
Quand je parle aux syndicats, quels qu'ils soient, de ces trois années qui ne comptent ni dans ma retraite, ni dans mon ancienneté, ils font la sourde oreille, et le rectorat encore plus. Imaginez un peu qu'ils doivent faire des rappels d'échelon sur 26 ans et me payer les sommes correspondantes ! Non, ils préfèrent m'enlever 1/30ème de mon salaire pour refus d'aller prendre un congé de longue durée à la médecine au rectorat. C'est eux qui me doivent de l'argent et ils m'en réclament. Toute ma vie j'aurais été roulée par l'éducation nationale !!!
En ce qui concerne l'âge de la retraite et ces trois années-là ne comptant pas pour la retraite, il faut donc que je travaille trois années de plus. C'est pourquoi le report de la limite d'âge au delà de 65 ans pour partir en retraite, va m'être utile.
Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi ces trois années là ne comptent pas avec les 5 mois en entreprise pour une retraite Sécurité Sociale qui s'ajouterait à ma retraite de fonctionnaire, parce que ma mère par exemple touchait avant la réforme des retraites en plus de la pension de reversion de mon père
(qui fait preque mon salaire actuel),
imaginez ce que serait la retraite de mon père s'il vivait encore deux fois plus que mon salaire, alors qu'il n'avait que son certificat d'études primaires et a travaillé depuis l'âge de 12 ans, et était monté en grade "à la force du poignet") une toute petite retraite d'environ 40 Euros par mois, pour seulement deux ans pendant lesquels elle a fait un travail salarié.
(ma mère se plaint toujours, mais elle a eu une belle vie, elle a arrêté de travailler à l'âge de 28 ans et n'a plus jamais retravaillé depuis, sauf pour élever trois enfants hyper-sages. un peu comme ma belle-soeur, la femme de mon frère qui n'a jamais travaillé, à part élever trois enfants sages, qui avaient tout trois des QI scientifiques mirobolants (trois bacs S dont deux avec mentions) et elle ne s'en fait pas pour son avenir).
Ma belle-soeur est 7 ans plus jeune que moi et a deux enfants qui travaillent sur les 3 dont une qui est mariée, la troisième est étudiante, elle ne doit plus avoir beaucoup de travail à faire à la maison, elle pourrait chercher du travail. Cela pour dire que comme situation pour la veillesse il y a pire que moi...
Pour en revenir à moi-même....
- 26 ans d'ancienneté à l'âge 56 ans, cela fait :
-v40 ans et deux trimestres à l'âge de 70 ans et deux trimestres. (dans l'ancien système j'auais du travailler jusqu'à 67 ans et demi, ce qui était possible avec le report des limites d'âge jusqu'où il est possible de travailler.
Donc avec report de la limite d'âge jusqu'où il est possible de travailler, j'arrive à l'âge de 65 ans + 3 ans et 2 trimestres = 68 ans et demi.
A 68 ans et demi, je n'aurai que 38 ans et demi pour la retraite, soit une retraite qui ne sera pas complète, environ 65/70 % de mon salaire d'alors et tout ceci en continuant à travailler à temps complet, les années de CPA ne comptant que pour une demi année pour la retraite.
Vous comprenez pourquoi j'essaie d'obtenir l'agrégation! A un âge soi-disant avancé. Si je l'obtenais l'année prochaine par exemple (à l'âge de 57 ans), elle me servirait pour :
- 11 ans de salaire d'agrégée avec possibilité de devenir PRAG à l'université (PRAG = Professeur agrégé détaché en université). J'entretiens de bonnes relations avec mes éventuels futurs collègues d'une UFR d'allemand. On peut rêver !
- Salaire d'agrégée = environ 400 Euros de plus que le salaire de bi-admissible. Et trois heures de cours en moins dans le secondaire.
- Retraite d'agrégée = environ 300 Euros de plus par mois que la retraite de bi-admissible que je peux envisager.
domino
08:20 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, retraite, calcul de la retraite
samedi, 14 juillet 2007
Professeur de langue, un métier pour moi? Oui!
Après avoir fait les tests de QI, ce qui m'a amenée à constater que j'avais un QI faramineux, avec un sens logique très poussé, poussé jusqu'à l'extrême, je viens de faire un test pour savoir quelles étaient les professions qui me vont (sur internet, un test émanant d'un organisme qui est apprécié des entreprises). Et bien....
Mis à part que ce test ne me reproche qu'une chose qui s'oppose à mon test de QI, qui lui montre que je serais spatio-logique, donc que j'ai un sens logique très poussé, le test pour "Choisir son métier" me reproche de ne pas avoir suffisamment de logique, ce qui est aberrant :donc, je me suis dit que je n'utilise pas dans la vie quotidienne la logique dont je suis capable dans des tests abstraits. Je ne mets pas mon sens logique très poussé suffisamment en pratique.
Mis à part cela, tout correspond à mon caractère et les métiers que l'on me proposent bien que certains m"étonnent, donnent lieu à une bonne analyse qui correspond à ce que l'on pense habituellement de moi quand je suis en bonne forme.
Et l'un des dix métiers le plus fait pour moi est..... professeur de collège !!!!!
Avec en complément, ce qui correspond à mon métier de prof de langue : traducteur-interprète, un "métier" que j'exerce aussi dans le cadre des jumelages.
Tous les deux sont dans le Top ten des métiers faits pour moi.
Et le titre de mon i-grimoire ? Qui a dit que le titre de mon i-grimoire serait usurpé? Parmi les dix métiers qui me sont le plus conseillé figure : Journaliste/Rédacteur.... Oui, je sais que j'aurais fait une excellente éditorialiste et que si j'avais vécu au Siècle des Lumières, j'aurais été pamphlétiste.
Dans le même ordre d'idée, j'aurais pu être Ecrivain, Auteur ou Editeur. Ecrivain et Auteur qui dit mieux? Dans l'i-grimoire, j'ai trouvé ma voie, mis à part que l'i-grimoire, ce n'est pas payé.
Mais alors, là où la médecine du rectorat va tomber à la renverse, c'est que j'aurais pu être aussi :
Médiateur, Directeur des Ressources Humaines, et Psychiatre! (Et dans le top 20 aussi psychologue!)
Je pourrais aussi (dans mon top 10) être Chercheur. Ce qui correspond aussi à mes envies, puique chercheuse en linguistique, cela m'intéresse et allie mon sens de la Langue avec le sens de la recherche "où je ferais preuve de la patience exigée par ce métier".
Bref, on me voit bien dans le secteur de la communication verbale (bon j'ai dit que mon IQ était spatio-logique, mais je fais un bon score en verbal, comme professeur de langue le contraire serait étonnant).
De plus, on vante d'une part ma combativité, ma volonté, mon coté perfectionniste, et d'autre part ma générosité (je suis généreuse surtout en temps passé pour les autres), mon équilibre, mon tempérament harmonieux.
Cependant nulle part, et bien que j'aime les livres, le métier de documentaliste ou de bibliothécaire n'est pas cité, même pas dans le top 20, n'en déplaise à monsieur le recteur, qui veut mettre les professeurs en langue en documentation, les professeurs de langue sont fait pour communiquer et comme disait l'une de mes anciennes collègues que j'aimais bien, "il faut être bavard pour être professeur de langue". Comment voulez-vous apprendre à parler une langue si vous êtes taciturne ?
Je suis trop désordonnée pour être documentaliste.
Le neuvième métier de mon top ten est "Graphiste/directeur artistique" et c'est vrai que lorsque j'étais jeune, je dessinais bien.
Par contre, le métier de musicienne n'est que dans mon top 20. Mais il faut dire que le manche de la guitare a un petit coté spatial qui ne me déplait pas, et mon aptitude à concevoir des formes m'a beaucoup aidé à placer mes doigts de main gauche au début.
Dans mon profil professionnel on vante :
pour le social et la psychologie :
- ma relation forte à autrui,
- être utile à autrui,
- l'intérêt pour les autres,
-des grandes qualités pour la médiation (Médiateur aurait été la profession qui m'aurait le mieux convenue, mais en tout cas, je crois que le rectorat choisit mal ses personnes chargées des relations humaines, c'est une matière que je n'ai pas étudiée, mais que je possède naturellement. Un de mes collègues, à l'époque où l'on ne m'avait pas encore démolie, disait que j'étais très "public relation").
Dans mon métier de professeur ce qui prime, c'est "la volonté de transmettre, d'aider et d'être utile à autrui qui est primordiale de même que la recherche de résultats tangibles, concrets et durables".
(Si l'inspecteur avait mis toutes ces vérités dans mon rapport d'inspection, j'aurais été une prof heureuse et je serais toujours dans Lycée où j'ai Travaillé Dix Ans, sans critiquer mes collègues, comme avant).
Alors qui vient me dire que mes élèves avaient de mauvais résultats ? C'étaient les miens qui avaient les meilleurs du lycée ! Sans être potentiellement les meilleurs, j'arrivais à amener des STT au niveau des L ou même des S.
La seule profession qui ne m'aurait pas plu dans mon Top Ten, qui est une profession cependant très appréciée dans ma famille maternelle, c'est "Commercial", profession pour laquelle j'aurais eu suffisamment de souplesse d'esprit (toléranee?), d'inventivité et de goût pour l'inattendu.
- l'inventivité, la créativité, l'intuition (C'est vrai que ma prof de français vantait souvent mon intuition!), mon besoin de liberté et d'espace, font partie des qualités que j'exploite dans mon i-grimoire.
- J'ai aussi "une grande force de compréhension des sentiments et des problèmes des autres", et "d'excellentes dispositions pour comprendre ce que ressentent les gens",
-Mais on vante aussi mon sang-froid, mon réalisme, mon sens de la réalité concrète, et mon sens élévé de la moralité.
Ce qui me surprend c'est que peu de professions scientifiques me sont proposées, sauf Physicienne (là encore un métier de famille, j'ai une nièce qui est physicienne), mais moi, j'étais plutôt attirée par tout ce qui était spatial : les cartes, la géographie et la géologie et aussi la géométrie ce qui correspond à mon sens spatial. Je suis de celles qui ne peuvent pas se perdre avec un plan ou une carte. C'est un coté qui est oublié par mon "Profil des métiers".
J'ai souvent rêvé aussi d'être architecte et cette profession n'est pas citée parmi celles qui me sont conseillées.
Mais enfin, prof de langue est bien dans ce qui est dans mes cordes et la pédagogie aussi.
Donc, à bas les demandes de réorientation de l'inspecteur! A bas les longues mises en congé parce que je ne veux pas me réorienter! Je suis là où il faut comme prof de langue, ne venez pas me chanter autre chose, médecine du rectorat! Inspecteurs et consorts! Et je ne serais pas à ma place comme bibliothécaire-documentaliste, ce qui prouve au recteur qu'on ne peut pas mettre n'importe qui à n'importe quel poste ! Et faire de tout prof d'allemand un/une documentaliste.
Autre chose je serais aussi très tournée vers l'avenir et je pense donc que la pédagogie de projet que j'emploie souvent et mes essais d'élaboration d'une réforme de l'enseignement sont tout à fait dans mes cordes.
Par contre même si le rôle de conseil et de médiateur me convient très bien "mes ambitions qui dépassent souvent celles des autres me posent des problèmes pour travailler en groupe" et "rien ne doit entraver mes projets ou me retarder au jour le jour" et je crois que ma collègue de français en documentation cette année entravait beaucoup mes projets en les qualiifant d'inutiles.
Et souvent ce qui me pose des problèmes est que l'on me dit que je fais du travail "en plus", ou "en trop" ou "inutile". Ce que les autres pensent être un défaut est évalué par le test comme une qualité.
domino
14:15 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : Enseignement, orientation, tests, psychologie, métiers, QI
On est gouverné par des drogués ?????
Bon, je suis réac, d'accord, mais c'est une honte de voir que les frères d'une ministre se distinguent en faisant du trafic illégal, d'ici à ce que ceux qui nous gouvernent soient d'anciens drogués, il n'y a qu'un pas.
Quand vous voyez qu'en Amérique, des gouverneurs d'Etat sont d'anciens acteurs, on se demande ce qu'ils ont fait dans leur jeunesse.
Quand je vois des profs certifiés de ma matière avec des piercings dans le nez, alors qu'il est écrit dans je suppose tous les réglements de collèges et de lycées que les piercings sont interdits en classe
(c'est le cas dans tous les collèges et lycées où j'ai enseigné et où j'ai été rattachée ces derniers temps)...
Ces profs que je connais parce qu'ils sont avec moi en formation ou ont été avec moi en formation ne se cachent même pas parfois pour déclarer en public qu'ils sont d'anciens drogués. Ils réussissent leur CAPES quand ils sont étudiants et deviennent stagiaires et/ou sont déjà certifiés.
Et qui appelle-t-on à comparaîître à la médecine du rectorat, une prof qui a fait voeu depuis l'âge de 18 ans
(elle n'a jamais été alcoolique, avant de faire ce voeu à l'âge de 18 ans)
- pour ne jamais perdre le contrôle d'elle-même comme son futur beau-père -il est décédé depuis longtemps -
de ne jamais boire de boissons alccolisées,
(avant de faire ce voeu, elle ne buvait que de l'eau et du lait toute l'année et une coupe de Champagne à la nouvelle année ou à son anniversaire, maintenant elle refuse même de boire le Champagne, ce qui vexe les gens qui fêtent des succès,)
et c'est cette personne
- qui ne boit jamais d'alcool,
- qui organise des campagnes anti-tabac (elle n'a jamais fumé une cigarette de sa vie)
- qui ne sait même pas à quoi ressemble la drogue et ne veut pas le savoir
C'est cette prof là à qui l'on demande de comparaître devant la médecine du rectorat,
une personne foncièrement honnête et sobre, qui mange juste trop de chocolat, sans jamais en acheter elle-même, ce qui la fait grossir (quand on a un époux qui aime les sucreries, que voulez-vous?),
et c'est cette prof là que l'on fait comparaître devant la médecine du rectorat alors que...
Des jeunes profs et futurs profs qui sont bourrés d'alcool, anciens drogués, qui ont des piercings dans le nez, et peut-être ailleurs (dans leur nombril qui est celui du monde), qui portent des tresses africaines emmélées et jamais lavées et jamais peignées alors qu'ils ne sont pas africains, ce sont ces profs là qui vont faire cours à nos petits neveux et petites nièces ????
J'en connais qui viennent d'avoir le CAPES alors qu'ils sont coupables de faits de violence contre une collègue âgée qui n' a pas déposé plainte (en lui claquant rageusement la porte sur les doigts et le nez parce qu'elle s'était trompée de salle).
Et c'est cette vielle prof que l'on fait comparaîître à la médecine du rectorat parce qu'elle a des rapports conflictuels avec sa principale et des collègues d'une génération dont on recrute les plus durs éléments comme professeurs. Bien sûr en claquant les portes sur le nez de leurs élèves, les membres de cette nouvelle génération auront de l'autorité !
Ils préfèrent mettre en congé maladie les vieilles profs comme moi qui savent diriger leurs élèves avec douceur et fermeté, et ils préfèrent exiger d'eux qu'ils partent rapidement en retraite pour faire de la place aux anciens drogués, même s'ils n'auront pas toutes leurs années pour la retraite et n'auront même pas de quoi se payer le voyage d'une semaine aux Amériques quand il seront retraités???
Il paraît même que la médecine du rectorat voulait faire faire une cure de dexintoxication à une vieille prof comme moi, qui ne boit JAMAIS de boissons alcoolisées et n'a JAMAIS fumé de sa vie, ils veulent l'obliger à prendre des médicaments qui agissent négativement sur le psychisme (et l'empêchent d'écrire, tiens, tiens, le goulag?), alors que cete vieille dame respectable est CONTRE les médicaments qui agissent sur le psychisme et son psy aussi.
En tout cas enlever sanctionnellement 1/30ème du salaire à cette vielle prof parce qu'elle a dit à sa chef d'établissement qu'elle aurait pu réussir aussi le concours de chef d'établissement si elle l'avait voulu (mais elle est maintenant trop vieille, la limite d'âge pour le concours de chef d'établissement est fixée à 54 ans), et que, comme elle est plus âgée que sa chef d'établissement, sa chef d'établissement
(chef d'établissement qui hurle et fait des rapports sur elle comme quoi elle serait hystérique et paranoïaque, exerçant ainsi illégalement une médecine d'un autre âge, et injuriant sa "subordonnée" par la même occasion (il paraît qu'elle a le droit d'injurier des professeurs plus âgés qu'elle parce qu'elle est chef d'établissement) ,
ne la respecte pas.
Oh! On entend d'ici la médecin du rectorat dire :
"Si vous voulez être respectée, il faut vous respecter vous-même".
C'est ce que Mme domino devait entendre, si elle s'était présentée, c'est ce que Mme domino a entendu il y a cinq ans,
"mais pourquoi ne vous faites vous pas couper les cheveux ?"
(Les femmes ont-elles le droit de porter les cheveux longs, oui ou non, il est certain que la candidate aux élections présidentielles aurait eu plus de poids, si elle s'était fait couper les cheveux en se les faisant teindre en auburn !)
"Pourquoi ne vous faites-vous pas teindre les cheveux en auburn, c'est une couleur qui vous irait bien!"
a du entendre Madame domino la dernière fois qu'elle est allée à la médecine du rectorat.
Cae Mme domino, la veille prof réac que vous connaissez bien a depuis fait déjà deux fois la sourde oreille aux convocations de la Médecine du Rectorat, sans conséquences pour elle. Mais cette fois-ci le recteur, sous le deuxième gouvernement de droite a décidé d'être ferme envers les jeunes profs et Mme domino, cinquante six ans, qui paraît plus jeune que son âge, en a fait tout de suite les frais : un trentième de salaire en moins !!! Et un trentième de retraite aussi ? Donc, elle devra travailler encore deux ans de plus, c'est à dire jusqu'à soixante-sept ans?? Pour rattraper le trentième en moins ???
Et se voit menacée qu'on lui enlève un deuxième trentième de salaire en moins si elle n'y va pas en Septembre??
Mme domino, qui s'est fait un point d'honneur à travailler malade, avec une grippe qui n'en finissait pas durant toute la période entre les vacances de février et les vacances de Pâques, qui a travaillé durant deux mois avec une grippe qui n'en finissait pas, cette Mme domino là, doit se présenter à la médecine du rectorat parce qu'elle a manqué 3 jours et deux bouts de journées en Mai, journées qu'elles a rattrapées ???
A cause de sa pincipale qui hurlait sur elle?? Parce qu'elle a eu peur de sa principale qui hurlait sur elle?
Et tous ces jeunes là, avec leurs piercings dans leur nez, ils vont prendre sa place, ces anciens drogués, ils vont prendre sa place ????
Le médecine du rectorat ne mène pas les bons combats.
Avec toutes mes amitiés de réactionnaire.
domino
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Explication : Je suis pour le progrès dans la société, mais jusqu'à un certain point, mais avoir des gouvernants qui seraient peut-être d'anciens drogués, et des futurs profs pour mes petit-neveux et petites nièces qui seraient d'anciens drogués, là, NON ! Là, je deviens réac.
Ah ! Oui! Je les entends d'ici, elle ne fume pas, ne boit pas, etc.... Et pourtant elle fait de la musique ! Non, Mme la médecine du rectiorat, Musique surtout Classique n'a jamais été synonyme de toxicomanie.
Je ne joue pas de rock, pas de techno, je ne chante pas de rap, j'égrène gentiment quelques accords sur une guitare classique et tout de suite on me traite de ..... Si je jouais du piano ou du violon, instruments nobles, bien sûr, ce ne serait pas la même chose.
Oh ! On sait que la journaliste alternative n'est pas aimée de ses jeunes collègues professeurs sur Haut et Fort, qu'ils la considèrent comme une vielle réac !
Et pour en revenir aus frères de la ministre (pour éviter de faire un hors-sujet, parce que c'était surtout des jeunes profs qui ont des piercings à leur nombril du monde que je voulais parler), je dois ajouter ceci:
Le religion musulmane interdit de boire de l'alcool. C'est un fait. On ne sert pas d'alcool dans les restaurants turcs.
Et les frères de la ministre, musulmans, font du trafic de drogue, ce qui est encore pire que boire de l'alcoll. Il n'y avait pas de drogue à l'époque de Mahomet, ou dans sa région, sinon, il aurait sûrement aussi interdit d'en prendre.
10:20 Publié dans la politique de mon i-grimoire | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : enseignement, allemand, société, politique, toxicomanies
mercredi, 11 juillet 2007
Domino a écrit...
Domino a écrit sur des notes de cours :
"Un jour j'ai étudié avec des élèves un conte. Il y avait une immense didactisation qu'on avait eu dans un stage. le conte était le suivant :
Dans une ville la vie était difficile, il y avait beaucoup de problèmes, des disputes incessantes, sans cesse des cris, des pleurs, des remords, des peurs, des angoisses. En désespoir de cause les édiles de la ville appelèrent un sage, le sage leur conseilla de mettre une très grande marmite au centre de la ville et que les habitants aillent crier tous leurs soucis dans la marmite. Ensuite, on porterait la marmite à l'extérieur de la ville.
C'est ce qu'on fit. Les habitants allèrent tous crier ce qu'ils avaient sur le coeur, leurs disputes avec leurs voisins pour un lopin de terre, leur jalousie, l'envie que leur voisine leur témognait souvent, la jalousie des autres, bref, tout ce qui fait les querelles d'une ville. Tous les habitants passèrent un à un devant le pot pour crier leurs soucis et leur mécontentement. Ils se penchaient au dessus du pot, et hop! Leurs soucis disparaissaient dans le pot.
Puis on alla porter le pot à l'extérieur de la ville. Et les habitants vécurent en paix très longtemps.
Jusqu'au jour où quelques siècles plus tard quelqu'un qui ne connaissait pas la légende de la ville (car c'était devenu une légende) trouva le chaudron a moitié enfoui et envahi par les herbes sauvages, le déterra, l'amena en ville et les ennuis recommencèrent, les disputes aussi.
Je n'aime pas le dernier paragraphe, il aurait mieux valu que le chaudron ne soit jamais retrouvé."
Pour domino
22:55 Publié dans La Philosophie de l'i-grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, conte, ville, disputes, ....
Et les syndicats ...???
Et les syndicats, que font-ils dans tout cela....? Ils ne répondent pas aux appels au secours que dominique leur envoie à plusieurs reprise...
Ils ont juste écrit : "Ecrivez au rectorat que vous ne pouvez vous présenter à la convocation de la médecine du rectorat en juillet pour obligation de vacances, vous serez de toute façon reconvoquée en septembre."
Il semblait pourtant que le problème avec la principale était réglé puisque la priincipale a laissé travailler dominique durant tout le mois de juin, sans mot dire, et l'a même laissé travailler beaucoup plus que son horaire, puisqu'elle venait aussi le mercredi et le jeudi (puisqu'elle n'avait plus de cours à l'université pour l'agrrégation d'allemand ces jours-là), travailler toute la journée au CDI, en faisant un travail de fond pour celui-ci (répertorier des articles, etc...), et elle a reçu cette convocation apportée par une surveillante sous pli non fermé (ce qui en matière médicale est une entorse à la déontologie professionnelle médicale, le dernier jour de classe).
La médecine du rectorat c'est "Pim, pom, les pompiers, la maison est brûlée". Une comptine qu'on chantait quand on était petit, sans savoir exactement de quoi il retournait, et qu'on pouvait le comprendre au sens figuré.
Convoquer dominique juste avant la fin de l'année scolaire ou juste avant le début de l'année suivante (le premier ou le deux septembre par exemple alors que la pré-rentrée est le trois) c'est un bon moyen pour faire passer cette affaire sous silence et pour que personne ne se rende compte dans le collège de la "disparition" de dominique dans un congé maladie sans fin, avec pertes de salaire conséquentes (voir l' article ci-dessous), alors que dominique voulait travailler!!! Alors que dominique était aimée et respectée des élèves !
Pourquoi avait-elle eu dans son ancien lycée des collègues qui hurlaient sur leurs élèves cinq fois par heure faisant peur à tous et à toutes et qui n'étaient et ne sont toujours pas convoqués à la médecine du rectorat alors qu'ils hurlent et piquent des crises depuis des années à longueur de journée, mais son polis et s'écrasent devant la hiérarchie, s'écrasent telleement qu'en 2002 JAMAiS ils ne l'auraient défendue de peur d'être sanctionnés eux-mêmes.
Pourquoi ces gens là restent impunis ? (Tout à fait entre nous et entre parenthèses : ils sont de droite... et même d'extrême droite... )
Dominique a toujours été convoquée à la médecine du rectorat quand la droite venait de gagner aux élections. Pourtant ce n'est pas une activiste politique, c'est très loin d'être une activiste politique, elle ne manifeste jamais, ne fait jamais grève, tout ce qu'il faut pour ne pas plaire à ses collègues syndicalistes, elle ne distribue jamais de tracts, ne colle jamais de tracts au tableau d'affichage, dominique depuis septembre 1977, quand elle a été titularisée dans le public, vit la peut au ventre, de son père de droite avant son décès en 1981, des proviseurs et principaux lors de la première attaque d'un principal qu'elle a subie en 1979.
Elle aime la nature et les animaux, elle est écologiste et avec son jardin sauvage passe pour telle dans son quartier. Avec ses prises de position pour qu'on n'abatte pas les arbres de son quartier, ses pleurs lorqu'on a commencé à tailler le plus bel arbre qui maintenant est bancal, sa manifestation qu'elle a faite seule en accrochant des pancartes et des maisons d'oiseaux à sa haie pour qu'on ne coupe pas les haies du quartier, pour qu'on n'abatte pas les arbres, et elle a gagné son combat seule pour les arbres et les oiseaux.... de son quartier.
Ils ont été raconter en 2002 à l'inspecteur qu'elle dégoûtait les élèves de l'allemand alors que c'était elle qui mettait les meilleures notes de son lycée.
Pour mettre une MA qui avait besoin d'heures d'allemand pour passer un CAPES interne à sa place.
Actuellement, ils veulent la mettre en CLD pendant les vacances pour donner son poste de TZR à quelqu'un qui a eu une mesure de carte scolaire dans sa zone, quelqu'un qui n'était pas encore né (e) quand elle est arrivé par ici quand elle a acheté sa maison avec son mari dans cette zone de remplacement au prix d'années de labeur. Une maison qu'à quelques années de la retraite ils ne souhaitent pas revendre pour s'en acheter une dans une autre zone, au paysage moins agréable, car cela signifierait pour eux une perte financière d'en acheter une autre dans des zones où l'immobilier est plus cher en revendant celle-ci.
J'entends les critiques :
Elle a de la chance d'être fonctionnaire, elle a la sécurité de l'emploi ! (Alors passez les concours! Passez le CAPES et l'agrégation d'allemand, même son mari en tant que bilingue de naissance franco-allemand n'a jamais réussi à avoir le CAPES).
Elle a de la chance, elle a un bon salaire. (Avec son niveau d'études, les cinq langues qu'elle parle, ses qualités littéraires, elle devrait gagner 2 fois plus au minimum).
Mon avis :
Mettre dominique qui a 140 de QI, qui a beaucoup de matière grise Hors Service en la mettant en congé maladie et en continuant à la faire harceler par les convocations de la médecine du rectorat pour la mettre Hors Service, c'est rendre inutile la matière grise qu'il y a dans notre beau pays. C'est mettre les intelligences au placard. C'est se priver de bonnes idées.
Essayer de tuer dominique par des coups de boutoir administratifs, c'etait assassiner un cerveau, une polyglotte, une artiste, un compositeur, un écrivain, une bonne chanteuse de style classique (amateur), un bon professeur, c'est assassiner tout cela en même temps ! C'est assassiner Mozart au féminin !
19:00 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : syndicats, enseignement, affaires passées sous silence