dimanche, 04 janvier 2009
Bonne année, bonne santé
Voilà, je suis un peu en retard, mais je viens enfin vous souhaiter une bonne année à tous, et une bonne santé.
Et comme on disait quand j'étais petite :
"Bonne année, bonne santé,
du bonheur pour toute l'année!"
Allez, à +
domino
___________
Meilleurs voeux!
Eliot, la petite pixie et la soeur de la petite pixie.
15:03 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 13 décembre 2008
Toujours râler...
Il est 6h 40 du matin, un samedi matin Mon mari est tout le temps en train de râler sur moi, parce que je ne vais pas assez vite. Il crie toujours sur moi. Et pourtant, il n'a rien à faire ce matin. C'est moi qui aie beaucoup de choses à faire. C'est vraiment râler pour râler, pour me mettre de mauvaise humeur dès le matin, pour me mettre dans de mauvaises conditions pour ce que je dois faire.
En plus, il touche à mes affaires, mélangeant des feuilles précieuses pour moi, heureusement que j'ai vu qu'ils les avaien changées de tas, sinon j'aurais cherché pendant des heures après elles, demain.
Et en plus, il soupire tout le temps.
dominique
06:47 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vie quotidienne, vie conjugale
lundi, 08 décembre 2008
Bonjour
Si je n'écris pas beaucoup en ce moment, c'est que j'ai beaucoup de travail. Alors ne vous inquiétez pas pour moi.
domino
19:03 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : travail quotidien
vendredi, 14 novembre 2008
Rêve
Cette nuit j'ai fait un drôle de rêve.
C'est bizarre, car pendant toute une période, j'étias incapable de me souvenir de mes rêves. Cependant je remarque qu'en ce moment, je me souviens de mes rêves mieux qu'avant. Mais leur souvenir s'estompe vite. En effet, j'avais plus de détails de ce rêve à l'esprit quand je me suis réveillée. Si je vous raconte ce rêve, c'est que je le trouve amusant.
J'ai rêvé de ceci :
J'étais dans une salle en cercle avec des gens qui chantaient. Une porte-fenêttre derrière moi donnait sur un parc. Les pesonnes se levaient chacune leur tour et chantaient une chanson. Soudain la fille qui était à coté de moi, s'est levée et à chanté une chanson de Moustaki avec une superbe voisx c'était à peu près le Métèque mais dont les paroles étaient quelques peu transformées par mon rêve, mais sonnaient bien. La personne faisait des pauses entre les phrases comme dans les chansons anglaises ou américaines récentes. Des intermèdes de guitare résonnaient entre les phrases, mais personne ne jouait de la guitare.
Malheureusement, je ne me souviens plus des paroles inventées par mon rêve, mais ça sonnait très bien.
Au bout de deux couplets la personne s'est arrêtée de chanter, sans doute sujette à un trou dé mémoire, ou alors parce que je voulais la faire taire, parce que personne ne me demandait de chanter.
Alors j'ai profité de la pause pour continuer, et je me suis mise à chanter de ma plus belle voix :
"Les lou-oups, les loups, les loups,, sont entrés dans Paris..." de Serge Reggiani.
Je dois dire que ça sonnait très bien, mais tout le monde est parti.
Je me suis retrouvée dans une autre piièce, face à une table ou des disques étaient rangées dans une caisse.
Un homme, relativement jeune, m'a dit :
"Tu devrais chanter du Trénet".
Alors, j'ai répondu :
"Oui, je connais celle-là."
J'ai sorti d'une des caisses un disque de Trénet, je luis ai montré le disque parce que la chanson se trouvait dessus et j'ai chanté une chanson tout à fait inventée par moi sur le moment, paroles et muisque. Mais tout à fait dans le style de Trénet. (Malheureusement le réveil a effacé les paroles très bien rimées et la musique de mon esprit).
Alors, nous sommes sottis de la pièce (je ne sais plus ce qui s'était passé dans l'intervalle, cale a été effacé par le réveil), puis nous sommes retournés dans la pièc, et le jeune homme était toujours là. Je lui ai demandé, si ces paroles de Trénet convenaient vraiment pour le groupe d'enfants que je devais faire chanter, car on y parlait des femmes comme dans Amterdam de Jaques Brel (je dois dire que les paroles que je chantais maintenant, n'avaient plus rien à voir avec la chanson précédente dans le style de Trénet, c'était des paroles du style de Jaques Brel (mais encore inventées par moi), sur une musique de style Trénet. Le réveil a effacé ces paroles là aussi.
Puis, nous sommes sortis de cette pièce et sommes entrés dans une autre, il y avait une grande table de bois, style grande planche mise sur des trétaux, je me suis assise à la table à coté d'un homme jeune encore, qui était professeur de musique. De l'autre coté de lui était assis un autre homme habillé BCBG, d'environ 40 ans. En face il y avait trois autres personnes qui étaient aussi élèves de ce prof. Tout le monde était assis à cette table avec des papiers devant lui. Et de la musique devant lui.
Moi, aussi, j'avais de la musique devant moi, mais les papiers n'étaient pas toujours là, et vous allez voir qu'ils vont disparaître à un moment critique.
Le prof de musique qui était soit l'un de mes anciens collègues de musique, soit mon dernier prof de gutiare, paraissait calme extérieurement, mais on sentait qu'il était énervé.
Cette fois-ci, j'avais une guitare sur les genoux.
Il m'a dit :
'Allez, Dominique, vas-y, chante la chanson!"
Je ne m'en souvenais plus.
Je demandais au prof :
"Qui est l'homme assis là-bas?"
"C'est l'inspecteur", m'a-t-il répondu, "l'inspecteur de musique".
"Ah..."
Alors, je me suis mise à perdre complètment le fil de ce que je devais jouer. J'étais vraiment très inquiète. Je devais jouer et chanter cette chanson pour que mon prof ait une vonne note, et je n'y arrivai pas. Mes partitions avaient même disparu du dessus de la table.
Alors, j'ai pris une décision soudaine, je vais improviser.
J'ai joué quelques accords, avec mon pouce.
"C'est pas çà", m'a interrompue le prof.
J'ai regardé l'inspecteur, qui impertubablement, regardait les papiers qu'il avait devant lui, le stylo à la main, et j'ai regardé mon prof en fronçant les sourcils :
"Je vais jouer cela, je ne me souviens plus que de ça".
"Mais..."
"Si, si.."
Alors je rejouais les mêmes trois accords, puis un pett morceau de gutiare, je ne sais pas dans le style de qui, c'était assez simple et ça sonnait un peu comme une chanson, mais je ne chantais pas...
Je jetais un coup d'oeuil à l'inspecteur, qui restait imperturbable, mais avait l'air satisfait (Ouf, pour mon prof!), et je me suis réveillée....
En me demandant vraiment pourquoi j'avais fait ce rêve... Est-ce que je vais apprendre que mon ancien collègue de musique a été inspecté? Mystère....
Physiquement, ce prof qui ne ressemblait à aucun prof que j'ai eu, semblait avoir de temps en temps le nom de mon ancien collègue de muisque, de temps en temps le nom de mon dernier prof de gutiare.
Les lieux avaient des caractéristiques de lieux que j'ai connu :
- Les personnes en rond dans une pièce dans laquelle j'avais une porte-fenêtre dans le dos, cela correspond à un endroit où j'ai fait un stage de guitare dans un châeau, et où tous les débuts de l'après-midi, nous pouvions aller à la chorale, et où les personnes qui chantaient étaient disposées en rond.
- Les disques dans des boîtes en bois, c'est ainsi qu'étaient disposés les disques lors des cours de danse folk.
- Quand à la grande table sur trétaux qui était dans une tente ouverte sur mon coté droit, cela doit correspondre à des kermesses ou des repas d'associations ou de fêtes auxquels je suis allée.
domino
12:01 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rêve, onirisme, onirique, rêves, nuit, sommeil paradoxal
mardi, 23 septembre 2008
Nouvellles disparitions...
Je voulais faire du rangement et des rangements, et classer des papiers chez moi, mais c'est impossible...
J'avais acheté 2 fois 500 feuillets transparents récemment, et je ne m'en suis pas servi depuis : disparus.
J'avais acheté de jolis classeurs avec des couvertures fleuries, je ne m'en suis pas servie depuis : disparues.
Vous n'allez pas dire que c'est mon mari qui se sert de pochettes fleuries : je n'en ai jamais vu dans ses affaires. Il prend toujours des pochettes en carton à élastiques, qu'il entoure de sachets en plastique, pour les protéger au cas où son sac percerait à cause d'une averse trop forte (mais ça fait un bruit monstre quand il les déballe).
J'avais acheté des plus gros classeurs avec des aneaux et des couvertures unies de couleur vive en choisissant des couleurs différentes pour les reconnaître : disparus.
Mon mari ne se sert jamais de classeurs à anneaux, parce que c'est trop fastidieux de les ouvrir, alors je me demande, dans la mesure où personne n'est venu à la maison depuis, dans la mesuire où plus personne ne vient à la maison parce qu'il y a tellement d'objets qui disparaissent que je ne veux pas accuser mes invités, alors plus personne ne vient.
Quand nous avions beaucoup d'invités, jamais rien ne disparaissait.
L'année dernière j'étais toujours à la recherche de stylos, dès que j'avais déballé un paquet de stylo de couleurs dont mon mari ne se sert pas, pour être sûr qu'il ne les prenne pas, mes stylos violets et turquoise disparaissaient.
Les crayons gris aussi : plus moyen d'annoter une partition, à chaque fois que je cherche un crayon là où j'avais déballé une pochette de dix, il en reste un seul à la mine problématique qui se casse tout le temps et déjà bien entamée.
On dirait que quelqu'un veut m'empêcher de ranger, de classer, et de me faire des espaces de travail corrects.
Peut-être pour entretenir le flou dans la maison, parce que c'est plus facile de faire disparaître des affaires quand c'est mal rangé, on ne voit pas le trou laissé libre dans le rayonnage.
domino
13:12 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : disparitions, matériel, rangements, maison, classements, vie quotidienne
vendredi, 19 septembre 2008
Pas de télé, le web est lésé...
Faisant un tour sur le web durrant la semaine, je me suis rendue compte que la Star Ac allait commencer ce week-end.
Alors je me suis dit, cela va être comme les autres années, je pourrais voir la Star Ac en vidéos, légèrement différées par rapport à la télé, d'environ 20 minutes.
Et bien non : les vidéos ne seront pas diffusées avant la fin de l'émission de télé. Et en plus, ils nous cachent même les sacro-saints prénoms dee candidats qui ne sont pas encore révélés sur le site web, alors que l'émission est commencée... depuis bien une heure.
Alors je proteste, si on n'a pas de télé on pourrait au moins être informé du nom des candidats.
Vous êtes étonnés que je regarde la star ac, et oui, c'est comme çà!
domino
23:48 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : star ac, télévision, musique