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mercredi, 06 mai 2015

Pensée du matin

"On devrait tous les jours, au moins, écouter une petite chanson, lire un bon poème, regarder une excellente peinture, et si cela était possible, dire quelques paroles intelligentes".

Johann Wolfgang von Goethe (traduit par domino).

Et nous quel est notre programme journalier, adapté à notre temps?

domino

vendredi, 12 octobre 2012

Les personnages prennent le pas sur l'auteure...

Bon ce titre pourrait être le sujet d'une dissertation de littérature, mais vu la discussion que mes personnages de roman-théâtre ont entre elles aujourd'hui, je pense que c'est souvent la triste réalité pour l'auteure :

- Dummie : Ce blog est toujours recouvert d'un cache. Et pourtant, il a eu encore 173 clics hier et 404 pages lues.

- Sottie : Je me demande d'ailleurs comment ils font pour lire les pages,, puisque sur notre ordinateur, il y a un cache-blog à chaque page.

- Doofie : Peut-être que si domino le mettait sous code d'entrée, elle pourrait le lire de nouveau de l'extérieur, à moins que le cache entre dans la boîte de lecture en même temps que le blog!?

- Blödie : Oui, on ne sait jamais! Bon, c'est embêtant, car les lecteurs de domino ne sont plus tous au courant de nos aventures.

- Foolie : "Les aventures de Dummie", il faut le préciser! Car au début, il n'y avait que Dummie dans le roman-théâtre. Petit à petit nous sommes entrées dans le blog.

- Dummie : Même Bêtie qui est réssussitée déjà deux fois, mais elle est restée dans son académie d'origine.

- Sottie : Il parait que c'est à cause d'elle et de ses aventures qu'il y a un cache sur le blog. Elle critique toujours l'éduc nat, alors qu'elle est prof, alors tu comprends..;

- Doofie (qui monte sur ses grands chevaux) : Tu ne vas quand même pas critiquer notre chère Bêtie! Elle a déjà fort à faire dans son académie, là-bas!

- Foolie : Bêtie a une nouvelle amie qui s'appelle Gwupie (en fait le w est un l barré, car elle est collègue en langue slave 2).

- Doofie : Est-ce qu'on va la faire rentrer dans notre club?

- Dummie : C'est toi ou c'est moi qui commande ici. Je suis la fondatrice du club.

- Sottie : Ne nous disputons pas, nous pouvons voter démocratiquement;

- Blödie : Mais il faudrait que l'on fasse d'abord sa connaissance, ne votons pas maintenant, mais attendons, et c'est bien que Bêtie ait une amie là-bas, au moins elle sera moins triste.

- Foolie : Même si elle en avait plusiers, ça ne serait pas mal, on agrandirait le club comme cela. Deux clubs...

- Dummie : Non, un seul... avec deux pôles, il ne faut pas séparer le club en deux, Bêtie fait partie intégrante de notre club

- Doofie : En tout cas, cela ne résout pas el problème du cache sur le blog de domino.

- Dummie : Oui, c'est peut-être à cause de nous et de nos idées que l'on a mis un cache sur le blog de domino.

- Foolie : Pourtant la liberté d'expression; Serait-elle moins grande chez les prolétaires que chez les dictateurs nationalistes?

- Blödie : Il faut dire que l'auteure qu'est domino a mis en un peu de chacune d'entre nous de ses idées à elle.

- Dummie : Et quand elle est partagée entre deux points de vue, nous nous disputons... ce qui n'est pas très gentil de sa part, de nous faire nous disputer...

- Foolie : Oui,, mais nous avons aussi notre vie propre, par rapport à domino.

- Blödie : Imagine que avec ce cache sur le blog, on veuille nous faire disparaître, nous, les personnages de roman-théâtre de domino...

- Foolie : Ce serait atroce... Nous serions mortes, toutes ensemble..

- Doofie : Oui,atroce, je ne veux pas mourir..

- Dummie : Ce serait la fin du monde...

- Foolie : Les humains en parle, à cause du calendrier maya...

- Blödie : Les mayas ont des descendants, ils n'ont qu'à faire une prolongation du calendrier maya.

- Dummie : Mais Foolie, pourquoi as-tu dit "les humains". Ne sommes-nous pas humaines?

- Foolie : Pardon, Dummie, je voulais dire que nous sommes des personnaes de fiction, pas des personanges vivants sur la terre, quoi!

- Sottie : C'est terrible quand j'y pense, de n'être que des personnages de fiction, et pourtant, je me sens bien vivante..

- Doofie : Oui, moi aussi je ne veux pas mourir..

- Blödie : Mais si notre roman atteint la gloire, nous serons immortelles...

- Dummie : Oui, c'est cela, alors disons que nous sommes immortelles, et n'y pensons-plus...

- Doofie : Nous ressemblons à domino, mais nous sommes quand même nous-même, nous nous différencions d'elle, même si elle met un peu d'elle et ses idées en nous..

- Blödie : A une certaine époque, il y a des écrivains qui ont été exilés pour avoir mis leurs idées dans leur personange...

- Dummie : On n'en est pas là, cela aurait pu arriver si le pays avait continué à s'appeler la Sarpénie.

- Blödie : Oui, notre ancien pays. Mais nous sommes toujours là, saine et sauve, mais nous aimerions bien que le public puisse lire nos aventures...

Pour mes pesonnages de théêtre et leur vie propre

domino

 

lundi, 01 octobre 2012

Pensée du jour

Pensée de Doofie (personnage de mon roman-théâtre):

Après la dictature de droite, nous avons la dictature du prolétariat!

Doofie

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Pour Doofie, domino

Ce blog était "De tout et de rien!"

Roman-théâtre

Du journal de Dummie

Qu'il était beau le blog de domino à ses débuts, il était sous les catégories "De tout et de rien" et "Musique" ou bien "Chanson" ou bien "Poéise", je ne sais plus trop.

Nous, bien qu'en gestation dans l'esprit de notre auteure, nous étions déjà adultes et le lisions en secret tous les jours, bien avant que notre existence soit officialisée par ce roman-théâtre, et ça je peux vous l'affirmer, c'était un blog perso...  personne de son entourage, mis à part le mari de domino, ne savait qui écrivait ce blog, c'était une inconnue, prénommée domino. Mais les commentaires allait bon train, même un jour c'était plutôt du chat jusqu'à minuit.

Mais un jour, un individu peu recommandable est venu faire des commentaires dégoûtants, alors domino a fermé les commentaires,d'abord temporairement, puis définitivement, et elle a continué à écrire sans savoir ce qu'en pense les gens, mieux vaut parfois comme cela.

Puis un jour, on nous a créées, et là, je ne sais pas ce qui s'est passé, mais apparemment l'un de nos proches, peut-être l'un de nos maris, pas asusi discret que celui de domino, nous a trahi et a dit que domino écrivait ce blog. Beaucoup disent que c'est Schnelly,car si Doofie a toutes les qualités, Schnelly n'en a pas beaucoup, mais ce n'est pas le mari à domino.

Alors, ça a commencé à être la panique, nous ne pouvions plus parler "de tout et de rien" sans que le monde entier le sache, nous ne pouvions plus parler d'enseignement,sans quon nous taxe de "mauvais blog d'enseignement, ceci dans les villes où nous habitions.

Alors, sauf Bêtie, nous avons quitté l'académie où nous étions avant et nous nous sommes installés dans le Nord du département du Sud. Mais rien à faire, on nous a toujousr attaquées, et même citées dans des rapports faits sur Bêtie, mais c'était à l'époque sarpénienne.

A l'époque hollandienne, tout semblait nous sourire, quand soudain arrive une catastrophe : plus moyen de nous lire, notre roman est recouvert par une page de phishing...

Alors, pour qui allons-nous voter la prochaine fois.

Dummie

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Pour Dummie, son auteure, domino

 

vendredi, 02 décembre 2011

Ce que j'aimais de la vie..

Ce que j'aimais de la vie...

c'était le souffle doux des soirs de printemps et d'été,

c'était les pétales de fleurs qui jonchaient le sol,

Les coeurs de Marie, les muguets,

Et aussi les pâquerettes que je cueuillais en juin et que je tressais dans mes cheveux..

J'aimais le soufflle du vent sur les crêtes de montagnes...

J'aimais la brise entre le bois des sapins,

Leur odeur de résine parfumer l'air des cîmes,

Les paysages lontains que l'on découvre là-bas,

Le roulement des vagues sur la plage de sable déserte,

L'anneau d'émeraude autour du lac autrichien,

La limpidité des eaux turquoises...

Le roulis des vagues sur le sable mouillé,

Mes pieds qui poussaient les feuilles d'automne sur les avenues de la ville aux hauts arbres altiers,

Le soleil qui brillait au travers des rideaux,

Le rayon d'or qui se posait sur ma peau à la fin de l'hiver,

J'aimais sentir la vie, la vie qui bruissait légèrement dans les bruits lointains de la ville..

J'aimais sentir la pulsion de la vie, le roulement de la vague, le bruissement des feuilles..

Et les chants d'oiseaux, quand ils étaient encore si nombreux..;

Et regarder les étoiles quand on les voyait encore..

 

J'aimis le son des instruments à cordes pincées, J'aimais le contact de mes doigts sur les cordes,

Et le son doux des flûtes et des flûtiaux,

Le son des voix ineffables qui chantaient l'indicible,

J'aimais promener mes doigts sur la touche de pallissandre ou d'ébène,

J'aimais enfoncer les cordes et les faire sonner...

J'aimis les harmoniques aux sons si cristallins,

J'aimais les voix des femmes, leurs voix de crystal velouté,

J'aimais de la vie ce qui vibre, et qui bruisse et qui chante..

J'aimais le son mélodieux..;

 

J'aimais le son et la couleur..

La couleur des aurores, des aurores bleues, des aurores roses, des aurores rouges,

Les clochers des villages se détacher dans le levant,

La couleur des crépuscules, des crépuscules roses, des crépuscules oranges, des crépuscules rouges, ds crépuscules pourpres...

J'aimais la couleur des crépuscules

Les clochers des églises qui se détachaient sur le couchant..

J'aimais tout cela..

J'aimais de la vie les sons et les couleurs,

Les couleurs et les sons et la vie..

La vie tout simplement..

 

J'aimais voir jouer le petit enfant,

J'aimais voir le grand enfant satisfait et souriant d'avoir appris quelque chose aujourd'hui,

J'aimais entendre les histoires que racontaient les vieux

Les histoires du temps ancien

Qui ne sont pas écrites dans les livres d'histoire,

Qu'ils me racontaient leur vie, leurs peines, leurs amours d'antan..

J"aimais quand des amis me racontaient leur vie

Mais mes amis m'ont abandonnée,

Et pourtant je ne les ai jamais trahis,

J'aimais de la vie le son doux des confidences,

J'aimais de la vie le son doux des chants,

j'aimais les couleurs du levant et du couchant,

J'aimais les couleurs, les sons et la vie tout simplement,

La vie toute simple, savoir que je respire

L'air du soir sur la terrasse en été

Qui m'apportait des effluves d'un ailleurs oublié

Cet ailleurs du fond des âges,

Cet ailleurs du passé, de l'avenir encore présent,

Cet ailleurs de mondes oubliés,

Cet ailleurs de mondes inconnus,

Cet ailleurs du monde qu'ont vécu mes ancêtres illustres ou inconnus,

Cet ailleurs de mondes à venir

Ailleurs du présent, du passé,

de l'avenir alors encore présent,

Ailleurs d'un monde qui existait encore pour moi,

Des ailleurs que je ne connaîtrais jamais

De contrées que j'aurais voulu visiter,

De contrées que je ne connaîtrais jamais,

Ailleurs, cet ailleurs des chants des montagnes et des plaines,

Cet ailleurs que m'apportaient des airs de musique

Ou des images dans les livres

Des images dans les films

Cet ailleurs qui était cet ailleurs de la condition humaine

Loin de l'ailleurs qui me tends maintenant les bras

Loin de ce grand gouffre noir inconnu

Sans savoir s'il y a quelque chose d'aussi beau à l'autre bout du tunnel

Que cet infini de la condition humaine

Où nous sentons palpiter le divin, dans la brise, dans la douceur d'un vent chaud,

Dans le roulis des vagues et le chant des oiseaux...

Ailleurs, ailleurs, où allons-nous quand on n'a plus d'avenir?

 

domino

(écrit aujourd'hui vers 4 heures du matin)

 

 

vendredi, 26 août 2011

Dummie explique les écrits de Doofie

Doofie, mon personnage de roman-théâtre, a écrit dans son journal intime quelques pages sur les rois Ingvings qu'elle croit être ses ancêtres, pages que j'ai publié dans la note précédente; Voic que Dummie, autrre héroïne de mon roman-théêtre vient de lire cette note et elle va vous expliquer, parce que Doofie lui en avait parlé comment elle en est arrivée à cette conclusion (le fait qu'elle descend des rois Ingvings).

Doofie, mon amie de toujours, qui était déjà amie avec moi quand nous étions petites, et qui était toujours première de classe, excellant aussi bien en arithmétique, puis en mathématiques, qu'en français, bien qu'ayant toujours été très rêveuse et fantasque (elle n'écoutait que le moitié de ce que les professeurs disaient, partie la plupart du temps dans ses rêves, mais elle avait toujours des notes excellentes..), a toujours rêvé - comme beaucoup de peties filles d'ailleurs, d'être une princesse, ou même une reine.

Elle n'avait jamais fait le rapprochement, mais on lui avait dit quand elle éait petite, qu'elle était issue par son père, d'une famlle patricienne d'une  ville ancienne de  Flawallie, avec laquelle on avait perdu le contact, à cause de la mort de son grand-père pensant la première guerre mondiale et du remarriage de sa grand-mère, il y aura cent ans  dans dix ans. Sa grand-mère a alors perdu tout contact avec sa première belle famille, que Doofie est en train de retrouver, car cette belle famille avait mal accepté ce remariage. Ses parents essayant de lui donner un lien cependant avec ce grand-père remplaçant (ou beau grand-père) qui n'était pas de sang, en le nommant son parrain.

Les patriciens étaient les petits nobles qui dirigeaient généralement les affaires des cités jusqu'à la révolution, ensuite, ils ont predu leurs prérogatives.  Comme ils étaient moins riches que les grands nobles, ils devinrent parfois ouvrires pour gagner leur vie. D'autres émigrèrenet en Amérique comme mes cousins à moi, issus d'un même arrière-arrière-arrière-grand-père et d'une même, cela va de soi, arrière-arrière-arrière-grand-mère.

Alors voilà ce qu'il y a de vrai dans ce que raconte Doofie; Doofie fait son arbre généalogique, elle est tombée sur une femme de la Renaissance qui portait le même patronyme qu'elle; Comme son patronyme qui est d'ailleurs mon prénom, est très rare avec cette orthogrphe, on trouve plus souvent l'orthographe Dummy, ou bien Doumie, car Doofie s'appelle Doofie Schnelly-Dummie... , Elle est tombé sur une ancêtre portant le même patronyme qu'elle. Désirant savoir jusuqu'ou menait cette branche et si elle ne rejoignait pas la sienne, Doofie remonta de file en aiguille dans le temps, et s'perçut que cette branche avait deux alliances avec la sienne. Doofie  pense que les deux branches, plus encore deux ou trois branches qu'elle a identifiées se rejoignent vers 1100 ou 1200. A moins qu'elles ne se rejoingent plus haut par un frère ou une soeur plus jeune, c'est à dire que dans ce cas, elle descendrait des mêmes ancêtres. Doofie continue a remonter dans le temps, garde le nom sur  trois générations, puis ne trouvant plus l'ancêtre masculin, bifurque sur la brue du dernier ancêtre du nom connu, et remonte dans le temps. Petite seigneurie dans sa région même. De petite seingneurie, en petite seigneurie, on remonte jusqu'aux Comtes de Flamie et aux Ducs de Wallie. Et de fil en aiguille on tome sur des rois, des princes, de nouveau des ducs ou comtes, puis soudain, cela s'arrête la femme du duc de Saxe s'appele Geva... quel drôle de nom.

Doofie tape le nom de Geva sur son moteur de recherche, "reine issue de la dynastie mythique des Ingvings dont on parle dans les sagas" (intéressant se dit Doofie, voilà que je descend de rois mythiques... comme dans les rêves de mon enfance, d où à chaque fois que l'on pronoçait le mot roi ou reine, princesse ou prince dans un cours d'histoire,  Doofie sursautait d'abord, puis se laissait alelr dans un rêve où on venait lui metre des pantoufles de vair qui lui allaient bien, et que le prince la prenait par la main, l'emmenant dans son château, où elle brillait parmi les dames revêtues des plus beaux atours, qui se prosternaient devant elle...

Bon, je vasi creuser cela : "dynastie des Ingvings", d'abord Doofie trouve un arbre généalogique d'un américain qui a ruéssi à prouvers qu'il descendit des Ingvings". Elle lit ensiuite les pages d'internet consacrée aux rois ingvings et se rend compte que ceux ci, arrivés dur le continent vers lan 850, se sont mariés avec des rois de Saxe, de Wesphalie, de Frise, avant de s'épandre dans toute le noblesse des bords des côtes de le mer du Nord. Et que tous ces petts nobles dont les noms sont xen langue Flame descendent en fait à moitié des Ingvings.

Donc, sans aucun doute aussi ses ancêtres.

Doofie se met à lire attentivement l'histoire de chacun de ces rois. Sur les pages qui leur sont consacrées, elle découvrent des photos de leurs tumulus funéraires et du mur herbeux qui entourait leur dernière ville, celle qu'ils ont installé au Schleswig après avoir vaincu les danois.  Fait des rapprochements avec les tumulus celtes et les menhirs celtes, et aussi avec les éminences herbeuses qu'elle a vues dans un parc près de  Paris à côté d'une basilique où sont enterrés des rois francs.

Alors, Doofie se dit que ce ne sont pas les celtes qui ont installé les tumulus et les menhirs, mais les francs, puisqu'o a trouvé dans des tumulus des princes qui avaient des costumes ressemblant à ceux des francs. On effet, les francs et les anciens rois d'Uppsala parlaient tous la même langue proto-germanique, puis le germanituque, puis le gotique avant que leurs langues ne se différencient, vers le Vème siècle après Jésus-Christ.

Puis Doofie remonte dans la généalogie et constate les nombeux mariages avec les nobles francs, saxons, danois, thuringeois, les rois anglais de Wessex, et même vers l'an mille avec une branche issue du grand-duc de Kiev.

Doofie en lisant les histoires des sagas, voit qu'il n'y a rien de merveilleux dans ce que l'on y décrit, des histoires de guerres avec des peuples existant encoer comme les Estoniens, appelés alors les Estes, peuple situé à l'Est, les Danois, etc... des histoires acquises en de féroces combats comme il y en avait aussi en France, à l'époque, ou par ruse (le nain enfermant le roi ennemi dans une grotte (une pierre), ou le roi brûlant ses ennemis dans une salle de banquet muré. Et c'est en écrivant son joural que Doofie a compris quelque chose, la salle de banquet murée à la fin du Nibelungenlied. 

Et puis, Doofie s'était dit qu'il y avait queques éléments merveilleux quand même dans les sagas comme la walhalla où se déroule le crépuscule des dieux,et soudain, ça a fait tilt, wall, mur, halla,ou hall ou salle, la salle de banquet murée de la saga et de la chanson des Nibelungen (peuple du brouillard, donc placé assez au Nord..), ne font qu'une : le roi qui a enfermé ses ennemis dans une salle de banquet en faisant croire qu'ils étaient ses amis et qu'on allait faire un immense banquet et une immense fête pour fêter la paix... tout cela est fort possible et relève du réel et pas du merveilleux, pour Doofie, qui finalement a peutêtre raison. Imaginez que le roi Gaffe l'Africain, fasse entrer les soldats d'élite de l'Empereur Entreboues dans son blockhaus en disant qu'il veut parlementer et que les soldats d'élite de l'empereur Etreboues se laissent avoir et que le Roi Gaffe l'Africain pousse une grande porte en pierre devant l'entrée du blockhaus pour les enfermer prenant lui même la fuite et se présentant à son peuple en  disant : Odin nous a laissé la vie sauve, mon cher peuple, nos ennemis sont enfermés, reprenons notre vie normale et que les rebelles se joignent de nouveau à lui...

Alors, le crépuscule des dieux de Wagner, Doofie s'et dit "Tintin!" ce n'est que dans osn imagination, la Walhala a vraiment exité, sur terre, vers l'an 500, en Suède... non loin d'Uppsala. Elle n'était pas au ciel du tout. Et c'est un de mes ancêtres qui y a mis le feu à la sale murée. Qu'ils étaient cruels, mes ancêtres..  j'en pleure quand je vois cela, mais il y a eu aussi de très grands rois chez mes ancêtres les Irvings... des rois qui ont vécu longtemps et en paix.

Bon, Doofie est incorrigible, elle passe sous silence celui qui avait sacrifié un à un huit de ses neuf fils pour prolonger sa propre vie, de quinze ans à chaque fils sacrifé, mais son peuple s'est oppsoé à ce qu'il sacrifie le plus jeune, car il fallait quelqu'un pour lui succéder et le roi mourut. C'est cruel de sacrifier ses fils, Doofie ne le dit pas,c ela...

Bon, j'ai oublié de dire que oure le fait que Doofie considère ces récits comme réels, elle a constaté ensuite des alliances de plus en plus nomberuses avec la noblesse française, les comtes de Beaugency, de Monmorency, de Montlhéry entrent peu à peu vers les années 1000-1100 dans l'arbre génaalogique fait par Doofie. Mais cet arbre se joignant à celui de la petite noblesse famande vers 1400, la branche de Doofie n'a plus les mêmes alliances de cette Sophie Dummy  qui a marié un Duc dans les années 90. Et dont la famille a eu de grandes alliances dans la grande noblesse depuis le XVIIIème sicècle, alors que la branche ainée de Doofie Dummie passait dans l'oubli provisoire (avant que Doofie ne devienne une célèbre musicienne et romancière et poète),  mais il y a déjà une romancière célèbre dans la branche cadette, c'est Mahalia Thonomb. Alors il y en aura deux, ma Doofie deviendra une célèvre romancière et compositrice.

En tout cas, je pense que nous les français qui descendons des francs, nous avons quand même des origines barbares. Et cruelles, nous ne sommes pas les seuls...

Souhaitons que notre bon sens et notre sagesse, ne nous fasse plus revenir à de telles époques de Barbarie. Car avec le temps, nous sommes devnus sages.

Dummie

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Pour Dummie, mon personnage de roman-théâtre, domino