QI élevé = anormalité ?

Roman-théâtre

Bonjour,

je suis Dummie, personnage de roman-théâtre de domino. Aujourd'hui, je voudrais écrire sur ma copine Doofie* qui avec 232 de QI a l'un des QI les plus élevés du monde (moi, et mes copines Bêtie, Sottie, Foolie.... n'avons que 132, ce qui nous situe quand même dans les 1,6 ou 1,8 % supérieus de la population mondiale.

1,6 ou 1,8 % supérieurs de la population, cela veut dire que entre 1,5 et 2 personnes sur 100 ont un QI égal ou supérieur au nôtre, ce qui est quand même beaucoup.... tandis que Doofie, elle, a un QI supéireur à quasiment tout le monde, seul Lavoisier aurait été évaluté à 260, mais il n'y avait pas de test de QI à son époque.

Goethe, qui n'était pas seulement auteur classique de romans, de poèmes et de pièces de théâtre, mais aussi adminsitrateur ayant une fonction municipale, chercheur scientifique surtout en biologie (il a découvert l'os intermaxillaire) et était expert en botanique, et avait développé une théorie des couleurs  à la fois scientifique sur la formation des couleurs (mais erronée) et psychologique  qu'il avait appliqué dans sa maison de Weimar (chaque pièce du 1er étage recevant une couleur adaptée à sa fonction, les pièces étant en enfilade et reliiées par une porte centrale avaient des couleurs pastel, mais chaudes, et cela forme un bel ensemble*) et dessinateur (il dessinait surtout des plantes pour ses études de botanique),  Goethe avait 200 de QI, QI évalué car les tests de QI n'existaient pas à son époque.

Voici pourtant  ce que je voulais dire de Doofie : Doofie, comme nous, savait, d'après ce que nos mères nous ont raconté, lire à 2 ans. D'après nos souvenirs, notre mère (qui n'est pas la même, d'après les arbres généalogiques que fait Doofie, nous sommes cousines éloignées), notre mère disait alors que nous n'avions pas encore quatre ans "Je vais inscrire ma fille à 4 ans à l'école maternelel. Mais à cette époque, d'après nos souvenirs, nous ne savions pas seulement lire, mais aussi notre mère nous avait déjà appris à écrire. Et cela, je m'en souviens très bien. Quand à l'école (on apprenait à lire à l'école maternelle à cette époque), on m'avait donné un livre de lecture, je suis passé très rapidement sur les premières pages et mêmes bien les 60 premières pages que je lisais couramment pour étudier le "qu" et le "gu" et son orthographe (quand met-on un u derrière le g ou pas?), mais nous savions déjà le lire, et ceci nous semblait somme toute très facile. A quatre ou cinq ans, nous contions jusqu'à cent. A cinq ans, nous commencèrent le solfège, chez une prof particulière, qui habitait presqu'à côté de l'école. Nous écrivions le nom des notes en lettres sous la portée. A cinq ans, nous faisions les additions, à six ans les soustrations et multiplications et divisions sans reste et la preuve par 9, le début de l'analyse grammaticale (savoir distinguer les noms, les adjectifs et les verbes par exemple, le masculin et le féminin, le singulier et le pluriel. A six ans, à  l'éntrée du CP (1ère classe à l'étranger), nous savions faire tout cela et au bout d'un trimestre, nous avons dû apprendre pendant les vacances de Noël les divisions avec reste et avec virgules pour entrer au CE1 (2ème classe à l'étranger) en cours d'année. Dès lors, nous avons fait aussi 'analyse logique, les triangles quelquonques, rectangels, isocèles et équilatérales et nous apprenions par coeur nos résumés d'histoire, de géographie et de sciences naturelles* (qui différaient légèrement de ceux appris dans notre petite enfance dans les livres de nos grand-frères, car nous n'avions pas les mêmes livres. On savait lire la clef de sol et on apprenait la clef de fa pour commencer le piano à sept ans, ce que nous fîmes.

Un jour, le répétiteur de Doofie (elle avait une fois par semaine un cours avec sa prof de solfège qui la préparait à 'lentrée au conservatoire, et une fois par semaine un cours avec le répétiteur) - Doofie n'avait pas encore huit ans, parce que sa petite soeur n'était pas encore née - le répétiteur lui a fait jouer du piano à quatre mains, en lecteur, en posant directement les partitions sur le piano,,  (c'était sa passion, plus tard, il est devenu célèbre pour le piano à 4 mains),  et Doofie avait moins répété ce qu'elle devait apprendre pour la professeure en titre... Arrivée pour sa leçon chez la professeure, comme ele ne savait pas son morceau (Doofie n'avait pas de piano chez elle), la professeure s'est mise en colère que Doofie en pleurait et elle a écrit en énormes lettres sur sa méthode "Apprendre 20 fois de suite, main droite et main gauche et les deux mains ensemble", ceci pour le répétiteur!

Doofie a dû arrêter le piano juste avant la naissance de sa soeur, ses parents ont invoqué diverses raisons : Ils faisaient construire une nouvele mason et l'achat d'un piano neuf coûtait trop cher, la petite soeur allait coûter cher aussi (un enfant de plus à nourrir et à habiller, mais avec toutes les robes qu'elle a eu en cadea..., je me souviens que la petite soeur de Doofie  a eu trois fois la même robe de trois couleurs différentes, une rose, une vert pâle et une jaune pâle), par trois personnes différentes... Mais surtout, la raison ultime : le piano allait nuire aux études de Doofie.

Vers l'âge de 12 ans, ils lui achetèrent une cithare diatonique que l'on jouait avec des cartons par dessous les cordes , mais Doofie aurait préféré avoir les partitions, plutôt que ces cartons qui ne donnaient même pas le rythme des morceaux.

A 16 ans et demi en février de la terminale, elle s'est achetée elle-même, à l'aide de son "dimanche", une petite comme que ses parents lui octroyaient tous les dimanche depuis l'âge de 15 ans, sa première guitare.

Au bout de 2 mos, lors de son séjour chez sa correspondante allemande, en avril, elle jouait déjà tous ses accords de base, des arpèges et inventait elle-même ses accompagnements. Le père et le frère de sa correspondante jouaient les chants folkloriques allemands en s'accompagnant à la guitare, lCoïncidence : la guitare de Doofie était une petite Höfner à cordes nylon alors que la leur était une petite Höfner à cordes d'acier..qui avait appartenu déjà au père dans sa jeunesse). Doofie a alors appris : Horch was kommt von draußen rein, Am Brunnen vor dem Tore, et Der Mond ist aufgegangen, ce derner chant avec un changemnt d'accord par syllabe. Doofie faisait déjà les barrés en deux mois de guitare et jouait et chantait House of the Rising Sun et beaucoup d'autres chansons, allemandes, anglaises et américaines et françaises.

Doofie, qui avait appris seule la guitare, a passé toute seule l'examen d'entrée au conservatoire local, au bout d'un an et demi de guitare,  et a terminé 3ème sur 25 candidats. Comme il n'y avait que deux places, elle a dû atendre Noël que l'un de ceux qui était entré en septembre se désiste pour entrer au conservatoire (elle avait repris le solfège adulte depuis un an), où elle est entrée directement en élémentaire et est restée un an et deux trimestres, puis a demandé un congé pour faire sa troisième année de licence d'allemand. Donc, elle a mené de front la guitare et le solfège au conservatoire avec ses deux premières années d'alemand, brilamment réussies (mais elle avait eu une année d"échec pas très retentisant, pusiqu'avec 9 de moyenne, juste après son bac réussi avec mention, avec un an d'avance, une année assez cool avec seulement une journée de cours de fac par semaine, l'après 68). Bref, ses deux meilleurs années de fac avec tous les examens réussis à la première session ont été celles où elle faisait de la guitare classique au conservatoire.

Le professeur de guitare, disait que la voix de Doofie, qui chantait toujours en jouant et en apprenant ses morceaux était belle et rare, et juste, et il avait dit à sa mère qu'elle devrait surtout faire du chant, mais son père n'avait pas voulu. Il faut dire qu'à l'époque, on n'était majeur qu'à 21 ans, et il ne s'agissait pas de contredire les parents.

Par ailleurs vers l'âge de 14 ans, Doofie avait commencé à écrire des poèmes qui valaient ceux de Verlaine et de Rimbaud réunis, à 15 ans, dans sa classe de première, ele était surtout connue comme sportive (judoka, elle a atteint la ceinture bleue) et comme poète.

Doofie durant toute sa scolarité avait été une "bonne en maths", orientée en scientifique, elle avait voulu aller d'elle-même en littéraire,'était la première année où existaient les secondes A et les C. En troisième, elle résolvait les problèmes des premières M et était célèbre chez les première M comme "crac en mathématiques". J'allais à la récréation dans leur classe et elles me montraient leurs problèmes et me demandaient ce que j'en pensais. Mais elle était aussi bonne en français et selon sa prof "douée pour l'expression poétique".

Actuellement, Doofie improvise sur la guitare avec une certaine virtuosité, et sans regarder son manche, elle fait ceci depuis qu'elle avait repris un élémentaire 1 dans une école municipale de musique, mais son niveau en improvisation était bien supérieur à son niveau d'interprétation. Elle concocte à l'oreille des choueurs de quatre à douze voix pour nous, ses copines, sans doute un hétitage de la famille d'un célèbre polyphonistes flamand qui fut son ancêtre.

Le QI est-il héréditaire? Doofie, si elle n'avais que des grand-parents ouvriers textiles, ou commerçants, a eu avant que la Révolution Française n'atteigne le pays qui constitue actuellement le Belgique, des ancêtres pour le moins exceptionels, même si leurs charges étaient souvent héréditaires : échevins, bourgmestres (masi ils étaient quand même élus à l'année parmi les membes de certaines familles), la soeur d'un professeur de droit de la Renaissance, bourgeois marchands, et du côté maternel, deux chirugiens, et elle aussi du côté paternel  de la "famille" de certains grands peintres baroques, d'un musicien polyphoniste de la Renaisance (qui n'a pas de descendance connue car c'était un écclésiastique) et d'un philosophe catalan du Moyen-Age, mais aussi de dentellières de Bruges, et effectivemetn, elel aime tricoter. Elle tricote depuis l'âge de 7 ans et a appris d'elle-même les poins compliqués de tricot comme les points irlandais. Bref, Doofie, surdouée de l'enfance, a des ancêtres, peut-être peu connus du grand public, mais assez extraodinaires. Elle a même un saint abbé dans sa famille de l'époque baroque.

Bon, je ne vais pas dire Sainte Doofie quand même, mais voilà, je voulais dire que notre copine a d'autres cordes à son arc que le raisonnement logique et spatial testé par les tests de QI.

En effet, dans ces tests, le facteur verbal pourtant contenu dans les données ou consignes des exercices, est fort peu représenté. Par ailleurs, les autes capacités : le pouvoir-écrire, le pouvoir-faire des poèmes, l'habilité manuelle, les capacités de justesse musicale, la dextérité dans l'éxécution musicale, les capacités d'improvisation, bref, la créativité artistque, l'éloquence,la capacité à apprendre les langues étrangères (les immigrants qui font des tests dans une autre langue que leur langue maternelle, sont souvent notés en dessous de leurs capacités réelles en QI), la précision et la justesse du dessin, le "feeling" artistique, les capacités à créer des points de tricot, des modèles de vêtements, des modèles de maison, élaborer des plans de romans, de dissertations, élaborer des chorégaraphies, des plans de villes nouvelles,  (capacité architercturale), de lire des cartes géographiques, le sens de l'orientation (qui faisait totalement défaut à l'un de nos collègues agrégés d'allemand, maintenant retraité, qui se perdait constamment en voiture comme à pied, même sur des routes qu'il faisait plusieurs fois par an), bref les capacités architecturales et spatiales, à élaborer des stratégies de jeu, mais aussi la finesse psychologique (qui ne transparait pas seulement dans l'étude ou la création de personnages de roman, mais aussi dans le QE (capacité de comprendre autrui), (tout cela devait être pris en compte dans les calculs de QI. Bien sûr toute personne n'a pas développé toutes ces capacités, mais l'éclectisme, comme celui de Doofie, avec le souci de poursuivre chacune de ses passons jusqu'au plus haut degré de réussite, est souvent la preuve d'une intelligence supérieure. Et Doofie n'a pas encore été jusqu'au bout de toutes ses passions.

En ce concerne le QE, même si on a un bon QE, on ne peut pas agir toujours selon le QE, car on a parfois besoin de s'opposer à quelqu'un pour faire valoir ses droits ou tout simplement faire passer son avis, par exemple contre un époux rétif en tant que maîtresse de maison. Crier fort, c'est parfois le seul moyen de se faire respecter et obéir, même avec un énorme QE. Bref, Doofie, avec son Schnelly se heurte a une motagne d'entêtement. Et peut-être aussi de sournoiserie. Déjà le fait de toujours devoir emballer ses affaires dans sachets  plastiques qui vous font mal aux oreilles quand il les manipule, c'est de l'entêtement... Et lutter contre ses petites manies est difficile aussi de même que de s'habituer à son horloge parlante et vivante. Qui tombe cependant parfois en panne depuis qu'il est retraité. Il est horloge parlante, mais paradoxalement, il perd beaucoup de temps entre deux, car quand on doit faire ensemble des actions spatiales (bouger un meuble, nettoyer) il prend toujours un chemin compliqué au lieu de prendre le plus court chemin.

Voilà tout ce qu'on devrait évaluer dans un QI et que Doofie et aussi Bêtie, Sottie, Foolie et toutes mes amies possédons comme qualité.

Certains disent qu'on est dans l'anormalité, selon les sources, au dessus de 110, 116 ou 124 de QI. Comme à toutes mes évaluations dont plusieurs font 132, j'ai eu plus que 124, je suis comme mes amies que vous connaissez par ce blog de domino, complètement anormale et domino qui a le même QI que moi, aussi.

Dummie

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Pour Dummie, domino

 

*N.B. 1, Doofie et Dummie ne sont pas mariées ensemble,, elles sont mariées avec des hommes, Schnelly, Quicky, et Rapidy... et sont des copines comme on disait dans le temps, à mon époque, liées d'amitié. Ce qu'on appelait des "meilleures amies", quoi! Ce mot ayant actuellement plus ou moins changé de sens.

* N.B.2 domino  a visité sa maison à l'époque de la RDA (zu DDR-Zeiten)

* N.B. 3 : C'est ainsi qu'on appelait les SVT.

) N.B. 4 : les premières M et M' étaient les ancêtres des premières C et D. (scientifiques mathématiques et scientifiques biologie).