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dimanche, 27 novembre 2011

La bonne réputation...

Bonjour,

Mon personnage de théâtre Dummie est en train de lire, elle lève les yeux et dit à Dummie qui vient d'arriver chez elle pour travailler ensemble à un site web sur leur belle matière l'allemand...

Dummie : Oh! Doofie, regarde ce que je lis, des stars dépensent des millions pour faire enlever du web tout ce qui nuit à leur réputation, des hommes politiques aussi. Il parait qu'il y a des journalistes qui inventent meme de faux personnage pour contrer les politiques. Même un philosophe s'est fait attaqué et le journal le Rossignol Enchaïné a créé un nouveau philosophe Pierre-Augustin Toboul, qui a créé de nouvelles théories contre le premier philosophe.

Doofie : Oh! ça doit être terrible pour eux, si on ne peut philosopher en paix!

Dummie : Mais tu sais la réputation des profs, c'est encore quelque chose, tiens Bêtie ma dit l'autre jour qu'un collègue salissait un peu sa réputation. Nommons le M. JeSaisTout, comme prototype de celui qui sait tout ce qui se passa dans son établissement, dans l'académie au niveau des collègues de la même matière, et aussi au niveau de la France. Mais souvent, c'est déformé... Et puis, il s'attache aux petites anecdotes et retient tous les détails.

Doofie : C'est au moins un agrégé?

Dummie : Ne donnons pas de détails. Au début, il fait lui-même ses confidences. Tu te rends compte, tel de mes élèves, il a fait ça et ça et essaie ainsi de soutirer des renseignements sur les bêtises de tes élèves et si tu as le malheur d'en raconter une, le jour d'après et même pas, si c'est le matin, dès midi, tout l'établissement est au courant : Ah ! Tu sais, Ducobu il a dit "Zut" à Dummie! PRimo, M. JeSaisTout, le collègue qui n'a pas d'ennuis aves le proviseur, divulgue toutes  informations nécessaires ou superflues sur toi. Il va dire que tu es une éminente guitariste, que tu as fait des stages avec des guitaristes célèbres, pour que l'on dise "Oui, mais cela nuit à son travail!" alors que tu travailles toutes les nuits et tous les dimanches pour tes élèves. Tout en faisant tes cours dans la journée.

Doofie : Et quand un inspecteur passe, il lui raconte aussi des trucs sur toi,salissant ta réputation...

Dummie : Et l'inspecteur détruit définitivement ta réputation en une heure de temps. Pour Bêtie par exemple, cela s'est passé il y a huit ans, alors qu'ele était une prof réputée que tous ses élèves de secnde voulaient l'année suivante : "Vous nosu demanderez pour l'année prochaine un madame, je vais en 1ère L..." "  Hein, Madame, vous nous demanderez, je vais en 1 ES..." "Madame, je vous en supplie, demandez notre classe... je vais en 1ère S" "Non, Madame, demandez plutôt ma classe, je vais en 1ère STT". Bon, statistiquement, je ne peux avoir que une première classique et une STT. Donc, je demande STT et une classique. Non, Madame, demndez les trois, non Madame, si vous n pouvez pas, les ES, non madame, demandez plutôt les S... L'embarras du choix à la fin d'une année de seconde...  C'était le temps de la gloire, le temps de la bonne réputation, un an seulement avant qu'un inspecteur pase et te fasse TZR. Et détruise ta réputation en une heure seulement.

Doofie : Oui, il n'y a pas que les médias et le web qui détruisent une réputation. Le web 2 en était encore à ses balbutiements, il y a huit ou neuf ans, on ne parlait ni de blogs, ni de Trombinoscope Livre, ni de Cuiccqueur, ni de Ton Tube Cathodique, ni du Film en mouvement quotidien.

Dummie : Mais on parlait déjà de moteur de recherche, de sites web, c'était le web 1, traditionnel, sur lequel on pouvait chercher des renseignements.

Doofie : Ne dis rien....  Si le Web 2 n'existait pas, nous les personnages de roman-théâtre de domino, on n'existerait pas non plus...  regarde, la petite pixie est ses poèmes si mignons, n'aurait pas existé non plus...

Dummie : Oui, mais on n'aurait pas nuit à ta réputation de chanteuse, en te traitant de fantasque, d'originale ou de je ne sais quoi, sur le forum de "A vos instruments!".

Doofie : Mais je ne saurais pas aussi connue... Et en plus, j'ai trouvé des amis internautes, je ne les aurais pas trouvés non plus...

Dummie : Des amis internautes... Mais Doofie, et moi, alors, et Sottie, et Foolie, et Bêtie, et Blödie...

Doofie : L'un n'empêche pas l'autre, masi c'est vrai que j'ai beaucoup de courrier, j'ai des courriers extraordinairement bien... par des réalisateurs de vidéos ou par des généalogistes, j'en apprends même sur mes ancêtres grâce aux autres internautes, c'est très interessant le web 2.

Dummie : Le web 2, les arbres généalogiques, c'était déjà le web 1, regarde j'ai trouvé un cousin qui descend du même arrière arrière grand-père que moi, il avait déjà écrit à mon frère il y a une dizaine d'année, car mon frère a un vieil arbre généalogique sur internet. Mais le mien est beaucoup plus complet. A l'époque où il écrit à mon frère, le web 2 n'exitait pas. J'ai appris ainsi qu'alors que du côté de mon père, c'est tout catholique, l'un de mes arrière grand père du côté de mon grand-père maternel aurait été un anarachiste... moi, je savais juste que c'était un forgeron.. Son frère était anarchiste et peut-être leur père (ancêtre commun de ce sousin) aussi...

Doofie : Toi, Dummie, tu as un ancêtre anarchiste, mais tu es si posée...

Dummie : Oui, tu sais,  je réfléchis à ce grand-père qui était celui qui dans ma gradation d'amour pour mes grand-parents étaient le moins bien dôté car ma mère m'avait raconté des histoires sur lui, qu'il avait été vraiment très sévère avec ses filles et surtout avec ma mère...qui devait être pourtant gentille.   Et alors, je subissais l'influence de ma mère, mais finalement, c'était quelqu'un plein d'humour, un peu pince sans rire, anti-clérical, alors que sa femme, ma grand-mère était catholique, et il a eu un enterrement catholique quand même, une messe et tout... il avait joué de la mandoline dans sa jeunesse et il prenait quelquefois ma guitare, pour jouer quelques notes, en disant,oui, mais ce n'est pas la même chose pour l'accord. Et les frères de ma grand-mère jouaient de la guitare et de la mandoline aussi...

Doofie : C'est pour cela que tu as la science infuse en gutare...

Dummie : Comme toi... Mais pour en revenir au Web et aux réputations, c'est sûr qu'on a déjà sali pas mal notre réputation, c'est pour cela qu'on a fermé nos commentaires sur certains blogs d'ailleurs...

Doofie : Bon, allez, on va conclure,à part M. JeSaisTout, un prototype, de collègue qui dit tout à tout le monde, et l'engence inspectorale (ils ne sont pas tous comme cela!), nous n'avons égratigné personne. Mais nous n'égratignons que les prototypes, et les ensembles corporatifs, pas les individus, ni les sociétés.

Dummie : Oui, mais nous ne sommes qu'à deux devant notre tasse de café, et tous savent que nous n'existons pas réellement, que nous sommes des personnages de théâtre, et que tout ceux dont nous parlons sont des personnages de théâtre aussi...

Doofie (versant une larme) : Oui, nous ne sommes que des personnages de théâtre, si internet disparaissait, nous diparaîtrerions aussi, bouh...

Dummie : Tout ressemblance de notre histoire avec la réalité est totalement fortuite... Au fait Doofie, tu as encore vu un ....

Doofie : Chut! Dit Dummie qui lui chuchote quelque chose à l'oreille..

domino pour Doofie et Dummie

(à suivre)

 

 

 P.S. A propos de l'inspection dont je parle ci-dessus, je dois dire que la prof en question qui avait plus de 50 ans au moment de l'inspection d'il y a 8 ans, avait eu, durant sa carrière déjà bien longue,  plusieurs  inspections positives lors desquelles on n'avaient jamais demandé ni sa préparation, ni les cahiers des élèves. Alors que là, elle a été enfoncé, parce qu'elle n'avait pas dans sa préparation employé les nouveaux termes de pédagogie : éléments facilitaeurs, entraves de contexte interne, entrave de contexte externe, etc... bref, elle n'avait pas employé le jargon pédagogique de la préparation d'agrégation interne que soutenait cet inspecteur. Et pourtant ce n'était pas une stagiaire... mais une titulaire de longue date.

Mais voilà que cinq ans plus tard, alle tombe sur un chef d'établissement qui lui dit : "Vu votre rappot d'inspcetion, je ne peux augmenter votre note administrative". Sept ans plus tard : "Je ne peux que donenr un avis passable pour le passage à la hord-classe" vu le rappot d'inspection. L'inspecteur ajoutant lui-même :La professeure étant en zone de remplacement, je n'arrive j'amais à la voir et je ne pourrais changer cet avis (sous entendu vers le positif) tant que je ne serais pas rassé (avis AB). L'année suivante, l'inspecteur qui désirait repassé étant parti à la retraite, un nouvel inspecteur arrive, et démolit de nouveau la professeure, en se basant sur le rapport d'inspection précédent.

vendredi, 18 novembre 2011

Toute ressemblance...

Comme dans un roman-théâtre, il ne doit y avoir aucune ressemblance avec des évènements ayant réellement existé, il va de soi que à partir d'aujourd'hui, Doofie, Bêtie et Dummie qui surdouée pour la première et parmi les 2% supérieurs de la population au niveau du QI pour les deux suivantes, sont à partir d'aujourd'hui et après avoir avoir fait le master et l'agrégation de ces langues en 2 mois seulement,

- professeure de langues ouralo-altaïque pour Doofie,

- professeure de langues Na-dene pour Dummie (langues indigènes d'amérique du Nord),

et professeure de "Turkic Languages",, en gros, les langues d'Asie Centrale, pour Bêtie.

Quant à nos autres amies, je vous le dirai dès qu'elles auront terminé leur recyclage... mais je crois que Sottie sera professeur de basque, de corse et de breton, Foolie professeur de géorgien, d'hindi et de malyalam, et Blödie, professeure d'irlandais, d'islandais et de gallois...

Voilà, alors toute ressemblance avec la réalité, mais non, non, et non, elles ne sont pas professeures de moldave, les moldaves parlent soit ukrainien, soit roumain, mais pas le moldave. Dummie a connu lors de ses études de langue slave l'an dernier un Moldave qui lui a dit que la Moldavie était un drôle de pays, sans unitié linguistique. Lui-même parlait russe ou ukrainien.

Pour mes chères amies de roman-théâtre

domino

 

PS : bon, il va falloir, que moi, en tant qu'auteur de roman-théâtre, je retienne de quoi mes héroïnes sont profs, en plus de Quickie et Speedy que je confonds tout le temps, les attibuant altérnativement à Foolie  et à Dummie.

 

 

jeudi, 10 novembre 2011

Encore une?

Roman-théâtre

Doofie et Dummie sont en train de deviser face à un bon café nocturne, comme elles ont un bon sommeil, le café ne les empêchera pas de dormir le moment voulu. Mais voilà, Dummie qui habite dans le même quartier que Doofie, et qui est venue lui rendre visite à pied toute seule ce soir (il n'y a que deux cent mètres d'une maison à l'autre), a peur de rentrer chez elle, après ce que Doofie lui raconte encore. Quicky va-t-il venir à sa rencontre.... ou bien Schnelly, le sans peur et sans reproche,  la raccompagner chez elle, on ne sait pas encore, mais toujours est-il que je vais d'abord vous relater leur conversation!

Dummie : Tu as fait un bon voyage, ce soir, Doofie?

En effet, Doofie vient de rentrer de son cours de langue ouralo-altaïque. Il finit à huit heures du soir, et elle prend le train à grande métropole régionale avec Schnelly qui vient à sa rencontre.

Déjà sur le parvis de l'université, Doofie remarque que la lune est là : Tiens, Schnelly, la lune n'a  pas disparu après le passage de la météore, mais qu'y-a-il à côté? Une grosse étoile, mais elle ne scintille pas.

C'est vrai que la lune et la groisse étoile dans le ciel bleu devenant sombre, font un peu décor de Noël.

Bon, ceci est assez normal cependant, jusque là rien d'alarmant.

Après avoir attendu un moment à la gare de grande métropole régionale, Schnelly et Doofie prennent le train. A un moment, Doofie regarde dehors au travers de la grande vitre, elle est assise  à peu près à hauteur du milieu de la vitre. Ce qu'elle voit et qu'elle trouve bizarre, ... ah! mais j'avais dit que je relatais une conversation... j'arrête donc de prendre la parole moi-même, laissons parler nos amies.

Doofie : Oui, c'était bizarre, comme un lampadaire qui flottait au dessus des lampadaires, une bonne distance au dessus d'eux, j'avais vraiment l'impression que c'était dans le ceil. J'ai dit : Et Schnelly! Regarde! Il a regardé et à dit d'une air habitué : "Ah! Un avion!" et a tout de suite tourné la tête de l'autre côté.

Dummie : Ah! Et c'était un avion?

Doofie : Pas vraiment, je crois, beaucoup trop brillant... Puis il a disparu de ma vue.

Dummie : Et c'est tout?

Doofie : Non, ce n'est pas tout! Juste avant d'arriver à une gare, j'ai vu encore un objet brillant, dans le coin de la fenêtre vers mon avant (vers l'avant du train aussi puisque j'étais assise dans le sens de la marche), encore une chose très brillante, qui remontait le train en sens inverse, mais au dessus des maisons et de chanps,  assez loin. Puis on est arrivé dans la gare et la chose a été cachée par le bâtiment de la gare.

Dummie : Quelle gare?

Doofie : Celle d'une petite ville où il y a l'aéroport régional.

Dummie : Alors, c'était un avion, c'est sûr!

Doofie : Pas si sûre que cela, car après avoir remonté la gare et quelques maisons, on vitt encore une grosse lumière orange, un peu plus grosse que celle d'un lampadaire, mais elle brillait plus fort, j'avais l'impression qu'elle était comme des néons en triangle, mais Schnelly qui a regardé a dit que non, que c"était une grosse lumière orange. Qu'il n'y avait pas de triangle.

Doofie (toujours) : Mais moi, j'ai regardé plus précisément. L'objet était en train de tourner en arc de cercle. Et j'ai pu découvrir que le volume de l'objet (masse sombre) était supérieur à celui de la grosse lumière. Ce n'était assûrément pas une lanterne thaï, car il y avait sur le côté et à l'arrière deux clignotants de couleur claire. Je ne sais plus, si c'était bleu ou vert, de toute façon, c'était  presque blanc. A l'avant, il y avait toujours cette grosse lumière orange plus brillante que celle d'un lampadaire et on voyait derrière comme deux ailes en V vers l'arrière. Un peu comme celles d'un avion Mirage.

Dummie : Ah! Bizarre! Mais c'était peut-être un avion.

Doofie : Je n'ai jamais vu d'avion avec une lumière aussi brillante, et qui ne clignote pas, de plus!!! Non, c'était autre chose que je ne nommerais pas! Si c'était un avion, de passagers, près de cet aéroport, on aurait vu un long fuselage, avec des lumières derrière les hublots,et deux ou trois petits clignotants, un blanc à l'avant, et un rouge à l'arrière.

Dummie : Et Schnelly, qu'est ce qui l'en dit?

Schnelly (de loin) : C'était un avion...

Dummie : Et l'autre jour, c'"était des avions...

Schnelly : Hmm.. D'un genre spécial...

Dummie : Spatial?

Schnelly : Si on veut...

Doofie : Oui, oui, Schnelly les a vus aussi... et aujourd'hui aussi.

Schnelly : Aujourd'hui, c'était un avion...

Doofie : Hmm! Si on veut...

Dummie : Et d'autres gens l'ont vu?

Doofie : Le contrôleur n'était pas là, deux jours que je ne les ai pas vus passer. Plus loin, il y avait des gens qui s'amusait, et dans notre proximité, une jeune femme plutôt endormie, elle a d'ailleurs dormi après, je n'ai pas voulu la réveiller. Donc, à ma connaissance, il n'y a eu que Schnelly comme deuxième témoin, à moins que d'autres personnes l'aient vu sans nous le dire.

Dummie : Brr... pas rassurant tout cela, mais c'était encore loin d'ici...

Doofie : Oui, ici, rien d'alarmant, sauf que j'ai cru voir, en regardant l'étoile près de la lune de tous petits points rouges s'en échapper, comme si c'était une base de lancement. Mais ils sont loins d'ici, à 300 000 km. Plus rassurant que ce que j'ai vu du train.

Dummie : Oui, on en voit souvent depuis quelques années. Je me demande ce qu'ils veulent.

Doofie : Ah! Voilà Quicky, c'est pour toi, Dummie...

Dummie : J'ai peur....

Doofie : Allons, pas avec Quicky tout de même. Il va te protéger! Allez donne lui la main.

Dummie : Lui, me donner la main? Tu rêves!!!

Doofie : Allez les amoureux, au revoir, groses bises... Smack smack...

Dummie et Quicky : Smack, smack...

Dummie : Brr...

Doofie ferme rapidement la porte. Ah! J'ai encore donné la trouille à Dummie, sans le faire exprès, mince!

Schnelly s'en va dormir.

Pour Doofie, Dummie et les autres personnages de mon  roman-théâtre... Et surtout, n'allez pas croire que Doofie aurait bu, tout comme moi, elle ne boit que des boissons non alcoolisées.

domino

 

 

vendredi, 07 octobre 2011

Les transports en commun : la galère!

Roman-théâtre

(Doofie et Schnelly sont mes personnages de théâtre, professeurs tous les deux, ils intègrenet les transports en commun dans leur vie quotidienne).

Hier matin , comme Schnelly devait prendre son train à 8 heures et quelques minutes du matin, Schnelly et Doofie vont à la gare; Ils prennent le même train, pas de problème jusque là. Doofie est même un train plutôt que d'habitude et se dit : "Tiens, je vais voir s'il n'y a pas de car pour monter au collège (sinon, cela fait 40 minutes à une heure à pied selon son chargement et sa forme, un peu enrhumée depuis hier, Doofie à la belle voix, se remet à se moucher et à tousser). Doofie regarde sus ses horaires, et si... il y a un car à 8 h 39 précise (en fait, les horaires sont difficiles à consulter, car la ligne gare-collège est répartie sur 8 plus grandes lignes différentes, et presque tous les cars qui font ce bout de parcours, au début, à la fin, ou au milieu de leur parcours passent vers 7 h 30 à la gare d'arrivée de Doofie, heure où ils s'arrêtent, car plusieurs personnes les prennent.

Mais à 8 heures 30 et des, c'est la galère... Un premier car passe, le nom de la ville de son collège est en lettre de lumière sur son panneau avant, il s'arrête  à 20 mètres de Doofie (les arrêts sont à peine matéiralisé, deux arrêts en tout sur la place de la gare, mais les bus ne s'arrêtent pas forcément aux arrêts. Pas de passager juste devant sa porte, Doofie court tant bien que mal pour le prendre, il redémarre avant qu'elle arrive au bus. Elle court derrière, fait des signes, rien à faire, il est parti...

Doofie décide donc d'aller à pied, elle a à peine tourné les talons qu'un deuxième car arrive avec le nom de la ville où est son collège en lettres de lumières sur le devant, Doofie fait demi-tour fait signe au chauffeur qui la voit ou ne la voit pas, change son pannonceau en Dépot, écrit en lettres de lumière. Doofie traverse la rue en face de la gare, voit une troisième car arriver avec toujours le nom de le ville où est son collège en letres de lumière, elle se retourne, fait signe à la conductrice qui se trouve à ce moment juste en face d'elle, qui la voit ou ne la voit  pas... elle redémarre aussi sec après le signe de Doofie et houp là là, le car s'en va... sans Doofie.

Doofie se pose une question : Est-ce que cette compagnie affrêtée par le Conseil Régional pour les transports régionaux par car, est aus service du client ou est-ce le client qui est à son service?

Bon, ce n'est pas grave, Bêtite ne travaille que cet après-midi, mais elle a encore un tas de travail à faire d'iici-là!

Le soir, Doofie reste à une réunion, puis descend vers la gare, avec Schnelly qui est venu à sa rencontre...  à pieds, il n'y a plus de bus à cette heure là, mais comme mis à part la côte initiale, ça descend (on peut même descendre par des escaliers),

Schnelly lui montre un message sur son portable sur la route, il y a quelques chose de très grave, dit en même temps Schnelly. De très grave? S'exclame Doofie en retour en regardant le message, mais dans les secondes qui précèdent plein de malheurs possibles défilent dans sa tête, Maison sinsitrée? Proche décédé? Et elle lit "ter" En raison des sérieuses perturbations causées par l'agression d'un contrôleur..; Doofie se demande : C'est grave? Donc, Schnelly a agressé un controleur et a semé la perturbation dans le train? Moi, ce matin, j'ai dû sortir ma carte, juste au moment où j'allais descendre, et je n'ai pas râlé, alors que j'ai faillie à cause d ela controleuse qui me controle juste avant que je descende, râter mon arrêt. Parfois Schnelly s'énerve sur les contrôleurs, surtout les contrôleuse, par exemple quand il est contrôlé deux fois sur le même parcours. Une fois, il avait lié conversation avec la permière contrôleuse, tout juste s'il ne la draguait pas, et devant moi! Et la deuxième qui éait plus mingnonne que la première d'ailleurs, selon le goût d'une femme, mais les hommes n'ont pas forcément le même goût, s'est prise un discours de morale pace qu'elle contrôlait une deuxième fois et que Monsieur Schnelly avait été contrôlé deux fois.  Doofie a dit alors : "Mais Schnelly, tu exagères, laisse cette dame faire son travail!" Doofie n'a pas envie d'être mise dans le même sac que Schnelly.

En l'espace de quelques secondes, des scénarios montent à la tête de Doofie, peut-être qu'après sa descente du train ce matin, Schnelly aurait râlé parce que la contrôleuse encore une... Schnelly es un rien mysogyne lorqu'il s'agit de cotnôleuses... parce qu'elle m'aurait contrôlée juste avant la descente. Ou bien, elle la contrôlé lui, et il a râlé pour autre chose.. Bon, je ne sais pas...

Puis en lisant la suite du mesage, je comprends que c'est  une grêve générale des trains et pas seulement sur ma ligne et Schnelly a précise qu'un contrôleur a été agressé quelque part en France, mais ce n'est pas lui l'agresseur, alors je me demande ce que ça fait sur son téléphone, sur le moment, j'ai cru que c'était mois et lui qui sommes interdits de transpots en commun... vraiment, ce message est mal rédigé, et puis, pourquoi sur son téléphone à lui? Parce qu'il était écrit qu'on devait choisir d'autres moyens de locomotion. Bon, alors, ce n'est pas si grave que cela.. on aura peut-être un train quand même, si c'est "quelque part en France,, pardon, en Sarpénie, car dans le roman de Doofie et Dummie, elles habitent la Sarpénie, pays imaginaire..

Doofie mange son pique-nique en route sur un banc, car avec les cahiers qu'elle a corrigé entre midi, elle n'a pas eu le temps de manger... de toute façon le tain, on l'aura bien, d'ici 20 heures et des, il y a le temps. On arrive, je ne sais plus si c'est 19 h ou 19 h 30 sur le quai, c'est plutôt 19 heures.  Il commence à faire frisquet, car depuis hier, les grosses chaleurs sont passées, et d'ailleurs dès le premier rafraîchissement, le nez de Doofie qui n'aime pas le temps frais, s'est enrhumé; elle est même comme un peu grippée, car à certain moment, elle a comme des nausées. Surtout quand elle est debout ou quand elle se lève de sa chaise.

Bon, arrivés à la gare, le train est marqué et figure en vert, donc, il roule s'exclame Doofie. ça métonnerait, dit Schnelly. Prophète de malheur, pessimiste! lui rétorque Doofie. Doofie qui assise sur un banc face au quai, car à cette heure la gare est déjà fermée, commence à trouver le temps frisquet. Une famille attend des gens qui doivent arriver dans l'autre sens, ils ont des bébés, ça passe le temps de les observer. Et puis, un élève de troisième SEGPA de Doofie vient faire des tours à vélo sur le quai e fait meme des numérois d'équilibriste pour la frime, il roule sur la roue arrière, en passant plusieurs fois devant Doofie. ça veut dire : "Moi, je ne sais pas faire d'allemand, mais je suis fort à vélo!!" Il ne regarde pas Doofie, ne dit pas bonsoir, mais son petit frère qu'il a emmené avec lui (sans vélo, il est à pieds), est plus poli que lui. Doofie est emmitouflée dans sa capuche en laine, il ne l'a peut-être pas reconnue!

Un train aux vitres toutes noires passe dans l'autre sens. Sans passagers. Un deuixème train dans l'autre sens s'arrête, il amène une famille complète qui ressort de la gare avec la famille aux bébés. Ils ont aussi des bébés. Dans le sens de Doofie et Schnelly, rien, quelques passagers attendent.  A l'affichage, le pannonceau électronique met en rouge les trains ayant du retard ou étant supprimé, déjà deux trains supprimés dans l'autre sens, plus le train qui s'est arrêté, un autre dans l'autre sens voti son retard augmenter..; 50 minutes, 60 minutes, 70 minutes...

Shnelly et Doofie attendent .. Pas la peine d'attendre, dit Schnelly, j'appelle un taxi.

Non, il est encore affiché! dit Doofie, on ne va pas encore payer 50 € de taxi, alors qu'on a déjà payé notre place (avec le billet mensuel). Le train est encore affiché en bleu. L'un des trains rouges de l'autre sens disparait, on attend, le train, toujours affiché en bleu sans retard, est visiblement en retard, un train sans passagers, avec des cabines passagers noires est d'ailleurs passé à grand vitesses et sans s'arrêter dans l'autre sens, les trains roulent sans passagers et sans s'arrêter.

Soudaine le train affiché en bleu devient rouge et hop, la ligne du train disparait, il y en a un autre à 21 heurs 40 et des... Bon, on attend celui-là se dit Doofie, coup de vent, la pluie se met à tomber, ça devient franchement humide ici, le rhume de Doofie, ne va pas en s'améliorant..son dos devient froid, malgré la veste en polaire et la capuche de laine qui s'étend un peu sur ses épaules, Doofie sent le froid gagner son dos d'enrhumée, de quoi faire bientôt une pneumonie, ce qui par les temps qui courent lui arrive souvent ces dernières années. Ou une laryngite, et la belle voix disparaîtra pour quelques semaines vore un mois ou deux, pendant lesquels Doofie ne pourra ni chanter, ni faire de voix aigues dans ses compositions improvisations vocales..

Trois ou quatre trains de marchandises sont passés, des trains louches pour au moins deux d'entre eux, wagons blindés tous identiques, sans marque de société, les trains atomiques ne doivent pas toujours être annoncés, en plus, je suis en train de prendre plein de radiations atomiques, pense Doofie. Ces  tains presque fantômes passent à vive allure.

Doofie a été élevée avec les trains.. les trains à vapeur qui passaient dans le fond de son jardin.... quand elle était petite; Celui qui, à trois heures du matin, l'avait réveillée, en lui faisant si peur. Jusqu'à l'âge de sept ans, elle et son frère dormaient dans la chambre derrière. Après, ils ont changé de chambre avec leurs parents, en même temps qu'ils ont changé de médecin, je pense que c'est à cause de la cheminée du feu continu qui traversait la chambre devant, ele était plus chaude et ils étaient moins enrhumés, car petits, ils avaient dormi dans une chambre sans chauffage. C'était dans les années 50. Quand on était malade on dormait dans le salon près du feu continu, et Doofie a un souvenir agréable de ces journées passées allongées sous une couverture avec les serviettes éponge sur l'oreiller en cas de catastrophe venant de la bouche, et du goût des badigonnages de la gorge, meilleurs que certains autres médicaments au goût atroce.

Bon, les trains à vapeur passaient derrière la chambre de derrière avec leur panache de fumée polluante mais on ne savait pas que ça polluait), et leur bruit parfois infernal surtout le bruit des bièles quand ils passaient lentement; dans les toilettes dans la cour, se cachait "Petit loup" qui était sensé défendre Doofie des grands loups qui étaient dans les locomotives et dans les trains de machandises... "Petit loup", bien sûr était tout à fait imaginaire. Doofie animait dans son imagiantion d'enfant les objets : Dans la chambre devant, c'était la lampe du plafond, le lustre qui avait acquis une vie propre et était tantôt amical, tantôt menacçant. Ce lustre prenait vie lorqu'on éteignait la lumière... dans la demi-ombre des lampadaires de la rue.

Les trains passent ce soir, soit pleins et lours comme ces lourds trains de marchandise aux wagons tous identiques au contenu mystérieux et peut-être dangereux, ou les trains de voyageur, fantômes;, sans  leurs lumières le dernier train a fait comme le premier : le panneau bleu devient soudainement rouge et c'est écrit "Supprimé"; un monsieur qui travaille à la carrière et ne prend plus sa voiture depuis quelques temps, peste. Comment va-t-il farie maintenant, il habite à bien 90 km de train ligne directe), et revient demain pour travailler. Il dit qu'il va retourner sur son lieur de travail s'abriter dans le local, mais s'il dort mal il ne pourra pas travailler demain, et tant pis, il perdra sa journée! A cause des trains...

Un autre monsieur vient d'arriver, car le train supprimé a été cette fois affiché 10 mn avant l'heure de départ. Quoi? Supprimé? Et moi qui sort de ma journée de travail, s'exclame le monsieur! Pas content non plus. Il n'avait même pas de message sur son portable pour le prévenir.

L'heure du train est passé, dernier espoir perdu. Schnelly téléphone a plusieurs taxis, le réponse est toujours la même : "Taxi réquisitionné par la SNCF", finalement l'une de leurs compagnies habtuelles leur annonce qu'un collègue va conduire quelqu'un au bout de la ligne et revient vers 11 heures et demi. C'est la seule possibilité.

QUand il passe, ils est dans l'autre sens, et comme il fait froid, il les prend quand même, dans les deux sens... Doofie est compressée  à l'arrière gauche ... Ils sont 4 passagers, en plus de Schnelly et du chauffeur, il y a deux hommes... l'un d'eux sent le vin, ça sent l'homme et le vin.; un peu écoeurant. On fait le parcours jusqu'au bout de la ligne, le chauffeur connait la route moins bien que Doofie. Doofie regarde le ciel qui s'est dégagé, la lune brille fort, au Sud,mais l'horizon nord est tout aussi éclairé par une lueur blanche dont on ne peut distinguer la source, une aurore boréale lointaine.. Rien de bizarre dans le ciel, aujourd'hui! Doofie regarde les étoiles... le cel clair, les contours des arbres, le ciel devient plus sombre dans le département voisin et la région voisine, moins peuplé. L'homme qui sentait le vin descend. L'autre homme reste jusq'au terminus. ça ne sent plus le vin et l'homme; Il descend aussi. On est sur la chemin du retour, Doofie aura bien fait 80 km gratuitement en plus des 15 km payants du parcours officiel qui coûteront 30 €. Sur le chemin, le taxi prend un jeune homme qui insitse pour être pris, il était à pied sur la bord de la route; il est déposé en pleine campagne à seulement 800 mètres de chez lui... 20 €, jeune homme. Lui, ce jeune homme sentait le tabac. Doofie déteste cette odeur là. "Si, si, je vais payer, monsieur, dit le jeune homme qui s'installe devant, tandis que Doofie et  Schnelly  prennet leurs aises derrièrre. Et le jeune homme  paie, 20 €.

Schnelly et Doofie sont seuls sur le retour. Doofie regarde les étoiles. En passant devant la gare où ils auraient dû prendre le train, le conducteur remet son compteur à zéro et il comence à tourner pour Schnelly et Doofie.  Elle regarde les contours du paysage, qu'elle ne peut pas observer d'habitude. Cherche les sources de lumière trompeuses.

Bon, Schnelly et Doofie, sont  reconduits à leur gare de départ, ils n'ont pas de prise en charge SNCF comme les deux premiers passagers. Schnelly  paie 30 € à la descente. Pour eux deux.

Quelle soirée!!!

Pour Doofie et Schnelly

domino

mercredi, 07 septembre 2011

Usage professionnel!

Roman-théâtre

 

Schnelly et Doofie habitent dans une cité résidentielle, où, selon le sens très élargi qu'en a Schnelly, on ne peut utiliser les maisons dans un but professionnel, ni avoir une partie de la maison à usage professionnel.

Rappelons, pour le néophyte qui prend ce roman en cours de route, que Schnelly et Doofie sont un couple de professeurs travaillant dans l'éducation nationale!!!

Alors, Doofie s'est étonnée, que Schnelly commence à encombrer les tables et les bureaux, en objets en tout genre, qui vont des médicaments, aux ustensiles de cuisine, en passant par les livres de loisirs, de façon à ce que Doofie, n'ait plus un seul endroit pour travailler, sauf son petit coin ou son portable est posé. Si bien qu'elle ne peut plus travailler que sur ordianteur et ne peut plus écrire à la main.

Même l'endroit pour poser l'assiette, s'est réduit à la place d'une assiette pour Doofie ou un bol, Schnelly mange debout.

Les livres professionnels de Doofie, c'est à dire les livres d'allemand disparaissent souvent, cachés sous d'autres livres, pour qu'on voit bien que dans cette maison, on ne fait pas d'usage professionnel!

Bon, Schnelly et Doofie n'ont jamais donné de cours dans leur maions, mais de là à interdire aux profs de corriger leurs copies chez eux, il n'y a qu'un pas. Hier soir, Schnelly voulait laisser le cartable de Doofie au garage pour qu'elle ne l'utilise pas dans la maison.

En fait, Doofie se dit que Schnelly travaille peu, alors qu'il a ses horaires depuis juillet, il n'a pas préparé de cours pendant les vacances, manger, faire à manger, faire la vaisselle, faire les courses et dormir, s'allonger dans la journée, voici tout ce qu'a fait Schnelly pendant les vacances, alors que Doofie s'activait à son ordinateur, le seul endroit où elle a encore de la place pour écirre!!

Ah la la, ils ont bien fait de dire qu'on ne pouvait pas utiliser les maisons pour un usage professionnel, même si on en est proprétaire! Schnelly les a pris au mot!

Alors, Doofie est bien embêtée, elle passe son temps à désencombrer tables et bureaux qui sont réemcombrés aussitôt.

Pour Doofie et Schnelly

 

domino

(ce que font Doofie et Schnelly n'engage qu'eux-mêmes et pas domino, leur auteure, créatrice de leurs jours).

 

 

 

dimanche, 04 septembre 2011

OVNI et Orage (UFOS and Thunderstorm)

(Roman-théâtre)

 

Bon, ceci est arrivé à Doofie et à Schnelly ce soir, et pas à Bêtie, Bêtie est dans la région où Doofie habitait avant, on ne sait pas dans quelle région exactement habitent Doofie et ses amies Dummie et compagnie, parce que Doofie et ses amies (qui habitent toujours non loin d'une frontière) veulent garder leur région secrète par rapport aux lecteurs de blogs.

Bon, je dois dire que je ne suis pas forcément d'accord avec ce que Doofie a vu et ce qu'elle raconte, après tout, Doofie est magicienne, je me fais juste l'écho de ce qu'elle a raconté à mon oreille de romancière. Mais, je ne suis pas forcément d'accord avec Doofie.

Ce soit Doofie fasait cours à ses élèves grandes personnes du samedi, lorsque soudain (et il faisait très lourd et chaud), elle a vu un éclair par la fenêtre derrière la tête d'un de ses élèves, par derrière une maison qui est en biais de l'autre côté du carrefour. Et elle a sursauté et dit "O, mince, voilà l'orage, et dire qu'il nous faut faire la route ce soir!Et il va encore y avoir de l'orage!"

Son élève a dit : "O, mais il n'y a pas de danger dans une voiture, moins de danger que dans une maison!" et il y avait de plus en plus d'éclairs, puis un peu moins, on entendait pas encore le tonerre, bien que ses élèves parlant avec des voix assez fortes (il ne chahutaient pas, bien sûr, ils parlaient du cours!), et comme il y avait de la circulation dans la rue, il y aurait eu suffisamment de bruit pour couvrir un léger tonnerre lointain.

Puis, alors que les éclairs diminuaient, Doofie prononçant la formule magique qui servait à éloigner les nuages, elle dit d'un seul coup, après avoir continué encore un peu son cours (Tiens! on dirait qu'il n'y a plus d'éclair). Et à ce moment là un gros éclair zébra le ciel derrière la rangée de maison d'en face! Alors un élève commencça à raconter, que dans ce quartier là la foudre tombait souvent et comme il habite dans cette ville depuis sa jeunesse, comment un jour, il avait vu l'éclair tomber juste sur l'élément en fer, sur lesquels sont accrochés les fils électriques qui vont de maison en maison, et qu'il avait même entendu un bruit qui faisait "Tchch!" juste à côté de lui!

Puis, continuant son cours, Doofie ne fait plus un moment attention aux éclaires de plus en plus rare, et lorsqu'elle lève de nouveau la tête vers la fenêtre et dit "Ah, on dirait qu'il y a moins d"éclair", au moment où elle prononce ce mot, un gros éclair zèbre de nouveau le ciel!

Schnelly qui était parti chercher à manger, était revenu et s'était installé à l'autre bout de la table, quand soudain, Doofie redisant encore une fois "on dirait qu'il n'y a plus d'éclairs!" un éclair se manifeste de nouveau!

Schnelly commence à dire : "C'est toi qui les provoque!!", en faisant des yeux mi amusés, mi courroucés, alors que Doofie répond d'un air courroucé que ce n'est pas possible, qu'elle ne peut pas les provoquer, que sinon ce serait comme si elle rêvait sa vie, s'il y avait de telles coïncidences.

On aurait dit que Doofie essayait de faire partir l'orage, et que au contraire, Schnelly regardait à chaque fois Doofie au moment où elle disait cela, essayant d'extraire de son mot "éclair", la force de le provoquer.Et il disait que c'était Doofie qui les provoquait.

Pendant les vacances il n'y a pas eu beaucoup d'orages, mais quand on était chez Bêtie, il y avait des orages à chaque fois que Rapidy et lui allaient faire les courses. Et laissaient ces dames toutes seules. Une fois, ils devaient aller faire les courses dans la vilel voisine et voyant l'orage arriver, ils sont juste allés à la supérette du village, pour ne pas laisser seules ces dames qui ont peur de l'orage.

Schnelly n'a pas peur du tout des orages, il en rit, une fois il a vu une boule de feu poursuivre sa soeur et ça ne lui a rien fait...  quelqu'un a ouvert la porte d''entrée d'une salle de fêtes où ils se trouvaient dans un village de vacances, et la boule est sortie par la porte alors que sa soeur s'esquivait sur le côté Et il n'a toujours pas peur, mais sa soeur qui n'en avait pas peur auparavant en a peur.

Quand l'élève est rentré chez lui, alors qu'il commençait à pleuvoir, il avait sa voiture pas loin, l'orage s'est approché de nouveau. Doofie a commencé à manger l'assiette végétarienne que Schnelly lui avait amené, et le locataire qui loue l'appartemetn au dessus de la salle de cours, est venu jeter un coup d'oeil alors que Schnelly rangeait le matériel (Doofie avait pris soin de débrancher son matériel électronique dès le début de l'orage).

Puis soudain, le tonnerre étant devenu fort et de très grandes lumières bleutées éclairant tout le quartier, la lumière s'est soudaine éteinte, et on a entendu comme un tchac non loin de l'entrée et des toilettes apparemment là où se trouve le disjoncteur, et Doofie a dit "C'est tombé sur la maison!" (Celle où ils font cours). Mais il s'est avéré que si lampadaires et enseignes étaient restés allumés, il n'y avait plus du tout de lumière dans les maisons entourant le carrefour. L'orage un peu calmé, Schnelly est allé voir dehors, et il a dit que seule d'une des trois rues donnant sur le carrefour avait une panne de courant qui ne touchait que les maisons.

Après avoir mangé et rassemblé leurs affaires dans la pénombre, Schnelly a dit : "Allez, on y va! et Doofie a dit : "Non, pas maintenant, il y a encore des éclairs, je partirai quand il n'y aura pas eu d'éclairs pendant une demi-heure pour être sûr que l'orage est bien fini". Schnelly qui paraissait très grand et fort quand il était au milieu de la rue pratiquement déserte à regarder si la panne de courant était généralisé ou non, semblait soudain devenu très mince, mais il se moque toujours de Doofie.

Et si Doofie était partie à ce moment là, elle aurait peut-être bénéficié du spectacle des éclairs que Schnelly trouve si beaux, mais elle n'aurait pas vu le spectacle autrement beau et inquiétant qu'elle a vue à l'arrivée chez elle.

Vers minuit trente, alors que l'orage s'était enfin vraiment calmé, Doofie et Schnelly ont regagné leur voiture avec leur matériel de cours, Doofie demandant si la lumière n'allait pas se rallumer brusquement à la reprise du courant, Schnelly a dit que non... qu'il l'avait fermé. Mais moi je l'ai ouverte et fermée a dit Doofie, alors on ne sait pas si elle est ouverte ou fermée. Puis Doofie a dit : le locataire verra bien si la lumière est allumée, il l'éteindra demain. Mais ça va faire des dépenses d'électrcité pour l'association. Doofie aurait bien voulu rester jusqu'à ce que le courant revienne.

Bon, Schnelly est vraiment terrible, à un moment il a dit : De toute façon, ils ont annoncé de l'orage pour toute la nuit.  Alors Doofie a dit : Non, un orage, ça peut très bien ne durer qu'un quart d'heure, ou une heure, pourquoi ils durerait toute la nuit, on voyait que sur la croix de la pharmacie d'en face, la température était passée de 26° à l'ombre, début septembre! à 18°, puis à la fin de la pluie à 19°. Et dire que dans deux mois, il gèlera, s'est dit Doofie!

Bon Schnelly s'était toujours allié avec la mère de Doofie contre elle, pour des discussions sur des bouts de ficelles ou des queues de poires. Mais Schnelly est maintenant seul contre Doofie, mais encore pire qu'avant, et après il essaie de se faire pardonner. Schnelly, même quand il a tort, veut toujours avoir raison.

Alors, après l'accalmie et bien que Doofie avait vu encore deux petits éclairs au dessus des maisons d'en face, mais tout petits dans les nuages, Doofie a accepté de prendre la route. Sur la route, ils ont vu encore un ou deux éclairs vers l'Est au dessus de la forêt, puis plus rien pendant un bout de temps. En traversant sous préfecture la voiture est devenue bizarre, on aurait dit qu'elle avait un chargement qui ballottait dans le coffre ou un bruit au dessous, puis sur la route, ce bruit est passé. C'est vrai qu'il y avait des livres. Le réservoir étant presque vide, Doofie s'est dit que ça pouvait être l'essence qui bougeait dans le réservoir et Schnelly disait toujours, je n'entends rien, il n'y a rien de bizarre. Mais Schnelly n'entend et ne voit jamais rien ou minimise toujours tout.

Doofie a encore vu un petit éclair en arrivant en ville, au desus de la campagne plus loin, juste quand ils abordaient les ralentisseurs, mais Schnelly n'a toujours rien vu.

Et puis on est arrivé devant la maison. Schnelly est descendu pour ouvrir la porte de la maison, car il faut passer par la maison, puis par la cave et arriver au garage pour ouvrir la porte qui ne s'ouvre que de l'intérieur. Doofie était restée assise dans la voiture en attendant, et regardait si des gens étaient encore debout dans leur quartier et avait eu son attention attirée par des lumières sur une rangée d'une maison perpendiculaire, on n'est pas les derniers à aller se coucher, s'est dit Doofie. Elle ne pensait à rien d'autre et que finalement ils avaient échappé à l'orage sur le chemin du retout, même s'ils en avaient eu leur part dans leur salle de classe... quand elle eut son regard attiré sur la droite (la voiture était face au garage perpendiculaire à la maison), par un éclair, assez petit à vrai dire; Et puis, alors.... Doofie eut peur, elle vit arriver de la gauche de sa gauche, donc, dans le coin arrière droit de la voiture, mais assez haut dans le ciel, bien au dessus des maisons, plusieurs boules de feu, elle ne sait pas combien exactement... qui traversaient le ciel silencieusement du côté où il y avait eu l"éclair. Elle pensa à des boules de feu d'orage, et puis non, c'était beaucoup trop en ligne droite et régulier, et elles ne laissaient aucune trainée sur le ciel donc, ce n'était pas des avions et en plus le ciel étant nuageux, elles étaient forcémetn au dessous des nuages.

Tout d'abord, Doofie fut fascinée par ce phénomène étrange et le fait que ces lumières plus que des boules avançaient régulièrement, majestueusement dans le ciel. Il faut que je prévienne Schnelly se dit Doofie, d'autant plus que ces lumières avaient l'air de s'approcher; mais elles firent un arc de cercle, suivant la ligne de faîte des toits de sa rangée de maison et disparurent derrière le faîte des toits. De l'autre côté des maisons côté campagne.

Puis une deuxième formation arriva, majestueuse aussi, Schnelly n'arrive pas, se dit Doofie, parfois il met un quart d'heure à ouvrir la porte, passant d'abord par les toilettes. Doofie klaxonna, en pleine nuit, mais le spectacle en valait la peine, Doofie prit le téléphone de Schnelly qui traînait là et fit le numéro de la maison, il va peut-être décrocher et je vais lui raconter, elle chercha fébrilement son appareil de photo dans son sac, mais déjà les OVNIS disparaissaient derrière le faîte des toits suivant la même trajectoire que les autres.

Schnelly ne venait pas et elle vit passer ainsi cinq ou six formations de ces lumières oranges, en petit nombre, mais c'était inquiétant, certaines lumières, mais pas toutes formant un triangle entre elles, comme les oiseaux ou les avions dans les meetings aériens.

A un moment il y eu de nouveau un petit éclair et les OVNIS passaient devant les nuages et l'éclair derrière les maisons de la cité, à l'autre bout de la rue, puis comme les autres viraient par dessus les les toits et suivant leur faîte et sans aller jusqu'à la maison de Doofie, elles passaient de l'aure côté de la rangée et disparaissaient vers la rivière.

Enfin, Doofie réussit à trouver son appareil de photo, qu'elle terrait fébrilement dans son sac, elle voulut faire un film et fit une photo, on ne devine que trois petits points dans le ciel, à cause du lampadaire qui gêne la vue. Et ensuite comme elle a réussit a filmer de l'intérieur de la voiture, mais on ne voit rien, une autre voiture étant arrivée à ce moment du bout de la rue, et ayant gêné la vue, en plus il y avait des gouttelettes de pluie sur la vitre latérale sale au travers de laquelle Doofie a photographié et filmé. Doofie tremblait en filmant, elle avait peur et à ce moment là Schnelly a ouvert la moitié de la porte du garage, Doofie a ouvert légèremetn la portière et a crié : Schnelly, vite, vite, des OVNIS, là haut (on les voyait encore). Schnelly, faisant enfin attention à elle, depuis cinq bonnes minutes que durait ce ballet nocturne, a fait "Quoi?" Comprenant enfin le mot OVNiI, il a remonté la pente qui se trouve devant le garage derrière un mur, est arrivé sur le trottoir et a vu passer précisément les cinq derières OVNI de ce ballet nocturne.

Vite ouvre l'autre moitié de la porte, a dit Doofie, on rentre la voiture.

Doofie et Schnelly ont rentré la voiture, je veux dire Doofie, non Schnelly. Cette histoire que m'a racontée Doofie m'intrigue tellement...  me fait peur, que je ne sais plus lequel des deux a rentré la voiture, bref...  Doofie ne boit jamais d'alcool, ne fume pas, n'est pas droguée, Schnelly en principe non plus, mais il est parfois bizarre, m'a dit Doofie, il a des métamorphoses physiques et son caractère a changé depuis quelques années... Doofie se demande parfois s'il n'est pas lui même un extra-terrestre, sosie de son cher et tendre Schnelly d'antan. Mais alors où est le vrai Schnelly, kidnappé???

Doofie avait justement lu deux jours avant des témoignages sur les OVNI sur Internet, des sites entiers et des forums sont consacrés à ce phénomènes et plusieurs fois des phénomènes analogues à celui qu'ont vue Doofie et Schnelly, ont été rapportés. Et pourtant là, Doofie ne dormait pas, elle était bien réveillée, elle n'a pas rêvé.

Schnelly a vu aussi, il a dit tout d'abord trois OVNIS en triangle, puis il  a dti cinq, mais pour lui, ce ne sont pas des OVNI. Il a encore ri et a dit : Ce sont des ULM avec des lumières, une devant, et une au bout de chaque aile, ce qui fait les triangles.

Mais des ULM, c'est beaucoup plus petit, a protesté Doofie, regarde c'est à peine plus grand que la taille d'une personne et là où ils se trouvaient, ils n'étaient pas très haut, mais assez haut quand même pour ne pas être confondus avec des ULM et on n'entendait pas de moteurs.

Alors Doofie pour abonder dans le sens de Schnelly a dit que c'était peut-être un phénomène naturel dû à l'orage.

Puis, elle a montré à Schnelly des photos sur Internet avec le même genre de phénomène. Il y a des fêtes maintenant avec des lanternes Thaï qui peuvent ressembler à cela. Mais les lanternes thaïe partent généralement du sol et ne viennent pas du ciel, elles volent de bas vers le haut comme les ballons des lancers de ballons et ne passent pas à l'horizontale, elles ne disparaissent pas derrière les toits, quand Doofie pense, pourvu qu'elles ne viennent pas jusqu'ici. Comme si elles lisaient dans la pensée de Doofie.

Doofie a vu que Schnelly avait encore regardé dehors avant de fermer le dernire pan de la porte du gargare. Elle ne sait pas s'il en a vu d'autres. Comme je l'ai dit, Doofie et Schnelly ne boivent pas. Tout comme Bêtie, Doofie et ses amies se sont fait un point d'honneur de ne jamais boire d'alccool, ceci depuis l'êge de 18 ans.

Doofie pense aussi à une manifestation divine, elle pense aux phénomènes de Fatima, ou à Ezechiel : et pense à cette chanson qu'elle entendait sur le pick-up lorsqu'elle était petite : "Ezechiel dans le ciel a vu, la roue qui roule, qui roule encore, Ezechiel dans le ciel a vu, la roue au rayon d'or...", chanté par la grosse vois de John William, qu'il ne faut surtout pas confondre avec le guitariste John Williams.

Il parait que la défense s'intéresse à ce genre de choses :

Alors, direction des OVNI, apparues au Sud de la Cité, direction venant du Sud-Sud-Ouest...  se dirigeant vers le Nord-Nord-Est, puis virant vers le Nord-Nord-Ouest au dessus des maisons.

Allez, Doofie, ne rêve pas trop...

Moi, domino, la journaliste alternative, je fais juste état de ce que Doofie a vu, Doofie qui ne veut pas être inquiétée, ni onterrogée davantage, il faudrait peut-être en parler aux voisins se dit Doofie pour voir s'ils ont vu la même chose... mais ils dormaient tous.

En tout cas, elle m'a dit que là, c'était long, pas du tout furtif comme les autres phénomènes qu'elle a vu surtout en voiture, beau et inquiétant en même temps...

Doofie, n'en croyait pas ses yeux, et dire que ça m'arrive à moi, de voir cela, s'est-elle dit... Demain, ils en parleront à Dummie, Follie et leurs amies et téléphoneront à Bêtie, mais elle va avoir peur...

Un de ses voisins a déménagé... il avait peut-être aussi vu quelque chose.

Pour Doofie, et sans garantie que ce qu'elle raconte soit vrai...

C'est un roman-théâtre.

domino