dimanche, 25 mai 2008
Pour être lue.....
Pour être lue ici, il y a un système. J'ai vu que par exemple le dimanche, si on va à la cinquième page des dernières notes publiées, on trouve les note publiées hier, et si on a pas de tag proéminent, l'un des tags qui figure sur la page d'accueil de Haut et Fort : littérature, politique, nom d'un parti, d'un président de parti, d'un ministre, du président de la République, etc..., alors.... pas moyen de se faire lire, personne cherchant sur les choses mises en exergue par Haut et Fort ne vous trouvera. Les anciennes listes placées sur les tags plus rares n'existant plus.
Le dimanche, par exemple, il faut écrire une note par heure, si vous voulez avoir un i-grimoire "visible".
Le soir pareil.
Le mercredi pareil.
Les autres jours écrire une note toutes les deux-trois heures, même si vous n'êtes pas là!
Bon.... Impossible alors d'augmenter son lectorat.
Si, commenti, commenton, avec un lien sur notre i-grimoire, au risque d'attirer les thuriféraires.
Allez bye, bye, j'ai écrit une note d'entre deux pour que vous lisiez le reste, hi! hi!
domino
14:13 Publié dans Les statistiques i-grimoiriennes. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : stats, statistiques, lecteurs de blogs, de tout et de rien
lundi, 28 avril 2008
De tout un peu... avec philosophie... (2)
(suite de la note suivante : Clic, clic)
2) (suite)
Quand j'ai entamé mes études universitaires, nous avons fait une réunion d'anciennes. Mon ancienne prof de français avait été très étonnée que je ne fasse pas français. Pour elle, c'était évident que j'allais faire français et pourtant, je n'avais jamais eu cette intention. Cela aurait sans doute été plus facile. Pour les études, en allemand j'étais seconde langue, je n'avais commencé qu'en quatrième. Au début de l'année, on a fait 10 groupes de niveau, j'étais dans celui du milieu, le cinquième, avec beaucoup de premières langues, mais pour rattraper le niveau de première langue, j'ai du quand même faire deux premières années. Puis ensuite, ça a été tout seul jusqu'au niveau du CAPES. Que j'ai réussi au troisième essai.
Des anciennes copines de classe que je rencontrais me disait : "La prof de français a été déçue que tu n'aies pas fait français!"
Mais bref, j'avais aimé l'allemand dès que j'ai commencé ma première leçon, je ne sais pas pourquoi. Dans le livre de Bodvin et Isler, les dessins étaient en noir et blanc, mais me faisait rêver : surtout celle de la fontaine sur la place du village, à la page du Lindenbaum. On apprenait des chansons, des poèmes et la grammaire était comme des maths. Super langue, beaucoup plus logique que l'anglais! Voilà pourquoi j'ai fait allemand. Encore lors de mes études, mon copain devenu mon mari m'amenait d'Allemagne des prospectus avec des montagnes à sapin et des villages allemands et autrichiens. J'adorais!
3) Bon, continuons....
La troisième partie, c'était sur la philosophie...
Voilà, je me suis rendu compte qu'on classe actuellement parmi les philosophes un certain nombre d'auteurs français que nous classions à notre époque parmi les écrivains littéraires.
En seconde, nous avions étudié les Essaisde Montaigne qui faisaient partie du programme de littérature du XVIème siècle.
En première, nous avions étudié dans le XVIIIème siècle Bayle et Fontenelle (je me souviens qu'il y avait une histoire de Comètes). Puis Diderot, Voltaire et Rousseau. Je me souviens bien des Rêveries du promeneur solitaire. Que nous étudiions en littérature avec quelques incursions dans la philosophie. Nous avions aussi étudié Candide de Voltaire et nous savions qu'il fallait "cultiver son jardin". Ce que je fais maintenant dans mes i-grimoires..... et en réalité.
Bref, nous étions formées à la philosophie avant d'entamer cette classe. Qui se nommait encore la Philo l'année avant la création de la Terminale A. La prestigieuse classe de Philo. Tant que nous n'y étions pas, les élèves qui y étaient nous semblaient être des éminences grises. Ou plutôt blondes, châtains et brunes. Mais bref, nous les admirions.
Enfin, je tiens au moins le quart de ma Philo de la seconde et de la première!
On nous disait encore que la première était la classe de Rhétorique, celle où l'on apprend à discuter d'une opinion. La terminale la classe de Philosophie. Et la première année d'université la Propédeutique que je n'eus pas l'occasion de connaître, car elle disparut l'année de mon arrivéee à l'université.
Voilà, c'était le fin de ma note....
domino
21:17 Publié dans La Philosophie de l'i-grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philosophie, de tout et de rien, études, enseignement
samedi, 26 avril 2008
De tout un peu... avec philosophie...
Ma note est tombée, au moment où une petite fenêtre est apparue :" Veuillez enregistrer votre note, j'ai cliqué pour l'enregistrer et pouf, carré vide, à terre..... Comme j'écris directement sur le blog, vous n'aurez plus les mêmes phrases, les mêmes traits d'humour, tant pis, ces traits d'humour seront perdus à jamais pour l'humanité.... Haut et Fort devrait inventer un système qui récupère les notes qui tombent... et les remet dans les brouillons.
J'en remets le plan ici :
1) Les i-grimoires et la politique,
2) Une super-section pour les surdoués
3) La philosophie que j'ai étudié avant la terminale.
Je prends mon courage à deux mains et je recommence :
1) Les i-grimoires et la politique et les autres i-grimoires....
J'ai écrit il n'y a pas longtemps, et je crois que c'était hier... que les i-grimoires étaient à l'origine des journaux intimes (de web et de log, journal intime), sur lesquels les gens racontaient leur vie et parlaient aussi de leurs goûts de leurs loisirs, critiquaient les livres qu'ils lisaient, etc...
Vous savez que j'ai critiqué ici les i-grimoires de politique, parce qu'ils ne sont pas assez variés.... Les i-grimoires de politique peuvent être plus variés et aborder différents thèmes et pas toujours : les élections présidentielles, les élections municipales.... les élections de ceci... ce qu'a dit le président, etc.... Au lieu de faire de la politique partisane,
Il peut y avoir aussi des i-grimoires thématiques. J'ai écrit des i-grimoires sur ma région : dans ce cas je varie les thèmes, architectures, églises, campagne, nature, scènes de rue, météo, villes, etc....
Si vous écrivez un i-grimoire sur la musique, vous pouvez parler de la musique que vous faites, mais aussi de la musique que vous aimez, publier vos oeuvres, faire des leçons gratuites, tout cela sur le même i-grimoire.
Et ici, ceux qui regardent la première page, pensent que c'est un i-grimoire politique, ou un i-grimoire d'enseignement. Pas du tout, je suis arrivée à l'époque des communautés Haut et Fort et mon i-grimoire qui a mis au moins un mois à trouver son premier commentateur etait dans la communauté "De tout et de rien". Et j'y abordais tous les thèmes "De tout et de rien", et pas l'enseignement, honteuse de n'être plus devenue qu'une TZR. J'ai eu de bons commentateurs, gentils, auquels j'avais donné des liens, mais je les enlevais quand leurs i-grimoires ne correspondaient plus à mon attente.
Puis, quand j'ai commencé à parler d'enseignement, j'ai commencé à avoir des critiques acerbes de collègue, puis quand un président de droite allait, puis a été élu, des injures et des choses immondes sont arrivées dans mes commentaires, alors j'ai fermé les commentaires, écivant seule comme si j'écrivais mon journal comme avant pour moi-même et coupant involontairement la communication avec les autres i-grimoiriens : je ne suis pas toujours là pour vérifier les commentaires... et finalement, je ne passe plus des heures à y répondre.
Alors, c'est quoi la journaliste alternative, un i-grimoire de journaliste?
2) Non, je ne suis pas journaliste, bien que quand j'étais en Terminale, c'était l'un de mes projets d'avenir, mon premier projet étant prof d'allemand. En primaire, je voulais être institutrice. Mon goût a changé en sixième et je voulais être prof de maths ou de latin (je ne faisais pas encore d'allemand), en quatrième je ne pouvais plus être professeur de latin, je n'étais plus bonne à cause du livre épuisé en librairie "Les mots latins" que je n'avais jamais réussi à avoir de toute l'année en cinquième, bien que je lisais parfaitement le latin d'église en suivant le texte français et le texte latin ensemble dans mon Missel, que je venais d'avoir à ma grand-mère pour ma communion... ce Missel plein d'images de communion, dont la mienne, qui était une merveille pour moi, avec sa couverture de cuir noire et ses pages très fines, et le doré de la tranche du livre, et ses rubans rouges qui serviaient de marque-pages, un livre que je lisais et relisais et retournais dans tous les sens. Donc, en quatrième, en ayant perdu mon latin classique (ah! tous les jeudis apès-midi passés sur les versions latines pour de piètres notes...), en quatrième je voulais être prof de maths ou d'allemand, j'estimais ne pas être bonne en français, mon français s'est révélé plus tard, quand on a fait de la vraie littérature et des dissertations.
En seconde, en abandonnant en cours d'année la section C (scientifique) pour la section A (littéraire) à ma demande, je ne voulais plus être prof de maths, mais seulement prof d'allemand (J'ai toujours voulu être prof d'allemand depuis le moment où j'ai commencé l'allemand en quatirème). Alors que je déménageais de seconde C en seconde A avec tous mes livres dans mes bras, ma prof de maths a posé ma dernière copie sur le tas, en me disant : "Qu'allez-vous faire en A? Vous avez encore 16/20 à votre dernier devoir?" Quand j'ai commencé à écrire mon journal et un roman, et des poèmes, en seconde, je voulais aussi devenir écrivaine, mais je savais que c'était un rêve impossible.
En Terminale, je voulais être prof d'allemand ou de géographie (mais sans l'histoire) ou journaliste.
Comme on était plusieurs à avoir écrit jounaliste dans nos voeux, on a fait venir une conférencière, qui nous a dit que "journaliste" n'était pas un bon métier, qu'on allait pas toutes devenir grand reporter, que la plupart du temps, journaliste, c'était cmme elle, faire des piges dans le journal local, travailler souvent la nuit, car le journal devait paraître le matin. Elle nous a dit que prof, c'était mieux, que comme prof on aurait notre jeudi pour les enfants, qu'on pourrait rentrer entre nos cours pour s'occuper des enfants, qu'on aurait beaucoup de vacances pour s'occuper des nos enfants, etc... C'est vrai que l'image de la mère au foyer était encore très présente à l'époque et que la plupart de nos mères ne travaillaient pas... Je suis devenue prof, j'ai travaillé la nuit pour corriger mes copies et mettre la dernière main à la pâte pour les cours du lendemain.... J'ai travaillé jusqu'à 105 heures par semaine, en lycée, un peu moins en collège, beaucoup moins comme TZR,à cause des périodes où il n'y a pas de remplacements, je travaille quand même beaucoup pour mes études (à 57 ans!) quand je n'ai pas de remplacement.
Quand j'ai commencé en Terminale à jouer de la guitare, j'ai voulu devenir aussi chanteuse de folk en anglais, et guitariste et prof de guitare.
Quand alors que j'étais à l'université, je suis entrée, presque en même temps au conservatoire, mon prof de guitare a dit à ma mère que je devrais faire plutôt du chant, que je chantais juste et que j'avais un timbre de voix rare. qu'il n'avait jamais entendu une voix comme la mienne. Depuis que j'écotais Joan Baez, je cherchais à l'imiter. On disait qu'elle avait appris la guitare et l'anglais aux français, mais elle leur a appris aussi à chanter.
Quand j'ai entamé mes études univesitaires, on a fait au bout d'un an environ une réunion d'anciennes de cette promotion-là, malgré mes piètres résultats durant l'année de Terminale, dans cette classe de 40 élèves (disons pas piètres, mais plutôt moyens), j'avais réussi à être parmi les sept mentions de la classe à la session de Juin, dans cette classe où la moitié des élèves avaient un an d'avance, nous n'étions que quatorze reçues en juin et autant en septembre, alors que c'était une très bonne classe d'un très bon lycée privé, qui est maintenant sous un autre nom dans la tête du hit-parade régional des lycées. Mais en 68, nous avons été défavorisées (nous n'étions que des filles, car il n'y avait encore le mixité), par le fait de passer uniquement un oral avec des profs du public, parce que les élèves du privé étaient notés plus bas que ceux du public (il faut bien compter que nous étions notées une ou deux mentions en dessous de ce que nous valions réellement). Je n'ai jamais, en tant que prof du public, pratiqué cette discrimination envers les élèves du privé, lorsque j'ai interrogé au baccalauréat ou au BTS.
(note pas terminée) (je fais la pause)
Suite de la note, note faite quelques jours plus tard : Clic, clic.
"Un i-grimoire sera pour plus tard, le reflet d'une époque...."
10:27 Publié dans la politique de mon i-grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philosophie, politique, de tout et de rien
jeudi, 27 décembre 2007
Joyeuses fêtes...
Ah! C'est vrai, chers ami(e)s! J'avais oublié de vous souhaiter un joyeux Noël, voilà qui est fait.... en retard. En tout cas je vous souhaite de bonnes fêtes et une bonne semaine inter-fêtes, ou comme on disait chez moi "un bon reste", ou comme on dit dans la famille allemande de mon horloge parlante (vous comprenez pourquoi c'est une horloge parlante, c'est à cause de l'exactitude allemande... et quand elle met longtemps à sortir de la maison, c'est son coté français qui reprend le dessus...), bref, dans la famille allemande de l'horloge parlante, on dit "einen guten Rutsch ins Neue Jahr". Comme c'est plus à l'Est qu'ici, il y a souvent du verglas là-bas à la Nouvelle Année à cause du climat continental, et alors c'est plus facile de glisser dans la nouvelle année, rutsch..., rutsch..., je rutsche, tu rutsches, il rutsche dans la nouvelle année. Cela se dit avant la nouvelle année, en abrégé ça donne : "Einen guten Rutsch!" Alors je vous souhaite un bon reste ou "einen guten Rutsch"! Mais n'allez surtout pas traduire "reste" par "Rutsch", ce serait faux.
Et digne de la traduction automatique.
Tiens tout à l'heure, sans le faire exprès, j'ai traduit une page de français en français, c'était rigolo, cela donnait : "Traduire du l'anglais à le du français!". Bon, bref, on n'arrête pas le progrès! Dire qu'il y a des élèves qui prennent ces traductions là pour la Bible. Ils tapent leur texte en français dans un traducteur automatique et recopient le résultat dans leur DM. Et après vous corrigez les fautes du traducteur et pas de l'élève, et l'élève vient vous dire 'Ah! Non, Madame, j'étais sûr d'avoir bon, c'est Internet qui m'a donné la traduction!" Grrr.... Mille fois grr... Alors il faut leur expliquer comment traduit un traducteur automatique et tout, il faudrait rajouter une page de mise en garde contre les traducteurs automatiques dans les manuels, au moins, ils nous croiraient, ils croiraient enfin que tout ce qui est virtuel n'est pas vrai, je veux dire que tout n'est pas vrai dans ce qui est virtuel, ah! ah! Le/la prof non plus n'est pas virtuel. Dans les salles trop longues, le/la prof apparaît de loin tout petit à l'élève et il pourrait croire qu'il est virtuel. (Il y a même des inspecteurs qui pensent que les profs sont virtuels, mais je ne m'étendrais plus longtemps là-dessus, je l'ai trop fait par le passé, et cet inspecteur là n'est plus dans mon académie).
Bon, l'élève qui m'avait dit ça, elle ressemblait à Claire-Marie (avec ses lunettes) dans Star Académy, elle était gentille et tout, alors je ne l'ai pas punie pour ça. Elle pensait avoir vingt et n'a eu que huit ou quelque chose comme cela, c'était déjà une leçon.
Bon, ceci dit, je n'ai pas fini ma note, même si un message automatique me presse de la publier!
Quand je suis dans la rue, dans le train et tout, je vois un tas de choses que je pourrais raconter, et j'observe les gens et tout et je me dis, tiens, je vais parler de ça. Les gens, ils doivent se demander pourquoi je les regarde comme cela. Mais le soir, je n'ai pas le temps d'écrire et tout ce que j'ai enregistré sur la route dans ma petite tête s'est évaporé le lendemain pour laisser la place à ce que je dois réellement retenir. Pour mes études et mon travail. Comme quoi le sommeil paradoxal fait travailler la mémoire d'une façon sélective, nous laissant que ce dont nous avons besoin pour continuer à vivre.
Dans le train j'écris mon i-grimoire dans la tête, je ne l'écris pas sur du papier, je suis si souvent mal installée que c'est tout juste bon pour lire. Alors je le fais dans ma tête, et arrivée à la maison, je m'endors sur l'ordinateur en vérifiant le courrier, puis le lendemain, je recommence une nouvelle page de l'i-grimoire dans ma tête, et voilà, la page s'envole à nouveau.
Bon, vous voyez toutes les lectures que vous avez râté. Cela fait même au moins deux mois ou un mois que je n'ai pas regardé les statistiques. Tiens, je vais le faire. mais entre le moment où vous commentiez mon i-grimoire et le moment où j'ai fermé les commentaires, mon lectorat a diminué des deux tiers!
Allez, tchüss, et tout schuss einen guten Rutsch! C'est joli toutes ces sonorités.... Allez, va, ne m'en voulez pas, de ne pas vous avoir dévoilé ces temps derniers les tréfonds de mon âme et de mon humeur.
domino
21:05 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : "de tout et de rien", de tout et de rien, blog