dimanche, 15 avril 2012
Comprendre ou pas
Roman-théâtre
Du journal de Sottie
Mes amies Bêtite, Dummie et Doofie, et Cie nous parlons très bien français puisque nous sommes françaises d'origine. Seulement il y a un hic! En ce moment certaines personnes, françaises de surcroît, ou étrangères, disent qu'elles ne comprennent pas quand nous parlons. L'an dernier, même Schnelly, Rapidy et Cie, nos maris ont prétendu que nous parlions trop vite et qu'ils ne nous comprennent plus parce que nous parlons trop vite.. Ils sont à moitié d'origine allemande, mais à moitié seulement et ils ont quand même tous un père français et ont été au lycée français. Des élèves aussi (en particulier de SEGPA) prétendent ne pas nous comprendre que nous parlions français ou allemand. Quand nous parlons allemand aux SEGPA, elles disent "Qu'esche que vous disez? On y comprend rin"
C'est vraiment bizrarre parce que par exemple, un luthier d'origine espagnole et qui parle très peu le frnaçais, nous avait dit il y a une quinzaine d'année, que dans le stage nous étions les seules qui parlions bien le français et dont il comprenait le français et qu'il ne comprenait pas bien les autres (ceux qui avaient soit l'accent du midi, soit l'accent alsacien). Il avait dit que nous avions une très bonne diction.
Encore plus bizarre pour nos maris qui auparavant nous comprenaisent très bien et de plus, ils comprennent et réagissent bien quand nous parlons allemand, bien que ce n'est pas notre langue maternelle. Alors, nous nous sommes dit que, soit ils deviennent durs de la feuille avec l'âge, mais alors pourquoi réagissent-ilsi bien quand on leur parle allemand?
En ce moment c'est notre prof de langue ouralo-altaïque qui est pourtant depuis bientôt deux ans en France, qui ne nous comprend pas bien, mais c'est normal puisque pour elle, le français est une langue très difficile, elle ne l'a pas parlé depuis le berceau comme nos maris.
Cependant, nous, nous comprenons tout en allemand oral, sauf parfois certains dialectes du fin fond de la campagne comme le Suisse allemand autour du lac des Quatre Cantons, un pays dont Dummie a pourtant un ancêtre du XVIIème siècle. (Il avait de la chance d'habiter là, parce que qu'est ce que c'est beau!)
Alors, on se demande pourquoi, nous, on ne nous comprends pas!!! Que des étrangers qui apprennent le français comme langue étrangère ne comprennent pas notre français, passe encore, mais que des français ne nous comprennent pas, quand nous parlons français alors que l'on a souvent vanté notre bonne diction, nous ne nous y retrouvons plus et nous prenons cela pour du Mobbing (harcèlement moral).
C'est pareil pour les noms de naissances, beaucoup de personnes oublient que l'on a un nom de naissance et même notre famille qui lorsqu'elle parle de moi pour me différencier d'autres Sottie de ma famille me nomme par prénom + nom marital, venant jusqu'à dire (et de la part d'une belle soeur qui a épousé votre frère, c'est assez étonnant : "Tu n'es plus une Sottie Dummie, mais une Sottie Rapidy, alors que moi je fais maintenant partie de la famille Dummie". Au point que mes neveux ne savent plus de qui je suis la soeur. Et ils pensent que c'est mon mari qui est le frère de leur mère. Ou que je suis la soeur de leur mère. Alors que c'est moi qui suis la soeur de leur père.
Ceci dit pour l'allemand, les vrais allemands et les vrais autrichiens nous comprennent. Alors.
Et pour le français, nous savons faire la différence entre les différents accents français, nous entendons mêmes de subtiles variations comme ce qu'il y a entre l'accent gouailleur de Paris (la gouaille du titi parisien) et le français des français de souche de la banlieue qui fait beaucoup plus "Vieille France", et qui même au Nord de Paris est légèrement tourné vers le midi.
Sauf quand notre fournisseur d'accès nous appelle, je ne sais pas quel accent c'est, du midi c'est sûr, Marseillais peut-être, mais en tout cas, pas le belle accent qui chante, mais une espère de mélange de banlieue chaude et d'accent du grand midi, plein de jargon informatique, que nous serions sensés comprendre s'ils parlaient un bon français, sans hâcher leurs mots.
Quant au patois de notre ancienne académie, nous avons baigné dedans étant petite (nos grand-pères le parlait) et nous avons dû faire des efforts surhumains pour parler le français standard. Mais quand nous nous écoutons sur les vidéos nous trouvons quand même que nous avons bien réussi dans le style "accent speakerine de télé", alors, laissez nous tranquille et ne dites pas que vous ne nous comprenez pas!
Sottie
(Pour défende Sottie et ses amies)
domino
___________
J'ai corrigé les fautes de frappe qui s'étaient glissées dans le texte de Sottie. Sottie est excelente en orthographe, mais il semblerait que des fautes se rajoutent après coup sur ce qu'elle tape.
15:42 Publié dans La linguistique, science i-grimoirienne,, Les langues vivantes des i-grimoiriens | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : langues, sottie, dummie
vendredi, 26 août 2011
Doofie et les Ingvings
Roman-théâtre
Du journal de Doofie
En faisant mon arbre généalogique, j'ai découvert que je descendais des rois de Suède, les Rois d'Uppsale, les Ingvings.
C'est par le mariage d'un prince franc, avec l'une de leur dernière représentante en ligne pure (mais d'autrs rois descendent des Irvings,comme Hugues Capet, mais pas les Carolingiens, dont je descends aussi, car les Carolingiens étaient déjà là quand les Ingvings ont réussi à percer le verrou constistué par les Danois qui gardaient l'isthme du Danemark et du Schleswig-Holstein, et chassés par d'autres peuples qui avaient envahi Uppsala.
Au début, mais cela tient de la légende, les Suédois d'origine seraient arrivés de l'Est, à la recherche de nouvelles terres, en fait on dit qu'ils venaient de Turquie, car leur premier roi Ingving était appelé "King of Turkey". Paut-ête qu'ils descendait aussi d'un empereur romain installé sur le détroit du Bosphore dans la future Constantinople, fondée par l'empereur romain Constantine, ou alors c'était une autre peuple chassé par les romains; toujours est-il que ce serait vers le 1er siècle avant JC que les Ingvings, venant du Sud, se seraient installés à Uppsala. D'après leur langue, une langue germanique, ils appartenaient aux peuples des grandes migrations qui avait commencées avant 'l'invasion de la France par les Barbares". La langue que l'on appelle "gotique" aujourd'hui (sans h) et qui est à l'origine des langues germaniques, mais ressemble plus aux langues scandinaves et à l'anglais avec son son "th" quj'à l'alelmand, a servi de langue de traduction en "barbare" pour la Bible d'Uppsala. Mais il faudra longtemps avant que les Suèdes deviennent chrétiens.
Le premier rois arrivé en Suède, Ingv serait le fils d'Odin et le père ou le frère de Freya, la déesse de la terre. On voit ici un culte féminin-masculin propre à toutes les religions, une déesse de la terre, terrestre qui a enfanté le clan, car ici l'on parle de clans, plutôt que de peuple; et par ailleurs,un dieu père qui n'est autre que l'ancêtre du clan; Peut-être a-t-on confondu les termes de lord qui veut dire seigneur et de got qui veut dire dieu. les anciens seigneurs, réels, étant devenu les héros, puis les dieux dans ces religions tournées vers un culte des ancêtres comme la plupart des religions primitives et les religions animistes africaines.
Odin qui serait arrivé dans ces cntrées du nord en même temps que son fils Ingvi, aurait servi de héros puis d'ancêtres, comme c'était le chef, on l'appelait seigneur, comme les seigneurs du Moyen-Âge, et,de là à en faire un dieu..; comme l'on faisait des sacrifices à Odin, il est probale que cet ancêtre qui a mené son peuple au travers des contrées jusqu'à ce nouveau lieu de peuplement, soit passé du statut de héros et de seigneur à celui de dieu. Son fils roi, éant resté le premier roi, fondateur de la dynastie. Quand on lit les sagas,on a l'impression de lire des histoiers vraies qui font très peu appel au surnaturel : récit de combats qui peuvent être gagnés ou perdus, de querelles d'influences,de mauvaises récoltes, de rois sacrifiant leurs fils, comme le sacrifice d'Isaac., mais il est très rare qu'il y ait des éléments merveilleux dans les sagas; Elles ont l'air d'être écrites d'une façon objecive, car on ose dire qu'un roi a perdu une guerre, qu'il s'est fait assassiné. Rare sont les rois Ingvings qui meurent de maladie dans leur lit d'ailleurs, ils sont presque tous, soit assassinées, soit ils meurent au combat et dans ce cas, el roi ennemi leur succèdent pendant un temps, jusqu'à la mort du roi ennemi, et à la mort du roi ennemi, le fils Ingving reprend son thrône s'il avait réussi à se cacher ou s'était exilé, ou s'il a éé tué au combat, c'est le fils Ingving qui succède au roi et demi. Un roi Ingving a eu trois règnes, son règne ayant deux fois été interrompu par un ennemi qui mourut de maladie sur son thrône et il peut deux fois reprendre son throne. Même le roi qui utilisait les oiseaux pour avoir des nouvelles des autres pays, élevait peut-être tout simplement des pigeons voyageurs. Et il n'y a pas de merveilleux là-dedans. les sagas ne sont pas des contes. Puis il livra bataille aux Danois qui avaient tué son oiseau, et les Danois le tuèrenet aussi et son fils alla le venger ensuite; Vengeance, guerres, périodes de prospérité et de paix, tous ce qui est raconté dans la saga des Ingvings semble réel, il s'agit d'épopées et non de contes et légendes. D'lailleurs le mot saga ressemble à "sagen" qui en allemand veut dire " et la traduction du mot "saga" est un "dit".
Maintenant, tous le panthéon nordique ne tient pas de l'épopée, par exemple la Walhalla, serait propre à leur religion et correspondrait à notre Paradis ou aux Champs Elysées (ceux des grecs..et pas ceux de Paris!!). Mais la Walhalla aurait pu être aussi à l'origine un lieu où il y avait des pâtures,des verts pâturages comme chez les chrétiens.
Comment étaient-ils arrivés là? Il est vraisemblable que les Suèdes n'aient pas descendu des empereurs romains, car contrairement à ceux-ci qui voyageaient à pied et dans des chars à boeufs, les Ingvings étaient des éleveurs de chevaux... beaucoup de leurs rois et surtout leurs princesses, tout comme les princesses franques montent des chevaux. Et ce qui a fait la supréiorité des "Barbares" sur les "Gallo-Romains", ce sont les chevaux!!! Les francs aussi montaient des chevaux de même que les Huns;
Et les Gaulois, si l'on représente Verrcingérorix à cheval, cela doit être une erreur... Astérix et Obélix n'ont pas de chevaux même pas chez les Goths, qui ont oublié d'en avoir dans Astérix, mais en fait, ils en avaient.
Les chevaux des Francs, des Goths, des Alamans et des Huns, repoussés par les Francs sans dote et sûrement par les romains tout seuls, ont fait la différence..
C'étaitt d'après les sagas, des chevaux très rapides, donc des futurs chevaux de course. Et on va y arriver...
Tenez... les Suèdes se battaient pour défendre leur territoire, ceci depuis les temps reculés de la fin de l'Antiquité (arrivés en Suède avant les Grandes Migrations, bloquées plus au Sud par les Romains, c'est pourquoi les "Barbares" sont arrivés du Nord Est, car ils ont contourné l'empire romain. Par où sont passés les Suèdes; marins et cavaliers, à la fois, contrairement aux romains, peu marins, et n'ayant aps de chevaux, mais des animaux africains, lions et éléphants ? Des lions contre les chrétiens...et des boeufs, descendants prosaïques des buffles européens. Odin et ses enfants Ingvi et Freya, sont probablement passés par la Mer Noire, le Danube, puis ils ont pu remonter le long du futur limès , mais au Nord, par le Neckar et le Rhin vers la mer du Nord, et suivant les côtes arriver dans la mer du Nord et de là, soit traversant le Danemark, soit le contournant par le Nord, vers, la Suède. Ils auraient pu suivre les grands fleuves et les rivières avec leurs chevaux, et s'embarquer pour de courtes traversées avec les chevaux.
Atour d'eux vivaient des peuples, réels, puisque certains comme les Danois ont encore leurs noms d'alors aujoud'hui. Ils faisaient parfois des alliances avec ces peuples et du commerce, parfois, ils faisaient la guerre, souvent même, souvent en vengeance pour le pillage le long des côtes, Uppsala n'étant pas situé au bord de la mer, ils se protégaient des invasions à l'intérieur des terres. Les rois d'Uppsala n'étaient pas des Vilkngs non plus, à ne pas confondre. Les peuples avec lesquels ils faisaient le plus souvent la guerre étaient ceux jouxtant leur pays : les Danois (il est probable qu'ils essayaient de soumettre le Danemark pour avoir accès au reste du continent pour le commerce). les Finlandais (contrée dite du kvenland, cependant plus où moins légendaire, car leurs rois mariés par une princesse avec l'un des rois suédois, portaient des noms liés au froid, comme Frösti, le frimas, ou des noms qui veulent dire, neige, glace, glacier, vent, et personellement, je situerais le Kvenland en Islande et pas comme le fond la plupart des chercheurs en Finlande, juste en face de la région d'Uppsala, c'est à dire dans la partie Sud-Ouest de la Finlande.
Les Estoniens qui vivaient en Estland, nom que porte toujours l'Estonie dans certaines langues, furent un ennemi plus tardif, on se vengea de leurs pillages côtiers en leur faisant la guerre; mais les Suèdes pillaient aussi les côtes ennemies en représailles.
Les plus grands pilleurs, souvent enemis, étaient des rois, kings, les Vikings ou rois de la mer. Dans les sagas on parle constamment de deux rois de la Mer, très puissants. Rois de pirates, probablement les vikings qui habitaient sur les côtes norvégiennes et islandaises, puis vers l'an 900 groenlandaises et américaiens vers lan 1000. les rois de la mer avec leurs superbes bateaux vikings livraient déjà des batailles navales aux Suèdes (les Sveden) vers les IV et Vèe siècle après JC.
Les Suèdes ont aussi livré combat aux rois du Jutland (situé au Danemark, mais c'était un clan différent des Danes) et aux Gots du Gotland. On situait le Gotland en Norvège, mais il existe ausi un Gotland au Danemark.
Mais ils s'alliaient souvent à un roi du Gotland et à un roi nommé Sax (ancêtre des Saxons) et avaient aussi des rapports pacifiques ou hostiles avec les Angles (futurs anglais). Donc, nous voyons apparaître également dans ces sagas soi-disant légendaires les Anglo-Saxons.
Les rois de Suèdes (futurs suédois) furent aussi attaqués par des rois d'Irlande qui emmenèrent une partie de leur butin (des trésors) à Belfast. Les rois d'Uppasla possédaient de grandes richesses et de l'or. Les rois du Vème au VIIème siècle étaient enerrés sous des tumulus, grands monticules de terre herbeuse, resesemblant à des terrils. Les trois tumulus d'Uppsala, placés là comme trois petites pyramides (de là à ce que les Suèdes descendent des anciens egyptiens..??, chassés par les romains et les carthaginois... ) contiennent ou contenaient trois tombes royales. Les rois trouvés par les fouilles sous ces tombes avaient des costumes très richements décorés ressemblant à ceux des rois francs, ce qui est logique puisque la langue est de même origine. Ils avaient des bijoux francs, et aussi des objets et des bijous en provenance du proche orient, ce qui démontre soit un commerce avec ces pays, qui aurait pu transiter par Rhin et Danube, soit des bijoux et objets hérités des ancêtres du Moyen-Orient.
Pourquoi, s'ils venaient du Moyen Orient les suédois sont-ils blonds et ont les yeux bleus? Ils auraient pu être mélangés aux peuples blonds d'origine, qui avaient des yeux bleus, les yeux s'éclaircissant à mesure que l'on remonte vers le nord, ce qui est logique puisque c'est la lumière intense du Sud qui provoque la pgmentation. Si dans les sombres forêts de Suède, il n'y avait pas de peuple d'origine avant l'arrivée des Ingvings et autres peuples environnants, et s'ils venaient du moyen orient, les Suèdes auraient dû être bruns aux yeux marrons, mais il faut peu de temps pour qu'un peuple perde sa pigmentation, par exemple moi-même, j'ai porté un moment des verres qui changeaint de couleur avec la lumière et mes yeux noisettes commençaient à attrapper des tours bleus. Sous le couvert des forêts à la faveur de la nuit nordique d'hiver et de l'ombre provoquée par les forêts non défrichés, les Suèdes auraient pu perdre leurs couleur d'yaux et de cheveux en 1000 ans et devenir blond aux yeux bleus, bien que la plupart des anciens rois d'Europe aient les yeux marrons et les cheveux châtains. La génétique s'adaptant à l'environnement, c'est comme pour les ours blancs et les ours bruns. les ours blancs vivent au Nord et les ours bruns au Sud. Les hommes bruns venus du Sud ont pu devenir blonds sur un laps de temps assez bref. Sur une période de 500 ou 1000 ans par adaptation au mileu. N'oublions pas que les êtres humains ont beaucoup changé depuis le Moyen-Age et sont par exemple devenus beaucoup plus grands. On ne rentre plus dans les armures de l'époque. On est trop grand, seuls des enfants de 12 ans peuvent y entrer.
Ce pâlissament de la peau démontrerait aussi les origine uniques de l'humanité, et que les blonds descendent des bruns. Origine africaine généralement admise. Mais les migrations à partir de l'Afrique se seraient produites dans un passé relativement récent, le déluge" biblique pouvant dater d'entre 11 000 et 8000 avant JC. Ce serait la fonte des glaciers qui aurait provoqué le déluge, fin de la glaciation que l'on date à 10 000 ans en arrière de maintenant. Déluge qui est relaté dans beaucoup de mythés autour du monde et aurait fait disparaitre par famines ou autres une bonne partie du peuplement humain.
Bon, ce n'est que tardiveent que le peuple suédois s'est chrstianisé, seulement vers le VIIIème siècle; Mais les rois Ingvings ont quitté peu à peu la Suède, chassés d'abord vers le Vanland, un pays plus sauvage qu'il a fallu défricher pour le cultiver; car les Suèdes étaient depuis le début des agriculteurs qui, en cas de mauvaise récolte, sacrifiaient d'abord, au premier automne, des moutons, puis au deuxième automne, des hommes, puis les fils du roi en en laissant un seul qui devait succéder au roi, puis le roi lui-même, mais c'était un cas désespéré soumis au conseil d'état", .. si les mauvaises récoltes duraient plusieurs années.
(Doofie lève la tête de son journal... tiens si on sacrifiait l'Empereur Entreboues pour faire cesser le mauvais temps et les catastrophes ambiantes... mais il y aurait le risque qu'Océane Laplume lui succède...)
.... bon, sur mille an de dynastie Ingving pure (avant qu'ils ne se marient aux Saxons, puis aux Francs, et aux Danois, car ils sont les ancêtres de Siegfried le Danois... les Ingvings sont restés purs (sans doute consanguins), faisant quelques alliances cependant (mariages royaux) avec des Vanes du Vanaland et des Kvens du Kvenland., sur 1000 ans de dynastie Ingving le peuple des Suèdes à sacrifié seulement 2 rois après 2 sévères famines. Et ces sacrifices ont amené des récoltes abondantes l'année suivante et des années de prospérité
Les rois d'Uppasala donc, enterraient leurs rois sous des tumulus, espèce de pyramides herbeuses, qui ne sont pas d'origine celte, mais germaniques. Les francs peut-être aussi et nous les Sarpènes, nous descensons des francs. Peut-être pas tous, mais Charlemagne dont beaucoup descendent était franc, et Clovis a fondé le royaume des Francs de L'ouest ou Neustrie ou future France. Et même avant Childéric I, on trouve dans son nom le mot Schild, bouclier. On donnait aux rois ces noms protecteurs en signe d'invincibilité.
L'un de ces tumulus où fut enterrré un roi Ingving après une bataille, situé plus près de la mer, se trouve à côté d'une pierre levée, qui ressemble à un menhir.
(la mise en gras ci-dessous est accidentelle).
Le thème de la pierre est courant dans l'histoire des rois d'Uppsala. Par deux fois, ils combattent des nains (ou intervient ici le merveilleux, mais peut-être que ces nains, plus petits que les populations germaniques, soient des populations installées antérieurement. Ces nains sont rusés et attirent les rois dans une pierre (une grotte) et en referment la porte, le roi mournant à l'intérieur. Il se peut qu'il s'agisse aussi d'un lieu symbolique du passage de la vie à la mort, et le fait que avant que les rois ne soient enterrés sous les tumulus, on dressait une pierre sur leur tombe, c'est dit textuellement pour les premiers rois Ingvings)montre que l'on a peut-être utilisé au dépatr des mendhirs pour singnaler les tombes de pesonnes importantes. Tradtion perpétuée en Europe par le pierre tombale, alors que les peuples de la Bible posaient les morts dans des grottes, qu'ils refermaient d'une pierre. donc, les Ingvings, ne trouvant pas de grottes dans les plaines, ont symbolisé la grotte par une pierre, puis en ont construit des artificielles avec les tumulus. Un changement de coutume dû à la configuration géographique.
Et dans ce cas, les alignements de menhirs dateraient non pas, de l'époque reculée que l'on croit, mais de l'époque franque pour chez nous et non pas de 10 000 ans, mais seulement de 1500 à 2000 ans. Les alignements de menhirs seraient des cimetières pour les gens simples, chaque pierre étant au dessus d'un mort, et les dolmens des tombes de rois ou de chefs. Mais la Bretagnc, me direz vous, où les Francs n'ont pas mis les pieds de si tôt, et bien, il se pourraient que les germains, francs et suèdes et autres aient repris une coutume celte qui existait avant l'époque romaine pour enterrer leurs morts. Ou que les celtes soient issus d'une migrations antérieure des peuples de même origine géographique et aient eu les mêmes coutumes.
Toujours est-il que cette hsitoire de tumulus et de menhir, ça me chagrine parce que je suis obligée de remmetre en question le fait que les "mégalithes" datent de 10 000 ans et plus, en disant qu'ils ne datent que de 2 000 à 1500 ans, le fait que dans les sagas on dit "on dressa une pierre sur la tombe du roi" veut dire qu'ils possésaient la technique pour les dresser, par exemple en les faisant tirer par des chevaux accrochés à des cordages; on n'imagine pas les romains ou les celtes dresser ces pierres, car ils n'avaint pas de chevaux, les romains devaient les acheter très cher aux autres peuples, mais les peuples germaniques et finno-ougriens pouvaient le faire, bien que les pierres levées soient surtout instalées en pays franc.
Bon, continuons l'histoire des rois Ingvings, vers le VIIème siècle ils furent chassés de leur pays d'uppsala, s'installèrent d'abord dans un autre coin de la Suède, au Vanaland, puis descendirent sur la pointe Sud de la Norvège, où ils fondèrent le Vestfold, firent un mariage aussi avec les petits enfants du roi Trond issus de la Norvège, qui était le roi fondateur de Trondheim. Un mariage s'appelle en terme noble une alliance, et en témoignage de cette alliance on porte une bague au doigt qui s'apelle une alliance
Puis chassés de nouveau, ils se rabattirent vers le Danemark et gagnèrent enfin la guerre contre le roi des Danes contre lequel ils se battaient depuis plusieurs siècles, essayant de s'ouvrir la route vers le Rhin et vers le Sud, car les Danois les empêchaient de repaser dans l'autre sens, par rapport au sens d'où ils étaient venus; et ceci pedant 700 ans. C'est en pleine époque caronlingienne que les derniers rois Ingvings s'installent dans l'actuel Schlesvig, un région allemande au sud du Danemark, mais qui avaient été jusque là danoise, ils y fondent une ville commerçante et portuaire, sur la Baltique, située là où l'isthme est le plus étroit, cetet ville très prospère restera là jusq'à une invasion slave du XIIème siècle qui la détruisit complètement et elle ne fut jamais reconstruite. Ce qui reste de cette ville est un rempart (Wall) bati comme les tumulus, c'est à dire en éminence herbeuse; Ces remparts de terre éaient couverts de pallissades, ce qui est peut-être à l'origine d'un patronyme noble secret; qui veut dire espace clos entouré d'une palissade. C'est à dre ville fortifiée.
La ville fondée par les Ingvings au Schleswig permit de faire passer les marchandises de la Baltique à la mer du Nord, les marchandisens transitant par terre à cet endroit. Ce qui leur évitait de faire le tour de la péninsule du Danemark. Cette ville était située non loin de Flensburg.
Par trois de leurs enfants Eystein, Oystein et la princesse Geva, frères et soeurs, les rois Ingvings incrirent leur empreinte dans les dynasties carolingiennes tardives, et capétiennes, danoises et saxonnes. Je descends de la princesse Geva. Leurs principaux descendants partirent vers l'Ouest, le long des côtes de Basse Saxe, néerlandaises et flamandes (on dénote une certaiine ressemblance des langues scandinaves et de la langue frisonne avec le nérelandais). Ils descendirent aussi vers la Wesphalie. Nom de pays dans lequel on retrouve le mot Vesfold, dernier pays occupé par les Ingvings sur la péninsule scandinave, les rois de Westphalie ayant longtemps été alliés aux Suédois.
La petite noblesse néerlandaise, et surtout flamande, semble descendre des alliances faites entre les nobles de descendance Ingvings, donc suédois et les nobles de descendance carolingienne, donc franque, plutôt d'Austasie (francs de l'Est ayant gardé une langue germanisque, ayant donné la Lotharingie et l'Allemagne dans sa patrie Ouest) que de Neustrie (francs de l'Ouest, latinisés, ayant donné la France). Au moins pour ceux qui parlaient néerlandais. Les nobles flamands étaient appelés "herren" seigneurs, mais assi 'jonckheeren" (même racines que Junkers), il s'agissait alors de gestionnaires de grands domaines, devenus cultivateurs après la révolution française. Le roi de France Hugues Capet à l'origine des Capériens descend à la fois des Carolingiens et des Ingvings.
Descendant encore plus à l'Ouest, les descendants Ingvings ont fait des marriages, donc des alliances, avec des grands rois et ducs, ducs de Normandie, de Bretagne, f'Anjou, d'Aquitaine, de Bourgogne et avec également les princes allemands, de Saxe surtout. Avec lesquels ils ont mélé leur sang. Ils se sont aussi mariés à des rois anglais, les Wessex, si bien que l'on peut dire que praiquement toute la noblesse européenne a un peu ou beaucoup de sang Ingving, de sang d'Odin et de Freya! Odin étant peut être un roi Ingving qui s'appelait Adin.
Quand on parlait de crépuscule des dieux, on parle peut-être tout simplement de la mort réelle des rois Ingvings. Car à chaque génération, il en mourrait un, et certain rois Ingving ont d'ailleurs péri dans l'incendie de leur palais, mais j'y pense seulement maintenant, la trouvaille, en représailles d'un incendie qu'avait provoqué ce roi dans un lieu où il avait invité pour une grande fête les rois des pays environnants pour s'assurer la suprématie et la domination de leurs pays. Lui avait fait brûler ses convives dans une salle à l'extérieur du palais, salle qui pouvait être appellée la Walhalla, halla signifiant salle et wall mur, il s'agirait d'une sale entourée d'un rempart (pourqu'ils ne puissent pas se sauver). ou salle murée,ça je viens de le trouver, donc, ni prairies vertes, ni paradis, mais tout simplement un roi réel, roi de Suède Ingving, cruel, qui tue ses collègues pour s'asseoir sur leur thrône par ruse, ses collègues étant appelés herren ou seigneurs ce que le mauvais traducteur a traduit pas "dieu ". On retrouve ce thème dans le Nibelungenlied dans le palais du roi Etzel et Etzel n'aurait pas été Attila, un finno-ougrien, mais un roi Ingving (j'ai d'ailleurs oublié le nom du roi Ingving qui correspond, je le rechercherai après), Siegfried n'est pas Siegfried le danois, plus tardif (le roi qui a fait brulér ses collègues, est de la même époque que Chilpéric Ier, c'est à dire des Vème ou VIème siècle). Siegfried a la même histoire que Chilpéric 1er petit fils de Clovis (à ne pas confondre avec Childéric 1er). Ce roi chrétien voit ses deux premières femmes assassinées par leur concurrente, et la reine Brunhilde qui vivait à la même époque (la reine Brunehaut), mariée à Gunter, roi des Francs d'Austrasie, venge sa soeur, la deuxième épouse en tuant Chilpéric qui s'est marié avec la reine qui a fait tuer les deux autres. Il y a au sans doute confusion chez l'auteur du Nibelungenlied entre Chilpéric et Siegebert, son frère. Gunter et Brunhilde étaient vraiment rois d'Aurstraise (francs de l'Est) et de Burgondie, leur pays s'étendait sur l'actuelle Bourgogne et la Rhénanie moyenne (région de Worms et Mayence). Puis, et la chroonologie est respectée si Etzel n'est pas Attila; Gunter et Brunhilde (ou bien Kriemhilde, là encore il y aurait confusion de noms) se mettent en route vers un lieu où le roi Etzel les a invités (qui peut être le roi d'Uppsala et non Attila en Hongriec qui chronologiqument ne serait pas logique,), et là bas, il se livre une grande bataille, les rois invités sont rassemblés dans une salle près du château et la salle du banquet que l'on mure, brûle, ils essaient de s'en échapper, mais le roi Gunter et d'autres rois meurent dans cette salle. Je pense même, si mes souvenirs sont bons, que Gunter réussit à s'échapper, mais il est tué quand même. Il pourrait alors s'agir de la salle nommée Walhalla par les auteurs des sagas. Ce qui a donné le crépuscule des rois de l'époque, herren, traduits involontairement par un traducteur des sagas par dieux au lieu de rois ou seigneur. Fausse traduction qui a inspiré Wagner
Mais ceci remettant en cause toute mythologie, je ne pense pas que domino, mon auteure et créatrice de mes jours de personnage romanesque soit d'accord avec moi... Il arrive parfois que le personnage romanesque se détache de son auteur et finit par devenir vivant et à avoir une vie personelle, parfois plus riche que celle de son auteur, et à avoir des idées que l'auteur n'aurait jamais voulu prononcer...
Il arrive aussi que des personnages réels se transforme en personange mythique, imaginez que dans 1000 ans domino ne soit plus qu'un mythe revêtant les traits et caracatéristiques de Doofie, princesse descedante des Ingvings, princesse faisant revenir les oiseaux et commendant au temps... et faisant vernir le beau temps.
Doofie
....
Oui, en effet, je vois que Doofie commence à prendre forme et à avoir sa vie propre et je ne me tiens pas pour être responsable scientifiquement des idées émises par Doofie et des jonctions qu'elle fait entre les personanges mythiques et les personnages historiques.
domino
16:02 Publié dans histoire i-grimoirienne, Les aventures de Dummie, Littérature i-grimoiresque | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ingvings, mythologie, nibelungen, sagas, histoire, moyen-age, antiquité, dynastie, langues, langues germaniques
dimanche, 03 juillet 2011
Gond'wana pas si vieux que çà...
Il est maintenant établi qu'à l'origine il n'y aurai eu qu'un seul continent : que les paléontologues et pré-histoiriens, et les géologues soient d'accord : Mais voilà, ils appellent cela la dérive des continents.
Les continents qui dérivent sur l'eau ? Pas du tout, les océans, sauf à de rares endroits où des volcans en communication avec le magma qui se trouve autour du noyau au centre de la terre (et c'est bien connu que beaucoup de religion situenet l'enfer dans des cavités, dasn le magma terrestre, une théorie qui était déjà celle des humanistes de la Renaissance, et que l'on retrouve dans le Faust de la Renaisance, ou ce Faust qui va visiter l'enfer, passe par de longs couloirs, de longs puits avant d'arriver aus enfers où règne un feu éternel.
Les continents alors, ne dérivent pas sur l'eau, mais ont des fonds que l'on peut sondder et que l'on estime ayant jusqu'à une profondeur de 11.000 mètres. C'est ce que l'on dit. Voir si les fpsses marines ne commniqueraient pas entre elles par le centre de la terre. Mais il est communément admis que les océans reposent sur la croûte terrestre.
Bon, à quoi a-t-on vu que les continents ne formaient qu'un au début?
A leur forme.
Il est très visible, que l'on peut metre l'Ouest de l'Afique (la partie renflée du continent) dans le golfe du Mexique et l'Est de l'Amérique dans le golfe de Guinée.
Si l'on y regarde un peu plus près, le Groenland, en le descendant un peu, colle à merveille avec les Iles au Nord du Canada, La côte Ouest de la Norvège colle à merveille avec le Sud-Est du Groenland. Des espaces se sont aussi créé des deux cotés de l'Arabie, dans la Mer Rouge et dans le golfe persique, si bien qu'on ne peut pas dire, si l'Arabie appartient à l'Afique ou à l'Asie.
L'Angleterre aurait été collée à la Hollande et au Nord de l'Allemagne remplissant l'espace où se trouve actuellement la mer du Nord, la Baltique résultant également d'un élargissement du continent qui se serait fait entre la Pologne et la Scandinavie.
Le maillon manq
Regardons plus au Sud pour continuer à recoller les continents... La péninsule Antartique qui es juste en dessous de l'Amérique du Sud, complète ce que l'Afrique n'a pu combler au Sud-Est de l'Argentine. Le bas de l'Afrique rentrant dans le golfe qui se trouve à l'Est de cette péninsule.
___________________
Ceitte note était tombée, je ne sais pourquoi... j'ai dû la refaire autrement, la première version a atterri dans les brouillons...
domino
08:49 Publié dans géographie i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : géographie, préhistoire, peuples, langues, paléontologie
vendredi, 19 juin 2009
Le deuxième examen râté
(Extrait de la vie "romancée" de Dummie, Nouvelle ou Roman de Domino)
(Vous direz que dans les romans, on dit parfois la vérité, parfois la vérité romancée, parfois rien que la vérite, parfoir toute la vérité!)
Dummie m'a raconté :
Cet examen est un examen de langue, autre que celle que j'enseigne, autre que celle dont je suis spécialiste, autre que ma langue maternelle. J'ai réussi le niveau d'en-dessous l'an dernier.
A propos de langue maternelle, je dois dire que j'ai lu sur le site officiel de cet examen que les locuteurs natifs ont le droit de passer leur langue maternelle. Je sais que certains de nos élèves de collège n'ont, dans leur langue maternelle, pas le niveau européen B1 des langues étrangères, mais je suppose quand même qu'un étudiant français qui a son bac, a au moins le niveau C2 en français, et n'aurait pas l'idée de passer des niveaux de B1 à C1 dans sa propre langue considérée dans cet examen comme langue étrangère. A moins de vouloir avoir des points crédits pour son année universitaire facilement acquis.
C'est la plupart du temps ce que font les étudiants étrangers un peu paresseux, désirant valider leur année en France, ils passent un examen de leur langue maternelle, langue étrangère pour gagner des points crédits pour valider leur année en France. Alors peut-on dire quand le niveau 3 n'existe pas et qu'ils passent le niveau 1 ou 2, c'est à dire le B1 ou B2 du cadre européen, qu'ils ont dans leur langue maternelle, le niveau du bac dans leur pays? S'ils réussissent le niveau B1 ou B2, il n'y a aucune preuve qu'ils auraient le niveau C2... voir D2 ou E2 ou Z2 qui sont des niveaux non répertoriés, mais qui devraient être ceux des locuteurs natifs.
Bon, tout ceci pour dire qu'une autochtone du pays, qui parlait mal le français et avait même du mal à s'exprimer dans notre langue passait ce niveau C1 et l'a réussi. Si elle avait dû passer le niveau C1 en français, ce qui aurait été plus logique, elle ne l'aurait certainement pas eu. Devant le jury, elle n'a parlé que la langue de l'examen et l'écrit était aussi dans la langue de l'examen, il n'y avait aucune traduction.
Dummie continue à raconter, sans que j'interrompe ses longues explications...
J'ai vu partir le train d'avant, car mon mari me fait toujours attendre 10 minutes devant la maison au volant de ma voiture, il crie sur moi pour que je me dépêche tant que je suis dans la maison, mais une fois que j'ai sorti la voiture et que j'attends devant, il vérifie pendant 10 minutes si tout est bien fermé, si les robinets de la salle de bain et de la cuisine sont fermés (c'est depuis qu'il avait arrosé un locataire d'en-dessous en laissant les robinets d'un lavabo ouvert lors d'une panne d'eau, juste avant notre mariage il y a presque 35 ans...), si les plaques de la cuisinière sont éteintes, si les lumières sont fermées.... et regarde 20 fois les robinets et les plaques de la cuisinière. Il avait dû à l'époque rembourser les livres de l'abbé qui habitait en dessous de chez lui.
Tout marchait bien ce matin là, jusqu'à ce que mon train qui devait arriver vers 8 heures 40 dans Grande Métropole, s'est arrêté en plein voix, environ 5 km avant la gare de Grande Métropole Régionale. J'avais un rendez-vous à 9 heures 20 pour passer un examen de langue niveau C1, donc j'avais largement le temps en 50 minutes d'arriver en métro, puis à pieds. A mon rythme de marche qui ne peut être rapide, il faut compter 10 mn pour descendre du train et aller jusqu'au quai du métro, 15 minutes de métro, et 10 minutes pour aller jusqu'à l'université et la salle, donc il devait rester 15 minutes avant l'entrée dans la salle. J'avais demandé à ne passer qu'à 10 heures, mais quand on a pris les rendez-vous (en raison de la configuration de l'examen, les étudiants commencent leur écrit avec des décalages de 20 minutes), il semblait que l'organisateur ne voulait pas prendre de rendez-vous aussi tardif (d'autres se sont ensuite inscrits après moi!), et j'ai pris 9 heures 20 au lieu du RV à 10 heures que je voulais prendre.
A environ 5 mn de l'arrivée en gare - jusque là le train n'avait aucun retard - le train s'arrête en pleine voix. Généralement, quand il s'agit d'un feu rouge, le train s'arrête une ou deux minutes, mais là, il ne repars pas, je commence à m'inquiéter, à trembler, en désespoir de cause, j'appelle mon mari au téléphone qui se veut rassurant. Bon, voilà le train qui redémarre... Il s'est bien arrêté pendant 10 à 15 minutes.
Je n'ai pas l'habitude de courir, mon vieux corps en a perdu l'habitude, mais cette fois-ci, je cours, je cours, je cours à ma façon et à ma vitesse, car il y a des tas de gens plus jeunes que moi, ou plus mince qui me dépassent en marchant!
Dans le métro ça va, pas besoin de courrir, mais ça me semble interminable!
Me voici à courir de nouveau, il reste 3 minutes, je n'arriverai jamais à courir jusqu'au bout, je halète, j'ai envie de pleurer, je crois que je pleure, je cours et je halète en même temps.
Pourtant cet examen n'est pas vital pour moi, je ne suis ni en danger de mort, ni en danger de perdre mon métier si je le râte, je n'ai rien à perdre et tout à gagner, ce n'est pas l'examen que j'ai préparé durant toute l'année comme l'agrégation. Pour l'agrégation je me poste à l'hôtel la veille et parfois même l'avant-veille pour réviser tranquillement et arriver à l'heure. Et je ne suis jamais arrivée en retard.
Ce n'est pas un examen de spécialité, c'est un examen pour non spécialistes, simplement destiné à calculer le niveau dans une langue, mais prouvant que l'on peut consulter des ouvrages de cette langue dans nos recherches et les comprendre et nous débrouiller dans le pays, en particulier dans une université de ce pays.
J'ai juste encore 30 secondes pour traverser le parvis, le hall, heureusement c'est au rez-de-chaussée, j'arrive haletante comme un cheval qui vient de courrir cent tiercés en suivant devant la salle dont la porte est ouverte. Il n'y a qu'une étudiante matinale arrivée à 8 heures du matin et commençant à 9 heures 20, je suis la deuxième à passer. Arrivée à l'avance, la suivante qui doit passer à 9h40 est déjà là. Il n'y avait personne entre celle de 8 heures et moi.
Le professeur me demande, si comme je suis essouflée, je veux changer de place avec elle, mais j'ai peur qu'on fasse des confusions dans les listes, alors je préfère prendre place tout de suite à l'ordinateur qu'on m'indique, à côté de l'autre étudiante. On me donne le sujet (dont je tairai le contenu ici), l'étudiante qui est arrivée une heure 20 avant moi est à côté de moi, je suis embêtée parce que mon essouflement rend ma respiration bruyante et me fait toussoter (je vais bien toussoter pendant un quart d'heure, par intermittence bien sûr), cela faisait bien dix ans que je n'avais pas couru et 20 ans que je n'avais pas couru aussi longtemps. Je crois que j'ai bien failli en mourir!
Bon, il y a par moment plus de bruit que mon toussotement du début ne peut en faire... car à chaque fois que quelqu'un entre dans la salle, un autre professeur (il y a plusieurs langues qui préparent aux ordinateurs de la même salle), ça discute ferme et fort. En trois heures, il faut...
- écouter une vidéo dont il est noté sur le sujet qu'elle dure 10 minutes 30, mais elle dure en fait 28 minutes.
- lire 9 pages de texte d'un niveau assez élevé, mais tout à fait à ma portée, textes très intéressants, qu'encore une fois, j'aurai bien aimer emmener à la fin, mais qu'on m'a repris,
- prendre connaissance d'un document iconographique que j'ai posé sur la table, me disant que j'allais m'en occuper en dernier, mais c'est au moment de reprendre les textes pour aller passer l'oral, que je me suis rappelée de son existence, alors, je l'ai inclus dans la partie orale de ma présentation, en improvisant, c'est d'ailleurs à propos de ce document qu'on m'a cuisinée le plus pendant l'entretien.
- taper une présentation sur l'ordinateur de type Powerpoint, mais ici c'est Impress, dont j'ai l'habitude puisque j'ai déjà dû l'utiliser pour un autre examen. Dans le sujet on vous donne un rôle dans la société (je ne vais pas dire exactement lequel, parce que ce sujet ne doit pas être divulgué, mais je suis sûre que d'autres étudiants s'en souviennent autant que je m'en souviens aujourd'hui et sont capables de renseigner le public à ce sujet, mais moi, je ne le ferais pas).
- et au bout de trois heures, présenter sa présentation sous forme d'une conférence de dix minutes, oralement au jury, tout en présentant son plan projeté par l'ordinateur sur l'écran.
Bon, je commence .... J'écoute le vidéo, trois journalistes discutent ensemble, l'une interviewant les deux autres (je ne dis pas ici de quoi çà parle par déontologie étudiante et professorale, en principe les sujets de ce niveau sont axés sur les sciences humaines, mais dans l'ensemble, je comprends le sens général). Accent très américain. Le genre d'accent qu'a Obama. Sur la vidéo, pas d'images explicatives. Rien que les journalistes qui parlent. Au début, je ne m'aperçois même pas que c'est une vidéo, le tout démarre en audio, cet ordinateur ne fonctionne pas du tout comme le mien. J'ai un écran noir avec un petit magnétophone. J'écoute donc en audio, sans l'aide des noms des journalistes montrés sur la vidéo, et sans l'aide de la forme de leur bouche qui parle, car c'est plus facile de comprendre en voyant les lèvres qui bougent que seulement d'oreille, du moins pour les langues étrangères qui ne sont pas l'allemand et parlées vite. Il est écrit 10 minutes 30 sur la feuille, et bigre cela fait déjà 12 minutes que j'écoute cette vidéo en prenant des notes. Sans l'aide de l'image. D'un seul coup au bout de 20 minutes, je vois la suivante s'installer à côté de moi, sa vidéo démarre : elle a des images! Alors je cherche où je peux cliquer et après quelques recherches je trouve où je dois cliquer pour obtenir la vidéo entière, d'abord en petit format, puis en grand format pour ma voisine. ça va mieux, je vois quand ça change d'homme qui parle (il y a deux hommes et une femme). Je comprends beaucoup mieux. Sans l'image je m'étais imaginée tout à fait d'autres visages pour les personnes. j'écoute jusqu'au bout, 28 minutes, je me demande comment je vais le réécouter une deuxième fois.
C'est beaucoup plus dur que ce que l'on donnait aux BTS, section dans laquelle j'ai enseigné l'allemand. Où ils avaient 3 minutes d'enregistrements audio avec 2 pauses possibles, qu'ils pouvaient écoutre deux fois en suivant (à moins que ce soit 3 fois, je ne m'en souviens plus) avant d'en faire le compte-rendu. Nous enregistrions nous-même nos documents (nous les faisions enregistrer par des locuteurs natifs) en vitesse lente, sur des textes simples, concoctés par nos soins.
Bon, je ne sais même pas combien de fois on a le droit d'écouter cette vidéo. De toute façon, il ne reste plus que 2 heures et demi, les 9 pages de texte à lire et la présentation à faire, et ma voisine de gauche continue à taper sa présentation, ce ne sont pas des claviers silencieux comme celui de mon portable sur lequel j'écris maintenant, je me repasse le début... bon, je réécoute le début, je vois les noms des protagonistes écrits en toutes lettres, j'en avais bien compris deux, quand aux médias où ils travaillent, j'avais tout compris.
Je comprends bien le début, je réécoute 10 minutes 30 en complétant mes notes. Je rectifie certains trucs que j'avais mal compris. Comme pour tous l'examen, mes notes sont prises en écriture de médecin. Il n'y a pas trop de place pour poser les feuilles devant l'ordinateur, c'est comme si on écrivait sur un coin de table.
Bon, passons aux documents suivants les textes. Il y a des titres en gras, c'est bien stucturé. Mais c'est écrit assez petit et assez clair pour le reste, quand ma voisine de gauche va passer son oral, et libère la place sur ma gauche, je peux regarder mon texte en le tenant en l'air sur ma gauche tout en écrivant avec ma main droite, parce que au bout d'un moment dans la pénombre, face à l'écran d'ordinateur qui éblouit, les yeux se fatiguent plus que si on lisait sur un ordinateur, où c'est plus facile à lire avec la lumière qui met les lettres en relief. Pourtant, j'ai mes lunettes. Mais au bout d'un moment, je m'aperçois que je lis mieux sans lunettes. Je suis assise dans une rangée d'ordinateur qui fait face au mur qui est le long du couloir, alors que de l'autre côté de la salle il n'y a qu'une personen assise aux ordinateurs qui sont face aux fenêtres. En fait, toute la lumière venait d'en face, celle de l'ordinateur et celle du jour, et n'éclairait ni le clavier, ni la feuille à lire. Dans la partie après l'oral je demanderai d'allumer la lumière, ce qui fut fait. Bon je trouve les textes écrits relativement facile, je comprends tout.
Une heure de travail pour lire les 9 pages et prendre les notes.
Reste à structurer, faire un plan, m'imaginer être un certain personnage qui va exposer tout cela, dans cette histoire j'ai complètement oublié mon document iconographique que je n'oublierai pas de nouveau si j'ai l'occasion de repasser cet examen. Je base donc ma conférence "de presse" sur les autres documents. Je tape mon plan sur Impress. Je m'apercevrai au milieu de la projection que le texte d'une diapositive dépassera vers le bas. Mais comme l'écran est grand, on le voit quand même. Et puis, on nous avait dit que si on ne savait pas le faire, on pouvait le faire sur traitement de texte, alors, je ne sais pas si c'est compté, mais le fait que j'ai fait le plan sur diapositive n'est déjà pas mal.
Dummie continue à raconter (et c'est vraiment "dumm"*) :
Que...
Au moment de passer l'oral, Dummie se lève, elle demande si elle doit prendre ses affaires (son cartable et son sac à main étaient posés à une certaine distance d'elle, contre le mur). On lui dit de laisser ses affaires, même son sac à main. Dummie n'aime pas laisser son sac à main. Dummie a peur qu'on lui vole ses sous! Elle laisse de mauvais gré son sac à main, dans lequel elle trimbale aussi son appareil de photo bijou, celui qu'elle sort sur les passerelles pour photographier les slogans politiques historiques de la grève pendant laquelle elle a scupuleusement suivi les cours d'agrégation, parfois seule, les cours de prépa concours n'étant pas supprimés, mais les étudiants faisant bigrement défaut en ces temps troublés du début du XXIème siècle.
Dummie a un peu honte de son accoutrement. Dans les magasins, elle ne trouve, ni pantalon, ni chaussures à sa taille, et pour les tuniques c'est tout juste. Alors c'est un pantalon de survêtement qui lui sert de pantalon de ville, qui assorti de chaussures et de tunique, de foulards, prend un aspect de ville. Elle a de grosses galoches mi-ville, mi-sport. C'est entre la basket de couleur, en peau, et la chaussure de randonnée basse. Enfin pas vraiment des chaussures de sport. Comme Dummie ne sait plus faire ses lacets parce que son gros ventre l'empêche d'atteindre ses pieds avec ses mains, elle a pris des chaussures avec des fermetures velcro qui font scratch. Mais voilà, ces bandes se déscratchent sass cesse et elle est obligée de les remettre tout le temps et voilà qu'elle se lève de devant son ordinateur face au jury et la bande de sa chaussure est déscratchée. Elle dit "Attendez" et rescratche sa chaussure. Mince! Pense-t-elle deux semaines après, en cherchant les raisons de son échec, c'était peut-être à cause de ma bande déscratchée, ils ont cru, que moi qui ne triche jamais, j'aurais caché une antisèche, ce serait dumm alors, d'autant plus que je ne savais même pas à l'avance de quoi ça allait parler, ni des mots dont j'aurais besoin...Et ce n'est pas mon genre, de mon enfance jusqu'à ma quatrième année d'université, je n'aurais jamais eu besoin d'antisèche même si j'avais voulu, je montais tous les échelons avec un an d'avance sans problèmes, et puis me voilà, moi, maintenant, vieille, la plus vieille de l'agrégation après avoir été la plus jeune de l'école de mon enfance, pense Dummie.
Quand à mon appareil de photo, c'est à partir de ce jour-là (quand je vais regarder les photos prises sur le retour à la maison) qu'il commence à ne plu aller. L'écran se brouille, mais le contenu de la carte n'est pas abîmé. La semaine suivante, l'écran se met carrément deux fois à l'envers, les maisons sont accrochées à la route qui est en l'air, et les lettres des instructions se lisent l'appareil retourné et de droite à gauche, à l'enves, il faudrait un miroir pour lire aurtrement qu'en déchiffrage ce qui est écrit. Est-ce que quelqu'un y a touché pendant mon oral. Il s'est réparé tout seul deux semaines plus tard.... Bizarre...
Bon, on nous dit bien d'éteindre nos portables pendant un examen, mais mon appareil de photo était fermé et il n'a pas de fonction d'envoi. Il n'y avait pas d'enregistrement audio dedans, mais des vidéos sur lesquelles je chantais entre autres du folk anglo-américain, chansons que je sais, en principe, par coeur. Mais je n'y ai pas pensé avant de venir, et ça n'avait rien à voir avec le contenu de l'examen.
continue à me raconter Dummie.
Et oui, je me fais toujours des reproches comme cela, dit Dummie.
Mince! Ce document icono! Dans ma liasse! Je l'avais complètement oublé, qu'est-ce que c'est? Ah! oui, je vois.... où vais-je l'inclure pensais-je en chemin. Oui, là, vers la fin, il me servira d'exemple.
Et Dummie de continuer son histoire :
Je suis arrivée dans une autre salle, juste uine ou deux portes au dessus, je veux dire plus loin, encore une salle d'ordinateur, j'ai dû metre mon travail, la présentation Impress sur l'ordinateur du bureau, par une clef USB. ça s'est affiché, c'était sous la forme plan, il a fallu le mettre sous la forme Notes puis diaporama.
Mon plan était projeté derrière moi sur un écran. Je devais apparemment rester debout devant l'écran, mais j'ai préféré m'assoir, seulement avec les ordinateurs qu'ils avaient devant eux, le jury ne me voyait plus, alors j'ai du me mettre sur le coté et eux aussi. Ils étaient deux messieurs, des profs d'anglais parmi les plus connus de la fac, j'ai commencé à faire ma conférence après m'être présentée pas avec mon vrai nom qu'ils connaissaient, mais avec le nom de mon rôle, comme si j'étais ce personnage important. Pendant 10 minutes je leur aie exposé les tenants et les aboutissants du sujet qui nous intéressait ici, les avantages et les incovénients. Comme je n'avais pas bien regardé ma montre, après avoir fini ce que j'avais à dire, j'ai demandé si ce n'était pas trop long. Quant c'est en allemand, c'est toujours trop long! Généralement mes profs me laissent continuer pour me dire ensuite : "A l"agrégation, l'heure, c'est l'heure, si vous n'avez pas fini au bout de 30 minutes (de 10 minutes pour la grammaire), on vous coupe en pleine phrase. Vous avez encore une minute, m'a répondu l'un en cette langue que je passais. Tiens, les phrases de cette langue sont moins longues que les phrases allemandes? Alors j'ai ajouté une ou deux phrases pour faire une minute. Ensuite a commencé l'entretien de dix minutes.
Au début de l'exposé j'avais un accent bigrement allemand, et ces derniers temps j'ai regardé sur You Tube beaucoup de vidéos d'un homme politique de la langue que je passais et qui n'est pas l'allamand et aussi des filles qui à l'Ouest d'un grand pays, qui chantent et parlent entre deux, alors j'avais un accent pas très européen. A un moment, j'ai fait un effort pour diphtonguer plus. Et j'avais l'impression qu'en face, pendant l'entretien, mes deux jurys ont commencé par le même accent que moi, soit qu'ils se sont laissé influencer, soit qu'il me singeait pour ce foutre de l'accent allemand que j'ai dans cette langue, la langue étrangère que nous parlons le plus influençe toujours nos autres langues étrangères. Mais en fait, par rapport à ma jeunesse, époque où j'ai étudié cette langue, cette langue à la fois continentale, et d'outre-mer, et d'un autre continent, a beaucoup évolué sur le plan de l'accent. Elle était beaucoup plus douce et mélodieuse avant. Maintenant alors que l'allemand s'adoucit, cette langue devient plus dure.
Comme je l'ai dit à part une question posée sur ma mini-conférence, toutes les autres questions portaient sur le famaux document iconographique, et on a tenté de me faire changer d'opinion sur l'homme qui était au centre de cette image, ce que je fis. Dans notre rapport écrit que nous allions refaire sur l'ordinateur, il fallait tenir compte des remarques du jury, donc j'y ai consacré tout un paragraphe.
Bon, après l'oral, qui semblait s'être bien passé, je suis repartie dans la salle informatique à mon ancienne place, écrire le rapport. Sur le chemin, le jury semblait plus souriant qu'à l'aller et j'ai pensé qu'il avait changé d'opinion sur cette germaniste habillé à la six-quatre-deux. (Quand j'étais petite on dessinait aussi des visages de bonhommes avec un six, un quatre et un deux!). De toutes façons, je n'ai pas d'autres vêtements.
Enfin, c'est mieux que Max qui va conduire son frère en voiture au lycée, en redémarrant bien vite en trombe, parce qu'il est en pyjama.*
Dummie continue :
Bon, continuons, on a une heure. Là le chronomètre redémarre dès qu'on est assis, avant même qu'on mette la clef USB fournie par le centre d'examen dans l'ordinateur (clef qu'on vous reprendra à la fin pour en refaire le correction).
Je travaille directement sur le traitement de texte, un traitement de texte Writer, alors qu'il est écrit Word sur le sujet, mais il n'y a pas de traitement de texte Word sur cet ordinateur-là, c'est sûrement pour cela que le jury ne m'a pas octroyé l'examen, il a corrigé sur Word et on ne voyait rien.
800 mots, 800 mots d'ordinateur, je ne vois pas ce que ça peut faire, sur le papier on met 100 mots par page environ, mais sur l'ordinateur?
Bon, allons y, je suis de nouveau mon personage, je fais un rapport des documents lus et visionnés pour mes collaborateurs. A la fin, je fais la part belle à la correction du document iconographique, selon ce que m'a fait dire l'examinateur. Juste avant, je relate le contenu de la vidéo, mais je n'ai pas le temps de m'étendre. Pas le temps non plus de remplacer le mot français "document iconographique" par "Image" dans la langue de l'examen ou quelque chose de ce genre pour le titre que j'ai mis à ma 4ème partie. Déjà, alors que je recompte mes mots tout en faisant mes dernières rectifications, on me dit comme au jeu des mille francs "C'est fini!!". "Rendez votre clef USB" J'ai enregistré, vite, enregistrez....
Tirons la clef, zut, j'ai oublié de cliquer sur "Retirez le périphérique sans danger"!
"Elle vient, cette clef?"
"Oui, monsieur, mais je n'ai pas cliqué sur "Retirez le périphérique sans danger!" Si on ne fait pas cela, on risque de perdre toutes les données. "Je peux la remettre pour vérifier". Alors, il regarde avec moi, pour vérifier si tout est là. Quand on ouvre le texte, on ne voit que les trois dernières lignes. "Il n'y a que ça?" "Non, non, monsieur, il faut bouger la glissière à droite de l'écran pour voir le haut!" Et mes deux pages qui surmontent les trois lignes apparaissent. Bon peut-être qu'en corrigeant, les correcteurs ont oublié de bouger la glissière, pour faire apparaître le texte. Ou alors, ils l'ont lu sur Word qui n'a peut-être pas su convertir et aurait corrompu mon fichier. Dans la mesure où j'ai rendu mon fichier en bon état... il faudrait me re-faire fare cette partie de l'épreuve, si mon travail a disparu. Puisqu'il compte comme compétence de production écrite, tandis que l'oral compte comme production orale. La compréhension n'étant pas évaluée en tant que telle dans cet examen, elle est évaluée au niveau d'en dessous que j'ai réussi l'an dernier.
Bon, le monsieur colle ma clef USB sur le bordereau que j'ai rempli au début. Nous ne sommes pas anonymes, il n'y avait pas de numéros d'anonymat qui ont été attribués. Contrairement aux autres examens, on a dû mettre nos noms sur le bordereau. Puisqu'on n'avait pas d'anonymat, je me suis demandée comment ils allaient reconnaître mon travail, alors j'ai nommé mes fichiers par mon nom et mon prénom. Il ne fallait peu être pas, et j'ai peut-être été éliminée pour cela. En fait, les consignes concernant les noms et numéros d'anonymat sont très floues. Par exemple, au niveau 1 du même examen, c'est à dire A1, on doit faire à la fin un enregistrement. L'année dernière, dans une autre langue, j'avais réussi toutes les compétences sauf celle-là. Oralement, on avait dit d'écrire son numéro d'anonymat, mais sur le sujet il était écrit de dire son nom, alors j'ai suivi la consigne écrite de préférence à la consigne orale, et j'ai échoué à cette partie-là. Je me suis demandée si c'était parce que j'avais dit mon nom ou parce qu'on aurait perdu mon enregisrement.
Ah bon, dis-je à Dummie, et que vas-tu faire maintenant?
- Travailler de nouveau mes langues autres que l'allemand et essayer de réussir où j'ai échoué cette année, il ne fait pas rester sur un échec! Même sur deux échecs.
- Mais tu as eu deux victoires?
- Oui, mais c'est là où je pensais avoir raté!
- C'est bizarre!
- Oui, c'est bizarre, la vie!
- Pour Dummie, héroïne de roman :
domino
* Dumm, mot allemand signifie sot en français.
* C'est dans un autre blog qu'a lu Dummie hier soir.
(Note non términée)
12:30 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cles, langues, enseignement supérieur, université, dummie
mercredi, 17 juin 2009
Un bac facilement acquis
Quand j'étais en Terminale il y avait dans ma classe une fille qui était très forte en allemand. Sa mère était allemande et elle parlait couramment allemand et accumulait les 18/20 en allemand.
Et non, la prof était si sévère, que même en ne faisant aucune faute, elle n'arrivait pas à avoir 20/20, ni même 19/20. La prof appliquait la maxime selon laquelle 20/20 était pour le bon Dieu, 19/20 pour elle, et 18/20 pour le meilleur élève.
Seulement voilà, nous étions toutes seconde langue, et nous n'arrivions pas à la cheville de cette championne de l'allemand. La deuxième avait 10/20 car elle était notée par rapport à cette diva de l'alllemand. C'était la première de classe qui avait 10/20 alors que la bilingue avait des notes moyennes partout ailleurs.
La deuixème avait 9,5/20, la troisième avait 9,25 et la quatrième 9/20 et je crois que cette quatrième, c'était moi. La classe avait 40 élèves, imaginez les notes des autres!
A Pâques, je suis allée passer 15 jours en Allemagne; après avoir appris l'allemand pendant presque 5 ans d'une manière très traditionnelle : grammaire, listes de vocabulaire, thème et version, version et questions (c'était dans les questions qu'en anglais comme en allemand, j'étais la moins bonne, car on n'avait aucun entraînement en classe), je comprenais tout ce que les gens disaient. Pourtant ce ne sont pas de lointains ancêtres alsaciens qui auraient provoqué ce phénomène, mais mon travail et même si j'avais encore parfois quelque peine à mettre le verbe à la fin de la subordonnée en parlant, et que je devais souvent me reprendre à ce sujet, je parlais quasiment couramment. Déjà lorsque le père de ma correspondante est venu la conduire chez nous en juillet entre la première et la terminale, je parlais avec lui et comprenais tout ce qu'il disait et quand je ne comprenais pas, je le devinais.
A la rentrée nous avions une autre prof, cette fois-ci les non bilingues (c'est à dire tous, sauf une) ont eu droit aux notes supérieures à la moyenne et je suis arrivée à la mirobolante moyenne de 12/20.
Au bac j'ai passé un oral de seconde langue (les sections et les exiamens n'étaient pas les mêmes que maintenant, on passait des oraux, là où c'est à l'écrit aujourd'hui). J'ai eu une texte du Chassard et Weil, où l'on parlait de quelqu'un qui traversait la RDA en train, en passant près des usines de Leuna. J'ai parler de l'Allemagne coupée en deux (elle l'était encore à cette époque), des deux Allemagne, etc...
A la fin, le prof tout souriant m'a dit "Ah! Si tout le monde parlait allemand comme vous!" (J'ai eu le même tout en grammaire en première année d'université, le prof m'avait dit : "Ah! Si tout le monde était aussi bon en grammaire que vous!" Cependant, je n'ai eu que 13/20 ce qui était une excellente note à l'époque); revenons au bac, l'examinateur s'est plongé dans mon livret scolaire :
"Il y a eu une forte remontée entre le deuxième et le troisièmre trimestre" m'a-t-il dit.
"Et bien, j'ai passé quinze jours en Allemagne", ai-je répondu.
"ça n'explique pas tout", m'a t-il dit.
"On a changé de professeur" ai-je dit.
"Ah oui, mais enfin 12, par rapport à votre niveau, ce n'est pas bien payé! Quand à celle qui vous a mis 9/20 aux autres trimestres, non, alors, là! "
"Mais j'ai fait des progrès en Allemagne!" ai-je répondu.
Il m'a dit : "Même en étant allée quinze jours en Allemagne, pour avoir le niveau que vous avez maintenant, il faut vraiment avoir beaucoup travaillé avant."
Mais concernant le titre de la note "Un bac facilement acquis", je ne veux pas parler de moi, mais de la bilingue, la seule qui faisait trois langues dans la classe. Les autres faisant maths ou latin.
Elle a eu son bac avec mention TB et a battu toute la tête de classe, alors qu'elle n'y était pas durant l'année scolaire. Disons que pour elle, c'était surtout la mention qui a été facilement acquise par son bilinguisme.
En fait, notre camarade avait caché toute l'année (elle venait d'une autre école) qu'elle avait fait de l'espagnol juqu'en première et de l'allemand seulement en Terminale. En effet, comme elle parlait couramment allemand, ses parents avaient décidé de lui faire étudier l'anglais en sixième et l'espagnol en quatrième; comme elle ne faisait ni maths, ni latin, elle allait au cours d'espagnol avec les D qui faisaient presque toutes seconde langue espagnol, alors qu'en A on faisiat toutes seconde langue allemand. Cela vernait du fait que les scientifiques éaient issus de l'enseignement court en collège avec physique-chimie au collège et pas de seconde langue et avaient pour la plupart commencé la seconde langue en seconde alors que les littéraires, nous étions toutes issues de classes de latinistes. Car nous étions la première génration a avoir eu la réforme ABCD
(à propos de la E, il faudra que je vous raconte quelque chose à propos de mon frère qui a eu par erreur un bac E, en croyant que c'était un bac électronique, après avoir suivi une section technique électronique). Et on avait gardé la configuration des anciennes classes de philo, sciences ex et maths elem.
Donc, ma camarade de classe, pour en revenir à elle, avait pris allemand LV1, alors qu'elle était bilingue, anglais LV2, alors qu'elle était LV1 et espagnol LV3 alors qu'elle était LV2. Donc pour la LV2 et la LV2, elle avait étudié ses langues deux années de plus que les autres, un bon calcul de la part des parents.... et nous avait toutes battues sur le fil au finish. C'était la seule mention TB.
Les deux têtes de classe, depuis toujours les meilleures de la classe ont eu mention B.
Et bien que placée toute l'année sur 40 élèves, vers la 20ème place, et ayant eu en février mon bac blanc sans mention avec une moyenne de 11, je me suis retrouvée dans le peloton des quatre mentions AB de la session de juin (première session), avec 13 de moyenne, donc, parmi les 7 premières des 40. On n'étaient sur les 40 que 14 à avoir eu ce bac réputé "facile" en juin. Et environ une dizaine d'autres ont eu leur bac en septembre, et pourtant, on était une bonne classe avec 1/3 des élèves qui avaient un an d'avance avec 16 ans et demi ou juste 17 ans au moment du bac). Celle qui avait mention TB avait 19 ans et les deux têtes de classe qui avaient B, 18 ans, je crois que nous étions deux "jeunes" parmi les mentions AB.
Bon, pour ce qui en est de mon frère, voilà ce qui s'est passé. En 5ème il n'était pas bon en histoire, c'était une lacune qu'il tirait depuis son enfance. Car il avait toujours eu du mal à apprendre ses résumés d'histoire par coeur. J'étais haute comme trois pomme et quand mon frère apprenait ses résumés, je le singeais, puis je continuai à les réciter en dansant dans la salle à manger et le couloir comme si c'était des chansons, je n'avais pas plus que 3/4 ans, et je savais tous ses résumés d'histoire par coeur.
Mais maintenant, demandez lui la date de la bataille de Marignan, il répondra infailliblement 1515!
Quand mon père rentrait du travail, ma mère disait : ".... ne sait pas encore son résumé!"
"Viens me le réciter!" disait mon père. A la première hésitation, mon père se mettait en colère et moi narquoise je disais, je sais la suite et je récitai le résumé jusqu'au bout.
Alors, mon père se fâchait sur moi "Tu vas te taire!" "Au coin!" Et alors, j'allais pleurer toutes mes larmes au coin, sentant que c'était une infâme injustice. Et on me criait d'arrêter mes comédies, etc... Mais ce n'était pas une comédie, c'était terrible pour moi de ne pas pouvoir réciter le résumé que je savais par coeur. Ajoutons, que je comprenais parfaitement le sens du résumé.
Arrivé en 5ème, mon frère avait vraiment des problèmes avec l'histoire, et comme à cette époque, l'histoire c'était important, on voulait le faire redoubler ou le faire changer d'orientation. Finalement, il a choisi, comme il aimait déjà l'électronique, d'aller en quatrième technique électronique dans un autre lycée. Arrivé en Terminale, il a dû redoubler sa Terminale ou quelque chose comme cela (peut-être aussi qu'il a fait un deuxième bac) et il a été en E en croyant que E voulait dire electronique. Dans cette classe où il avait 48 heures de cours par semaine, il a dû faire beaucoup de mécanique. Un prof de mécanique venait tous les dimanches lui donner des cours de mécanique et il se demandait pourquoi il n'avait l'électronique qu'en option. Les maths étaient aussi devenuez difficiles d'un seul coup et il a eu son bac.... E, l'actuelle SI, la section la plus difficile des baccalauréat qui est en fait la section S option industrie.
domino
11:50 Publié dans Les Mémoires d'une i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bac, langues, calsse
mercredi, 05 novembre 2008
D'où viennent les Basques?
D'où viennent les Basques?
Et bien, j'ai ma petite théorie là-dessus.
En fait, ma théorie n'est pas nouvelle, c'est celle qui prévalait, il y a trente, quarante ans, puis on a dit que pour des raisons de vocabulaire, ce n'était pas possible, que le basque aurait des origines caucasiennes. Qu'on aurait trouvé une langue dans le caucase qui ressemblait au basque, etc.. :
D'après moi, ça se paut.
A un moment, j'ai pensé que peut-être les Basques viendraient d'Amérique, ce cerait des Columbus dans l'autre sens.
Mais je me disais quand même toujours qu'il y a des analogies assez frappante entre les grammaires hongroises et basques :
- le pluriel en -k.
- le carcatère de langue agglutinante (pour les néophites), langue dont les marquages se font à l'arrière du nom, pas seulement le singulier, le pluriel et la déclinaison, mais aussi la préposition se place après le nom, etc...
Mais c'est une réflexion que j'ai faite après avoir relu ce que nous appelons 'Les grandes invasions" et que d'autres peuples appellent, non pas des invasions mais des migrations de peuples, en allemand die Völkerwanderung, que j'ai vu ma théorie corroborée par l'histoire.
Pourquoi les peuples dit Barbares qui n'étaient pas plus Barbares que cela, les Wisigoths, les Francs, les Germains, ont-ils envahi le territoire gallo-romain, chassant les gaulois de leurs villas et de leurs maisons de ville, s'acquoquinant la plupart du temps avec les romains, les gaulois allant former des bandes dans les bois et les contrées sauvages?
Parce que ils n'étaient pas en train de faire la guerre, ils se sauvait tous simplement devant des envahisseurs bien plus sauvages, des vrais envahisseurs cette fois, lancés sur des chevaux vifs comme l'argent, les Huns.
Et bien avant la bataille des Champs Cataloniques, près de Chälons-en-Champagne, ex-Châlons-sur-Marne, il y eu d'autres batailles, celles qui opposèrent, barbares, gallo-romains d'une part et les Huns d'autres parts du côté de la Loire, car pour descendre vers le Sud-Ouest, les Huns étaient passés par l'Ouest de Paris.
Les Huns furent refoulés par les gallo-romains assistés des Barbares vers le Nord-Est et repartirent en rangs décimés, s'installer au bord du Danube, d'après les textes, dans un lieu que nous appelerons la Hongrie, les mots Huns et Hongris ayant d'ailelurs la même racine.
Cependant qu'on à voir les Basques avec tout cela? Parlait-on de la langue basque avant l'invasion (car cette fois-ci il s'agissait bien d'une invasion) des Huns?
Il ne semble pas, les premiers occupants de l'Espagne étaient comme pour tous l'Ouest maritime européen des Celtes : les Ibères. On dit aussi Celtes-Ibères. Ceux-ci tous commes les Celtes d'Irlande, d'Ecosse, de l'Ouest de la Grande Bretagne, de Bretagne, ont laissé des traces dans des langues ibériques telles que le portugais, le galicien (Nord-Ouest de l'Espagne), et le catalan, en particulier la prononciation des an nasalisés que nous avons aussi en français et qui nous viennent du Celte gaulois, ce qui différencie le françasi, et le portugais, en tant que langues nationales, de l'espagnol castillan et de l'italier, langues vraiment d'origine latine, qui n'ont pas de nasalisation.
Et où est le Basque là'dedans (qui soi dit en passant, tout comme le hongrois, a une prononciation très simple, sans nasalisation non plus)?
Et bien continuons à nous placer du côté de l'Histoire :
Après être descendu jusqu'en dessous de la Loire, les Huns, furent refoulés par les gallo-romains-barbares vers le Nord-Est.
Tous les Huns?
Peut-être pas...
Peut-être qu'une partie des Huns, une avant-garde, s'était déjà faufilée jusqu'aux montagnes Pyrénnées, se réfugiant et se mettant à l'abri des gallo-romano-barbares, à l'Ouest de celle-ci et alentours. Il parait même qu'au Haut Moyen-Âge, et jusqu'à ce que l'Angleterre s'empara de l'Aquitaine, le peuple Basque étendant son domaine jusqu'à Bordeeux cers le Nord, puisque les Gascons, ne sont rien d'autres que des Basques francisés. Gascon et Basque ayant la même racine.
Les Huns partis vers la Hongrie, peu nombreux, car décimés par les batailles qui les avaient repoussés, se seraient assimilés alors aux populations environnantes, et une mélange de leur langue avec celles alentours au niveau du vocabulaire, aurait donné le hongrois.
Tandis que les Basques des montagnes isolés par rapport aux autres populations, non christianisés, et refusant de se christianiser dans un premeire temps, à la réputation sauvage, détroussant les pélerins de Compostelle qui passaient par leurs terres, ces populations réputées farouches et défendant jalousement leurs terres, ce ne serait rien d'autres que cette vague hunnique déferlant d'Est en Ouest sur l'Europe, dont une partie aurait atterri là, séparée su reste de son peuple.
Et alors les tombes discoïïdales, la langue basque, toutes les coutumes, jeux, danse, la musique si originale, tout cela ne serait que ce qui reste de la langue d'Attila, et des fraouches hordes de Huns qui avaient traversé l'Europe à la recherche de meilleurs terres.
Oh! Bien sûr, les linguistes qui ont opté pour l'idée de 'langue isolée" ou de "langue caucasienne", secoent la tête.
Pourquoi n'irait-on pas faire des recherches sur les parentés entre les langues asiatiques et des langues isolées d4sie Centrale, de Sibérie nordique et orientale?
Je pense que cette thèse d'un groupe de Huns qui détaché du reste de leur peuple aurait pénétré jusqu'aux Pyrénnées, est assez séduisante.
Bien sûr les Basques, qui entre temps, se sont christianisés, et ont acquis au fil des ans, le sens de l'hospitalité et ont beaucoup d'amabilté, ont bien changé, et n'ont plus rien à voir avec ces peuplades sauvages, qui, parlant une langue incompréhensible, détroussaient les pélerins de Compostelle.
Je suis allés trois fois en vacances durant un mois au Pays-Basque une fois dans mon enfance, et deux fois dans ma jeunesse, et je dois dire que j'ai tout de suite trouvé la langue basque mélodieuse. Et que dès l'êge de 11 ans, j'ai admiré leur coutumes et surtout leurs danses et leur musique.
domino
21:59 Publié dans Linguistique i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : basque, hongrois, linguistique, langues