vendredi, 06 avril 2012
La conscience (3)
Roman-théâtre
Doofie ma personnage de roman-théâtre, est en train d'écrire dans son journal les pensées que lui a inspiré un article sur la Conscience, destiné aux élèves de Terminale qui prépare leur baccalauréat.
Dans le journal de Doofie
Il y a encore autre chose que j'ai relevé, poursuit Doofie dans son journal, le "Je pense, donc je suis" de Descartes, semble être pour tous les philosophes actuels quelque chose d'irréfutable. Au moins, lui ne s'est pas comme Shakespeare, posé la question "Etre ou ne pas être". Il affirme : "Je suis!"
"Je suis", signifie "J'existe"!
Mais voilà, n'a-t-il pas mis la charrue avant les boeufs?
En effet, il affirme qu'il pense, donc que c'est la pensée qui détermine son existence. Or, l'odinateur que j'ai devant moi, les livres et les dictionnaires que j'ai autour, pensent-ils? Non, bien que plein de données et de connaissances, ils ne pensent pas, mais ils existent.
Et même ma veste, suspendue là-bas au porte-manteaux, l'escalier qui monte à l'étage, existent, donc, ils sont, et pensent-ils? Non, ils ne pensent pas.
Donc, la maxime de Descartes, "Je pense, donc je suis" est facilement réfutable. Une chose qui ne pense pas existe quand même.
Je me suis demandée si on ne pouvait pas dire l'inverse : "Je suis, donc je pense". Il est indéniable que la pensée ne peut exister sans le cerveau, sauf dans la religion, ou le Verbe, la Parole divine, existe sans corps, puisque l'on a écrit "Et le Verbe s'est fait chair!", donc dans la religion la pensée existe sans le corps, mais seulement dans la religion. Et la religion n'est pas forcément vraie, alors qu'une maxime philosophique peut être vraie, si elle est mathématiquement ou logiquement démontrée.
En ce qui concerne l'homme proprement dit, et dans une existence terrestre (et non dans une existance dans l'au-delà où , la pensée ne peut exister seule, à condition que cette existence existe), la pensée existe avec le corps. Si la pensée émane du cerveau et est formée par lui uniquement, alors c'est le fait que le cerveau existe en tant que partie physique du corps, qui détermine le fait d'exister. C'est une conception tout à fait matérialiste. Ce serait notre matière grise et elle uniquement, qui serait la source de notre pensée et alors j'écrirais : "C'est parce que mon cerveau existe, que je pense!" ou "c'est parce que mon cerveau est, que je pense" "Mon cerveau est, donc je pense".
C'est donc l'existence de mon cerveau qui pense et détermine ma pensée. Et au plus, j'ai un cerveau bien fait qui peut contenir beaucoup de choses, au plus je suis intelligent(e), sinon, cela n'expliquerait pas pourquoi certains ont 50 de QI alors que j'en ai 132 et Dummie 132, bien que je trouve Dummie très intelligente!
(Dummie quand elle lira ces lignes : "Merci, Doofie, smack, je te fais une grosse bise sur la joue...")
(Sottie pensera en lisant ces lignes "Klugy a sûrment 50 de QI!" Et oui, souvenez-vous du fameux Klugy, le prof qui était dans la salle des profs du collège où Sweetie faisait son stage de CAPES, qu'elle a râté d'ailleurs... parce qu'elle n'était pas gentille avec Doofie, sa conseillère pédagogique...)
Bon, l'intelligence est un autre chapitre, nous n'allons pas donc réfléchir à la richesse de la pensée qui émane d'un cervau aux ciconvolutions très compliquées.
Y-a-til autre chose que la simple matière grise et les échanges chimiques qui provoquent la pensée dans le cerveau, telle qu'une âme, une aura? Ce sont des questions qui concerne la religion, ou en philosophie, la métaphysique, mais nous entrons alors dans le domaine du non-matériel, du non- démontrable. Or, la pensée philosophique est basée sur des démonstrations et nous entrons alors en métaphysique dans le domaine du "Il se peut que...." et non plus dans le domaine du "Il est"!
Ce qui est donc sûr c'est que c'est l'existence de mon corps, donc de mon cerveau qui provoque ma pensée. Donc, je peux dire, non pas "Je pense, donc je suis", ni "Je suis, donc je pense", ce qui serait plus logique déjà, mais 'Mon corps existe, donc je suis". ce "Mon" est très important, car ce n'est pas le corps de n'importe qui, le cerveau de n'importe qui, qui provoque ma pensée, mais mon corps à moi, mon cerveau à moi.
Mais sur un plan purement matérialiste, c'est quand même cette existence de mon cerveau, donc de mon corps, qui provoque ma pensée. Donc, mon corps est, donc je pense. Ou "Je suis, donc je pense". Et nous affirmons donc l'inverse de Descartes.
Mais maintenant, si nous retournons au début de notre démonstration, nous avons vu qu'une chose qui existe comme un ordinateur ou un manteau ou un livre, ne pense pas. Donc, l'existence ne provoque pas la pensée. Je dirais donc que ce qui fait que l'on pense est autre chose que l'existence du corps en tant qu'objet physique ayant une forme et un contenu. Ce peut-être alors soit quelque chose de transcendantal, soit la vie. Et je dirais donc que ce qui anime notre pensée c'est la vie qui est dans notre corps et notre cerveau.
En effet, un objet inanimé, par exemple, un manteau, ne peut penser, par contre un être animé, peut penser. Donc, ce qui provoque la pensée, c'est ce qui anime, anima (qui signifiel'âme, mais cela fait trop religieux), le souffle de vie, - les animaux sont comme leur nom l'indique, aussi animés, les animaux animés, donc ont le souffle de vie, qui provoque une pensée, peut-êtrte rudimentaire chez eux, mais qui émane aussi de la vie, de leur animation -.
Donc, je ne peux ni dire, "je pense, donc je suis", ... ni "je suis, donc je pense", mais je peux dire "Je vis, donc je pense." ou "je suis un être animé, donc je pense."
C.Q.F.D.
Mais d'où vient la vie qui nous fait penser, l'"anima", c'est un grand mystère du monde... et on est dans le domaine de la métaphysique. Ceux bassement terrestres diront "C'est parce que père et mère nous ont fait, que l'on vit", mais ici, il ne faut pas nous prendre pour aussi terre à terre... on ne parle pas de cela, car sinon, on dirait "Et d'où vient la vie de père et mère, et d'où vient la vie du premier humain, et d'où vient celle du premier animal qui s'est animé sur la terre?"
Doofie
_______________
Merci, ma chère Doofie pour cette excellente démonstration, donc, tu existes ma Doofie, cher petite personnage de théâtre, tu es un être animé, cher personnage de roman-théâtre, puisque tu vis. Et tu penses et je publie tes pensées.
domino
14:26 Publié dans La Philosophie de l'i-grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philosophie, être, pensée, doofie
La Conscience (2)
Roman-théâtre
Pour ceux qui ne lisent pas ce blog de façon chronologique, prière de vous reporter à l'extrait précédent du journal de Doofie, mon personnage de théêtre "La Conscience (1)".
Du journal de Doofie
Cher journal,
Après avoir fait une petite pause, je te reprends maintenant... et je reprends mon analyse de l'article que je viens de lire sur la Conscience. Je n'étais nommément pas d'accord avec le fait qu'il y a dans cet article un affreux mélange entre la conscience, que j'ai défini comme "etat d'éveil au monde extérieur et intérieur" (das Bewusstsein en allemand) et la conscience morale, qui découle de la connaissance du bien et du mal (das Gewissen en allemand).
Le journaliste aurait dû dans cet article destiné à des élèves de Terminale, faire deux articles : 1) La conscience et l'inconscient, 2) La Conscience Morale.
D'ailleurs entre ces deux consciences que l'on mélange en français, on fera intervenir d'autres étapes.
En considérant que je passe de l'état d'inconscience, l'état endormi, à l'état de conscience éveillée.
1) L'etat d'endormissement ou Inconscience.
2) L'éveil des sens ou début de la perception et en même temps la prise de consience de soi-même et de ses sensations. (je suis encore fatigué(e) ou en pleine forme).
3) La prise de conscience du monde extérieur, donc début de la Conscience du monde., correspondant à l'ouverture des yeux.
4) L'éveil de la mémoire et de la conscience du temps (quel jour sommes-nous, dois-je aller travailler aujoud'hui? Qu'ai-je fait hier?).
5) L'éveil de la conscience des sentiments déclenchée par la question "Qu'ai-je fait hier?" pour se souvenir de "Que dois-je faire aujoud'hui". Une frustration liée au travail de la veille ou a des évènements qui se sont passés la veille peut alors apparaître.
5) La pleine conscience du monde qui nous entoure, quand on a pleine conscience du moment du temps où l'on se trouve.
6) Conscience du devoir dans l'éveil matinal, mais il faut que cette conscience qui n'existe pas chez le bébé, ait été préalablement éduquée, parce qu'un bébé n'a pas de devoirs, et ici, nous arrivons à nous poser la question de savoir dans quelle mesure la conscience morale, diférente de l'etat de conscience dont nous avons parler jusqu'ici doit être éduquée. Donc, elle est beaucoup plus loin de la conscience du monde extérieur, que ce q'u'on en dit généralement.
(Ici, je perçois qu'il y aurait encore des étapes intermédiaires, mais elles ne sont pas encore suffisamment clares dans ma Conscience de Doofie pour que je vous en parle).
7) Donc, entre la conscience "Bewusstsein" et la conscience "Gewissen", intervient l'education individuelle et l'éducation collective du genre humain.
8) La prise de conscience du Bien et du Mal (Adam et Eve).
9) A partir de cette prise de conscience (donc un deuxième éveil qui se produit, différent de l'éveil physique matinal), j'ai la Connaissance du Bien et du Mal.
10) De cette connaissance découle la Conscience Morale, dûe donc à une deuxième éveil de l'être humain : la bonne et la mauvaise conscience, et le fait d'agir "selon sa conscience". (ein gutes oder ein schlechtes Gewissen haben).
11) De là découle le devoir moral.
(NDLB : Bon après cet exposé tout théorique de Doofie et connaissant l'amour que Doofie porte aux animaux, en particulier aux oiseaux, nous allons continuer à lire son journal... car son interrogation suivante porte sur la Conscience des Animaux).
Quittons maintenant cette différenciation entre la Conscience-Bewusstsein et la Conscience-Gewissen pour nous tourner vers une autre expression que j'ai trouvé dans cet article, une idée reçue des êtres humains, acceptée d'un commun accord, mais peut-être de moins en moins aujourd'hui, celle des "animaux dénués de conscience".
Mon expérience de l'élevage ou plutôt de l'éducation de canaris, peut m'apporter la preuve du contraire. L'éducation des canaris pour les canaris apprivoisés, ceux qui sortent de leur cage, et l'élevage des canaris pour les canaris en cage.
On dit aussi souvent que les animaux seraient dénués de sentiments. Or, toute personne ayant vécu avec un animal peut vous affirmer le contraire. Tout en sachant qu'il existe différentes catégories d'animaux et des éveils de concscience différents selon les types danimaux.
Tiens, petite parenthèse, hier j'ai rencotré une maîtresse et son chien, j'ai souri au chien mais pas à la maîtresse qui était passée rapidement et s'est mise à tirer sur la laisse. Tout de suite, le petite chien s'est intéressé à moi, et est venu renifler le bas de mes pantalons. Je lui ai dit bonjour et il a jappé de plaisir, ce qui prouvait bien que ce chien avait éprouvé de la joie en me voyant lui sourire.
Il y a un type de Concience que chaque animal possède, c'est la Bewusstsein. Si on se réfère à mes étapes ci-dessus, l'animal qu'il s'éveille au début de la journée ou de la nuit, ou n'importe quand comme le chat, passe de l'état d'insconscient à l'état d'éveil, donc de conscience du monde qui l'entoure. Si ce chien que j'ai rencontré, m'a regardée et s'est intéressé à moi quand je l'ai regardé et que je lui ai souris (il a tout de suite levé son museau vers moi), c'est qu'il a pris concience d'une présence inhabituelle et sympathique sur son chemin. S'il n'avait pas été conscient de cette présence, il n'aurait pas reniflé mes bas de pantalon.
L'animal dans les 11 points ci-dessus a au moins les points 2 et 3, c'est à dire l'éveil de la Conscience, dans le passage de l'état endormi à l'état éveillé. Donc éveil de la perception du monde extérieur par l'éveil des sens. Et la pleine conscience du monde extérieur dans sa spatialité et dans ses sons. Par exemple les oiseaux qui ont l'ouïe et la vue très développés, deviendront conscient de leur entourage par les sens de la vue et de l'ouïe.
Maintenant, un animal a-t-il conscience du Bien et du Mal et donc une conscience morale?
Disons d'emblée que le crocodile qui va croquer le parchutiste qui est tombé dans sa mare, ou le requin qui va avaler le nageur qui s'est aventuré dans ses eaux, n'a certainement pas conscience du bien et du mal par rapport au genre humain. Mais les humains qui abattent vaches, cochons, porcs et veaux, poulets, lapins et volailles et gibiers, ont-il une conscience morale par rapport au genre animal? De quel droit font-ils une différence entre des animaux nobles dont on doit respecter la vie, comme le chien, le chat, ou l'oiseau de compagnie et les autres animaux. Le cheval étant à mi-chemin entre l'animal noble et l'animal objet, car certaiens mangent encore du cheval.
L'animal a la conscience du monde, en fait, la perception du monde, par ses sens, lui donne la conscience du monde. Et la connaissance de ce monde, qu'il utilise à ses fins à lui... et selon ce qui est à sa portée.
Tel ces vaches de montagne rencontrées en Autriche, qui rentrent toute seule le soir des alpages à l'étable, en empruntant les mêmes chemins que les voitures ce qui provoque aux heures de traite de gigantesques embouteillages, les voitures roulant au pas, autour de vaches majestueuses portant des cloches accrochées à des colliers brodés de fleurs, qui vont lentement, mais sûrement seules à leur étable dans le village, saluant au pasage les passants d'un hochement de tête, l'animal a le sens de l'espace et de l'orientation. Ces vaches ont conscience de l'espace qui les entoure, de même que les oiseaux migrateurs qui retrouvent facilement leur chemin, et ces hirondelles qui reviennent tous les ans dans le même nid. Ce n'est pas que de l'instinc, car l'homme a aussi un isntinct, par exemple l'instinct de survie.
Mais si le crocodile ou le requin n'ont pas beaucoup de respect pour le genre humain, c'est que l'homme vit loin de lui,par peur, et par peur réciproque.Et que l'homme n'apprivoise pas ces gros animaux jugés comme dangeraux pour l'homme. Beaucoup d'animaux et de gros animaux, craignent l'homme à cause de la chasse, et sont devenus des ennemis de l'homme et vivent à l'écart de celui-ci par crainte. Alors aucune action d'édcation de l'homme sur l'animal n'est possible pour ces animaux dits sauvages.
Apprivoiser un animal, ou éduquer un chien ou un chat, c'est exercer une action sur le monde animal qui pourra amener ces animaux à prendre concience du bien et du mal.
J'ai fait dans ma jeunesse l'élevage des canaris et voici ce que j'ai pu remarquer. Il existe ce que l'on pourrait apeler l'élevage des canaris et l'éducation des canaris.
Quand les canaris restent dans leur cage et que vous leurs donnez juste à manger et à boire, il s'agit alors seulement d'élevage.
Lorsque le canari, généralement abandonné par ses parents, est apprivoisé, c'est à dire que c'est l'homme qui lui donne directement sa première nourriture dans le bec, et alors le canari s'habitue à l'être humain et il peut alors vivre sans crainte auprès de lui, se promener sur la table devant lui, lui prendre les petites affaires dont il se sert (car malgré tout, je dois dire que les canaris n'ont pas le sens de la propriété d'autrui, il vont manger votre nourriture, mais par contre ils ont un sens aigu de leur propre propriété, et vont défendre avec véhémence leur petit bout de pain ou de pomme!
J'ai vécu avec un canari apprivoisé les deux choses suivantes :
- lorsque je n'étais pas à la maison dans la journée et que je revenais que le soir, le canari qui rentrait facilement dans sa cage lorsqu'il sortait trois ou quatre fois dans la journée, juste à la demande, ne voulait absolument pas rentrer dans sa cage : il faisait le tour de sa cage en me narguant, évitant de passer devant la porte d'entrée de sa cage, et sautant lorsque j'essayais de le faire rentrer en mettant ma main derrière lui pour qu'il ailler vers la porte de la cage, il sautait allégrement par dessus ma main, en me narguant... il me regardait d'un air si coquin que j'en était obligé de rire. Pour lui apprendre ce qui était interdit ou autorisé, je secouais mon doigt devant lui comme on le fait à une enfant pas sage et il comprenait très bien.
- Un jour où je faisais sécher des timbres postes de collection que j'avais décollé de leurs enveloppes en les faisant tremper dans de l'eau tiède, alignés sur une serviette éponge posée sur la table, la canari qui avait observé avec attention le mouvement de la pince de philatélie qui ressemblait à un bec, est venu prendre un à un les timbres postes avec autant de délicatesse que ma pince de philatélie, dans son bec et sans abimer les dents des timbres et allait les porter en haut de l'armoire, cachés derrière un rebord, et lorsque je suis allée les chercher une fois le canari rentré dans sa cage, j'ai découvert avec stupéfaction les timbres alignés en ligne bien droite le long du rebord, exactement comme sur ma serviette éponge. Evidemment à chaque fois que le canari avait pris un timbre, il m'avait regardé avec la tête de côté, car je lui avais secoué le doigt au dessus de lui, avec l'air de l'enfant qui fait une bêtise, mais essaie de vous charmer en même temps.
(Je dois avouer que ces évènements se sont passés pendant mon stage d'après le CAPES, et que j'avais presque autant de travail à éduquer mon canari qu'à préparer mes cours... et j'ai quand même réussi l'année.)
Mais dites-vous bien que ce canari avait parfaitement, grâce à l'éducation que je lui avais donnée, le sens du bien et du mal.
Donc, il avait une conscience morale, et les animaux comme les humains acquiert le conscience morale (Gewissen), grâce à l'éducation, car mon petit canari baissait la tête et regardait la table d'un air penaud, quand je secouais mon doigt au dessus de lui pour lui indiquer qu'il avait fait une bêtise, par exemple commencé à manger un bout de papier important...
Vous pouvez imaginer le chagrin que j'ai eu lorsqu'il est mort d'une diarrhée, sans doute parce qu'il avait mangé quelque chose qui ne lui convenait pas.
On peut aussi éduquer de gros animaux, par le passé les monteurs d'ours parcouraient les chemins pour montrer les tous de leurs animaux dans les villages et gagner ainsi quelque argent. Ils les promenaient en laisse de village en village et ceux qui n'étaient pas assez riche pour s'acheter un ours, promenaient une marmotte, à laquelle ils avaient appris des tous. L'homme vivait alors en accord avec de gros animaux dits aujorud'hui "sauvages".
Je voulais donc vous démontrer ici que par l'éducation, les animaux peuvent passer à l'état de consicnnce morale et il va de soi que ce canari qui me regardait avec l'air penaud et l'air de dire "Et ben oui, j'ai fait mal, et je le sais, et j'ai honte!", avait une certaine conscience morale.
Maintenant, un animal sauvage, peut-il avoir une conscience morale.
L'"observation de canaris non apprivoisés, mais restés en famille dans une cage, m'a montré qu'il existait une éducation canari de parents à enfants. Dès le plus jeune âge, les petits qui n'ont pas encore de plumes sont invités à faire leur besoin en dehors du nid. Ils n'en sortent pas, mais doivent reculer leur postérieur au dessus du vide pour faire leurs besoins. Et s'ils ne le font pas, ils ont, si on a laissé le canari mâle avec sa femelle et ses enfants, une râclée de bec du père administtrée sur leur postérieur.
Un canari ne savait pas bien passer de baton et baton, car au lieu de sauter directement en gardant la tête en haut, il faisait un looping autour de son bâton de départ avant de s'élancer vers l'autre barreau. Cela énervait prodigieusement son père qui venait lui causer d'un ton plus qu'impérieux, en batant des ailes, quand il avait une fois de plus fait sa jolie pirouette.
Ici, encore les petits canaris savaient rapidement le "bien" et le "mal" en apprenant ce qui était autorisé de faire dans leur vie de canari ou pas.
Si l'animal n'a pas conscience de l'heure comme nous et ne porte pas de montre, il a quand même conscience des différents moments de la journée, et en particulier il vous rappelera que vous avez oublié de lui servir manger, et cela à l'heure du repas. Et l'oiseau migrateur connait aussi les saisons ce qui lui vient peut-être par l'observation de la nature, ce que nous nous nommons l'instinct, est-ce vraiment l'instinct. Après tout, on n'a jamais pénétré dans le monde intérieur d'un animal pour savoir faire la différence entre ce qui est instinct chez lui, ou mu par l'obsevation de son environnement.
Donc, l'animal n'est dénué ni de Conscience, dans le sens d'éveil au monde extérieur, ni de Conscience Morale.
L'animal a droit au respect du philosophe qui ne peut le considérer comme dénué de Conscience, comme cela a été dit communément jusqu'ici, à propos des aniaux.
Doofie
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Merci, Doofie pour ce beau cours de philo sur le respect dû aux animaux.
domino (pour Doofie)
12:52 Publié dans La Philosophie de l'i-grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philosophie, conscience, doofie
La conscience (1)
Roman-théâtre
Notre Doofie, 232 de QI, remet beaucoup de choses en cause, comparativement à Dummie et ses amies, seulement 132 de QI (il faudra qu'elles le repassent parce qu'elles ont peut-être évolué vers le haut..) et par exemple, Doofie, à laquelle on a conseillé (par vidéo interposée, vidéo à destination des professeurs publiées sur Internet) comme à tous les professeurs de lire chaque jour 10 minutes de bonne prose française pour pouvoir bien s'exprimer, en un bon français très littéraire, notre Doofie vient d'avoir lu un petit essai de philosophie sur la Conscience destiné aux élèves de Terminale.
Voici ce qu'en pense Doofie, mais surtout, si vous passez dans deux mois votre bac philo, ne lisez pas ce qu'écrit Doofie, car vous pourriez être très mal notés par vos correcteurs si la Conscience tombe en dissertation!
Du journal de Doofie :
Dans cet article, il y a rien que pour la première page que j'ai lue, quatre choses qui m'interpellent.
Quand j'étais en terminale (huit heures de philo par semaine), il y avait deux grands chapitres dans le programme de philosophie, qui faisaient chacun l'objet d'un manuel différent : 1) La Connaissance, 2) La Morale.
Il semble que, alors que nous traitions de la conscience dans le livre sur la Connaisance, actuellement la Conscience, et les grands actions faites pour le civisme en sont sans doute la cause, est surtout vue sur le plan moral.
En effet, en allemand il y a deux termes pour la Conscience :
1) das Bewußtsein, qui serait la Concsence dans le sens de l'Esprit Eveillé. Et donc opposée à l'inconscient freudien.
2) das Gewissen : qui est la conscience morale, dans le sens d'avoir bonne ou mauvaise conscience.
En principe, lorsque l'on étudie la Conscience, ou lorsque l'on étudiait la Cosncience dans les années 60, on étudiait la Conscience, dans le sens de Sens Eveillés, donc de Bewußtsein et non dans le sens de Conscience morale, c'est à dire de "Gewissen".
En effet, l'article que j'ai lu donne emploie le mot Conscience dans les expressions suivantes :
"avoir bonne conscience",
"être responsable de ses actes devant le tribunal de sa conscience".
On est ici dans le domaine de la Morale et non dans celui de la Connaissance.
On pourrait ajouter à cette notion de Conscience Morale l'expression "être consciencieux", qui signifierait pour moi non pas négativement "travailler pour se donner bonne conscience", mais positivement "travailler selon sa conscience morale".
En fait, la Conscience au sens strict du terme, c'est à dire au sens de Bewußtsein, c'est le fait d'être conscient du monde extérieur,sans plus. Dans le mot de Gewissen, donc de conscience morale, on a déjà une idée de jugement par rapport à ce monde; c'est à dire que pour parler de la conscience morale, il faut déjà avoir la connaissance du bien et du mal et savoir ce qui est bien ou mal. Or, dans l'état de Conscience, qui est simplement un état d'éveil des sens au monde, au sens de Bewußsein, on a simplement ses sens en éveil, par opposition à l'état inconscient, dans lequel on est fermé au monde, et où les sens ne perçoivent plus le monde extérieur, par exemple dans l'était d'endormissament.
Prenons, un éxemple tout simple, hier soir pendant que Schnelly allait ouvrir la porte du garage, pour rentrer sa voiture dans la garage, ce qui met toujours un certain temps, parce qu'il passe avant par les toilettes, la fermeture des persiennes de la maison, la lecture rapide du courrier qu'il vient de relever dans la boîte, avant de descendre à la cave pour ouvrir le garage qui est à hauteur de la cave... je me suis endormie dans la voiture.
A un moment Schnelly a frappé au carreau pour me réveiller, et je suis passée brutalement de l'état d'inconscince, dans le domaine onirique où j'était partie, car je rêvais déjà, à l'état de conscience, me demandant, non pas si c'était bien ou mal de m'être endormie, mais ce que je faisais là et pourquoi j'étais devant mon garage dans la voiture, quel jour on était, et ce que j'avais fait aujourd'hui et d'où je revenais. Il m'a donc fallu en prenant à nouveau conscience du monde extérieur, réactiver fortement ma mémoire, et tour à tour sont revenus quelques bribes de la route que je venais de faire, donc, m'indiquant la direction dont je venais, puis la journée au collège, et donc le jour de la semaine.
(NDLB : En fait, si j'ai choisi dans mon roman-théâtre, Doofie pour vous parler de la conscience, c'est parce que Doofie qui s'endort n'importe où, et n'importe quand, dès que le niveau de ses activités n'est plus assez élevé, et qui passe donc souvent de l'état de conscience à l'état d'inconscience et vice-versa, est bien placée pour en parler, que les lecteurs qui commencent la lecture du roman par ici,aillent t voir les anciens épisodes).
Je poursuis donc ma démonstration, cet exemple étant destiné à vous expliquer ce qu'est la Conscience au sens de Bewusstsein (on met deux s maintenant, car le u est bref?), donc, moi, Doofie, quand je me réveile, je reprends peu à peu conscience du monde extérieur, de l'espace, du lieu où je me trouve, d'où je reviens, et du temps, quelle heure est-il? Quel jour sommes-nous. Quand vous vous éveillez le matin, vous vous demandez tout d'abord : "Quelle heure est-il? Est-il l'heure de se lever?" généralement, comme nous avons l'habitude de nous éveiler dans notre lit, toujours dans la même maison, nous prenons très rapidement conscience de l'espace : mon lit bien chaud, mes couvertures que je remonte plus haut, pour ne pas partir trop vite dans l'état de conscience... puis du temps... "Quel jour sommes-nous? Dois-je me lever pour aller au travail? Quelle heure est-il? " Mais souvent Schnelly ne me laisse pas le temps de faire toutes ces étapes, mais me rappelle brutalement à la réalité de l'heure souvent très précoce, me mettant tout de suite dans une mauvaise humeur, qui va se prolonger une bonne partie du temps qui me sépare du départ de la maison.
En fait, ce que nous pouvons tirer de ces exemples, est que la Conscience au sens de Bewusstsein, c'est tout simplement le fait d'être éveillé et d'avoir conscience de ce qui nous entoure, en particulier de l'Espace-Temps.
Au contraire, l'Inconscience que nous appelons en psychanalyse l'Inconscient, ce n'est pas le fait d'agir comme une écervelée, ce qui relève de la conscience morale ou Gewissen, mais le fait de ne pas être conscient de ce qui nous entoure, donc d'être dans un était endormi qui comprend plusieurs stades, dont celui où il y a dans le sommeil profond, absence de pensée, et dans le sommeil onirique, des rêves qui généralement, contrairement aux images résiduelles qui encombrent notre endormissement (par exemple si vous avez travaillé le bois pendant une partie de la journée, vous voyez votre ciseau à bois en train de creuser, avec la sciure qui s'envole autour, ou bien si vous avez voyagé longtemps en voiture, vous voyez défiler des paysages), sont bâtis par notre mémoire qui agit alors, de façon très logique, nous donnant l'impression que ce que nous voyons en rêve est réel. Votre mémoire met alors en liaison des évènements récents et lointains et met dans une seule histoire des personnes que vous avez connues à différentes époques de votre vie, et aussi des personnes inconnues, dans diverses maisons généralement bêties à partir de maisons où vous avez vécu ou que vous avez visitées, mais transformées, qui se trouve dans un mélange de paysage qui peut avoir la même structure que la ville de votre enfance ou de votre adolescence. Par exemple, dans mes rêves, le cimetière qui se trouvait près de la maison où j'ai passé mon adolescence et ma prime jeunesse, est souvent transformé en champs. Mais le chemin pour aller chez moi est le même.
L'Inconcience donc, est un état en plusieurs degré d'Insconscience, qui peut aller de l'absence totale de pensée à une pensée fantaisiste et inconsciente qui rassemble différents éléments puisés à l'etat conscient, et réactivés par la mémoire inconsciente pour en faite des suites logiques.
(NDLB : De quoi rêve Doofie en ce moment : elle est souvent sur des campings et dans des fêtes, dans lesquels elle ou d'autres gens jouent de la guitare, et chantent, et elle-même joue de la guitare et chante, et tout à coup la triste réalité réapparait car elle a d'un seul coup des élèves et un inspecteur qui s'attablent à sa table... une fois, c'était même un inspecteur de musique qui inspectait l'un de ses anciens collègues de musique et Doofie était à côté de lui en tant qu'élève. Une fois, elle a rêvé que l'élève de cinquième qui a été renvoyé définiticement du collège, revenait dans la classe et s'asseyait dans le fond et était sage.Il est maintenant dans la classe d'un autre collègue d'allemand).
Donc, l'inconscience, c'est le contraire de l'inconcient, et comme la conscience l'Insonscience a plusieurs degrés. Donc, l'Inconscience serait donc, l'absence de Conscience, mais dans l'état d'inconcience, la Mémoire peut se manifester, en organisant la réalité de l'etat de conscience d'une manière différente.
L'éveil progressif nous donne les différents état de conscience, conscience de l'espace (la vue), conscience du toucher (le lit bien chaud et douillet), conscience des sons (le réveil qui sonne, le chant des oiseaux), conscience du temps et des évènements du passé immédiat qui a précédé l'endormissement (la mémoire), en principe l'odorat et le goût interviennent moins ici, car entrant en jeu en même temps que la conscience de l'espace, donc de la vue, on ne fait généralement pas attention aux perceptions de ces deux sens, sauf si se réveillant à midi, on sent un bon fumet nous caresser les narines et les papilles.
Ce qui confirme bien que l'Etat de Conscience, est un état que l'on atteint par l'éveil, chez le l'enfant déjà âgé, le jeune ou l'adulte, ou par la naissance et l'éveil progressif des sens chez le petit enfant. Certes l'embryon a aussi des périodes de vieille et de sommeil, mais celui-ci, en état de vieille a surtout conscience d'un monde qui est celui de l'interieur du corps de sa mère, odeur internes de son corps, toucher de son corps, vision de lumières plutôt rouges colorés par le sang de la mère, mais il parait qu'il voit en noir et blanc, et audition de bruits tranformés et assourdis, un peu comme lorsque vous nagez sous l'eau. Son univers c'est la chaleur, la lumière diffuse (car le bébé nait avec les yeux ouverts) et les sons assourdies et diffus et les odeurs internes du corps humain). Son sens le moins développé doit être le goût car il ne mange pas encore. Ses sens seront éveillés peu à peu par l'éducation. Le petit d'homme a d'ailleurs un éveil plus lent et plus complexe que l'animal.
Résumons-nous : La Conscience serait donc, l'éat d'éveil qui met et tient nos sens en éveil, nous permettant de percevoir le monde. Donc, la Conscience est l'etat d'éveil qui permet la Perception du monde extérieur et intéreiur (nos sentiments) par les sens, et rien de plus. C'est en allemand "das Bewusstsein".
Ce qui relève de la morale, et de la connaissance du bien et du mal (qui s'acquiert lentement chez l'enfant qui est cependant en état d'éveil et de Conscience, ce qui lui permet d'acquérir la Connaissance), c'est la conscience morale et lorsque l'on parle en philosophie de cette conscience qui est en allemand "das Gewissen", il faudrait parler plutôt de Conscience Morale.
Je vais prolonger dans la ou les paragraphes suivant de mon journal les trois autres choses qui m'ont interpellés dans cette étude sur la conscience que j'avais lue.
Doofie
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Merci Doofie, je comprends exactement ce que tu veux dire... et tu es très forte en philo, mais je pense que tu pourrais cependant choquer quelques uns de nos collègues de philo qui ne voient plus les choses de la même façon...
Pour Doofie,
domino
09:50 Publié dans La Philosophie de l'i-grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philosophie, conscience, inconscient, doofie
mercredi, 10 septembre 2008
Proverbe chinois.
"Ce que l'on sait, reconnaître qu'on le sait. Ce que l'on ne sait pas, reonnaître qu'on ne le sait pas : voilà le savoir véritable."
Proverbe chinois cité par "domino".
11:33 Publié dans Pensées et Aphorismes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : pensées, pensée, proverbe, proverbe chinois, aphorisme, philosophie, littérature
lundi, 25 août 2008
Pensée du midi
"Le philosophe poète, le poète philosophe est un prophète. La poésie didactique devrait être prophétique et a aussi des dispositions pour le devenir".
Friedrich Shlegel, fragments publiés dans l'Atheneum* (1798-1800), traduit de l'allemand par moi-même.m
* L'Atheneum est une revue de littérature allemande parue entre 1798 et 1800 et qui fait date dans l'histoire de la littérature allemande et le romantisme allemand.
11:56 Publié dans Pensée du jour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pensées, pensée, pensées et aphorismes, pensée du midi, poésie, littérature, philosophie
lundi, 28 avril 2008
De tout un peu... avec philosophie... (2)
(suite de la note suivante : Clic, clic)
2) (suite)
Quand j'ai entamé mes études universitaires, nous avons fait une réunion d'anciennes. Mon ancienne prof de français avait été très étonnée que je ne fasse pas français. Pour elle, c'était évident que j'allais faire français et pourtant, je n'avais jamais eu cette intention. Cela aurait sans doute été plus facile. Pour les études, en allemand j'étais seconde langue, je n'avais commencé qu'en quatrième. Au début de l'année, on a fait 10 groupes de niveau, j'étais dans celui du milieu, le cinquième, avec beaucoup de premières langues, mais pour rattraper le niveau de première langue, j'ai du quand même faire deux premières années. Puis ensuite, ça a été tout seul jusqu'au niveau du CAPES. Que j'ai réussi au troisième essai.
Des anciennes copines de classe que je rencontrais me disait : "La prof de français a été déçue que tu n'aies pas fait français!"
Mais bref, j'avais aimé l'allemand dès que j'ai commencé ma première leçon, je ne sais pas pourquoi. Dans le livre de Bodvin et Isler, les dessins étaient en noir et blanc, mais me faisait rêver : surtout celle de la fontaine sur la place du village, à la page du Lindenbaum. On apprenait des chansons, des poèmes et la grammaire était comme des maths. Super langue, beaucoup plus logique que l'anglais! Voilà pourquoi j'ai fait allemand. Encore lors de mes études, mon copain devenu mon mari m'amenait d'Allemagne des prospectus avec des montagnes à sapin et des villages allemands et autrichiens. J'adorais!
3) Bon, continuons....
La troisième partie, c'était sur la philosophie...
Voilà, je me suis rendu compte qu'on classe actuellement parmi les philosophes un certain nombre d'auteurs français que nous classions à notre époque parmi les écrivains littéraires.
En seconde, nous avions étudié les Essaisde Montaigne qui faisaient partie du programme de littérature du XVIème siècle.
En première, nous avions étudié dans le XVIIIème siècle Bayle et Fontenelle (je me souviens qu'il y avait une histoire de Comètes). Puis Diderot, Voltaire et Rousseau. Je me souviens bien des Rêveries du promeneur solitaire. Que nous étudiions en littérature avec quelques incursions dans la philosophie. Nous avions aussi étudié Candide de Voltaire et nous savions qu'il fallait "cultiver son jardin". Ce que je fais maintenant dans mes i-grimoires..... et en réalité.
Bref, nous étions formées à la philosophie avant d'entamer cette classe. Qui se nommait encore la Philo l'année avant la création de la Terminale A. La prestigieuse classe de Philo. Tant que nous n'y étions pas, les élèves qui y étaient nous semblaient être des éminences grises. Ou plutôt blondes, châtains et brunes. Mais bref, nous les admirions.
Enfin, je tiens au moins le quart de ma Philo de la seconde et de la première!
On nous disait encore que la première était la classe de Rhétorique, celle où l'on apprend à discuter d'une opinion. La terminale la classe de Philosophie. Et la première année d'université la Propédeutique que je n'eus pas l'occasion de connaître, car elle disparut l'année de mon arrivéee à l'université.
Voilà, c'était le fin de ma note....
domino
21:17 Publié dans La Philosophie de l'i-grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philosophie, de tout et de rien, études, enseignement