Mots d'enfants : les saints

Du journal de Dummie

Un journal féminin, interveiwt toutes les semaines des enfants pour savoir ce qu'ils savent d'un sujet. C'est d'ailleurs très instructif et utile pour parents et professeurs de connaître l'étendu du savoir ou de l'ignorace de leurs enfants.

Parmi les mots d'enfants recueilli cette semaine retenons celui de Sybille, 11 ans, qui a de quoi faire sourire, bien qu'elle a une grande connaissance de la question, car elle connait le mot "canoniser".

"Pour devenir un saint, il faut être mort et se faire canoniser", dit-elle.

Ah bon, donc une fois qu'on est mort, avant de passer la porte du paradis, on remplit un papier "Candidatuer à la canonisation" et après on peut voir si notre candidature est acceptée ou pas, si on nous ouvre la porte du paradis!

Ceux qui ont le moins de connaissance sur les saints, sont souvent les enfants d'origine étrangère, ils connaissent par exemple la Saint-Valentin, la Saint-Nicolas, ou bien le nom d'une école ou d'un hôpital (l'hôpital St Louis) ou savent que c'est un jour où l'on a sa fête et où l'on vous offre des friandises. (Je pense que  c'est dans l'Est où comme en Allemagne, les fêtes des prénoms sont fêtées).

Les noms de villes (Saint-Ouen, Saint-Denis Saint-Omer...) les noms d'écoles ou de rues ou d'hôpitaux, ou d'églises,  (rue Saint-Jaques, église Saint-Paul, voilà ce que généralement les enfants connaissent des saints. Certains savent qu'un saint, c'est quelqu'un qui a fait quelque chose de bien pour les autres, mais leurs connaissaces sur les saints sont puériles (c'est normal) et plutôt naïves.

Bon, et nous que disions-nous de la question quand on était pett, je crois que je répondais "Un saint, c'est quelqu'un qui est au ciel". Et si on me demandait ce qu'il fallait faire pour en devenir un, je répondais qu'il fallait faire le bien, et ne pas faire de  pêchés. Et qu'il fallait être sage

Doofie a dit a Schnelly qu'il n'ira pas au ciel, parce qu'il est trop méchant. Pour le prendre avec ses propres arguments.

Dummie

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Pour Dummie,

domio

 

 

 

L'ange gardien de Dummie...

Roman-théâtre

Dummie (pense) : Tiens... Doofie a écrit que je n'avais pas d'enfants, mais elle oublie ma petite fille, qui est la copine de sa petite fille à l'université... Ma petite fille est une excellenet musicienne, elle pourrait être mon légataire universel... mas réfléchissons encore, je ne souhaite pas mourir demain, alors je ne fais pas mon testament maintenant...

(Une petite voix dans la tête de Dummie, celle de son ange gardien... mais en attendant, c'est ton mari Quicky qui est héritier et ta belle-famille s'il meurt après toi...)

Dummie dans sa tête répond a son ange gardien "Alors, protège-moi, que j'ai encore le temps de réfléchir..."

(Voir note précédente)

Tiens, j'ai pensé à quelque chose... Mon ange gardien est invisible.. Les affaires qui changent de place dans la maison...

(Ce n'est pas moi, rétorque l'ange gardien...)

Alors qui est-ce? se dit Dummie... peut-être l'ange gardien de Quicky, il est peut-etre méchant avec moi l'ange gardien de Quicky, c'est normal qu'il défende Quicky, pourvu qu'il ne se batte pas contre mon ange garden, l'ange gardien de Quicky est peut-être un ange déchu...

(On ne se dispute jamais entre ange, rétorque l'ange gardien de Dummie dans sa tête, l'ange gardien de Quicky fait au contraire en sorte qu'il ne fasse pas trop de bêtises et qu'il ne change pas trop d'affaires de place, c'est le contraire tu vois Dummie).

Il y a aussi des intrus qui par parfois changent les affaires de place... Aussi dans les ordinateurs... se dit Dummie...

L'ange gardien de Dummie a mis la loi sur la violation de domicile devant le nez de Dummie..

Tiens, justement, c'est intéressant, se dt Dummie, on ne peut pas pénétrer dans le domicile, la voiture   ou la voiture d'autrui sans sa permission.

Dans le cas où deux personnes sont domiciliées dans la même maison ou le même appartement, il faut l'accord des deux personnes. souvent un mari ou une épouse donne l'autorisation à sa femme ou à son mari de recevoir son mari ou son épouse en son absence, mais dans ce cas, que dire si en rentrant l'époquse constate des dégradations ou des détérorations ou que certains documents ont disparu? Ce qui m'est déjà arrivé ici au niveau de la disparition ou de la transformation de documents, par exemple une appréciation de professeur sur une copie et un paragraphe d'un rapport d'inspection ont été transformés il y quelques années. C'est la raison pour laquelle nous vivons pratiquement barricadés quand nous sommes à la maison. Sur le rapport d'inspection d'il y a 20 ans,  avait disparu la phrase "Madame Dummie est un professeur souriant et proche de ses élèves" et sur la copie la phrase "Vous avez une pensée très riche, à l'image de votre langue allemande.." ou quelque chose de ce genre et il n'y avait plus que la restriction disant qu'elle devait se méfier de ses phrases alambiquées.

Il parait que même la police n'a pas le droit de rentrer chez les gens. Et les propriétaires d'un appartement? De toute façon, Quicky et moi nous sommes proprétaires depuis belle lurette. Il y a plus de 20 ans, quand on était en location dans un HLM, il y avait régulièremen des ouvriers qui venaient par exemple pour regarder létat du plafond et faire des réparations (pas très efficaces) sur le toit en terrasse... ou ils venaient mettre des produits au pied des murs pour chasser des bestioles éventuelles. Pacce qu'ils en avaient répéré dans un autre appartement.

Il y avait aussi un étudiant de l'université qui m'avait demandé mon adresse pour m'envoyer les cours auxquels je ne pouvais pas assister, il a  tellement insisté que j'ai fini par lui donner. Premièrement, il ne s'en est jamais servi pour envoyer des cours, deuxièmemet, jai constaté dans les mois qui suivirent des disparitions de cours de fac chez moi. Il manquait toujours ceux dont  j'allais avoir besoin. Idem pour mes affares de classe. Cette année, j'ai consaté encore une diminution du nombre d'exemplaires de mes polycopiés quand je les mettais à l'avance sur le bureau, ce qui fait que je n'avais plus assez d'exemplaires au moment de les distribuer. Et parfois, il y avait un autre tas en double de ce que j'avais fait comme polycopiés. Il y a eu la même chose pour mon cours du samedi pas assez d'exemplaires d'un polycopié et deux fois trop de l'autre. Et cela ne vient pas de la reprographie puisque je le fais moi-même.

Il y a des bizarrerie sur mon ordinateur, deux fois que des prises se débranchent légèrement, alors qu'elles sont normales d'habiture, si bien que ça a fait pip, plus de courant, alors que je croyais que l'ordinateur était branché, à l'instant ça revient de faire pip sans raison aucune, l'ordinateur étant rebranché.

Ange gardien se dit Dummie dont nous venons de suivre les méandres de la pensée, c'est toi qui débranche légèrement les prises de courant...

(Non, a dit l'ange, je ne me le permettrais pas. Cela doit être l'ange déchu de quequ'un de nocif qui passe par là...)

Quelqu'un de nocif::??,se dit Dummie dans sa tête...

(Non, pas Quicky, regarde, ça s'est réparé quand il est passé, peut-être quelqu'un d'autre qui vient errer jusqu'ici. )

Un ange déchu qui fait une violation de domicile, se dit Dummie, en fait seuls deux anges on le droit dêtre ici, le mien et celui de Quicky.

(Et celui de domino, l'auteure de tes jours... ajoute l'ange gardien de Dummie..)

Ah oui... il n'est pas déchu celui-là...

(Pas du tout, c'est un bon ange,mais il était plus efficace dans sa jeunesse, quand elle réussissait tous ses examens...)

Ah... se dit Dummie, ce n'est pas comme l'ange de nos petites filles, elles ont eu leur agrégation d'allemand  à 17 an, mais mantenant, elles font un deuxième cursus et le râtent en partie.. Si l'ange de domino était encore efficace, elle aurait réussi son agrégation depuis longtemps. Peut-être qu'il vieillit...

(L'ange de Dummie intervient : un ange ne vieillit pas..; les anges sont immortels.)

Alors, pourquoi l'ange de domino n'est plus efficace se dit Dummie, il est peut-être dépassé par le progrès par l'informatique...

(C'est vrai que nous avons du l'apprendre aussi, mais maintenant, nous connaissons l'informatique mieux que les humains..)

Ah: Ils sont forts ces anges, se dit Dummie, quand j'étais jeune et que je montais la longue rue qui allait de la gare vers mon quartier, le long des usines, je sentais toujours la main de mon ange sur mon épaule, il me protégeait des bandits qui remontaient la rue dans leur voiture et parfois le père ou la mère de ma meilleure amie, qui travaillaient dans l'une de sces usines, ou plutôt dans deux de ces usines,  arrêtait sa voiture à ma hauteur et me reconduisait chez moi; comme mon ange était alors efficace!

Bon, laissons-là Dummie à ses pensées...

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domino

Doofie retrouve ses affaires (séparées en trois sachets)...

Roman-théâtre "Les aventures de Dummie (suite)"

Ouf! Doofie, la meilleure amie de Dummie,  (voir note précédente) a retrouvé ses deux Merian, ses deux Merian sur l'Allemagne du Nord, qu'elle avait achetés à Munich fin juillet. Avec l'intention d'aller visiter la côte allemande et la côte polonaise de la Mer Baltique (Ostsee), en août, chose qu'elle n'a pas faite.  elle est allée au camping avec ses amies, d'où l'on voit la mer qui scintille, là-bas, au loin, entre les collines. Pays de rêve, pendant que domino, l'auteure de ses jours, restait à la maison.

Tout ce qu'elle connait de la Ostsee, c'est Schwerin, Bad Doberan, Kühlungsborn, Warnemünde et Rostock, du temps de la RDA. En fait, elle avait refait le voyage de Dieter et de Mücke dans le tome III de Die Deutschen de Martin et Zehnacker, livres avec lesquels elle avait commencé à enseigner (mais là non plus, elle ne les trouve plus, ils ont disparu depuis longtemps de l'armoire où elle les avait mis. Elle avait la première édition. ). C'est à Bad Doberan, où avait été stationnée la mère de Schnelly pendant la guerre, qui, au travail obligatoire, était controleuse de trains, que ce dernier, de la cathédrale en gothique de briques rouges (Backsteingothik du Nord de l'Allemagne), les avait conduit à la grand-place, et nous avait même indiqué l'endroit où l'on pouvait acheter des cartes postales, sans qu'il ne connaisse le moins du monde la ville. Sa mère avait été là-bas trois ans avant sa naissance.Il  a même dit qu'il était déjà venu là et après, il a dit, qu'il n'y était jamais allée, et il ne comprenait pas lui-même pourquoi il avait l'air de connaître cette ville comme sa poche.

Kühlungsborn était une station balnéaire avec une petite falaise végétalisée, qui était non loin de la frontière inter-allemande. Pas loin de Travemünde et de Lübeck à vol d'oiseau, mais à l'époque, c'était très loin... Il y avait le rideau de fer entre les deux. "Même nous de l'Ouest", m'a dit Doofie, "si on avait un visa de trois semaines, on ne pouvait pas rentrer entre deux à l'Ouest, sinon, on perdait le bénéfice de notre visa. Donc, en étant en vacances à l'Est, on ne pouvait pas faire d'incursion à l'Ouest avant notre retour, trois semaines ou un mois après le début du séjour. Comme mon mari parlait allemand, et moi aussi, on nous repérait pas comme étant de l'Ouest. Lui,un peu grâce à son accent de l'Ouest, et moi, un peu à mes vêtements, parce que j'avais un accent neutre. on ne savait pas dire de quelle région je venais."

On a dit un jour à Doofie, alors qu'elle était au bord d'unn lac du Meklemburg, qu'elle venait de la côte de la Baltique! (Doofie est française). Doofie et Schnelly auraient pu faire de bons espions.

Bon, bref, tout cela, c'est dans le fin fond des souvenirs de Doofie qui avait aux environs de trente ans à l'époque.

20, 30 ans après, on ne se souvient plus de tout. On s'en souvient mieux que de son enfance, mais il ne reste que les parties marquantes de la route, ...du voyage...  les souvenirs et les paysages sont déformés, surtout qu'à l'époque, Doofie avait un appareil de photos qui faisait des diapositives trop claires et que par conséquent, elle a gardé beaucoup moins de souvenirs matériels qu'à l'ère du numérique où 1000 photos tiennent facilement au creux de la main...

Quand Doofie écrira ses mémoires, ce sera chouette, je vous le dis..

Ceci ne dit pas comment Doofie a retrouvé ses deux Merian. Voilà normalement, sa grande grammaire/vocabulaire, ses livres de cours et ses deux Merian étaient dans un même sachet, mais Schnelly les a séparés en trois sachets. Ce matin de bonne heure, elle a retrouvé le livre de gramaire-vocabuaire qu'elle aurait dû avoir hier avec elle, dans un autre sachet, qu'elle n'avait pas sur elle hier,  mais elle ne s'en était pas rendu compte parce qu'elle n'en a pas eu besoin. Les deux revues étaient dans un troisième sachet, posé à plat en dessous de trois autres sachets posés à plat sur lui. Le plus bizarre étant que Schnelly a voulu chercher dans un sac posé à proximité, dans lequel Doofie venait d'avoir cherché en ayant conclu : C'est un sac rempli de choses hétéroclites. Rien de ce que vous pensez dans ce mot. En grec, la première partie du mot dignifie 'autre, différent". Son contraire homo en grec signifie le même comme dans homogène, homonyme etc... Et un homo sapiens? C'est différent, c'est du latin, cela veut dire un "homme savant (sage)".

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Si vous êtes sages en classe, vous deviendrez savants.

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Voilà, 4 heures 30 pour retrouver ses deux chères revues avec un article sur Haithabu. Haithabu était une ville fondée par les descendants des rois d'Upsala, cousins des Vikings après que Widukind, le duc de Saxe époux de Geva Eystiensdatter, qui descendait des rois d'Upsalla (proximité de Stockholm) et du Vestfold (proximité d'Oslo) soit devenu vassal de Charlemagne et ait fondé par sa femme le Duché de Wesphalie (Widukind était roi de Saxe et le premier Duc de Westphalie, région fondée longtemps après la Thuringe, qui fut fondée dans les premiers siècles après JC).

Bref, des descendants ou une branche des Vikings, alliés aux saxons,  avaient fondé cette ville à l'endroit du Schleswig Holstien où la distance entre les deux mers Ostsee (Baltique) et Nordsee était la plus courte, sur l'isthme. Un canal reliait les deux mers et était une route commerciale très empruntée par les Saxons et les Suédois, qui évitaient ainsi les sauvages danois qui étaient leurs énnemis et toutes sortes de pirates qui les détroussaient entre les îles danoises. Ce canal avait en quelque sorite été construit pour éviter les pirates qui sévissait dans le passage entre la Baltique et la Mer du Nord et aussi toutes sortes d'ennemis : les Estes, les Danois, plusieurs Rois de la Mer (peut-être les rois des pirates) et les Angles avec lesquels ils se sont unis ensuite.

Les Vikings ont toujours été alliés aux saxons. Mais en fait, les Vikings qui s'appelaient à l'origine du nom de leur principal ancêtre les Ingvi, rois d'Uppsala, puis  chassés d'Upssale, rois de Vestfold (région d'Oslo). Vi- signifiant dieu et ing, puis king, rois.

Il reste de Haithabu plusieurs murailles herbeuses. Aux alentours de Flensburg. Les habitatns de Haithabu sont les ancêtres de Doofie et Dummie... vous savez, c'est dans les fameux vieux grimoires de Doofie... mais Doofie et Dummie ne sont pas que du Nord, eles descendent aussi d'un grand philosophe catalan.. Et la grand-mère ou la mère de Ingvi s'appelait, La Nuit du Pont-Euxin, parce que de couleur sombre, elle venait de la Mer Noire. Elle vait apparemment des cheveux noirs et c'est pour cela qu'elle s'appelait "La Nuit".

Bon, je suis contente que Doofie ait retrouvé ses revues, c'est vrai que je l'ai un peu aidée avec ma pensée, car elle n'est qu'un personnage de théâtre.

Pour Doofie

domino

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Dummie : O ma Doofie, nous ne sommes que des personnages de théâtre, bouh... bouh...

Doofie : Non, je t'assure que nous sommes vivantes et Schnelly et Quicky aussi, regarde-les, s'ils n'ont pas l'air vivants... concole-toi ma Dummie, nous vivons... ne pleure pas..

Dummie : C'est vrai...? Tu crois vrament?

Doofie : Euh, (elle verse une larme...) Mais, je me sens vivante, Dummie, pas toi?

Dummie : Si Doofie, tu crois vraiment que c'est domino qui nous a faites...? Moi, je pense qu'on a notre vie quand même, tu sais... ne pleurons plus, nous sommes vivantes...

QI élevé = anormalité ?

Roman-théâtre

Bonjour,

je suis Dummie, personnage de roman-théâtre de domino. Aujourd'hui, je voudrais écrire sur ma copine Doofie* qui avec 232 de QI a l'un des QI les plus élevés du monde (moi, et mes copines Bêtie, Sottie, Foolie.... n'avons que 132, ce qui nous situe quand même dans les 1,6 ou 1,8 % supérieus de la population mondiale.

1,6 ou 1,8 % supérieurs de la population, cela veut dire que entre 1,5 et 2 personnes sur 100 ont un QI égal ou supérieur au nôtre, ce qui est quand même beaucoup.... tandis que Doofie, elle, a un QI supéireur à quasiment tout le monde, seul Lavoisier aurait été évaluté à 260, mais il n'y avait pas de test de QI à son époque.

Goethe, qui n'était pas seulement auteur classique de romans, de poèmes et de pièces de théâtre, mais aussi adminsitrateur ayant une fonction municipale, chercheur scientifique surtout en biologie (il a découvert l'os intermaxillaire) et était expert en botanique, et avait développé une théorie des couleurs  à la fois scientifique sur la formation des couleurs (mais erronée) et psychologique  qu'il avait appliqué dans sa maison de Weimar (chaque pièce du 1er étage recevant une couleur adaptée à sa fonction, les pièces étant en enfilade et reliiées par une porte centrale avaient des couleurs pastel, mais chaudes, et cela forme un bel ensemble*) et dessinateur (il dessinait surtout des plantes pour ses études de botanique),  Goethe avait 200 de QI, QI évalué car les tests de QI n'existaient pas à son époque.

Voici pourtant  ce que je voulais dire de Doofie : Doofie, comme nous, savait, d'après ce que nos mères nous ont raconté, lire à 2 ans. D'après nos souvenirs, notre mère (qui n'est pas la même, d'après les arbres généalogiques que fait Doofie, nous sommes cousines éloignées), notre mère disait alors que nous n'avions pas encore quatre ans "Je vais inscrire ma fille à 4 ans à l'école maternelel. Mais à cette époque, d'après nos souvenirs, nous ne savions pas seulement lire, mais aussi notre mère nous avait déjà appris à écrire. Et cela, je m'en souviens très bien. Quand à l'école (on apprenait à lire à l'école maternelle à cette époque), on m'avait donné un livre de lecture, je suis passé très rapidement sur les premières pages et mêmes bien les 60 premières pages que je lisais couramment pour étudier le "qu" et le "gu" et son orthographe (quand met-on un u derrière le g ou pas?), mais nous savions déjà le lire, et ceci nous semblait somme toute très facile. A quatre ou cinq ans, nous contions jusqu'à cent. A cinq ans, nous commencèrent le solfège, chez une prof particulière, qui habitait presqu'à côté de l'école. Nous écrivions le nom des notes en lettres sous la portée. A cinq ans, nous faisions les additions, à six ans les soustrations et multiplications et divisions sans reste et la preuve par 9, le début de l'analyse grammaticale (savoir distinguer les noms, les adjectifs et les verbes par exemple, le masculin et le féminin, le singulier et le pluriel. A six ans, à  l'éntrée du CP (1ère classe à l'étranger), nous savions faire tout cela et au bout d'un trimestre, nous avons dû apprendre pendant les vacances de Noël les divisions avec reste et avec virgules pour entrer au CE1 (2ème classe à l'étranger) en cours d'année. Dès lors, nous avons fait aussi 'analyse logique, les triangles quelquonques, rectangels, isocèles et équilatérales et nous apprenions par coeur nos résumés d'histoire, de géographie et de sciences naturelles* (qui différaient légèrement de ceux appris dans notre petite enfance dans les livres de nos grand-frères, car nous n'avions pas les mêmes livres. On savait lire la clef de sol et on apprenait la clef de fa pour commencer le piano à sept ans, ce que nous fîmes.

Un jour, le répétiteur de Doofie (elle avait une fois par semaine un cours avec sa prof de solfège qui la préparait à 'lentrée au conservatoire, et une fois par semaine un cours avec le répétiteur) - Doofie n'avait pas encore huit ans, parce que sa petite soeur n'était pas encore née - le répétiteur lui a fait jouer du piano à quatre mains, en lecteur, en posant directement les partitions sur le piano,,  (c'était sa passion, plus tard, il est devenu célèbre pour le piano à 4 mains),  et Doofie avait moins répété ce qu'elle devait apprendre pour la professeure en titre... Arrivée pour sa leçon chez la professeure, comme ele ne savait pas son morceau (Doofie n'avait pas de piano chez elle), la professeure s'est mise en colère que Doofie en pleurait et elle a écrit en énormes lettres sur sa méthode "Apprendre 20 fois de suite, main droite et main gauche et les deux mains ensemble", ceci pour le répétiteur!

Doofie a dû arrêter le piano juste avant la naissance de sa soeur, ses parents ont invoqué diverses raisons : Ils faisaient construire une nouvele mason et l'achat d'un piano neuf coûtait trop cher, la petite soeur allait coûter cher aussi (un enfant de plus à nourrir et à habiller, mais avec toutes les robes qu'elle a eu en cadea..., je me souviens que la petite soeur de Doofie  a eu trois fois la même robe de trois couleurs différentes, une rose, une vert pâle et une jaune pâle), par trois personnes différentes... Mais surtout, la raison ultime : le piano allait nuire aux études de Doofie.

Vers l'âge de 12 ans, ils lui achetèrent une cithare diatonique que l'on jouait avec des cartons par dessous les cordes , mais Doofie aurait préféré avoir les partitions, plutôt que ces cartons qui ne donnaient même pas le rythme des morceaux.

A 16 ans et demi en février de la terminale, elle s'est achetée elle-même, à l'aide de son "dimanche", une petite comme que ses parents lui octroyaient tous les dimanche depuis l'âge de 15 ans, sa première guitare.

Au bout de 2 mos, lors de son séjour chez sa correspondante allemande, en avril, elle jouait déjà tous ses accords de base, des arpèges et inventait elle-même ses accompagnements. Le père et le frère de sa correspondante jouaient les chants folkloriques allemands en s'accompagnant à la guitare, lCoïncidence : la guitare de Doofie était une petite Höfner à cordes nylon alors que la leur était une petite Höfner à cordes d'acier..qui avait appartenu déjà au père dans sa jeunesse). Doofie a alors appris : Horch was kommt von draußen rein, Am Brunnen vor dem Tore, et Der Mond ist aufgegangen, ce derner chant avec un changemnt d'accord par syllabe. Doofie faisait déjà les barrés en deux mois de guitare et jouait et chantait House of the Rising Sun et beaucoup d'autres chansons, allemandes, anglaises et américaines et françaises.

Doofie, qui avait appris seule la guitare, a passé toute seule l'examen d'entrée au conservatoire local, au bout d'un an et demi de guitare,  et a terminé 3ème sur 25 candidats. Comme il n'y avait que deux places, elle a dû atendre Noël que l'un de ceux qui était entré en septembre se désiste pour entrer au conservatoire (elle avait repris le solfège adulte depuis un an), où elle est entrée directement en élémentaire et est restée un an et deux trimestres, puis a demandé un congé pour faire sa troisième année de licence d'allemand. Donc, elle a mené de front la guitare et le solfège au conservatoire avec ses deux premières années d'alemand, brilamment réussies (mais elle avait eu une année d"échec pas très retentisant, pusiqu'avec 9 de moyenne, juste après son bac réussi avec mention, avec un an d'avance, une année assez cool avec seulement une journée de cours de fac par semaine, l'après 68). Bref, ses deux meilleurs années de fac avec tous les examens réussis à la première session ont été celles où elle faisait de la guitare classique au conservatoire.

Le professeur de guitare, disait que la voix de Doofie, qui chantait toujours en jouant et en apprenant ses morceaux était belle et rare, et juste, et il avait dit à sa mère qu'elle devrait surtout faire du chant, mais son père n'avait pas voulu. Il faut dire qu'à l'époque, on n'était majeur qu'à 21 ans, et il ne s'agissait pas de contredire les parents.

Par ailleurs vers l'âge de 14 ans, Doofie avait commencé à écrire des poèmes qui valaient ceux de Verlaine et de Rimbaud réunis, à 15 ans, dans sa classe de première, ele était surtout connue comme sportive (judoka, elle a atteint la ceinture bleue) et comme poète.

Doofie durant toute sa scolarité avait été une "bonne en maths", orientée en scientifique, elle avait voulu aller d'elle-même en littéraire,'était la première année où existaient les secondes A et les C. En troisième, elle résolvait les problèmes des premières M et était célèbre chez les première M comme "crac en mathématiques". J'allais à la récréation dans leur classe et elles me montraient leurs problèmes et me demandaient ce que j'en pensais. Mais elle était aussi bonne en français et selon sa prof "douée pour l'expression poétique".

Actuellement, Doofie improvise sur la guitare avec une certaine virtuosité, et sans regarder son manche, elle fait ceci depuis qu'elle avait repris un élémentaire 1 dans une école municipale de musique, mais son niveau en improvisation était bien supérieur à son niveau d'interprétation. Elle concocte à l'oreille des choueurs de quatre à douze voix pour nous, ses copines, sans doute un hétitage de la famille d'un célèbre polyphonistes flamand qui fut son ancêtre.

Le QI est-il héréditaire? Doofie, si elle n'avais que des grand-parents ouvriers textiles, ou commerçants, a eu avant que la Révolution Française n'atteigne le pays qui constitue actuellement le Belgique, des ancêtres pour le moins exceptionels, même si leurs charges étaient souvent héréditaires : échevins, bourgmestres (masi ils étaient quand même élus à l'année parmi les membes de certaines familles), la soeur d'un professeur de droit de la Renaissance, bourgeois marchands, et du côté maternel, deux chirugiens, et elle aussi du côté paternel  de la "famille" de certains grands peintres baroques, d'un musicien polyphoniste de la Renaisance (qui n'a pas de descendance connue car c'était un écclésiastique) et d'un philosophe catalan du Moyen-Age, mais aussi de dentellières de Bruges, et effectivemetn, elel aime tricoter. Elle tricote depuis l'âge de 7 ans et a appris d'elle-même les poins compliqués de tricot comme les points irlandais. Bref, Doofie, surdouée de l'enfance, a des ancêtres, peut-être peu connus du grand public, mais assez extraodinaires. Elle a même un saint abbé dans sa famille de l'époque baroque.

Bon, je ne vais pas dire Sainte Doofie quand même, mais voilà, je voulais dire que notre copine a d'autres cordes à son arc que le raisonnement logique et spatial testé par les tests de QI.

En effet, dans ces tests, le facteur verbal pourtant contenu dans les données ou consignes des exercices, est fort peu représenté. Par ailleurs, les autes capacités : le pouvoir-écrire, le pouvoir-faire des poèmes, l'habilité manuelle, les capacités de justesse musicale, la dextérité dans l'éxécution musicale, les capacités d'improvisation, bref, la créativité artistque, l'éloquence,la capacité à apprendre les langues étrangères (les immigrants qui font des tests dans une autre langue que leur langue maternelle, sont souvent notés en dessous de leurs capacités réelles en QI), la précision et la justesse du dessin, le "feeling" artistique, les capacités à créer des points de tricot, des modèles de vêtements, des modèles de maison, élaborer des plans de romans, de dissertations, élaborer des chorégaraphies, des plans de villes nouvelles,  (capacité architercturale), de lire des cartes géographiques, le sens de l'orientation (qui faisait totalement défaut à l'un de nos collègues agrégés d'allemand, maintenant retraité, qui se perdait constamment en voiture comme à pied, même sur des routes qu'il faisait plusieurs fois par an), bref les capacités architecturales et spatiales, à élaborer des stratégies de jeu, mais aussi la finesse psychologique (qui ne transparait pas seulement dans l'étude ou la création de personnages de roman, mais aussi dans le QE (capacité de comprendre autrui), (tout cela devait être pris en compte dans les calculs de QI. Bien sûr toute personne n'a pas développé toutes ces capacités, mais l'éclectisme, comme celui de Doofie, avec le souci de poursuivre chacune de ses passons jusqu'au plus haut degré de réussite, est souvent la preuve d'une intelligence supérieure. Et Doofie n'a pas encore été jusqu'au bout de toutes ses passions.

En ce concerne le QE, même si on a un bon QE, on ne peut pas agir toujours selon le QE, car on a parfois besoin de s'opposer à quelqu'un pour faire valoir ses droits ou tout simplement faire passer son avis, par exemple contre un époux rétif en tant que maîtresse de maison. Crier fort, c'est parfois le seul moyen de se faire respecter et obéir, même avec un énorme QE. Bref, Doofie, avec son Schnelly se heurte a une motagne d'entêtement. Et peut-être aussi de sournoiserie. Déjà le fait de toujours devoir emballer ses affaires dans sachets  plastiques qui vous font mal aux oreilles quand il les manipule, c'est de l'entêtement... Et lutter contre ses petites manies est difficile aussi de même que de s'habituer à son horloge parlante et vivante. Qui tombe cependant parfois en panne depuis qu'il est retraité. Il est horloge parlante, mais paradoxalement, il perd beaucoup de temps entre deux, car quand on doit faire ensemble des actions spatiales (bouger un meuble, nettoyer) il prend toujours un chemin compliqué au lieu de prendre le plus court chemin.

Voilà tout ce qu'on devrait évaluer dans un QI et que Doofie et aussi Bêtie, Sottie, Foolie et toutes mes amies possédons comme qualité.

Certains disent qu'on est dans l'anormalité, selon les sources, au dessus de 110, 116 ou 124 de QI. Comme à toutes mes évaluations dont plusieurs font 132, j'ai eu plus que 124, je suis comme mes amies que vous connaissez par ce blog de domino, complètement anormale et domino qui a le même QI que moi, aussi.

Dummie

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Pour Dummie, domino

 

*N.B. 1, Doofie et Dummie ne sont pas mariées ensemble,, elles sont mariées avec des hommes, Schnelly, Quicky, et Rapidy... et sont des copines comme on disait dans le temps, à mon époque, liées d'amitié. Ce qu'on appelait des "meilleures amies", quoi! Ce mot ayant actuellement plus ou moins changé de sens.

* N.B.2 domino  a visité sa maison à l'époque de la RDA (zu DDR-Zeiten)

* N.B. 3 : C'est ainsi qu'on appelait les SVT.

) N.B. 4 : les premières M et M' étaient les ancêtres des premières C et D. (scientifiques mathématiques et scientifiques biologie).

Professeurs : Corvéables à merci pendant toutes les vacances scolaires.

Du journal de Dummie :

Voici des extraits d'une lettre qu'un recteur d'académie a écrit à une collègue convoquée penda)nt les vacances scolaires, soit le 8 juillet alors que l'année en collège se terminait le 5 juillet (elle a travailé toute l'année en collège, et non en lycée) :

"S'agissant des congés annuels, la réglementation fixe à 35 heures hebdomadaires et à 5 semaines de congés payé la durée légale du travail. Par déraogation afférente à leur statut, les personnels enseignants seront libérés de cours pendant les vacances scolaires, mais doivent parfaire leur s cnnaissances et s'informer sur les programmes officiels.

Aussi, contrairement à vos allégations, les congés dont vous bénéficiez ne sont pas le résultat d'une épargne constituée sur les dix mois précédents. *

Il est évident que cette collègue qui a participé durant tout le mois de juillet (à partir du 7 juillet) à un stage linguistique prévu de longue date, dont le test de niveau d'entrée se déroulait précisément à l'heure de la convocation à 900 km de l'endroit où elle était convoquée par le rectorat, s'est formée linguistiquement pendant les vacances, même si c'est à une autre langue que celle qu'elle enseigne, l'observation de la pédagoie des professeurs de l'autre pays a pu lui donner des idées sur la plan pédagogique. Même si ele l'a fait pour elle-même et pour son plaisir.

Par ailleurs, elle a traversé deux fois l'Allemagne pour aller à cet endroit par de nombreux petits trains la plupart régionaux, ce qui lui a permis de parfaire la connaissance du pays dont elle enseingne la llangue et a fait une excursion d'une journée (avec visite d'un monument construit par Louis Ier de Bavière, ce qui fait référence à a nouvelle période de civilisation de l'agrégation.

En plus, même dans le cours d'été d'une autre langue, elle a eu l'occasion de parler la langue de Goethe avec des autochtones, car il y avait trois allemands et une autrichienne dans son groupe (plus une lithuanienne et deux français). L'année précédente dans son groupe, il y avait trois allemands, une anglaise, une russe, une lithuanienne, et un français qui vivait en Australie. La langue d'enseignement est l'anglais. Si bien que l'on a des cours en bilingue, les professeurs expliquant ce qu'on ne comprend pas dans sa langue à 14 déclinaisons du nom et 7 cas en anglais, les guides des excursions qui compten dans notre cursus de formation de 190 heures parlent anglais pour les petits cours et la langue du pays pour les plus avancés (92 heures de cours et le reste en contact avec le pays, la civilisation, le cinéma (5 films du pays primé). Certais guides sont des ouvriers ou des directeurs travaillant dans les endroits visités, nos interprètes traduisent en anglais, mais on entend l'autochtone parler sa langue et parfois, on comprend avant que ce soit traduit. Parfois, les interprètes avaient du mal avec les termes scientifiques et c'était assez drôle parce que ces termes ressemblaient au français et on avait compris avant.

La professeure qui a participé à de nombreux stages d'allemand de PAF jusqu'il y  a deux ans, mais voyant que ceux-ci ne lui apportaient rien au niveau de la note d'inspection, s'est rabattue sur les stages d'informatique pluridisciplinaires, qu'elle a suivi durant ces dix dernières années sur son temps libre des formatons univesitaires d'agrégation d'allemand, terminé sa maitrise, suivi un cours de DEA et a été inscrite en master 2 (mais par les horaires qu'on lui a donné cette année là en remplacement, on l'a empêchée de suivre les cours de Master 2). Pour tester son apprentissage des autres langues étrangères, elle a passé  5 CLES dans 3 langues autres que l'allemand et en a réussi quatre. Ele a réussi deux DUFL (diplômes de formation en langue) dans des langues plus difficiles que l'allemand. Et a eu en 10 ans cinq admissibilités à l'agrégation, deux à l'externe et trois à l'interne.

Elle a un peu mis un frein à la musique, mais elle possède une voix extraordinaire, reconnue par beaucoup de monde, ce qui lui sert dans ses cours, d'allemand, car une fois qu'ils l'ont entendu chanter, les élèves ne peuvent plus se passer d'elle. et ce qui amène des élèves en allemand. Elle a suivi dans la décennie précédente (dans les années 90) de nombreux stages de musique durant les vacances, deux de chant classique, une bonne dizaine de stages nationaux et internatonaux de guitare classique.  Tous les stages de musqiue qu'elle a suvi en été étaient à ses propres frais.

(Evidemment, lors de ses deniers remplacements, elle n'a pas beaucoup utilisé ses talents musicaux, parce que elle a pensé que leur professeur aurait ensuite du mal à reprendre ses élèves, s'ils a trouvaient mieux que lui ou elle. La collègue dont je parle est un TZR déjà âgée), mais si elle n'a pas utilisé ses talents musicaux, c'est qu'elle ne veut pas nure au collègue qu'elle remplace en prenant sa place dans le coeur des élèves, et en ne voulant pas prendre sa place dans le coeur des élèves,elle commence à en être détestée. Elle fait exprès d'être détestée, pour que l'autre n'est pas de mal à reprendre ses classes).

Maintenant on ne nuit pas aux élèves d'allemand en leur apprenant à chanter la Lorelei. Elle-même a aimé l'allemand en aprenant "Allle Vögel sind schon da" en quatrième.

En plus, quand on sait que la professeure, sur les quatre remplacements qu'elle a fait dans l'année en a fait deux à 25 km de chez elle (50 km AR, 5 fois par semaine), un d'un mois en pleins frimas hivernaux à 75 km de chez elle (150 km AR 4 fois par semaine et le mercredi 200 km AR pour d'unversité). 5 mois de remplacement sur 2 établissements dont le plus élogné était à 27 km de chez elle, donc 52 km AR, et des déplacements deux fois par semaine à l'heure du repas de midi, ce qui l'empêchait de manger entre midi.

De plus, la collègue à lauelle on a envoyé cette lettre,i a passé de nombreuses fois les  agrégations,parfois avec un demi-succès, et a eu des bonnes notes à la nouvelle épreuve "Agir en fonctionnaire de l'état, de façon éthique et responsabe" aux oraux des  sessions 2011 et 2012".

 

Elle ontinue à se former dans l'espoir de la réussir un jour, donc à lire de la littérature allemande et des livres de civilisation allemande, aussi pendant toutes les périodes de vacances scolaires, elle a fait de la linguistique allemande à très haut niveau, continue à faire de la traduction de niveau universitaire (de niveau agrégation),

Elle a suivi les formation "Agir de façon éthique et responsable" et " Connaisance du système éducatif" avec l'histoire de l'enseignement en Fance, les différentes institutions scolaires et les 14 grands débats actuels.

Elle a suivi à plusieurs reprises les cours d'agrégation interne pour l'oral de didactique et par conséquent connait parfaitement tous les nouveaux programmes, d'ailleurs ses cahiers de texte électroniques (il n'y a plus de cahiers de texte papier dans les collège où elle fait des remplacements qui compennent pour chaque cours 10 lingnes d'objectifs, 3 lignes expliquant l'évaluation du jour, et dix lignes de réalisation en cours, en sont le témoin. Et l'inspecteur lui avait dit qu'elle n'écrivait presque rien sur ses cahiers de textes, on se demande pourquoi. Depuis elle fait des cahiers e texte zélés et passe plusieurs heures par jour à les remplir, mais personne ne les lit.

On sait que d'autres collègues d'allemand ne vont jamais en Allemagne ou en Autriche, je connais deux collègues femmes de lycée, une agrégée et une certifiée par liste (ancienne AE devenue certifiée sans concours et sans inspection et actuelelment jury de BTS et de licence pro, à la place et sur l'ancien poste de la professure dont je parle ) qui ne cont jamais en Allemagne pendant les vacances.

Bon, il est certain que la professeur semoncée par la lettre du recteur tout en travaillant beaucoup pour l'agrégation interne et externe pendant les vacances, et suivant des stages linguistiques (dans d'autres langues, car pour allemand ben qu'elle sot francophone,  en Allemagne, non la prend pour une allemande du Sud-Ouest:  on lui donne même un accent régional, donc un stage linguistique d'allemand serait inutile), ne se forme jamais pendant les vacances.

Cependant certains élèves qu ont des professeurs franophones qui prononcent très fort les -r en finale, la critique, parce qu'elle ne parlerait pas allemand comme leur prof en prononçant les -er entre e et a et sans r et en prononçant les der en diphtonguant le r vocalisé au lieu de le dire bien à la française comme un -r parisien grasouillé. Ils écrivent même au rectorat qu'elle ne parle pas allemand comme leur prof (qui a un accent bien français en allemand) Ce sont généralement les PEGC qui ont un bel accent français en allemand, mais comme ils sont souvent en classe exceptionnelle, ils ne sont plus inspectables.

Et pourtant, ces collègues n'ont pas assez de formation lingusitque . Et on ne les convoque pas au rectorat, même s'ils sont souvent en congé maladie, .... par rapport à cette collègue que l'on attaque constamment, surtout depuisc qu'elle a l'âge de toucher une retraite très incomplète.

Faire un stage linguisitque dans une autre langue qu'on ne connait pas trop bien, pendant les vacances et dans le pays, c'est aussi se mettre dans la peau de l'élève qui étudie l'allemand et que l'on largue dans le pays avec un petit niveau,  tant au niveau de la compréhension de ce qui l'entoure (trouver son quai dans une gare par exemple, acheter le billet de retour avec une réduction, savoir lire les affiches publicitaires, les noms communs des magasins) : fruits et légumes, alimentation, coiffeur, pharmacie..., trouver le rayon adéquat dans un supermarché, choisir un produit, ...), que de la compréhension des gens auxquels on se renseigne, l'expression pour pouvoir se renseigner, un peu quelque chose, (parfois génée parfois seulement par le conjoint qui la devance en posant sa question en anglais, il a d'ailleurs fait des progrès an anglais..).

Bref, tout ceci c'est une formation à la fois linguistque, mais aussi pédagogique et humaine, car c'est très difficile quand on n'a pas tous les mots pour s'exprimer, de se faire comprendre par des personnes souvent sympathiques, souriantes et coopératives, mais qui parfois n'ont pas le temps de vous écouter longtemps car une file se forme derrière vous, le temps d'expliquer ce que vous voulez. En fait, cela nous fait penser que ce qui est imprtant dans une langue, c'est surtout d'abord le vocabulaire concret et les phrases qu'il faut pour demander les choses dont on a besoin. Et comprendre les réponses.

Pour vous dire, la pédagogie utilisée dans ce pays, est tout à fait la pédagoie préconisée par les proogrammes français actuels, mis à part que pour que cette pédaogie soit efficace, il faut que l'élève fournisse par lui-même et chez lui ou dans sa chambre un travail d'étude intense, ce que beaucoup de nos élèves, assez paresseux, n'ont pas encore compris. Refaire les exercices et en faire d'autres, lire à font les documents d'études, traduire pour so-même les consignes écrites dans la langue, apprendre lou réapprendre a vocabulaire, les tableaux de grammare... Il vaut aussi souvent revenire en arrière car on oublie quand même beaucoup et à toute âge. Il faut vraiment que les mots soient répétés souvent pour qu'on les retienne. Et surtout qu'on les répète souvent soi-même dans la converssation.

La pédagogie utilisée alternait les phases purement grammaticales, apprentissage des temps et modes, des déclinaisons, des prépositions utilisées dans les compléments de lieu et de leur cas (assez compliqué dans cette langue où il y a bien quatre cas différents pour les compléments de lieu et de plus, les gens ne comprennent pas si on n'emploie pas le bon cas, ou ils compennent autre chose), et des phases d'expression orale ou écrite individuelle ou collective, pédagogie de groupe avec réalisations de dialogues par groupes de deux ou de trois, que l'on rejoue devant la classe.

Bref, cette formation de trois semaines était je crois, tout à fait profitable pour la professeure critiquée pa le recteur, parce qu'elle n'a pas honorée une convocation, lorsqu'elel était à 900 km en train d'écrire un test de niveau pour suivre une formation linguitique, cette prof qui soi-disant ne se forme jamais, trop âgée pour enseigner.

Personnallement, je trouve que c'est très méchant d'avoir écrit cela à cette professeure-là... Sans la connaître, et alors que toutes les formations suivies sont écrites sur son dossier élecronique de pofesseure, mais si elle dit à l'avance quelle  formation elle va suivre, on essaie soit de l'empêcher de a suvre, soit d'y inscrire des personnes soit qui ont déjà un très haut niveau dans la matière en question, soit des personnes qui ne fernt que cette matière à à longueur de journée et suffisamment douées pour lui tenr la dragée haute. l'année dernière,on a même vu des personnes natives de la langue voulant s'inscrire en niveau A2, c'est à dire utilisateur non indépendant! Pour lui tenir la dragée haute! Ou bien pour avoir facilement des UV externe.

Tiens, Schnelly, à la fn de sa carrière, ne disait même plus que sa mère était allemande et qu'il avait passé dix-huit années de sa jeunesse en Allemagne, simplement pour qu'on le félicite pour son excellent allemand. Et tenir la dragée haute à Doofie, qui pourtant parle aussi un excellent allemand.  Et Schnelly  a joué sur le fait qu'il est né en France et qu'l a un nom français, et une excelent français acquis dans un lycée français en Allemagne,  pour ne pas passer ppur germanophone, mais pour un français qui parle un excellent alemand ce qui lui a certes valu des points d'inspection en plus. A sa dernière inspection avant la retraite, il n'a jamais dit qu'il était germanophone (qu'il est de langue maternellel allemande), et ainsi il a toujours été bien vu par les inspecteurs.  Il a travaillé jusqu'à 65 ans et demi et est retraité depuis quelques jours.

La professeure était inscrite à son cours de langue à l'étranger depuis le mois de mars et avait été sélectionnée pour une bourse d'études.

Et on voulait encore l'empêcher de suivre son stage qui pourra servir à d'autres personnes si elle sert d'interprète, dans cette langue, pour un jumelage, ce que les autes adultes du jumelage, vu la vitesse à laquelle ils apprennent l'allemand avec elle, ne pourraient faire. Car elle leur donne en plus des cours d'allemand, bénévolement, tous les samedis après-midi ce qui l'empêche de partir en week-end durant l'année scolaire...

Dummie

 PS Ne mélangez pas les torchons avec les serviettes, si je parle ici du stage suivi par cette professeure, j'en parle pour prouver qu'elle s'est formée pendant les vacances, mais n'allez pas vous demander si elle est arrivée tous les jours à l'heure, si elle a suivi tous les cous (elle a effectivement suivi tous les cours pendant trois semaines, vu les 5 films, fait les 5 excursions obligatoires pour les boursiers, qui comprenait chacune environ 3 viistes de lieux historiques, plus l'excursion facultative et payante, et participé à la plupart des activités facultatives, dont en partie le sport : comme elle est âgée, elle n'a fait que le mini-golf et la pétanque, mais pas le volley, ni le soft ball, et elle a joué au monopoly dans la langue du pays avec les étudiants autochtones du cours d'anglais, lors de l'arpès-midi consacré au "board-games", et acquis ainsi la rue la plus chère de la capitale... (mais pas "pour de vrai""), a été à la visite officielle à la mairie (pourles boursiers) et s'est régalée lors du buffet offert. Et elle s'est régalée de la cuisine locale qui vaut bien la cuisine française.

La collègue en question m'a raconté :

Les cours avaient lieu cinq jours par semaine de 8 h 30 du matin (mais il fallait être à la mensa vers 7h 45 ou  8 h pour avoir le temps de prendre le petit déjeuner continental et arriver à l'heure, la résidence où l'on dormait étant éloignée d' un arrêt d'autobus (trajet assez long) de l'université, il fallait marcher 5 à 10 minutes pour aller à l'arrêt, il y avait environ 10 mn de trajet, puis enore marcher quelques minutes sur le campus jusqu'à la mensa, et marcher de nouveau quelques minutes jusqu'au bâtiment de ours et jusqu'à la salle de cours. Les cours duraient jusqu'à 15 heures avec environ 3/4 d'heure de pause pour aller à la mensa à midi 45. Il y avait la grande et la petite récréation durant la matinée (20 minutes et 10 minutes). Avec changement de professeur à la deuxième récréation, mais on restait toujours dans la même salle. Le mercredi on terminait à 12 heures 45, mais on devait être dans l'autocar à 13 heures 30 pour l'excursion du mercredi. Les deux samedis, nous avons eu une excursion obligatoire, dont une vers la capitale, et l'un des dimanches une excursion facultative, si bien que nous n'avions que l'un des dimanches de libre. Les jours où il n'y avait pas d'excursion, nous avions des activités d'après-midi comme des visites en ville, le zoo (pour apprendre les noms des animaux, très utile...), du sport, des jeux de société dans la langue du pays, assis dans le parc qui était près de la résidence, et le soir, cinq séances de ciné-club à 18 heures 30,  ou d'autres activités, les fêtes d'accueil et d'adieu,le concert de rock organsé pour nous, en plein air le long de la rivière, par des groupes locaux,  il y avait aussi le tour des brasseries et des pubs, mais je ne les pas suivis, je ne bois pas dalccol et les autres marchaient trop vite, si bien qu'ils ont disparu au coin d'une rue et on a perdu leur trace. On rentrait des excustions entre 20 et 21 heures avec un départ entre 7 h 30 et  8 h 30 du matin, selon les excursions, et un départ à 13 h 30 pour les excursios du mercredi. Durant les excursions, nous avons eu quelques quartiers libres, mais on avat en moyenne, sauf dans la capitale oùl'on a été plus libre, 3 visites guidées par excurston : châteaux historiques, hantés ou non, mines, lieux scientifiques... villes, églises baroques, églises perdues dans la montagne et en rénovation. Le car nous déposait souvent à une certaine distance de l'objectif, et nous devions faire une mini randonnée sur un chemin de terre pour atteindre les entrées de châteauxet et le tout était souvent très sportif, on devait aussi parfois rester pendant des heures debout dans des endroits où l'on nous donnait des explications historiques, fort intéressantes du reste, mais gare aux jambes!

Le lendemain, on devait raconter au professeur dans la langue du pays ce qu'on avait fait la veille dans l'après-midi ou durant le week-end.

Mon épox participait aux activités, dans la mesure où elles étaient gratuites, ou moyennant des enrées supplémentaires, mais pas au cours, moyennant le paiment des excusions, de son hébergement et du ticket de transports en commun qui était offert aux boursiers pour trois semaines, on pouvait visiter toute la ville par le tramway et les bus gratuitement. Et ils ne prenait pas les repas à la mensa.Par contre, on a du payer notre voyage.

Les bourses d'étude de la langue n'existent que pour ceux qui ont étudié au minimum un an la langue du pays dans une université. Et pour assister au cours, il faut avoir fait des études universitaires de la langue - au minimum un an- si bien que ce n'est pas la peine d'espérer aller à ce genre de séjour, si vous êtes adulte, et n'avez pas au minimum vottre bac, et n'avez pas étudié la langue un an à l'université.  En effet, pour suivre le rythme des cours, il faut déjà avoir une bonne formation  grammaticale de base  et pour profier au maximum des excursions avoir une bonne connaissance de l'anglais. La profeseure dont je  parle a le CLES 3 d'anglais (niveau C1 d'utilisateur expérimenté).

 

Pour défendre Dummie et sa collègue

domino

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* D'après ce que j'en sais, historiquement, les professeurs sont payés moins que les autres fonctionnaires de même indice et ont un salaire annuel de dix mois leur indice, réparti sur 12 mois, alors que les autres fonctionnaires ont un salaire annuel de 12 mois. Si bien que tout travail fait en juillet-août devrait être payé à sa aleur complète. Par exemple les interrogations d'examen au taux comlet d'une heure de cours et les corrections de copies égalemen et la semaine suplémentaire de juilelt en collège payée en plus comme 1/4 de salaire mensuel.  

Solstice d'été

Doofie, mon pesonnage de roman-théâtre a réuni ses amies autour d'elle, l'heure est grave, même si elles habitent dans le midi malgré le jour le plus long de l'année et le solstice d'été,  la lumière est étrangement blafarde pour cinq heures du soir. Sur l'écran de l'ordinateur, on voit Bête et Gwupie au téléphone, derrière ele, une lumière jaune blafarde éclaire à peine la scène, alors qu'à 51° de latitude Nord, plus haut qu'à Toronto, Québec, Vancouver, et Winnipeg, aussi haut que Terre-Neuve, que l'embouchure du St Laurent et que le Sud de la baie d'Hudson, mais tout cela en Europe, on n'est pas au pays du soleil de minuit, mais presque.

Et Segpie me direz-vous? Segpie a disparu de notre roman avec la fin du remplacement de janvier à mai sur 2 établissements. Elle a été remplacée par Musie pendant trois semaines d'un autre remplacement et Bêtie espère bien rencontrer un jour de nouveau Musie qui a la même passion qu'elle, la musique.

Mais laissons-là Segpie et Musie, hmm, Bêtie verse une larme en pensant à Musie et ses belles réalisations, et à la si belle soirée à la fin de son remplacement, il n'y a qu'une semaine. Depuis sa collègue a dû reprendre les sixièmes et cinquièmes, et elle se demande comment ça va. Si elles ont dit qu'elle était à la fête. Que l'une d'entre elle avait une fourche et des cornes sur la tête, la vilaine qui a fait mourir Roméo et Juliette.

Bon, tout cela pour vous dire, Bêtie et Gwupie à 51° de latitude Nord, sont sur le petit écran du portable de Doofie, 45° de latitude Nord.

Les amies de Doofie, Dummie, Sottie, Foolie et Blödie, sont autour de notre amie ét l'écoutent attentivement.

"L'heure est grave, dit Doofie.. aujourd'hui, c'est le solstice d'été et la lumière est aussi blafarde qu'au solstice d'hiver... "

C'est à cause de Glouglou, notre moteur de recherche, regarde le petit garçon avec son ballon, heureusement qu'il y a de l'air dans son ballon pour le maintenit au dessus de l'eau. Et les grands autour, ils ne l'aident même pas.

Je ne pense pas que ce soit à cause de Glouglou, dit Doofie... en fait, ce ballon tu veut le comparer à notre soleil quand il s'enfonce dans l'Atlantique, qui, au couchant, est le Pacifique pour eux. A La Vue sur la Montagne, car je sais meme où est le siège de Glouglou ils sont près du Pacifique. Et c'est ce soleil coucnant qui a dû leur inspirer ce petit garçon au ballon rouge. Mais moi, je veux vous parler du solstice d'été. Que se passe-t-il ce jour là?

D'après Kepler et Copernic, rien, dit Sottie, juste que la Terre continue à tourner autour du soleil, mais comme au cours de son périple autour du soleil elle montre différentes parties de son globe au soleil, on est alors, plus ou moins, en été , en hiver ou dans des saisons moyennes qui sont l'automne et le printemps.

Basta de tout cela, dit Doofie...!! Ce n'est pas du tout ce qui se passe. Comment veux-tu que la Terre se balade comme cela de travers dans l'univers... Regarde elle avance comme cela de biais; Impensable : Ce sont les pôles qui sont aplatis, le pôle Nord surtout, aplati à force de montrer sa tête en avant et de foncer autour du soleil. En fait, le soleil se couche toujours à l'Ouest. Et la Terre tourne sur elle-même en sens inverse. Quand tu regardes l'Océan et que tu vois le soleil s'approcher de l'eau comme maintenant, c'est que nous nous allons en tounant ves l'arrière, le soleil va vers le bas, et nous on tourne en arrière, si on fait face au couchant, la Terre toune dans l'autre sens, c'est à dire que si nous restions au même endroit, elle se déroberait sous nos pieds et nous atteririons à pied joints dans l'océan. Quand on fait face au couchant on tourne en arrière.

Oui, c'est évident dit Dummie qui malgré son QI cent points au-dessous de celui de Doofie a tout compris. Dummie n'a que 132, ce qui à son âge avancé n'est pas mal du tout, mais elle a tout compris ce que dit Doofie... 232 de QI.

Bon, Doofie, dit Dummie, certes, on a tout compris de la rotation de la Terre sur elle-même, mais le solstice....

Sottie dit qu'il ne se passe rien, que c'est simplement parce que le Nord de la Terre offre une plus grande face au soleil qu'il y a un solstice, mais dans ce cas, la Terre devrait se promener autour du soleil de biais Pour moi,comme le soleil se couche toujours à l'Ouest, la Terre est de profil par rapport au soleil. De profil, certes, mais certaines oscillations périodiques de l'axe terrestre, font qu'elle n'est pas toujours exactement de profil, mais un peu inclinée par rapport à la position de profil.

Le fait qu'elle serait de profil expliquerait pourquoi la Terre tournant sur elle-même, le soleil se coucherait toujours à l'Ouest, renchérit Foolie...

Bien, Foolie, seulement, voilà... , les jours ne sont pas égaux entre eux, sauf aux équinoxes de printemps et d'automne., remarque judicieusement Bêtie au téléphone de l'ordinateur (on soupçonne d'ailleurs Bêtie d'avoir légèremetn plus que 132 de QI...)

Cela voudrait donc dire, poursuit Doofie, que par rapport à cet axe idéal de saisons égales entre elle, la Terre oscillerait légèrement ce qui provoquerait les saisons. Aux équinoxes, elle serait perpendiculaire au soleil, enfin, je me compernds, le soleil étant rond, c'est difficle de lui être perpendicualire, mais elle est parallèle au cercle autour du soleil,perpendiculaire à son axe,   et et aux solstices penchée le Nord vers le Soleil, en été, et le Sud un peu plus vers le soleil, pendant notre hiver. J'ai déjà remarqué qu'aux somstices, le soleil se couche au Sud-Ouest en hiver et au Nord-Ouest en été, ce qui ferait que la Terre oscillerait pratiquement d'un demi point cardinal entre l'équinoxe et le solstice.

Oui, mais pourquoi as-tu dit tout à l'heure "L'heure est grave!" demande Gwupie sur le téléphone de l'ordintateur.

Parce que, répond Doofie, c'est le jour du solstice que la Terre change de sens d'oscillation. Au solstice d'été comme maintenant, l'axe qui décalait le Nord de la Terre vers le soleil s'écarte à nouveau de la terre pour qu'à notre solstice d'hiver, ce soit le Sud qui soit le plus proche du soleil. En fait, dans son périple autour du soleil, la terre qui garderait toujours le même cap par rapport à son sens de gravitation, se dandinerait légèrment sur son axe pour former les saisons. Il est donc dans ce cas possible que les révolutions autour du soleil durerait un cycle solaire pendant laquelle la terre ferait onze oscillations, enfin le double si on compte les deux solstice ce qui expliquerait que parfois on serait d'un coté du soleil où il y a plus de volcans solaires et donc il y aurait une plus forte activité solaire que lorsqu'on serait en face d'un endroit où il n'y a presque pas de volcans solaires et on pourrait expliquer ainsi les cycles solaies. Car on ne voit pas très bien pourquoi le soleil émettrait plus de matière à certains moments qu'à d'autres. Sur la Terre les éruptions de volcans ne sont pas régulières, alors on ne voit pas pourquoi le soleil ferait autrement, mais il y a des régions volcaniques et d'autres qui ne le sont pas, on serait en ce moment en face de régions volcaniques du Soleil.

Oui, dit Dummie, on en a beaucoup parlé la semaine dernière, mais où est le solstice dans tout cela.

Si la Terre  met 11 ans  à tourner autour du Soleil, cela ferait donc, qu'il y auait 22 oscillations, onze dans chaque sens, dont le sens changerait aux solstices. Nous sommes donc à un moment crucial, le changement du sens d'oscillation... C'est pour cela que les anciens allumaient des feux sur les montagnes à la St Jean, pour montrer que l'on avait du respect devant cette immense nature gouvernée par on ne sait qui, et qu'il faudrait montrer que l'on désire que ce mouvement reste régulier et que la Terre réalise son solstice d'une façon normale, pas comme maintenant avec cette lumière blafarde! D'ailleurs les saisons étaient importantes pour les anciens, c'est d'elles que dépendaient les récoltes.

Drôle d'ambiance que cette lumière blafarde dit Dummie, et encore cette mobylette qui fait le tout du quartier comme hier,juste avant chaque recrudescence d'oralge.

A un moment ça a même fait un drôle de bruit et on a senti un vent froid pénétrer par tous les pores de la maison, dit Sottie.

Oui, c'est bizarre, je me  souviens des années 70, quand on allait à la danse folk les soirs de la St Jean, il faisait beau, et des petits nuages blancs égayaient un ciel tout bleu., dit Foolie

On était jeune et heureuse, avec nos Rapidy, Schnelly et Cie dit Dummie avec nostagie. On avait des copains célèbres aussi qui nous apprenaient l'épinette des Vosges, on était allées danser avec leur musique , dans un village à quelques dizaines de kilomètres au Sud d'ici; on chantait des chansons comme des rondes, des An-Dros, on dansait des cercles circassiens à la St Jean. Ah! Le bon temps!

 Oui, c'était le bon temps, soupire Doofie, qui enfile une longue tunique blanche et un chapeau de magicienne et prend sa baguette magique. Je vais faire revenir ce bon vieux temps, allez nuages, brumes dégagez-moi de ce ciel blafard. Lumière lumineuse et agréable revient au miieu du ciel bleu. Terre, reprend ton oscillation normale, ne nous lâche pas... Soleil, réchauffe-nous de doux rayons, pas trop chauds quand même. Allez, à la fraîcheur d'une soirée d'été. Revenez temps anciens de douce lumière, de ciel bleu, de cieux étoilés d'été; revenez, reviens belle lumière d'été, et vous les oiseaux chantez...

Autour d'elle, nos amies ont enfilées aussi de longues tuniques blanches et suivent les indications de Doofie qui a allumé un petit feu e bois sur la plage, face au soleil couchant, pour les incantations.

Gwupie et Bêtie regardent la scène sur leur ordianteur, espérant que Doofie va arriver à farie revenir le beau temps normal.

Je ne sais pas si ce que fait Doofie fait de l'effet, mais peu à peu la lumière devient moins blafarde et reprend un aspect normal.

Pour Doofie et ses amies..

domino