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samedi, 26 avril 2008

De tout un peu... avec philosophie...

Ma note est tombée, au moment où une petite fenêtre est apparue :" Veuillez enregistrer votre note, j'ai cliqué pour l'enregistrer et pouf, carré vide, à terre.....  Comme j'écris directement sur le blog, vous n'aurez plus les mêmes phrases, les mêmes traits d'humour, tant pis, ces traits d'humour seront perdus à jamais pour l'humanité.... Haut et Fort devrait inventer un système qui récupère les notes qui tombent... et les remet dans les brouillons.

J'en remets le plan ici :

1) Les i-grimoires et la politique,

2) Une super-section pour les surdoués

3) La philosophie que j'ai étudié avant la terminale.

Je prends mon courage à deux mains et je recommence :

1) Les  i-grimoires et la politique et les autres i-grimoires....

J'ai écrit il n'y a pas longtemps, et je crois que c'était hier... que les i-grimoires étaient à l'origine des journaux intimes (de web et de log, journal intime), sur lesquels les gens racontaient leur vie et parlaient aussi de leurs goûts de leurs loisirs, critiquaient les livres qu'ils lisaient, etc...

Vous savez que j'ai critiqué ici les i-grimoires de politique, parce qu'ils ne sont pas assez variés.... Les i-grimoires de politique peuvent être plus variés et aborder différents thèmes et pas toujours :  les élections présidentielles, les élections municipales.... les élections de ceci... ce qu'a dit le président, etc....  Au lieu de faire de la politique partisane,

Il peut y avoir aussi des i-grimoires thématiques. J'ai écrit des i-grimoires sur ma région : dans ce cas je varie les thèmes, architectures, églises, campagne, nature, scènes de rue, météo, villes, etc....

Si vous écrivez un i-grimoire sur la musique, vous pouvez parler de la musique que vous faites, mais aussi de la musique que vous aimez, publier vos oeuvres, faire des leçons gratuites, tout cela sur le même i-grimoire.

Et ici, ceux qui regardent la première page, pensent que c'est un i-grimoire politique, ou un i-grimoire d'enseignement. Pas du tout, je suis arrivée à l'époque des communautés Haut et Fort et mon i-grimoire qui a mis au moins un mois à trouver son premier commentateur etait dans la communauté "De tout et de rien". Et j'y abordais tous les thèmes "De tout et de rien", et pas l'enseignement, honteuse de n'être plus devenue qu'une TZR. J'ai eu de bons commentateurs, gentils, auquels j'avais donné des liens,  mais je les enlevais quand leurs i-grimoires ne correspondaient plus à mon attente.

Puis, quand j'ai commencé à parler d'enseignement, j'ai commencé à avoir des critiques acerbes de collègue, puis quand un président de droite allait, puis a été élu, des injures et des choses immondes sont arrivées dans mes commentaires, alors j'ai fermé les commentaires, écivant seule comme si j'écrivais mon journal comme avant pour moi-même et coupant involontairement la communication avec les autres i-grimoiriens : je ne suis pas toujours là pour vérifier les commentaires... et finalement, je ne passe plus des heures à y répondre.

Alors, c'est quoi la journaliste alternative, un i-grimoire de journaliste?

2) Non, je ne suis pas journaliste, bien que quand j'étais en Terminale, c'était l'un de mes projets d'avenir, mon premier projet étant prof d'allemand. En primaire, je voulais être institutrice. Mon goût a changé en sixième et je voulais être prof de maths ou de latin (je ne faisais pas encore d'allemand), en quatrième je ne pouvais plus être professeur de latin, je n'étais plus bonne à cause du livre épuisé en librairie "Les mots latins" que je n'avais jamais réussi à avoir de toute l'année en cinquième, bien que je lisais parfaitement le latin d'église en suivant le texte français et le texte latin ensemble dans mon Missel, que je venais d'avoir à ma grand-mère pour ma communion... ce Missel plein d'images de communion, dont la mienne, qui était une merveille pour moi, avec sa couverture de cuir noire et ses pages très fines, et le doré de la tranche du livre, et ses rubans rouges qui serviaient de marque-pages, un livre que je lisais et relisais et retournais dans tous les sens. Donc, en quatrième, en ayant perdu mon latin classique (ah! tous les jeudis apès-midi passés sur les versions latines pour de piètres notes...), en quatrième je voulais être prof de maths ou d'allemand, j'estimais ne pas être bonne en français, mon français s'est révélé plus tard, quand on a fait de la vraie littérature et des dissertations.

En seconde, en abandonnant en cours d'année la section C (scientifique) pour la section A (littéraire) à ma demande, je ne voulais plus être prof de maths, mais seulement prof d'allemand (J'ai toujours voulu être prof d'allemand depuis le moment où j'ai commencé l'allemand en quatirème). Alors que je déménageais de seconde C en seconde A avec tous mes livres dans mes bras, ma prof de maths a posé ma dernière copie sur le tas, en me disant : "Qu'allez-vous  faire en A? Vous avez encore 16/20 à votre dernier devoir?" Quand j'ai commencé à écrire mon journal et un  roman, et des poèmes, en seconde, je voulais aussi devenir écrivaine, mais je savais que c'était un rêve impossible.

En Terminale, je voulais être prof d'allemand ou de géographie (mais sans l'histoire) ou journaliste.

Comme on était plusieurs à avoir écrit jounaliste dans nos voeux, on a fait venir une conférencière, qui nous a dit que "journaliste" n'était pas un bon métier, qu'on allait pas toutes devenir grand reporter, que la plupart du temps, journaliste, c'était cmme elle, faire des piges dans le journal local, travailler souvent la nuit, car le journal devait paraître le matin. Elle nous a dit que prof, c'était mieux, que comme prof on aurait notre jeudi pour les enfants, qu'on pourrait rentrer entre nos cours pour s'occuper des enfants, qu'on aurait beaucoup de vacances pour s'occuper des nos enfants, etc... C'est vrai que l'image de la mère au foyer était encore très présente à l'époque et que la plupart de nos mères ne travaillaient pas...  Je suis devenue prof, j'ai travaillé la nuit pour corriger mes copies et mettre la dernière main à la pâte pour les cours du lendemain....  J'ai travaillé jusqu'à 105 heures par semaine, en lycée, un peu moins en collège, beaucoup moins comme TZR,à cause des périodes où il n'y a pas de remplacements, je travaille quand même beaucoup pour mes études (à 57 ans!) quand je n'ai pas de remplacement.

Quand j'ai commencé en Terminale à jouer de la guitare, j'ai voulu  devenir aussi chanteuse de folk en anglais, et guitariste et prof de guitare.

Quand alors que j'étais à l'université, je suis entrée, presque en même temps au conservatoire, mon prof de guitare a dit à ma mère que je devrais faire plutôt du chant, que je chantais juste et que j'avais un timbre de voix rare. qu'il n'avait jamais entendu une voix comme la mienne. Depuis que j'écotais Joan Baez, je cherchais à l'imiter. On disait qu'elle avait appris la guitare et l'anglais aux français, mais elle leur a appris aussi à chanter.

Quand j'ai entamé mes études univesitaires, on a fait au bout d'un an environ une réunion d'anciennes de cette promotion-là, malgré mes piètres résultats durant l'année de Terminale, dans cette classe de 40 élèves (disons pas piètres, mais plutôt moyens), j'avais réussi à être  parmi les sept mentions de la classe à la session de Juin, dans cette classe où la moitié des élèves avaient  un an d'avance, nous n'étions que quatorze reçues en juin et autant en septembre, alors que c'était une très bonne classe d'un très bon lycée privé, qui est maintenant sous un autre nom dans la tête du hit-parade régional des lycées. Mais en 68, nous avons été défavorisées (nous n'étions que des filles, car il n'y avait encore le mixité), par le fait de passer uniquement un oral avec des profs du public, parce que les élèves du privé étaient notés plus bas que ceux du public (il faut bien compter que nous étions notées une ou deux mentions en dessous de ce que nous valions réellement). Je n'ai jamais, en tant que prof du public, pratiqué cette discrimination envers les élèves du privé, lorsque j'ai interrogé au baccalauréat ou au BTS.

 

(note pas terminée) (je  fais la pause)

Suite de la note, note  faite quelques jours plus tard : Clic, clic.

 

"Un i-grimoire sera pour plus tard, le reflet d'une époque...."

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