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dimanche, 15 avril 2012

Histoire de chaussettes

Roman-théâtre

Du journal de Doofie

Si vous avez lu le blogom de domino depuis le début, vous devriez savoir que j'ai déjà eu des problèmes de chaussettes il y a quelques années.

En effet, les chaussettes de femmes n'étant pas assez grandes pour moi, car je chausse du 41-42, j'avais opté un moment pour ce qui était à la mode à l'époque chez les hommes, des chaussettes à jolis motifs : des fleurs, des écureuils et des feuilles d'automne, bref, des motifs évoquants la nature, tout beaux et tout mignons, et ces chaussettes toutes douces que j'achetais toujours dans la même grande surface m'allaient à merveille.

Et puis voilà, à chaque lessive comme depuis toujours, des chaussettes, mais quelques unes seulement, ne retrouvaient pas leur soeur, mais généralement, elles s'étaient perdues dans un autrre tas de mon triage, et je les retrouvais et je les réassortissais à la lessive suivante.

Seulement, voilà, un jour, j'ai commencé à ne plus du tout trouver les chaussettes soeurs, ni dans les autres tas de lessive, ni dans les armoires, toutes mes chaussettes, au moins une trentaine de paire avaient perdu leur jumelle, alors j'ai dit à Schnelly, comment cela se fait-il que de toutes mes paires de chaussettes je n'en ai plus qu'une seule de chaque et que je n'arrive plus à retrouver l'autre.

Oh! Tu les as sûrement égaré, a-t-il dit... Tu vas les retrouver un jour à un endroit où tu t'y attends le moins..

Alors, j'ai pensé que des gens rentraient dans ma maison et venait me voler mes chaussettes, mais pourquoi une sur deux. Je me suis dit alors qu'il devaient en faire quelque chose de délictuel comme les mettre sur le lieu d'un larcin, pour me faire accuser à leur place, comme cela on aurait retrouvé le double chez moi et j'aurais été accusée à leur place, maintenant comme il s'agissait de chaussettes d'homme, mais avec des motifs féminins, c'est peut-être Schnelly qu'ils voulaient faire accuser.

Mon père m'a dit quand j'était petite que quand on perd sa carte d'identité, il faut tout de suite en faire la déclaration, car des gens malhonnête pouvaient la mettre sur le lieu d'un vol ou d'un crime pour te faire accuser à leur place. Il donnait de bons conseils.

Alors, devant mon désarroi avec l'histoire des chaussettes disparues, et après que j'eus acheté plusieurs fois des chaussettes de femme, toujours trop petites, soit elles serraient trop la cheville, soit elles passaient en dessous des talons par derrière, et qui continuaient à perdre leur soeur jumelle à chaque sortie de lessive, alors Schnelly a commencé à m'acheter des chaussettes d'homme, mais soient elles serrent trop au mollet, ou à la cheville et on finit par voir la trace des élastiques sur mes chevilles qui se creusent de plus en plus à l'endroit où arrivent les chaussettes. Alors il a acheté des chaussettes pour pieds sensibles, presque sans élastiques, mais je les perdais. En plus, il m'achetait toujours les mêmes couleurs, soit noires, soit blanches.

Un jour un élève m'a demandé si je mettais toujours les mêmes chaussettes, parce que je mettais toujours des chaussettes blanches. En fait, j'avais dix paires de chausettes blanches qui revenaient pour six ou sept d'entre elles par paire après les lessives, les chaussettes dépareillées étant moins nombreuses quand c'est Schnelly qui les achète que quand c'est moi.

Et voilà qu'il y a trois semaines environ, je vais pour la première fois depuis longtemps dans les grandes surfaces, parce que vous savez si vous avez lu ce blog, qu'on fait sonner les portiques à mon entrée en inspectant de fond en comble mon sac à main pour voir d'où cela venait et pour que cela ne sonne pas de nouveau à la sortie "dans mon intérêt". En fait, ils font sonner les portiques parce que j'ai une tête qui ne leur plait pas, et pourtant, je suis blanche de peau. Je les ai vu appuyer sur une espèce de tléécomande qu'ils ont dans leur main quand j'arrive. Cette fois-ci cela n'a pas sonné à l'entrée (ni à la sortie d'ailleurs), et je suis tombée au rayon femme sur des montagnes de chaussettes femmes 39-42, avec toutes sortes de jolies couleurs et de jolis motifs à fleur et elles avaient l'air douce, alors j'en ai acheté une trentaine de paires en promotion. Comme cela si j'ai un jour des chaussettes roses, le lendemain des bleues, le surlandemain des marron glacé et le jour suivant des pistaches, les élèves ne touveront plus que je mets toujours les mêmes chaussettes.

Et dès que je les ai enfilée, j'ai senti la différence, elles sont comme mes anciennes chaussettes, celles d'hommes à fleurs de l'époque d'avant 2002, douce, elles ne serrent ni trop fort, ni pas assez, mêmes si parfois, le haut de la chaussette descend dans le sillon creusé par les chaussettes que m'a acheté Schnelly, ce sillon diminue.

Et voilà aujourd'hui, je prépare ma lessive de chaussette et sur la vingtaine de paires que j'ai utilisées depuis mon achat, seules 5 ont leurs jumelles, 3 sont dans le tas de linge sans leur soeur et une douzaine ont carrément disparu.

En plus il a cassé depuis quinze jours l'imprimante qui sert à mes élèves du samedi, il a bouché les toilettes, mais les a débouché une journée après, il a cassé le plateau en verre de ma balance pour me peser, et m'en a racheté une autre. Tout cela en quinze jours de temps. On dirait le grand-frère qui casse les jouets de sa petite soeur.

Il m'a donné des sanwichs trop durs quand il vient me chercher à la fac aux cours du soir. Et il ne comprend pas que ça peut nuire à mes dents plus fragiles que les siennes. Je lui dit toujours "Des sanwichs avec du pain mou", mais il ne sait pas ce qu'est le pain mou.

Tout à l'heure il m'a regardé en train de préparer la lessive, pour la première fois depuis 40 ans que je fais la lessive (je la faisais déjà pour ma mère à la maison, pendant la période où elle avait été malade), je me suis trompée et j'ai mis la poudre à la place du produit doux! Parce qu'il me regardait. Et après il m'a rappelé soit disant que je me serais trompée de programme, mais je ne me suis pas trompée, c'était bien sur D que le l'ai mis comme d'habiture et il m'a dit 'il est presque déjà à E", mais il a dû croire qu'il fallait le metre à A, comme quoi, s'il faisait la lessive ce serait une catastrophe pour le linge. Non seulement, il ne connait pas les programmes de lessive , mais le pire c'est qu'il ne sait pas reconnaître un tissu synthétique, un tissu en coton ou de la laine. 

Et puis à chaque fois qu'il touche à quelque chose à moi, ça tombe en panne, par contre il adore écouter la radio et ses postes de radio, très vieux, ont toujours marché à merveille, mais il n'éteint pas le poste quand il quitte la pièce, si bien que moi je perds du temps, car je suis distraite par la radio.

Doofie

Pour aider Doofie, domino, auteure du roman-théâtre et de ce blog.

 

vendredi, 13 avril 2012

A la poubelle...

Roman-théâtre

Voici pourquoi Doofie (56 générations jusqu'à son ancêtre Charlemagne) est plus évoluée que son mari Schnelly (42 générations qui le séparent de son ancêtre Charlemagne), Charlemagne qui soit dit en pasant a eu bien 20 enfants, plus les bâtards inconnus, il avait la pêche le vieil empereur à la barbe fleurie, et Hildegard de Vinzgau n'avait qu'à bien se tenir, si elle ne voulait pas être évincée...

Bon, sachant que Schnelly lui a procuré il y a plusieurs jours 2 gros catalogues de vente par correspondance qui ne font pas les grandes tailles, alors que Doofie avait demandé 2 catalogues qui font les grandes tailles, voici la conversation téléphonique que Schnelly vient d'avoir avec Doofie.

- Doofie : Je ne trouve plus les deux gros catalogues, parce que tu sais, j'ai dit que je n'y trouvais pas d'habits à ma taille, mais à la fin du catalogue, il y a d'autres choses qui peuvent m'intéresser...

-  Schnelly: Les catalogues, ils sont sur la poubelle!

- Doofie : Sur la poubelle, mais tu n'allais pas les jeter quand même, ce n'est pas parce que j'ai dit..

- Schnelly : Non, je les ai mis là parce que je n'avais pas de place ailleurs... je n'allais pas les jeter...

- Doofie : (en larmes à l'idée qu'il allait quand même jeter les catalogues...en cours)... Mais ils étaient en haut, pourquoi tu les a descendus?

- Schnelly : Il n'y avait pas de place ailleurs...

Doofie (pense), j'en avais pourtant trouvé, de la place..

Doofie ne peut surtout pas dire que deux pages d'un livre ou deux chansons d'un CD ne l'intéressent pas, car tout de suite, le livre ou le CD disparait...

Pourtant jusqu'à il y a une dizaine d'années (Doofie et Schnelly sont mariés depuis plus de 35 ans...), Schnelly ne touchait jamais aux affaires de Doofie, ou les lui demandait et les remettait en place, mais maintenant, il ne lui demande plus, ne les remets plus à leur place ou ne les rend plus.. et Doofie cherche toujours après ses affaires...

Pour défendre Doofie

domino

 

vendredi, 02 décembre 2011

Sur le quai

^Roman-théâtre

Bêtie est allée à son stage de TICE dans le département voixin, elle est revenue par trois trains et deux correspondances. A la deuxième correspondance, il fallait attendre une demi-heure sur le quai tout au bout de la gare.

Un autre train s'arrêt tout d'abord avant et part dix minutes avant celui-là. Il y a deux bancs et du monde sur les bancs, mais Bêtie avait, malgré le froid qui commençait à tomber, trouvé une place au bout du deuxième banc.

Un homme bizzarre et âgé non loin de là, qui ressemblait un peu au père de Rapidy, muni d'un vélo plein de paquets, d'un gilet sur lequel était écrit sécurité, et d'un pantalon resséré à une jambe par un bracelet sur lequel était écrit SNCF, sans doute destiné à éviter que le pantalon ne se prenne dans les pédales du vélo, avait l'air d'attendre aussi le train. Je me demande si c'était un original - il y a pire que mes amies, héroïnes de mon roman-théâtre - - ou vraiment un homme de sécurié.

Toujours est-il qu'il prenait son rôle au sérieux, jusqu'à un certain point seulement... Il alla d'abord fustiguer un jeune qui fumait sur le marchepied du train, jusque là, Bêtie  était d'accord avec lui, puisque tout comme moi, l'auteure de ses jours, elle ne fume pas. Bon, le jeune finit par terminer sa cigarette. L'homme lui avait dit que c'est pour la sécurité du train qu'il n'a pas le droit de fumer, mais je sais pertinemment qu'avant on fumait dans les trains avec des compartiments fumeurs et non fumeurs, et qu'il ne s'agit pas de sécurité, si on a interdit de fumer dans les trains, mais des incommodations provoquées aux usagers non fumeurs. Car même entre les compartiments, surtout dans les trains qui n'en ont plus, la fumée allait jusqu'à l'habitacle des non fumeurs et les gênait, sans compter que parfois pour trouver une place assise, il fallait traverser le compartiment des fumeurs, ce qui était très gênant pour Bêtie et tous ceux qui comme moi sont non fumeurs, surtout en temps de rhumes en hiver.

Après avoir fait la morale au jeune homme, cet homme passa non loin du banc de Bêtie, en allumant, ô le comble, une cigarette et en envoya de pleines bouffées à la figure de Bêtie, avant d'aller s'installer debout à trois mêtres d'elle avec la fumée qui prenant le sens du vent, arrivait droit sur Bêtie. Alors celle-ci ne pu s'empêcher de faire la réflexion : "Monsieur, pourriez vous aller deux mètres plus loin, pour éviter de m'envoyer votre fumée dans la figure, car je suis non fumeuse!"

"Comment cela, mais on n'a pas le droit de fumer dans les trains, mais sur le quai, si!!" "Mais monsieur, je ne vous demande pas grand chose, de seulement vous déplacer de quelques mèters, pour que votre fumée n'atteingne plus mon nez!" "Comment cela, j'ai le droit de fumer ici!"

Alors, Bêtie dit, alors c'est moi qui vais m'éloigner, car je ne peux vraiment pas supporter votre fumée, mais vous m'obliger à me lever pour aller plus loin, alors que je suis aussi âgée!" Et d'ajouter : "Les quais de gare sont des lieux publics".

D'ailleurs j'ai remarqué qu'à grande métropole régionale, il y a des panneaux "Interdit de fumer" sur les quais de la gare, mais ces panneaux n'ont pas encore été apposés dans les petits gares, et à grande métropole régionale plus personne ne fume dans la gare.

Tandis que Bêtie s'éloignait pour se poster debout à l'autre bout du quai, l'homme très galant, qui avait obligé Bêtie à se lever, continuer à crier tout seul "On a le droit de fumer ici, on a le droit de fumer!"

Sur son chemin, Bêtie passa devant un contrôleur et lui expliqua que ce monsieur qui criait là-bas tout seul après elle, avait copieusement grondé des jeunes qui fumait sur le marchepied du train précédent, pour ensuite allumer lui-même une cigarette et m'en envoyer la fumée dans la figure". ça a fait sourire le contrôleur.

Puis l'homme tandis que Bêtie était à l'autre bout du quai, s'approcha  du contrôleur et lui cria : "Hein Monsieur, qu'on a le droit de fumer sur le quai! Hein, monsieur! " et il continua ainsi pendant cinq bonnes minutes, le contrôleur hocha de la tête pour lui donner raison, sans conviction.

Puis, le train arrivant, l'incident fût clos, je ne sais d'aileurs pas si cet original est montré dans le train avec son vélo! Et son bracelet SNCF au pied, qui lui tient lieu d'épingle à vélo. Je me souviens avoir porté des épingles à vélo à mes pantalons pat d'éph, en velours côtelé, quand je faisais 22 km par jour AR à vélo pour aller travailelr, car il n'y avait pas de bus entre l'endroit où nous habitions, jeunes mariés et mon lieu de travail. C'était l'époque où j'étais encore sportive, fine et musclée.

Bon, voilà un épisode amusant que Bêtie a vécu aujourd'hui, ce qui l'a distrait un peu de ses soucis.

domino

vendredi, 07 octobre 2011

Les transports en commun : la galère!

Roman-théâtre

(Doofie et Schnelly sont mes personnages de théâtre, professeurs tous les deux, ils intègrenet les transports en commun dans leur vie quotidienne).

Hier matin , comme Schnelly devait prendre son train à 8 heures et quelques minutes du matin, Schnelly et Doofie vont à la gare; Ils prennent le même train, pas de problème jusque là. Doofie est même un train plutôt que d'habitude et se dit : "Tiens, je vais voir s'il n'y a pas de car pour monter au collège (sinon, cela fait 40 minutes à une heure à pied selon son chargement et sa forme, un peu enrhumée depuis hier, Doofie à la belle voix, se remet à se moucher et à tousser). Doofie regarde sus ses horaires, et si... il y a un car à 8 h 39 précise (en fait, les horaires sont difficiles à consulter, car la ligne gare-collège est répartie sur 8 plus grandes lignes différentes, et presque tous les cars qui font ce bout de parcours, au début, à la fin, ou au milieu de leur parcours passent vers 7 h 30 à la gare d'arrivée de Doofie, heure où ils s'arrêtent, car plusieurs personnes les prennent.

Mais à 8 heures 30 et des, c'est la galère... Un premier car passe, le nom de la ville de son collège est en lettre de lumière sur son panneau avant, il s'arrête  à 20 mètres de Doofie (les arrêts sont à peine matéiralisé, deux arrêts en tout sur la place de la gare, mais les bus ne s'arrêtent pas forcément aux arrêts. Pas de passager juste devant sa porte, Doofie court tant bien que mal pour le prendre, il redémarre avant qu'elle arrive au bus. Elle court derrière, fait des signes, rien à faire, il est parti...

Doofie décide donc d'aller à pied, elle a à peine tourné les talons qu'un deuxième car arrive avec le nom de la ville où est son collège en lettres de lumières sur le devant, Doofie fait demi-tour fait signe au chauffeur qui la voit ou ne la voit pas, change son pannonceau en Dépot, écrit en lettres de lumière. Doofie traverse la rue en face de la gare, voit une troisième car arriver avec toujours le nom de le ville où est son collège en letres de lumière, elle se retourne, fait signe à la conductrice qui se trouve à ce moment juste en face d'elle, qui la voit ou ne la voit  pas... elle redémarre aussi sec après le signe de Doofie et houp là là, le car s'en va... sans Doofie.

Doofie se pose une question : Est-ce que cette compagnie affrêtée par le Conseil Régional pour les transports régionaux par car, est aus service du client ou est-ce le client qui est à son service?

Bon, ce n'est pas grave, Bêtite ne travaille que cet après-midi, mais elle a encore un tas de travail à faire d'iici-là!

Le soir, Doofie reste à une réunion, puis descend vers la gare, avec Schnelly qui est venu à sa rencontre...  à pieds, il n'y a plus de bus à cette heure là, mais comme mis à part la côte initiale, ça descend (on peut même descendre par des escaliers),

Schnelly lui montre un message sur son portable sur la route, il y a quelques chose de très grave, dit en même temps Schnelly. De très grave? S'exclame Doofie en retour en regardant le message, mais dans les secondes qui précèdent plein de malheurs possibles défilent dans sa tête, Maison sinsitrée? Proche décédé? Et elle lit "ter" En raison des sérieuses perturbations causées par l'agression d'un contrôleur..; Doofie se demande : C'est grave? Donc, Schnelly a agressé un controleur et a semé la perturbation dans le train? Moi, ce matin, j'ai dû sortir ma carte, juste au moment où j'allais descendre, et je n'ai pas râlé, alors que j'ai faillie à cause d ela controleuse qui me controle juste avant que je descende, râter mon arrêt. Parfois Schnelly s'énerve sur les contrôleurs, surtout les contrôleuse, par exemple quand il est contrôlé deux fois sur le même parcours. Une fois, il avait lié conversation avec la permière contrôleuse, tout juste s'il ne la draguait pas, et devant moi! Et la deuxième qui éait plus mingnonne que la première d'ailleurs, selon le goût d'une femme, mais les hommes n'ont pas forcément le même goût, s'est prise un discours de morale pace qu'elle contrôlait une deuxième fois et que Monsieur Schnelly avait été contrôlé deux fois.  Doofie a dit alors : "Mais Schnelly, tu exagères, laisse cette dame faire son travail!" Doofie n'a pas envie d'être mise dans le même sac que Schnelly.

En l'espace de quelques secondes, des scénarios montent à la tête de Doofie, peut-être qu'après sa descente du train ce matin, Schnelly aurait râlé parce que la contrôleuse encore une... Schnelly es un rien mysogyne lorqu'il s'agit de cotnôleuses... parce qu'elle m'aurait contrôlée juste avant la descente. Ou bien, elle la contrôlé lui, et il a râlé pour autre chose.. Bon, je ne sais pas...

Puis en lisant la suite du mesage, je comprends que c'est  une grêve générale des trains et pas seulement sur ma ligne et Schnelly a précise qu'un contrôleur a été agressé quelque part en France, mais ce n'est pas lui l'agresseur, alors je me demande ce que ça fait sur son téléphone, sur le moment, j'ai cru que c'était mois et lui qui sommes interdits de transpots en commun... vraiment, ce message est mal rédigé, et puis, pourquoi sur son téléphone à lui? Parce qu'il était écrit qu'on devait choisir d'autres moyens de locomotion. Bon, alors, ce n'est pas si grave que cela.. on aura peut-être un train quand même, si c'est "quelque part en France,, pardon, en Sarpénie, car dans le roman de Doofie et Dummie, elles habitent la Sarpénie, pays imaginaire..

Doofie mange son pique-nique en route sur un banc, car avec les cahiers qu'elle a corrigé entre midi, elle n'a pas eu le temps de manger... de toute façon le tain, on l'aura bien, d'ici 20 heures et des, il y a le temps. On arrive, je ne sais plus si c'est 19 h ou 19 h 30 sur le quai, c'est plutôt 19 heures.  Il commence à faire frisquet, car depuis hier, les grosses chaleurs sont passées, et d'ailleurs dès le premier rafraîchissement, le nez de Doofie qui n'aime pas le temps frais, s'est enrhumé; elle est même comme un peu grippée, car à certain moment, elle a comme des nausées. Surtout quand elle est debout ou quand elle se lève de sa chaise.

Bon, arrivés à la gare, le train est marqué et figure en vert, donc, il roule s'exclame Doofie. ça métonnerait, dit Schnelly. Prophète de malheur, pessimiste! lui rétorque Doofie. Doofie qui assise sur un banc face au quai, car à cette heure la gare est déjà fermée, commence à trouver le temps frisquet. Une famille attend des gens qui doivent arriver dans l'autre sens, ils ont des bébés, ça passe le temps de les observer. Et puis, un élève de troisième SEGPA de Doofie vient faire des tours à vélo sur le quai e fait meme des numérois d'équilibriste pour la frime, il roule sur la roue arrière, en passant plusieurs fois devant Doofie. ça veut dire : "Moi, je ne sais pas faire d'allemand, mais je suis fort à vélo!!" Il ne regarde pas Doofie, ne dit pas bonsoir, mais son petit frère qu'il a emmené avec lui (sans vélo, il est à pieds), est plus poli que lui. Doofie est emmitouflée dans sa capuche en laine, il ne l'a peut-être pas reconnue!

Un train aux vitres toutes noires passe dans l'autre sens. Sans passagers. Un deuixème train dans l'autre sens s'arrête, il amène une famille complète qui ressort de la gare avec la famille aux bébés. Ils ont aussi des bébés. Dans le sens de Doofie et Schnelly, rien, quelques passagers attendent.  A l'affichage, le pannonceau électronique met en rouge les trains ayant du retard ou étant supprimé, déjà deux trains supprimés dans l'autre sens, plus le train qui s'est arrêté, un autre dans l'autre sens voti son retard augmenter..; 50 minutes, 60 minutes, 70 minutes...

Shnelly et Doofie attendent .. Pas la peine d'attendre, dit Schnelly, j'appelle un taxi.

Non, il est encore affiché! dit Doofie, on ne va pas encore payer 50 € de taxi, alors qu'on a déjà payé notre place (avec le billet mensuel). Le train est encore affiché en bleu. L'un des trains rouges de l'autre sens disparait, on attend, le train, toujours affiché en bleu sans retard, est visiblement en retard, un train sans passagers, avec des cabines passagers noires est d'ailleurs passé à grand vitesses et sans s'arrêter dans l'autre sens, les trains roulent sans passagers et sans s'arrêter.

Soudaine le train affiché en bleu devient rouge et hop, la ligne du train disparait, il y en a un autre à 21 heurs 40 et des... Bon, on attend celui-là se dit Doofie, coup de vent, la pluie se met à tomber, ça devient franchement humide ici, le rhume de Doofie, ne va pas en s'améliorant..son dos devient froid, malgré la veste en polaire et la capuche de laine qui s'étend un peu sur ses épaules, Doofie sent le froid gagner son dos d'enrhumée, de quoi faire bientôt une pneumonie, ce qui par les temps qui courent lui arrive souvent ces dernières années. Ou une laryngite, et la belle voix disparaîtra pour quelques semaines vore un mois ou deux, pendant lesquels Doofie ne pourra ni chanter, ni faire de voix aigues dans ses compositions improvisations vocales..

Trois ou quatre trains de marchandises sont passés, des trains louches pour au moins deux d'entre eux, wagons blindés tous identiques, sans marque de société, les trains atomiques ne doivent pas toujours être annoncés, en plus, je suis en train de prendre plein de radiations atomiques, pense Doofie. Ces  tains presque fantômes passent à vive allure.

Doofie a été élevée avec les trains.. les trains à vapeur qui passaient dans le fond de son jardin.... quand elle était petite; Celui qui, à trois heures du matin, l'avait réveillée, en lui faisant si peur. Jusqu'à l'âge de sept ans, elle et son frère dormaient dans la chambre derrière. Après, ils ont changé de chambre avec leurs parents, en même temps qu'ils ont changé de médecin, je pense que c'est à cause de la cheminée du feu continu qui traversait la chambre devant, ele était plus chaude et ils étaient moins enrhumés, car petits, ils avaient dormi dans une chambre sans chauffage. C'était dans les années 50. Quand on était malade on dormait dans le salon près du feu continu, et Doofie a un souvenir agréable de ces journées passées allongées sous une couverture avec les serviettes éponge sur l'oreiller en cas de catastrophe venant de la bouche, et du goût des badigonnages de la gorge, meilleurs que certains autres médicaments au goût atroce.

Bon, les trains à vapeur passaient derrière la chambre de derrière avec leur panache de fumée polluante mais on ne savait pas que ça polluait), et leur bruit parfois infernal surtout le bruit des bièles quand ils passaient lentement; dans les toilettes dans la cour, se cachait "Petit loup" qui était sensé défendre Doofie des grands loups qui étaient dans les locomotives et dans les trains de machandises... "Petit loup", bien sûr était tout à fait imaginaire. Doofie animait dans son imagiantion d'enfant les objets : Dans la chambre devant, c'était la lampe du plafond, le lustre qui avait acquis une vie propre et était tantôt amical, tantôt menacçant. Ce lustre prenait vie lorqu'on éteignait la lumière... dans la demi-ombre des lampadaires de la rue.

Les trains passent ce soir, soit pleins et lours comme ces lourds trains de marchandise aux wagons tous identiques au contenu mystérieux et peut-être dangereux, ou les trains de voyageur, fantômes;, sans  leurs lumières le dernier train a fait comme le premier : le panneau bleu devient soudainement rouge et c'est écrit "Supprimé"; un monsieur qui travaille à la carrière et ne prend plus sa voiture depuis quelques temps, peste. Comment va-t-il farie maintenant, il habite à bien 90 km de train ligne directe), et revient demain pour travailler. Il dit qu'il va retourner sur son lieur de travail s'abriter dans le local, mais s'il dort mal il ne pourra pas travailler demain, et tant pis, il perdra sa journée! A cause des trains...

Un autre monsieur vient d'arriver, car le train supprimé a été cette fois affiché 10 mn avant l'heure de départ. Quoi? Supprimé? Et moi qui sort de ma journée de travail, s'exclame le monsieur! Pas content non plus. Il n'avait même pas de message sur son portable pour le prévenir.

L'heure du train est passé, dernier espoir perdu. Schnelly téléphone a plusieurs taxis, le réponse est toujours la même : "Taxi réquisitionné par la SNCF", finalement l'une de leurs compagnies habtuelles leur annonce qu'un collègue va conduire quelqu'un au bout de la ligne et revient vers 11 heures et demi. C'est la seule possibilité.

QUand il passe, ils est dans l'autre sens, et comme il fait froid, il les prend quand même, dans les deux sens... Doofie est compressée  à l'arrière gauche ... Ils sont 4 passagers, en plus de Schnelly et du chauffeur, il y a deux hommes... l'un d'eux sent le vin, ça sent l'homme et le vin.; un peu écoeurant. On fait le parcours jusqu'au bout de la ligne, le chauffeur connait la route moins bien que Doofie. Doofie regarde le ciel qui s'est dégagé, la lune brille fort, au Sud,mais l'horizon nord est tout aussi éclairé par une lueur blanche dont on ne peut distinguer la source, une aurore boréale lointaine.. Rien de bizarre dans le ciel, aujourd'hui! Doofie regarde les étoiles... le cel clair, les contours des arbres, le ciel devient plus sombre dans le département voisin et la région voisine, moins peuplé. L'homme qui sentait le vin descend. L'autre homme reste jusq'au terminus. ça ne sent plus le vin et l'homme; Il descend aussi. On est sur la chemin du retour, Doofie aura bien fait 80 km gratuitement en plus des 15 km payants du parcours officiel qui coûteront 30 €. Sur le chemin, le taxi prend un jeune homme qui insitse pour être pris, il était à pied sur la bord de la route; il est déposé en pleine campagne à seulement 800 mètres de chez lui... 20 €, jeune homme. Lui, ce jeune homme sentait le tabac. Doofie déteste cette odeur là. "Si, si, je vais payer, monsieur, dit le jeune homme qui s'installe devant, tandis que Doofie et  Schnelly  prennet leurs aises derrièrre. Et le jeune homme  paie, 20 €.

Schnelly et Doofie sont seuls sur le retour. Doofie regarde les étoiles. En passant devant la gare où ils auraient dû prendre le train, le conducteur remet son compteur à zéro et il comence à tourner pour Schnelly et Doofie.  Elle regarde les contours du paysage, qu'elle ne peut pas observer d'habitude. Cherche les sources de lumière trompeuses.

Bon, Schnelly et Doofie, sont  reconduits à leur gare de départ, ils n'ont pas de prise en charge SNCF comme les deux premiers passagers. Schnelly  paie 30 € à la descente. Pour eux deux.

Quelle soirée!!!

Pour Doofie et Schnelly

domino

mercredi, 07 septembre 2011

Usage professionnel!

Roman-théâtre

 

Schnelly et Doofie habitent dans une cité résidentielle, où, selon le sens très élargi qu'en a Schnelly, on ne peut utiliser les maisons dans un but professionnel, ni avoir une partie de la maison à usage professionnel.

Rappelons, pour le néophyte qui prend ce roman en cours de route, que Schnelly et Doofie sont un couple de professeurs travaillant dans l'éducation nationale!!!

Alors, Doofie s'est étonnée, que Schnelly commence à encombrer les tables et les bureaux, en objets en tout genre, qui vont des médicaments, aux ustensiles de cuisine, en passant par les livres de loisirs, de façon à ce que Doofie, n'ait plus un seul endroit pour travailler, sauf son petit coin ou son portable est posé. Si bien qu'elle ne peut plus travailler que sur ordianteur et ne peut plus écrire à la main.

Même l'endroit pour poser l'assiette, s'est réduit à la place d'une assiette pour Doofie ou un bol, Schnelly mange debout.

Les livres professionnels de Doofie, c'est à dire les livres d'allemand disparaissent souvent, cachés sous d'autres livres, pour qu'on voit bien que dans cette maison, on ne fait pas d'usage professionnel!

Bon, Schnelly et Doofie n'ont jamais donné de cours dans leur maions, mais de là à interdire aux profs de corriger leurs copies chez eux, il n'y a qu'un pas. Hier soir, Schnelly voulait laisser le cartable de Doofie au garage pour qu'elle ne l'utilise pas dans la maison.

En fait, Doofie se dit que Schnelly travaille peu, alors qu'il a ses horaires depuis juillet, il n'a pas préparé de cours pendant les vacances, manger, faire à manger, faire la vaisselle, faire les courses et dormir, s'allonger dans la journée, voici tout ce qu'a fait Schnelly pendant les vacances, alors que Doofie s'activait à son ordinateur, le seul endroit où elle a encore de la place pour écirre!!

Ah la la, ils ont bien fait de dire qu'on ne pouvait pas utiliser les maisons pour un usage professionnel, même si on en est proprétaire! Schnelly les a pris au mot!

Alors, Doofie est bien embêtée, elle passe son temps à désencombrer tables et bureaux qui sont réemcombrés aussitôt.

Pour Doofie et Schnelly

 

domino

(ce que font Doofie et Schnelly n'engage qu'eux-mêmes et pas domino, leur auteure, créatrice de leurs jours).

 

 

 

dimanche, 24 octobre 2010

Cherche et tu trouveras...

(suite de mon roman-théâtre)

Dummie, Foolie et Sottie qui habitent dans le même quartier sont en train de se téléphoner l'une à l'autre:

Dummie : Doofie vient de me téléphoner, elle  a encore des problèmes. Vendredi soir, elle s'était fait un cahier - ou plutôt elle avait repris un ancien cahier "d'organisation" pour le compléter. Dedans Doofie écrit tout ce qu'elle doit faire dans plusieurs domaines en colonne, d'aboird une colonne pour les différents domaines d'activité, musique, langues vivantes, allemand, ménage, pièces à ranger, informatique lire ses mails, blogs, etc..)... et sur les autres pages elle reprend chacun des domaines en détail et écrit tout ce qu'elle doit faire dans tel ou tel domaine, en le structurant et en prévoyant le nombre d'heure ou de quart d'heure ou de demi-heure qu'elle va consacrer à chaque activité... Elle avait écrit combien de temps elle devait passer chaque jour pour ranger ses boîtes d'e-mails, classer les courriers, faire ses blogs, etc pour ne y passer trop de temps et ne pas tomber dans la cyber-dépendance )...

Foolie : C'est une très bonne initiative..

Sottie : Oui, moi, je fais exactement la même chose...

Dummie :  Mais voilà le hic, Doofie avait passé une ou deux heures pour faire ainsi le planning de ses vacances et puis voilà : tout ce travail préparatoire a disparu...

Foolie : Encore!!!! C'est sûrment Schnelly.

Dummie : Doofie n'a rien dit à Schnelly, parce si elle dit quelque chose, il va dire "Ce n'est pas moi qui l'ai pris" et une demi-heure plus tard il va dire (après avoir été à la cave et avoir apparemment téléphoné à quelqu'un) : Tu a vu, il est là devant ton nez... en montrant un endroit où Doofie a déjà regardé vingt fois... Alors Doofie dit qu'il le fait exprès pour faire croire qu'elle ne sait pas ce qu'elle fait, pour la faire enrager, etc...

Sottie : Peut-être que Schnelly a une autre amie, et qu'il veut divorcer aux torts de sa femme...

Dummie : Cela m'étonnerait, il veut toujours l'aider, est toujours derrière elle...

Foolie : Ou à 10 mètres devant elle quand il marchent dans la rue, dans une gare, dans les couloirs du métro...

Sottie : Il court pour acheter les tickets de métro..

Dummie : Quand Doofie en a un carnet presque complet dans son sac..

Sottie : Il ne veut peut-être pas divorcer, ce n'est peut-être pas lui... C'est peut-être quelqu'un qui a un passe pour rentrer dans la maison, ou a pris les clefs un instant et en a fait faire des doubles...

Dummie : Schnelly jure ses grands dieux qu'il n'a jamais donné les clefs aux voisins depuis qu'ils ont changé les serrures en 2005, Dummie avait changé les serrures parce que les fils de connection de son ordinateur disparaissaient tour à tour!

Sottie : Et réapparatissient sous une autre couleur, un câble d'imprimante gris est devenu bleu en l'espace de deux jours, un cable d'adaptateur ou de transformateur pour le courant du portable s'est affiné... En fait, Schnelly rachetait les affaires qui disparaissaient.

Foolie : Ce n'est pas vraiment sûr. Schnelly sait peut-êre qui est le voleur et il a peut-être peur de lui..

Dummie : Peut-être qu'on a demandé un exemplaire de l'écriture de Doofie pour reconnaître ses copies à l'agrégation et lui mettre des mauvaises notes...

Sottie : Vu ce qu'on lui a fait au niveau du Master 2, c'est fort possible...

Foolie : Ou changer sa copie avec celle d'un étudiant moins bon que l'on veut favoriser, avec les étiquettes auto-collantes, c'est facile de  les décoller et de les recoller...

Dummie : Ce sont peut-être des étudiants eux-mêmes qui vont changer les étiquetes auto-collantes dans les bureaux des professeurs qui corrigent, puisque ceux-ci ont l'imprudence de dire à leurs étudiants qu'il corrigent le CAPES ou l'agrégation.

Sottie : Doofieie avait de meilleures notes quand elle n'était pas connue et n'allait pas à l'université!

Foolie : Certains pensent peut-être cela, mais ce n'est peut-être pas vrai. N'accusons-pas les professeurs et les étudiants de ce qu'ils ne font pas...

Dummie : Peut-être que Doofie a écrit son nom sur le cahier et que des jeunes du quartier se servent de ses affaires pour faire passer des choses illicites et faire croire que c'est elle qui fait cela, alors que Doofie est foncièrement contre toutes les toxicomanies, qu'elle est non fumeuse et ne boit jamais d'alccol.

Sottie : Nous aussi d'ailleurs, nous sommes contre l'alccol, le tabac et le reste qu'on n'oserait nommer!

Foolie : Ou alors on laisse des affaires de Doofie sur le lieu d'un crime, peut-être cet homme a moustache qui avait ouvert sa porte un jour et a dit "Excusez-moi, je me suis trompé de maison!"

Sottie : Comme si on se trompe de maison, même si elles sont toutes pareilles dans son quartier, il aurait quand même dû voir que le jardinet n'avait pas les mêmes fleurs que chez lui..

Dummie : Si c'était un assassin, pourquoi il n'a pas tué Doofie puiqu'elle était là devant lui?

Foolie : Elle n'était peut-être pas son archétype de femme à tuer. Il paraît que les tueurs qui tuent des femmes en série tuent toujours le même genre de femme, une femme généralement qui ressemble à une femme qui les a quitté et qu'ils aimaient, par exemple, une brune avec les cheveux au carré..

Sottie : Comme la petite pixie... Mais où elle est passée celle-là... Pourvu qu'elle n'ait pas été assassinée...

Dummie : Ne parle pas de malheur, je suis sûre qu'Eliot la protège...

Foolie : C'est vrai qu'on est triste sans elle, et Doofie encore plus que nous..

Sottie : Oui, d'ailleurs depuis qu'elle n'est plus là, les avions ont eu pas mal de problèmes avec les volcans...

Dummie : C'est vrai cela, il n'y a qu'elle qui puisse bien faire marcher l'aviation, il faut qu'elle revienne...

Foolie : Ou alors une blonde à longs cheveux..

Dummie : Doofie est châtain doré...  elle a de la chance, elle ne correspondait pas au type de l'homme à moustache...

Sottie : Il avait une camionette Speedy..

Foolie : Speedy, comme le prénom de ton mari... ça alors...!!!

Dummie : Tant que ce n'était pas une camionette Quicky comme le prénom de mon mari...

Sottie : Il n'était pas à mobylette?

Dummie : Non, ça c'était un autre qui venait à chaque fois que Doofie branchait son modem et son ordinateur...

Foolie : Pour se servir de son Wi-Fi, il devait recevoir le signal lointain chez lui..

Sottie : Il avait le code...

Foolie : Il l'a peut-être volé, car Doofie ne l'a jamais trouvé, elle est toujours connectée par câble, chez elle...

Sottie : Mais on en revient à notre cahier. Qu'a fait Doofie?

Foolie : Elle a refait son planning de travail sur un autre cahier, mais elle n'avait plus d'aussi bonnes idées... et elle a cherché pendant trois heures ce matin après le cahier original... toujours aux mêmes endroits puisqu'elle étaient allées à deux endroits seulement avec ce cahier, dans l'entrée près de l'ordinateur et sur la table de la salle de séjour où elle était sensée l'avoir laissé. Elle a regardé aussi s'il n'était pas dans les affaiers qu'elle a monté hier, feuille par feuille, cahire par cahier, à l'intérieur des livres tout : pas de cahier....

Dummie : Alors, je ne sais pas... Doofie ne s'est pas énervée...;

Foolie : Non, elle sentait l'énervement monter en elle, mais elle a décidé de ne plus chercher le cahier et de faire son blog pour se calmer...

Sottie : Et ça marche...

Dummie : Oui, elle vient de m'envoyer un mail que j'ai regardé en téléphonant, elle a presque fini son blillet d'humeur, ça l'a calmée...

Sottie : PEut-être le cahier reviendra-t-il de lui même, dans sa boîte aux lettres par exemple et c'est Schnelly qui le trouvera et le mettra dans l'un des deux ou trois lieux où elle a regardé cent fois...

Dummie : C'est possible...

Foolie : Il fait froid aujourd'hui... et gris.....

Dummie : Oui...

(la conversation sur le temps qu'il fait se fait entendre de moins en moins fort, puis le rideau tombe... fin de scène...)

domino