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mercredi, 08 mai 2013

Lutrin ou pupitre?

Roman-théâtre

Du journal de Dummie :

Un  jour où notre célébrissime Doofie, notre amie de toujours était à un stage de musique, voici ce qui lui est arrivé, elle préparait un duo avec une ressortissante de la très belle Helvétie, dans sa partie de langue francique.

Alors que les deux duettistes étaient assises devant leurs pupitres avec leur guitare bien placée en position classique, l'Helvète lui  demande "Peux-tu me passer mon pupitre?"

"Ton pupitre?", répond Doofie, s'inquiétant de la vue de sa camarade, "mais il est là devant toi!"

"Non, pas le lutrin!" répond l'Helvète, "le pupitre!"

"Le pupitre?" insiste Doofie, "Mais, il est là, devant toi!"

"Non, il est là-bas!" dit lHelvète en désignant le repose-pied qui traînait par terre, de l'autre côté de Doofie.

"Ah, ton repose-pied!" dit Doofie, "en éclatant de rire! Pour nous ceci est une repose-pied et là, c'est un pupitre!"

"Non, c'est un lutrin!"insiste l'Helvète qui avait un sacré caractère.

Dummie

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Cela me fait penser à certaines scènes d'Astérix, se dit Sottie qui lit en secret le journal de Doofie. Et elle écrit dans son journal à elle :

Moi, il m(est arrivé un autre truc hier. Alors que je fermais ma classe à Montaujeux, je demande à l'employée du ménage qui était dans le couloir en face de la classe à côté si je dois fermer les persiennes.

"Madame, faut-il que je ferme les persiennes?" Souvent, elle les ferme elle-même en faisant le ménage. Dans les collèges où je suis, on ferme toutes les persiennes, même aux étages pour des raisons de sécurité. Je me demande bien quel est le voleur qui escaladerait les murs aussi haut... mais dans ces pays de montagne, c'est vrai qu'il y a beaucoup d'alpinistes!

Au lieu de me dire "Non, non, laissez, je vais le faire" comme ele dit d'habitude, l'employée dit en se rapprochant :

"Qu'est ce que vous dites? Je ne comprends pas...?"

"Dois-je aussi fermer les persiennes?" redemandai-je. .

"Fermer quoi?" s'inquiète l'agente en fronçant les sourcils avec l'air de ne pas comprendre du tout et en se rapprochant pour voir ce que je désignais du doigt.

"Les persiennes!" insistai-je.

"Ah! Les volets!" répond l'agente avec un soupir de soulagement; "Non, je vais le faire... " dit-elle. "Mais comment-vous avez dit? Je ne comprends pas le mot."

"Ah! Vous dites les volets!" dis-je. "Chez nous tout au Nord du Nord, on disait les persiennes. Les volets c'était dans le temps, les grands volets à deux battants" fis-je tout en faisant le geste d'ouvrir et de fermer des volets à deux battants. Chez nous, ce qui s'enroule, ça s'appelle des persiennes!".

"Ah!" fait l'agente, "et d'où vient ce mot?"

"Je ne sais pas..." dis'je..."ça doit venir du mot Perse. Ils avaient peut-être des volets comme cela en Perse".

"Ah!" dit l'agente, et nous nous saluons cordialement.

Après vérification sur un dictionnaire d'internet, les persiennes sont des volets constitués de fines lamelles horizontales et qui peuvent laisser entrevoir le jour, alors que les volets sont à deux battants et en bois plein.

Sottie

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"Tiens,", se dit Doofie qu lit en secret le journal de Sottie. Moi, il m'en est arrivé une autre du même genre dans les années 80, alors que je faisais un groupe de chansons avec une collègue.

"Bon, demain, je ne viendrai pas répéter," me dit la copine et collègue, car nous allons mettre du tapis sur les murs de notre bureau."

"Du tapis sur les murs?" dis-je... 'Tu tapisses avec du tapis?"

"Et bien oui!" dit la collègue et néanmoins amie. "C'est normal que l'on mette du tapis sur les murs. Toi aussi tu as du tapis sur tes murs!"

"Moi? J'ai du tapis sur les murs? Non, c'est du papier, du papier peint, ma tapisserie!" dis-je, "pas du tissu!"

"Mais je ne mets pas de tissu" répondit la collègue, "mon tapis est en papier comme le tien!"

"Mon tapis? En papier? Mais ce n'est pas du tapis, moi, je mets les tapis par terre... c'est du papier peint".

"Du papier peint, si tu veux...." "Mais nous on dit du tapis", dit la collègue.

"Ah, moi mes parents disaient qu'ils allaient refaire la tapisserie."

"Ah non, " rétorque la collègue, "la tapisserie, c'est au point de croix, comme dans ton cadre là-bas!"

"Ah, le canevas!" dis-je. "Oui, c'est aussi de la tapisserie, mais chez nous, au Nord du Nord, le tapis, c'est uniquement par terre.

Doofie

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C'est vrai que dans cette région là-bas, ils ne parlent pas toujours bien, se dit Foolie, qui lit en secret le journal de Doofie..  tiens un jour j'étais chez ma tante, qui était depuis une quinzaine d'année dans la région... J'allais souvent chez cette tante, car c'était la personne de la famille qui habitait le plus près de chez moi. Elle me sert du café en me disant:

"Tu en veux, non plus?"

"Non plus? fis-je, en écarquillant les yeux..

"Ah!" fat ma tante, "Voilà que maintenant, je me surprends à parler comme les gens de par ici!! Comme on prend vite de mauvaises habitudes!  Ici, ils disent "non plus" à tout bout de champ. Tu sais, c'est drôle... qu'ils disent ni'mporte quoi, ils ajoutent non plus dans leur phrases. Tiens ma voisine, si elle veut que j'aille faire  les courses avec elle, elle me dit "Tu viens non plus?", au début, je me demandais s'il fallait que je vienne ou pas... ou bien "Ma fille est non plus là!" Mince alors, elle est là, ou elle n'est pas là?, se demandait ma tante. En fait, elle n'avait pas dit : Elle n'est plus là!", mais "Elle est non plus là" et pas  "elle n'est plus là, non plus".

Et si elle disait qu'elle n'était plus là, la voisine disait  : "Elle n'est  plus là, non plus!", comme quoi, dans ce régionalisme très local, le "n'" est important.

Enfin, bref, il y a de quoi se mélanger les pinceaux, avec ce "non plus" "Tu veux non plus encore de la soupe?" "Tu viens non plus avec moi te promener dans le parc?" "Tiens, tu as non plus un chat!" 'N'oublie pas de fermer la porte à clef, non plus!", "il est non  plus venu hier..." bref... avec leurs "non plus", le doute règne.

Foolie

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"Tiens" se dit- Dummie qui lit en secret le journal de Foolie, cela ressemble à mon histoire à moi... aurait-elle lu mon journal???

Mais, nous savons tous que Foolie est innocente, elle n'a pas lu le journal de Dummie, heureusement, que je suis là, moi, l'auteure, domino, pour l'innocenter.

Pour  Doofie, Sottie, Dummie et Foolie..

domino

"

 

samedi, 16 mars 2013

Hermès, Charles Quint, Philippe II et le Duc D'Albe

Roman-théâtre

- Doofie : Ma chère Dummie, je viens de faire une recherche et je suis tombée sur un article en néerlandais sur l'encyclopédie Klikimédia.. Ton je ne sais combien de fois arrière-grand-oncle Hermès, le frère de ton aïeule Baerbel  n'était pas seulement le conseiller de Charles Quint.

Né en 1500, professeur de droit à la faculté de Louvain de 1526 jusq'à son mariage en 1537, il fut conseiller de Charles Quint seulement à la fin de son règne à partir de 1550. Ensuite, il fut conseiller de Philippe II d'Espagne... et du Duc d'Albe...

- Dummie s'exclame : Quoi???? Du duc D'Albe? De Alba du Don Carlos de Schiller? Ce vilain personnage...

-  Doofie : Et oui, ma pauvre Dummie...

- Dummie : Tu aurais pu t'abstenir de me le dire... Déjà Philippe II, il n'a pas très bonne réputaion aux Pays-Bas, alors Alba... Moi, j'aurais pris parti pour Don Carlos.

- Doofie : Alva, ma chère, ça s'écrivait en néerlandais Hertoog Alva...

- Dummie : Oh! Mais que me dis-tu là...

- Doofie : En plus, c'était un de leurs amis, l'un de leurs familiers...

- Dummie : ça alors... Et mon aïeule, elle était aussi leur familière?

- Doofie : L'histoire ne le dit pas... Elle était restée dans sa ville natale, où il y a une église Saint Hermès. Son mari, le beau-frère d'Hermès,  était bourgmestre durant certaines années, car la charge était élective. Ils avaient beaucoup de frères et soeurs...

- Dummie : Le bourgmestre... C'est aussi mon ancêtre... Forcément...

- Doofie : Bien sûr..

- Dummie : Mais par qui je descends d'eux, mes grands-parents du côté de mon père n'étaient pas très aisés... ? Lui état ouvrier et ma grand-mère ouvrière du textile...

- Doofie : C'est à la fin de l'absolutisme que tout a chaviré pour tes ancêtres, mais certaines branches de cette famille ont eu plus de chance. Petit à petit, les héritages se subdivisent tant qu'il ne reste plus grand chose.

- Dummie : Et le philosophe troubadour catalan ?

- Doofie : Là, tu descends directement de lui par ta grand-mère paternelle.. Les deux femmes qui t'offrent ces ancêtres sont ton arrire-arrière grand mère du côté de ton grand-père paternel et ton arrière grand-mère du côté de ta grand-mère paternelle. Qui avait une ancêtre sur sa branche féminine qui était la fille d'un descendant direct du catalan, elle s'est mariée avec un flamand. de Bruges, peut-être quelqu'un de connu.  Peut-être qu'elle était la fille d'un grand d'Espagne, car ce philosophe avait été dans sa jeunesse page du roi d'Aragon.

- Dummie : En fait, c'était des ouvriers qui étaient mariés ensemble et descendaient tous les deux d'interllectuels très célèbres au Moyen-Age et à la Renaissance...

- Doofie : Exactement... sans le savoir sans doute... C'est ainsi que les grandes âmes se choisissent pour faire des petites filles comme toi...

- Dummie : Oh, ne me lance pas de fleurs Doofie, je ne suis pas si bien que toi...avec ton QI de 232... la championne du monde des QI.

- Doofie : Il faut bien être championne de quelque chose... Mais je vais te raconter une chose : pendant nos études d'allemand, on nous a inculqué que le Duc d'Albe (Alba pour Schiller) était un méchant, et Don Carlos un gentil.. et voilà que tu te retrouves par tes ancêtres en porte-à-faux avec cette idée, voilà, ce qui te chagrine Dummie, mais il faut de tout pour faire une famille...

domino

 

 

 

Charles Quint

Du journal de Dummie,

comme Doofie m'a dit qu'un de mes ancêtres, ou, non, je me trompe, le frère d'une de mes ancêtres était conseiller de Chares Quint, j'ai fait une petite recherche sur Charles Quint, et ça me permet de réviser la dynastie habsbougeoise.

Bon, Charles Quint a vécu à la même époque que François 1er et Henri VII d'Angleterre. C'était un enfant malingre, et pâle, qui au départ ne connaissait que le néerlandais, sa langue maternelle, et le français, sa deuxième langue (comme tout bon belge actuel).

En efet,  il avait été élevé chez sa tante Marguerite de Bourgogne à la cour de Malines (Mechelen en néerlandais et Mecheln en allemand) près de Bruxelles. Avant son coronnement à l'âge de 16 ans, au palais Coudenbergh de Bruxelles, il n'a pratiquement vécu qu'au Pays-Bas (Bruxelles faisait partie alors des Pays-Bas bourguignons, autrichiens et espagnols).

Certes François 1er avait essayé de prendre ces Pays Bas à Maximilien de Habsbourg, mais il n'a obtenu que la moitié Sud de la Bourgogne et Maximilien, puis Charles Quint ont gardé le Nord de la Bourgogne, qui était cinstituées essentiellement des Pays-Bas et du Luxembourg. C'est l'Etat tampon des ducs de Bourgogne qui possédaient aussi le Comté des Flandres, et qui étaient des ennemis héréditaires des rois français, l'ancienne Lotharingie, issue du partage entre les petits fils de Charlemagne, qui est coupé alors en deux (par Maximilien et Fraçois 1er) et c'est ce partage du Duché de Bourgogne qui va créer les premiers conflits entre le Saint Emoire Romain Germanique dont font partie l'Autriiche et les Pays Bas et aussi tous les petits états allemands et une partie de l'Italie et la France. Donc, les problèmes entre la France et l'Autiche-Allemagne datent de l'époque de François 1er.

Charles Quint n'hésite pas à humilier ses ennemis, sans les tuer, il les fait prisonnier. Je suis moi-même française de naisance, mais ce que mes compatriotes ignorent souvent, eux qui portent aux nues François 1er, c'est que ce grand roi de France, sil a certes  gagné Marignan et a perdu beaucoup d'autres batailles et a dû ensuite rendre les provinces gagnées en Italie à Charles Qunint, qui l'a fait prisonnier. Il fit prisonnier d'abord François 1er (en Espagne) pendant un an, puis ses deux fils pendant assez longtemps et il a demandé pour eux une rançon (en Gulden, bien sûr, il était néerlandais...) et de restituer les provinces italiennes gagnées à Marignan.

En effet, Charles Quint possédait ces provinces qui lui étaient revenues à la mort de Jeanne d'Aragon, sa mère, dite Jeanne la Folle, car l'Espagne avait outre ses provinces d'Amérique aussi des provinces italiennes.

Son empire où le soleil ne se couchait jamais, était constitué de se provinces d'Autriche, héritées de son père Habsbourg, ses provinces néerlandaises du partage de la Bourgogne (auparavant, les Pays-Bas étaient bourguignons), et ses provinces italiennes et d'Amérique de sa mère Jeanne D'Aragon, car les autres héritiers del la couronne d'Espagne étaient morts.

Comme dans l'Antiquité il y eu aussi sous Charles Quint un sac de Rome, pour faire prisonnier le pape Clément VII qui s'était allié à la France, les lansquenets de Charles Quint ont pris Rome d'assaut et ont détruit nombre de beaux palais. Clément VII devint alors prisonnier de Charles Quint et ils dut payer une rançon et couronner Charles Quint empereur Romain Germanique d'Occident, car celui-ci avait été -moyennant finances, Charles Quint se fit couronner pas le pape à Bologne et non à Rome, car il e voulait pas aller jusqu'à Rome, qui était trop loin. Charles Qiunt était un peu corrupteur, par les Princes  Electeurs. Parmi les candidats il y avait aussi François 1er de France et Henri VIII d'Angleterre. Mais aucun de ces deux rois ne fut élu, Charles Quint corrompit même le prince électeur protestant de Brandenbourg favorable à la France, mas avec une somme bien moindre que celle accodée aux qutres princes électeurs. Il était soutenu par les banquiers Fugger.

Malgré l'or et l'argent qui affluait de l'ancien empire inca, Charles Quint, mit la couronne impériale en déficit, car il emprunta beaucoup d'argent aux Fugger et autres banquiers;

Outre le Roi de France, Charles Quint dût faire face aux protestants. Il convoqua Luther qui refusa d'enlever ses thèses, mais il lui laissa la vie sauve. Il eu à gérer l'avènement du protestantisme sur ses terres. Si au début il fit quelques bûchers, il eu une position mitigée ensuite, car il avait besoin du soutien des princes protestants qui étaint dans le Saint Empire Romain Germanique, position que n'eut pas son fils Philippe II d'Espagne (il avait partagé la couronne entre Phlippe II à qui il donna l'Espagne et toutes ses possessions américaines  et les Pays-Bas et son fils Maximilien auquel il donna l'Autriche et il abdiqua en 1555 en disant à Philippe II de gouverner comme si il était mort. Il souffait de la goutte depuis l'âge de 27 ans, car il mangeait beaucoup (mais d'après ses portratis il restait mince, car il faisait beaucoup de cheval en bon cavalier éduqué à la cour de Flandres, la cour ducale de Bruxelles était la plus belle cour du monde, celle qui avait les plus beaux tournois et les plus beaux festins et la plus belle culture chevalesque.

Les chevaliers de Charles Quint peu aimés en Espagne, étaient néerlandais et faisaient partie de la noblesse néerlandaise d'origine carolingienne et en cela, Charles Quint était le sucesseur direct de Charlemagne, sur le thrône duquel il s'asseyait à Aix-la-Chapelle.

Les 31 conseillers de son royaume étaient des nobles néerlandais, d'ailleurs Charles Quint ne parlait ni l'espagnol et seulement quelques mots d'allemand, il parlait bien le néerlandais, assez bien le français et un peu le latin, qui l'ennuyait : Dans son enfance, il avait eu comme professeur de latin et d'humanités le grand Erasme., mais il préférait les sports équestres.

Parmi ses 31 conseillers, figurait le frère de mon ancêtre féminine,qui est aussi l'ancêtre de domino, maintenant vous savez tout. Sous Charles Quint tous les membres masculins de sa famile, frères et beaux-frères,  avaient des charges souvent municipales : bougmestres de villes importantes , etc..

Charles Quint avait, par ces 31 conseillers d'Etat essayé de recréer la Table Ronde du Roi Arthur.

Charles Quint portait l'ordre de la Toison d'Or.

Charles Quint, grand empereur, a dû abdiquer pour raisons de santé et a dû alors s'humilier en disant qu'il avait commis beaucoup d'erreurs. Cela était une première chez les Habsbourg. A l'âge de 55 ans. Mais il était surtout perclu de douleurs physiques dues à la goutte. Mais c'est de la malaria que Charles Quint mourut dans sa retraite espagnole. Peut-être que s'il était resté aux Pays-Bas, il 'n'aurait peut-être pas contracté la malaria et il serait mort moins tôt, car Charles Quint, dans sa retraite s'était mis à écrire des livres d'histoire et cela aurait peut-être intéressé le monde de l'Histoire,

Dans ses trois parties de royaume, l'Emprereur néerlandais avait passé 28 ans aux Pays-Bas, 18 ans en Espagne et 8 ans seulement où 'était l'origine de sa dynastie en Autriche.

Ses campagnes et ses voyages l'avait conduit dans tous les coins d'Europe, et il avait pris Constantinople et aussi Tunis où il s'était déplacé personnellement.

En effet, Maximilien, son grand-père lui avait dit que pour que le monde soit en paix, il fallait l'unifier sous une seule couronne.

Bon, voilà, un pan d'hsitoire européenne qui ne va pas plaire aux Français, surtout de savoir leur roi François 1er prisonnier de Charles Quint durant une année complète.

Et pourtant, Dummie et domio sont françaises depuis au moins trois générations.. avant disons... que leurs origines étaient plus au Nord et à l'Est, quoiqu''à l'Est, on parle de pays welsch. Welsch est dérivé de celtique...ah! Ces bons gaulois.

Pour Dummie,

 

domino

 

.PS Si Dummie a écrt cette page dans son journal, c'est parce que je lui ai révélé ses origines, et depuis que je lui ai révélé ses origines, elle commence à s'intéresser de près aux périodes histoiriques penant lesquelles ses ancêtres ont eu une influence.

Et de plus Dummie s'est trompée, le frère de son ancêtre Baerbel  ne faisait pas partie du conseil d'Etat de Charles Quint (affaires juridiques), mais de son conseil privé (grand enjeux politiques), son troisième conseil étant son conseil des Finances (affiares financières). il était professeur de droit à l'université de Louvain. Ce conseil gouvernait l'Empire au quotidien. Très actifs sous la régence de Marie de Hongrie (le conseil privé était constitué de onze juristes), leur pouvoir fut limité  et subdivisé par Charles Quint qui, en son absence,  finissait par gouverner malgé lui.

Vous comprendrez pourquoi, Dummie et domino, n'ont de conseils à recevoir de personne.

Doofie

PS pour Doofie : domino

 

lundi, 07 janvier 2013

4 Rapidys?

Roman-théâtre

Vous savez que le mari de Sottie qui a migré avec ses amies Dummie, Doofie, Sottie, et Blödie dans une autre académie, s'appelle Rapidy.

La mari de Bêtie, resté dans l'ancienne académie aussi.

Mais voilà, ^Bêtie a téléphoné trois fois à Rapidy aujourd'hui.

Comme je ous l'ai déjà dit, la deuxième fois, il ne se souvenait plus de ce qu'elle avait dit la première fois et avait une voix différente. Bêtie s'est demandé si elle n'avait pas deux Rapidys.

La troisième fois, c'était tout à l'heure, il ne se souvenait plus qu'elle avait deux collèges en même temps.

Et il avait une voix entre les deux autres.

Serait-ce un  troisième Rapidy?

Le roman se corse, aurons-nous affaire à une enquêtre policière, un crimi, quoi! Les Rapidys de Bêtie, sont-ils une seule et même personne, ou deux, ou trois. Seul l'avenir pourra nous résoudre cette énigme.

Enfin, jusqu'à preuve du contraire, Sottie n'a qu'un seul Rapidy!

Et Doofie pense par contre avoir deux Schnellys.

Roman-théatre

domino

jeudi, 11 octobre 2012

Bouh ! Bouh!

Roman-théâtre

Doofie et Dummie, deux dames sympas qui sont mes personnages de roman-théêtre pleurent ensemble :

Bouh! Bouh! Qu'est-ce qu'ils ont fait au blog de notre auteure domino, la journaliste alternative, pleure Dummie...

Snif! Snif! Ils ont mis un truc "Thumbs" devant, nous même et même domino, nous n'arrivons plus à le lire, en le regardant par dessus....

Snif! Snif! Bouh Bouh! Les vilains! Les vilains hackers qui nous cachent, nous et notre auteure au monde entier.

Au monde entier, dit Sottie qui vient d'arriver, mais non, on a eu encore 142 clics hier et 400 pages lues...Allez, pas de panique, je suis sûre que le hacker va enlever son cache.  

Comment ils font pour voir au travers du truc Thumbs, dit Foolie qui est arrivée en même temps que Sottie.

Je ne sais pas, peut-être dans d'autres pays, car nous avons demandé à des lectrices si elles voyaient encore le blog de domino, la journaliste alternative et elles ont dit que "non".

Bon, ce sont des hackers qui écrivent en anglais, dit Blödie, si on leur écrivait en anglais...

oui, répond Dummie, vite "If you are a hacker and have put a fishing-page on our blog (euh.. on the blog of domino), please put your hacking page away..."

Und auf Deutsch, ajoute Doofie : "Wenn Sie der Hacker sind, der eine Fishing-Seite auf unseren Blog geklebt hat, bitte schön, entfernen Sie ihre Fishing-Seite, damit jeder unseren Blog in Ruhe lesen kann!"

"Danke schön!" Doofie, disent-elles toutes les trois.

Ah! Pour une fois, c'est nous qui défendons notre auteure domino et pas le conttraire!

Pour domino,

Doofie, Dummie, Blödie, Foolie, et Sottie...

 

(domino)

vendredi, 24 août 2012

A votre place ... Si j'étais vous...

Du journal de Doofie, mon personnage de roman-théâtre (pardon, Sottie et Blödie sont penchées sur le journal de Doofie, qu'elles ont trouvé négligeament posé sur la table de pique-nique de la terrasse de son chalet de camping), alors que Doofie est à moitié couchée sur son transat, les bras sortant du sac de couchage par des fentes latérales creusées exprès pour les travaux d'ordinateur et de guitare, et pourtant il fait étouffant...). Sottie et Blödie lisent en secret le journal de Doofie...

"Il n'y a rien qui m'énerve plus que les gens qui disent "A votre place, je ferai plutôt comme ceci.. " ou "Si j'étais à ta place..." ou "Si j'étais vous (ou toi)..." Ces gens-là,, outre le fait qu'ils ne se prennent pas pour rien..."

"Outre le fait que...! Comment elle écrit, Doofie... ! On voit bien que c'est une intello...", s'exclame Sottie à l'adresse de son amie Blödie;

Sottie continue à lire... "Outre le fait qu'ils ne se prennent pas pour rien, ils veulent toujours gouverner leur petit monde, faute de pouvoir gouverner le monde entier! Ils veulent que tous les autres agissent selon leur façon à eux... ils ne laissent pas aux autres l'occasion de développer leur propre personnalité, leur propre originalité, et leur créativité.. En général, ce sont des gens très conformistes, qui disent oui et amen à tout ce qui se déclare supérieur à eux par le grade.... et conseillent aux autres d'être comme eux, conformistes, de se conformer à la façon de vivre générale de la socité..

Tiens, je laisse souvent ma lumière allumée le soir, parce que je travaille tard...

A ta place, me disent les gens, j'irai dormir plus tôt...

On voit bien qu'ils ne font pas mon travail tous ces petits bourgeois qui rentrent du travail à 17 heures, toutes ces petites secrétaires qui n'ont plus que leur travail de maison à faire, là où je le reporte aux vacances prochaines, croulant sous le poids des cours à préparer, dés études interminables..

Il y en a même une qui m'a dit "A ta place, je ne ferais plus de musique... " (je sors mon instrument une fois tous les 6 mois, en ce moment...), ou "A ta place, je ne ferais plus d'études"... ou "Si j'étais toi, je changerais de métier pour avoir moins de travail...." Etc...

Mais qu'est-ce qu'ils ont tous, ces gens-là, à vouloir dire ce qu'ils feraient à ma place..?"

Blödie s'inquiète "Ce n'est pas de nous qu'elle parle, j'espère... on ne lui a jamais dit "A ta place"... ou "Si j'étais toi.."

"Attends.. je réfléchis..." répond Sottie... " Si, une fois il y a trois ans, j'ai dit "A ta place, je ne me mettrais pas dans un sac de couchage quand il fait une chaleur de bête... "

"Oh là,  tu as dit cela Sottie... et tu crois qu'elle s'en souviens encore?"

"Je ne sais pas, tu crois que j'ai fait une faute grave?"

"Oh, je ne pense pas, ce n'est qu'un conseil anodin, mais de toutes façons, on ne peut plus la changer... A son âge..."

"A notre âge... Mais moi, j'ai déjà entendu qu'elle disait à Schnelly : "ça fait du bruit quand tu déballes tes sachets en plastique.. a ta place, je ne mettrais pas toutes mes affaires dans des sachets en plastique (il emballe tous les livres individuellement pour les mettre dans un grand sac..)""

"Oh... elle a dit "A ta place" à Schnelly...  Doofie...? Mais...  Elle ne respecte pas elle-même ses principes alors, mais c'est vrai qu'il est casse-pied Schnelly, quand il nous fait entendre le bruit de froisssement de ses morceaux de plastique..."

Mais, encore, cela ce sont des petites choses, c'est vrai que dire "A ta place, je ferai un  autre métier..." ou "A ta place, j'arrêterais mes études", c'est vraiment donner un avis sur des grandes choses et c'est même de mauvais conseils..."

"Oui, ils sont terribles, les gens..."

Blödie continue à lire, le journal de Doofie :

"En effet, ces gens-là, ne se mettent vraiment pas à la place des autres lorqu'ils disent "A ta place..." Ils donnent souvent de mauvais conseils... Comme ceux qui disent : "A ta place, je n'écrirais plus sur le web..." "j'enlèverais mes vidéos d'internet..." et puis quoi encore, ça les dérange que je devienne célèbre?

Bon, et puis, ils veulent faire les autres à leur image, faire en sorte que tout le monde fasse comme eux, ce sont des petits chefs de gouvernement locaux, très locaux dont le pays n'est parfois qu'un bureau ou un pâté de maison, quand il s'agit de voisins. A votre place, je couperais ma haie moins haute, à votre place je peindrais ma porte d'une autre couleur, à votre place, j'agrandirais la terrasse, à votre place  je couperais cet arbre-là... à votre place..."

Alors quand dans le pâté de maison, on est le seul à ne pas faire leurs désidératas, ils vous prennent pour un dissident à la politique du quartier, et vous mettent au ban de la société locale.

Il y en a même qui disent à Schnelly : "C'est votre femme qui a peint la porte d'entrée en bleu? A votre place, je divorcerai...' C'est une femme qui vit seule, qui lui a dit cela..."

Mais Schnelly ne veut pas se remarier avec elle. Elle ne connait pas l'allemand.

Conclusion : Ne dites jamais : "A votre place" ou "A ta place" ou " Si j'étais vous...", c'est souvent très mal perçu par la personne à laquelle vous vous adressez... bon, à la rigueur, s'il s'agit d'enfants, si vous êtes conseiller d'orientation dans un collège... Mais bon, à d'autres adultes, quand même..."

C'est vrai conclue Sottie en reposant vivement le cahier, car, à 100 mètres de là, Doofie accourt pour venir chercher un vieux grimoire qu'elle a oublié de mettre dans sa pile, que certaines personne ne se mettent jamais à la place des autres... et disent toujours "A ta place" comme s'ils s'étaient mis à notre place, mais en fait, ils ne se sont pas mis dans notre peau, mais à notre place dans leur peau à eux...

Quelle phrase, dit Blödie admirative, tout en quittant les lieux, avant que Doofie ne s'aperçoive de leur présence...! Ils se mettent à la place de l'autre en gardant leur peau à eux et sans se mettre dans la peau de l'autre". Blödie ponctue la fin de sa phrase d'un sifflement d'admiration.

"Et si on se met dans la peux des autres, on s'apercevra que l'on fait fausse route en disant "à ta place!"

"Oui, et si je dis aux élèves "A vos places!" ajoute en riant Blödie!!!

"Souhaitons qu'ils t'obéissent!" ajoute Sottie. 

Pendant ce temps, d'un pas léger malgré son poids, Doofie est arrivée à son chalet "Tiens, j'ai laissé trainer là mon cahier, se dit-elle... mais il a changé légèrement de place... Schnelly aurait-il... mais que font Blödie et Sottie là-bas tout près au bord du bois? Elles ne sont pas au bord de la piscine...Elles auraient.... lu mon journal..

Doofie entre dans le chalet et ressort avec un vieux livre à la couverture de cuir marron toute usée sur lequel on voit quelques lettres d'or incrustées "Généalogie..."

Pour Bêtie, Sottie et Doofie... (et Schnelly...)

 

domino