vendredi, 09 juin 2006
Appel à commentaires ...
Chers lecteurs,
J'ai commenté moi-même quelques uns de mes articles, pour vous montrer comment... commenti.... commentons.... la commentatrice par excellence fait des commentaires.
Je vous invite donc, chers lecteurs, à venir commenter bien à propos mes articles (il y a encore d'anciens articles à commenter).
domino
13:10 Publié dans Humour i-grimoirien. | Lien permanent | Commentaires (26)
Mot d'enfant (1).
Un enfant dont les parents n'avait jamais bu d'alcool et qui vu son jeune âge n'en avait jamais entendu parler , ouvrit des grands yeux lorsque le professeur dit :
- Prenez exemple sur une famille de la ville où ils n'ont pas bu depuis trente ans.
L'enfant, qui avait l'esprit plus éveillé que les autres, car il n'était pas embrumé par l'alcool qu'auraient bu ses parents avant sa naissance, s'ils en avaient bu, leva le doigt et dit :
- Mais, M'sieur, ils sont pas morts ?
-Morts, pourquoi? répondit le professeur, au contraire, ils sont en meilleure santé que les autres !
-Mais, M'sieur, s'ils ne boivent pas, ils doivent être morts de soif !
Arrivé chez lui, l'enfant refusa de boire le verre de jus de fruit que sa mère lui tendait.
Elle lui dit :
-Mais tu n'as pas soif?
-Non maman, ils ne faut plus boire, si on boit on ne sera pas en bonne santé, on aura des cyrrhoses du foie, on perdra la mémoire quand on sera vieux...
- Mais qui t'as dit cela ? Si tu ne bois rien, tu vas mourir de soif!
- Non maman, au contraire, si nous ne buvons pas, nous serons en meilleure santé
L'enfant ne mourrut pas de soif, car la mère qui n'avait pas pensé à l'alcool, car celui-ci était bani de sa vie depuis fort longtemps, alla voir l'instituteur.
- Mais, Monsieur, vous méconaissez totalement les lois de la biologie, depuis hier mon fils ne veut plus rien boire, il va mourir de soif.
-Tant mieux Madame répondit le professeur, il ne sera pas un alcoolique comme vous !
La dame se vexa, déposa une plainte de la société des anti-alcooliques dont elle faissait partie; et expliqua à son enfant que c'était de l'alcool qu'il ne fallait pas boire, que c'était cela que le professeur avait voulu dire, et qu'il n'y avait aucun risque en buvant du lait, de l'eau, des jus de fruits biologiques, et de la soupe.
- Et l'enfant accepta avec grande suspicion de boire quand même un verre d'eau.
domino
08:40 Publié dans Humour i-grimoirien. | Lien permanent | Commentaires (1)
Modifier la Terre...
Quand j'ai voulu corriger les fautes de frappe de mon poème ci-dessous, il était écrit en haut de mon écran, en blanc sur rouge, ou en rouge sur blanc, peu importe, modifier L'heure... Et la terre... J'ai eu peur.... Si je dois modifier l'heure, c'est possible, on le fait tous deux fois par an... Mais modifier la terre... Moi toute seule ? Dans mon i-grimoire notoire? Comment faire ?
domino
00:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 08 juin 2006
Et l'heure... Et la terre tourne... (Tourne-Collection).
Tourne les jours,
chantait une chorale,
De qui était ce vieux refrain?
Et Jacques Brel disait
Et dit toujours
En regardant s'égréner
Sur l'horloge
Rose
De mon i-grimoire
Notoire
"Qui dit oui,
Qui diit non",
Les secondes,
Les minutes,
Les heures,
Et Prévert disait
"Elle tourne la terre,
Avec ses arbres, avec ses forêts,
Et son malheureux petit volcan",
Et Joan Baez
Répétait le poème
En anglais,
"It turns the earth,
It turns",
...
Et Peete Seeger chantait :
"Pour chaque chose,
Tourne, tourne, tourne,
Pour chaque saison,
Tourne, tourne, tourne...."
"Turn, turn, turn,..."
Et la terre tournait,
Avec le temps...
Ralentissait...
S'accélérait...
La terre tournait, tournait,
Les hommes veillissaient,
Les femmes veillisssaient,
Les enfants veiillissaient,
Les jeunes devenaient vieux,
Devenaient vite vieux,
Vite vieux,
Les maisons décrépissaient,
Les monuments s'effritaient,
Elle tournait la terre,
Elle tournait
Il paraît même qu'elle tournait
Sur un nouvel axe
Et le monde viellissait
Vite, vite
Quand la terre
Tournait lentement,
Les journées devenaient longues,
Longues, longues,
Les hommes étaient fatigués,
Les oiseaux cherchaient les ombrages
Pour dormir,
La terre tournait, tounait, tournait
Lourde sur son nouvel axe,
Les horloges ralentissaient
Sans que les hommes
S'aperçoivent
Que leurs maisons décrépissaient
Que leurs murs se fendillaient,
Que leurs vies s'amenuisaient,
Et la terre tournait, tournait, tournait,
Lourde sur son axe,
Lourde, lourde, lourde..
Tourne... Tourne... Tourne...
Avec tes horloges,
Qui disent oui et non,
Qui ne nous attendent pas.
Avec tes calendriers,
Qui jaunissent leur feuilles,
D'année en année,
Tourne et laisse fuir le temps
Qui va plus vite que toi,
O Toi, La TERRE.
Et Pete Segeer chantait...
Et Jacques Brel chantait...
Et Joan Baez disait...
Et Jacques Prévert écrivait...
Tic, Tac, Tic, Tac, tourne la terre, tourne le temps,
Le temps espace,
Le temps plus vite
Que l'espace,
Tic..tac..tic..tac..
Tourne les ans,
Tourne le temps,
Toune la terre
Tourne !
domino
23:25 Publié dans poésie avril à juin 06 | Lien permanent | Commentaires (5)
Comment la terre tourne...
Evariste disait qu'il voudrait que la terre tourne moins vite pour avoir plus de temps...
Et bien moi, je suis sûre que c'est précisément parce que la terre tourne moins vite, que ses cours sont plus longs et que par conséquent, il doit préparer plus de matière pour ses cours, et c'est pour cela qu'il n'a plus assez de temps.
Mais, oui, je suis quasiment certaine que la terre tourne moins vite!
D'ailleurs, j'en ai eu confirmation, mais là c'est sérieux, l'autre jour à Autre Petite Ville du Nord. L'habitude de faire des photos t'amène à regarder le paysage, les détails des maisons, etc... Et bien, j'ai la nette impression que les maisons veillissent plus vite qu'auparavant. Peut-être est-ce que mon oeil est mieux aiguisé pour voir le mur effrité, la peinture passée, depuis que je fais plus de photos. Toujours est-il que j'ai l'impression que villes et villages deviennent vieux, plus vieux qu'avant...
Que villes et villages, depuis presque 30 ans que je suis dans cette partie du Nord ont subi subitement l'outrage du temps.
17:25 Publié dans Pensées et Aphorismes, mai à août 2006 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'instit.
En France, l'instituteur était une institution, c'était un arbre sur lequel on se reposait. Pourquoi a-t-on supprimé l'institution de l'instituteur sur laquelle la France avait bâti sa couronne de feuilles et sa couronne de lauriers?
domino
16:55 Publié dans Pensées et Aphorismes, mai à août 2006 | Lien permanent | Commentaires (1)